Faire une mind map est-il toujours la solution la plus adaptée ?

PSYCHOLOGIE, SOCIOLOGIE, MÉDECINE, ERGONOMIE…

La forme « mind map » est-elle toujours la plus adaptée ?

Plan

1. Une forme trop restrictive ? L’exemple de la recherche clinique

2. Pourquoi et comment s’affranchir de la forme « mind map » ?

L’EXEMPLE DE LA RECHERCHE CLINIQUE

Une forme trop restrictive ?

Au pied du lit du malade…

C’est au plus près du patient, voire au cœur même de la relation que le praticien entretient avec lui, que les causes du

problème vont progressivement se dévoiler.

Un cycle de questionnements

Signes/manifestations

cliniques

Recherches théoriques

HypothèsesInvestigation

Validation ou

invalidation

COURS, FICHES DE REVISION

La forme « mind map » est-elle adaptée à la démarche clinique ?

Peut-on s’affranchir de la forme initiale ?

Revenons aux objectifs initiaux (1)

Favoriser l’activité de mémorisation : Par la prise en compte des 3 grands principes de la

mémoire : les images, les associations et la localisation Par l’utilisation des procédés mnémotechniques

Revenons aux objectifs initiaux (2)

Favoriser l’activité de compréhension : En favorisant la mise en lien des informations En détaillant les usages possibles de chaque

notion/concept/formule/etc.

Revenons aux objectifs initiaux (3)

Favoriser l’activité de réflexion: En favorisant la structuration et le classement des

informations

D’autres représentations schématiques des informations seraient-elles plus pertinentes ?

Localisation, images, associations

Les cycles

1

2

34

5

Les informations chronologiques

1 2 3

Les listes

1

11

111 112

12

121

Les tableaux

Les procédés mnémotechniques

Mémoriser des « listes »

Soyez créatifs !

Images, localisation, association

www.etudier-plus-efficacement.com

A bientôt,Hélène WEBER