Il était une fois dans un immense château un boulanger. Il préparait un croissant en forme de...

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Il était une fois dans un immense château un boulanger. Il préparait un croissant en forme de lune.

Il le posa sur le rebord de la fenêtre. Mais le croissant se laissa tomber dans le jardin.

Il rencontra le gardien du château. C'était Ulrik le dragon.« - Croissant, croissant, je vais te manger! »dit le dragon.« - Non, non, écoute plutôt ma petite chanson.

Je suis le croissant, le croissant.Je suis fait avec de la farine de blé tendre.Fabriqué chez le boulanger.On m'a mis à refroidirMais j'ai mieux aimé courir.Attrape-moi si tu peux!

Il sortit du jardin et se dirigea vers la grande forêt. A travers champs il rencontra le loup. - Croissant, croissant je vais te manger! dit le loup.- Non, non, écoute plutôt ma petite chanson !

Je suis le croissant,le croissant. Je suis fait avec de la farine de blé tendre. Fabriqué chez le boulanger,j'ai rencontré le dragon. Mais j' ai mieux aimé courir.Attrape-moi si tu peux!

Il courut et prit un chemin qui s'enfonçait dans la forêt. Il rencontra le petit poucet.

« Croissant, croissant, j'ai faim... Donne- moi un bout de ton corps! » dit le Petit Poucet.Le croissant se coupa en deux et offrit sa moitié au garçon.

Il repartit en boitant sur le sentier forestier.Il rencontra le renard . - As-tu vu mes renardeaux ? » demanda le renard.  - Non, je ne les ai pas vus, mais je vais t'aider à les chercher. 

Mais, à ce moment-là, le croissant aperçut la renarde et ses petits cachés dans leur tanière. Il comprit que le rusé renard lui avait tendu un piège. Il proposa au goupil de suivre le chemin de droite pendant qu'il virait à gauche.

Vite, vite, il s'échappa.

Il arriva dans une clairière au milieu des grands sapins. Trois petits cochons dansaient et jouaient de la musique. Le croissant s'avança. Les cochons l'entourèrent en faisant une ronde.- Croissant, croissant, nous allons te manger ! chantèrent les trois frères.

Le croissant ne perdit pas la tête. D'un pas rapide, il passa entre lesjambes de Nif-Nif et s'enfuit.

Arrivé au pied d'un gros chêne, il rencontra Roland l'ogre.- Bonjour, croissant ! Comme tu es beau, comme tu es blond, comme tu es doré, Comme tu sens bon, comme tu es joli, comme tu es brillant... le flatta l'ogre.

Le croissant tout content, s’ approcha ... et MIAM !Trop tard, le croissant, fait avec la farine de blé tendredisparut.

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