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< VIE DE LA CCI p.5 • La médiation en entreprise, thème du dernier Rendez-vous • Le rapport d’activité 2003 < ÉCO p.14 • Sur www.cci.nc, un guide pour mieux s’implanter N°121 - octobre 2004 le magazine des entreprises de Nouvelle-Calédonie www.cci.nc < INFO PRATIQUE p.22 < FOULÉES DE L’ENTREPRISE P.16 Les entreprises qui ont gagné Les entreprises qui ont gagné < Les fichiers et la CNIL

< FOULÉES DE L’ENTREPRISE P.16 Les … - pages 1-4... · Créée le 29 octobre 1879, la CCI fait partie de l’un des plus anciens établissements publics de Nouvelle-Calédonie

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< VIE DE LA CCI p.5

• La médiation enentreprise, thème dudernier Rendez-vous

• Le rapport d’activité2003

< ÉCO p.14

• Sur www.cci.nc, un guide pour mieuxs’implanter

N°121 - octobre 2004

le magazine des entreprises de Nouvelle-Calédonie

www.cci.nc

< INFO PRATIQUE p.22

< FOULÉES DE L’ENTREPRISE P.16

Les entreprisesqui ont gagnéLes entreprisesqui ont gagné

< Les fichiers et la CNIL

cci info n° 121octobre 2004

Le CCI-INFO est publié par la Chambre

de commerce et d'industrie de Nouvelle-

Calédonie 15, rue de Verdun BP M3

98849 Nouméa Cedex, Tél : 24 31 00

Fax : 24 31 31. Site internet :

www.cci.nc - Directeur de la publica-

tion : Michel Quintard. Comité de

rédaction : Sophie Golfier, Elisabeth

Péguilhan, Marie-Jeanne Stevaux,

Sophie Tiphagne. Photos de couverture :

Eric Dell’Erba. Réalisation : TamTam,

Tél : 27 87 40. Régie publicitaire : Agen-

ce calédonienne de publication, Tél :

24 35 20. Responsable de la publicité :

Brigitte Suhami, Tél. 78 88 05. Flasha-

ge et impression : Artypo Ducos, Tél :

28 32 99. Tirage : 7300 exemplaires.

Le CCI-INFO est distribué aux ressortissants

de la CCI-NC.

< VIE DE LA CCI• Une délégation du Vanuatu à la CCI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4• La médiation en entreprise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5• Le rapport d’activité 2003 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

< ZOOM ENTREPRISE• AD Nord, filiale de A2EP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7< INFO PRATIQUE

< C’EST OFFICIEL• Une sélection des derniers textes parus au JONC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

< ÉCO• Un guide pour les investisseurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10• Indices et tableaux de bord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11

< AGENDA DU CHEF D’ENTREPRISE• Quelques dates à retenir . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

< DECODAGE• Questions-réponses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

< INFO PRATIQUE• Déclarer ses fichiers à la CNIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

< FORMATION • FPC : un stage sur la médiation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24• EGC : bientôt le concours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26• CFA : l’apprentissage défend son image . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26

< FOIRES ET SALONS• Sélection 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

< BOURSE AUX AFFAIRES• Des entreprises recherchent… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

< TEMPS DE LIRE• Sélection d’ouvrages en consultation à la doc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

SOMMAIRE

p16< DOSSIERLes entreprises qui ontgagné les Foulées

vie de la CCIvie de la CCI

En 2003, outre ses missions d’accompa-

gnement économique traditionnelles, la

Chambre de commerce et d’industrie aura

mobilisé ses énergies pour optimiser les

moyens mis en œuvre dans le secteur de la

formation. Un domaine qui doit s’adapter

en permanence aux demandes évolutives

du marché pour rester au plus près des

besoins des chefs d’entreprises. Avec 7481

ressortissants enregistrés l’année dernière

et 4486 formalités d'entreprises traitées, la

Chambre a aussi comptabilisé 330 appren-

tis en formation. Des chiffres clés à retrou-

ver dans le rapport d’activité 2003.

Parallèlement, pour informer au mieux sur

les spécificités institutionnelles et l’envi-

ronnement économique et réglementaire

actuel, la CCI vient de mettre en ligne le

« Mémento des investisseurs en Nouvelle-

Calédonie ». Un document de référence,

qui a pour vocation de présenter une syn-

thèse des informations concernant le terri-

toire, les secteurs d’activités, l’environne-

ment juridique et fiscal, et des données

économiques. Une véritable mine d’infor-

mations pour les investisseurs.

Michel QuintardPrésident de la CCI

cci info n°121 - octobre 2004

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EDITO actualités ▲

Fin août, un groupe depromoteurs originairesdu Vanuatu a été reçu àla Chambre de com-merce et d’industrie.Spécialisés dans lecommerce du bois, ilssont à la recherche departenariats commer-ciaux et d’accords nou-

veaux. Visite guidée des différents services de la CCI, fonction-nement ainsi que réglementations douanières et phytosanitairesétaient au programme. La délégation est repartie avec de nom-breux informations et contacts.

< la CCI fête ses 125 ans à la fin du mois

Au service de l’économieCréée le 29 octobre 1879, la CCI fait partie de l’un des plusanciens établissements publics de Nouvelle-Calédonie. Depuis125 ans, elle a assisté aux profondes mutations sociologiqueset s’est consacrée à la prospérité de l’activité économique. Al’heure actuelle, la CCI, c’est 170 permanents, une qualité deservices renforcée, une proximité avec ses ressortissants dansses missions d’information, de conseil et de formation.

< info entreprises

Autorisation d’ouverturePour obtenir une autorisation dans les délais, les ressortissantsde la CCI doivent faire dès maintenant leurs demandes d'ouver-ture les dimanches précédant les fêtes de fin d'année. Cette for-malité s’effectue auprès de la direction du travail. Cependant,les autorisations sont données après consultation des chambresconsulaires et organismes professionnels. Pour tout renseigne-ment, direction du travail – Tel : 27 55 72.

< rencontre

Une délégation du Vanuatu à la CCI

Diffusé avec le CCI Info, "L'an-nuaire de l'expérience 2004"s’adresse aux chefs d'entrepri-se à la recherche de futurs col-laborateurs. Le guide présentedes apprentis actuellement enformation dans les troischambres consulaires (CCI,

Chambre de métiers et Chambre d'agriculture). Un mini CV pourchaque élève permet de mettre en valeur sa formation et sa spé-cialisation. Le document a été réalisé par les apprentis de l'As-sociation des jeunes commerciaux (AJC) du BTS force de ventede la CCI.

< annuaire de l’expérience

La 2e édition est prête

Les chefs d’entreprises ontrépondu favorablement à l’in-vitation de la CCI en début demois pour assister à cette

conférence spéciale sur lamédiation en entreprise.Objectif : mieux cerner cetoutil de communication deplus en plus pratiqué au seindes entreprises à l’heureactuelle. Processus de négo-ciation, la médiation permetaux différentes parties derésoudre un conflit ou derétablir une relation positive.Le plus souvent, elle faitentrer en scène une tiercepersonne : le médiateur.Depuis quelques années, leconcept a fait son apparitionau sein de l’entreprise. Ins-taurer l’esprit de médiationest une démarche d’une

valeur bien plus importantequ’une simple approche derésolution de problèmes. Eneffet, elle exprime une volon-té de se situer en amont destensions et consiste dans uneapproche globale des rela-tions humaines.

Une approche « intégrative »Comme l’expliquait ThierryDudreuilh, la médiation peutprendre cependant desformes différentes selon lemoment et le contexte. Ainsi,du côté des dirigeants, ils’agira de développer, à tra-vers une formation spéciali-sée (lire page 24), des com-portements de médiateurs età optimiser leurs capacités àêtre à l’écoute de l’autre.Faculté d’anticipation, expé-riences personnelles et rela-tionnelles, compréhensionmutuelle sont bien sûr desatouts indéniables dans lagestion de situations de crise.« L’attention doit être centrée

sur les acteurs, non sur l’ob-jet du débat, sur les per-sonnes, non sur le conflit »,précisait Monsieur Dudreuilh.Par ailleurs, dans le Paci-fique, la médiation rencontreun fort écho de compréhen-sion parce qu’elle se rap-proche des modes tradition-nels de résolution de conflit.Elle recrée une forme depalabre là où le dialoguesemblait rompu.Cette approche « intégrative »de la médiation est aussi lefruit d’une expérience menéepar des équipes de média-teurs en Europe dans denombreux domaines depuisune vingtaine d’années (tri-bunal, école, situationsd’après-guerre). En Nouvelle-Calédonie, l’Association pourla médiation présidée parLaurène Cassagne participedepuis sept ans à ce travailde recherche. Elle disposeaujourd’hui d’une équipeapte à intervenir dans desconflits interpersonnels. ◆

conférence ▲

5

La médiation, un outil pour l’entreprise< chefs d’entreprise, managers ou encore chefs d’équipe

Les enjeux de la médiation en entreprise, tel étaitle thème du dernier Rendez-vous de l’économie,organisé par la CCI avec l’Association pour lamédiation de Nouvelle-Calédonie. De passage sur leterritoire, Thierry Dudreuilh, médiateur expert auconseil de l’Europe et à l’Unesco a animé laconférence.

< rapport d’activité

L’actualité consulaire en 2003 a été marquée par la mise en placed’une cellule d’urgence économique au lendemain du passage ducyclone Erica. Le dispositif était destiné à répondre aux besoins prio-ritaires des entreprises sinistrées. Au total, 276 structures ont déposéun constat, 197 ont reçu des aides et plus de 218 millions de francsont été versés directement. Deuxième temps fort, la réflexion sur laréforme de la réglementation économique. A la demande du gouver-nement, la CCI a planché sur un ensemble de propositions visant àréactualiser certaines mesures économiques comme la liberté desprix dans les secteurs où la concurrence peut exercer son rôle derégulation sur le marché ou encore la clarification de certaines pra-

tiques commerciales pour éviter leslitiges entre professionnels etconsommateurs. Du côté du centreconsulaire de formation, 2003 a étéune année dense. D’abord, l’étudede faisabilité FIABLE qui cerne lesbesoins en bac +2 dans le domai-ne industriel pour les années àvenir. Puis le lancement d’uncentre de ressources, qui permetde s’auto-former sur des logicielsinformatiques. Le centre d’ap-prentis, quant à lui, a organiséde nombreuses manifestationset lancé son premier annuairede l’expérience. Quant à l’EGC,l’année a été marquée par lacréation d’un module de formation au management en 3e

année. 28 pages en couleurs, 1000 exemplaires ainsi qu’un accèssur le site internet de la CCI, www.cci.nc, le document retrace toutel’actualité consulaire de l’année passée. ◆

Les chiffres et les actions 2003parution ▲

La Chambre consulaire vient de publier son rapportd’activité. Parmi les temps forts, le soutien auxentreprises sinistrées par le cyclone Erica, laréforme de la réglementation économique, laformation, et les élections en novembre.Rétrospective.

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Thierry Dudreuilh, médiateur expert au conseilde l’Europe et à l’Unesco

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cci info n°121 - octobre 2004

entreprise

CCI Info : pourquoi avoirouvert AD Nord à Koné ?Véronique Forlacroix etPierre Kolb : nous avonsconstaté depuis déjà plu-sieurs années qu’A2EP réa-lise une partie significativede son chiffre d’affairesdans le nord. Pourrépondre à cette demandecroissante et offrir un servi-ce optimisé à nos clientsnous avons choisi d’ouvrirune filiale. La ville de Konéest bien située et nous per-met de rayonner sur l’en-semble de la Province.

CCI Info : quels métiers ysont représentés ?VF et PK : les mêmes quenous exerçons sur Nouméadans la structure A2EP.C’est-à-dire : études géo-techniques et environne-mentales, suivis techniqueset contrôle de travaux, ainsique mesures in situ enhydrologie, hydrogéologieet environnement.

CCI Info : Combien de per-sonnes travaillent dans lenord ?VF et PK : Bientôt quatre.Aujourd’hui, VéroniqueForlacroix – qui est ingé-nieur en géoscience – est laresponsable de la société.Elle travaille avec moi-même, qui suis présidentd’AD Nord, ainsi qu’untechnicien basé sur Oué-goa. De plus, un recrute-ment est en cours sur Konépour ouvrir un autre postede technicien, qui bénéfi-ciera d’une formation eninterne sur Nouméa.

CCI Info : la création decette filiale d’A2EP a-t-elle demandé beaucoupd’investissement ?PK : nous avons investiplus de 30 millions defrancs, dont 22 consacrésexclusivement à des maté-riels de mesures et d’essaisdans les domaines de lagéotechnique, de l’eau etde l’environnement. Biensûr, nous sommes soute-nus par la Province nord etl’ICAP.

CCI Info : qui sont vosclients ?

VF et PK : l’Administration,les collectivités, la Provincenord, Falconbridge, la SLN,mais aussi des entreprisesdu bâtiment et des travauxpublics et les architectes.

CCI Info : quels bénéficespour vos clients et vous-même ?VF et PK : nous amélioronsle service client sur lesaffaires en cours et nousavons de nouvelles oppor-tunités en étant sur place.Nos clients se sententmieux suivis et plus accom-pagnés. La demande d’unestructure locale se faisaitpressante de leur part et denotre côté, nous avions unproblème de réactivité, decoût et de logistique. Main-tenant, nous avons en per-manence des gens compé-tents dans tous lesdomaines qui peuventsuivre leurs interlocuteursau quotidien. AD Nord apour vocation d’être un vraibureau d’études regroupanttous les métiers, et notrevolonté est d’être toujoursprésent à Koné dans 20 ou30 ans pour participer etaccompagner l’ensembledu développement. ◆

7

< implantation en province nord

Pierre Kolb, directeur général d’A2EP etprésident d’AD Nord, en compagnie deVéronique Forlacroix responsable del’agence.

La CCI Info propose de découvrirchaque mois une entreprise nou-velle, un procédé pointu ou enco-re une activité innovante. Cetterubrique n’est ni une publicitédéguisée, ni un publireportage.La partie rédactionnelle estconfiée à un journaliste profes-sionnel et la décision de publierou non un article revient au servi-ce de la rédaction du magazine. Renseignements : 24 31 00

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Créée en 1986,l’entreprise A2EP aété amenée à

travailler de manière croissantedans le nord. Le besoin de créerune structure autonome sur placeest devenu pressant. En juilletdernier, la filiale AD Nord a doncvu le jour pour répondre auxbesoins de proximité desnombreux clients de la région.Bien sûr, il fallait rendre cettenouvelle structure autonome etdonc trouver du personnelcompétent pour assurer un suivipolyvalent et pointu des nombreuxmétiers exercés dans le bureaud’études. Véronique Forlacroix,ingénieur en géoscience, est ainsiarrivée de Mayotte en juin dernier,où elle exerçait cette mêmeprofession dans un bureausimilaire.

enbref...

interVIEW

Pour faire face à lademande croissanteliée audéveloppementéconomique de laProvince nord,l’entreprise A2EP aouvert sa filiale àKoné. AD Nord,structureautonome, apportedésormais unservice encore plusréactif surl’ensemble duterritoire.Explications.

Véronique Forlacroix, ingénieur en géoscience, est installée à Koné pourrépondre à la demande des clients.

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Pour une réactivité optimisée

commerce extérieur

ConfiseriesModifications des mesures derestrictions quantitativeslocales pour les confiseries deschapitres 17 04 90 33, 39, 49et 59. Désormais sous licenceen provenance de l’Union euro-péenne, les produits sont sou-mis à un contingent global de18 tonnes.Arr. 2004-2041/GNC du26.08.04 JONC 7810 du 31.08.04

Franchises douanièresLes produits admis en franchi-se douanière sont accordésnon seulement par voyageur,mais aussi par envoi. Celaconcerne les tabacs, boissonsalcooliques, parfums, eaux detoilettes, café et thé dans deslimites précises et pour toutesles autres marchandises dansla limite de 30~000 francs pourles plus de 15 ans et de 15 000francs pour les autres.Arr. 2004-2087/GNC du02.09.04 JONC 7811 du 07.09.04

transport aérien

ACIApprobation des tarifs de lacompagnie locale, Air Calédo-nie International (ACI).Arr. 2004-1903/GNC du12.08.04 JONC 7807 du 17.08.04

ces

Coprah Etude relative à l’exploitationéconomique du potentiel éner-gétique du coprah à Ouvéa.Rapport et avis 07-V/2004 du20.08.04 JONC 7811 du 07.09.04

calendrier scolaire

2006 et 2007Publication du calendrier desannées scolaires 2006-2007 enNouvelle-Calédonie.Arr. 556-du 19.08.04 JONC 7812 du 14.09.04

province sud

Budget 2003Approbation du compte admi-nistratif et du compte de ges-tion comptable du budget2003.Dél. 26-2004/APS du 9.09.04 JONC 7814 du 16.09.2004

Budget 2004Décision modificative n° 1 pourl’exercice 2004 Dél. 27-2004/APS du 9.09.04 JONC 7814 du 16.09.2004

Sites et monumentsDésignation des personnesqualifiées de la commission dessites et monumentshistoriques : Christophe Sand,le président de l’ordre desarchitectes, Christiane Terrier.Arr. 1406-2004-PS du23.08.04JONC 7812 du 14.09.04

InstallationsélectriquesDésignation des membres ducomité technique des installa-tions électriques de la provincesud (CTIEPS).Arr. 1398-2004/APS du19.08.04 JONC 7811 du 07.09.04

SantéJean Alain Course est le nou-veau directeur des affaires

sanitaires et sociales.JONC 7811 du 07.09.04

agriculture

Productions saturéesPour la période du 16 juillet2004 au 15 juillet 2005, lesfilières agricoles suivantes sontmaintenues dans la position defilières dont les productionssaturent le marché local : - élevage bovin viande- élevage porcin- aviculture (œufs)- oranges et limes de Tahiti- maïs- oignons (sauf installations

d’équipements de séchage etde stockage)

Et également :- maraîchage- manguesDél. 515-2004/BAPS du09.09.04 JONC 7814 du 16.09.04

province nord

Budget 2003Approbation du compte admi-nistratif et du compte de ges-tion comptable du budget 2003et son budget annexe.Dél. 103, 104, 105 et 106/APNdu 26.08.04 JONC 7813 du 16.09.2004

Budget 2004Budget supplémentaire pourl’exercice 2004 et budget sup-

plémentaire du budget annexe2004.Dél. 109 et 110/APN du26.08.04 JONC 7813 du 16.09.2004

NominationGuy Solal est nommé secrétairegénéral de la province Nord.JONC 7812 du 14.09.04

état

Informatique et libertésLe texte transpose une directiveeuropéenne qui tend à harmo-niser les divergences entre leslégislations nationales enmatière de données nomina-tives. Elle retient le principe dela liberté de circulation desdonnées à l’intérieur del’Union. Le texte définit ce qu’ilfaut entendre par « traitementde données à caractère person-nel », modifie le rôle de la CNIL,prend des dispositions contrele piratage, et précise lesrégimes d’autorisation de cer-tains traitements.Loi 2004-801 du 06.08.04JONC 7808 du 24.08.04

Plan rougeIl s’agit de l’une des modalitésdu plan Orsec destinée à faireface à un événement acciden-tel faisant un grand nombre devictimes. Arr. 855 du 17.08.04JONC 7811 du 07.09.04

officiel

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cci info n°121 - octobre 2004

officiel

Sur papier au service documentation dela CCISur Internet, site www.juridoc.gouv.ncLe Journal officiel de la Nouvelle-Calé-donie, de l’année 2002 aux derniersnuméros de 2004, est désormaisaccessible sur internet. La page d’ac-cueil est découpée en trois grandesrubriques : - Journal officiel, avec le dernier numé-

ro paru, les éditions courantes ouencore une table chronologique et lesdébats du congrès

- Textes avec les codes et les recueils, les lois de pays, des références juri-

diques locales et nationales et bientôt un accès à la jurisprudence- Le Droit propose toutes sortes de liens vers des organismes et sites spécialisés sur place, en Euro-

pe ainsi que dans la zone.L'accès aux documents s'effectue avec des liens hypertextes, des index et des formulaires derecherche.

< Pour consulter le JONC…

cci info n°121 - octobre 2004

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< sur le site de la CCI, www.cci.nc

Véritable guide « on line », leMémento des investisseurscomprend une cinquantainede fiches sur une vingtainede thèmes. Côté pratique

pour l’internaute, ces docu-ments de format pdf peuventêtre téléchargés séparémentà partir du site de la CCI.Outre les informations géné-rales sur la Nouvelle-Calé-donie, le Mémento apportedes indications sur les sec-teurs d’activités, l’environ-nement juridique et fiscalainsi qu’une approche ducadre institutionnel etconjoncturel. Sans pouvoirêtre exhaustif, ce nouveloutil électronique permetcependant d’obtenir des

renseignements concrets etutiles à une implantation surle territoire. Il comprend parailleurs une série de contactsutiles et de liens sur d’autressites internet.

55 fichesf a c i l e s à consulterParmi lesthèmes déve-loppés, onretrouve desindications géo-graphiques, depopulation, unchapitre sur lasanté et l’édu-cation, un autresur le coût de lavie, mais aussiles aides aud é v e l o p p e -ment, un panorama de l’indus-trie locale, du tourisme, ducommerce ou encore du systè-me bancaire. Qu’ils soient calédoniens,métropolitains ou étrangers,les investisseurs potentiels ytrouveront toutes sortes derenseignements pratiques leurpermettant d’avancer dansleur projet et d’optimiser leurimplication dans le développe-ment économique. Pour l’heu-

re, le Mémento n’est qu’enversion française. La traduc-tion en anglais est en cours etsera également accessible surle site de la CCI. Pour les por-teurs de projets qui ne sontpas encore « branchés » surinternet et qui résident sur leterritoire, une copie peut êtreconsultée sur place, à laChambre de commerce etd’industrie, service de docu-mentation. ◆

Réalisé par la CCI avec l’appui de la Provincesud, le Mémento des investisseurs est destinéaux porteurs de projets. Mis en ligne le moisdernier sur www.cci.nc, il donne desinformations pratiques ainsi qu’une approchedu cadre institutionnel.

Un guide pour mieux s’implanter

écoéco

< brèves économiques

La Qualité a changé de présidenteAprès de nombreuses années au sein de l’association Qualité,Andrée Given, secrétaire générale de BlueScope Acier, cède saplace de présidente à Pascale Minder, responsable du servicecommunication de la SLN. Marion Teyssier (Le Froid) est la pré-sidente adjointe et Patrick Dupont (Auclair-Dupont) le trésorier.La lettre de l’association – juin 2004

Une nouvelle association professionnelleL’Union des petites et moyennes entreprises, UPME, vient devoir le jour. Elle enregistre d’ores et déjà 70 adhérents. La pré-sidente de cette association est Françoise Harbulot. JONC du 13 juillet 2004

La France à Beauty ExpoPour la première fois depuis sa création, un pavillon françaisétait présent au salon Beauty Expo (www.internationalbeau-tyexpo.com.au) à Sydney les 11 et 12 septembre derniers.Organisé par Ubifrance et la Mission Economique de Sydney,ce stand avait accueilli quatre sociétés françaises désirant s’im-planter sur le marché australien: Carole Franck (ligne complètede produits de beauté), Inter-Beauté (équipements de salonsde beauté), MF Productions (fabrication, emballage et trans-port de produits de beauté) et Home Institut (produits capil-

laires et pour la peau).Source : Revue économique – Août 2004

50 millions de ChinoisD’ici 2010, le nombre de touristes chinois à travers le mondedépassera les 50 millions de personnes. C’est ce qu’indiqueune étude du Pacific Islands Trade Office. Alors que pour lemoment, les destinations favorites sont encore largement tour-nées vers l’Asie, dont Hong Kong, Macao et la Thaïlande,d’autres perspectives de voyage sont déjà définies avec l’Euro-pe en tête, suivie de l’Australie et la Nouvelle Zélande et enfinles îles du Pacifique dont Hawaï. Source : Pacific Islands Trade Office, China.

PacifiqueLa Nouvelle-Zélande et l’Australie ont paraphé fin juillet un trai-té de délimitation de leurs frontières maritimes hors des terri-toires de l’Antarctique, c’est-à-dire dans la mer de Tasman et ausud-ouest de la Nouvelle-Zélande. Les négociations auront durécinq ans et devraient permettre de clarifier les lignes d’exploita-tion des ressources maritimes et énergétiques de chaque pays.Les zones concernées sont largement inexplorées. La Nouvel-le-Zélande n’a pas encore délimité ses frontières maritimesavec Tonga et Fiji. Source : Revue économique – Août 2004

Plafond Cafat298400 francs

Plafond maladieCafat388500 francs

Plafond FSH (fondssocial de l’habitat)252000 francs

Plafond Ruamm388500 francs

Retraitecomplémentaire :l’AGFF Les taux AGFF (Associationpour la gestion du fonds definancement) sont les sui-vants :

- jusqu’à 295465 F : 1,20%Part employeur : 0,72%,Part salarié : 0,48%

- de 295465 F à 886395 Fet 1181860 F pour lescadres : 1,32%

Part employeur : 0,78%,Part salarié : 0,54%

Plafonds Sécuritésociale au 01.01.04Mensuel : 2476 € - 295465 FTrimestriel : 7428€ - 886395 FAnnuel : 29712 € - 3545580 F

Pour toute information,contactez la Cafat- Tél 25 58 00- www.cafat.nc

évolution de l’indice bt21 2003 var(1) 2004 var(1)

Janvier 104,03 1,6% 105,58 1,5%Février 104,07 1,6% 105,86 1,7%Mars 104,12 1,6% 106,11 1,9%Avril 104,15 1,5% 107,93 3,6%Mai 104,42 1,7% 108,67 4,1%Juin 104,37 1,7% 109,06 4,5% Juillet 104,61 1,6% 109,16 4,3%Août 104,77 1,7% 109,27* 4,3%Septembre 104,87 1,5%Octobre 104,89 1,4%Novembre 104,93 1,2%Décembre 104,99 1,2%

var(1) = variation sur 12 mois en% - (*) = indice provisoireRetour à la base 100 : décembre 2000

indices et taux 2004 • Prix août . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .120,3• Inflation 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . +0,9%• Prix août hors tabacs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119,2• Inflation hors tabacs 2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . +0,9%

• SMG horaire (salaire minimun garanti) . . . . . . . . . . . 618,59 Fau 1er octobre 2004

• SMG mensuel (salaire minimun garanti) . . . . . . . 104542 Fau 1er octobre 2004

• SMAG horaire (salaire minimun agricole) . . . . . . . . 514,55 Fdepuis le 1er octobre 2004

• SMAG mensuel (salaire minimun agricole) . . . . . . . 86959 Fdepuis le 1er octobre 2004

taux de l’usure (4e trimestre 2004)PRÊTS AUX ENTREPRISES

- Prêts pour achat ou vente à tempérament . . . . . . . . . . . . . 8,55%- Prêts à taux variable d’une durée > à 2 ans . . . . . . . . . . 6,08%- Prêts à taux fixe d’une durée > à 2 ans . . . . . . . . . . . . . . . . 6,47%- Découverts en compte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11,27%- Autres prêts d’une durée ≤ à 2 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8,20%

PRÊTS AUX PARTICULIERS

Prêts immobiliers- Prêts à taux fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6,56%- Prêts à taux variable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5,85%- Prêts relais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6,68%

Prêts à la consommation- Prêts ≤ à 181920 XPF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20,13%- Prêts permanents, découverts

et AT/VT> à 181920 XP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16,21%- Prêts personnels > à 181920 XPF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9,12%

Intérêt légal2002 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4,26%2003 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3,29%2004 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2,27%

Taux base bancaireTBB moyen pondéré . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8,20%

Source : Institut d’émission d’outre-mer

Indices et tableaux de bord

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11Retrouvez l’indice BT21 sur le site de la CCI : www.cci.ncPour tous renseignements,contactez le service de documentation de la CCI, Tél : 24 31 20 - e-mail : [email protected]

FEUILLE DE PAIE : les cotisations sur salaires 2003

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< échéances sociales et pénalités

Paiement de la contribution exceptionnelle de solidarité(CES).

Elle concerne les sociétés dont l’exercice social s’est termi-né le 30 juin 2004 (Art. 45.11 du code des impôts).Présentée sur des imprimés établis par l’Administration, elleest adressée aux services fiscaux.

Paiement du solde de l’impôt sur le revenu

PatentesVous recevrez bientôt votre patente à payer. La date limitede règlement est le 31 janvier 2005. Mais votre situation apeut-être changé : votre activité n’est plus la même, vousavez déménagé dans un nouveau local commercial, vousavez vendu des véhicules ou engins, vous êtes passé ensociété et vous avez oublié de vous radier, n’attendez paspour faire vos modifications.Contactez le Centre de formalités des entreprises de la CCI15 rue de VerdunTél : 24 31 30 - De 7h30 à 11h et de 13h30 à 16h.

Dissolution amiableVous avez l’intention de procéder à la dissolution volontairede votre Sarl d’ici la fin de l’année. Si vous ne voulez pas être12

L’agenda du chef d’entrepriseL’agenda du chef d’entreprise

A noter dans votre agenda, le paiement de la CES, contribution exceptionnelle de solidarité,l’impôt sur le revenu, ainsi que deux informations importantes sur la patente et lesmodalités de dissolution d’une société.

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avant le octobre 2004Paiement de la CES

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avant le octobre 2004Déclaration de résultats

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avant le octobre 2004Impôt sur le revenu

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info cfeContribution des patentes et dissolution

soumis à l’impôt forfaitaire annuel pour l’année 2005, n’atten-dez pas. Les formalités se font en deux temps :

Première phase : procédure de dissolution- Convocation d’une assemblée générale extraordinaire pour

décider de la dissolution anticipée de la société. Le PV doit fai-re apparaître la décision de dissolution anticipée ainsi que lanomination du liquidateur avec mention du siège de la liqui-dation.

- Publication d’une annonce légale de dissolution avec mentiondu liquidateur et du siège de la liquidation.

- Inscription modificative de votre inscription RCS au Centre deformalités des entreprises de la CCI :

• 2 bulletins modificatifs • le PV d'assemblée générale extraordinaire décidant de la

dissolution• le journal d'annonces légales• 6000 francs à l'ordre du Trésor public et 2 000 francs à

l'ordre de la CCI-NC- Dès cette première phase, si la société n’a plus aucune activi-

té, il est possible de la radier de la patente.- Transmettre aux services fiscaux un exemplaire du PV de dis-

solution

Seconde phase : procédure de liquidationLes associés se réunissent une nouvelle fois en assembléegénérale ordinaire afin d’approuver les comptes, de clôturer laliquidation et de donner quitus de sa gestion au liquidateur. Unmois et un jour après la première annonce légale, une secondeparution intervient. Elle a pour effet de clôturer la liquidation.Ce délai d'un mois doit être respecté afin de permettre auxcréanciers de la SARL de se manifester. La liquidation ne pour-ra intervenir tant que la société n'aura pas apuré toutes sesdettes. On pourra alors procéder à la radiation RCS auprès du guichetCFE de la CCI NC en déposant :

• 2 bulletins de radiation RCS• le PV ordinaire de clôture de liquidation• l'arrêté des comptes• le journal d'annonces légales

La radiation au RCS est une formalité gratuite.

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DÉCODAGE...

Je crée une SARL et je voudraisque le gérant soit une autreSARL. Est-ce possible ?

Le service d’information juridique de la CCI vous propose des caspratiques, en relation avec des questions posées par les ressortissants.

questions / réponses

Peux-t-on créer plusieurs EURL ? Oui, une personne physique peut être associée unique de plusieursEURL. Mais une EURL ne peut avoir comme associée une autre EURL.Elle peut en revanche avoir comme associée une SARL.

Non, le gérant d’une SARL est obligatoirement une personne physique ;le plus souvent choisi parmi les associés, il peut aussi être un tiersétranger à la société. Certains statuts exigent que le gérant soit associé,mais cette solution manque de souplesse.

La volonté de démissionner doit être claire, non équivoque et s’exprimerlibrement. Ce ne doit pas être un mouvement de mauvaise humeur oude colère. Il est préférable de faire confirmer la démission par écrit, etde recevoir le salarié en entretien pour voir avec lui les formalités depréavis et les conditions de son départ. Cela lui permettra de confirmersa volonté de partir.

Les textes à consulter sont : l’article 89 de l’AIT (accord interprofession-nel territorial) la délibération modifiée 201/CP du 15.10.1997, mais aus-si l’accord de branche dont dépend votre entreprise, qui peut être plusfavorable.Le calcul se fait en deux temps :- 1/10° de mois par année d’ancienneté auquel s’ajoute 1/15° de moisd’ancienneté au-delà de 10 ans.- Soit : 1/10° de mois X 25 + 1/15° de mois X 15Cela représente le minimum légal, le montant final étant à la discrétiondu chef d’entreprise.

Un volet est consacré à l’actualité de l’internet. En effet, CCI Info présente régulièrement des sites utiles.

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Ma secrétaire a donné sadémission oralement ? Faut-illa prendre en compte ?

Un de mes salariés part à laretraite. Il a 25 ansd’ancienneté. A quellesindemnités peut-il prétendre ?

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Par le biais de son site internet, la CCI propose auxchefs d’entreprise de diffuser gratuitement leurs offresde recrutement. La marche à suivre pour passer uneannonce est simple : se connecter sur www.cci.nc puiscliquer dans la rubrique « Espace emploi ». Unformulaire type apparaîtra à l’écran et il suffira deremplir les différents champs avant de valider. Unefois envoyée, l’annonce sera contrôlée avant affichage

sur le site. L’expéditeur recevra alors un email lui confirmant sa diffusion. Et pourretirer une annonce avant la date prévue il suffit simplement d’envoyer un email à l’adresse suivante

[email protected] Mais attention, la CCI n’est qu’une boîte aux lettres et ne se charge pas du recrutement.

< diffuser ses offres d’emploi sur internetLe réflexe www.cci.nc

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Le 22 août dernier, en parallèle du marathon deNouméa, se couraient les premières Foulées del’entreprise, initiée par la Chambre de commerce etd’industrie. En effet, convaincue de l’intérêt quereprésente le sport dans le milieu professionnel, la CCIa lancé cette première édition destinée à faireparticiper le plus grand nombre de sociétés. Unecourse dans laquelle les professionnels se sontconfrontés dans un challenge amical, centré autour devaleurs comme la performance, le dynamisme et laconvivialité.Rien de tel pour renforcer la cohésion d’une équipe etaméliorer la communication interne… Et les chefsd’entreprise l’ont bien compris, puisqu’ils se sontengagés avec enthousiasme dans cette manifestation.Résultat des courses : la Calédonienne de servicesbancaires est arrivée première dans la catégorie del’entreprise la plus représentée, la Société Générale estmontée sur la plus haute marche dans la catégorieéquipe mixte, General Electric Financement s’estplacée en tête dans la catégorie équipe féminine, alorsque la société Gras et Fils remportait la course dans lacatégorie équipe masculine.Quatre entreprises qui ont joué le jeu du sport et ontgagné des inscriptions pour des formations au sein dela Chambre, ainsi qu’une présentation détaillée deleurs activités dans les pages du CCI Info. Visite guidéede ces sociétés dans les pages suivantes…

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< les vainqueurs des foulées de l’entreprise

Les entreprises les plus sportLes entreprises les plus sport

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La grandeur d’un métier est peut-êtreavant tout d’unir les hommes. C’est cette

notion que souhaite valoriser le TrophéeSport Entreprise, en favorisant les relationshumaines et le développement de l’espritd’équipe au sein des entités profession-nelles. Cette manifestation sportive, organi-sée par le CTOS, en synergie avec les parte-naires du Club Calédonie, la CCI et les liguesde sports concernés, se déroulera les 27 et28 novembre prochain. Il s’agit, là encore,d’utiliser le sport comme vecteur de convi-vialité, de cohésion et de communication aucœur des sociétés. Un événement multi-sports qui s’adresse donc à toutes les entre-

prises, avec des disciplines comme lapétanque, le volley-ball, le foot et le rugby à7, le Va’a ou le tir à l’arc.Profitez de cette opération pour créer uneéquipe au nom de votre société et ainsi,bénéficiez du double effet de cohésion et decommunication positives. Les épreuves decette compétition conviviale sont basées surla notion de groupe et toutes les sociétéssont invitées à s’inscrire dans une ou plu-sieurs disciplines. Attention, la clôture des inscriptions est fixéeau 15 novembre.

Renseignements auprès du CTOS : 28 10 57 (suite page 20)

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La CCI a participé, elle aussi, aux premières Foulées de l'entreprise

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La CSB a mis en œuvre, avec l’aide de ses partenaires, unepolitique active de développement en nouvelles technologiesde l’information et de la communication. Elle a pour vocationde proposer en permanence à ses clients des solutions dedéveloppement au plus haut niveau. Ses locaux s’étalentaujourd’hui sur plus de 1200 m2 sécurisés et climatisés, lesaccès sensibles sont protégés par digicodes, alarmes et télé-surveillance, les systèmes téléphoniques et informatiquessont doublés et protégés par FireWalls et, bien entendu, l’en-semble du personnel est soumis au respect d’une déontologiede confidentialité absolue par la nature même de son posi-

tionnementinterbancai-re. L’en-semble destâches quela CSB gèred e m a n d eune évolu-tion permanente pour rester à la pointe de la technologie. Cequi impose, sous une fausse apparence statique, des investis-sements réguliers et conséquents.

Une société innovante

Créée en 1991, la CSBemploie aujourd’hui 48 per-sonnes (4 à l’origine) dansses deux centres opération-nels de traitements. Elle fonc-tionne avec un actionnariatfort des établissements ban-caires et l’OSB, son homo-logue en Polynésie. Cepen-dant, bien rares sont les Calé-doniens qui connaissent lesactivités de la Calédoniennede Services bancaires. Seuleentreprise locale dans sondomaine d’activité, elle gèrepourtant une multitude deservices pour sa clientèle.Mais qui sont donc sesclients ? Les banques, action-naires de l’entreprise,, unetrentaine de privés – les «grands comptes » – commeles pétroliers, Casino, EEC, ouEnercal, et plus de 2000commerçants équipés des ,TPE, terminaux de paiementsélectroniques…

Cartes de paiementset serveurs vocaux« Nos services se déclinentdans quatre grandsdomaines : la monétique, latélématique, le traitement dedocuments et l’éditique et lesterminaux automates. Lamonétique regroupe l’en-

semble des moyens informa-tiques, électroniques et télé-matiques pour réaliser lestransactions bancaires sanssupport papier, expliqueMichel Copreaux. La CSB estle centre d’autorisation et detraitement de la majorité desopérations par cartes ban-caires réalisées ici. » Elle gèredonc l’ensemble des cartesen paiements (chez les com-merçants) et en retraits (dis-tributeurs bancaires), tout encompensant les opérationsentre les différentes banques,à travers le monde entier. Elles’occupe aussi de la person-nalisation de certaines cartes,ainsi que de la gestion defidélité. La télématique concerne,quant à elle, les serveursvocaux et SMS. C’est grâce àelle que vous pouvez, entreautres, interroger l’état devotre compte en banque partéléphone, ou envoyer desrequêtes, puis recevoir desinformations sur votre mobile.

Traitement deschèques optimisésDans le secteur des docu-ments et l’éditique, le traite-ment des chèques – l’instru-ment de paiement le plus uti-

lisé sur le territoire – a imposédes investissements de plu-sieurs dizaines de millions.Ceci pour permettre l’usagede l’image numérisée et doncconvertir le papier en électro-nique, afin de travailler surune base de données facili-tant l’archivage. Il s’agit, enfait, de gérer les débits et lescrédits pour les banques, quisous-traitent une partie deleur informatique à la CSB.Toujours dans le traitementdes documents, on retrouvela saisie de l’ensemble desTIP du territoire. Ce sont lesfameux formulaires de paie-ment par débit automatique(OPT, CDE ou EEC). Les mai-lings de banque sont égale-ment traités au sein de laCSB, par le biais du réseauprivé assurant une sécuritétotale de l’information. Et pourcause, car il s’agit notamment

de l’impression et de la misesous plis de nos relevés decompte…

Parc de TPE et d’automatesPour ce qui est des terminauxautomates, la CSB gère l’en-semble des TPE (terminauxde paiement électroniquepour le paiement par cartechez les commerçants). Desmachines dont la mécaniqueinterne change régulièrementet qu’il faut donc constam-ment mettre à jour. L’un deschantiers majeurs de la CSBconsiste actuellement à rem-placer l’ensemble du parc quitotalise plus de 2000 TPE enlocation.Avec sa plateformeGEDAB, la CSB s’occupe éga-lement du parc de distribu-teurs bancaires, soit prèsd’une centaine d’auto-mates… ◆

Moyens de paiements sous contrôle< société de services en informatique

Peu connue du grand public, la Calédonienne deServices bancaires gère, entre autres, l’ensemble denos moyens de paiements. Visite guidée avecMichel Copreaux, directeur général.

Michel Copreaux, directeur de la CSB

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Alors que la Société Géné-rale organise depuisquelques années un tro-phée de l’innovation –auquel participe chacunede ses implantations dansle monde – le siège calédo-nien a choisi de lancerparallèlement une opérationlocale. Initié en 2003, cechallenge de l’innovationinvite l’ensemble du per-sonnel à faire remonter sesidées. Objectifs : améliorerla qualité du service à laclientèle, contribuer audéveloppement durable etavoir un impact sur lesrésultats de l’entreprise. «Dans la banque, chacunpeut constater à son niveau

des dysfonctionnements,des opérations devenuesinutiles et poursuivies parhabitude, des lourdeurs degestion, explique FrançoisTurcot, directeur général.Autant d’observations deterrain qui permettentd’améliorer et d’optimisernotre fonctionnement dansle cadre des trois axes quenous nous sommes fixés.lLémetteur de l’idée est invi-té à présenter ses projets,puis à accompagner leurréalisation s’ils ont été rete-nus par le Comité de l’Inno-vation, lui-même piloté parun “ innovacteur”. »

Optimiser le fonctionnementConcrètement, chaqueannée, une sorte de boîte àidées - version sophistiquée- est mise en place, ce quipermet de fédérer lesemployés autour d’unobjectif commun optimisantnotablement les conditionsde travail.Ainsi, parmi les projets réa-lisés, il y a des enquêtes desatisfaction, la plateformede téléconseillers (voirencadré), la qualité de l’ac-cueil au guichet, l’utilisationdu mail plutôt que du fax,

ou encore les indicateurs dequalité par agence et lesbordereaux de remise dechèques personnaliséspour l’entreprise. Autantd’innovations mises en pla-ce après les réflexions etargumentations du person-nel au travers de son pro-fessionnalisme et de sonesprit d’équipe.

Un impact sur lesrésultats« Par ailleurs, poursuitFrançois Turcot, nous ten-tons d’apporter notre contri-bution au développementdurable tout en réduisantnos frais généraux. Nousavons supprimé l’impres-sion de 150 états informa-tiques devenus redondants,soit une économie de176000 feuilles de papierpar an. Nous devons égale-

ment instaurer un suivi deconsommation papier parservice, ainsi qu’un télé-chargement de certainsimprimés en ligne à lademande, pour éviter legaspillage. Des petites idéesqui permettent peut-être desauver quelques centainesd’arbres chaque année… »Dans la même veine, toutesles agences sont désormaisreliées entre elles par unréseau téléphonique inter-ne. Les échanges de fondsont été optimisés et rationa-lisés, alors que l’améliora-tion du suivi des archives apermis de réduire les stockssous-traités de 12 à 8 kilo-mètres de rayonnage…Un challenge qui tient donclargement ses promessesen faisant de la SociétéGénérale une banque évo-lutive et réactive. ◆

< professionnalisme, esprit d’équipe

Inaugurée en mars 2000, la plateforme téléphonique de laSociété Générale est la seule ici à bénéficier d’une telle tech-nologie de pointe dans son domaine d’activité. Le dispositiffonctionne à ce jour avec cinq téléconseillers. Son rôle : don-ner instantanément par téléphone la bonne information et leconseil le plus approprié à la demande du client et permettrela réalisation de téléventes ou d’enquêtes de satisfaction enappels sortants. Le tout dans des conditions optimales etdans les meilleurs délais. En moyenne plus de 700 appels entrants sont traités chaquejour sur la base d’un numéro de téléphone unique avec rou-tage vers chaque agence. La plateforme téléphonique a reçu178 500 appels en 2003 et contacté 18 850 clients lamême année pour les informer sur les différents produits pro-posés par la banque.Mais l’évolution et l’innovation ne s’arrêtent pas là. Une

marche supplémentaire vient d’être franchie avec la mise enexploitation d’un nouvel outil de gestion informatisée desappels entrants et sortants. Il s’agit là d’identifier le clientimmédiatement et d’avoir, en temps réel, toutes les informa-tions le concernant. Mais aussi d’analyser et de sortir des sta-tistiques instantanément et de contrôler les appels en courspar la présence d’un bandeau lumineux fort ingénieux… Uneinterface de communication au top de la technologie.

Dans un secteurconcurrentiel, la SociétéGénérale a identifiél’innovation comme l’unedes composantes de sondéveloppement. Unconstat qui a trouvé unécho favorable auprès dupersonnel avec unchallenge de l’innovation.Explications de FrançoisTurcot, directeur général.

Une plateforme téléphonique unique

François Turcot, directeur général de la SG

Le challenge de l’innovation au quotidien

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« Lorsque j’ai racheté lecabinet Assurcal en 2003,je savais que c’était unebonne affaire, mais elles’est révélée encoremeilleure que prévue,explique Philippe Gras. Etj’en parle donc avec d’au-tant plus de modestie queje ne suis pas directement àl’origine de la qualité del’agence… L’équipe, dont laplupart des éléments sontlà depuis de nombreusesannées, est extrêmementmotivée et expérimentée.Les conseillers aiment leursmétiers et ont une très bon-ne connaissance de leursclients… »

Un atout indéniable dansune profession où l’on s’ac-corde à dire, toutes compa-gnies confondues, quel’offre de produits est sou-vent similaire et de bonniveau. « Aujourd’hui, lesclients savent que tous lesagents proposent de bonsproduits, ils choisissentdonc le prestataire et l’envi-ronnement dans lequel ilsse sentent le plus à l’aise,précise Philippe Gras. Etc’est le contact humain quifait réellement la différenceavec la concurrence. D’oùla satisfaction d’avoir à mescôtés des professionnelscompétents et réellement

investis dans leur mis-sion… »

Une équipeexpérimentéeUn portefeuille de 10000polices, 1,3 milliards d’en-caissements par an (horscontrats de placement) et 9milliards d’encours, d’au-tant que le chiffre d’affaires- ou commissionnement –la société note une progres-sion de 20 % pour cetteannée. Pourquoi un telessor ? « Actuellement, lesecteur des assurances depersonnes répond à uneforte demande, poursuitPhilippe Gras et d’autre partj’ai travaillé activement surle développement duréseau d’apporteurs d’af-faires extérieurs qui est enpartie à l’origine de la haus-se du chiffre d’affaires. »Un accroissement qui, s’il al’avantage de ne pas aug-menter les charges fixes,demande – en contrepartie– de très bonnes qualités degestion. « Les courtiers neréalisent que les ventes etc’est Assurcal qui gère toutde A à Z, ce qui nécessiteune certaine organisation.C’est un mode de produc-tion économiquement trèsintéressant. » Bien sûr,pour développer le courta-ge, il faut séduire les ven-deurs avec une gamme de

produits de qualité, unsavoir-faire, des compé-tences techniques et unefaculté importante deconseil.

Un réseaud’apporteursd’affaires en expansionAutant de domaines quipermettent de développerde nouvelles affaires surdeux axes principaux : lesparticuliers et les entre-prises. « Du côté des parti-culiers, nous proposons lagamme classique comme laprévoyance familiale décèsinvalidité, les complémentssociaux et santé, la constitu-tion et la valorisation decapital, l’épargne retraite ouencore la transmission depatrimoine. Du côté desprofessionnels, on retrouvela prévoyance décès invali-dité individuelle ou collecti-ve, les complémentssociaux et santé, l’assuran-ce homme clé et associésainsi qu’emprunteur,l’épargne retraite, le refinan-cement des comptes cou-rants d’associés, la gestionde trésorerie longue et latransmission d’entreprise.»,précise Philippe Gras. Unegamme complète, gérée parune équipe expérimentéequi s’attache à faire toujoursplus et mieux… ◆

L’expérience au service des Calédoniens< gras et fils

Ancien directeurrégional des AGF,Philippe Gras a crééGras et fils en 2003avec ses quatre filset trois amis. Unestructure qui leur apermis de racheterAssurcal, ex-agentEagle Star devenuaujourd’hui agent

général Generali. Cette entreprise compte aujourd’hui dixsalariés, dont six conseillers de clientèle, sans compter leréseau d’apporteurs d’affaires extérieurs. Autant d’hommeset de femmes qui assurent en permanence un contact privi-légié de proximité avec leurs clients. Car la politique de lamaison est simple et pleine de bon sens : « Nous sommesune entreprise au service des familles calédoniennes,explique Philippe Gras. Nous avons une conception familialedes affaires. Le choix même du nom Gras et Fils symbolisemon approche du métier et témoigne d’une manière très dif-férente d’envisager le business.»

Créée en 1983, l’agence d’assurance Assurcalemploie une équipe de conseillers expérimentésqui gèrent aujourd’hui plus de 10 000 polices.Détails de l’activité de cette entreprise avecPhilippe Gras, gérant depuis 2003.

L’équipe d’Assurcal

« Une conception familiale et dynastique des affaires »

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General Electric, deuxièmeentreprise mondiale par savaleur boursière, a connuune aventure inédite avecl’implantation de sa filialecalédonienne. C’est en effetla première fois qu’il a falluconvaincre les actionnairesd’ouvrir ce nouveau bureauen démarrant de rien.« Nous sommes partis dezéro, explique Gilles deLaunay, directeur généralde GE Financement. Nousavons commencé à 4,aujourd’hui nous sommes11 et travaillons sur un por-tefeuille de 5000 clients.Pour vous donner une idée,nous finançons, à ce jour,15 % des achats des véhi-cules neufs sur le territoire.Une progression consé-quente liée à la carenceantérieure du service quenous offrons actuellement.Avant GE, aucune société

financière locale n’offrait cegenre d’alternative et lesconcessionnaires auto ontdonc très bien accueillinotre implantation. Ils ontimmédiatement joué le jeu,constatant notre réactivitéen termes de service ».

Une gamme definancementsautomobiles trèslargeCrédit classique, locationavec option d’achat, créditpour les professionnels,crédit-bail, location longuedurée, la palette de finance-ments dédiée au secteur dumatériel roulant est impor-tante. Elle est aussi doubléede produits complémen-taires en assurance.« Lorsque nous noussommes implantés, nousn’avons pas joué la guerredes tarifs avec les orga-

nismes intervenant dans lemême secteur d’activitéque nous, précise Gilles deLaunay. Nous sommespositionnés dans les prix dumarché et nous avons choi-si de jouer la différenciationsur l’offre du service quel’on peut apporter. En fait,nous avons le souci de ser-vir le plus efficacement pos-sible le client et le distribu-teur qui sert le client…»Toutefois, il est important denoter que la grosse machi-ne venue des États-Unis nemanque pas de flexibilité etd’adaptabilité, bien aucontraire. Pour preuve saréactivité et sa souplesse,largement reconnues etappréciées de ses parte-naires. « Bien entendu,nous fonctionnons sur unestratégie définie au niveaumondial, mais qui doit êtreen totale cohérence avec lecontexte local », poursuitGilles de Launay.

Crédit à laconsommationGE Financement offre,depuis quelques semaines,deux produits complémen-taires. D’une part, le finance-ment en défiscalisation pourles professionnels, sur despetites et moyennes affaires

de type équipement dansl’entreprise. D’autre part, lefinancement de la grandeconsommation pour les par-ticuliers. « Nous venons toutjuste d’obtenir l’agrément dela Banque de France, indis-pensable au développementde cette activité, expliqueGilles de Launay, et sur cedomaine nous allons jouer lacarte de la modularité. Lescontrats seront évolutifs etles relations humaines seronttoujours privilégiées lorsqu’ils’agira de s’adapter enamont. » Pour finir, apprenezque selon la nouvelle chartemondiale de General Elec-tric, toutes les filiales s’appè-leront GE Money dès la fin del’année… ◆

Le challenge de l’innovation au quotidien< crédits à la carte pour les particuliers et les professionnels

Fondée par Thomas Edison en 1892,General Electric est une entreprisediversifiée, qui opère depuis de nom-breuses années dans les nouvellestechnologies, l'industrie et les services.Aujourd’hui, elle réalise près de 50 %de son chiffre d’affaires dans le domai-ne des finances. En 2003, son chiffred'affaires s'est élevé à 134 milliards dedollars et son bénéfice net à 15,7 mil-liards de dollars. À la pointe du e-business (commerceélectronique), GE compte 315 000

salariés dans le monde, dont plus de40% en dehors des Etats-Unis.

…Et une présence en outre-mer !Implanté depuis 1965 aux Antilles(Guadeloupe, Martinique, Guyane) ain-si que sur l’île de la Réunion et àMayotte depuis 1972, General Electricest arrivé depuis peu dans la zonePacifique Sud. GE Financement,société locale – filiale de GE – s’estainsi installée en Nouvelle-Calédonieen 2002, avant l’ouverture d’un autre

bureau, l’année suivante, en Polynésie.L’ensemble outre-mer compte aujour-d’hui 300 salariés, dont 11 à Nouméaet 7 à Papeete. Une arrivée qui dyna-mise le marché et qui crée un effet deconcurrence vis-à-vis des autres opéra-teurs – essentiellement bancaires –, dela place.

Implanté depuis 2002 en Nouvelle-Calédonie,General Electric Financement est la premièresociété financière locale indépendantespécialisée. Centrée sur l’offre d’une largepalette dans le secteur des véhicules et dumatériel roulant, elle débute sa diversificationdans la défiscalisation et les crédits à laconsommation. Tour d’horizon avec Gilles deLaunay, directeur général.

General Electric, plus d’un siècle d’existence

Gilles de Launay, directeurgénéral de GE Financement

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info pratiqueinfo pratique

Qu’est-ce qu’untraitement nominatif ?Lorsqu’on utilise le nom despersonnes physiques, le trai-tement est appelé nominatif.En revanche, il devient indi-rectement nominatif lorsqu’ilpermet d’identifier une per-sonne sans faire apparaîtreson nom, par le biais d’unnuméro de téléphone ouencore d’un matricule.

Pourquoi déclarer ?Ce n’est pas un fichier com-me les autres : il concernedes morceaux de vie privée etla loi « informatique et liber-tés » en réglemente l’usage.

Quels fichiersdéclarer ?En principe, que le traitementsoit directement ou indirecte-ment nominatif, tout fichierdoit être déclaré à la CNIL.Cependant, certains fichiers

peuvent être dispensés dedéclaration. Il s'agit essentiel-lement de la comptabilitégénérale ainsi que desregistres des membres oudes correspondants deséglises ou des regroupementsà caractère religieux, philoso-phique, politique ou syndical.

Comment les déclarer ?Il faut effectuer la déclarationà l'aide du formulaire Cerfan°99001 disponible au servi-ce de documentation de laChambre de commerce etd'industrie ou directementsur le site internet de la CNIL,www.cnil.fr. Attention, n'ou-bliez pas, par la suite, dedéclarer les éventuelles modi-fications.

Quelle est la procédure ?Une fois le formulaire rempli,

les annexes et les justificatifsfournis, l'ensemble de cesdocuments en trois exem-plaires sera adressé à la Cnil,en recommandé avec accuséde réception. Un récépissévous sera transmis en retour.Pour savoir si un traitement aété déclaré, vous pouvezinterroger les services de laCNIL qui vous donneronttoutes les informations utiles.

Quand peut-ondémarrer l’exploita-tion du fichier ?La mise en œuvre du traite-ment est réglementée. Pourle secteur public, il fautattendre la publication del'acte réglementaire (prisaprès avis de la CNIL). Pourle secteur privé, la délivrancedu récépissé de déclaration.

Qui doit signer ?Celui qui a décidé de mettre

en œuvre un traitement nomi-natif : un maire, un président-directeur général ou encoreun directeur. Attention : lesignataire est considéré com-me juridiquement respon-sable du contenu de la décla-ration..

Quelles sanctions ?Procéder à des traitementsautomatisés d'informationsnominatives, sans que les for-malités aient été respectées,est puni par la loi. Les peinesprévues peuvent aller jusqu'à3 ans d'emprisonnement et 6millions de francs Pacifique.(Art. 226-16 du code pénal).Attention aux oublis, volon-taires ou non.Il faut savoir aussi que danstout traitement d'informationsnominatives, d'autres précau-tions doivent être prises. Ain-si, la sécurité des donnéesdoit-elle être préservée. Elles

< informatique et libertés

Tout fichierinformatisé avecdes donnéesnominatives doitêtre déclaréauprès d’unorganisme officiel,la Commissionnationale del’informatique et des libertés, la CNIL.

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Déclarer ses fichiers à la CNILDéclarer ses fichiers à la CNIL

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adresses utiles CNIL21, rue Saint-Guillaume75340 PARIS CEDEX 07Tel : (33) 1 53 73 22 22Fax : (33) 1 53 73 22 00www.cnil.fr

CHAMBRE DE COMMERCE ET D'INDUSTRIESERVICE DE DOCUMENTATIONBP M398849 NOUMEA CEDEXTel : 24.31.20.

Une directive européenne…Le texte transpose une directive européenne qui tend à har-moniser les divergences entre les législations nationales enmatière de données nominatives. Elle retient le principe dela liberté de circulation des données à l’intérieur de l’Union.Le texte définit ce qu’il faut entendre par « traitement dedonnées à caractère personnel », modifie le rôle de la CNIL,prend des dispositions contre le piratage, et précise lesrégimes d’autorisation de certains traitements.Loi 2004-801 du 06.08.04JONC 7808 du 24.08.04

ne doivent pas non plus êtredéformées, endommagéesou communiquées à destiers non autorisés. Là aussi,on s'expose à des sanctions :5 ans de prison et uneamende pouvant atteindre38 millions de francs Paci-fique (Art. 226-17 du codepénal).Dans la législation française, iln'est pas obligatoire d'avertirles personnes "fichées"lorsque les données sont col-lectées auprès des tiers (achatde listes). Mais cette facilitédevrait disparaître rapidementdès la transcription dans notredroit interne de la directiveeuropéenne sur l'informatiqueet les libertés.

Qui peut accéder au fichier ?Toute personne doit pouvoirprendre connaissance, voireexiger une rectification desinformations qui la concer-nent. Mais seules les per-sonnes physiques peuvents'opposer à ce que leur nomfigure sur un fichier. Dans la pratique, ce droit estdifficile à mettre en œuvre. Ilfaut que la personne connais-se l'existence du fichier etsache qu'il contient des infor-mations la concernant. Pourpallier cette difficulté, la Cnilmet à la disposition du publicla liste des traitements exis-tants avec les caractéristiquesessentielles de chacun. Cetteliste, appelée couramment"fichier des fichiers", ne per-

met toutefois qu'une interro-gation générale.

Peut-on conserverles informationsd’un fichiernominatif ?Pas au-delà de la duréenécessaire aux finalités dutraitement pour lequel ellesont été enregistrées. Le codepénal sanctionne la conser-vation des données pour unedurée supérieure à celle quia été déclarée. En cas detransmission à un tiers, larectification ou l’annulationd’une information nominativedoit être notifiée à ce tiers.

Quid de lacommercialisation ?Les transactions commer-ciales d’informations nomi-natives doivent respecter laloi « informatique et liber-tés » dans son intégralité :déclaration, collecte, infor-mation préalable des per-sonnes concernées en casde cession de données, res-pect du droit d’opposition àla collecte ou à la cessiond’informations, prise encompte des demandes deradiation. Par ailleurs, lesresponsables des fichiersdoivent permettre aux per-sonnes figurant dans destraitements d’exercer pleine-ment leurs droits. Le refus oul’entrave au bon exercice deces droits est sanctionnépénalement. ◆Source : CNIL

< recrutement de la promotion 2007

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Unir les efforts pour favoriser l’insertiondes jeunes et répondre aux besoins dequalification des entreprises, c’estdésormais chose faite avec la signatu-re de contrats « qualité » par les troischambres consulaires : métiers, agri-culture et CCI. Combiné avec l’ap-prentissage, le dispositif ouvre auxjeunes l’accès à une formation diplô-mante reconnue ainsi qu’un suivi etune aide à l’insertion professionnel-le. Pour les entreprises, il représen-

te une garantie à leurs attentes en matière de compétences etde qualification.

La réussite, une prioritéPour redorer le blason de la formation par alternance, lescontrats « qualité » prévoient d’aller au-devant des jeunes etdes entreprises à travers différentes actions : « bus de l’ap-prentissage » pour l’aspect promotion, remise à niveau desjeunes, visites des apprentis en entreprise ou encore renforce-ment des actions pédagogiques. L’apprentissage permet d’ac-céder à tous les niveaux de qualification, du CAP (certificatd’aptitude professionnelle) au BTS, brevet de technicien supé-rieur, diplôme de niveau bac +2.Le CFA de la CCI propose une quinzaine de formations dans lessecteurs de la logistique, des services, du commerce, du para-médical ou encore de l’hôtellerie et de la restauration. Elle pré-pare aussi à trois BTS : « transport », « comptabilité et ges-tion » et « force de vente », renommé « négociation relationclientèle » dès la rentrée 2005. Avec un taux de réussite deplus de 75%, l’apprentissage permet aujourd’hui de choisirréellement son métier. ◆

Ouvert aux bacheliers, leconcours d’entrée à l’EGC sedéroulera le 24 novembreprochain. Au programme :des épreuves écrites de fran-

çais, de mathématiques,d’anglais et de culture géné-rale, avant d’être, pour les 50meilleurs, admis à l’oral.Seuls 26 seront retenus et

composeront la promo 2007.Cet entretien individuel,début décembre, mettra l’ac-cent sur la motivation, l'ou-verture d'esprit et la qualitéd'expression des postulants.Les dossiers d’inscriptionpeuvent être retirés directe-ment à l’école. Les candidatsont jusqu’au 21 novembrepour les déposer et pour s’ac-quitter des frais d’inscriptionau concours (2500 francs).Un accès direct en deuxièmeannée est cependant possiblepour tout titulaire d’un bac+2ou justifiant d’une annéeréussie dans une formationcommerciale.

Les dossiersdisponibles à l’écoleLe cursus, sur trois ans, estessentiellement axé sur lastratégie de l'entreprise, lapolitique commerciale et lestechniques de marketing, lagestion et les finances ainsique l'international. Par

ailleurs, huit mois de stagessont étalés sur les troisannées avec un séjour de 10semaines dans une universitéaustralienne. Les diplôméspeuvent ensuite présenter leconcours d’entrée aux écolessupérieures de commerce enMétropole. ◆

à retenir Date limite des inscriptions21 novembre – 17h00Epreuves écrites : 24 novembre Oral : entre le 6 et le 10 décembreLes dossiers d'inscriptionpeuvent être retirés dès àprésent (1er ou 4e étage

de l’immeuble Journot)

où se renseigner ? A l’Ecole de gestion et de commerceImmeuble Journot – 4e étage17, rue de Verdun - NouméaTél : 24 31 40 - Fax : 24 31 31e-mail : [email protected]

Les prochaines épreuves du concours d’entrée àl’Ecole de gestion se dérouleront fin novembre.Sur la centaine de candidats, seuls 26 jeunesintègreront la promotion 2007. Conditions pour yparticiper.

Le concours d’entrée, c’est bientôt !

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formationformation

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Signés en mai dernier avec le gouvernement etles trois chambres consulaires, les contrats« qualité » s’inscrivent dans la réforme de laformation professionnelle engagée en 2003.Objectif du dispositif : un meilleur suivi pour unemeilleure formation.

< avec la mise en place des contrats « qualité »

L’apprentissage défend son image

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< écoute, impartialité, capacité d’analyse d’une situation de conflit

l’organisation de l’entreprise

Initiation à la création d’entreprise Durée : 36 heures – 48000 francs par participant Selon la demande

Le projet d’entreprise et/ou de service :enjeux et méthodologie Durée : 24 heures70000 francs par participant Selon la demande

management – communication –ressources humaines Identifier les différents styles de management Durée : 16 heures52000 francs par participantSelon la demande

Comment conduire une réunionefficacement Durée : 16 heures – 52000 francs par participant Selon la demande

La régulation des tensions et des conflitsdans les équipes 1er et 2 décembre 7h45-11h45 et 13h00-1700 Durée : 16 heures – 52000 francs par participant

Comment devenir formateur occasionnel Durée : 16 heures – 52000 francs par participant Selon la demande

La conduite d’un entretien de recrutement Durée : 16 heures – 52000 francs par participant Selon la demande

< les offres de formations

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Tél. 24 31 35 - E-mai l : fpc@cci .nc Toutes nos format ions sur www.cci .nc

D’une vingtaine d’heures, cestage est programmé selon lademande plusieurs fois dansl’année. Il s’adresse aux chefsd’entreprise, auxdirecteurs des res-s o u r c e shumaines, auxgestionnaires etreprésentantsdu personnelainsi qu’à tousceux qui veulenta m é l i o r e rl e u r s

relations aux autres. Septthèmes sont abordés durantla formation. La première

phase consiste à dévelop-per sa capacité d’ob-

servation etd’analyse dans

une situation conflictuelle. Eneffet, avant toute chose, ils’agit de décoder les compor-tements ainsi que les modesde communication habituels.

Considérer les besoins et sentiments de chacunLa deuxième partie est cen-trée sur la prise en comptedes besoins et des sentimentsde chacun. La troisième éta-pe, quant à elle, est consa-

crée au développe-ment de

l’écoute acti-ve : pour-quoi faut-ilp r e n d r een comp-te less e n t i -mentsexpri-méso u

latents, les comportements ?L’apprentissage du message «je » consiste à l’utilisation del’expression personnelle, l’af-firmation de soi sans être blâ-mant ou destructeur. Lesdeux derniers chapitres sontdavantage tournés vers le rôleet le travail du médiateur. Ilsmettent l’accent sur l’espritd’écoute, l’impartialité, l’em-pathie et la prise de distance.Les différentes étapes d’unemédiation sont analysées à lafin de la session, avec desmises en situation et des caspratiques. Les prochainesdates sont prévues finnovembre (lire encadré). ◆

Pour s’inscrire, il suffit decontacter CCI Formation – 14rue de Verdun – Tél : 24 3135 – Mail : [email protected]

l’esprit de médiation Du 22 au 25 novembre 2004de 7h45 à 11h45Le 26 novembre de 7h45 à11h45 et de 13h à 17hDurée : 24 heures – Coût parparticipant : 70000 francs

L’esprit de la médiation

formationformation

Le centre de formation continue propose unesession sur la médiation en partenariat avecl’Association de médiation de Nouvelle-Calédonie. Objectifs : mieux cerner les ressortsd’une situation conflictuelle pour pouvoirémerger des solutions concrètes.

foires et salons

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Nouméasports mécaniques

Salon de la moto5 et 6 novembre

Contact : Maison des artisansTel : 27 56 85

Salon du véhiculed’occasion et dutuningDu 22 au 24 octobre Anse VataContact : RCOTel : 28 20 21Fax : 28 80 10Mail : [email protected]

technologies

Salon del’informatique et des télécomsDu 18 au 21 novembreContact : Maison des artisansTel : 27 56 85

décoration

Objets décoDu 2 au 5 décembreContact : Maison des artisansTel : 27 56 85

Métropolemode

IntersélectionNovembre 2004, dates nonpréciséesParis nord, VillepinteContact : EurovetTél : 00 33 1 47 56 32 32Fax : 00 33 1 47 56 32 [email protected]

sécurité

ExpoprotectionDu 2 au 5 novembre Paris nord, VillepinteContact : ReedTél : 00 33 1 47 56 21 95Fax : 00 33 1 47 56 52 [email protected]

fenêtres et portes

Equip baieDu 16 au 19 novembreParis, porte de VersaillesTél : 00 33 1 47 56 24 80

Fax : 00 33 1 47 56 08 [email protected]

bio et nature

MarjolaineDu 6 au 14 novembreParis, parc floralContact : SPASTél : 00 33 1 45 56 09 09Fax : 00 33 1 44 18 99 [email protected]

environnement

Pollutec

Du 30 novembre au 3décembreLyon, EurexpoContact : ReedTel : 00 33 1 47 56 21 24Fax : 00 33 1 47 56 21 [email protected]

chine

bâtiment travauxpublicsBaumaDu 16 au 19 novembreShanghaiContact : Munich Trade FairsFax : 00 86 21 68 86 22 [email protected]

franchise

Foire de la grandedistributionDu 18 au 20 novembreShanghaiContact : Keylong ExhibitionsFax : 00 86 21 52 89 67 [email protected]

viêt-nam

agroalimentaire Food & Hotel Ho Chi Minh Du 2 au 4 décembre Contact : Promessa Fax : 00 33 1 34 57 11 40

japon

machine-outilJimtofDu 1er au 8 novembreContact : Japan Machine toolBuildersTel : 00 81 3 34 34 39 61

agroalimentaireFoodex

Du 8 au 11 mars 2005TokyoLes entreprises quisouhaitent participer à cettegrande manifestationpeuvent d’ores et déjàs’adresser à la cellule Comexde la CCI pour obtenir tousles renseignements pratiques– Tel : 24 31 17

Les dates des salons sontmentionnées sous réserve.N'hésitez pas à contacter lesorganisateurs pour obtenirtous les renseignements pratiques.

bourse aux affaires

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MÉTROPOLE

PiscinesFabricant et leader européende la piscine recherche sonimportateur exclusif pour laNouvelle Calédonie. Marchésciblés : piscine privée, pisci-ne publique, rénovation,accessoires et produits d’en-tretien.Mail : [email protected]

Affaires en ChineSociété implantée à Lille, spé-cialisée dans les relationsd’affaires entre la France et laChine propose de nombreuxservices tels que la traduction

de brochures, de site Inter-net, l'organisation de déléga-tions d'affaires.Contact : AZIA SARLTél : 00 33 3 20 40 96 24 Fax : 00 33 3 20 12 32 34Mail : [email protected] www.azia.biz

PHILIPPINES

Produits alimentairesExportateur de conserves deviandes, de poissons, depâtes instantanées recherchede nouveaux marchés.Contact : Sybueco EntrepriseFax : 00 632 78 04 865Mail : [email protected]

ITALIE

MobilierFabricant recherche importa-teurs-distributeurs.BRE 2004-02272

Café et dérivésSociété recherche importa-teurs-distributeurs pour soncafé. Cette société offre unlarge éventail de produitshaut de gamme (café, déca-féiné, café aromatisé).BRE 2004-02257

CosmétiquesFabricant italien de produitscosmétiques, recherche

importateur-distributeur pourcontrat d’exclusivité.BRE 2004-02294

TURQUIE

MobilierFabricant de meubles en boiset métalliques, implanté enEurope depuis 1984, souhai-te trouver de nouveauxaccords commerciauxWeb : www.maysa.com.trMail : [email protected]

Toutes les annonces codées sontrépertoriées sur un réseau spécial,le BRE, bureau de rapprochementdes entreprises, et ne sont pasaccessibles directement.

Pour plus de renseignements,consultation ou parution d’uneannonce, il faut se rapprocher dela cellule du commerce extérieurde la CCI.

Contact : Anne BeyneyTel : (687) 24 31 17Fax : (687) 24 31 31e-mail : [email protected]à

à lireà lire< tous ces ouvrages peuvent être consultés au service documentation de la cci

cci françaises à l’étranger

110 établissements dans 75pays et 800 permanents auservice des entreprises, tel estle réseau des Chambres decommerce et d’industrie fran-çaises à travers le monde.Essentiellement tournéesvers l’appui à l’international,elles proposent toute unegamme de prestations :conseil, prospection, domi-ciliation, information, tablesrondes et formation. Ce

sont également des contactsprécieux pour tous ceux qui souhaitent rechercher des fournis-seurs ou des partenaires commerciaux sur place. L’annuaire2004-2005 répertorie les coordonnées de toutes les Chambresconsulaires françaises à l’étranger. En consultation au service de documentation

économie

Le magazine consacreun important dossier àdes jeunes chefs d’entre-prises inscrits dans dessecteurs aussi variés quel’environnement, la sécuri-té et le bâtiment. Dynamis-me, esprit d’initiative, sensdes responsabilités ainsiqu’une grande maturitésont les points communs deces jeunes entrepreneurs.Et aussi, dans le mêmenuméro, l’opinion du patronat calédonien sur la déclaration depolitique générale, un entretien sur le tourisme avec GeorgesTorrani, directeur des Méridien de la Nouvelle-Calédonie.En vente chez les dépositaires de presse. Prix : 600 francs.

s’implanter chez nos voisins

Dans son numéro surl’Australie, le Moci a menél’enquête au cœur desréussites françaises,petites et grandes. Et lestricolores ont le vent enpoupe : les produits sontappréciés et le savoir-fairereconnu dans des secteurscomme l’agroalimentaire, laparfumerie, les cosmétiqueset le textile. Par ailleurs, lesgrandes industries françaisessont représentées dans laquasi totalité des secteurs etcertaines commencent même à rayonner en Asie à partir del’Australie. Le Moci, n°1660 à 1663 – 22 juillet au 18 août 2004.

choisir avant de se lancer

Quelle est la différence entreune entreprise en nompropre et une société ? Com-ment choisir entre les deuxstructures ? Quelles sont lesformalités ? Faut-il s’inscrireau Ruamm ? Quel régime fis-cal ? Autant de questions aux-quelles cette plaquette tentede répondre. L’ouvrage com-prend une vingtaine de pages,quatre fiches pratiques en cou-leurs et des contacts utiles.Entièrement réalisé par le servi-ce juridique de la CCI, il est dis-ponible au prix de 2000 francs.

mieux comprendre l’europe

12 chapitres, 12 leçonsd’histoire et d’économiesur l’Union européenne,tel est l’objectif de ce petitguide. Parmi les thèmes, lelecteur retrouve bien sûrles grandes phases histo-riques de la construction del’Union, le fonctionnement,la notion de marché intérieurou encore l’aspect monétaireavec l’instauration de l’euro. La brochure peut être consul-tée gratuitement au servicede documentation de la CCI.

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cci info n°121 - octobre 2004

l’entreprise individuelle

Gros plan sur l’entreprise ennom propre, c’est ce que pro-pose la brochure de la CCI. Ausommaire : les formalitésadministratives, la fiscalité,un résumé de la réglementa-tion du commerce extérieur,la protection sociale ainsique toute une série decontacts et d’adressesutiles. Réalisé par le service juri-dique de la CCI. Prix : 500francs.