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si TROISIEME ANNEE.,.-. Né 719.

ADMIN RISTATIONa àe....Tiér .

38, Rue 4oquelaineI1 TOWIDUSE -

I:mir,.....i.oirox.rm 31-3

DLISOSINDNIENSTSS mois Ornais i ssIN rre''''' 5 0 10 f 20 fr

Étranger 9 fr. 18 fr. tilt r.

Colonies ) ' r"

Laissez donc faire!

Dans un journal quotidien, l'Euh° deParis M. Albert de Mun a déjà publiedes articles pour critiquer les projets duGouvernement contre l'exercice des li-berté. syndicales,

Qn counait la personnalité politiquede M. do Muni c'est un catholique mili-tant, un royaliste convaincu c est aussiun des cueilleurs orateurs parlementai-res. Les opinions politiques et religieu-ses qu'il défend par la parole et par laplume ne permettent pas de supposerque son intervention en faveur des or-ganisations ouvrières ait pour but defoire les affaires du Parla Socialiste,dant il est l'adversaire au mente titrelotes Laffemie et autres mangeurs decurés.

M. de Mun agit pour le compte de sonpropre parti, dans l'espoir de l'amenersons le drapeau monarchique les Ira-vaillants qui donnent maintenant leurconfiance aux radicaux et aux socialis-

Nods n'avons pas à nous faire d'il-lusion là-dessus. Reste ii savoir si satactique atuio les résultats qu'il en at-teint.

En ce qui concerne nos troupes, noustommes bien tranquilles. Les camara-des qui, marchent avec nous sont tropconscients, trop éclairés, pour vouloirjamais déserter tin Parti qui représentepolitiquement leur classe, qui contientdéjà dans ses rangs les éléments les plusactifs el les plus intelligents du mondedu travail lui-même. Ils savent, d'autrepart. qu'un changement dans la tortnedo Genvernernent n'aurait aucun effetsite les rapports entre le travail et lo ca-pital, puisque la propriété des grandsmoymis de production, do transport etd'échange rosterait aux mains des roisdu blé, du fer, du charbon, de la finan-ce. etc., qui sont les véritables malicesdans la société capitaliste.

Quant aux autres, à ceux qui restentembrigadés à la suite des petits états-majors radicaux, ee serait peut-être uneantre affaire si toutefois le Parti So-cialiste /l'existait pas.

Sans doute, ces travailleurs-là doi-t-en/La leonver plidôt mamaise. On leura fait espérer tant de choses, la troisiè-Me ffè..pltiqur leur b fait de si bellespromesses, qu'ils seraient petit-être dis-posés à Isti tourner le dos en voyant lesdirigeants actuels prendre toujours faitet cause pour les exploiteurs contre lessalaries; c'est d'ailleurs cela qui nous adéjà salin le boulangisme elle nationa-lisme.

Seulement, ces mêmes travailleurs fi-nissent pas s'apercevoir qu'en tout etpartout, c'est toujours le Parti Socialis-te qui prend da défense de leurs intérêtset de leurs revendications. Si bien quelorsqu'ils abandonnent le bateau radi-cal. ce n'est pas peur &embarquer surla galère orléaniste ou bonapartistec'est in notre parti, à leur propre parti,qu'ils vie/lent de préférence.

M. de Mun réussira-bit du moins àconserver à sre amis politiques leurclientèle ouvrière ? j'en doute énormé-ment. De de plus en plus, J'action desSyndicats groupés sous la seule ban-nière catholique apparait centime tut-paissante, parce qu'elle n'englobequ'une fraction du monde ouvrier; ellena peut devenir efficace qu'à la condi-tion d'unir SOU effort à celui des autresorganisations syndicales, comme celas'est fait dernièrement en Allemagnecià tous les ouvriers syndiqués d'uneimam corporation luttaient ensemblecontre un même patronat industriel.Les nécessités de la bataille économiqueréaliseront tût ou tard non seulementl'unité d'action, niais l'unité d'organi-gation prolétarien.; elle l'imposeronten dépit des efforts de la bourgeoisie,qui cherche in maintenir la division dansles rangs ouvriers,

Ces observations faites, il n'est passans intérêt de noter que le véritabledanger pour le maintien des institutionsrépublicaines vient des » républicainsde gouvernement e eux-mêmes ; on di-rait qu'ils font tout ce qu'ils peuventpour les jeter dans les bras des syndi-calistes » comme M. de Mun et ses anus

ou ce, qui ne vaut guère mieux, dessyndicalistes » anti-parlementaires et

antievelards. Et dire que c'est à nousqu'ils reprochent de » faire le jeu de laréaction » 1

Le Temps s'est indigné de l'attitudede M. de Mun. Logique avec les intérêtsde la classe qu'il représente, il accusaitle leader catholique de u faire le jeu dessocialistes t,. C'est un autre son de clo-che. Et dans l'espoir de conjurer le pé-ril, le Temps déjà nommé rappelaitqu il n'est pas de conciliation possibleentre les théories politiques et religieu-ses de M. de Mun elle socialisme

D'est possible, et c'-est toujours la mê-me chanson. Diviser pour régner, c'estun procédé qui ne date pas d'hier, etdual la bourgeoisie se %ert à son tour.Seulement, en dépit de l'horreur quelui inspire la coalition provisoire dont

oal témoin, le Temps s'accommoderaitvolontiers de l'union fraternelle descléricaux avec les frames-rmimons dont

Lafferre est le plus bel ornement, ail,eagissalt de /givrer la route aux travail-.ti'12,9 en marelle vers leur émaneipa-

on.

Paul GRADOS.

.S CIA5,%cleau

nt; sait mec quelG ténasité, nos bons radicaux,../répiitent quo /es succès soeislidtes dn der.nières élections sont dus selon l'expression dusympathique JacquesLonis Dumesnil ; e en ma-riage hybrida de l'Anarchie et de la Réaction. »

Pernd aux qui pendant de Rage mots, clamè-rent anathème antre les socialistes, figurait enbonne para ,,t, Inc vaineu, de Mai, M. Henri Mi-chel, ancien député d'Arles,

ry, ne peut pas dire cepemlaut que M. Michelsoit un typa dans le genre de Dumesnil. Autant

celui.3 se recommande par une ehealure éton-nante et soigneusement lissée autant l'autretrait Ocde se prénommer Charles plutôt que Clo-

dion.D'autre part, le Chevelu travaille dans auget'

isuiunenu ramde faim la pige à Compere.Morel,au point de vue radial, si toutefois enta existe.Tanas que le Chauve en o qualité d'ancien mens.seur représentant des agriculteurs, s'était réveilléun jour amital en chambre.

NA.Ale si l'on passait sou lenges sagace des ramMimas fabriqués par un effitier de marineandisque l'autre s'eau, à ne pascompradre tes lus.eltures :mandiste, sur la question agraire, lis ontnous Pavais Mt, un point menmuu ou plutôt unepart iman., -c'est selle 111:ts gardent aas so,attisas qui battirent l'un il y a Suit amie, etbattront l'autre rua prochaines élection,.

aans

A ussi taudis que Jacques,Louls récrimina la',Chambre, Ilenri fulminait dans les jarnanxiaidé dans e3 te besogne par son 'grand ami et pro.Octane Camille Pelletait. Mais voilà qu'il y a dixmois un siège dnatorial devient rasant dans lesBasees.Alpes. Henri Michel accourt, pose sa candi-dature amui.. G siège antre le candidat Ou

gréa aux suffraga réactionnaires, qu'ilgagna par ma répudiation savante de tout sonpas., radical et anticlérical.

CCPellet.. re sta comme deux ronds deneutosflun. Il n'a jamais uni parler es cette élection.

Quant 11 l'ancien Combiste, franc-maan, mangeurde ares, Hari Michel, il est depuis lors dans sesCatit e d'uno discrétion politique reniarquable. Ilest soumis au renouvellement dan, un., alors ilécrit volontiers sur la mutualité, /a Marine, les Re-traites, les Iumndations on la Sécheresse; mais, nelui demandes pua son opinion sur Briand, sur Com-bes, sur les lois Doumergue, sur l'Impôt sur leracnt. Ce sont là mesquineries autdesaus des-quelles il plane.

Qtousil tara neuf ans de mandat sénatorial

devant GR pent.être an trouvera.t.11 see. an.cienne opinions, mais, en attendant, il s'and dearaser). Ms bonnes grâces des cléri.ux et desooui,nitistrr Attnne, R se met en quatre pour faimIn commiseioa des députés réactionnaires du départaient et il sem absent par nagé quand ilfaudra &rafttg un vote anticlérical.

skiat0tern0alk2 pas à Dumesnil ce gni) pense

lot du mariage hybride entre la Loge et là sacris-tie, la digue targon n'aura pas le temps de no.répondre. Il est ms train de préparer un granddiscours, qui prouvera quo le radicalisme a fGtbonhar des paysans ft que le Parti saialistevit que grue aux absides de Pie X.assa_gass,

Te mua' e:.'eElt?'1er,.SOCIALISTE labOrateurs politiqueschoisis dans 1, amuie parlementaire ou parmiles penseurs et lus écrivain, du Parti Socialiste,

Pourquoi Pas ?Il parait que les directeurs des grands

réseaux sont irrités des projets gouver-nementaux sur les chemins de fer, no-tamment du projet sur l'arbitrage obli-gatoire et sur la rétroactivité des retraites.Ils se plaignent surtout que le gouverne-ment ait établi ses projets sans consulter10.0 Compagnies. Ou, du moins, elles n'au-raient' été entendues que sur leur de-mande réitérée et in extremis, quand lesprejels étalent déjà rédigea A merveille;nI ILTS gouvernement sûr de lui-même etde sa pensée ne perdrait rien en effet àconsulter, en toute indéperidauce, ceuxque ses projets de toi peuvent 31'ecler enquelque faeou cl à discuter avec eux.Mais quoi! les Compagnies ont-elles con-senti à disent, avec le, Cheminots repré-sentés par le Syndicat, n'ont-elles pasenoteuragé le gouvernement à brutalise/°les- travailleurs en greve ê liant-elles pasacclame par tous leurs jOurnaux les mé-thodes sommaires d'un ministère inca-pable de mêveyance, et qui fait alternerdo longues périodes de paresse et des ac-cès d'improvisation hasardeuse ?

Les directeurs des réseaux ont vrai-ment perdu. le drait de se plaindre. Ils seplaignent pourtant ; et l'admirable politi-que du gouvernement aura abouti à -ornerpartout le mémantentement et la méllanca.

Par malheur, les Compagnies, aigres etbuttes; vomit eSsayer, une fois de plus, desocengerssur los cheminots. Pl/les annon-eeni dépit, d'un air irrité et presque me-naeant qu'elles ne veulent pas réintiisrerles t'évoqué,. Elles bravent le pouvoir etle; DarleMent qui ont nourri leur insu-

otieloirciclls produit ses ef-fets.

Peau JAURES.

Nos CollaborateursCollaborateursNous publierons chaque jour des articles

inédits des membres du PartiNO9 Ina2c2arns PolDalques

BEDOLICE G.-E. PREVOTDéputés de Tokdome

Vincent AURIOL B. DESBALSRédacteur en sof eSacrétexa do a man s

Albert Thomas, dép. ltdes Guesde, dép.Aldy, dép. e Goude, dép.Allard, ane, dép. Léon nceate.Marius-Andre Mistral, dép.Barthe, dép. Molle, dép.Redonne, Mit Myrem, dép.Rouiason, dep. E. Poisson.Cabrol, dép. Rappoport, 2.Compère-Mord, Méo. Henri de La Forte, d.Georges Basileus. Rafkri-Dugeus. dép.Dubreuil, s. du Parti Rabaul, dép.Ferrero, an. d'Op. Ringuier, dép.Ferroul, Rognon, dFP.Jean Fontanilles Hubert Rouger, dép.Fourment, dép. Sixte-Quenin, déls.Ghesquière, dép. Vaillant dégi

reffiLLETs ROUGES

Lonical tio CatasiroliaLa série noire recommence. Le sabotage

des existences humaines continue. Si,pour la clôture de cette année et l'inaugu-ration de la prochaine, ça marche bic. Eston

jour,quatre tamponnements, quatre

morts et cinquante blessés_a Le Parquet est sur les lieux. Line en-

quille est muerte. Le préfet est au chevetdes malades. Les ttorts sont déposés dansune chapelle ardente s. Refrains connusque tout ça. Ilabiltiels clichés de journa-listes ! Piombo on eêy pensera plus et de-»min, ces clichés, on les ressortira... Mes-dames et messieurs, la séance contenuetoujours arec d'heureuses suspensions deséance...

Evidenoment, il y et un coupable. Si',otos étions en leériode de grève, vous en-lendri un beau vacarme o les saboteursprendraient pour leur Theme quelquechose de radical. El il ne faut pas déses-pérer de voir te dresser quelque Emma-m'el Brome pour maudire encore leshorreurs de la grève perlée el proposerdes sanctions contre les cheminots.

Nous pourrions, noto,..cuser systéma-tiquement les conepognees et nous risque-rions d'être pltmn près de la vérité. Deparli-pris, comme ceux qtei accusaient descheminots revoqués d'avoir, l'autre jour,prés de Paris, démoli des signaux séma-phoriques alors giee le coupable reconnuétait tout simplement une cache ont hu-meur, nous pourrions avec pl. de Veldt-tilde, faire rejaillir la responsabilité detoutes les catastrophes sas tua seides com-pagnies.

Mais notes faisons lotdours la part deechoses el, dons les malheurs que nomts dé-pkrons aujourd'hui, notes ferons la partdee brouillard. Toutefois, des circonstan-ces des accidents d'hier il ressort, arecune netteté saisissante, celle vérité depuislongtemps établie el plus que jamaisvraie t La cause principale des accidentsc'est le surmenage d'un personnel admi-rable et, neaiellemd, c'est aussi l'incom-pétence de certains employés à qui lescompagnies ont confié des postes péril-leux uniquement parce qu'ils te se con-duisirent pendant loi grève tt, nit neietexde leurs intérêts ou bien é des employésnouveaux qui sont entrés poter remplacerles révotteés.

Certes, je reconnais que le tamponne-ment dru trains de enarcIntoolié,a o Cu-eléteejae peul être de eLl'Ab.pooçA,Loeu,e, Itklbrouillard. Mais relui d'Arbiintil,o' beau-coup plets grave el celui de Marmotte elcelui de Monte.uec? soutiendra-Lon quele seul conpable est le broteillard 7

A Arbil nets, le chef 5e gare retint l'ex-press de Béotien. polir permettre le dé-gagera.' des voies encombrées, plusavant, par la collision des trains de mar-chandises. Et c'est cet express rempli de2,o)gd9cters tranquillement arrété, elfe tam-ponna effroyablement itu train omnibusqui venait après lut.

Aussitôt, le Parquet arrête le malheu-reux neécanicien. du Pain tamponneur :a Le coupable c'est lui ! s mec qu'il n'apas vu, di1-0,1,elk arrivant dat'Immuns queles voies étaient obstruées. Et on inStruitcontre lui pond homicide par imprudente...Cruelle ironie, en verité,tien nionStrueaSe I comment ! deux hom-mes qui, dans celle catastrophe, furent lespremmrs exposés d la mort auraient donc,de gaieté de (altier, avec une insoucianteétourderie, provoqué leur mort el celle desvoyageurs ! Ils déclarent, ente, qu'ils Sontrestés seer leur machine el que, très e0i1-f tants, ils entraient en gare d'Arbanntsparce que d'abord ils ne voyaient rient,cause dit brouillard, et qte'eoeseeile ils niesavaient rien. El, de fait, ce train omnibuss'arrête d toutes les stations. Comment se

qtee la gare précédente ne feet pasprévenue de l'encombrement de la gared'Arbanals. C'est très simple t Le chef decelle dernière station n'y a nullement son-gé par cule du surmenage excessif quileur est quotidiennement imposé.

El à Marmande y Une machine manu-vrait sur lie voie dee train de Mont-de-Mar-san mi l'instant précis où ce train entraitcri gare. Le mécanicien reçut l'ordre duchef de réserve et l'aiguilleur yeti avaitlaissé libre celle voie et Nagé «t'ad l'ar-rêt mobile était surchargé de besogne. Illui fut matériellement impossible Tus.-rer dterttps tous ces services d'aiguillage,Et le chef de réserve, a:coupable d'incurieet d'incompétence, si:c.-voies quel il esttut jeune intérimaire inexpérimenté qui« remplacé un vieux cheminot /Ming.,

l'enquolle l'établira-t-il e Son.L'enquête ne prouvera rien parce euec'est tadministration des citent., de ferelle-menem yod la dirige el que les par-quets s'en rapportent lOeffolirs ',entreCesses gens Olt se sen aellt pas, que dia-ble 11 aux rapports de, commissairesde surveillance administrative au servicedes. Compagnies.

Et ainsi, les sanctions de ces...miesfardes disparuilront dans le brouillard..Aux mécaniciens qui, da,na cette anarchiede t'incompétence et par la rapacité d'uneCompagnie qui aime mieux accabler sonpersone.1 surmené que réntégrer les che-minots d'expérience dont elle a besoin, àce, mécaniciens qui risquent d choqueminette de périr t'ans des detsostreS af-freux,. infligera un bldnee el le entier-netnent fermera les ne.. len instant ou-verts el troublés par les plainte, des m'ou-ranis, sur l'incurie épouvantable des puis-santes compagnies.

Il est une constatation que tous les hom-mes de bon sens et d'esprit libre doieentfaire Il a été maintes fois reconnu etrécemment encore par le gouvernementlui-même que les Compagnies sont dé-bordées. Leur personnel était, avant lagrève, insuffisant. -Aujourd'hui,. il l'estbeaucoup plus eneore par saine des 3.000révocations qui ont atteint les cherninedsles plus expérimentés puisque c'étaient

plus anciens et les meilleurs quiétaient dia 'tête des Syndicats el Da ed

été frappes par l'arbitraire et l'épodeamrdes actionnaires apeurée.

Ces catastrophes qui, en un soir, ontfont tant de victimes, sont 1111110,1rd <Ire-land en faveur de le réintégration descheminots. Ceux-ci mie furent jamais dessaboteurs. Et il ne faut pas qu'impuni,ment les Compagnies continuent ai prati-quer le plus odieux des sabotages r celuides existences humaines.

VINCENT AURIOL.

L'INTERNATIONALE

Lettre de RussieLE MOUVEMENT UNIVERSITAIRE

St-Pétersbourg, 20 décembre.Lo mouvement universitaire qui, avant l'époque

révolutionnaire, était en Raiot pendant de longuesannées, peu près l'unique mouvement antigou-vernemental reapparait de nouveau sur 10 seine. AMité du mouvement ouvrier, qui commence à se ma-nifester sous forme des grésés amsomiques, lemouvement univotsitairo redevient un fut. lm.portant de la luta contre le régime du knout..

La mort de Tolstoi et les dossières ignominiesOie bourreams tsaiens aux bagnes de Vologda etde Zerentony ont donné naissaare aux dernièresmanifestations universitaires. Ces manifestations,dont prirent d'abord /Initiative /es étudiants etles étudiantes de SaintPétersbourg, out vite ga.gné touées les salés universitaires en Russie.

Le mouvement de protestation trome sa Mlleretentissant partout. On se-rend compte que cemouvement est avant.eoureur du mouvement gé.néral et que s réastion intérieure toua° à sa fin.L.f gouvernaient en comprend bien la haute por.ton ft sels nous explique les répressions brutales etle silence imposé la presee sur ces ésénemeuns.

La fraction social-démocrate a présenté une in-terpellation S la Douma sur l'attitude des aidai.tés en est circonstances.

La député Gueguetchkory. leader de fraetionsorialdênmerate, expliqué la haute significationdes manifestations et a flétri l'attitude du gou.cernerastai et sic lu ami.. Le communiqué officielsur les événement, ne contient que acs menssonges, La brutalité polleiéro 5 l'égard des étu-diants et étudiantes a dépassé tant co qu'on peut

tapiner. La police les jettait en bas des escaliers,donnait des coups de fouet, piétinait eau quiétaient par terre. Les autorittés ta cour conduitesl'égard des étudiants eoutine à l'égard da for.eats politiques nu bagne. Le anoure imposé à lapresse eur as faits prouve bien que le gomma-nient veut achar la vérité. L'ordre du préfet depoliee anale la liberté de la presse. platementdans le massacre du 30 octobre 1905, àfais cesanoures n'arrêteront punit mouvenad qui granditpoursuit l'orateur; cette qui sèment le veut ré-coltent la temprite de la révolution t

Le social-délitas,. Pokrossky a également prisIn parole. Il rappelle que la peine du fouet vientd'être abolie même en Chine, mais qu'el/e triompheSua» la Russie a rénovée u. La jeune.e universi,raire ne peut pas se taise quand on martyrise nosmartyrs au bagne. Leur cri de protestation éveil-lera le peuple ruse. Ce moment approche

Néléùiiiii.sèfi hi majorité- réactionnaire -de laDouma à rejeté l'urgeas et a renvoyé l'interpel-lation à la coninrimion oà elle u Ré enterrée.

'Néanmoins, eette interpellation a trouvé ungrand écho partout. Dans le pays, te tout eetétouffé, la voix libre de la fraction social-démocuite ét la »0111117, qui se (oit entendre partout,prend une importance ansidérable. Son impottancegrandira osa les événements qui s'annoncent. Cars'il est encore prématuré de dire qu'i/ y a quel-que alose de changé en Russie, il est un fait amtain que la sémillon touehe à sa flue, que nous as.Ramis à un renouveau du mouvement résehttion.naira.

CHRONIQUE D'ART

Le Sculpteur Han ColiAu moment où l'aMiste catalan sa réunir SDS

cames en une exposition particulière qui auraheu à Perpignan, nous jugeons opportun d'expri-mer On toute sincérité ce que nous pensons denomme et de ses compositions.

Aussitôt non, vient à la mémoire tine phraselapidaire que prononçait le poète René Ghilcours d'Iule conférence sur G peintre célèbreMarcel Lenoir t e Et-outrés sous l'amas de médio-cres habdes à se produire, Gs solitaires hautainsstMcombent maigre les aimées de privations, dedéceptions et de travail acharné, sans qu'un regardvienne recon.itre leur effort !

Certes, Han Cal connut le labeur opiniatre,constant, peu ranunaateur ; illutta seul, sansappui, .ns conseiller et ma maitre ;les habile-tés du métier i/ les découvrit à force de patience,de recherches technique, o l'acquit ,gràce àt'assiduité de s'es âmes a enfin, cane l'effort, 3s'épura, se consolida et, aidé d'une sorte d'in-tititiom il arriva au perfectionnement. Mais quede tatonnements et d'hésitations avant de dé-couvrir le secret du Mouvement, de la Vie, deIlianimmiq et de /a Forme.

Ayant étudié et appris seul, Coli est resté Ini-tiée. et n'a done pas subi les influences néfastesqui brisent Inc énergies, effacent la personnalité,annihilent initiatives', détruisent lm inspira-dons.

Des circonstances particulières et aussi nuesanté plus que précaire défendirent à notre artistena exode vers la Vele Lumière oit il aurait puapprendre faciament, admirer les chefsserceuvre,en pénétrer la Beauté, et développer,sa cultureesthétique. II resta attaché au. sol natal qu'd aimefilialement,' mais cet amour ne lui fut pas rendu.

a Nul n'est prophète en son pays 5, dit le pro-serbe et Coli put le constater. Son talent n'étantconsacré ofricieldement par attetta OiCilrt,, atmunbrevet, aucun parchemin, aucune médaille. G pu-blic lm pouvait décemment se laisser aller l'ad-miration,

Il aurait pu avec habileté flatter le goût desmasses cl, pour plaire, faire joli, mignard etvre au heu de s'efforcer de faire Be.. li ne von-lutaas pratitucr SO11 art, aussi resta-t-il pauvre,ruais probe et consciencieux.

Il ne réclama aucune subvention- à !a ville niau "daartement pour ses études ; jamais miebourse de voyage ne lui fut votée, aucun secarsne lui fun accoude. Par contre, in vit sarissis, à côté -de lui, da artistes compatriotes tra-vail, au compte -de la municipalité et enjoliverles jardins publics de statues, de grena, de fon-taines généreusement payés. Il se réjouissait pourIre. autres de pareille aubaine, mais lui attend en.are un tel prisilege.

En ces temps de lutte à outrance oit des sculp-teurs phi, commerçants qu'artistes, plus entre-preneurs que compositeurs « réclament n le clientPour écouler un hante et Organise. de, CP2daéaPour s'adjuger une statue de vague politicien dé-funt, il faut avoir pour /es concurrencer un solideestoma plus qu'un regeste talas Et celui quios se déade pas à ces tactiques modern-style deconimis-voyageur en est réduit à /u végéGtion, àla misère-

Délicat, males., haate st sentlealenx, HanCal, me taira- peur le négoce, eut en profondeammaance bat, ces moyens de charlatanisme.11 Préféra souffrir en silence et vivre péniblementO»' Maser sa conscience droite, ira-sas son or-gues/ ou tacher sou mato répropre,

Dans ses heures dé défaillance, des artistesnotoires l'encouragement, l'aidèrent dn col sais oului mmifestèream des amitiés profondes. Cu fu-rent le peintre Etienne Terra, /e grand tattaireAristide Mana, le sculpteur Louis Ours. Ce der-nier, avec son habileté et sa science scid turales,fixa les traits d'Han Coll dans la glaise. La Mietète amaigrie par /a souffrance physique e t n'ented'allure, d'expression ct d'énergie, Dem - yeuxobservateurs y vivent, de bugs cheveux et unebarbe nagigée donnent aff visage un cachet SI,fois bohème et méphistophélique.

Dessidateur, ...Fige. paysagiste , parai-tiste, Han Coll s'est essayé à toutes !es fo mes deFart. Il peignii pour les appartement, n1 bar.D'après de superbes panneaux décoratifs 'un co-loris harmonieux, d'une composition go iSibrée.

Mais c'est dans la ,culpture ail c avecéclat, car là est sa vraie soie, sa vocation. Avechi ciseau, il exprime sa pensée, il matéria ise sonlev, et cristallise son idée.

Nous vignes de tuiplusiars médaillons lene, files au profil d'une pureté exquise, des bas-reliefs traités avec beaucoup de maitrise, es sta-tuettes longuement étudiées témoignent d' ne re-cherche du mOuvement et de la ligne.

Ses nombre. Louas pris sur le vif so d remdus avec beaucoup Oc fidélité malgré une grandesimplicité de détails, lia sont expressifs et Ma-duisent plus eut, physionomie, un casa aèreon y sent au dedans une anse lin de colla-boratenrs touGusaine eut la faveur d'êt e sty-lisé dans le pLitre par le statuaire. Nous osonsencore dans les bureaux de rédaction la ete Ocprimitif de notre camarade, avec sa ba 5m ensohite, hirsute et capricieuse.

ltan Coli éleva dans un canetière de PerPignannu monument funéraire d la man.. du comman-dant Dieudé, ;créateur de jardin; ouvriers. Surune stèle très hiératique est p/agé le Mute del'officier. Redreseée et superbe, lu tete no messeune aUtire martiale, avec un taos,' trés si'. Au-dessous, sur tut bas-reiief, nue Catalane a tristécet reconnaissante: stonléveacrs le bienfaire motsjeune enfant ipti offre des fleurs. L'emmrpIu eau. S sied glatis un lieu de rement est empreinte d'Une grande émoi on etd'une délicutc piété.

Enfin la dernière composition du sculpteur estla porte mominenta. O Syndiat agricole SiDSPropriétairee.

Il faut Mliciter la administrateurs 'avoirdoté la ville d'une intéressante culture alo s quela camelote fleurit sur tarit de façades bu rgeoi-sa témoignant de la vulgarité des goiim.

Trois snicts plus que grandeur nature c mita-ient le thème de cette tarte nmjestimuse. D'uncôté, n'est un solide pad,an . vetemenG de trassait s,ti mt repose ols' fatigues des moissons ; lagrande faux est dans ses bras La chemise échan-crée laisse voir des pectoraux puissants. L s bi-ceps et les macles accentués marquent lout tracesur ses membres vigoureux. De l'autre côté, unerobuste vendangette, la .rpette à la main, faitmie hésite dans la signe, tandis qu'a ses pie altogmopes de raitins débordent de la .11311 .

Au smiller,, superbe et puissante dans .n lé-ger costume qui permet d'admirer l'exubérancede sa chair. Cires se dresee splendide, cornu esymbmle de !a terre du Mouspilost, faon e etMme:mite.

Cm ligure, mi:pi-pat te vie, la eante t lafume. Init dé.es,est trainle l'antique avec beau-coup de ushiresse ce de"arte. Dans' lm trais del'homme et de la femme, es, Se/LASSE tradui trèssavamment le earactere catalan. Le tout est soli-dement construit et charpenté ; !es formes ensent heureuses, les contours modelés avec habi-leté, l'agencement harmonieux.

Si .us ne craignions de blesser /a modestieexigérée de l'artiste, nous dirions qu'il s'est édifiélà un arc dc triomphe.

Par gaihtre de cette uvre, Han Cal a donnéIn mesure de na wienee et a prouvé qu'il po saitfaire original et puissant.

Enfin, puisque Perpignan a toujours fait preuvede libéralité envers ses compatriotes dont les murpositions ornai, soit le Musée, soit certain rn nu-mem public, ouille, squares, pourquoi ne trrait-elne pas pareillement /c .ulptcur Coil . Neserait-il pas juste que celui-ci, frappé jumu'icidune sorte d'ostracisme, ait sa part de collabo'

à la décoration de la ville ?

Ce serait pour la cité catalane un moyen d seréhabiliter de son ingratitude envers le statuaireet eour un prétexte nouveau à. traduiremagnifiquement dans le marbre ou le bronze sonreve de Beauté.

José SAINC.MZZ,

L'ArrAin URANDUn Appel de l'Union des Syndicats

camarades .eretairesdes Syndicats,

Devant le rejet par la Cour de cassa-tion du pourvoi formulé par notre eama-rade Durand, votre action doit s'interrsi-fier, ses décisions doivmst se précipiter.

La tête de notre malheureux camaradeest en jeu, rester indifférent devant cettesituation serait un, crime.

Si nous voulons sauver Doras-d, nousdevons agir vite et frapper fort.

Le crime gouvernemental ne sera pasaccompli, si les gouvernants sentent queta classe ouvrière est prèle à entrer enaction.

La grève générale ne doit plus apparat-Ire comme une simple menace, maiscomme la realité de demain,

Pour obtenir ce résultat, le secrétariatde l'Union des Syndicats de la Seine, cou.nuque le Comité général extraordinairepour leMereredi 28 décembre, On heures et demie

précises du soir, Salle du RestaurantCoopératif, 40, rue de Bretagne.

Dans cette réunion le, mesures propresrima:cher la perpétration de l'assassinatgal de Durand seront envisagées.Des décisions précises et pratiquement

réalisables devront être la conclusion decette discussion.

Dans ces Chmonslances tragiques, nousespérons que pas Ils sent ne faillira à sondevoir, pas tin seul n'esquivera les res-ponsabilité, de l'heure présente.

De netee énergie, de rustre volonté, denotre action dépend le sort de Durand.Sachons être esses forts et assez énergi-ques pour le rendre S la Illimité et auxsiens.

Pour PUnion dm SyndicatsLes secrétaire, : Sayda, et THIPL1PR.

Pour la Grâce de DurandLA PETIT/ON DES DÉPUTES

Paris, 21 décembre.Nous avons donné, hier, le texte de la pé.

Dinan mlresisée par rertain nombre cledépute, m President de la République, de-mandant la gréa. e du Pantrier Durrend, injustintant 00(00.11111D butait par le sus de laei mure.

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NOUS apprenons avec plaisir que la pétéeLoua ote rapiderneent couvert, di, FM si-gnatures 'do toutes nuane.. D st inutile designaler que nos 7-i camarade du groupasocialiste ont apposé la leur immédiatementet qu'ils ont beaucoup aidé , Paul Mmenier, auteur drus ioM ilion, arec meitl,e bubonsion d'un grand nombre de leurs collègues.

M. Fallières restera-Lit sou d à cet ap-pel ? Vonelea4-il encore écoute les conseilsde son prestdent O, conseii el s'il n'envoiepas à Pechafaud mili ant syndics-.liste vadell l'expédier au bagne avec lm as-i,sassins .61 les voleurs de grand diamin ?

Nous vouions encore espéiam malgré quetant de foM nous ayons eu clesinusiens. 'Nous n'avons rien à attendre desgouvernants qui, pour la eonservation despri,Métgids de la cla.a capitaliste dont ilsont la garde, »Résiderou pas, élit le faut,après les fusilLades do la 'un, de faire dres-ser les échafauds sur les places publiques.

C'est, par mins-même, par fanion de toueles travaillilurs dom leurs syndicats et dansle Parti socialiste que nous nous délogeronsdu Pouvoir los larbins de la .bourgeoisie etque nous mellé°ao fin in tous les crimes,

Paris, 25 décembre.'M. Paul Meunier, député do l'Aube, s'est rendu

hier ana.:niai à l'Elysée pour renmitim mat nié.sident de la Raab:tue In reuête que .1Ddi,n.publié hier en faveur de La Prao de Dan.,secrétaire du andiese des ouvriers charbonnicaidu port du Havre. Aus noms des députés signe,taises do mette adresse que nous avons déjà donnée, il convient d'ajouter aujard'hui ceux aeMM. Reboul, Gabriel-Filen Prévit, Cacaldi,talle, Baguier, Raffin-Dugons, Meslier,Mariettm, Lenoir, Groussier, Sixte-Q.11in, LhosIn, /talée., Lefol, Bedouee, Cher., Jolly, Cotapère-Morel, Mistral, Rectos., !Renier, IffyrbensDelory, Rosier, 11..3 Ronger, minou, GhtsquiêneMain, Franklin Bouillon, G.ault, Dalbiee, Frayesine, Rome). Mominet, Gaude, Sembat, Patureau.Miraud, Sintonet, Amiard, Long, Quiatain, Guesde, Ballades, Girod, Viollette, Bouisson,Binet, Festoya, Fabre, Seeond. Tarbouriceb, Ra-eituleaud, Gillette.Arimondy, Chassaing, Vaillant,SiMon Bourély, Colliard, Andrieu, Cheusi, Fr.nest

Au député radical-socialiste de l'Aube, M. Fal-lières n'a pu quo répondre que jusqu'à' présent ledealer de l'affaire Durand ne lui asait pas leutransmis.. Il- ajouta que la signataire, .de l'aRemo que M. Paul Meunier lai remettait portavaient avoir la certitude qu'il examinerait avec luplus grand soin les pièes du dossier do cette al.;

Parie, 25 décembre.L'agitation en faveur de Durand grandit dune

tous les rade.. Ou a vu, plus haut, que M. PalMeunier avait rends hier une adr.se 5 II. Fal-lières pour demander la gréa du condamné. Deleur rôt& la synditats ne restent pas bd:ID.:nt,'Foutes les corporations ont vois un ordre du jourréelairamt la residon du promis.

Le, menebtes du Comité de la grève générale,groupement qui comprend les représemante de tou-tes Inc Bourses du travail de France, se réuniront,également mardi prochain. L'ordre dam joue pato,n Mesures à prendre où présence du rejet dupanai de Durtal

La Rochol/e. 25 d1cendoe.L'arrcstal ion dm' l'ouvrier da.gunis Gitils

laites, opérée hier mir mandat du parquetd'Orléans et non pas de Rouen. na mima vapeport avec /e meurtre de Dongé.

Gui:loch« a été arreté pour mea lre vos/ulnaire commis aux environs d Orléans.

L'inculpé proteste de son innocence.

Nos Aventures Coloniales

MAROC.Beelin. :15 décembre.

Presque .touto la presse allemande -parlede la division en detut vînt, du Icerib0i00SOIRS entre Alger et le Maroc et dom. à cepropos son. ;Ais sue notre politnjue mon.

Lu « G.ette nIe %Mass t, dit La Prameconsidére-t-clle que le moment est venu delaisser tomber le masque ? Le partage ditMaruu a tomiours êlê un des plus grands de-sh, de cette nation. C'est ridée directrice desa politique coloniale ta, .

la « Post au émit. t o Il est clair que cetteinterprétation de la politique marocaine tie-viens en grande partie b la rupture du traited'Algésiras et de ses consequeneesm, " -

Enfin la a. Taeglische-Rundschau affir-me qu'après Agadir, la n'amie veut voirjusem ou voot la patience, l'inaction de lapolitique clin maladresse des puisses:ses sisgantais..

SARARaAPris, 25 décembreLe courrier de l'Afrique occidentale arrivé

hier b Pat is a apporté la nouvelle d'un sue-ris assez important reamorté par nos armes

e un remea marocain en plein Sahara,rezzou, cmninande par Abidin ml itusoli

un de nos vieux ennemis du TaMelet, avaitété signalé comme descendsnt sur te Nigerpour y opérer ses razzias habituelles.

Le capitaine d'infanterie eolonMleceux cornumndant une petite colonne, ren-contra, le 9 novembre, le rezzou près

du'la-

tenu d'Asselagh, au nord de TombouctouI erenon fun surplis en pleine nuit. et corajile'.tement anéanti ; il comprenait au moine...,centaine da fusils.

Du roté français, il n'y a eu que trois ti-railleurs légèrement blessés. Le remou maso.coin oui fut aimi détruit est crott-on.

relutqui,/année dernière, nous Rut le rapilaineGrosdemange et plusieurs tirailleurs.

OUADAIParis, 25 décembre.

On sait que le colonel Largeau sot marli no.joindre son pmte pour remp/acer le colonel

D'autre part, hier mie à l'Esos de laséisme de la Chambre, des médits nou eauxpour une expédition, ont été demandés Par 1egouvernement à la conunission du budgetanurie d'ulgence.

Malgré quelqum résistance hon.ables,30 dans cette commi.ion assez de coloniauxpour milesmo le vote de eus erralits qüe laMiami. ratifiera dés sa rentrée, non sansi,phUeeeliourroteso..t..iaitise. fasse entendre sa

Le Sabotage Capitaliste

UN PATISSIER CONDAMNEBordeaux so deeertere.

Au mois d'août dernier une trentaine de per..unes habitant Arcaohon furent indisposasaimés asoir mange des gâteaux h la argue etque l'une d'ales mourut.

Le pâtissier qui avait vendu ces gâteaux a cameparu filer devant le tribunal merechannel pourhomicide par imprudence. Il a MM condamnéaueuv,in de prison avec sursis et agent tram

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, .,'1, inonde. adorait les raninets parti-a des restaurants de nuit, s'ennuyait

chas lui, était, maussade elaa.que fois qu'Ilfallait passer la mirée en famt,li, ou dans leannule et n'était jamais si -heureux que lors-q. mottait, sa femme en partie Due. /I était,- :able. en effet d'aimer une femme av.

.O I. Il m innilinsait avec Mme Herbelinbe ii a était conduit Mes ms mitres-

S'il trompa ea femme pendant la préau., eannée dr son mariage. elle ne s'eu aperçutpoint: croyait !angora aux diners d'affei..-. qu'il lui donnait pour prétexte quand

A giei litait. Les lendernains de, ers clin.,II m/aime, Il se montrait d'ailleurs iras mn-jans.; envers madame Ilenlelin; et il lui ef-filait ce .qui coogituait. pour lui le combleu:pdlaise.: on dieser irise épied dans un res-

tanrabt bien à ta soute, une avant-scè. disesun petit théâtre -et, mea, le théâtre, un finpulpes-en cablnetpartieulier dans un res-tamant-strês tapageur. qui lut rappelait sesf,onnas. de garçon. Il ne dédaig.it enélue

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pas d'évoquer ces fredaines dm ent sa Sem!.et lui montra un jour Seu .1,dans une méme signatute.., sur une glaceavec celui d'une demoiselle célèbre.

Madame Herlselin, la lune de miel écouléemu:manne à gemprentire. L'experienm de lavie lui. Venait peu à1 peu.

thle en eut bientôt amen irkrc la usances.de .inin Inase', elle nIarnit,aticun geai peurmile existence- de &modelle. La naissancedo sa fille Suzanne là. devra' heureusementet de sue mari et de la vie qu'il lui faisaitmener. Elle nourrit son enfant, se consurrajalousement 6.. elle, et conseilla elle-méanesun mari de se distraire un peu au dela.,avec ses amis. Dale lui disait :

hommes,. sont Pas l'aile peur es.tendre piailler les enfants.

gusanne ne padanet pal le moins du mon-de. Heureuse endaul, houle ruse, bien po,tante, este s'élevait en lin perpétuel sourire,ne se permettant, jimiques grimaces queMrepielle perçait dees &rats. 51ais ce 5'Ipsi:texte colon lequel :3f. Herbutin rctourinsà sen eerele ; et, quand Suzanne fut élevée.le pif était pms. M. fferbelin s'était rom-p:amie:g détaché' do. su tenu. ;il ne litosseuse tentative 'PC. SUpprimer cette mau-vaise baba.° des deux cLarubres qui lessèperaiedit la jasa.,"

Madames Herbelin prit ai:sèment parai dela part nu peu' Mats' dreelee de bonheurqui ;ès étdd eiveemorde. Cellii;re-nant que lu is,iélold et le véritable amour:niaient ineautpatibiça, alaam, le mua/stéré deSon niarE elle leedffleeit n'âme. un grandenfant qu'elle dmaitMacvaiDer, die5ger, sansqu'il s'en aperçut. st elaérï;ima fraternel-lement., nen pui .- de jalousie. etdo auseeptibilité,pleassée., .arisee p.s.;;;;,fuit d'antre une MM.: teâ*,.13 rtae11e,..biers autre-ment sAiuisaatesquesen dlsJos eriare,passiennémont almile.rennenu à l'amour. Elle dédaigna tous lese'1.1Pe44,q4Ul i'llatellgilifatà, Manager, de

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sen demi-Houdon et se consacra à /éduca-tion do sa Dib,.

gen mari éprouvait pour elie des si:Fila-ments semblables à cens nourrissaitpour lui. S'il n'était plus auteur/ms o elle.'Il l'aimait Weil et entendait lui offrir uneexistence heureuse. Il prétendait mèneeàion ne lui Ils pus la cour contre son gré,et il lui en donna un jour une curieusepreuve. Un élégant de l'Empire poursuivaitmadame Herbelin de ses déclarations Pas-sionnées ; madame Herbelin le repoumaitdoucement, évitant tout éclat. Son mari I ap-pria, Il ne dit rien à sa femme, ne lui de-anandn mémo aucune explication ; il pro-voqua le galant, au cerele, à propos dunequerelle de jeu, et le blessa grièvement. Safeulasse apprit le duel par les journaux. re-inerria Sern mari avec émut:. ; et il lui ditsimplement

Seyez certaine, ma ehère, que je nepermettrai jamais qu'on vous ennuie

Un vrai mari du temps de la RéprimeTrias brave, d'ailleurs, il n'aurait demandé

rentrer dans l'armée pendant la guerre;mais le geuvernenaent le 1000 15e demeurerà !a tète de son usine et de fabriquer desarmes pour la dateuse. Après la guerre, senaffaire; loreent aol stip,be e,eir, il auraitpu sne,i'esir:' à graads Pas ver, une grandefortune ; mais il depelimil.mahieureusemeinbeaucoup pour sa petate vie de lorgnon I sesplaines devenaient plus cuâteux à menurequ'II vieillissaiL L1,, par un scrupule denonsoienre, il remettait àes femme pour sontrain maison autant qu'il dépensait lui-mi,,,s.

Madame Herbelin avait les plus grandesquilles pour contluim ms ménage ; elle était

quen est eonvenu d'appeler une femmetrès en tendue...Mais elle ,seau,l les jolies elle-ses, les -tableaux, les .bibelots, %défile-cies, eq, elle dèpen.it pour ses petites jouis-sances artistique,. over la !Reine Eneilite queEtn1 mari pour lai fredaines. De telle sorte

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qu'après une vingtaine d'années oie ce ré-gime, le ménage Herbelin était dans une bellesituation, grâce à l'argent eontinuellementgagne dan, l'usine, mais n'avait pas aug-menté ses capitaux.

Herbe!. constatait parfois avec mélan-colie que seul sen petit ventre s'était ar-rondi, mais ii luttait énergiquement contrecette ironie du surL Quant a sa femme, elleavait très dranchernent vieilli. Comme seipnheveuxavaient blanehi Or benne beurs, elle'avait abdiqué, depuis longtemps dee, sesdroits de jogie femme, quoique son visagefût toujours frais es jeune. C'était sa 1111emaintenant qui devait avoir ale la coquette-

eri peur elle.Maorian. e nulle jure que vous avez tout

bonnement L'air detre poudrée !

Stara.° disait cela à sa nsère quand ellela forçait â plus jeune » ; carSuzanne était aussi coquette pour sa mèrequo peur elle-méme. Entre elles d'eus, d'ail-leure, c'était une adoration perpetueIle.

Le portrait de Suzanne pourrait ne résu-mer en peu de met, I Un bouquet dans uneauréole d'or ! Petite mignonne, graeieuee,ben., elle avait toutes !es qualités de samare, aven quelque chose do plus en, deplus mutin. El son père, qui avait aime tantet tant de petites Parisien., ne se neuve,mil pan d'en avoir suée plus séduisante.

AI/Cuite caser lé, lifeas, n'était rmtée danseette petite tête qui semblait ai legére. Simadame Herbelin s'était morale ag.norantede la vie. il n'en serait pas de même de sa;;;Ip. ,; do moins elle .nsinstait h se ma-rier, Car s'était le résultat auquel feraitconduite la contamination et la nompréhen-

dilate petites chasses l elle ne vou-lait pusse marter.I.Et, quand elle disait celasa petite figUre de poupée, sen nez délicatconnue du lourait de Siivres, sa -toute petitebouche a' feeettes et ses yeux d'un beauvert prenaient hue nnure.bienbinêtée. tan-nin que son auréole de chus -eux abouriffién

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à la confiance quelle a sfs mériter de sa clientèle.Sa vente ne se borne pas aux seuls articles scolaires su de maroquinerie,

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Que pas un ouvrier ou bourgeois ne fasse son choix avant d'avoir visitéle hall de la rue Alsace-Lorraine. Un avis ultérieur préviendra no0 concitoyensdu jour ou commencera la vente qui pourra être considérée comme un événe-ment, car les prix faciliteront l'achat à tout le monde.

Ainsi, c'est décidé : n'achetez rien rien avant d'avoir visité le Hall de laPapeterie Générale, rue Alsace-Lorraine, 44, à Toulouse.

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tremblaient de colère. Cette petit pers..,qua savait à l'Occasion, prondre une: alluresi modeste qu'un lui eût donné ! 'bon Dieusans tonfesslon, était si instruit do la viequ'elle avait deviné tout, l'existence de sainère,.eelte existence isolée, effacée. Et, dansson désir de ice pas or mysier, elle étaitpoussée par deux sentiments' . ne pas souf-trie par un lion.e, et donner à sa mère ense eon.crant a elle le /embues qu'elle n'a-vais pas eu. Elle m'ait donc bien eertaine-ment une grande préférence pour sa osIer;mais elle aimait sen pèle très tendremenl.peuteCtre peu très respectueusementpartageait l'indulgence de sa mat% pole lUi.

Pour toutes ses raieOns, le ménage Ilerbe-lin était considéré dans Paris t'OMMe unexcellent ménage, surtout, par les maris. la-nus. une scène n'avait, eu lieu dans re

ree&ie'V.;° sels l'un 0000:0n'usait

eulrsess

l'autre. F,t, en ce motnent, où des penséesIras pénibles les agitment 'tous deux, et oùmadame Herbelin se sentait même trèstée contre sun mari, ils semblaient assezcalmes, quoique supra pâles, dans sus petitman attenant à !a elimMre de madameHenbelin, au prenne, Otage de Ilsetel où ilss'étaient rendus d'une faon presqiie ma-Mainate, en quittant mademoiselle de Mont.-uenn.11

bien, mon Cmi, dismanda la -femmeaprès un nenee 1111g EllenCe.

Eh bien, ma femme ?Il y Cpt 1.10 11011iVeAU silenee ; puis ma-

dame Hernelin primença dissaton de remmi_semtiera

Qui sait si nuus n'aurid. pas pu mn-ee Pierre Sandrae de devenir uncriminel ?

I sou rhère, il ,a vidé, on l'a con-damné_Ine pale pas de votre amen rale-

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iondrmaé... Et il né.it peut-Ulm 1(0. 001.5coupable qu'on l'a cru... Le pauvre diab'ea payé bien cher un moment de balisaY avait d'autres coupables, dans son affaire...Mois la loi imputes...le devant, certainesmachinatiuns !Et tom était si hien combinéque moi, qui pourtan vois claie d'habitude,n'ai eellapriS la vérité longtempsaprès.

En prononçant ces paroles, madame Her-belin fixait un regard teps sévère sur sonmari, comme e était. Men à lui mte s'a-dresmien Icec ropretal,. 11 avait baissé tatète et trenabiait.

Enlin, pour ce qui est de ce analheuieux,continua madame Herbelin, j'al fait ce quemon eines et mon devoir me commandaient

adouei sa vie matériel° dans toute lanerstiro du possible, sans qu'il sache, datl,leur, d'où lui venaient see01112 es peOlerliee.

Vous avez. eu raison, balbutia Hinbeiin.Vous êtes si bon., ma chère ! Et je vou-drais que vous me lapiez participer. â vu,charités... Prévenez-moi quanef. vous fer.le bien..

Il essayait tout doucement, de delernmerla cons...salien ; mai, sa femme poursuivittrès froidement ;

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