New-York - Urban series

Preview:

DESCRIPTION

New-York - en gris comme en noir - un hiver à New-York

Citation preview

URBAN SERIES 52

NEW-YORK

XAVIER CANAL

URBAN SERIES

Les photos de ce ma-gazine datent de 2003 mais sa conception date de cet hiver 2013. cette ville m’a emporté par son rythme, ses lumières fugitives, ses sirènes et cette sensation unique de se glisser au milieu de l’histoire, d’en faire par-tie. NYc hier, aujourd’hui et demain sont devant nous à chaque instant. J’ai voulu résusuciter mes impressions de l’époque. Peu importe la précision du trait, les fl ous représen-tent ce qui a été gom-mé. La mémoire a fait le reste. ce qui se trame ici c’est la gamme des noirs au milieu de la lumière, les vieilles façades qui jouent avec le verre, les perspectives qui s’entre-mèlent, les passants qui se perdent dans cet uni-vers au cordeau. ce New-York myhtique est en chacun nous, comme une part de rêve, une ville à se partager.

URBAN SERIES

3

«ROCK»

«ROCK»

Rockefeller center building A R T D E c O

Top of the Rock

570étages

7

ROOM V IEW14ème

NOVOTELsur la 52ème

Tiffany & co., cartier SA, Burberry, Ermenegil-do Zegna, Gucci, Louis Vuitton, chanel, Brooks Brothers, Prada, Hermès, Salvatore Ferragamo, Bvlgari, Emilio Pucci, Ar-mani Exchange, coach Inc., Escada, Dior, Vic-toria’s Secret, Lacoste, Fendi, Sephora, Versace, Kenneth cole, Saks Fifth Avenue, H. Stern, Takashi-maya, Harry Winston, Henri Bendel, Emanuel Ungaro, Peter Fox, Bana-na Republic, Hugo Boss et Bergdorf Goodman.c ’ e s t $ $ $ $ $ a v e n u e

9

Fith5

11

G R A N D C E N T R A L TERM INAL

44(quais)

13

5933RADIO C ITY HALL

seats

THE SP IDERMAN BU ILD INGF L AT I RO N

15

THE SP IDERMAN BU ILD INGF L AT I RO N

angle 5ème et B r o a d w a y

b e a u x - a r t s s t y l e1 9 0 2

un fer à repasser de 3 3 2 0 0 0t o n n e s

l’ashcan schooll’école de la poubellepeinture américaine r é a l i s t e

et les artistes John Sloan, Everett Shinn et Ernest Law-son, ainsi que Paul cor-noyer et childe Hassam, le lithographe Joseph Pennell, l’illustrateur John Edward Jackson ainsi le cubiste Albert Gleizes.à découvrir absolument.

MIDTOWNsouth

14

33

ème

ème

Flatiron

5èm

e

FROM EMPIRE STATE BUILDING

Métropolitan Life Tower

MIDTOWNsouth

1733 Broadway

19CHRYSLER

NO COMMENT

vertige

21

VERTIGOla ville est indiffrénte à mon vertige et le vent froid et sec balaye tout.

WOLLMAN RINKromantic patinoire

232323

25

cOURBES

Start spreading the newsI am leaving todayI want to be a part of itNew York, New York

These vagabond shoesThey are longing to strayRight through the very heart of itNew York, New York

I want to wake up in that cityThat doesn’t sleepAnd find I’m king of the hillTop of the heap

My little town bluesThey are melting awayI gonna make a brand new start of itIn old New York

If I can make it thereI’ll make it anywhereIt’s up to youNew York, New York

New York, New YorkI want to wake up in that cityThat never sleepsAnd find I’m king of the hillTop of the listHead of the heapKing of the hill

These are little town bluesThey have all melted awayI am about to make a

NEW YORKNEW YORK(1931)

brand new start of itRight there in old New York

And you bet [Incom-prehensible] babyIf I can make it thereYou know, I’m gonna make it just about anywherecome on, come throughNew York, New York, New York

S O N G W R I T E R S

KANDER, JOHN/EBB, FRED

Franck Sinatra, Liza Minelli

27

29

LIKE TWEEDART DEcO(1931)

1 619 000

311 619 000vivent ici

àMANHATTAN

personnes

33

Bird

Avenue

of the

Americas

GROUND ZERO(2013) no comment

35

tranverser pour

aller voir

tranverser pour

aller voir

37

dormi rou pasl a n u i t

. . . .

39

dormi rou pasl a n u i t

. . . .

PAR IS-TEXAS ( 1984 )

41PAR IS-TEXAS ( 1984 )

43

31

45

CARNEGIE HALL. . . .

47

J’ai rêvé New York, New York city sur Hudson.

-Monsieur Lester Young, si une bombe atomiquetombait sur New York, que feriez-vous ?-J’briserais la vitrine de chez Tiffany et j’ piqueraistous les bijoux.- Monsieur Grégory corso, qu’est-ce que la puissance ?- Rester au coin d’une rue et n’attendre personne.-Bonjour Monsieur Hendrix, je suis du New York Times !- Salut, moi je suis de la planète Mars !

J’ai rêvé New York, New York city sur Hudson.

Babylone, tu te shootes et tu rêvesBabylone, tu fumes trop et tu crèves.Babylone, tu exploseras sur un graffiti de New York !Quand il pleut des cordes - Roule en FordSi tu veux faire mac - Roule en cadillacSi tu veux faire chic - Roule en BuickSi tu Rockfeller - Roule en chrysler

J’ai rêvé New York, New York city sur Hudson.

Nous étions arrivés balancés par des filins d’acierManhattan BridgeDu haut de nos chevaux nous regardions les fuméesBrooklyn bridgeDe l’asphalte, des morceaux de pneus, de la gomme et des souliersQueenborough bridgePour qu’elle puisse s’envolerGeorges Washington bridgePour qu’il n’y ait plusDe sang BloodDe sueurs SweatNi de larmes TearsSeulement le silence coincé entre mon rêve et deux océans

J’ai rêvé New York, New York city sur Hudson

Yves Simon

49

Some folks like to get away,Take a holiday from the neighborhoodHop a flight to Miami Beach or to HollywoodBut I’m takin’ a Greyhound on the Hudson River lineI’m in a New York state of mind

I’ve seen all the movie stars in their fancy cars and their limousinesBeen high in the Rockys under the evergreensI know what I’m needin’, and I don’t wanna waste more timeI’m in a New York state of mind

It was so easy livin’ day by dayOut of touch with the rhythym and bluesBut now I need a little give and takeThe New York Times, the Daily News

It comes down to reality, and it’s fine with me cause I’ve let it slideI don’t care if it’s chinatown or on RiversideI don’t have any reasonsI left them all behindI’m in a New York state of mindOh yeah

It was so easy living day by dayOut of touch with the rhythym and bluesBut now I need a little give and takeThe New York Times, the Daily NewsWho, oh, oh whoa who

It comes down to reality, and it’s fine with me cause I’ve let it slideI don’t care if it’s chinatown or on RiversideI don’t have any reasonsI left them all behindI’m in a New York state of mind

I’m just taking a Greyhound on the Hudson River linecause I’m in a, I’m in a New York state of mind

Billy Joel: New York State Of Mind

51

Un jour j’irai à New-York avec toiToutes les nuits déconnerEt voir aucun film en entier, ça va d’soiAvoir la vie partagée, tailladéeBercés par le ronron de l’air conditionnéDormir dans un hôtel délatéTraîner du côté gay et voir leurs corps se serrerVoir leurs cœurs se vider et saignerOui, saignerUn jour j’irai là -basUn jour chat, un autre RatVoir si le cœur de la ville bat en toiEt tu m’emmènerasEmmène moi !Un jour j’aurai New-York au bout des doigtsOn y jouera, tu verrasDans les clubs il fait noir, mais il ne fait pas froidn ne fait pas froid si t’y croisEt j’y crois !Les flaques de peinture sur les murs ont parfoisLa couleur des sons que tu boisEt puis c’est tellement grand que vite on oublieraQue nulle part c’est chez moi, chez toichez nous quoi !Un jour j’irai là -basUn jour chat, un autre RatVoir si le cœur de la ville bat en toiEt tu m’emmènerasEmmène-moi, mène-moi {2x}Toucher à ci, toucher à caVoir si le cœur de la ville bat en moiEt tu m’emmèneras !Emmènes moi !

Téléphone

52

Xavier canalxavier@c-carre.com