pARTIR

en vacances 1... quelle joie 1 Joie particulièrementprofonde pour celles qui les ont « gagnées » par une an-née de travail, de fatigues et de soucis.Pour elles, c'est le repos et c'est surtout la LIBERTE 1Pouvoir se lever quand on veut, n'être point pressée par

l'heure, vivre avec ses enfants, à sa guise chanter et rire sansla crainte du rappel à l'ordre patronal... se vêtir comme onle veut, prendre sur soi la caresse solaire, croire que les bois,les prés et la mer immense vous appartiennent... Quel bon-heur 1

Et puis, être en vacances, c'est changer de personnalité'c'est devenir une autre femme.

L'ouvrière d'usine laisse au faubourg salopette et pous-sière; la vendeuse oublie sa robe noire, la dactylo sa blouse;chacune revêt la tenue de vacances simple et claire.

Celle que l'on porte à la plage est plus que toute autre« NIVELEUSE z. En effet, qui donc userait dire que la tra-vailleuse en short, rieuse et bien campée, est différente desfemmes vêtues comme elles (ou plutôt dévêtues...) et dont lavie se passe en farniente ?

Composée de pièces très simples e short, maillot, jupe etbain de soleil, la tenue de plage se réalise sans grands fraiset c'est pourquoi chacune d'entre nous la peut avoir.

Pour les femmes minces, short e+ bain de soleil tour à

tour pointe ou soutien-gorge sont parfaits Pour traverserle village, rentrer à l'hôtel, on prendra une jupe portefeuillebien facile à réaliser, ou le manteau de plage qui, au retour,fera un peignoir agréable.

Les jours moins chaud, le short s'accompagnera d'un

pull de laine ou d'une chemise locuste.Le pyjama conserve quelques adeptes, mais, à notre

avis, il est plus spectaculaire que pratique. En tout cas, sa

forme est droite' comme un pantalon de bonne coupe. On le

porte avec une courte veste s'arrêtant à la taille ou une ja-

quette genre smoking.La jupe-culotte de toile, assez courte, moins que le

short cependant, est plus discrète que celui-ci et convientdavantage aux femmes un peu fortes. Elle s'accompagnetrès bien d'un bain de soleil, et de plus, pourra se porter ul-

térieurement à la campagne.C'est surtout le blanc, le brique ou le bleu matelot

qu'on utilise pour les shorts. Les tons restant unis, tandis quel'imprimé s'emploie pour le manteau, la veste, le bain de so-leil, la robe.

Les différentes pièces du trousseau se prêtant à diver-es combinaisons entre elles, on peut se contenter d'un ba-

gage peu encombrant.N'oublions surtout pas, même s'il fait très chaud, d'em-

porter à la merda lainage tricoté ou du jersey de laine, carsi les promenades du soir sont charmantes, la bise s'élève vi-

te entraînant le rhume à sa suite...Germaine DEGROND.

PenemesPOW .

nissart dansles reprêsentmente donouvr. be

FactionNos ans,

Ranale, celleIit010: !sant/MO

OS camarades social...a, aryen,seau da. lo Parti oscrien Lékleont tenu samedi 2, et dunantate 28

"rietenftrettêmem'avait

Atcdc

de trais des mauve-omble forme Io Parti

c'estselsclire, tes femmes

patent voulu donner d ce

sematantes

lInter- cirelu p. Inawams

CURS LÉGERS... COIFFURESDE VACANCES

Un cc. par lb... Des sieurs partout. ILa mode ries tchéseavssues

nous avait habituées au cur de fe.trePendant, comme marchandise à vendre,bout crune cordelière de laine fermant lepulhover ou la blouse brodée.

Puis /es curs semblaient et. devenusdee garnitures que l'on ne devait plus voir.

Mai, lee voici retour, et cette fois,Ils envahissent I

Sur des costumes de plage blancs (blousett oeurte culotte, on brode des came enlaine rouge ou bleu simulant des poches.

Ailleurs, ils sont rapport. en lis. dit

LES GRANDS PRIX D>, PARISCYCLISTES

De ganche à droite r l'AllemandRICHTER egnant du Grand Prix Proies(sion.1 et le Français RENAUDIN,gagna. du Grand Prix Amateur, fent eu

tour d'honneur.

REVEILLEZ LA BILEDE VOTRE FOIE

Sans purgatifs, sans calomel Et vousbondirez du lit le malin, "gonflé à bloc".

ror

Ftérent sur une robe de .10a. et sont alors

'ineoucer'cle"trerotl'u'r7hIno'ent d'hr"'.

n`vor:: ormre;.,="lz

Pour le soir, le sac de daim est un curdans lequel on enferme le secret de laboîte à poudre.

s'in171'en't":itir'lZtalZaa',1's% t'en:bols rustique sculptés en creux ou en re-

Sur le coussin de la chambre d'entant,des coeurs de toile cirée bleue sont fixéssur de la toile orange, par taille différente.

- nette osctlect sur leur tige creur parci, un cur par M...

ronbe's"C'I'leanr/b% 'P.'er...,esPeriebPlerP

Ce/....P.a..' .18

reee'reliehE."ve'e eFréo.

écharpe de SuPS'I.r1/ay'ad'eC"

4.Paites ménager dans la hipe-culotte ou

u short, u. (roche assez grailde pour évi.ter le sac à main. sien entendu, cette no-c. ne doit p. étse trop chargée popoint déferner la silhouette.

a

trL'elre'std:ttenr.'rruPrî:' esse':lingerie blanche.

TRIBUNE DES FEMMES SOCIALISTESd. Penn, on se déroula te congréa.

ez= ,,c.rozet

erro in" e U:'7efen:4'::4qat'e acene afsociété mei..., tour est

'é par ta recherche eu profit st que

ur7, "e'nde na' Ve 88' e :di= dee.;zed,rf :mn." 2culg,; reaes de ce'systénie rendu meurtrier muiez. vvc, du rand.. de Cm d'une mani.e pries ay.talde.

"""" " "" '"""" eTnes'ne pe"Ztereeel't-o."'"'°. Proie stoin cre'ratreseratron bruset.i. sur yes de mettre ce Prohilme Létude.

're"d'e"rssii' ger'," e 'esem7e 1,0

e netéressentee raferven- ans/ ..

prod ites d f itenne oiturs 4da .2.itsdes 0.u/5,i...rit...de,

saisstAiss.."-metly el

SItous redouter le soleil, portes un

grand chapeau de paille légère blencou bis simplement garni d'un gros

grain.Ore porte aussi sur certains P.a..,

une écharpe de mousseline de soie dontks pans sentira maintenir le chapeau.

Le mouchoir paysan mie l'on pose enpointe comme les femmes de e chez mosanest peu cos-nein il garantit à la lois dusoleil et du vent.

Ore enroule une écharpe légère autourde le téte et on la noue sur le devers, à

Sm se.La résille de soie, de lin, de raphia mei

Me permet de rester toujours bien ceilfee.Redoutant k soleil seulement pour les

Yeux, on portera la visière. Celteci peutétre en matière tmnslacide, ou enéceitée

crochet en celtagal. On la fias parfoisd une pointe de tissu, ce qui mnforce sonéquilibre, le minitel.,, n'étant pas tom

"p'!!,,,rà.La coiffure de tissu. genre bourguignon.

ne, avec bavolet rigide et fond souple estpratique pour la campagne.

«an.. grosse toile Imperméabiliséeavec fermeture .1. est agréable à empor-

ternu:Mpl'Oblee,'Pà taP:eleutlise rigide.

Le Congrès des Femmes socialistes belgesreeat=ez-r,ez.v.re

,1°2:z 7n,zzee"Bard. pirtudi, raine(Pailler. «tac.

uribrefrorstria. ite kalieSeittaa Erefis "se ,

Ceintures et serre-teteen raphia

Toutes ces ceintures d'une note ori-ginale et bien moderne sont exécutéesavec des matériaux simples et peu son-feux.

CEINTURE ET RESILLE SERRE(TETE assouTi ES. Choisir du ra-

rlidri.(Pu'jr,phianaturelle et un crocher numéro 3.

Travailler avec 3 brins de raphialorsque la longueur de ceux-ci est épui-sée. ne pas nouer les brins suivants auxbrins précédents, poser le nouveau brinsur l'ancien et travailler /es deux Minsensemble sur 3 à 4 cm.

80'ecernaphi I,aroe"'fq.trsvailley maille%bassea sur 0 rapgs,

°2,1.; trr'ee°,1Utravers cette maille : reprendre /e filsur le crochet et le passer à travers les

b"»,""'Ylt "r0",". "Prendre alors une aiguille à canevas

munie de 3 br.s de raphia naturel.N011er le raphia àl'une des extrémitésde la ceeture sur la rayure supérieureet travailler ainsi. Piquer l'aiguille 3rn basses plus loin hn la faisant entrera la partie supérieure de la deuxièMerayures et ressortir lm. basse plus loinà . parUe inférieure, pins la pion.3 m. plus /oin, à la partie infé-rieure de la troisléme rayure. Retour-ner le fraye et rerendre à plus.Lorsque ce premier passage de me.naturel est terminé dans un se., faireirn deuxième passage de l'autre sens, defaçon à ee que I. brins se croisentpar rapport à la raere centrale. Ter-miner la ecinture en posa, te extrémité une boue. de bois reeouverte dem. basses en raphia et prenant un bon-ion également recouvert de raphia sur

Exécution de s résille. n., résil/ere compose d'un tour de tête de la vi-.ière et du fond. SIonter 58 m. en me(chia rouge (58 cm1, les fermer en rondet trav. sur les 58 m. ft maPles masses- I et trainé, ne pas casser le raphia; faire uneahainette de 33 m. et fixer l'extrémitéI, Cette chaînette sur le tour de tête,au point opposé à son point de départ,en l'essayant pour bien lia.daptsr. Re-venir sur ces 43 m. par 43 m. bassespour former la vistère.

Executer ensuite le fond de la resa-le ; tendre sur le tour . MM, d'un côté I

autre, 4 brins de raphia naturelde 20 /122 mn de long, fixés et arrêMe

sein dit P.0.13.Nos ami. grottpent clans les diverses

fraftÇai, t'autre eu flamand) mit 40.0®

Noue miro...accisien de reuesir surles rapporta o. nous ont êtê fourre. au

peeze:trezezerz.1:a Conte. des denrées alimentaires nde poritiqus ealaire, Ida-=

Md se traduit par Ms ebifirse que

.Niss camarea, ',MOUS e:e-eainl.

dans les m. basses du tour. Tendre en

rant les premlere da. un nud pourforner une sorte de quadrillés. Arrêterces brins de raphia sur les m. bassesdu tour en veillant à ce qu'il épouseParfaitement la forme 0. 15 tète.

Deuxième ceinture. Elle est réal,sée avec / m. 60 de très grosse ficelle.Réunir les deux .trémités de /a fi-celle blet à plat, pule assembler cesficelles l'une contre l'autre par ungrand jpoint de suriet, en laissant les2 extrernités repliées former boucle.Cela fUI, prendre 5 brins de raphia, uneaiguille et du fil beige solide. Pic,,le raphia à la base d'une boucle surles 2 ficelles, puis travailler ainsi ; en-tourer les ficelles avec le raphia etmaintenir celui-ei entre /es 2 fie..vo,,, point devant serré prenant tous

CO p OppOS , 1121

point devant serré juste entre les deuxficelles, tour maintenir raphia et re-prendre à plus. Aux extrerMtés for-mant boucle, 120 travailler que sur uneficelle en enroulant simplement le ravpli, i Parr., au rnieux à l'extrémitéde la boucle. Terminer la ceinture P.un bouton de fantaLsie se fermant dansune des boucles.

Troisième ceinture. Prendre cettefois 14 netites ficelles de 80 cin. de longchacune, du raphia naturel, rouge etvert ; recouvrir chaque ficelle de ra-phia en serr,t fortement ces bri. eten ks arrêtant solldement. Préparerainsi 10 ficelres en rouge, 2 In naturel,et 2 en vert, puis I. .sembler .traelles, deux par deux, par un point deurjet fait d' fa on aussi y,, visi-

ble que posa... ,Terminer la ceintureav un anneau de bols se fermant dans

une fusette de bois.

Nos illustrationsL'élégance aux courses d'Àu-feuil. Madeleine de Rauchprésente deux ensembles deplage dont voici les différentes

interprétations

groupées dans nos eectiona, tireraient,noua ensommireses arbre, grand profit deMellal. simila et MES certainement,t'attention d. femmes de notre pays,rait esse aussi jneizentent atlante Pa,.ces prote/entes d fois domestiques etsociaux, et leur étude MS guiderait In--f ai...entent mers M. connaissance du'sockdieme. Suzanne dl:W.1,3801,

oves

fdANGEITEITTl'ADRESSE Tonte demande do

changement d'adret.se doit être accompagnée deI franc en ilinbres-portide kt dernière Itate.,..O.:

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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dremealk

Quatre mille personnes environ ont manifesté hiercontre l'augmentation des impôts municipaux

et départementauxd'abord par un meeting ensuite par un défiléToul s'est demie dans le calme

`111111111111111111111111111m1111111111111111111B1111111111111111111111111,

Ce meeting de protestation con-tre les impôts départementaux etcanaraunar. avait provoqué d'abordla fermetm. entre 14 et 18 he..dhm très grand nombre de maga-sins, dont les exploitants suivaientIn consigne des syndicats dont ilsamment partre.A 16 heures, dans une partie de

l'ancien Pré Catelan, que la maisonAmouroux avait mis à la disposi-tion des organisateurs, se prmsaientdeux mille auddeurs. Autant setrouvaient dehors où Ils entendaientd'ailleurs fort bien grâce à de haute

A 16 heures précis., le speakerdonne la parole a M. Sicard, prési-dent de la Chambre de Commerceà qui la présidence de cette mannf.tation a été dévolue.

M. SICARD remercie ra.istancede la solidarité qu'elle manifestepar sa présence avec S. grandsakraupernents écononsig.s organisa-kerma «lu mouvement 11 déclare quetout eu acceptant le principe del'impôt, les commerçants ne peu-vent phis payer, et que pour sefare entendsu et comprendre ilsmancrent leur 801thIn jusqu'au bout.

M. ARQUE, du Bloc du PetitCornmeree, amocle son organisationà la protestation d'aujourd'hui enquelques mots vagues et obscurs.

M. GINOUILHAC, du Syndicatdes propriétaires affirme qu'il y ades revendications commun. auxpropriétaires et al...commerçants,',dent ref. d'encaisser les nou-velles chargea fiscales. Il n'admetpas qu'on décharge la feuille 00m-biennale pour surcharger d'autant lafeuille de l'Et.. Ce-déplacement nedonnerait aumm dékrevement réel.Ce qu'il faut, c'est une réductionvéritable. Et pour l'obtenir, un seulmoyen des économira et la flan.bien d'un plafond aux budgets com-munal et départemental.

Par latil ce plafond sera,t-il fixé?L'orateur ne le dit ions. Mais il

dit qu'à l'heure actuelle, pour unrevenu de 1.000 fr. la propriété fon-cière est frappée de 700 fr. d'im-pôts.

Et 11 termine par un appel àTOUS les contribuables.

M. ROQUES, au nom des arti-sans ge plaint amèremant de la pa-tente,

Il affirme que les artisans sontle plus frappes et demande pourtux un dégrevement IMMEDIAT.

lol DEBERT, au nom des méde-tins de la Ville et de la Campagnes'apitoye sur le sort de cette eom-pagaie. Les médecins, dit-il, sont leplus frappés par les impôts, et lesplus malheureux

GAUTHIER au nom des agri-culteurs de Gascogne et de Langue-dcfe (que venaient-ils faire iei ?)nous fait vite comprendre les mmtifs de sa ...se insolite.

Il invite l'assemblée à faire 00m'10e les paysans de Dorgèr..

Avec lus, la séance va prendreune allure nettement polit/g., amthkottvernementale et anti-dno-tratique.

Les organisateurs le prient d'a-/réer. ..Mais il trouve le moyen ce-pendant d'affirmer que les Fran-çais travaillent deux Imans sur troispour rEtat. (L'Imprudent avait ou-blié que l'an venait protester con-tre les impôts communaux ri Laascontre ceux de rEtat) et d'Invsterle public à s'unir aux paysans 100-cistes « pour forger une nouvelleFrance n.

Ce langage qui dépassait le cmhire dcx propos qu'an avait projetékle tenir, a eu de récho dans lafoule.

Et nons aimons à penses fine leslorganisateurs ont regretté cettemalencontreuse intervention, e tqu'ils ne rayaient point Préane.

Après lui, M. R/EUSSEC, descommerçants détaillants vient ré-clamer la suPPransion de l'octroi.L'oetroi paraît etre pour lus lasource de tous I. maux. Et il nesonge pas que pour rempla.r les7 ou 8 millions que rapporte r oc-trot il faudrait sans doute augmen-ter les imPôts.

Voici enfin M. DEJHAN, l'ors-/eus de fond de lu »eue.

m. Déjean qui est président del'association d. contribuables de

EOulouSe, veut chercher les cauSes

du ruai et leS remèdes Beau pro-gramme. On verra s'il Fa exécuté.- Pour loi le Prend. e:coup.,/ma le pi. grand c'est le corsaClet-tossa qui prend le Ponvâan Po

une vache à lait, lui demandant :subventions, secours de toutes sortoc, à propos de tout et de rien, sa-chant que relu les lui donnera pourêtre réélu.

Les seconds coupables, ce sontles élus qui ne cherchent que laréélection nt qui par Là rent pous-sés à la dépense plosu qu'à l'écono-mie. L'orateur se défend de fairele procès d'un parti, Il les englobetous dans la même critique. Legrand coupable étant au fond lesystème en vigueur.

M. Déjean serait-il fasciste etpréconisearebil, lui aussi, la man-pression du régime politique en vi-gueur ?

M. ejean précisant peu à Peuson attaque contre les pouvoirs mu-nicipaux affirme que la vie est pluschose à Toulouse que dans la ré-gi..

Et il s'en étonne et s'en indigne,feignant d'ignorer qu'il en est ai.idans le monde entier, par suite d'unrphénomène économique in-élu-cata-ire dont il nOU.S semble qu'il auraitpu tenir compte, wu n'avait pas eumre idée derrière la tête.

d'après leslel.nr-Inîtnairskeeern.g.ltrin:il 'Oublie de le faire a.si bien pourla gestion municipale que pour lagestion départementale oubliantaussi de les comparer aux gestiousdes villes et départements voisins.

Déjean ne trouve d'excusesaux administrateurs que dans leurIncompétence.

Mais alors, dit-d, s'ils sont in-compétents, pourquoi réclament-ilsIr pouvoir?

Tout le monde appréciera lapuissance de cette argumentation,qui tend à prêter à la population lamême imbécilité qu'aux clos.

Puis M. Déjean révèle que la cotemobilière est augmentée d 30 %,la patente de 33 -3, l'impôt foncierde 43 %. 'Pris d'un amour subit pour Mspropriétaires fonciers, il les pro-clame littéralemmt expropriés.

Enfin 11 Délean détaille l'ordredu jour qu'on lira plus loin.

Par là, --n voit que l'orateurs'était vanté en disant au débutqu'il alkit reshercher les causan dumal et les remèdes.

Il n'a découvert ni les premières,ni les seconds, et tout le monde l'abien senti, et au surplus nous le 'orprouverons demain.

Certes, il a fi. dit qu'il ne fai-sait pas de politique et 0.3 ne 0eposait pan en adversaire de la mu-nicipalité actuelle. Mais il a posé leproblème de telle sorte que lafausseté de cette déclaration estbientôt aPPairtle à toua.

Après lui, M. HAUDY, secrétairegéneral de la fédération du PetitCommerce a voulu terminer la réu-nion.

litoody eut usune note gaie.

utdaieo.l'amour facile, du bagout, de lablague. Tous nos hoannes d'Etatcont a ses yeux, ou des fous ou desimbécil.. Et il parle de M. Flandinaussi bien que d'Auriol et de Dala-dier.

Prenant des chiffres cueillis auhasard, il nous fait en cinq secs micours de haute finance dort le pu-blie est au-mi égayé qu'éberlué.

Ayant renguemmt insisté surl'incompétence des ministres s'oc-cupant de ce qu'ils ne connaissentpas, il conclut en nous apprerentqu'a Paris, s'est encore pire qu'etToulouse, et dans les autres gran-des villes amui, mais qu'en arri-vant dans la capitale, il n'en dirapas moins aux Parigots o « Ici onvous étrangle, mais si vo00 voulezpar surcroît vo. faire étriller,allez à Toulouse

Il een fallait pas autant pour sefaire acclamer.

Telle fût la réunion,rapportéesans acrimonie, sans pa.rtialite, avec

M. &CARD oui préside reprendIn nasale pour lire et faire adopterl' -ordre du jour suivant

ORDRE DIJ JOURLes contribuables toulousains,

rérmis le 6 juillet 1938, dace legrand ail du 2, Place Riq.t,nombre de 30.000 et representanttoutes 1m catégories de citoyesu ettoutes les activités économiquan dela cité et du département, cons-cients de leur devoir de français etde contranuablan, mars aussleurs droits reconnus par la déela-

grifteeer«IleilllealrillielleiligreMeerelliellielli du

pays,,es1

Sgettie batege d.triels l adminitations publi-e grand patsrronat, I. .-

pol /5-e ques et privées fansent le geste deconcorde en mpprimant purement

.

Aine set Mu let SUCCURSALES GASPI

Demain VendrediSon beau poisson de première fralcbeur

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trait chan le Maire, le cortège étaitratkn d. Droits de l'Homme et du rassemblé sur la place du Caps-Citoyen, tole, et ensuite Sur la p/ace St-

Protestent contre l'augmentation Ehenne p.dant que la dé:lège...3

rue président de la

Frardec'''''re

inconsidérée des impôts départe- était à la Préfecture. Monsieur le Président, 14 h. à 19 1,.. mirée à 21 h. , « /mire

rs à ceuxl'impossibilité où ils se trouvent de QUELQUES REFLEXIONS Messieurs,

Imee galons ri et a Sa bonne étoile a.

PLAZA. Pommaient de 14 h. à 19h.p des impôts supérieu

éon.,

mentaux et communaux et da. Mesdames,

dea E ' 6 nus. Cette manifestation comporte des s' mitsuffisait d'être friand de lime ; 21 h. L. Donc ... » et a UntuMer,e%el mitl.m.' unyle','--- ----".- enseignements et des réflexio.. pâtierie pour traiter en expert i '

' '330 e..I.ann ..Nous nous proposons de les sou- devant des maîtres, cette vaste et

Demandent : mettre dès demain à nos lecteurs et délicate matière, vous m'accorde1. La réduetion immédiate et au- surtout ans manifmtants, riez doit de cité parmi vous, et d..« ereede Mme i « Le Procureur Accru

artementauimpôts communaux établis au titre bl. ique de mécontcetteentem su-ent.Nous la pour votre savoureuse science. j

tomatique de le % sur I. impôts Non pas que nous sanglons à moninfi

éloquence serak intarissable,

GitUIlIRITplA

dépx et de 25 % s. 1. ns étoner de expresmon comme est nie mon admirationig I PALACE P.; ."°. " "'''' ' " P'ete San'a.

oé a, film sentimental, pIein de gaieté,

de l'année 1938 e ce avant let trouvons naturel>. Je m'en veux de n'êtreqgu'un '

' LA SALLE 01.111 FAIT VRAIMENT FRAIE SAINT-ACNE CINEMA. Ili.

Ell dans le cadre de nos profane et de faire humble fiure « Intelligence SerV;Ce Y. comparaMe ms --

a Troie Lamiers d. Bengale a . . Çan 'Dires de l'Aie ii.

tfon quelque fois tenue en suepens

Des délais de paiement impor-tants pour les contribumblan geneset de bonne foi.

Le renforcement de la tutelleadministrative et la mise en uvredu contrôle effectif et permanentdes dépenses d. départements etdes communes par les Associationsde Contribuables et /es GrandsGrolupements Economiqu. ainsique l'organisatios de la responsabi-hté personnelle des administrateursdes commmes et des départementspour fautes lourdas ou illégalitéscommises.

La refonte du régime des im-pôts départementaux et commu-nous permettant, avec us. meil-leure repartition, la diminution descentimes additionnels qui écrasent.tout particulièrement les contrib.-bl. torilo.sins.

La suppression définitive de lapolenta

a, de la cote mobi-liées sur une .releur locative réelle

DoBiefe_S-rotsd h minage à res 5.,id"'v2eft-,4ed..'' kcia, I

P-S. Bien entendu errem, peruisouhaite que votre 33e Congrès in- ... ................6. La fixation d'un plafond pour lementaire ni aucun conseiller fi.ternational dépasse en résultats,

l'impôt foncier par rapport au re. nérd, ni auevité.nn

...en, mien pal .s2i/ esd

t possible, votre admirable is h. CINEO sl .

venu net des immeubles. n'était in ',migres de l'an ernier.nsLesIa separseemioenur deel abatte- ediCependant un parlementaire est ' Vollsrares, depuis lors, réalisé de BARCAROLLEpetns s.n ile breverfu avt. taC er- chan rtndsi'l dcze rzePg,t iiesmee,see,.,..P, 7rnip/7 ff2T''''' JE N'AI PAS TUÉ LINCOLN

greasif applicable aux premières dehors, parler ou écouter, faire du isition Internationalede iseran:use:-"

..,Utranches. b MS ères pargenus norUlamait em le mort,- nie, qbe -

La réductism et l'unification Devmez qui ? sa. inpee, à loger dans la .alle de TiRgardpie_pauteEdm taux applicables saut nrapots ce- Son nom est sur toutes les lèvres. , trorPoretrve des Arts, à

Ehl oui: c'est bien lui... IL Béluell il'oceneldh fte l'Exposition /Mme. Canx 2s bureauLa suppression iminédiate des Don officie. l'ont vo, l'ont miné, selle. 'ISM.; vez ainsi montré â. la LIFIESIVINSP eirearrnF

Da prennentl'engagement de dé.- Et M. Beluel votre profession, si elle relève de la lEAN MURAT

111111111111111111111111111111111111HUMBgastronomie la plus raffinée, s'ap VIVIANE ROMANCE

dulatres,

octrois, createurs de me chere, et... sont partis. ;foule innombrable des visiteurs que 1011..1, U 1111/1/1,1,11L-

ssion s engageait ensuite sm. Fr,ancBee iygiripreseL.nta dos.imer; Son dernier modèleGrève des Employésayant été adopté,la d technique.is-

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memadon demandant ado. la ova-est nécessaire et sourtout or posant l'eest

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q a on oubl expo-:

Aujou.rd'hui, dès ee satin, lesEn dehors de quelquesns dont lafermeture apporterait sne pertur-bation et qui seront amurés par unservice réduit, les autr. bureauxseront fermés toute la matinée.

Cette décision est la co.équencede la demande formulée par le Syn-e.. et qui tondait à obier. sat. rfaâtion avant-hier soir 19 heures,foute de s,e.pg

erreekr,egirete de démons-

9/1111IBUI111111111 lllll 1111Miusail lllllll

AU CAPITOLESéance officieuse du conseil muni-

cipal jeudi 7 juillet courant, 17

IIIIIIIIIIIIIIMM111111111111111111111111:1111

Le 33e Congres

Nationalde la Pâtisserie

é

P. C. ....,..t. .. nemen n soe . r ftante

IIdes ans cris d'alarme, L ane son y,-

e n innombrbl..avaient été inventés à l'heure Mi-

LA DERNIERE JOURNEE u menuenu lt doit leur faire ap- que. les borde de filigrane de su- prospérité de la pâtisrerie.sent le sors au Pare drupe orts ou sorte et /. revet dtnn aspect feen- re à h reprises des affaires et à la dinqu: oitommAedzine,d, 1:.premnstelentiad,e15;

te mDE TRAVAUX

précier la succulenksine Youlou- icaises., ile sne asses

saine. °serti/ et tsi,e set le nynone Ste s P a:s'é offnerntee m'à 'M'Ille nenaec:ueern, de{ flia'p're'r:je' [fiel: cone'a'. 'Zan ei, e ost p0e7. and'aa I a ela i:f e:11are s-

Celle-ci s'est ouverte à la Cham- p...9. Signalons une involon- maitre dans l'art du décorateur. est donnée à M. Joye, représentant humble ro,. qu'il eut été-bre de Commerce avec le même bu- taire erre. qui s'est glissée dans Je rêve Messieurs, d'une ligne la Confédération Belge de le pâti.- uhu,é du pura d,.. te,e,,, ,.,,,eau que la veille e avait à dis.- notre compre rendu d'hier. C'est /a Maginot en miniature, offrant au .rie cusi remercie . Congrès de son mea lut cour ,,,i,kiueonLa veille on avait presque épui.... d'honneur à la Chambre de Com- des glacis et d. barrières, le tout aux congressistes et à la France. «La De tut temps, femmes et efants'ordre du jour. Cerunci appelait merce et nan la Chambre elle-mê- si tentant à 13.11 et à /a ,bouehe Brabançonne a salue re magnifique 0, , ms g po

don

oût tees pr ono or é rl'examen des économtsa d.in'e mo, on,de no. l'avions banqué. qu'on n'aurait nul besoin d'etre ar- imrrrovisation suivie aussitot de la i,, ereaaa, mad de tont teoà.

groupetmraents de conSommateurs,

le pport est PrésentéA 21 heur ka gressist. are omesPar M- LE BANQUET

tilleur pour éprouver la tentation « Marseiai a.de démarteter ce formidable apPa- Le représentant du Préfet remet- pare, r pan uommb mme

drph Lre o qn

si on a vu, come it le bon rab.es, con seil guerrier. Mais nous sm rie les

llseorganisateurs et exerrse l'b-

rivaient au Palia' de sports où les aujourd'hui si comblés et si est. sence du préfieta mar femmes. a

e forme desa ttendait un menu de choix servi par ailleurs que la ligne Maginot ,,

, vux L'homme le plus sobre et le plusPar le Grand H oorporationôtelet Tivollier. peut attendre avant de faire son 1 Une magnifique fête de nuit et ter-

. po,,,. p, Prosprie la frugal nccepte, sans trop se faire:A la table d'honneur on resta, apparition sensationnelle tout le ; miné rea ara, mo an prier, le gâteau, /equel se mange ànimrea.

quait notre ami Elles Prévot, maire temps nécessaide pour que règnede Toulouse et MM. Lombrail, con- am M monde s'il est possible, une On trouve des pàtissiers

toute heure, même sans appétit età la Cour

smller de prefecture reps entan sa. umverse denos ro. frmms des leme sa-

ter les dermfre. qu.tions ...Hes Maison Byrrh qui offrit lents regard des bastions, des remparts, aimaide réfentiOn et ièVe son verre quise tartelette.

Après la lecture de son exposé,M. Dislaire présentait au congrès

e Dvceu que

evant l'union plus que jamaisnécessaire entre tous les citoys s

no

MUMCIPaUXConfédération

intéremantde

Suède,l'A

la. l'Italie,l'Autriche,la Suisse,el'Alterne:borTchecosle., la

services municipaux sont en grève.

uveau rapport. . seer CAIWILLA HORN

et simplement tous ces grouPMnentsd'achat et Economats d'usinan sansattendre la décision de la Haute As-semblbée et rendent enfin au nom'merce régulier sa Prospérité

2. Que le projet de loi de MM.

Dommange et Dupont, députés,concernant la transformation deséconomats et groupements d'achateu coopératives régulièrement cons-tituées voté par la Chambre le 8avril dernier, soit admis par la Com-mission du Commerce du Shoot etvoté lu plus tôt par la Haute As-reenblé's dame son miaépnallta.

LE MIDI SOCIALISTE

ACTUELLEMENT

Soldes d'étéAu PRINTEMPS

de Toulouse

fendre énergiquement et Pan 1333

ET,les moyens que la loi met en leurpouvoir, I. contribuables raalheu-reux et de bonne foi.

Ils font le serment de rester unieen voc des déelsi qui devien-draient nécessaires si la sit.tionfiscale des contribuables toutou-sains n'était pas améliorée à brève eters' adjoint Vivier, trésorieréchéance. genérat ; Audi., représentant le

Pendant que la d &galion ren-'seMetz, dans un calme àarparfait

m eentreurs,de nos habitudes et de nos dans une je veux dire I 2 GRAP1W F1Lmtlibertés dém.ratiques, dans une élite de professionnels

moriene sotcsonents d'honorer leur /

Il a,oOs plaît rlea'Ols

Nos réflexions teredrontasplet mabi s'ire 'a :nac7readeni d'une

'Lek

Notre ami Ellen prèyot prononce VARIETES. Permanent de 14 h. à .. 4 a a. bda Lmooln a.

souffre le commerce et 1. remèdes. , don, ph, a r 0 hhI7G.I LE Prme./due sole immals no- os Cassas,

les commerçants à le. vraie pla.; licenciement du personnel, et qui a

,

Elles essayeront aussi de placer .jourd'hui, de l'embauchage et du DE JE. or

de donner leur véritable importance :apporté dans ses conclusions un es- KATE DE NAGY_REPRE FREINAY

tore que le rôle de contribuable in- dont, comme maire de Toulouse, 5.e,. SIMON A LERM Eà leurs doléances; et de leur mon- prit de Justice et de génermité m

grat pour tous, ne l'est peut-être ;j'ai plaisir et flerté à le féliciter. c-rpour eux autant que pour d'au- I Je salue votre nouveau Président 3

tees. .nfedéral, que vous venez de dé-Nous nous flattons que beaucoup 'signer comme le plus digne de ce -

.d'entr'eux nous remercreront de I. Planer votre anlien ei très regretté nuncavoir

TIRAVIIavoir éclairés, sans anprit partisan PréSident M. 1 m. Bran i DONALD COOKcode les avoir mis en nt

lei cl'-(/jeiln:'eggulo.iftrions evtir'ang-Prè'rees:d/e, suisune mseaunicenuvrehàenopulves.lérse.dbe 192ile2.: ,s que MM. les présidents des, .

{ heureux de ren re oplus insidieuse. t' t t "t travaux.

dent de la on u uee tres de cevalerie et ses tires de-

faaae, et plus tar Y eule préfet absent ; Guichet, press La pâtisserie a, Messieurs, ses ti-. de . vavait un e pâtimier boucheam,

L .Fédérati dSd d

' 'leire. h t r /es pâti dl ta

sseries

CARNETS DE ROUTEQuarante années de vie nubien.

Georges DUMOULIN, préfaceRené BELIN

382 'Zr _Editions de l'AVENLD!; ,1uel6t";re:C. Podal;.1,ille

Tribunal de commerce.LE CORTEGE Tout le long du banquet un dé

ein d'oCet ordre du jour a été apporté lisierx orchestre facilita la diges- CINEMAS OLYMPIA. h., 9 h. ,eodhon

à la Préfecture.efirtage, abrd à la Mairie, puis pau les fort belles exhibitions des cALLIAPALACE. Spectrale per.

do Morin a et « Le To. d. Bréa... a.

.,a suid les allées Jean-Jaurès, . A l'heure des toasts M. Guishot,uirnarn,t,da. p/s4e,',h.srràeelt9sheassa mdees21101,0s. ma,

TRIANON-PALACE. _ litaaare h

. « a.Le cortège parti de la rue Riquet splendides ballerines du Capitole. 15 h., soirée à 21 h. r « L'homme

houmaard de stmemarg, la

à -

du Capitole, la rue du Poidun t

s-de- tuation actbluellg l n l

e et remercie les . CACMONI.PALACE Pcnnanent . VOX .. P.a... de /4 h. à 19 h.e'lsce, la ette, pige, trace aeau

édérationénérae adu Sud s, Ab... a .r on dernier module

dAa r. Lafay la

. Permanent de Dors

l'Huile, la rue d'Alsace,, la rue dePerSormalltés présentes et ceux qui : 14 h. à 19 lui soirée

a

à 21 h. , « La mirée à 21 h. i « Le Roder de M...ont collaboré à l'organisation de ce . bararile: Oursins. a et Troie au Traîné- Fluason . 8e .. Madame Bevan, e.

.CINEO. 15 h., 21 th. i e Barcarolle ,

ensuite le discours suivant i 19 h. et 21 h. i « Chipée a et e Le and. OPEN. Fermeture ennuoile.olé olmienMax &annela. a. ODEON « 3.1 dem. le Snobsa

LE DISCOURS DU MOIRE « D. Nolmn a, Elvire oPpevo, Dînai«

DU TRAPUE I

laie, A. Lefaur.REX, 3 h.. 9 h. e Le Furie de

1.0a Noir a, mye Dorothr Lem., et - -0

film policier pmelonnant « Double En« r

quête a.FLORIDA. h.. unione, 3 .

',Rte., 1 fr-i 21 heures, min réduits

ke que les orateu. n'ont irm faiite et indbran.ble. nnr- DATAI LLEà chercher les ca.an du mal d LENCIEUSE Vfalre AMÉ-11'ea= ec vlr, :j rrésident fédéral,

'le:plein an canscience trrinuv_i

VOX P"zrre"Le Rosier de Mao Husson

avec FER:et:ANDEL Frankr Rossa' - Colette Darfee

MADAME BOVARYavec Valentine TISSIER

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CE COCHON DEMO00016114avecColette DARFEUIL

etLe match Axé LOITIS-

Max SOLIMELING

30, salle habituelle des résilions. ° mutilés, la supprreanon des Vos êtes, Me.ieurs , et l'en an-

la quantiont

de saréalisation.nés di- sèrent des, chefs-d'uvre si splen- NOUVEAUTESHier matin .t éé exari,inem rapportur druq»,,,o. dielan,usi rejouissa

.tnts à l'oeil, si al- !

d'ordre divers, mais ce qua a eur- iia i .- .. , re ta. atatahae... a aa_aae ...athée 3

tout retenu l'attention du congres,j,'.;-2 sf %!..nla.'e,7', a -.3,33°1-.?_ J'ARROSE MES GALONS

c'est la création d'une retraite par Lred`eia'n:eri.aolrêelnSàsàrre13-1L3.%-ilses'nen'

ella Mutuelle au décès

présenté par. pourrait être attribuée... SA B009h;BEAECHTOILE

M. DislairLe rapport

président de la Fédé-en .t ,

Les pâtissiers français furent mm- avec JEANRIEPURA010edu Nord

e, marques pour être restés, selon ii.A la suite de ce rapport, préconi- l'expression de M. Raymond Dis«

sant là suspension des versements Dire, les rois de la corporation, à 111111unimmusi lllll 11111111111111111111M11 llllll r llllll 1111111111111111111111111111111111Bà part, duo ,,0,,,,in â,,re la .iura_ lavant-garde du goût, du beau etlion eut renvoyée pour ethde 8 une 33 31-°èrel- apprendre que 1m mattr. don- sous Ch..' IX, en corporation, etcommmon. Mass d'ailleurs, que la L'on m'a dit que rnn d'antre naient en rocompense eux enfants dotés d'une charte.quantion Subsidiaire sur rélsrgisse- vous mais je n'ai pu sonnait. studieux et sages des gâtea,ux qu'ils Il fut, dès lors, admis gr. rapprenment do la retraite :d. vieux mea- san nom, et il échappe ainsi à mes aPPelaient « crue.. o, et 00. tissage d. imines Mirerrei cinq

an,.vsillveilleursà tous les commerçants .mpliments avait dressé en doute fut-il de ces clercs qui de- arnès e5001 la maitrise leur était °c-rames arrivant a lege du repos bonne place une reproduction de nonçalent malicieusement les cap- cordée, s'ils étaient capables d'êta-

nanEnnfinnverle ncrongnrenizvidenar''

notre grand stade toulousain et de tateurs d'érttages, lesquels eine- blir un e chcf-db.vre ademande la ré- ses piscines. Qu'Il soit remercié vniumeneifiest edammnsel:snborne,mbogurrticr.esn, dru dec,L ..psgalisbjereffe,,,é;ztélede,dépeelsofpopsrce.

eulsduction des emplois réservés a. pour . louable propagande. fria.li.s. Et c'est aussi Par de ment exigerait autant de vol.nesoctrois et du livre dm farines et puis aux gourmets du monde en- larges distributions de gâteaux au que rEncyclopédis à tell. en-discute de .a taxe sur les alcools, lier,

u

d a m ra es pra. , en, en jour de leur anniversaire que les os am. les Belges engeignes que n,,t,

d. vantes au monolalle, lesansl- matière de friandises ; mal. Vo. '

es stress et des diverstenus d. mamans., . ,

.. Ce

Pane la seule désig.-trots de mise en vente et les gâ- possédez d'autres Talents, et I/ faut

dislion des divers

cours est clôturé par /a gâteaux suffit cependant pourLe ...Elia peàele ...suit., à vieilles formes consacrées sous les

l'élection du pranident confer:tern" espèces de la tarte, de la brioche. M. lacquelin, président confédéral,en remplacement de M. Planque, de- de la galette, les gâteaux de soirée retrace les grandes lignes des Ira.

Draina ar reins :ii.csti,,n,,,ele ee:s y te rôt

amation, M. Jacquelm mprere m, ce-- bonheur votre adresse et vitre a« doléances de ses collègues sur ira-0501 enaortrearl

dent est élu et le congrès décide de gination. Mais les pièces montées quels pèsent de trop lourdes char- Iliai

il y a quelqu. mois. Par an- et ecrx de dessert sollieltent avec vaux do Congrès et sé fait l'écho des 000 .,,,a,,,, ,Sotr ,,,,,,,es 1,eii

ais si la IDD des gàkaux est deetenir les assism prochaines à Dijon. sont le reioraPhe du pâtissier. Ar- des fiscales. L'orateur espérant, que mesurez, les cabinaisons 1

Cette dernière séance est ensuite ch Pitrete assionné et savant leu pou-soirs t fl-'levée et les congre.nirs se regrom iningine dn constructions de

publics '

quelquefois avec trop d'appétit«,Itabeiais, qui en fait témoignage.

Préfè-rées ses contemporains étaient lele, gâteaux .

nous révèle que les friandism

cuisine bouche nain Pâtis- , P in Ifeuil-beurrede d'adue /es

confédéral ; Laffont, président du du déluge et que Noé l'Inventa . - a î . 'm'affirme' «ils datent an. 11

tTlani ae'Syndicat des Limonadiers ; Estoup pour adou,cir la rudesse du vin pur ails isVirisijs i,iir.sgs,%iLLZie jas-,

l,a: reflet, dont il ;ail Mt sora,président de /a Coopérative des ' qu'il fut le premier homme du mfra. ,eat /e,à,eora,bui.

SOMMES .2011, moins gourmandsrnonadie. ; Calandé, président do monde à déguster, que je remis iSyndicat des Boulangers ; Gayrard prêt à le croire. Les Grecs et les Lorsque le roi sortait, le patissier eine les contemponains de Rabelais Ireprésentant la Chambre de C..- HOMetrIS avaient leUrS reCettes de bouche avait la charge de (cordeau je gegerej q,..,, ,,,,.mance; Salm., d. Petits Alill.al.°I Pâtins.. les gâteaux Profanes et marier, pour la collation, de nom- Si vous ouvres avec moi l'aune, ..Eyraud et Lourbert, vice-président les gébeaux sucrés, et dans les .- breuses pik. accompeguées de bis- ne de la Haute-Garonne, vous y con. ide la Confédération ; Gaiheux, vice cri... ils plaçaient Dur la tète de cuits et de eie, doux, et rem prouve Serraavec moi du bout du doigt d .

président de la Confédération du la victime le gàteau nommé meut que, devenus indispensables, les Pà- doigt trempé de crème Chantilly .5Sud ; Charabat, président d'hou- d'où dirive, sne disaD autrefois, au lissiers étaient de taille à Satiafeke j'adore, 88 pàtisstms. pern. rusé ad,nem. ; Rieussec, au nom du petit Lycéo, Den professeur de rhétori- aux palais les plus exercés et aux es- comme la nôtre, nui compte 215,commerce ; Me Milhau, avocat de que, le mot « immoler a, t -Dinars les plus exigeimts. Aussi nul habitants, cela fait 1 pâtissier 1la Fédération ; Doria, secrétaire" Morses m'a pas dédaigné de nous 'n'est-Il otonné de les -,,,w réunis,,2.409 habitants Est-ce ipau 2 0010,

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