Gestion de la radiofréquence en IRM

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GESTION DES IMPULSIONS RADIOFREQUENCESJM EscanyeNancy - France

J Radial 2007;88:1266-1300© Éditions Françaises de Radiologie, Paris, 2007

édité par Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés

Gestion de la radiofréquence en IRM

Séance O1ganisée par le GRAMM

Séances thématiques

16 h 00

Samedi 20 octobre

Durée: 20 minutes

GESTION DE L'ABSORPTION RADIOFREQUENCE (SAR)LDarrasseOrsay - France

Responsable: Jacques Felblinger

Objectifs pédagogiquesComprendre les effets des impulsions radiofréquences utilisées enIRM (SAR, électrodes, hauts champs).

16 h 20 Durée: 20 minutes

Modérateurs: Jean-François Le Bas, Didier Dormant 16 h 40 Durée: 20 minutes

Séance organisée par la SOFMIS

Responsable: Béatrice Barreau

DISCUSSION GENERALE: GESTION DE LARADIOFREQUENCE EN IRM

Durée: 20 minutes

Durée: 10 minutes

Objectifs pédagogiquesSensibiliser les radiologues à la santé publique dans le cadre dudépistage organisé des cancers du sein.Connaître les résultats nationaux afin de corriger d'éventuellesdérives.Reconnaître certaines images correspondant à des cancers del'intervalle.Savoir s'évaluer grâce à la fIche annuelle personnelle des résultatsdans sa campagne de dépistage.Réaliser le contrôle qualité numérique et être prêt pour le dépis­tage organisé.

17 h 20

EXPERIENCES ET APPLICATIONS DE LA GESTION RFA 3T ET PLUSS LehéricyParis - France

GESTION DES CONDUCTEURS DANS LE CHAMPRADIOFREQUENCEJ FelblingerVandœuvre-lès-Nancy - France

17 h 00

Dépistage organisé du cancer du sein:évaluation des pratiques, évolutionvers le numérique

Nous consacrons cette séance aux problèmes spécifiques de laradiofréquence (RF) utilisée en IRM. En effet, le choix du typed'impulsion et de la séquence est important dans la gestion du SAR(Specifie Absorption Rate). Le passage à des champs plus élevés (3Tou plus) impose de nouvelles stratégies d'acquisition pour éviter dedépasser les limites imposées par les normes. Les séquences rapidesdu type RARE (FSE, TSE) doivent être adaptées ou remplacées àcause du train d'impulsions 180° utilisées pour le balayage del'espace de Fourier. Les techniques d'imagerie parallèle permettentde réduire ces problèmes de SAR en réduisant les temps d'acquisi­tions. Le premier exposé reprend les bases de la chaîne radiofré­quence (émission-réception) et les différences en terme d'impulsionRF pour les séquences disponibles sur le imageurs cliniques. Les dif­férentes séquences nécessitent plus ou moins d'énergie pour la for­mation de l'image. La forme et l'énergie des impulsions RF sont trèsimportantes. A titre d'exemple, une séquence du type séquence EPIutilise beaucoup moins d'énergie RF qu'une technique du type FastSpin Echo (FSE, TSE). La deuxième intervention redonne les métho­des de calculs du SAR et l'importance de la technologie de la chaîneRF d'émission. Le choix de l'antenne d'émission et de ses spécificitésintervient pour beaucoup dans la gestion du SAR. L'imagerie paral­lèle (SENSE, SMASH, GRAPPA, SPACE-RIP etc.) a permis deréduire le nombre de ligne de phase acquise, réduisant le tempsd'acquisition mais également le nombre d'impulsions radiofréquen­ces donc le SAR. De nombreuses questions se posent sur l'utilisationdes conducteurs dans ce champ radiofréquence comme (i) dans le casde dispositifs actifs implantés, (ii) pour la localisation d'électrodesimplantées, (iii) pour le recueil simultané de données électrophysio­logiques pendant l'acquisition de l'image etc. Les risques doivent êtreconnus pour essayer de les éviter. Pour terminer, un retour d'expé­rience à haut et très haut champ pour lesquels l'énergie RF est beau­coup plus élevée est donné. Le recul de certaines équipes montre qu'ilest possible de bénéficier des avantages des champs élevés en prenantquelques précautions.

Mots clés: IRM - Technique - Risque

Modérateurs: Joseph Stines, Brigitte Séradour

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