Étude des paramètres inflammatoires plaquettaires au cours des processus de préparation manuels...

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92 Séances orales / Transfusion Clin

ourraient constituer un marqueur de vieillissement des CGR, utilisable commeontrôle qualité.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.024

R-5-4

émolyse des CGR au cours du processus de préparation :tude comparative de trois DMU de technique deéparation haute et basse (Top/Bottom).G. Chartois-Leaute ∗, E. Rivery , B. Laviron , Y. Giraud , T. Schneider

EFS, Pays-de-la-Loire, Nantes, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : anne-gaele.leaute@efs.sante.fr (A.G. Chartois-Leaute)

ontexte.– Une hémolyse à j1 a été observée sur des CGR prélevés sur desoches DGR7566B (Fenwal) soumises à une durée d’extraction allongée sur lesresses CompoMat G5 (Frésénius Kabi).es extractions longues peuvent être liées à une obstruction de la tubulure notam-ent lors de l’ouverture incomplète de l’ouvre-circuit (OC), le passage forcé

es hématies à travers l’orifice rétréci étant responsable de lésions cellulairesvec libération d’hémoglobine libre.ette étude évalue l’impact des anomalies d’extraction sur la qualité de CGRréparés sur trois dispositifs quadruples à décantation haute et basse : Fen-al DGR7566B, Macopharma NPT6286LA et Frésénius CompoSelect C4030

DMU avec un OC automatique).atériel et méthodes.– Les pourcentages d’hémolyse à j1 de 160 CGR Fenwal,

15 CGR Macopharma et 27 CGR Frésénius ayant subis une phase d’extractionongue (CGREL), ont été mesurés et comparés à ceux de CGR contrôlés danse cadre du plan d’échantillonnage (CGRPE) (n ≥ 92).ésultats.– Les CGREL ont un taux moyen d’hémolyse à j1 supérieur à celuibservé sur les CGRPE pour les DMU Fenwal (0,43 % vs 0,07 %, p < 0,001)t Macopharma (0,24 % vs 0,08 %, p < 0,01). Les résultats pour le DMU Frésé-ius sont comparables : 0,12 % vs 0,11 % ; 18,1 % des CGREL Fenwal et 2,6 %GREL Macopharma sont hémolysés (> 0,8 %), aucune non-conformité n’estonstatée pour le DMU Frésénius.onclusion.– Une durée d’extraction allongée est une cause non négligeable’hémolyse à j1 notamment pour les DMU avec ouverture manuelle de l’OC.ette étape nécessite une grande vigilance de la part des opérateurs. Un dépistageisuel des unités hémolysés a été mis en place sur les CGREL, une mesure de’hémolyse est réalisée sur les poches suspectes.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.025

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tude des paramètres inflammatoires plaquettaires auours des processus de préparation manuels vs automatisé.A. Nguyen a,∗, P. Chavarin b, C.A. Arthaud b, F. Cognasse b, O. Garraud b

GIMAP-EA3064, université de Lyon/Saint-Étienne, Saint-Étienne, FranceEFS Auvergne-Loire, Saint-Étienne, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : fabrice.cognasse@univ-st-etienne.fr (F. Cognasse)

ertains concentrés plaquettaires (CP) transfusés induisent des effets indé-irables receveurs (EIR). Aussi, la prévention des lésions de stockage et laroduction des produits inflammatoires sont une composante à prendre enompte pour limiter les EIR.

ous avons comparé la production de CP obtenus de facon manuelle (m) et

utomatisé (a) – grâce à la plateforme TACSI. Pour chaque mode de prépara-ion, nous avons comparé les solutions additives de plaquette (PAS) (PASIII vsASIIIM) avec un volume plasma résiduel de 35 %.

sec

t Biologique 20 (2013) 285–294

ous avons étudié, en cytométrie de flux, les marqueurs plaquettaire de surfaceD62p et CD40L, et leurs homologues solubles par Elisa. Ces paramètres ont étéesurés dans chaque condition. Afin de vérifier la susceptibilité des plaquettesêtre activées nous avons utilisé un analogue de la thrombine (TRAP) comme

ctivateur.e différences significatives (p < 0,05 test de Mann-Whitney) dans l’expressiones marqueurs de surface CD40L et de CD62p ont été observées entre le proces-us manuel (m) et automatisé (a) indépendant des PAS. Concernant les facteursolubles CD40L et de CD62p, des différences significatives de concentrationnt été observées entre le processus manuel (m) et automatisé (a). Suivant lesuatre modes de préparation testées, les plaquettes sont toutes restées toutes trèsctivables, en termes d’expression de marqueurs de surface et de relargage deacteur soluble après activation par le TRAP.u regard des paramètres testés, ces résultats valident l’utilisation des processus

utomatisés de préparation des plaquettes en présence de PAS. Cela représenten avantage pour homogénéiser la production des PCs.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.026

R-6 – Séance Orale : génotypage des groupes sanguinsodérateurs : T. Peyrard, C. Ferec

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alidation d’une plateforme totalement automatisée poure génotypage érythrocytaire étendu.A. Boccoz a,∗, J.C. Brès b, P. Bailly b, D. Rigal b, L.J. Blum c,.A. Marquette c

AXO Science SAS, Lyon, FranceÉtablissement francais du sang Rhône-Alpes site Lyon Gerland, Lyon, FranceCNRS 5246 ICBMS, université Lyon 1, Villeurbanne, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : christophe.marquette@univ-lyon1.fr (C.A. Marquette)

rente systèmes de groupes sanguins sont pour l’instant répertoriés par l’ISBT,ontenant plus de 300 antigènes, la plupart d’entre eux résultant du polymor-hisme d’un seul nucléotide. La détermination de ces groupes est en routineéalisée principalement par sérologie, technique présentant certaines limites ete permettant pas de répondre à la demande croissante de produits sanguinsroupés pour un nombre élevé d’antigènes.a connaissance des bases moléculaires de ces systèmes permet cepen-ant d’envisager l’usage de méthodes de biologie moléculaire au sein desaboratoires d’immunohématologie. Nous avons ainsi développé un test deénotypage haut-débit entièrement automatisé incluant une extraction automa-ique de l’ADN génomique à partir du sang et reposant sur l’association PCR

ultiplexes/détection sur puces à ADN. L’amplification des gènes d’intérêt,’hybridation des amplicons, suivie d’une étape de révélation sur la puceermettent la détermination des génotypes et conduisent à l’identificationimultanée de plusieurs antigènes érythrocytaires. Deux PCR associées cha-une à une puce spécifique ont été développées permettant l’identificatione 20 antigènes érythrocytaires (KEL1/2, 3/4 ; JK1/2 ; FY1/2 ; MNS1/2, 3/4 ;T1/2 ; CO1/2 ; DO1/2 ; LU1/2) ainsi que deux variants appartenant au sys-

ème Duffy (Fy*FY et Fy*X). Nous présentons ici les résultats de l’évaluatione notre dispositif pour le génotypage érythrocytaire multiplexé à haut-débit’un panel de 5000 échantillons sanguins de donneurs. L’utilisation de notreystème de génotypage érythrocytaire complète les techniques sérologiquest pourrait dans un avenir proche les remplacer avec des résultats rapides etomplets.

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