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LES ECHOS DE CANNES Gouverneur Général de la Principauté, a présid,; cette tète de l'escrime, ayant pour assesseurs M. le Colonel de Saiute- Croix, Commandant supérieur des gar- des et dbs carabiniers de Son Altesse Séréuissime, et M. de Chizelles, Cum- mandant le 21° bataillon de chasseurs à pied à Menton. Sa veuve au désespoir honora sa mé- moire eu faisant construire l'église de Brou sur le lieu de leurs premières amours. (HENRI DELAPORTE) BIBLIOGRAPHIE (Unou Famtouarlatcnquou) Une famille arl^si La légende des OEufs de Pâques Une bien jolie légende, toute d'ac- tualité, sut* les oeufs de Pdnu's. Elle appartient au pays bressau : lavoici : Marguprite d'Autriche, gouvernante des Pays-Has» avait quitté les Flandres pour faire un pèlerinage. Arrivée à Bourg, Aile s'arrêta quelque temps au château de Brou, eu pleiue forêt, avec les Alpes à l'horizon. Marguerite était à la fois très grande dame et très jolie. S m séjour à li-ou fut l'occasiou d'une se>ie de fêtes. Les gen- tilshommes venaient lasaluer comme une reine et les paysans la regardaient passer comme une f^e. Le Lundi de Pàjufis, il y eut daus la pltiuede Bourg* assemblée générale et jeux de (otite espèce. LPS vieux tiraient de l'arc, et la cible était un tonneau plein. Quand une flèche perçait la bar- rique, l'archet avait le droit, de biire au tonneau « jusqu'à merci » les autres veuaieut après. Les j< unes gens et les jeunes filles s'anjusaient de leur cô'é. A doncqties les fillettes. Fiances et .jouvenceaux, Quan I venaient li'S inuautt'S. Cjm njuç.deiit tes ron leaux, Marguerite, entouré <J'is chàMlftinos du voisinage, a>sistait à cette fête villa- geoise. Une cenlaino d'oe:ifs étr.i<*nt éparpil- lés m r le sable cl (J. HX naicnns »*( deux fillettes devaient tw-'ciMer, en se t^tiMit par la ni.'iin, mu 1 <]'wis<> du pays. Aiioi le voiil-iit la oouliimi;. Si ccsjriuifi.s m»ns dansaient sans ca>ser les oeuf-*,ilsét. p iiHnt fiancés, la volonté inruio d-'S pueuts ne pouvait s'u|>po-er à l'Mir union.On i euou- velait trois fois l'épreuve, et les éclals de de rire ta llaienl It-s irnlailroit*. Marguerite était, loute à ce spectacle nouveau pour elle, quand le sou du cor moula de la forêt et, presque aussitôt, | apparu), prérédé et suivi d'un migni- I ..que équipage, le duc du Savoie, Phi- i )ibert-le-Beau. I Le jeune homme mit pied-à-ferre, fléchit le genou devant lachâtelaine et demanda l'hospitalité. Après quoi la fôte, reprit avec plus de gaîté encore el plus d'eutmn. / —Je veux danser aussi, dit Margue- rite. Philibert lui proposa d'être sou cavalier. — Autriche et Savoie ! c 1 iait la foule. Les deux jeunes gons, eux, ne son- geaient pas à leur noblesse, ni à leur maisou : il élaient absorbés par la crainte de casser I<s oeufs. Bah ! le sort les favorisa comme il eût favorisé les premiers amoureux venus. La danse fut heureuse et Marguerite, rouge de plaisir, mit sa main dans la main de Philibert disant : — Adoptons la coutume do lïrpyse. C'est ainsi qu'ils furent fiancés, et les poète? du pays chaulèrent c<3 refrain : Beaux époux de noble lijrnée. D;insez. 'lanspz au saint Landry ; La I'OUPO ine d-î l'è.ious^d Fait honneur au nomdu mary. * La fleur d'Autriche. 6 Marguerite, EiibelUt letapis d' s bois : Âli ! qu'il est beau l'amour des rois, Quand au bonheur Dieu les invite ! ' Le bonheur de Marguei ite d'Autriche et/de Ph libert-le Beau n'eut pas de len- demain. Les princes de la maison do Savoie ont toujours été de grands chas- seurs. Philib rt s'échauffa un jour en poursuivant un cerf. Une fontaine se trouvait sur son chemin ; il y but a grands traits. D-ï une pleurésie qui l'emporta eu quelqu s jours. Le Bulletin bibliographique du mois de mars publie l'article suivant, que, nous sommes heureux de reproduire, sur le nouvel ouvrage de M. le chanoine Trichaud : unou (-'"triton arlntcnquou {une famille arlcsiennc), poème en vers provençaux et français avec un fron- tispice dessiné par l'auteur l.û-mème, dans lequel sort groupés, avec art, tous les MPUX et les objets dont il est question dans le récit, très entraînant et fort curieux. « Voici un tour de forco de M. le cha- noine Trichaud, unchef-d'oeuvre poéti- que de sppt mille vers en langue pro- vençilti fit franc lise qui se fo'it écho parfait, mot pour mot, ligne pour ligne, phrase par phras-i. C'est un roman réel, divisé en huit chants, sont merveil- leiisement cuuhàssés, comme des perles élincelanles, des récils historiques émouvant..-,, des narrât KM,s touchantes, des légendes anciennes pieu es. Oo est ravi, entraîné malgré soi,{ depuis l'introduction jusqu'à l'épilogue. Ea un mot, c'est l'histoire d'niin famille de meuniers, composée du père,de la mère, d'une j^une fllle qui se fait carmélite aptes l'assassinat de son fiancé tué par un rival ; de deux jumeaux, l'un soldai. l'anM'o mU-ôimiiaire, qui m< i i o * t < n Kihyli 1 , sur le dnihp d'ho nie.ur. tous deux décorés ie UIPIII jour, < t enterrés dans In même toinheau. Il y a là du p.tihéliqi'.e, du patriotisme, île la foi et du la piété surtout. ("est une lecture, (|iii etnbr-'i-o l'a m a, élève le. coeur < t ta vit l\!-|)nl. » Cfî giaci ux vnhinie. in-10. sur beau papinr 1 '-'ii: té, avec en lu MM • lires, c:-t sans coni reilit uned"s plus helU's pr>i- (ludion* de, l'i la n'pu al ion i en venie. à 1 pi i.v do2 i'r. GRAINS & FOURRAGES O T T Successeur de MTAKI) 11LE ÀVIIAIII) et HUEDU GAZ o Son. Ilppasse et Ti.urte.inx. Avnioue haïs, Orge première qualité. A VENDRE Imprimerie importante 'lans une. villo *\f 80.0:10 àm-'s ; plusu-ui*- ]• m r naux j ar Irai lés dont, uti tirant à 23.000. 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Bec- croisé, pour l'omitho'ogu ; Bec de liè- vre, pour la médecine ; Bt'c-jaune (ou Béjauiie ) pour l'histoire du droit; Bec de corbin, pour l'histoire militaire; Bec- d'âne, pour la technologie; Bec de ,/rrz, pour l'industrie, etc., etc., forment une collection de monographies très variées, réunies dans la 123e livraison de In Grande Encyclopédie. Demander prospeclus-spécirnen aux éditeurs LAMI- RAULT et Cie, 61, rue Je Rennes, à Paris LE MONITEUR DE LA MODE Paraissant toua lea Samedis Constater le SUCCÈS toujours croissant du Moniteur de di Mode est la. nu-illiurc preuve que l'on [misso donner du In supériorité do cette publication place'-, conteste aujourd'hui, i la tète des journaux du ...(idHs, tra*aux d* dames, amcublantpnt, littéra- ture, levons du c hoa es, conseils d'hv^ione, r<><:rtt s guido leplus sur et leplus complet qui aoit 4 leur orvicu. Son prix, des plas modiques, le meta la portes de outes les l)oii. sus : ÊDITIO:( SIMPLE ! ÉDITTOS S* t 4 fr. 7.50 11 fr. Trois Sii m Una On t'ah-m ejn'rf-r tt>i n\'indtit wm de M. Abt-1 t!uu B, LR PORT EN SUS.) viyant, 3, rue du Quatre-Sep- RUE I)Kl,A FOUX CA.NNKS BAINS NOTRE-DAME EN FACE L'HOTEL HRAY D'ALBION ToniiM f.ui- SI. II. KOUDIiAUX, l>i-»|iriôtalr« Traitement Spécial par l'Hydrothérapie BAINS 1)1-] VAPEUR ET BAINS TURCS DOUCHES, FRICTIONS & MANAGES 8f»'vle« <l<- ItuiiiM d'Enii l»om-c et il'Ënu «le Mer ù Domicile LOCATION Je Baignoires, liains de Siège, Bassins UN l'KDICURK 1-:ST ATTACHÉ A L'ÉTABLISSEMENT NOTA.— Un ealnrilïiro est installé pour le chauffage intérieur des cabines Conformément ai; règlement du Cer- uli; di's Etrangers de Mc-tite-Cario, l'en- trée des salons n'est accordée qu'aux personnes munies de cartes. L'entrée des salles de jeu est interdite aux habitants de la Principauté. Ella est également interdite aux habitants des Alpes-Maritimes, à l'exception, des membres des principaux Cercles. Les cartes d'admission sont délivrées au secrétariat du Casino. 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Pi.nm, rril.-ir- iiiiiiiiiuii, d. 1 Stillï'K*'. d.. D 'ssi'.i ot. de I\'ili1 nrf, pour les jiMin-'S IM^s. (OURS SPÉCIAUX pour* les joiuifS IMII'-IIIIS. yumhrr lîmit.', Etlxcatinn et Uwijng^s yoigju.v. Véritable Cognac FINE CHAMPAGNE" MATIGNONI A MÈDAlt-LES ' HiUl £ RtCQM PENSE COMP 1e CENTRALE D' LA CHARENTE I Mur Cl TOI n.il l\\ du 3a; QiiKa C u il s te Ule ICI co. is : il t V d'i l-r î.nl Tti I- 1 ne "OURrt^solfïi plus. . 51. TifiM IGNINO, GIJ Ê HIS O N s r : : E'^'£ (l.in•>"•'!•.'fa' t hum •nium- Couttct. I les le ton n tl u 1>1'OJU1Lclcu p t i u i l o j j u r a , otn Etude de M 1 ' PrHIft. avouo h Lyon, Kuo do la République, 32. VENTE PAR LICITATION on l'aiidiijucK di's ci-ii>.-s du Ti il -tl Civil de Lyon, d'uuii SUPHliliH VILLA ituéo A Nice, au qnar'iiur de Carabacel 1» d'une UKLI.E VILLA w _ MAURICE silm'ft ^Ka'piiM'hl à Niw. liniilovarJ l)ubcin';hag-', 1 1, d^penJaut do la suctession du M . .L'an Jo^oph Lirais lMInn. Adjudication au samedi 2S avril 1888, à midi an palais do Justice de Ljon. ir.o.ooo li-. i Cr. Villit ivilurka Vlllii Mimrluc Vlllii l'uiir n'ii iMiii''ni>Mits. s':nli^'SP(>i' : ftI.yun : 1° ;\ M. Pi-plin, avouô, poursuivant, rue (te la ltitpii'lin.11» :!-': ï° ^ M Louvicr. nntairn quai dci lij IMchcrie. 14. —ANice: 1" M» Masso, notai' 1 .-, nu' «lu Puiit-Ni'iif. 7 ; 2" a Ni I.cvrot. architecte, rue Alberti, l'.l ; et pour voir le Cahier des Charges au Greffe du Tribunal Civil île Lyon, il est déposé. 'VACCINE DE LA BOUCHE) est le SEUL et UNIQUE Uentifrico £ OUn" l Imprimerie C.Iss&ur&t, 13, rue d'Anlibex Caiiue»- ^4 ET PMI CONSEQUFNT A L'EXTRACTION lii^iJ O '' ••'-»'' L'AUFIFICATION - 9, [lue l'rony (ïaro Monceau),l'AUIS. Le Propriétaiie-Géraut : F. Jacob.

BAINS NOTRE-DAMEarchivesjournaux.ville-cannes.fr/dossiers/echos/1888/Jx5_Echos_Cannes_1888_04_01_Page...Cjm njuç.deiit tes ron leaux, Marguerite, entouré

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LES ECHOS DE CANNES

Gouverneur Général de la Principauté,a présid,; cette tète de l'escrime, ayantpour assesseurs M. le Colonel de Saiute-Croix, Commandant supérieur des gar-des et dbs carabiniers de Son AltesseSéréuissime, et M. de Chizelles, Cum-mandant le 21° bataillon de chasseurs àpied à Menton.

Sa veuve au désespoir honora sa mé-moire eu faisant construire l'église deBrou sur le lieu de leurs premièresamours. (HENRI DELAPORTE)

BIBLIOGRAPHIE

(Unou Famtouarlatcnquou) Une famille arl^si

La légende des Œufs de Pâques

Une bien jolie légende, toute d'ac-tualité, sut* les œufs de Pdnu's. Elleappartient au pays bressau : la voici :

Marguprite d'Autriche, gouvernantedes Pays-Has» avait quitté les Flandrespour faire un pèlerinage. Arrivée àBourg, Aile s'arrêta quelque temps auchâteau de Brou, eu pleiue forêt, avecles Alpes à l'horizon.

Marguerite était à la fois très grandedame et très jolie. S m séjour à li-ou futl'occasiou d'une se>ie de fêtes. Les gen-tilshommes venaient la saluer commeune reine et les paysans la regardaientpasser comme une f^e.

Le Lundi de Pàjufis, il y eut daus lapltiuede Bourg* assemblée générale etjeux de (otite espèce. LPS vieux tiraientde l'arc, et la cible était un tonneauplein. Quand une flèche perçait la bar-rique, l'archet avait le droit, de biire autonneau « jusqu'à merci » les autresveuaieut après.

Les j< unes gens et les jeunes filless'anjusaient de leur cô'é.

A doncqties les fillettes.Fiances et .jouvenceaux,Quan I venaient li'S inuautt'S.Cjm njuç.deiit tes ron leaux,

Marguerite, en tou ré <J'is chàMlftinosdu voisinage, a>sistait à cette fête villa-geoise.• Une cenlaino d'œ:ifs étr.i<*nt éparpil-lés m r le sable cl (J. HX naicnns »*( deuxfillettes devaient tw-'ciMer, en se t^tiMitpar la ni.'iin, mu1 <]'wis<> du pays. Aiioile voiil-iit la oouliimi;. Si ccsjriuifi.s m»nsdansaient sans ca>ser les œuf-*,ilsét.piiHntfiancés, la volonté inruio d-'S p ueuts nepouvait s'u|>po-er à l'Mir union.On i euou-velait trois fois l'épreuve, et les éclals dede rire ta llaienl It-s irnlailroit*.

Marguerite était, loute à ce spectaclenouveau pour elle, quand le sou du cormoula de la forêt et, presque aussitôt, |apparu), prérédé et suivi d'un migni- I..que équipage, le duc du Savoie, Phi- i)ibert-le-Beau. I

Le jeune homme mit pied-à-ferre,fléchit le genou devant la châtelaine etdemanda l'hospitalité.

Après quoi la fôte, reprit avec plus degaîté encore el plus d'eutmn./ —Je veux danser aussi, dit Margue-rite. Philibert lui proposa d'être soucavalier.

— Autriche et Savoie ! c1 iait la foule.Les deux jeunes gons, eux, ne son-

geaient pas à leur noblesse, ni à leurmaisou : il élaient absorbés par lacrainte de casser I< s œufs.

Bah ! le sort les favorisa comme il eûtfavorisé les premiers amoureux venus.La danse fut heureuse et Marguerite,rouge de plaisir, mit sa main dans lamain de Philibert disant :

— Adoptons la coutume do lïrpyse.C'est ainsi qu'ils furent fiancés, et les

poète? du pays chaulèrent c<3 refrain :

Beaux époux de noble lijrnée.D;insez. 'lanspz au saint Landry ;La I'OUPO ine d-î l'è.ious^d

Fait honneur au nom du mary. *La fleur d'Autriche. 6 Marguerite,EiibelUt le tapis d' s bois :Âli ! qu'il est beau l'amour des rois,Quand au bonheur Dieu les invite !

' Le bonheur de Marguei ite d'Autricheet/de Ph libert-le Beau n'eut pas de len-demain. Les princes de la maison doSavoie ont toujours été de grands chas-seurs. Philib rt s'échauffa un jour enpoursuivant un cerf. Une fontaine setrouvait sur son chemin ; il y but agrands traits. D-ï là une pleurésie quil'emporta eu quelqu s jours.

Le Bulletin bibliographique du moisde mars publie l'article suivant, que,nous sommes heureux de reproduire,sur le nouvel ouvrage de M. le chanoineTrichaud : unou (-'"triton arlntcnquou

{une famille arlcsiennc), poème envers provençaux et français avec un fron-tispice dessiné par l'auteur l.û-mème,dans lequel sort groupés, avec art, tousles MPUX et les objets dont il est questiondans le récit, très entraînant et fortcurieux.

« Voici un tour de forco de M. le cha-noine Trichaud, un chef-d'œuvre poéti-que de sppt mille vers en langue pro-vençilti fit franc lise qui se fo'it échoparfait, mot pour mot, ligne pour ligne,phrase par phras-i. C'est un roman réel,divisé en huit chants, où sont merveil-leiisement cuuhàssés, comme des perlesélincelanles, des récils historiquesémouvant..-,, des narrât KM,s touchantes,des légendes anc iennes pieu es. Ooest ravi, entraîné malgré soi,{ depuisl'introduction jusqu'à l'épilogue. Ea unmot, c'est l'histoire d'niin famille demeuniers, composée du père,de la mère,d'une j^une fllle qui se fait carméliteaptes l'assassinat de son fiancé tué parun rival ; de deux jumeaux, l'un soldai.l'anM'o mU-ôimiiaire, qui m< i • i o * t < nKihyli1, sur le d n i h p d'ho nie.ur. tousdeux décorés ie UIPIII jour, < t enterrésdans In même toinheau. Il y a là dup.tihéliqi'.e, du patriotisme, île la foi etdu la piété surtout. ("est une lecture,(|iii etnbr-'i-o l'a m a, élève le. cœur < tta vit l\!-|)nl. »

Cfî giaci ux vnhinie. in-10. sur beaupapinr 1 '-'ii: té, avec en lu MM • lires, c:-tsans coni reilit une d"s plus helU's pr>i-(ludion* de, l'ila n'pu al ion ien venie. à 1pi i.v do 2 i'r.

GRAINS & FOURRAGES

O T TSuccesseur de MTAKI)

11LE ÀVIIAIII) et HUE DU GAZ

oSon. Ilppasse et Ti.urte.inx. Avnioue

haïs, Orge première qualité.

A VENDREImprimerie importante

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i ' I a i ' e d e ' a Bourse, P a r i s , s o u s 1 r s i n i -

t i a l e s C . L .

Eviter les contrefaçons

CHOCOLAT

Exiger le véritable nom

lEcai i ;Mol>il icr s Incurie, remues,orangerie, jaidin coiiienanee 9000 ni.environ, i»)i>e à prix baissé*! 05 000 (r.à ADJre, même sur une citck. Chambredes NotriS de Paris, le 27 mars 1888.

Sadr. sur les lieux ; à DIJON, à MTêtard notaire et Roussi n avoué ; ;PARIS, à MB iJomonts notaire, 8. placede la Concorde, dqosilaire do l'euch.

ip r imer ie il'Anl ibes. do

Vsl. pins à fai .e ; il <

libra i r ie M a r d i un i , ,

En français, le mot Bec entr^ dansune foula de mots composés, dont lesprincipaux peuvent faire l'objet d'arti-cles aussi importants qu'intéressants.Ainsi Bec fi<juet Bec en ciseaux. Bec-croisé, pour l 'omitho'ogu ; Bec de liè-

vre, pour la médecine ; Bt'c-jaune (ouBéjauiie ) pour l'histoire du droit; Bec

de corbin, pour l'histoire militaire; Bec-

d'âne, pour la technologie; Bec de ,/rrz,

pour l'industrie, etc. , e tc . , forment unecollection de monographies très variées,réunies dans la 123e livraison de InGrande Encyclopédie. — Demanderprospeclus-spécirnen aux éditeurs LAMI-RAULT et Cie, 61, rue Je Rennes, à Paris

LE MONITEUR DE LA MODEParaissant toua lea Samedis

Constater le SUCCÈS toujours croissant du Moniteurde di Mode est la. nu-illiurc preuve que l'on [missodonner du In supériorité do cette publication place'-,

conteste aujourd'hui, i la tète des journaux du

...(idHs, tra*aux d* dames, amcublantpnt, littéra-ture, levons du c ho a es, conseils d'hv^ione, r<><:rtt s

guido le plus sur et le plus complet qui aoit 4 leurorvicu.

Son prix, des plas modiques, le m e t a la portes deoutes les l)oii. sus :

ÊDITIO:( SIMPLE ! ÉDITTOS S* t

4 fr.7.50

11 fr.

TroisSii mUna

On t'ah-mejn'rf-r tt>i n\'indtitwm de M. Abt-1 t!uu

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viyant, 3, rue du Quatre-Sep-

RUE I)K l,A FOUX

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Conformément ai; règlement du Cer-uli; di's Etrangers de Mc-tite-Cario, l'en-trée des salons n'est accordée qu'auxpersonnes munies de cartes.

L'entrée des salles de jeu est interditeaux habitants de la Principauté. Ellaest également interdite aux habitantsdes Alpes-Maritimes, à l'exception, desmembres des principaux Cercles.

Les cartes d'admission sont délivréesau secrétariat du Casino.

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