-------------------------------------De: Envoyé: A: Objet: Pièces jointes:

La pointe 14 décembre 201111:49

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Exclusif - Radio-Canada a appris que des dirigeants de la Fédération des travailleurs du Québec et du Fonds de solidarité FfQ ont accompagné l'entrepreneur en construction Tony Accurso clans des cures de jeûne pouvant coûter jusqu'à 5000 $par semaine, dans un luxueux centre de santé en Allemagne.

Dans une rare entrevue à Radio-Canada, l'ex-président de la FTQ-Construction. Jean Lavallée, qui a aussi été un membre très influent du conseil d'administration du Fonds de solidarité jusqu'en 2009, affirme qu'il ne regrette pas ces cadeaux ni sa relation d'amitié très étroite avec Tony Accurso.

Le reportage d'Alain Gravel

Au cours de l'entrevue, M. Lavallée confirme qu'il est allé «plusieurs fois » sur le luxueux bateau de l'entrepreneur, le Touch, et qu'il est allé en Allemagne faire des cures « pour maigrir ». Il décrit ces cures comme étant« boire de l'eau» seulement, et affirme qu'elles permettaient de perdre 10 à 12 livres (4,5 à 5,5 kilos) par semaine.

Jean Lavallée ne voit aucun conflit d'intérêts, même lorsque ces cures étaient payées par Tony Accurso, alors que M. Lavallée dirigeait le plus gros syndicat du secteur de la construction et qu'il devait approuver des investissements du Fonds de solidarité FTQ dans des projets soumis par son ami Accurso.

M. Lavallée ajoute qu'il a lui-même fait « des cadeaux »à Tony Accurso « pour le remercier ». «Je n'ai pas à te dire ce que je lui ai donné, mais je lui ai donné des cadeaux. Je lui ai fait des cadeaux qui compensaient pour ce qu'il me faisait, mais c'était en tant qu'ami », a déclaré Jean Lavallée au journaliste Alain Gravel.

Radio-Canada a appris qu'un autre membre influent de la FfQ et du Fonds de solidarité, Louis Bolduc, des Travailleurs unis de l'alimentation, est lui aussi allé au centre de jeûne thérapeutique allemand en 2007. Il accompagnait M. Accurso. Sa femme, Guylaine Momeau, une cadre du Fonds de solidarité, était aussi présente. M. Bolduc aussi estime ne pas s'être placé en situation de conflit d'intérêts.

Selon ce que Radio-Canada a appris, Tony Accurso a aussi invité Michel Arsenault à l'accompagner en Allemagne en 2009. M. Arsenault n'y est finalement pas allé. C'était à l'époque du scandale sur sa présence sur le Touch. M. Arsenault nie avoir reçu cette invitation.

Les policier!'> de la Sûreté du Québec, qui ont enquêté notamment ~ur le Fonds de i.,olidarité et la FTQ­Con:-.truccion dans le cadre du projet Diligence. connais)taienl CC!-> infonnations. Une enquête qui sbt tcrn1 irn.: ~ abruptement, au grand mécontentement de œrtains d'entre eux.

D'après w1 reportage d'Alain Grave[

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------------------ -------------------De: Envoyé: A:

Morin,Denis (3) <d @surete.qc.ca> lljuin 2017 23:14 ' @videotron.ca'

Objet: TR: Revue de pesse écrite ., Pièces jointes: i . .. . ~- .. . ~ ,.,... ~

De: Belcourt [mailto:Belcourt] Envoyé : 15 décembre 2011 07:41

adn_logo_fina14Jpg; ATIOOOOl..htm; 20111215 SQ-UPAC RDP.pdf; ATI00002 .. htm

À: @upac.gouv.gc.ca; @surete.gc.ca

Objet : Tr: Revue de pesse écrite

Guylaine Belcourt ConseillÀ" re Direction gA©nA©rale SÀ11retÀ© du QuA©bec Bur. Cell.

De : Richard Desmarais [mallto @mac.com] EnvoyA© : Thursday, December 15, 20li 05:41 AM A€ : Belcourt,Guylaine Objet : Revue de pesse A©crite

Richard Desmarais PrÂ~ident

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=TQ « Tony'Accur•o

Vlichel Arsenault aurait reçu un ::adeau valant plus de 12 000 $ \gence QMI 14/12/2011 20h04

vlONTRÉAL - Le président de la FTQ et du conseil j'administration du Fonds de solidarité FTQ, Michel \rsenault, aurait reçu en 2008 un cadeau valant plus je 12 000 $ de la part de l'entrepreneur Tony \ccurso, a rapporté Radio-Canada, mercredi .

• e cadeau, qui aurait été acheté dans une bijouterie 3irks, aurait été remis au chef syndical en 2008, jurant les Fêtes, selon la société d'État.

:n fin de journée mercredi, la FTQ a vivement jénoncé ces informations. «Encore une fois, Radio­:anada a choisi de diffuser des informations :alomnieuses et la FTQ regrette la couverture >iaisée dont fait preuve la société d'État depuis >lusieurs mois à l'endroit de la FTQ, du Fonds de >olidarité et de son président», a dénoncé la FTQ, jans un communiqué.

<Michel Arsenault n'a jamais accepté de tel cadeau, ii de M. Accurso, ni d'ailleurs de tout autre >artenaire», assure le syndicat.

vlardi, la société d'État avait rapporté que des jirigeants de la FTQ et du Fonds de solidarité ont 1oyagé avec l'entrepreneur Tony Accurso dans des >tations thermales allemandes .

• 'ancien président de la FTQ-Construction, Jean .avallée, avait affirmé avoir .été «plusieurs fois» sur e luxueux yacht de Tony Accurso. Il était allé faire jes cures en Allemagne «pour maigrir», des :raitements pouvaient coûter jusqu'à 5000 $ par ;emaine.

:n entrevue à Radio-Canada mercredi, M. Lavallée a !Ssuré qu'il ne savait pas, lorsqu'il était à la tête du ;yndicat, que le milieu de la construction était infiltré >ar le crime organisé.

Je son côté, M. Arsenault avait assuré mardi qu'il i'avait jamais été invité à participer à ces vacances rn Allemagne avec Tony Accurso. Radio-Canada 3ffirme toutefois le contraire. Quoi qu'il en soit, vlichel Arsenault n'est finalement pas allé faire une :ure avec l'entrepreneur.

ADN~ media

FTQ : un cadeau d'une valeur de plus de 12 000 $ de Tony Accurso à

Michel Arsenault est le président du plus gros syndicat au Québec et du conseil d'administration du Fonds de solidarité FTQ.

Nous avons appris que pendant la période des Fêtes en 2008, Michel Arsenault a reçu de l'entrepreneur Tony Accurso un cadeau qui a été acheté dans une bijouterie Birks.

Notre enquête ne nous permet pas de savoir avec certitude de quel objet il s'agit. Par contre, nous savons que ce cadeau a une valeur estimée à plus de 12 000 $. ·

Tony Accurso a bénéficié de millions de dollars d'investissement du Fonds de solidarité.

L'attaché de presse de Michel Arsenault nom~ a écrit un courriel pour nier formellement« qu'un tel cadeau ait été accepté». Tony Accurso a également nié avoir offert un tel cadeau.

La FTQ a publié un communiqué mercr~di soir dénonçant la couverture de Radio­Canada sur l'organisme depuis plusieurs mois. Le porte-parole de Michel Arsenault a nié de nouveau nos informations. ·

L'enquête de Revenu Canada sur la fraude fiscale a révélé que dans les dépenses de Construction Louisbourg, qui appartenait à Accurso, on retrouve quelque 600 000 $d'achats dans une bijouterie de Montréal. Des montres Rolex, de plumes Mont-Blanc et du cristal de Baccarat.

Mardi, Radio-Canada et Le Devoir révélaient que Tony Accurso a invité plusieurs dirigeants de la FTQ et du Fonds de solidarité, dont Jean Lavallée et Louis Bolduc, dans un luxueux centre de santé en Allemagne pour faire des cures d'amaigrissement.

Le Fonds de solidarité de la FTQ soutient que depuis ce temps, il a amélioré ses règles de gouvernance.

Comme pour les voyages en Allemagne, la Sûreté du Québec était au courant du cadeau d'une valeur de plus de 12 000 $offert par Tony Accurso. Puisqu'ils ont été nommés juges au cours des derniers mois, il a été impossible de poser des questions aux ex-procureurs de la Couronne qui, à l'époque, ont pris la décision finale de ne pas porter d'accusation dans un volet de l'enquête Diligence, qui portait spécifiquement sur la FTQ.

D'après le reportage de Marie-Maude Denis

FTQ : Jean Lavallée dit qu'il ignorait que le milieu de a construction était infiltré par la mafia

EXCLUSIF - L'ancien président de la FTQ-Constructlon, Jean Lavallée, qui a été en poste pendant plus d'un quart de siècle, dit qu'il ne savait pas que le milieu de la construction était infiltré par le crime organisé du temps de sa carrière de syndicaliste.

Dans un long entretien avec Radio-Canada, il affirme qu'il ignorait 'existence de liens entre certains représentants syndicaux et la mafia.

« Moi, je n'ai pas voulu m'embarquer dans ça, puis je n'ai pas voulu en 3ntendre parler. Je ne connaissais pas ce monde-là, je ne voulais pas 1on plus », dit-il.

l\lain Gravel : « Donc on pourrait dire que ce n'est pas étonnant que 3i le président de la FTQ-Construction avait les yeux fermés, la mafia a ·éussi à infiltrer le domaine de la construction? »

Jean Lavallée : « Ça, moi, je ne le sais pas. »

_a Sûreté du Québec, avec son projet Diligence, a mené des enquêtes 3ur le secteur de la construction en 2008 et 2009. Elles ont notamment :>orté sur l'infiltration du milieu par les Hells Angels, sur l'implication de Casper Ouimet, ainsi que sur les liens qu'entretenait le directeur ;iéné~al de la FTQ-Construction de l'époque, Jocelyn Dupuis, avec 'ancien bras droit des Rizzuto, Raynald Desjardins. Un des représentants syndicaux du temps du Conseil conjoint ·egroupant la FTQ-Construction et le Conseil provincial des métiers de a construction était Johny Bertlolo, un criminel notoire. M. Bertolo a "ejoint les rangs du conseil après avoir purgé une peine de 12 ans en :>rison pour trafic de drogue. Il a été assassiné en 2005.

_'ancien président de la FTO-Construction soutient aujourd'hui qu'il gnorait tout du passé de M. Bertolo.

Jean Lavallée : « C'est après qu'on a su que lui avait déjà fait du :emps. Mais le temps qu'il a été à la FTQ, c'est un gars qui faisait :::>eaucoup de bon travail pour les peintres et métiers connexes pour equel il travaillait. »

Alain Gravel : « Mais c'est un mafieux M. Lavallée. »

Jean Lavallée:« Mais oui, qu'est-ce que tu veux, je ne le savais pas ::iue c'était un mafieux. Puis il donnait des paniers aux fêtes pour le 110nde pauvre. C'est un gars qui faisait un bon travail. Qu'est-ce qui 3'est passé, je ne le sais pas, moi. Je ne suis pas un gars de a mafia. »

Alain Gravel: « Vous ne saviez pas non plus que votre directeur • • • •• •• - 1. - • •• •• • 1 •••

SUITE

FTQ : Jean Lavallée dit qu'il ignorait que le milieu de la construction était infiltré par la mafia

Alain Grave!:« Vous ne saviez pas non plus que votre directeur général était en contact avec Raynald Desjardins, l'ancien bras droit de Vito Rizzuto, le boss de la mafia? »

Jean Lavallée : « Non. »

M. Lavallée dit que si la commission d'enquête Charbonneau le convoque, il n'aura pas le choix d'y aller. Entre-temps, il soutient n'avoir qu'un seul regret : avoir pris sa retraite trop tard.

D'après un reportage d'Alain Grave/

ublié le 14 décembre 2011 à 18h39 1 Mis à jour à 18h39

~ccurso aurait donné un cadeau de 2 000 $ à Arsenault

:milie Bilodeau a Presse .'entrepreneur Tony Accurso aurait donné un cadeau 'une valeur de 12 000 $ au président de la FTQ, tichel Arsenault, pendant le temps des Fêtes en 008, selon Radio-Canada. L'objet aurait été acheté à 1 bijouterie Birks.

'enquête de Revenu Canada sur la fraude fiscale a ermis de mettre en lumière les dépenses de l'entreprise :onstruction Louisbourg, qui appartenait à Tony Accurso. >n y retrouve plus de 600 000 $ d'achats dans une ijouterie de Montréal, dont des montres Rolex, des lumes Mont Blanc et du cristal de Baccarat.

1ichel Arsenault et Tony Accurso ont tous les deux nié existence de ce cadeau.

Vice-président

Un ex-haut gradé de la SQ passe à la Régie du bâtiment du Québec Rémi Nadeau / Agence QMI 14/12/2011 16h56

QUÉBEC - Un ex-haut gradé de la Sûreté du Québec (SQ) se voit confier la tâche de faire le ménage dans l'industrie de la construction. Le conseil des ministres a entériné mercredi la nomination de Richard Saint-Denis au poste de vice-président de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ).

Le projet de loi 35, visant à prévenir les pratiques frauduleuses dans l'industrie de la construction, prévoyait l'ajout d'un Vice-président à la RBQ pour porter leur total à trois.

M. Saint-Denis, qui a occupé le poste de directeur de la lutte au crime organisé à la SQ pendant deux ans, aura la responsabilité exclusive des enquêtes.

Sa nomination survient alors que la RBQ s'est vue octroyer plus de pouvoirs pour sanctionner les entrepreneurs malhonnêtes.

En vertu du projet de loi 35, adopté tout juste avant l'ajournement des travaux parlementaires à l'Assemblée nationale, toute entreprise coupable d'évasion fiscale au cours des cinq dernières années perdra le privilège d'obtenir des contrats publics pour une période de cinq ans.

La compagnie fera aussi l'objet d'une enquête de la RBQ qui pourra suspendre sa licence.

« Avec les changements apportés à la gouvernance de la RBQ, Richard Saint-Denis aura toute la latitude voulue pour mener à bien les enquêtes destinées à protéger la population contre les entrepreneurs qui contreviennent aux lois », a fait savoir la ministre du Travail, Lise Thériault, par voie de communiqué.

Le ministère n'était toutefois pas en mesure de préciser la date de son entrée en fonction. Dans le passé, l'Action démocratique du Québec avait déploré l'inexpérience des deux vice-présidents de la RBQ, Pierre­Michel Auger et Robert Généreux, dans le domaine des enquêtes. Selon la députée adéquiste Sylvie Roy, tes dirigeants de ta régie n'avaient pas l'indépendance et la compétence nécessaires pour s'attaquer à la corruption dans l'industrie de la construction.

•• Accurso aurait donné un cadeau de 12 000$ à Arsenault L'entrepreneur Tony Accurso aurait donné un cadeau d'une valeur de 12 000$ au président de la FTQ, Michel Arsenault, pendant le temps des Fêtes en 2008, selon Radio-Canada. L'objet aurait été acheté à la bijouterie Birks. L'enquête de Revenu Canada sur la fraude fiscale a permis de met­cre en lumière les dépenses de l'entreprise Constructions Louisbourg, qui appartenait à Tony Accurso. On y trouve plus de 600 000$ d'achats dans une bijouterie de Montréal, dont des montres Rolex, des plumes Mont Blanc et du cristal de Baccarat. Michel Arsenault et Tony Accurso ont 1ous les deux nié l'existence de ce cadeau. La FTQ a par ailleurs publié un commu­niqué, en fin de soirée hier, pour dénoncer les <<reporta­ges calomnieux 11 de Radio­Canada sur la FTQ, le Fonds de solidarité et son président. - Émilie Bilocleau

La Voix de r&t >>EN BREF

LeQuotidlen

ACCURSO AURAIT DONNÉ UN CADEAU DE12 000 $A ARSENAULT L'entrepreneur Tony Accurso aurait donné un cadeau d'une valeur de 12 000$ au président de la FTQ, Michel Arsenault pendant le temps des Fêtes en 2008, selon Racfio-Canada t:objet aurait été acheté fi la bijouterie Birks. t:enquête de Revenu Canada sur la fraude fiscale a permis de mettre en lumière les dépenses de l'entreprise Constructions Louisbourg. qui appartenait à Tony Accurso. On y trouve plus de 600 000 $ d'achats dans une bt'jouterie de Montréal, dont des montres Rolex, des plumes Mont Blanc et du cristal de Baccarat. Michel Arsenault et Tony Accurso ont tous les deux nié rexistence de ce cadeau. La FTQ a par ailleurs publié un communiqué, en fin de soirée hier. pour dénoncer les «reportages calomnieuXJ> de Radio­Canada sur la FTQ, le Fonds de solidarité et son président

(la Presse)

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Accurso aurait donné un cadeau de 12 000$ à Arsenault

Radi<;Ca11ada. llibjet aurait été ache­té à la bijout.erie Birks. Uenquête de Revenu Canada sur la fraude fiscale a pennis de mettre en lumière les dé­

LA PRESSE - L'entrepreneur Tony penses de fentreprise Constructions Accurso aurait donné un cadeau Louisbourg, qui appartenait à Tony cl'wie valeur de 12 000$ au président Accurso. On y trouve plus de 600 000$ de la FTQ, Michel Arsenault, pendant d'achats dans une bijouterie de le temps des Fêtes en 2008, selon Montréal, dont des montres Rolex:,

des plumes Mont Blanc et du cristal de Baccarat. Michel Arsenault et Tony Accurso ont tous les deux nié l'existence de ce cadeau. La FTQ a par ailleurs publié \Ill communiqué, en fin de soirée hier, pour dénoncer les «reportages calonuûeux » de Radio­Canada sur la FTQ, le Fonds de soli­darité et son président.

. . le Soleil

Accurso aurait donné un cadeau de 12 000 $au président de la FTQ

MONTRÉAL-CentrepreneurTony Accurso aurait donné un cadeau d'une valeur de 12 000 S au prési­dent de la FTQ 1"lichel Arsenault pendant le temps des Fêtes en 2008, selon Radio-Canada.

Cobjet aurait été acheté à la bi­jouterie Birks. Uenquête de Re­venu Canada sur la fraude fiscale a permis de mettre en lumière les dépenses de l'en trepriseConstruc­tion Louisbow·g, qui appartenait à Tony Accurso.

On y retrouve plus de 600 000 $ d'achats dans une bijouterie de Montréal, dont des montres Rolex, des plumes Mont Blanc et du cris­tal deBaccarat. l'illchelArsenault et Tony Accurso ont tous les deux nié l'existence de ce cadeau.

La FrQ a par ailleurs publié un oommunlqué,enfindesoirée,pour dénoncer les «reportages calom­

. n1eu» de Radio-Canada sur la FfQ, le Fonds de. solidarité et son président. La Presse

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EN BREF

FTQ: Un cadeau de Tony Accmo de 12 000$

da. ftJltrtpe a invité à• fra1s des dirTœ du Fonda de saJidaritéde m. dontlouia Bolduc etl'andeo~de 1a-.Jeanla-

~~1e~:r ~~de= ArsenauJt; aurait rt;11 un cadeau cfamaJgriaement. Ces faits re-~:ne000vat8 =t à plus dedaa mœteutà'}JJ(f/ et2008. Tony ~ période ~ Aa:unoestl'un deagros em-Fètes en 20œ, de 1a part de ren- ployeura danale domaine de la ~ œntruverséTooy œnstrudioD au Québec. ta Accurso. I.e cadeau proyieodnût croissmœ de ses entreprises a d'une bijoutErle Birlœ. la FrQ a été aPouYée ~!e FoJldSde so-nié courriel que M. Arse- lklarité dè JaFIQ au.iobrd'bui ~acœptéun telcadem•. présidé par MichelArseoault. Selon Radio-Omada, œlte iDfor. Umnêe dernière, deux des m­mation est déjà connue de lapo- treprises de Tony .Aa:urso, Si-llœ qui a euqUêt4 sur la FrQ mard-Beaudry et l.ouisbourg dans le cadre def~DiJi. · Comtructfœ ont été reconnues geoœ. Michel.Arsenault est un coupalJles d'une fraude de plus ami de M. Acauso. na de 4 mUlkms àltégard du fisc~ d'ameurs séjourné sur son )'3Cht nadien. ~le~ de 1mœ, le Touda. Mais lagénê- ment du QUêbec a légiféré afin rosité deTouy Amno ne iar- de bloquer laa:ès auxCVilhats ~là. COmme le révéWent public8 am entreprises cou-

• LB DevoV et Radio-OaJa. Pables deiaude.-uDeuW

• U êpassements des coûts au CCI d'Outremont

L'enquête de la SQ au point mort FABRICE DE PIERREBOURG

L'enquête de la Sûreté du Québec sur les dépassements des coiits de constrm:tlon du Centre communautaire (CCI) d 'Outremont par la firme Dessau csr au point mort, a appris La Pms~.

Le projet lam~é par l 'cx­mai r c d'Union Montréal S téphanc Harbour et piloté par Dcuau-Soprin devait initialement coûter 6,6 mil­lions de dollars. Au bout du compte, la factu rc épongée par les contribuables montréalais s'cst êlcvtt à près de 11 mil­lions. Le double.

L'enquècc policière sur œ fiasco s'est amorcée en octo­bre 2007. Une pcrqui$hion d eu lieu à l'hotcl de vi Ile d'Outrcmont en 2009. Mals depuis, a1.11;Unc nouvclk. •Le dossier n'est pas clos, mais lcs élément$ que l'on p0$.\lëdc à cc .Jour ne permettent plus à nos enquêteurs du Scrvlœ des enquêtes sur l'intégrité tlnan­ciërc de progresser davan­tage"'• explique le llcu1cnant Guy L1pointc, des enquêtes crimlndlcs de la SQ.

Pourtant, le feuilleton du cc ra fait couler beaucoup d'en­cre a\'lUU même son inaugura­tion, en 2006. Et en décembre 2008, la linne KPMG a rdc'~ plusieurs anomalies et faits troublants dans la âçon dont cc dossier a été géré par l'adminis­tradon de Stéphane Harbour. Il est noté que le maire de l'épo­que et son dil'a:tem d'anondis­scmeu. Yft!l .Mallh~ ont d1tt en sorte qu'un ëcran s'installe entre lc conseil d'arrondi•c­mmt cr les lnrc:rvatants lmpli­quês dans la rëallsation et le ~ . .

De plus, toujours scion KPbtG, •les informations sur lc:s coûts totaux du projet ainsi que les échéanciers étalent épurés [ .•• ],cc qul donna il une vl:sion tronquée de la réalité au consdl d'arrondissement».

Üx~mailre arrltf KPMG a passé le dossier du

CCI au crible à la demande du contentieux de la Ville de Montréal, à laqudlc Dessau Soprln réclamait 2.8 millions de do0a1$, à ajouter aux qud­quc 10 millions qui lui avalent déjà été payés. Cette réèlama­tlon s'est réglée à l'amiable pom une somme de 720 OOOS plus taxes, et ce, malgré le fait que la polic;c enquêtait sur è:c:s dépasscmcnl:S de coûts.

Pour la petite hlstoi rc, le toit de l'aréna, Intégré au CCI, s'est mis à fuir un an après l'inaug.uratlon du bâtiment.

L'ex-maire Stéphane Har­bour a démissionné en octo­bre 2007. Il a été arrêté par les policiers de l'opération Marteau en avril 2010, tout

· comme son attaché politique, Jean-Claude Pat~aude, et Yvc5 Maillot, alors directeur général de l'arrondissement. Ils ont été accusés de: fraude, de fabrlcatlon de faux docu­menrs et d'abus de confiance: 32 chefs d~ccusatlon ont été déposês.

U faut préciser que ces accusations sont liées à une auuc enquête de la SQ portant csscntlcllc:mcnt sur des notes de frais gonflées. mais pas sur le scandale: du CCI. Les policiers avaient agi à la suiac d'une plainte dq,oséc en 2007 par la conseillère Noushig Eloyan. alors chef de l'opposi­tion oftlcidle.

Appel à la population Aqjourd'bui, les en~tcurs

de la Sûreté du Québec sou­haitent que d'autres langues se délient pour rdanc:cr le dossier du CC 1. •Nous sollicitons

-l~ide du public [qui peut télé­phoner au l-800-6'9-4l.64J, indique le licütatant LipdiHŒ. Le moindre détail qui peut paraitre anodin sera peut-être le morceau manquant pour terminer le cassc-tite ...

Selon le policier, Marteau pourrail prendre le dossier en main si de nouwaus m­mcnts pc:rmcttau d'orienter l •cnquc1c vers des accusa­tions potcntlellcs d'abus de --A·---._. .1- --··-..:--

FORMER SQ OFFICER NAMED RÉGIE V-P A former high-rankingpolice officer has beenappointed vice-presiclent of the Régie du bâtiment du Québec, theagency thatoversees theprovince's con­struction industry Labour Min­ister Lise Tbériault announced the Quebec cabinetappoint­ment of Richard St-Denis on Wednesday. Thegovernment's statement noted that St-Denis joined the Sûreté du Québec in 1973 androsethrough the ranks to become the head of theflght against organized crime in 1997, and then, two yearslatei; the assistant director-general of the SQ He leftthepolice force in 2006. With the new measures calledfor in thenewly adopted Bill35, the Régie du bâtiment now has threeviœpresident positions, instead of two, the statement said, addingtbat St-Denis will be responsible for investigations. Under Bill Sf>, a taxfraudconviction by a construction company within the previous flve years can be a valid reason for stripping itof existingand future government con tracts.

' . . . · ' ...