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th'ppe, & M. Ladoyen ; AHa, â MDavid ; Académie, à M. Bitouzé (tousarrêtés).

2,650 fr. au 1", 800 fr. au 2», 400 fr. au3", 200 fr. au 4*.PRIX DE LA SEINE. — Attelé. — 3,000 fr.,

3,000 m.i- Artisan, pn b., 3 ans, par Fuschia

etGoodNigt, àM. Poupel, 5'15"2|5.i- Arlaban, à M. de Basly, 5'15"i[5.3. Aspirante, àMmeveuveCb. Fleury,

5'18"lj5.4- Arcole, a M. A. Hémard, 5'20"i|5.

Non placés : Quarteronne, à M Le-monnier, 5'25"1|5 ; Artésia, à M. CCavey, 5'26"3[5 ; Amarante, à M. duRçzier (7-) ; Apporte Ici,à M. Selba(8");Alcazar, à M. Désassis (9«) ; Angou àM. Th. Lallouet (101) ; Andalouse, à M.Letot (arrêtée).

;2.080 fr. au i", 800 fr. au 2 \ 400 frau 3", 200 fr. au 4».

(A suivre.)

^DernièresNouvellesA LA CHAMBRE

La séance d'hier lundi

Le budget de la Marine

Les deux séances de la journée'hier ont été consacrées à la discus-ion générale du budget de la marine.M. Lockroy, qui l'ouvre, semble na-

•ré de voir les banquettes presque•ides — au point, dit-il, que « son dis-ours va ressembler à une confl-lence », et ce n'est pas ce que voulait'ancien ministre de la marine, qui seiropose de faire en grand le procès deadministration de son successeur,ans laquelle, il est vrai, il y a à pren-r? les abus de pouvoir et les scanda-;s à la pelle.M. Lockroy critique d'aTiord la façon

lont les marchés sont passés et dé-lontre que l'argent des contribuablest gaspillé..V. Chaumel reproche à M. Pelletan

!e négliger les avis des officiers de lanarine pour la construction des navi-

M. Roussel lui reproche d'avoircassé illégalement un arrêt du tribu-nal de Toulon contre un matelot.

La séance du matin est levée.Celle cje l'après-midi voit M. Pelle-

lan à la tribune. Il présente sa dé-fense.

Il reproche aux adversaires du gou-vernement de soulever des chicanessur des questions secondaires sansravoir prévenu. Il explique que l'en-trepreneur qui renfloua VEspingolen'avait pas demandé un sou pour cetteopération, mais, sur la proposition del'amiral Bienaimé, M. Pelletan lui aoffert une indemnité. (Exclamationsironiques.)

Le ministre se défend d'avoir jamaisdisgracié par rancune aucun de; 'sessubordonnés. Il n'obéit qu'à sa cons-cience. {Rires.)

M. Lockroy réplique et déclare main-tenir l'exactitude des renseignementsqu'il a publiés, concernant le renfloue-ment de VEspingole.

M. Lemoigne demande la simplifica-tion de la comptabilité, la suppressiondes dépenses inutiles, et une améliora-tion de la situation des ouvriers et em-ployés des services techniques.

fait entendre, surtout le soir, un cri sec ciet sonore, crek, crek, assez bien figuré ,' c<par le mot latin crex, qui est, si mes isouvenirs classiques sont fidèles, c Rque les grammairiens appellent une t u

onomatopée. LÉC'est un oiseau au vol droit et très m

lent, mais courant avec une extrêmerapidité. En aulomne, il acquiert beau- s e

coup de graisse, et on le prend quel- Jequefois alors à l'arrêt du chien. Aprèsun vol ou deux, si on ne l'atteint pas, <IU

on ne peut p lus le faire lever, et il fuit c n i

avec célérité. Il est très recherché des r e s

amateurs de gibier pour la délicatessede sa chair. (Degland).

Le Râle de genêt se voit dans tout ledépartement, moins répandu peut-êtrequ'autrefois, par suite des modifica-tions apportées dans les cultures, quil'ont privé de ses remises favorites. Lesconditions atmosphériques sont égale-ment plus ou moins favorables au dé-veloppement des couvées ; aussi est-ilabondant certaines- années et plusrare dans d'autres. Il en est de mêmepour la caille et la perdrix.

Dès le xvni* siècle, Magné de Ma-rolles, originaire de Tourouvre, à quisont dues les premières recherchessur notre faune, recueillit! et publiades observations sur la fréquence duRâle de genêt dans le pays de Carrou-ges. Par l'entremise d'Odolant-Desnos,avec lequel il élait en relations suivies,1 avait reçu de M. Antoine de la Pour-

nerie de Boisgency, seigneur de laFerrière-Bochard, des notes 1res dé-taillées sur cet oiseau, son habitat dansla région et les moyens de l'atteindre.[1 se contenta de les analyser d'une fa-çon succincte dans l'Essai sur la chasseau jusil, paru en 1788, et sans avoirsoin d'en indiquer l'origine.

Or, ces jours derniers, j'ai eu lasonne fortune de retrouver le travailîomplet de M. de Boisgency dans lesmanuscrits de Magné de Marelles, trèsgracieusement mis à ma dispositionpar M. Jean Bournisien, de Bellêrne.Se véritable mémoire, que Magné deMarolles lui-même, sur une note mar-ginale de son manuscrit, déclare excel-lent, est bien l'œuvre d'un praticienexpérimenté. On y voit l'observateurplein de sagacité, qui a su reconnaîtreles stations et les localités préféréesdu Râle de genêt, ses habitudes, ses ru-ses pour échapper à la poursuite deschiens et le lemps le plus favorable pourla chasse. Un fait nouveau, et des pluscurieux au point de vue scientifique,est signalé par M. de Boisgency, donton ne doit contester ni la véracité, niles connaissances techniques. Quel-ques râles s'attardent chez nous à l'au-tomne et y passent la mauvaise saison.On a bien observé des cailles en pleinhiver, à St-Julien-sur-Sarthe, dans la iplaine d'Alençon, et aux environs deVimoutiers, mais jamais, que je sa- |che, personne n'a vu de raies a cette jépoque de l'année ; aucun de nos au-teurs normands n'en parle. Il est vraique les naturalistes anglais, entre au-tres A.-W. Hudson (British Birds1897, p. 278), assurent que tous les râ-les n'émigrent pas au mois d'octobre,et qu'il en reste toujours quelques-unsen Angleterre et surtout en Irlande ; ondoit dès lors moins s'étonner de l'as-sertion de M. de Boisgency.

Malgré nombre d'observations per-sonnelles, l'habile chasseur n'était pasexempt des préjugés de son temps : il

CMI

Rer

ExtRusAct:

Obligati

M. Lemoiqne demande qu'on active croyait, et c'est encore une opinion ré-les constructions neuves ; il demandeau ministre de fournir des documentsnécessaires pour juger de notre puis-sance maritime.

•Af. Louis Martin appelle la bienveil-lance de M. Pelletan sur la situationdes ouvriers des arsenaux.

M. Gayraud critique le décret de laï-cisation des hôpitaux de la marine. Ils'indigne qu'on ait renvoyé les sœursen les injuriant et en les traitant devoleuses.

M. de Lanjuinais crie : « C'est abo-minable ! ».; M. Gayraud affirme que les racon-

tars sur les prétendus détournements,ne sont que des motifs pour faire par-tir les sœurs.La séance est levée à 7 h. 5.

pandue dans nos compagnes, que lacaille et le raie, trop ahargés d'em-bonpoint à l'automne, se dégraissentavec une petite graine d'eux seuls con-nue, avant d'entreprendre leurs lon-gues migrations. Voilà qui parait igno-ré de la plupart de nos folk-loristes.

Je crois être agréable aux naturalisteset même aux chasseurs en communi-quant à la presse locale les observationsC)K M. de Boisgency. J'en conserve lestyle et l'orthographe ; le vieux gentil-homme était sans doute plus exercéa manier le fusil que la plume, maisen considération des faits si nombreuxet si curieux qu'il renferme, ce mémoi-re me paraît digne d'être publié.

(A suivre.) A.-L. LETACQ.

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VARïÉTÉS

LE RALE DE GENETAUX ENVIRONS DE CARROUOES

Notes d'un ohasseur aiençonnalsen 1786

Le Râle de genêt (Rallus crex L.) nVstpas sédentaire dans nos régiorts ; ilarrive vers le 15 avril avec les cailles(c'est de là que lui est venu le nom deroi des cailles), pour repartir à la finde septembre ou dès les premiers joursd'octobre.

Si on l'appelle Râle de genêt,ce n'estpas que cet arbrisseau lui soit, plussympathique que d'autres, mais il aimeà se cacher au milieu des épaissestouffes .d'herbe qui garnissent lesgenêtraies, et il y trouve en très grandnombre, grâce à l'humidité entretenuepar les plantes qui forment sur le solun véritable tapis, les vers, les mollus-ques et les insectes dont il se nourrit.

Quelques naturalistes lui donnentencore le nom de râle rougi, à causede sa couleur d'un roux ardent, paropposition au râle noir ou râle d'eau,dont le plumage présente des tonsbeaucoup plus foncés.

Le Râle de genêt niche à terre, dansun enfoncement garni de quelquesbrins d'herbe, parmi les blés, ou plussouvent les grandes plantes des prai-ries un peu humides ; la ponte est de7 à 8 œufs d'un blanc cendré, marquésde taches d'un roux plus ou moins vifAu temps de la reproduction, le Rai

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