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Estimation de la fonction rénale
et principales causes
de maladie rénale chronique
Dr Anne-Elisabeth HENG Service de néphrologie
CHU Clermont-Ferrand
• Estimation de la fonction rénal
- Définir la MRC
- Estimer la fonction rénale
- Repérer des marqueurs de MRC
- Reperer une dysfonction
tubulaire
• Principales causes de MRC
- épidémiologique
- CAT diagnostic étiologique
- Freiner la progression
Définir la MRC
Définir la MRC
Définir la MRC
Marqueurs d’atteinte rénale:
Diminution du Débit de filtration
glomérualie (DFG)
Comment?
Quand?
Pourquoi?
Histologiques
Anomalies morphologiques (à l’échographie),
Biologiques
•Protéinurie clinique
•Albuminurie
•Hématurie
•Leucocyturie
Histologique
•Protéinurie clinique
•Albuminurie
•Hématurie
•Leucocyturie
Définir la MRC
Marqueurs d’atteinte rénale:
Diminution du Débit de filtration
glomérualie (DFG)
Comment?
Quand?
Pourquoi?
Histologiques
anomalies morphologiques (à l’échographie),
Biologiques
-protéinurie clinique,
Ratio
albuminurie/créatininurie > 30
mg/mmol (> 300 mg/g)
ou un ratio
protéinurie/créatininurie > 50
mg/mmol (> 500 mg/g)
ou une protéinurie des 24 heures
> 0,5 g
albuminurie,
albuminurie de faible débit (ratio
albuminurie/créatininurie de 3 à
30 mg/mmol) est
considérée comme un marqueur
de risque de maladie rénale
Définir la MRC
Quelques chiffres clés :
2 Reins =
150 g/rein
11 - 12 x 6 x 3 cm
0,8-1,2 million néphrons/rein
Uretère
Médullaire rénale
Cortex rénal
Pyélon / bassinet
Définir la MRC
De l’anatomie à l’histologie…
Tubule
Collecteur
Anse de
Henlé
Tubule Proximal
Tubule
Distal Corpuscule rénal
Glomérule
Le corpuscule rénal ou glomérule
Art Afférente
Art Efférente
C. Mésangiales
Feuillets viscéral et
pariétal de la capsule
de Bowman
Tubule
proximal
Podocytes
C. Epithéliales Anse
capillaire
Chambre
urinaire
Structure du filtre glomérulaire
Podocytes
Glycocalyx
Endothélium
Mbne basale
Sang
DFG Slit membrane
Comment ça marche ?
150 - 180 L/j
Electrolytes,
glucose
Créatinine
+ Ptes Protéines
Réabsorption : Na, K,
Cl, HCO3, Ca,
glucose, Phosphates,
protéines, eau
Quelques chiffres clés : - Débit sanguin rénal : 1600 litres/24h
- Débit filtration glom. : 180 litres/24h
- Réabsorption : 178 litres/24h
soit 99 % du filtrat
- Excrétion : 1,5 – 2 litres/24h
La filtration glomérulaire est
l’étape initiale et déterminante
de la formation des urines.
En conséquence, la mesure du
débit de filtration glomérulaire
(DFG) est le meilleur index
global de la « fonction rénale »,
chez le sujet sain ou malade.
H. W. Smith
Filtration glomérulaire et fonction rénale
90 – 140 ml/min/1,73m²
Estimer la fonction rénale
• Mesure: substance filtrée et non
réabsorbée
• Mesure du débit de filtration glomérulaire (DFG)
– Clairance urinaire de l’inuline
– Clairance urinaire du Iothalamate I125
– Clairance plasmatique du Iohexol
– Clairance plasmatique du Cr51 EDTA
Mesure du DFG
Estimer la fonction rénale
• Mesure: substance filtrée et non
réabsorbée ?
• Estimation ?
Créatininémie?
•La créatininémie : marqueur imparfait de la fonction rénale
• Méthode de dosage de créatininémie
–Méthode de référence : Chromatographie gazeuse et liquide couplée à la spectrométrie de masse après dilution isotopique ( ID-GC/MS et ID-LC/MS ) (IDMS)
–Technique enzymatique (mais 5 fois plus chère que la réaction de Jaffé)
–Abandonner la réaction de Jaffé (interférence)
–Valeurs usuelles
• Obtenues à partir de données hospitalières de donneurs de sang ou de volontaires sains de 18-75 ans
• pour les hommes 56-106 µmol/l
• pour les femmes 42-92 µmol/l
Mauvaise valeur prédictive
Risque ++ de faux négatif
Pour un sujet dont la
créatininémie est de
10mg/L (88,5 µmol/L)
L’intervalle de confiance du
DFG est compris entre 40
et 120 ml/min/1,73m²
DFG (Clearance de l’inuline) ml/min/1,73 m²
Patients avec une créatininémie
normale
100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Cré
ati
nin
ém
ie m
g/L
Créatininémie : Femme : 45 – 85 µmol/L (5 – 10 mg/L)
Homme : 60 –110 µmol/L (7 – 12 mg/L)
Levey et al. Ann Int Med. 1999;130:461-470.
• La relation entre créatinine et fonction rénale n’est pas linéaire
• Une créatinine normale ne signifie pas une fonction rénale normale
La créatininémie : marqueur imparfait de la fonction rénale
Relation entre créatininémie et Débit de filtration glomérulaire
Comparaison des 3 équations d’estimation du GFR
CG MDRD CKD EPI
Année 1973 1999 2009
Référence pour
mGFR
Clairance
urinaire de
créatinine
Clairance urinaire
du Iothalamate I
125
Clairance
urinaire du
Iothalamate I 125
Unités ml/min ml/min/1.73m2 ml/min/1.73m2
Variables incluses
Créatinine
Créatinine IDMS
Age
Sexe
Race
Poids
Oui
Non
Oui
Non au début
Non
Oui
Oui
Oui en 2006
Oui
Oui
Oui
Non
Oui
Oui
Oui
Oui
Oui
Non
Levey AJKD 2010, 55: 622-627
• Formule MDRD simplifiée
= 175 x (P creat /88.4)(-1.154 x (âge) -0.203 x k x (0.742 si femme)
186 si créatinine non standardisée IDMS, 175 si méthode standardisée
• k : une multiplication par un facteur dépendant de l’origine du patient doit, s’il y a lieu, être effectuée par le médecin qui reçoit les résultats.
• NB : k = 1,21 dans la formule MDRD initiale pour les sujets afro-américains.
Formule MDRD simplifiée
Nephrol Ther 2009, 28 Avril
• Formule ml/min
= (140-Age)*poids/ 0.814*créatinine
*0.85 femme
Formule Cockcroft et gault
Nephron. 1976;16(1):31-41.
Prediction of creatinine clearance from serum creatinine.
Cockcroft DW, Gault MH.
Mai 2009
http://www.soc-nephrologie.org/eservice/calcul/eDFG.htm
Caractéristiques du développement CG MDRD CKD EPI
Nb. de participants 249 1,628 5,504
Age moyen 57 51 47
mGFR(mean) 73 40 (Insuffisants
rénaux)
67
Sexe ( % homme) 100 60 57
Race Noire
Asiatiques
Hispaniques
Blancs et autres
NR
NR
NR
100
12
NR
NR
88
32
1
5
63
CKD % NR 100 73
Diabète % NR 6 29
Transplantés % NR 0 4
Levey AJKD 2010, 55: 622-627
Validation et performance Validation CG MDRD CKD EPI
Détection de la
maladie et
prévalence
Plus élevée qu’ avec
MDRD
13% approx aux USA 11% approx
Plus faible chez
les femmes,
blancs et moins
de 70 ans
Performance
Biais Surestimation du
DFG mesuré
Sous estimation du
DFG mesuré pour un
e DFG < 60
ml/min/1.73 m2
(moindre biais que
pour CG)
Sous estimation
du DFG mesuré
pour des valeurs
plus élevées
(moindre biais
que MDRD)
Précision Limitée quelle que
soit la valeur de
eDFG
Plus grande précision
que CG, mais limitée
Plus grande
précision que
MDRD
Expression de eGFR Limitée Commune,
applicable pour
eGFR < 60
ml/min/1.73 m2
Proposée,
applicable quelle
que soit la valeur
du DFG
Levey AJKD 2010, 55: 622-627
CKD EPI est plus précis et le biais est plus faible qu’avec MDRD dans toutes
les catégories testées (sujet âgé, femme, obèse, diabète, transplanté)
Formule retenue par la HAS en Janvier 2012
Formule CKD Epi créatinine : un « super MDRD » ?
• http://www.soc-
nephrologie.org/eservice/calcul/eDFG.htm
Évaluation de la fonction rénale et de la
protéinurie pour le diagnostic de la maladie rénale
chronique chez l’adulte.
Nephrol Ther 2009; 5: 302-305.
Estimer la fonction rénale
• CKD-EPI si créatinine standardisée
(IDMS)
• Surtout pour les créatinines « normales »
• Le plus fiable
• Recommendation 2012
• Cependant…
Guidelines KDIGO 2005
(Kidney Disease Improving Global Outcome)
Levey AS et al., Kidney Int. 2005, 67: 2089-2100
Circonstances où la mesure du DFG par une méthode
de clearance est justifiée, voire nécessaire :
- (Ages et tailles extrêmes)
- (obésité > 35 kg/m² de BMI )
- Malnutrition
- Paraplégie, tétraplégie, amputation étendue
- Régime végétarien et surtout végétalien
- Variations rapides du DFG (IRA)
- Avant traitement par une drogue néphrotoxique excrétée par le rein
- Avant don de rein
- Projet de recherche clinique dont l’objectif principal est le devenir du
DFG
Repérer des marqueurs de MRC
• Protéinurie
• Hématurie
• Leucocyturie
Tester l’intégrité du filtre glomérulaire
Podocytes
Glycocalyx
Endothélium
Mbne basale
Sang
DFG Slit membrane
URINE PRIMITIVE : Ultrafiltrat du plasma = eau, électrolytes, petites
molécules non chargées (glucose, urée), protéines < 100 mg/l et seulement
petites protéines (Cut-off : 65kDa = albumine), pas de mol. liées aux protéines)
LA BANDELETTE URINAIRE
Trace 150 - 300 mg/l
(0,15 – 0,3 g/l)
+ 300 - 1000 mg/l
(0,3 – 1,0 g/l)
++ 1.0 - 3.0 g/l
+++ 3.0 - 10 g/l
++++ >10 g/l
Bandelette urinaire : imprécise mais sensible
Dosage de la protéinurie
Urines des 24 heures Urines Spot (matin)
Protéinurie / créatininurie Physiologique < 200 mg/g ( 20 mg/mmol)
Pathologique > 300 mg/g ( 30 mg/mmol)
Sd néphrotique > 3500 mg/g ( 350 mg/mmol)
Albuminurie / créatininurie Physiologique 30 mg/g ( 3 mg/mmol)
Micro-albuminurie > 30 et 300 mg/g ( 3 - 30 mg/mmol)
Macro-albuminurie > 300 mg/g ( 30 mg/mmol)
NB1 : Créatininurie moindre chez la femme, la personne agée et
plus importante chez l’homme et mangeur de viande…
NB2 : albuminurie néglige protéinuries tubulaires
NB3 : attention aux protéinuries orthostatiques ( matin !)
NB4 : rares protéinuries modérées des hyper- -globulinémies
Protéinurie : glomérulaire ou tubulaire ?
Plasma
Urine
Protéinurie « glomérulaire » - Surtout albumine
- Débit : 0,3 à > 3,5 g/24h)
- Néphropathies diabétique et
hypertensive, glomérulonéphrites…
Protéinurie « tubulaire » - Surtout petites protéines
- Peu d’albumine
- Débit < 1,5 g/24h
Ex : Syndome de Fanconi et
tubulopathies médicamenteuses
Faire la différence :
Ratio Albuminurie/ Protéinurie
> 50 % : glomérulaire
<50 % : tubulaire
LA BANDELETTE URINAIRE
LA BANDELETTE URINAIRE
Repérer des marqueurs de MRC
• Protéinurie
• Hématurie
• Leucocyturie
• Glomérulaire
• Tubulaire,
interstielle
• Glomérulaire ou
tubulaire
150 - 180 L/j
Electrolytes,
glucose
Créatinine
+ Ptes Protéines
Réabsorption : Na, K,
Cl, HCO3, Ca,
glucose, Phosphates,
protéines, eau
Reperer une dysfonction tubulaire
Plasma Urine unités
Na
K
Ca
HCO3
NH4+
urée
Proteine
Ac Urique
Glucose
pH
Osmolalité
140-150
3.5-5
1.35-1.5
22-28
0.005-0.02
4-7
65-80
0.1-0.4
3.9-5.2
7.35-7.40
281-297
50-30
20-70
10-24
0
30-50
200-400
<0.150g/24h
0.7-8.7
0
4.8-7.5
50-1300
Mmol/l
Mmol/l
Mmol/l
Mmol/l
Mmol/l
Mmol/l
g/l
Mmol/l
Mmol/l
Mmol/l
Dysfonction tubulaire: TCP
TCP:
Glucose
Acides aminés
Ph 70%
Bicarbonate 85%
Dysfonction:
Glucose urinaire
Acides aminés
hyperPhU, hypoPh
Acidose
Fanconi
Dysfonction tubulaire: TCP
TCP:
Glucose
Acides aminés
Ph 70%
Bicarbonate 85%
Dysfonction:
Glucose urinaire
Acides aminés
hyperPhU, hypoPh
Acidose
Fanconi
Diabète
Intolérance au glucose
(Pg 15mmol/l, MOBY II)
Glucosurie isolée
Fanconi
Dysfonction tubulaire: TCP
TCP:
Glucose
Acides aminés
Ph 70%
Bicarbonate 85%
Dysfonction:
Glucose urinaire
Acides aminés
hypoPh +/- hyperPhU,
Acidose
Fanconi
Redistribution
Perte extrarénale
Perte rénale:
Carence en vitamine D
Hyperparathyroidie
Fanconi
TmPi/GFR = Psérique - ((Purinaire x Créat sérique)/Créat urinaire)
Dysfonction tubulaire: TCP
TCP:
Glucose
Acides aminés
Ph 70%
Bicarbonate 85%
Dysfonction:
Glucose urinaire
Acides aminés
hypoPh +/- hyperPhU,
Acidose tubulaire
Fanconi
Acidose métabolique sévère
Pas forcément de pH alcalin
Perte de bicarbonate
Exploration par le Tm Bicarbonate
(après normalisation du HCO3-)
Dysfonction tubulaire: TCP
TCP:
Glucose
Acides aminés
Ph 70%
Bicarbonate 85%
Dysfonction:
Glucose urinaire
Acides aminés
hypoPh +/- hyperPhU,
Acidose tubulaire
Fanconi
Aminoacidurie
Acidose métabolique sévère
Hypophosphorémie
Glucosurie
Tenofovir…
Dysfonction tubulaire: distale
TCD et TC
Dysfonction
de la régulation osmotique
Polyurie
Hypernatrémie
Osmolarité urinaire
Inadaptée (basse)
Acidose tubulaire distale
Hypokaliémie
Hyperkaliémie
• Estimation de la fonction rénal
- Définir la MRC
- Estimer la fonction rénale
- Repérer des marqueurs de MRC
- Reperer une dysfonction
tubulaire
• Principales causes de MRC
- Epidémiologique
- CAT diagnostic étiologique
- Freiner la progression
•Principales causes de MRC
- Epidémiologie
•Principales causes de MRC
- Epidémiologie Prévalence des adultes présentant un ratio albumine/créatinine urinaire > 3 mg/mmol ou un DFG < 60 ml/min/1,73 m² = 10%
Le nombre de personnes MRC 3 millions
Le risque d’évolution vers le stade terminal (prévalence de l’IRCT) = 1 pour 1 000.
Chaque année en France, environ 9 500 personnes débutent un traitement de suppléance.
Au 31 décembre 2009, près de 70 000 personnes étaient traitées, 54 % par dialyse et 46 % par greffe rénale. Ce nombre augmente de 4 % par an.
L’hypertension et le diabète sont responsables à eux seuls de près d’un cas sur deux.
IRC causes
IRC causes • Causes dans la population générale:
– glomérulaire : • diabète ++++ 30 %
• glomérulonéphrite 13 %
– vasculaire : 26% • néphroangiosclérose (HTA)
• sténose artérielle
– Polykystose, héréditaire 10%
– uropathie : 6%
– Néphrities interstietielles 3%
– Autres 15 %
CAT diagnostic étiologique
CAT diagnostic étiologique
CAT diagnostic étiologique
CAT diagnostic étiologique
CAT diagnostic étiologique
Diabète, Syndrome métabolique
Maladie de Berger
GNRP
Nephroangiosclérose
Viellisemment
IRC Biopsie rénale
calice
Pyramide Malpighi
cortex
Colonne de
Bertin
médullaire
Hile
IRC Biopsie rénale
Indication protéinurie
hématurie
Maladie générale
IRA
antécédent familiaux
néphropathie non expliquée
Freiner la progression
Recommandation ANAES sept 2004 Les points clés des recommandations
Les principaux facteurs de progression de l’IRC modifiables = protéinurie et l’hypertension artérielle. < 130/80 mmHg, et plus basse si possible si albuminurie et : ou diabète, sinon 140/80 · protéinurie < 0,5 g/j. Antagonistes du système rénine-angiotensine, inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC) et antagonistes des récepteurs à l’angiotensine II (ARA2), sont les médicaments recommandés pour ralentir la progression de l’IRC. ARA2 sont recommandés chez les diabétiques de type 2 et les IEC dans les autres cas. restriction sodée à 100 mmol/jour 6 g/j.
Recommandation ANAES sept 2004 Les 10 points clés des recommandations
En cas de cible(s) non atteinte(s) : · si la cible de la pression artérielle n’est pas atteinte : associer un diurétique thiazidique ou de l’anse ; · si la cible de la protéinurie n’est pas atteinte : l’association IEC + ARA2 est recommandée ; · si les cibles de la pression artérielle et de la protéinurie ne sont pas atteintes : ajouter aux schémas précédents une autre classe d’antihypertenseurs. Un apport protidique de 0,8 g/kg/j est recommandé. Un encadrement diététique spécialisé est recommandé. La périodicité de la surveillance clinique et biologique doit être adaptée en fonction du ,niveau de la progression de l’IRC (en mois, le DFG divisé par 10) Moduler avec précision en fonction du niveau de la fonction rénale la posologie des médicaments, particulièrement ceux néphrotoxiques (aminosides, AINS, produits de contraste iodés). Une collaboration multidisciplinaire est recommandée, tout particulièrement chez les patients diabétiques.
• Estimation de la fonction rénal - bien estimer la fonction: CKD-EPI
- rechercher autres signes…
• Principales causes de MRC
- diabète et vasculaire
- minimum pour tous pour
étiologies
- Freiner la progression +++
Conclusions
Recommended