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Revue de presse IoT / Data du 01/12/2016 Bonjour, Voici la revue de presse IoT/data du 3 décembre 2016. C’est la finalisation de mon automatisation de la collecte et de la transformation des infos. Elle sera dorénavant hebdomadaire par objectif pour en avoir moins long. La meilleure solution est le format 4-5 articles. Je suis preneur des diérents contenus car cela permet d’obtenir de nouvelles sources… Bonne lecture ! Table des matières 1. EPB smart grid avoids 90 percent of expected power outages 2. Totem Power lance une plateforme multifonction pour la ville de demain - Les- SmartGrids.fr 3. Comment GE modélise la smart city avec le Français Cosmo 4. The Surprising Backbone of the Internet of Things – Backchannel 5. Amazon Web Services introduces AWS IoT Competency 6. Comment Enedis rend le réseau électrique communicant 7. Chinese IoT Edge Computing Consortium Established 8. EDF produit le clone numérique de ses centrales nucléaires 9. Google releases open source 'Cartographer' 10. EDF crée une filiale pour la maison connectée 11. En Finlande, des habitants privés de chauage suite à une attaque DDoS 12. CONNIT lève 3 millions d'euros : ça bouge dans l'écosystème IoT toulousain EPB smart grid avoids 90 percent of expected power outages by Dave Flessner Read Time: < 1 min. Despite several rounds of violent storms that raced through the area overnight, EPB's smart grid kept the electric power on for about 90 percent of Chattanooga's electricity users who would have otherwise experienced an outage, EPB spokesman John Pless said today. "Smart grid automation either prevented or automatically restored more than 23,000 customer outages, with almost 2,100 customers experiencing outages of greater than five

Revue de presse IOT/ data du 03/12/2016

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Revue de presse IoT / Data du 01/12/2016Bonjour,

Voici la revue de presse IoT/data du 3 décembre 2016.

C’est la finalisation de mon automatisation de la collecte et de la transformation des infos.Elle sera dorénavant hebdomadaire par objectif pour en avoir moins long. La meilleure solution est le format 4-5 articles.

Je suis preneur des différents contenus car cela permet d’obtenir de nouvelles sources…

Bonne lecture !

Table des matières

1. EPB smart grid avoids 90 percent of expected power outages2. Totem Power lance une plateforme multifonction pour la ville de demain - Les-

SmartGrids.fr3. Comment GE modélise la smart city avec le Français Cosmo4. The Surprising Backbone of the Internet of Things – Backchannel5. Amazon Web Services introduces AWS IoT Competency6. Comment Enedis rend le réseau électrique communicant7. Chinese IoT Edge Computing Consortium Established8. EDF produit le clone numérique de ses centrales nucléaires9. Google releases open source 'Cartographer'

10. EDF crée une filiale pour la maison connectée11. En Finlande, des habitants privés de chauffage suite à une attaque DDoS12. CONNIT lève 3 millions d'euros : ça bouge dans l'écosystème IoT toulousain

EPB smart grid avoids 90 percent ofexpected power outagesby Dave Flessner Read Time: < 1 min.

Despite several rounds of violent storms that raced through the area overnight, EPB'ssmart grid kept the electric power on for about 90 percent of Chattanooga's electricityusers who would have otherwise experienced an outage, EPB spokesman John Plesssaid today.

"Smart grid automation either prevented or automatically restored more than 23,000customer outages, with almost 2,100 customers experiencing outages of greater than five

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minutes," Pless said.

As of 4 p.m., less than 200 EPB customers were still without power "and crews willcontinue working until all the damage can be repaired and service is restored," Pless said.

The smart grid uses fiber optic communication links and intelliruptors to monitor andcontrol the flow of electricity along EPB power lines. That allows the utility to redirect theflow of power when there is an outage in a particular area.

Aided by a 2010 grant of more than $111 million from the Department of Energy, EPBinstalled the smart grid along with its fiber telecommunications network across its 600-square-mile service territory..

In response to heavy rains and winds early today, Pless said EPB crews and treecontractors also worked through the night and into today to repair damage and restoreservice to most customers affected.

Totem Power lance une plateformemultifonction pour la ville de demain -Les-SmartGrids.frSource URL: http://www.les-smartgrids.fr/innovation-et-vie-quotidienne/23112016,totem-power-lance-une-plateforme-multifonction-pour-la-ville-de-demain,1920.htmlRédigé par Mélissa Petrucci | Le 23 novembre 2016 à 18:30

La start-up américaine a mis au point un terminal qui sert à la fois de centralesolaire, de batterie de stockage, de borne WIFI et de station de recharge pour

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voiture électrique.

La transition verte serait-elle plus rapide si les installations étaient plus agréables à l’œil etmieux intégrables dans l’espace public, plutôt que cantonnées aux toits d’immeubles oude parkings comme elles le sont généralement ?

Peut-être verrions-nous s’installer davantage d’infrastructures renouvelables si cesdernières étaient en effet conçues avec davantage de style et offraient plus defonctionnalités. C’est du moins ce que pense la start-up Totem Power qui vient de lancerune nouvelle plateforme « tout en un » qui propose d’allier le design à la technologie.

Les villes grouillent déjà d’infrastructures énergétiques et d’appareils detélécommunication mais la généralisation des systèmes de communication sans fil et lamontée en puissance des véhicules électriques, combinées à une énergie propre de plusen plus abordable permettent aujourd’hui d’envisager des solutions complètes capablesde surfer sur l’innovation pour gagner en efficacité.

Dans un monde qui plébiscite de plus en plus la smart city et les services intelligents, laplateforme proposée par la société Totem Power est bien partie pour devenir une solutionincontournable aux villes de demain.

La plateforme fait office de centrale solaire, de borne de connexion WIFI, de batterie destockage d’énergie et de station de recharge pour véhicules électriques, tout cela réuni enune seule unité. Avec cette sa nouvelle installation, l’entreprise américaine veutrévolutionner la manière d’appréhender et de développer les équipements intelligents.

Premier modèle lancé dès 2017Le premier modèle Totem devrait être lancé durant l’été 2017 et sera constitué d’unsystème solaire capable de produire 5kW d’énergie, d’une batterie de 44 kWh, d’unéclairage intelligent, d’une connexion WIFI et 4G et d’une borne de recharge électrique.

Le produit a été conçu pour se marier parfaitement au paysage urbain et si sa petite taillel’empêche d’être envisagé comme une source d’énergie capable d’alimenter seule tout unimmeuble, Totem Power conviendra d’être utilisé comme une solution complémentaire,qu’il sera facile d’installer un peu partout.

« La société Totem est convaincue que le design peut fondamentalement changer lemonde. Nous menons un travail qui vise à exploiter le potentiel énorme que présente latransformation énergétique en permettant aux villes et aux entreprises d’avoir accès à dessolutions intelligentes et engageantes. Nous bâtissons la technologie des villes dedemain » explique Brian Lakamp, dirigeant-fondateur de Totem Power.

Comment GE modélise la smart city avecle Français Cosmo

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Source URL: http://www.silicon.fr/ge-modelise-smart-city-francais-cosmo-164135.htmlComment assurer la transition énergétique sans multiplier les investissements eninfrastructure ? Pour tenter de répondre à cette question, GE Grid Solutions mise sur unSim City de l’énergie, qu’il entend relier à l’IoT.

Avec la mutation du marché de l’énergie, notamment marquée par l’arrivée de moyens deproduction diffus (solaire, éolien, géothermie localisés au niveau des usagers eux-mêmes), optimiser globalement ce qui est injecté et distribué dans le réseau, à l’échelled’un écoquartier ou d’une ville, devient un sujet éminemment complexe. « Ce sont descalculs sur des systèmes de systèmes complexes », résume Laurent Schmitt, leresponsable de la stratégie smart grid de GE Grid Solutions, une joint-venture entre legéant industriel américain et Alstom spécialisée dans les outils de pilotage des réseauxénergétiques. L’optimisation en question vise, par exemple, à décaler la pointe deconsommation électrique sur le réseau – un facteur clef puisqu’il détermine sondimensionnement – en jouant sur le timing du pompage sur le réseau d’eau, activitéévidemment très gourmande en énergie.

« Nous avons fait plancher nos experts sur le sujet. Face à des systèmes habitués àtravailler par silos, nous sommes parvenus à la conclusion que l’approche devait partir duclient », explique Laurent Schmitt. Une approche qui colle précisément à celle d’un jeuneéditeur français, The Cosmo Company, une start-up fondée en 2010 et issue de travauxde recherche menés par l’ENS (Ecole normale supérieure) de Lyon et le CNRS sur lessystèmes complexes. « Si je veux comprendre la forme d’une main, je ne peux mecontenter d’aller examiner comment évolue un gène, une cellule ou un tissu. La main estun grand système qui contient des tas de sous-systèmes, en interaction, dynamiques. Laforme de la main est un phénomène émergent de ces sous-systèmes », résume un destrois co-fondateurs de l’éditeur français, Michel Morvan, dans une vidéo datant de 2014.

Confronter le modèle au réelSi The Cosmo Company (plus de 70 personnes aujourd’hui) s’est depuis éloigné de larecherche fondamentale, son outil vient titiller de très grandes entreprises, aux prisesavec des problèmes d’optimisation complexes. On trouve ainsi parmi les clients del’éditeur lyonnais RTE, SNCF, Veolia, EDF, GRT Gaz et donc GE. Ce dernier trouve dansl’outil de la start-up une modélisation à base d’agents adaptée à sa volonté d’optimiserun réseau énergétique en partant des usagers. Sur la base de la technologie desLyonnais, la co-entreprise entre GE et Alstom a donc développé un système permettantde reconstituer les contraintes d’un réseau d’énergie. Démarrée dans le cadre de l’Institutde recherche technologique System X il y a environ 3 ans, la collaboration entre GE GridSolutions et Cosmo a abouti à un premier prototype finalisé voici environ 8 mois. « Nousavons signé le premier vrai contrat d’étude il y a environ 3 mois. Nous sommes en train deconfronter nos modèles à la réalité sur le réseau de chaleur de la ville d’Andorre, avecl’énergéticien local », précise Laurent Schmitt.

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Capture d’écran de Smart Energy Planning.

Car, pour devenir réellement efficace, ce Sim City des réseaux d’énergie doit seconfronter à la réalité, donc ingérer de grands volumes de données issus de multiplessources. Une étape chronophage, confirme GE Grid Solutions. Mais pour un enjeucolossal : l’optimisation des investissements dans le réseau d’énergie, à différenteséchéances. « Le KPI financier clef d’une telle solution de planification, c’est la baisse desdépenses d’investissement nécessaires pour assurer la transition énergétique », résume leresponsable de la stratégie smart grid.

Affiner le modèle avec l’IoTPour l’heure, malgré quelques contrats d’étude (y compris en France), l’outil deplanification baptisé Smart Grid Planning n’est pas encore en mesure de fournir desindicateurs précis sur ce plan. « Sur le projet en Andorre, nous sommes encore en phasede calage du modèle. Il faut recueillir toutes les données et effectuer des réglagesprogressifs. Par ailleurs, le calage du t zéro s’avère crucial ; aujourd’hui nous travaillonsencore sur un réseau théorique », tempère Laurent Schmitt. Qui estime toutefois quel’outil devrait être en mesure de délivrer de premières indications sur l’optimisation descoûts d’ici un an.

Notons par ailleurs que GE envisage d’intégrer Smart Grid Planning à sa stratégie IoT,portée par son Paas dédié, appelé Predix. « Les données collectées par ce dernier sur leréseau énergétique réel seraient utilisées en entrée du modèle de planification, détailleLaurent Schmitt. Ce qui doit permettre d’affiner le modèle. » C’est d’ailleurs dans cettedémarche que l’industriel s’est engagé à Andorre où les infrastructures urbaines et leréseau seront connectés au Cloud afin de collecter des données sur l’état réel dusystème.

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The Surprising Backbone of the Internetof Things – BackchannelSource URL: https://backchannel.com/the-surprising-backbone-of-the-internet-of-things-4330301084b0#.90hutuonvAt the end of the recently-openedExpo Line in Los Angeles — and you’ll want to takethat snazzy light rail, because the I-10 freeway running between downtown and the coastis one of the 10 most-congested roadways in the world — you’re in Santa Monica,California. You’re at the Colorado Esplanade stop, a stunning platform of pedestrian- andbike-friendly multi-modality that feels open and available. It’s just one of many greatthings about my hometown. There is the superb weather. There is the beach and the pier.There is street life and the RAND Corporation (“We’re based in Santa Monica becausethat’s where we were founded, and it suits us”).

And there is the city’s most recent source of civic pride: its street lights and traffic signalpoles. Don’t laugh. I think of them as the Colorado Esplanade in the sky.

No, I am not celebrating their function as providers of light. Their real power comes from atransformation — into neutral platforms that provide the tools of connectivity to everyone.Very few American cities (notable exception: Atlanta) have carried out thistransmogrification, but every single one will need to. Santa Monica is showing the way: itis a city that will be able to control its future digital destiny, because it is taking acomprehensive, competition-forcing approach to the transmission of data.

Here’s why poles are generally important: for the advanced wireless transmissions(whatever 5G turns out to be) that will be central to our shared digital future, you needaccess to fiber optic cables at frequent geographic intervals. That fiber, in turn, needs tobe “dark” — meaning that it’s unlit by lasers and is just a passive transmission medium thatcan be traversed by a tsunami of 5G data. And access to that dark fiber needs to beavailable at a reasonable price.

When that reasonably priced dark fiber is connected to a pole, you can hang wirelesstransmission boxes off that pole. And if those poles are spaced no more than 200 metersapart, you can treat them as “microsites:” places for facilitating very advanced, high-capacity wireless services covering sidewalks, homes, and businesses.

The ideal pole will be like an electrical outlet in a home: available at a standard,reasonable price to any wireless carrier wanting to connect; connected to a standard wire(in the pole context, dark fiber); and incorruptible. No one—no vendor of devices orextension cords—should get better access to that outlet than anyone else, or be able toslow down someone else’s arrival on that pole. So, poles could be extremely useful.

But not all poles are the same. I’ve recently written about telephone poles (or utility poles)as places of high drama and conflict. There are special fights that go on there that areinherently unfriendly to cities, competition, and innovation. These fights are made possibleby a murky regulatory setting that is easily used by incumbent telecom companies with adeep and utterly rational interest in maintaining the status quo. Go into a meeting abouttelephone poles as a city and you’ll feel like you were the last one to come to the party: all

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the private guys in the room have gained control and can easily outmaneuver you.

Streetlights and traffic signal poles are different. They’re part of the public right of way;they’re assets that are often owned and maintained by cities themselves, or by the localpower company. With streetlights and signal poles, a city stands a chance of pushingalong a competitive and innovative world of Internet of Things and sensors and datatransmission, as long as it acts decisively to open those street lights and signal poles on astandard technical basis — again, like an electrical outlet.

Here are the three world-shaking steps Santa Monica recently took. First, SantaMonica already had dark fiber available to its streetlights and traffic signal poles becauseof its 100 gigabit CityNet network. As such, the city could make sure that all of theseconnections were working well and were reasonably priced.

Second, Santa Monica controls most of its streetlights. Southern California Edisonrecently ran a 30-month program aimed at selling those streetlights to California cities. Itwas a win-win move: SCE wanted to gradually get out of the light- and power-distributionbusiness, and cities that bought these streetlights could replace traditional streetlightswith LED bulbs. LED: lower energy use; lower maintenance costs. (The SCE programended last summer.)

But the third step was the charm: This past summer, Santa Monica adopted an ordinancerequiring that wireless carriers get access to Santa Monica’s streetlights and traffic signalpoles only on a neutral basis. It also sets design requirements for these rights-of-wayassets, emphasizing the need for nice-looking poles that conceal gear. But the importantthing is that carriers will not be able, in the words of former Santa Monica CIO Jory Wolf,to “delay or preclude” competition. The desired result: no one can lock up these poles.

Companies have figured out that streetlight access is valuable territory. As Wolf warns,“All the controversy about the telephone poles is now going to be moved to streetlightpoles. Companies are looking for exclusive rights to poles and saying they can’t co-locate[with their competitors]. They’re all hiring firms to lock up their permits and rights to asmany poles as possible, as quickly as possible, before governments can organize.”

Santa Monica’s new ordinance gets ahead of this game plan and defeats it. Streetlightaccess will be standardized and subject to a reasonable monthly fee charged by the city.

Cities that get control of their streetlights and connect them to municipally overseen,reasonably priced dark fiber can chart their own Internet of Things futures, rather thanleave their destinies in the hands of vendors whose priorities are driven (rationally) by thedesire to control whole markets and keep share prices and dividends high rather thanprovide public benefits. (Here’s a good explainer from San Jose of the role of streetlightsin the Internet of Things.)

Local governments haven’t seen the importance of their role in ensuring public benefitsfrom these advanced wireless transmissions until very recently. But I’m hoping SantaMonica’s ordinance will help them make the right decisions.

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Neutral “micro” cell sites can make very high-capacity wireless transmissions available,competitively, to everyone (and every sensor) nearby. This can and should cause anexplosion of options and new opportunities for economic growth, innovation, and humanflourishing in general. It’s a phase change. But it will only happen in a healthy, productiveway if cities swiftly put in place comprehensive plans for their streetlights and trafficsignals.

If Los Angeles, the land of the car, can build a train line, any city can figure out how tocontrol its streetlights. But cities need to act fast. The train may already have left thestation.

Amazon Web Services introduces AWSIoT CompetencySource URL: http://www.iottechnews.com/news/2016/dec/01/amazon-web-services-introduces-aws-iot-competency/Amazon Web Services (AWS) has announced the AWS IoT Competency, a program forcustomers to help find the right partners, with various companies already on board.

The Amazon Web Services blog writes that the opportunity for AWS partner network(APN) partners in the IoT space is enormous as the worldwide IoT market is forecast togrow exponentially in the future. IDC predicts that the global IoT market will grow to $1.46trillion in 2020 with a CAGR of 16.1%, while the installed base of IoT endpoints is alsoestimated to grow to more than 30 billion in 2020.

AWS is looking for more and more customers from around the world who are planning tobuild innovative IoT applications on AWS. Via its Competency Program, AWS will help itscustomers to find the right APN Partners to engage to meet their specific business needs.It also launched one of its two new AWS Competencies at the recently held AWS GlobalPartner Summit at re:Invent, the AWS IoT Competency.

The AWS IoT Competency showcases industry-leading AWS Consulting and TechnologyPartners that provide proven technology and/or implementation capabilities for a varietyof use cases including (though not limited to) intelligent factories, smart cities, energy,automotive, transportation, and healthcare.

Intel and Microchip Technology have been designated as technology partners in the Edgecategory. Partners in this category provide hardware and software ingredients used tobuild IoT devices, or finished products used in IoT solutions or applications.

MachineShop is a partner in the Gateway category. Partners in this category provide dataaggregation hardware and/or software connecting edge devices to the cloud andproviding on premise intelligence as well as connecting to enterprise IT systems.

Bsquare Corporation, C3 IoT, Splunk, PTC and Thinglogix were Platform Partners.Amdocs, Asavie, Eseye and SORACOM were the Connectivity partners.

To receive the designation of AWS IoT Competency Partners, companies must possess

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deep expertise of AWS services and skills and undergo an assessment of the security,performance, and reliability of their solutions.

Solstice, an award-winning emerging technology and innovation firm that serves Fortune500 clients, also achieved the AWS IoT Competency status.

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Comment Enedis rend le réseauélectrique communicantSource URL: http://www.lesechos.fr/pme-regions/innovateurs/0211338092479-comment-enedis-rend-le-reseau-electrique-communicant-2033976.php#Xtor=AD-6000

Comment Enedis rend le réseauélectrique communicantLe 11/10 à 06:00Comment Enedis rend le réseau électrique communicant

C'est une première mondiale. Pendant un an, Enedis (ex-ERDF) et neuf partenairesindustriels et académiques ont expérimenté, à Toulouse, une chaîne de communicationglobale sur un réseau électrique, du poste de distribution aux clients. Ce réseau, appeléSogrid, injecte du courant porteur en ligne (CPL) de 3e génération sur les câblesélectriques pour envoyer un signal numérique. Le CPL fonctionne déjà dans leslogements, mais c'est la première fois qu'il est installé sur un réseau de moyenne tension.L'expérimentation est menée depuis septembre 2015 dans 1.000 foyers, avec1.300 équipements communicants déployés, dont 1.000 compteurs intelligents. Car leréseau électrique a besoin de systèmes de communication pour piloter à distance laproduction intermittente des énergies renouvelables et optimiser la consommation.

PUBLICITÉinRead invented by Teads

« Un taux de 30 % d'énergie renouvelable est acceptable, mais il faudra trouver une

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parade pour atteindre 50 % comme le prévoit la loi sur la transition énergétique, d'oùl'expérimentation de Sogrid », explique Jean Paoletti, directeur régional d'Enedis en Midi-Pyrénées Sud. Les industriels partenaires du projet ont mis au point cinq équipementscommunicants, dont le compteur et le « smart data » concentrateur.

Pour sa part, STMicroelectronics a conçu la puce Comet, qui cumule les fonctions de4 puces dans le compteur intelligent. Cinq brevets ont été déposés, dont trois par Nexanset deux par Enedis. Le réseau Sogrid ne sera pas encore généralisé. « La configurationfinale n'est pas terminée, car nous menons 17 projets de "smart grid" », rappelle JeanPaoletti.

Laurent Marcaillou, Les Echos

Correspondant à Toulouse

Sogrid

Responsable du projet :

Jean Paoletti, directeur d'Enedis Midi-Pyrénées Sud

Partenaires : Enedis, STMicroelectronics, Nexans, Capgemini, INP Grenoble...

Montant : 27 millions d'euros, dont 12 millions de l'Ademe

Secteur : énergie

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Chinese IoT Edge Computing ConsortiumEstablishedSource URL: http://www.iotevolutionworld.com/fog/articles/427617-chinese-iot-edge-computing-consortium-established.htm

Chinese IoT Edge Computing ConsortiumEstablishedAccording to a recent release from China, a joint venture by Huawei Technologies,Shenyang Institute of Automation of Chinese Academy of Sciences, China Academy ofInformation and Communications Technology (CAICT), Intel Corporation, ARM, andiSoftStone has resulted in the Edge Computing Consortium (ECC) officially beingestablished in Beijing.

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The ECC’s stated goals include building a cooperative platform for the edge computingindustry that will give impetus to openness and collaboration in the OperationalTechnology (OT) and Information and Communications Technology (ICT) industries,nurture industrial best practices, and stimulate the healthy and sustainable developmentof edge computing.

“In the 13th Five Year Plan, China launched two national strategies, integration ofdigitization and industrialization, as well as ‘Made in China 2025,’” said Yu Haibin,Chairman of the ECC and Director of Shenyang Institute of Automation, the ChineseAcademy of Sciences. “This requires much on ICT and OT convergence. Edge Computingis key to supporting and enabling this convergence. Meanwhile, industrial development isalso facing a turning point. Industrial automation technology systems will evolve fromlayered architecture and information silos to IoT, cloud computing, and Big Data analyticsarchitecture. Amidst the evolution, edge computing will bolster distributed industrialautomatic self-control architecture. Therefore, the ECC will keep an eye on the design ofthe architecture and the choice of technical roadmap, as well as promoting industrialdevelopment through standardization. In addition, building an ecosystem will also befocused.”

The ECC is in pursuit of the OICT concept that OT, information technology (IT), andcommunications technology (CT) resources should integrate and coordinate with eachother, and stick to the spirit of consensus, unity, and win-win cooperation, to driveforward the ECC's healthy development. The ECC strives to advance cooperation amongindustry resources from government, vendors, academics, research, and customersectors.

The ECC recently published a white paper that puts emphasis on the edge computingindustry's trends and major challenges, elaborates on the definition and content of edgecomputing.

EDF produit le clone numérique de sescentrales nucléairesSource URL: http://www.silicon.fr/edf-clone-jumeau-numerique-centrales-nucleaires-164080.html

EDF produit le clone numérique de sescentrales nucléairesD’ici 2020, EDF va créer ses premiers jumeaux numériques de réacteurs nucléaires (legroupe en exploite 58 en France). Sécurité et maintenance prédictive sont au menu.

Après quatre ans de travaux de R&D, le lancement d’un programme de numérisation a été

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validé par EDF cet été. L’électricien va créer les jumeaux numériques de ses centralesnucléaires, avec des scanners laser et des photographies 3D. Dans un premier temps,d’ici 2020, les clones virtuels des premiers réacteurs construits pour chaque famille decentrales vont être réalisés.

« La grande nouveauté, c’est qu’on peut aujourd’hui simuler l’état en temps réel de noscentrales existantes, le partager avec nos fournisseurs […] et le suivre jusqu’audémantèlement », a indiqué à l’agence Reuters Pierre Beroux, directeur de la transitionnumérique industrielle de la production-ingénierie chez EDF. Ces maquettes virtuellespermettront de mieux prévoir les arrêts de réacteurs et coordonner les opérations àréaliser (déconstructions futures incluses) entre les équipes d’EDF, les sous-traitants et lesfournisseurs. En France, la production électrique repose à plus de 76 % sur le nucléaire.

1 million d’euros par clone« On ne sait pas aujourd’hui si la logique nous conduira à moyen terme – dans cinq ou sixans – à faire une maquette pour chaque centrale ou si le groupe utilisera une maquette deréférence pour chaque sous-palier », a déclaré Pierre Beroux mercredi. Le Chief digitalofficer (CDO) a néanmoins précisé que les premiers jumeaux numériques d’EDFcoûteraient chacun 1 million d’euros environ.

Ce coût fait partie du budget « grand carénage » d’EDF, un programme d’investissementde plus de 50 milliards d’euros sur la période 2014-2025. Il doit permettre de prolonger ladurée de vie des 58 réacteurs nuclaires exploités par EDF, tout en répondant auxnouvelles normes de sûreté post-Fukushima (en référence à l’accident nucléaire japonaisdu 11 mars 2011).

Parc nucléaire françaisEDF, dont le Pdg, Jean-Bernard Lévy, fut le patron de Thales, s’inspire de grands projetsmenés par le secteur aéronautique, entre autres. Et veut rester optimisme. Pourl’industriel, la numérisation n’augmente pas le risque de piratage, mais permet aucontraire de le réduire.

« Il n’y a aucune passerelle organisée entre le pilotage du réacteur et tout ce qui relève del’informatique de gestion, a indiqué Pierre Beroux. II y a une règle d’étanchéité absoluequi rend en pratique totalement impossible un risque de cyberattaque touchant lecontrôle-commande des réacteurs ». Cette déclaration intervient à l’heure où l’Autorité desûreté nucléaire (ASN) prescrit une augmentation des contrôles.

En octobre, l’ASN a demandé à EDF d’accélérer l’arrêt temporaire de cinq réacteurssupplémentaires, et de procéder à des contrôles. Aujourd’hui, douze réacteurs d’EDF (sur58 au total) sont à l’arrêt, ou vont l’être, pour contrôler la capacité de résistancemécanique des générateurs de vapeur, a expliqué au Figaro Pierre-Franck Chevet,président de l’Autorité de sûreté nucléaire.

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Les datacenters français inquiets sur le rééquilibrage des tarifs de l’électricité

crédit photo © chungking / Shutterstock.com

Google releases open source'Cartographer'Source URL: http://betanews.com/2016/10/05/google-open-source-cartographer/Machine learning and vision are essential technologies for the advancement of robotics.When sensors come together, they can enable a computer or robot to collect data andimages in real-time.

A good example of this technology in real-world use is the latest Roomba vacuums. Asthe robot cleans your dirty floor, it is using sensors combined with a camera to map yourhome. Today, Google releases Cartographer -- an open source project that developerscan use for many things, such as robots and self-driving cars.

"We are happy to announce the open source release of Cartographer, a real-timesimultaneous localization and mapping (SLAM) library in 2D and 3D with ROSsupport. SLAM is an essential component of autonomous platforms such as self drivingcars, automated forklifts in warehouses, robotic vacuum cleaners, and UAVs", saysGoogle.

The search giant further shares, "our focus is on advancing and democratizing SLAM as atechnology. Currently, Cartographer is heavily focused on LIDAR SLAM. Throughcontinued development and community contributions, we hope to add both support formore sensors and platforms as well as new features, such as lifelong mapping andlocalizing in a pre-existing map".

You can see Toyota leveraging this open source project with one of its robots in the videobelow.

In addition to this open source project, Google is also sharing 2D and 3D LIDAR and IMUdata that was collected using its backpack platform. This data was collected while thesearch-giant tested and developed Cartographer, and should be very valuable fordevelopers.

Want to try it for yourself? Check out Cartographer on GitHUb here.

EDF crée une filiale pour la maisonconnectée

Page 14: Revue de presse IOT/ data du 03/12/2016

Source URL: http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/10/13/edf-cree-une-filiale-pour-la-maison-connectee_5013036_3234.htmlLe groupe a lancé, jeudi 13 octobre, une station baptisée « Sowee » pour ses clients quisouscriraient une offre de fourniture de gaz.

Jean-Bernard Levy, le patron d’EDF. La filiale Sowee s’inscrit dans le cadre du planstratégique Cap 2030, qui prévoit notamment un virage numérique et un recentrage sur leclient. OZAN KOSE / AFPEDF ne veut pas rater le virage de la transition numérique qui s’impose à tous les grandsindustriels, à commencer par ceux de l’énergie. Ni laisser à d’autres, comme Google,Facebook ou Orange, un marché des objets connectés et services associés qui séduit unpublic de plus en plus large. Le groupe a créé une filiale consacrée à cette activité,Sowee. Elle a présenté, jeudi 13 octobre, une station du même nom destinée à améliorerle confort de l’habitat et à permettre une gestion plus économe de l’énergie. Cetteinitiative s’inscrit dans le cadre du plan stratégique Cap 2030, qui prévoit notamment unvirage numérique et un recentrage sur le client.

Sowee est un objet et une application smartphone qui seront vendus avec unabonnement au gaz naturel au prix de 49 euros ou 99 euros selon la formule. Fruit d’untravail de plusieurs mois au sein d’une équipe qui travaillait « en mode start-up », Soweeintègre dans un boîtier unique plusieurs fonctionnalités. Il permettra de gérer sonchauffage en fonction de la température ou du budget choisi avec alertes envoyées sur lesmartphone quand il y a dépassement. Mais aussi de piloter ampoules connectées etthermostat, de fournir des informations sur la qualité de l’air (taux de CO2, humidité…) etde planifier son temps de trajet (domicile-travail).

« Nous voulons devenir le partenaire du bien-être durable dans l’habitat », résume SylvieJéhanno, directrice des clients particuliers d’EDF et présidente de Sowee, qui affirme que« ce produit innovant et évolutif est un des plus complets du marché ». Il est appelé às’adapter aux usages de demain et fait d’ailleurs l’objet d’un test auprès de 200 usagers,avant son lancement commercial début 2017. A mesure que de nouveaux usages sedévelopperont, « la station sera enrichie de nouvelles fonctionnalités », confirme TiphaineBougeard, directrice générale de Sowee. Il sera possible de surveiller le rechargement(nombre de kwh et/ou prix) de son véhicule électrique ou l’autoconsommation del’électricité produite par les panneaux solaires installés sur le toit de sa maison.

Transitions énergétique et numérique amorcées

Sans se fixer d’objectif trop contraignant, Mme Jéhanno espère séduire 1 million depersonnes à l’horizon 2025. Sowee est aussi un produit d’appel pour gonfler le nombrede clients utilisant le gaz. Depuis la libéralisation du marché de l’énergie en juillet 2007,EDF s’est constitué un portefeuille de 1,2 million de « clients gaz », encore loin derrièreEngie (10 millions), alors qu’il a 25 millions de clients particuliers en électricité dansl’Hexagone. Mais c’est surtout le signe que l’ex-monopole EDF, longtemps focalisé surune production de masse pour des usagers captifs, est désormais engagé dans unetransition énergétique et numérique qui concerne tous les grands groupes d’énergie. Etqui s’accélère.

Lire aussi : EDF veut doubler sa production d’énergie renouvelable en 2030

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Pourquoi laisser à des opérateurs extérieurs au monde de l’énergie capter la valeur detout le travail fait en amont dans la production et la distribution d’électricité et sacommercialisation, alors qu’EDF est une des entreprises préférées des Français ?Gestionnaire d’une quantité colossale de données, les « GAFA » sont déjà entrées dans lamaison. Google offre ses services domotiques avec Home et Amazon avec Echo. Le PDGd’EDF, Jean-Bernard Lévy, semble convaincu qu’il faudra continuer de travailler avec eux,mais aussi avec des équipes universitaires et des start-up.

« Je ne crois pas que Google puisse se substituer à EDF et à son rôle d’industriel – un rôleéminemment spécifique et exigeant, estime M. Lévy, dans un entretien à la revue Politiqueinternationale (« Notre avenir est électrique », n° 152). En revanche, dans la relation client,qui est l’un de nos domaines d’excellence, nous devons être très vigilants. » La maisonconnectée reste encore rare, notamment parce qu’on en surestime le coût, regretteMarcel Torrents, président du directoire de Delta Dore, partenaire d’EDF et pionnierfrançais du secteur, dans la même revue. « Avec un investissement de 10 euros par mètrecarré, la possibilité existe de “domotiser” son domicile dans de bonnes conditions »,calcule-t-il. Tout en précisant que la concurrence est « féroce » entre opérateurstélécoms, énergéticiens, GAFA et start-up.

En Finlande, des habitants privés dechauffage suite à une attaque DDoSSource URL: http://www.futura-sciences.com/tech/actualites/securite-finlande-habitants-prives-chauffage-suite-attaque-ddos-65137/Publié le 10/11/2016

Le 21 octobre dernier, une attaque informatique d'une puissance encore jamais vue avaitfortement perturbé le réseau Internet, affectant des sites majeurs comme Twitter, le forumReddit ou encore la plateforme de publication GitHub et le service d'écoute de musiqueSpotify. Il s'agissait d'une attaque de type déni de service distribué (DDoS) qui consiste àsaturer un serveur informatique en l'inondant de requêtes envoyées par des ordinateursou des objets connectés ayant été infectés par un malware nommé Mirai. La cible était leservice DNS de la société Dyn, qui se charge de traduire les noms de domaine (lesadresses Web que nous tapons dans nos navigateurs) en adresses IP correspondant ausite demandé.

De plus en plus fréquent, ce type de cyberattaque peut avoir des conséquences directesdans notre vie réelle. Comme, par exemple, de nous priver de chauffage en plein hiver...En effet, c'est exactement ce qui vient de se passer à Lappeenranta, en Finlande. Danscette ville située à quelques dizaines de kilomètres de la frontière avec la Russie, uneattaque DDoS visant un service DNS a eu pour effet indirect de couper le chauffage dansdeux immeubles.

Entre -3 et -9 °C à Lappeenranta

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Il s'avère que le système automatisé et connecté gérant la ventilation, le chauffage et laproduction d'eau chaude a lui-même été affecté par l'indisponibilité du service DNS qu'ilutilisait. L'ordinateur a tenté de réinitialiser la connexion en redémarrant sans cesse et il afallu une intervention sur place afin de couper physiquement l'accès Internet pour quetout rentre dans l'ordre.

On imagine l'angoisse des habitants de ces résidences alors qu'en ce moment, àLappeenranta, les températures oscillent entre -3 et -9 °C ! Au final, plus de peur que demal, mais voilà une illustration très concrète de l'impact que peut avoir le pirataged'infrastructures numériques interconnectées sur le monde réel.

CONNIT lève 3 millions d'euros : çabouge dans l'écosystème IoT toulousainSource URL: http://www.itespresso.fr/connit-une-levee-de-fonds-dans-lecosysteme-iot-toulousain-138612.htmlEngie mise sur l’IoT industriel en accompagnant le développement de CONNIT, start-upbasée dans le voisinage de Sigfox.

Ambiance levée de fonds dans l’IoT Valley.

Cette communauté d’entreprises du Sud-Est toulousain a vu émerger la pépite Sigfox.Elle est aussi le terrain d’implantation de CONNIT.

La start-up, qui met l’Internet des objets au service de la gestion des réseaux d’eau, dumonitoring des bâtiments et de la maintenance industrielle, a bouclé un tour de table de 3millions d’euros.

L’opération est souscrite par la société de gestion Emertec, à travers son fonds dédié àl’amorçage des entreprises actives dans les secteurs liés aux écotechnologies. La holdingGroupe Claire, qui contrôle notamment la société Sainte-Lizaigne (systèmes de suivi et depilotage des réseaux d’eau potable), est aussi de la partie… tout comme Engie.

L’ex-GDF Suez exploite déjà les solutions de CONNIT, à travers ses branches Axima etCofely. On notera que son ancienne filiale Suez Environnement (rebaptisée Suez en juillet2015 et dont Engie est resté actionnaire à 33,7 %) dispose elle-même d’une entité IoTspécialisée dans les réseaux d’eau : Ondeo Industrial Solutions.

Des véhicules électriques aux compacteurs de déchetsLauréat, fin 2015, du « challenge innovation » organisé par ce même Engie, CONNIT peutdéployer ses solutions sur le réseau LoRa. Mais jusqu’alors, ses projets se sontconcentrés essentiellement sur le réseau monté par Sigfox, dont est issu l’un de sescofondateurs* – en l’occurrence Pascal Corbillon, également passé par Wind RiverSystems.

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De quels projets parle-t-on ? Par exemple celui orchestré avec Odéolis sur la supervisionde l’état de fonctionnement des bornes de recharge pour les automobiles électriques deNissan.

Les capteurs utilisés dans ce cadre peuvent servir aussi bien à des sites industriels pourcontrôle le fonctionnement des éléments de leur chaîne de production, qu’aux exploitantsde compacteurs de déchets pour l’optimisation des tournées de collecte.

CONNIT propose aussi des solutions de télérelève de l’eau s’appuient sur des modulesdont l’autonomie énergétique est annoncée à 15 ans, avec une capacité d’autodiagnostic.La communauté de communes du pays de Gex (entre le massif du Jura et le lac Léman)en est utilisatrice, avec près de 30 000 compteurs déployés depuis 2015.

Toujours plus de dataPour ce qui est du monitoring des bâtiments, il s’agit de mesurer les températures,l’hygrométrie, la qualité de l’air, la consommation de gaz et d’électricité… ou encore lesflux d’eau sanitaire. C’est ce qu’a fait Cofely Axima (filiale d’Engie) pour détecter lestempératures trop basses et prévenir d’éventuelles contaminations à la légionellose.

Dans tous les cas, les données sont hébergées sur un cloud en Europe et traitées via laplate-forme Live M2M, avec une API pour connecter des services tiers.

D’après les éléments compilés sur Société.com, CONNIT a réalisé, en 2015, un chiffred’affaires de 448 200 euros, pour un résultat net à 52 300 euros.

Pour accélérer à l’international, la jeune pousse compte doubler son effectif sous troisans, pour atteindre une cinquantaine de salariés. Elle envisage aussi, en partenariat avecses investisseurs, de commercialiser ses solutions propriétaires auprès des particuliers. Ilfaudra toutefois composer avec un environnement concurrentiel dense, qui compte dessociétés comme m2ocity, Qowisio et Actility.

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* L’autre cofondateur, aujourd’hui président de CONNIT, est un ancien d’Airbus. Il s’agitd’Erwann Mivielle.