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Internet au service des associations
Première partie : définitions, chiffres et utilisations
du web pour les acteurs de la solidarité
1
Clément Trumeau, Thomas Hémery
Sommaire
Présentations des intervenants
Vos réponses au questionnaire
Quelques définitions autour d’Internet et du web²
Quelques chiffres clés
2
Qui sommes-nous ? Clément Trumeau et Thomas Hémery
[email protected] et [email protected] twitter : @baltasar et @thomscotch
Consultants chez Hopscotch nouveaux médias depuis 3 et 4 ans Animateurs de la plateforme de blogs Solidaires du monde depuis son
lancement Veille sur la communication web des ONG/associations et organisations du
développement Rédacteurs de (avec une équipe) :
http://regardsurleweb.solidairesdumonde.org http://denousavous.solidairesdumonde.org http://evenementssolidarite.solidairesdumonde.org http://rencontresolidays.solidairesdumonde.org http://rencontresdebabyloan.solidairesdumonde.org
Utilisateurs réguliers de : Twitter : @blogsolidaires et @8foisoui Facebook : http://www.facebook.com/solidaires.du.monde Delicious : http://delicious.com/solidairesdumonde.org Netvibes : http://www.netvibes.com/solidairesdumonde Dailymotion : http://www.dailymotion.com/solidairesdumonde
3
Clément Trumeau, Thomas Hémery, Romain Desjours
Vos réponses au questionnaire
(12 réponses reçues)
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Internet : une plateforme omniprésente
Internet fait partie de votre quotidien
Au-delà de la consultation, vous éditez/administrez (presque) tous des contenus
Messagerie instantanée et publications de commentaires : des usages presque standards 60 % « chattent » 40 % interviennent
dans des discussions
6
Les acteurs : première source d’info
Une confiance accordée aux acteurs associatifs 1/3 des sources citées sont
produites par les associations
Une confiance accordée à la presse généraliste Aux sites de presse
traditionnelle : Libération, Le Monde, Nouvel Observateur, La Croix
Aux sites de presse en ligne : le Post, Rue 89
Sous représentation du web 2.0 et des supports spécialisés Blogs (1), Wikipedia (2) et
Facebook (1) sont peu cités Youphil (2) Google première source
après les ONG : de l’importance d’un bon référencement
Quid des sources anglophones ?
7
Vos sites web Une forte attention
portée à la dynamisation de vos sites 44 % actualisent le site
au moins tous les jours 56 % actualisent au
moins une fois par semaine
90 % d’entre vous ont accès aux statistiques
Diversité des documents produits Cible presse :
communiqués et dossiers de presse présents sur tous les sites
Cible public : vidéos et photos pour presque la totalité des acteurs
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Le site : les thématiques
Le volontariat avant tout Plus d’1/4 des thèmes
cités fait référence aux questions de l’engagement
Des informations liées aux activités de l’association, à des événements…
La possibilité de faire un don Les 2/3 des
associations proposent la possibilité de faire un don en ligne-> le signe d’une confiance à l’égard du web
9
Les multiples de la présence de votre site
La moitié des sites présente une politique d’ouverture 4 associations présentent
plus de 6 sites qui relaient leur présence sur le web
Une forte présence sur les portails et les sites d’ONG partenaires Les deux tiers des sites sont
relayés par d’autres sites d’associations
Une présence sur les médias sociaux en construction
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RSS, les médias sociaux et vous
40 % utilisent le RSS
Tous sur Facebook ou presque… Près de 90 % des
associations ayant répondu sont présentes sur Facebook
Une utilisation croissante de Twitter
Des outils qu’il faut apprendre à maitriser 40 % d’entre vous
souhaitent mieux comprendre les réseaux sociaux et se voir indiquer les bonnes pratiques
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Rapport au public
Une volonté d’ouverture ? La majorité d’entre vous
voient dans le site un moyen de s’ouvrir
Mais 50% restent plutôt tournés vers les acteurs du monde de la solidarité
Les jeunes comme cible prioritaire : le public le plus à l’aise avec le web 2.0
2 sujets perçus comme sensibles Pour 80 % d’entre vous :
les internautes sont à la recherche d’informations générales
50 % pensent qu’ils souhaitent se renseigner sur les modalités d’un engagement
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Les mots clés décrivant vos publics cibles
Grand PublicActeurs ONGJeunes/étudiants
RetraitésSalariés
Acteurs de l’éducation
Parrains/marraines
Bénévoles
Coureurs solidaires
Compétences professionnelles
Volontariat
Humanitaires
FormationInformation
DonEducation au développement
Solidarité Engagement
Chrétien
Altruisme
Donner du sens
Valeurs
Activités
Cibles
Légende :
Thomas Hémery, Clément Trumeau
Le web² au service des associations
Quelques définitions
http://cdeniaud.canalblog.com/
Web² CMS : blogs, wikis Peer to peer Crowdsourcing Contenu généré par les
utilisateurs Tags, folksonomie et social
bookmarking Effets de réseau Flux RSS et syndication de
contenu Real time web
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Les utilisateurs fournissent des données devenant la propriété du prestataire de service
Les utilisateurs fournissent la valeur ajoutée devenant la propriété du prestataire de service
Les utilisateurs paient le prestataire de service pour avoir le droit d’utiliser et de manipuler la valeur ajoutée qu’ils ont contribué à créer
Edward Bilodeau, http://www.coolweblog.com/bilodeau
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Le principe économique du web est celui du don !
Web² = des usages & des technos
L’utilisateur au centre du site web
La dynamisation des sites
La participation de l’internaute à l’information
La multiplication des sources d’informations
La personnalisation des pages
L’avènement de l’amateur
L’explosion des sites sociaux et du partage d’informations
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La généralisation du haut débit
Le développement des CMS et des plateformes de blogs
Les flux RSS et la syndication de contenus rendent automatique l’actualisation d’une page
Ajax & javascript permettent l’actualisation d’une zone de la page sans actualiser l’intégralité de la page
Mashups
Le web² « replace l’utilisateur et ses relations avec les autres, plutôt qu’avec descontenus ou des machines, au centre de l’Internet. Le web 2.0 est résolumentrelationnel » Hubert Guillaud – Internet Actu
Trois couples de principes génériques Le partage/la viralité : possibilité de partager à n’importe quel moment
n’importe quel contenu. Le cout marginal de la diffusion tend vers 0.
La contribution/création : l’internaute est passé d’un rôle passif à un rôle
actif : publication via un blog /wiki, commentaire/avis/opinion, notation, vote, tags...
La communauté/collaboration : possibilité de se connecter, de discuter et d’engager une relation avec une infinité d’internautes (barrières linguistiques et sociales).
Les usages du web 2.0 ont débordé de la sphère digitale Individu : sociabilité, identité numérique & individuation
Brouillage des frontières personnel/professionnel, public/privé
Entreprise et organisation : marketing de la communication à la conversation
Economie de la culture/droits de propriété intellectuelle Politique : mobilisation, enjeux de contrôle et de liberté d’expression
17http://www.ted.com/talks/larry_lessig_says_the_law_is_strangling_creativity.html
Le CMS : l’automatisation de la mise en forme
sur les blogs, wikis et plateformes de partage
Content Management System = logiciel de gestion du contenu Edition de pages simplifiées // traitement de texte ou mail Disparition de la barrière du code HTML Gestion dynamique des contenus / dynamisation des contenus Combinaison de la création et gestion des contenus
Fonctionnalités Chaine de publication : brouillon, publication, révision,
suppression Séparation entre la gestion de la forme (CSS) et du contenu
(html) Multiplication des méthodes de rangement de l’information :
Chronologique, thématique, mots clés, utilisateurs, votes… Gestion des droits des utilisateurs // profiles Intégration multimédia Possibilité de travailler à plusieurs sur un même document
Déprofessionnalisation de la publication Le filtrage en amont par l’éditeur se décale vers un filtrage
aval du lecteur/utilisateur 18
Peer to peer : P2P, pair à pair
A l’origine : référence à l’architecture des SI Client / serveur = 1 centre de données vers de multiples
utilisateurs Peer to peer = permet une décentralisation des systèmes
Chaque ordinateur est à la fois client & serveur, récepteur & producteur
ADSL
Médiatisation par les possibilités d’échanges de fichiers audio et vidéo Architecture de distribution plus efficiente que le client /
serveur
Le P2P : nouveau paradigme d’organisation sociale ? Système de validation par les pairs // les experts Recommandations des pairs // critique des médias P2P lending P2P sleeping ou couchsurfing Le P2P énergétique ? Modèle de la longue traine appliquée à la
production d’énergies19
Crowdsourcing : l’externalisation de tâches
auprès de communautés impliquées
Approvisionnement par la foule ? Plutôt, le pouvoir des individus et des
communautés interconnectés d’apporter rapidement des solutions et des réponses.
Comme l’outsourcing, le crowdsourcing a été développé par des entreprises et institutions Le buzz, la viralité : recherches de
communications crowdsourcées
Crowdsourcing de l’information par les médias au moment des crises
Le volontariat = crowdsourcing ? Non, car ce sont des sociétés commerciales qui
sont à l’origine de ce concept
Un exemple de page : Dell Idea Storm 20
Dell Ideastorm (2007) plateforme d’aopels à projets / recueil du feedback : quels produits pour demain ?
Consultation des propositions, possibilité de poster les contenus directement sur Facebook
Interface permettant de proposer des idées (format texte)
Le système de vote (digg like) : les utilisateurs hiérarchisent l’utilité des propositions
Les réponses de Dell, et les annonces produit correspondants aux projets proposés
Aux acteurs associatifs, au secteur public de s’emparer du crowdsourcing ! Concours Libérez votre créativité contre la pauvreté, de l’ONU http://www.wecanendpoverty.eu
Contenus générés par les utilisateurs
UGC, user generated content = conséquence de la simplification et de la baisse des couts de production de diffusion de textes, d’images fixes et d’audiovisuel
Nouveaux cadres et nouvelles pratiques L’UGC utilise souvent les logiciels open source ou gratuits et la
licence Creative Commons (Lawrence Lessig) Phénomènes de remix sur le web : heurts avec la propriété
intellectuelle et le droit d’auteurs
Une quête de l’authenticité des contenus par les internautes Explosion d’une esthétique amateur sur les sites de partage Méfiance à l’égard des contenus lisses et packagés du marketing
Exemples Wikipedia, Dailymotion, Flick’r, Facebook, les blogs, le
journalisme citoyen Delicious, Digg, Netvibes = contenus organisés par les
utilisateurs22
01/01/2007
Tags et folksonomie : l’indexation des
documents par les utilisateurs
L’indexation/le référencement du web Machines / humains
Quels systèmes de classification ? Flickr permet le stockage massif des photos,
accessibles par défaut à tous Le classement : pas de répertoire, mais association
avec un ou plusieurs mots-clés libres L’utilisation des mêmes mots clés par différents
utilisateurs créée des relations automatiques entre les contenus référencés
La folksonomie, ou « social bookmarking » = le partage de liens entre différents internautes Stockage, recherche et partage de liens, accessible
à tous Système de veille mutualisée Dimension sociale : possibilité d’identifier les
utilisateurs bookmarkant les mêmes liens Accélérer une recherche d’information en repérant
des contenus déjà indexés et inter-reliés = complémentaire des moteurs de recherche 23
Effets de réseau
L'effet de réseau prévoit que l'utilité d'un bien pour un agent dépend du nombre des autres utilisateurs Par exemple, on valorisera d'autant plus l’email qu'il y aura
d'autres utilisateurs en émettant et en recevant
C'est le cas de nombreuses technologies et service de communications
Si l'utilité est positivement proportionnelle au nombre des autres utilisateurs, cela revient à dire que la valeur du réseau est d'ordre carré du nombre d’utilisateurs
Les effets de réseaux sont significatifs au-delà d'un certain taux de souscription Dès qu'on atteint ce point, le bénéfice tiré de l'usage du
service dépasse le prix payé/temps passé
Au-delà, la valorisation augmentant avec le nombre d'abonnés, de plus en plus d’utilisateurs vont être intéressés 24
Web 2.0=
Web²
Syndication de contenus et flux RSS :l’automatisation de la mise à jour
La syndication consiste à vendre le droit de reproduire un contenu ou de diffuser un programme
RSS : Rich Site Summary ou Really Simple Syndication Diffusion d’un contenu à plusieurs sites web, gratuitement sur abonnement
Le flux RSS : résumé des informations publiées sur une page, c’est-à-dire un format de fichier transporteur de données Titre, description, date, lien, image, email, commentaire…
Les blogs ont été les premiers à syndiquer leurs contenus Aujourd’hui, tout site dynamique est éditeur d’un ou plusieurs flux RSS Le podcast et le videocast s’appuient sur le RSS
De la recherche aux choix et à la sélection des sources
25
Le real time web, de l’asynchronie à la synchronie
Communication en mode synchrone Téléphone, messagerie instantanée, visioconférence, webex
Communication en mode asynchrone Mails, forums, commentaires, photos et vidéos
Alors que toutes les pages web sont à égale distance les unes des autres, c’est le temps qui devient le maitre mot du web
Le « realtime web » : ensemble de technologies et de pratiques grâce auxquelles l'utilisateur reçoit des informations au moment où elles sont publiées (cf. RSS) Il n’a donc plus à faire l’effort d’aller les chercher (Google ?) Google scanne twitter
Diffusion immédiate de l’information Messages courts, mises à jour de statuts, alertes, liens Plutôt dans la sphère personnelle et moins dans les faits
vérifiés Inflation du volume d’actualité et du temps présent Désir d’instantanéité de la réponse et phénomène d’addiction ?
26
27
Source : Christian Renaud, Technology Intelligence Group
28
« La révolution Internet dont on parle trop souvent
renvoie en grande partie aux changements des rôles
culturels et politiques des publics. »
Laurence AllardUGC 4 Politics ! De l'« empowerment » au campaigning
»
29
Source : What’s next in Media, Neil Perkin
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Médias sociaux : changement de règles
Médias de communication Médias sociaux
Espace défini par le propriétaire du média
La marque commande
Unilatéral / diffusion d’un message
La marque au centre de la création de valeur
Information et divertissement
Contenu créé par les entreprises
Espace défini par l’utilisateur
L’utilisateur contrôle
Bilatéral / participation à une conversation
Répétition du message Adaptation permanente du message
L’utilisateur au centre de lacréation de valeur
Influence et engagement
Contenu créé par l’utilisateur/co-création
Source : What’s next in Media, Neil Perkin
Thomas Hémery, Clément Trumeau
Chiffres sur les usages internationaux et français du
web
34Etude Internet Trends 2010, Morgan Stanley
35Etude Internet Trends 2010, Morgan Stanley
36Etude Internet Trends 2010, Morgan Stanley
37Etude Internet Trends 2010, Morgan Stanley
38Source : Internetworldstats.com, September 2009
Taux de pénétration d’Internet par zone géographique
39
Source : Etude Fleishman-Hillard / Harris Interactive, juin 2008
En 2009, 60 % des ménages français sont connectés au haut débit
Soit 37 millions d’internautes en France
40
La pratique quotidienne d’Internet concerne 91% des cadres supérieurs, 82% des diplômés ou 77% des titulaires des plus hauts revenus.
En revanche, moins d’un quart des retraités ou des non-diplômés, 31% des personnes au foyer et 32% des titulaires des revenus les plus bas se trouvent dans cette configuration. Après 40 ans, on ne recense plus que 39% d’individus qui se connectent chaque jour (moins de 10% à partir de 70 ans).
Fréquence de connexion à Internet(à domicile, sur le lieu de travail ou d'études, dans un lieu public ou en wi-fi, hors téléphone mobile)
- Champ : ensemble de la population -(en %)
Source : CREDOC, Enquête « Conditions de vie et Aspirations des Français », juin 2009
41
La connexion au web est fonction croissante des revenus du ménage, passant de 38% en bas de l’échelle des revenus à 91% pour ceux qui perçoivent plus de 3.100 € par mois.
Plus la personne interrogée est diplômée et plus la probabilité qu’elle accède à Internet à domicile est grande (de 36% pour les non-diplômés à 86% pour les diplômés du supérieur).
A Paris, le taux de connexion est supérieur, de 20 points, aux communes de moins de 100.000 habitants.
Le « fossé numérique »
- Taux d’équipement à Internet à domicile -(en %)
Source : CREDOC, Enquête « Conditions de vie et Aspirations des Français », juin 2009
42
23 % de la population font partie de ces réseaux L’effet d’âge est extrêmement fort : la moitié des adolescents et deux tiers des
jeunes adultes sont des habitués aux réseaux sociaux, alors qu’ils sont rares après 40 ans
Le niveau de diplôme joue un peu (35% des diplômés sont sur Facebook ou Myspace), tout comme les revenus (28% des titulaires des plus hauts revenus)
Pour 82%, les sites de réseaux sociaux devraient mieux protéger la vie privée de leurs utilisateurs
Mais surtout, pour 93%, les utilisateurs de ces sites devraient faire attention aux informations qu’ils y laissent.
Participation aux médias sociaux comme Facebook, Myspace ou Linked in (en %)
Source : CREDOC, Enquête « Conditions de vie et Aspirations des Français », juin 2009
43Comprendre et évaluer l’influence d’Internet : Étude exclusive sur le comportement des internautesau Royaume-Uni (1933 pers), en Allemagne (975 personnes) et en France (2013 personnes) : 2008
44
Thomas Hémery, Clément Trumeau, Romain Desjours
Les médias sociauxen chiffres
46
Plus de la moitié de la population mondiale a moins de 30 ans. Dans les pays riches, 96% des gens issus de la génération Y ont
rejoint un réseau social. Facebook dépasse Google en trafic hebdomadaire aux USA. Les médias sociaux sont devenus l’activité n°1 sur le web, dépassant
le porno. 1 couple sur 8, mariés en 2009 aux USA, s’est rencontré sur les
médias sociaux. Nombre d’années pour atteindre 50 millions d’utilisateurs : Radio (38
ans), TV (13 ans), Internet (4 ans), iPod (3 ans)… Facebook a gagné plus de 200 millions d’utilisateurs en moins d’un
an. Le nombre d’applications iPhone téléchargées a atteint 1 milliard en 9
mois. Nous n’avons le choix de faire ou non du Social Media. La question est
plutôt de savoir « comment nous allons le faire » ? 80% des entreprises américaines utilisent les médiaux sociaux pour
recruter. 95% d’entre eux utilisent Linkedin.Social Media Revolution 2 par Socialnomics09
47
Le segment évoluant le plus sur Facebook est les femmes de 55 à 65 ans.
50 % du trafic mobile en Angleterre est lié à Facebook. Les gens mettent à jour tout le temps, partout. Imaginez ce que cela signifie dans le cas d’une expérience client ratée ?
Les générations Y & Z commencent à considérer que les e-mails sont du passé, certaines universités arrêtent d’attribuer des comptes mails.
Le 2e moteur de recherche est Youtube. Wikipedia a plus de 15 millions d’articles. Les études la montrent
plus pertinente que l’Encyclopédie Britannica…78% des articles sont dans une autre langue que l’anglais.
Il y a plus de 200,000,000 blogs. 25 % des résultats de recherche sur les 20 premières marques
mondiales sont liés à de l’UGC (user-generated content – contenu généré par les utilisateurs).
34 % des blogueurs postent des opinions sur des produits et des marques.
Aimez-vous ce qu’ils disent sur votre marque ? Vous avez plutôt intérêt.
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L’intérêt est plus porté sur le classement des produits par les médias sociaux que par Google.
78 % des consommateurs font confiance aux recommandations de leur entourage.
14 % des consommateurs croient les publicités. Seulement 18 % des campagnes TV traditionnelles génèrent un
ROI positif. 90 % des gens qui peuvent passer la pub grâce à TIVO le font. Nous ne chercherons bientôt plus de produits et services, ils nous
trouveront via les médias sociaux. Le Social Media n’est pas un phénomène de mode, mais un
changement fondamental de communication. Les compagnies qui réussissent dans les médias sociaux écoutent
d’abord, marketent ensuite. Le ROI des médias sociaux : votre organisation existera encore
dans 5 ans La Russie a la communauté de Social Media la plus engagée avec :
6.6 heures de visite par mois, 1 307 pages vues, Vkontakte.ru est le 1er réseau social (source ComScore)
Clément Trumeau, Thomas Hémery
Résultats de l’étude NTEN sur les ONGs nord-américaines & les médias
sociauxAvril 2010
50Source : NTEN, www.nonprofitsocialnetworksurvey.com, avril 2010
Présence des ONG sur les sites sociaux
En noir : 2009En blanc : 2010
74%
43% 46%
26%
51Source : NTEN, www.nonprofitsocialnetworksurvey.com, avril 2010
Equivalent temps plein alloué aux sites sociaux
52Source : NTEN, www.nonprofitsocialnetworksurvey.com, avril 2010
Quels sont les moyens de votre promotion sur les sites sociaux ?
53
Source : NTEN, www.nonprofitsocialnetworksurvey.com, avril 2010
Sur quels sites sociaux levez-vousdes fonds ?
54
Source : NTEN, www.nonprofitsocialnetworksurvey.com, avril 2010
Quels revenus sur quels sites sociaux ?
55
Source : Idealware, Using Social Media to Meet Non Profit Goals, Février 2010
Pourquoi les ONG nord américines utilisent-elles les médias sociaux ?
