08-10-11 27-11-11 Quelle société · 2011. 10. 11. · die). La région a fourni, en 2009, 2,5 millions de quin-taux sur 34 000 ha. La fibre de lin fait l’objet de nombreux travaux

Quatrième Biennale PhotograPhiQue de ConChes en ouChe (eure/FranCe)

Quellesociété ?

08-10-11 27-11-11

Ville de ConChes

Page de couverture:Charlotte Yonga : série Lower Bottom, ashainthecar

Wanda skonieczny : dany-chapelle.Commande de la Ville de Conches.

8 octobre / 27 novembre 2011

Quatrième BiennaLe PhotograPhiQue de ConChes en ouChe (eure/FranCe)

Quellesociété ?

LE Mot DU MAiREAvec cette quatrième biennale photographique, conches s’affirme comme le principal soutien à la création photographique actuelle en Haute-Normandie. Les artistes qui nous offrent un regard original sur le monde sont plus que jamais nécessaires et utiles. Et ce ne sont pas les modes de pensée ayant en-gendré la crise actuelle qui résoudront celle-ci. Une politique culturelle ambi-tieuse, pour être comprise, doit tenir compte de la réalité locale et de son his-toire. Ainsi, cette année, une commande passée à un photographe viendra nous parler du lin. La Normandie se distingue mondialement avec cette culture et cette économie fait vivre 3.000 liniculteurs et une dizaine d’entreprises de teillage employant un millier de salariés.

La Biennale photographique de Conches, c’est :

• Une aide à la création et à l’édition avec la commande et la carte blanche donnée à la photographe Wanda skonieczny qui a travaillé pendant un an sur le thème du lin. de ce « matériau » de tradition, que notre industrie transforme peu à peu en un produit d’avant-garde, Wanda fait son sujet de création avec l’exposition dans le musée du Verre et le livre édité pour l’occasion.

• La recherche et la découverte de photographes à travers un concours sur un thème proposé, cette année : « Quelle société ? »dans la maison des arts de Conches, arnaud Brignon et ses portraits de toulousains nés à l’étranger répondent aux photographies des habitants d’un quartier populaire de san Fran-cisco immortalisés par Charlotte Younga, pen-dant que les photographies de Patrick mourral faites sur les nouvelles communautés du mou-vement hipie font écho à la froideur des pay-sages urbains photographiés au cœur de la nuit par Xavier dumoulin.

• L’ouverture à des offres originales et popu-laires avec l’exposition de plein air proposée par rémy Le guillerm.24 artistes présentent leurs œuvres sur 26 panneaux géants dans l’arboretum du musée du terroir.

• L’accueil et la reconnaissance d’initiatives pho-tographiques courageuses et inhabituelles. Paul Vancassel et l’association Photographie à l’Ouest présentent dans le Musée du Verre, les œuvres de 11 photographes adhérant au projet de Photographie à l’Ouest sur le thème « Quelle société ? »

• Un débat et des rencontresLe 5 novembre dans la salle vidéo de l’école Victor Hugo, l’association Photographie à l’ouest organisera un débat sur le thème « Photographie et société » accompagné d’une projection de photographies de photo-graphes amateurs européens.

Nous vous espérons nombreux à cet évènement, où chacun trouvera à voir et à revoir.

Alfred Recours maire de Conches, Président de la Communauté de Communes du Pays de Conches, Vice-Président du Conseil général

Christian Gobert maire-adjoint aux affaires Culturelles

Quelle société ? 7


L’histoire du lin accompagne l’his-toire des hommes depuis le néo-lithique. on a retrouvé des restes de lin dans les vestiges des cités lacustres suisses datant de 8000 av/JC. sous l’antiquité, les navigateurs

Phéniciens achetaient la fibre de lin en Égypte et l’ont ensuite introduit en Grèce, à Rome, en Irlande, en angleterre, et en Bretagne...En Gaulle, le lin était déjà cultivé bien avant l’arrivée des romains. C’est en France encore qu’au Xiiième siècle, Jean-Baptiste de Cambrai tisse les premières toiles fines de lin : «les Batistes». Arrivent ensuite au XiX ème siècle les inventions mécaniques. le métier à tisser Jacquard, puis la machine à peigner le lin de Philippe girard. si l’arrivée du Coton au début du XXème siècle, entame la suprématie du lin dès la fin du XXème siècle, les nouvelles semences et les nouvelles tech-niques redonneront à ce matériau la place convoitée qu’il occupait.réintroduit dans la région au XXe siècle par des agriculteurs des Flandres, le lin normand est sur-tout cultivé en seine-maritime (Pays de Caux), dans l’eure (plateaux de st andré et du neubourg, Pays d’ouche) et en Plaine de Caen. La normandie représente aujourd’hui 60 % des surfaces françaises cultivées en lin textile dont 86 % en haute-norman-die). La région a fourni, en 2009, 2,5 millions de quin-taux sur 34 000 ha.La fibre de lin fait l’objet de nombreux travaux et partenariats dans le cadre des recherches sur les ma-tériaux du futur à base de fibres naturelles. A terme, la fibre de lin voudrait venir concurrencer la fibre de verre et la fibre de carbone. Mais la production de matériaux composites à base de lin reste pour le moment plus coûteuse, son utilisation se limite

donc encore à quelques pièces de haute technologie, avec diverses applications comme : des prototypes de cadre de vélo, de canne à pêche, de coque de bateau de plaisance, de planche de surf, de kayak, des raquettes de tennis, des portières de voitures, des isolants, des composants pour l’automobile et l’aéro-nautique…après les portraits en tenue de travail des habitants de Conches en ouche par gilles rigoulet, après les portraits faits par eric Benard, tout au long de la seine de ceux et celles qui animent la vie de notre fleuve, c’est tout naturellement que nous avons don-né « carte blanche » à l’artiste Wanda Skonieczny pour un travail photographique sur le thème du lin. La normandie rurale est connue pour ses vaches, ses pommiers et ses fromages. et pourtant ce n’est pas pour ces productions emblématiques qu’elle se dis-tingue mondialement, mais pour une culture indus-trielle un peu marginale : le lin.Au cœur du département de l’Eure où les impres-sionnistes ont créé beaucoup de leurs chefs d’œuvre, c’est la même pluie et le même soleil qui permettent aujourd’hui le développement d’une économie qui fait vivre 3.000 liniculteurs et une dizaine d’entre-prises de teillage employant un millier de salariés.C’est en artiste que Wanda a travaillé sur le thème, c’est en artiste qu’elle a créée une œuvre ou la mo-dernité pour se développer s’appuie et se nourri des traditions. Pas de conformisme chez elle. elle n’a nul besoin de démolir les anciens, leurs codes et leur tradition pour proposer une œuvre porteuse de valeurs poétiques. en s’appropriant l’imagerie populaire de ceux et celles qui ont fait le lin au fil des siècle, elle a construit ici un travail qui nous parle d’avenir.

Christian gobert

WANDA sKoNiEcZNY

Musée du VerreLa modernité et la

tradition à cœur.


Photographie : daniel Collobert, Wanda skonieczny au travail.

Lin éterneleffacer la séparationavec la photographie, j’ai toujours cherché à effacer la séparation d’avec mes modèles.Ne pouvant me réduire à la perte, je triture l’image en la faisant passer de supports en supports textiles, en la tissant ou la déployant dans l’espace. Aux longs temps de poses passés à photographier s’additionne, le temps de l’après. un temps précieux où les modèles imprimés sur les tissus cherchent à reprendre corps, s’apprêtant à se présenter au public, tels quels, pour un face à face. Un temps où je suis dans l’image devenue peau, ventre… organique. a la recherche d’un lien en continu...ombilical.A la recherche du temps perdu (Proust).

Conserver Grâce à cette recherche spécifique sur la matière textile Lin,Je me confronte à la problématique du temps et de sa conservation.du suaire de turin, présentant l’empreinte du christ sur un drapé, au momies égyptiennes enveloppées de bandelettes de Lin, aux vanités etc.est ici soulevée la question « d’éternité. » Fragile et rugueux parfois, de la frêle fleur bleue aux éche-veaux qui serviront au tissage de lourds draps, toiles que les familles gardent toute leur vie comme un patrimoine, le Lin révèle les paradoxes. Les tensions entre éphémère et durabilité.en rencontrant les cultivateurs de Lin en région Normandie, je retrouve ces ambivalences. Face à une culture qui était sur le point disparaître, les culti-vateurs m’ont touché quant à leur capacité à s’unir pour que se transmette cette passion de père en fils. Se prêtant ici à la pose, ils m’ont spontanément confié des objets précieux liés à leurs activités, com-prenant les filiations permises par la photographie.



LiensLiens sacrés, liens éternels ? avec cette recherche j’interroge la relation aux mo-dèles. est-il possible de conserver les relations ? L’acte créatif peut-il effacer la perte ? implacablement et malgré nos attachements, nous sommes spectateurs de notre perte. malgré les liens que nous cherchons à consolider toute notre vie, de la naissance, au mariage, en passant par la commu-nion, nous sommes implacablement destinés à notre fin. Ce sont ces instants forts que je cherche à relier.

Grâce à la photographie, aux précieuses dentelles de lin que j’ai pu découvrir, c’est tout naturellement que les canivets se sont imposés à moi.Ces images évidées, analogues aux effets de brode-ries …ces Images découpées finement au canif, je les collectionne et les tisse avec la photographie.J’encadre nos liens solennels.De la Normandie à la Bretagne, je poursuis ma quête d’arborescences entre les modèles , les identités … en espérant toucher les cœurs un peu plus loin.

Wanda skonieczny

à gauche, photo-graphie : Wanda

skonieczny, com-muniantserrés.

Ci-dessus, photographie :

Wanda skonieczny, dany-chapelle


Les MONuMeN-TOILes

Dans l’Arboretum du Musée du terroir Normand.sur une proposition et une idée de Rémy le Guillermde l’association Art Diffusion Zigomart, Le Mans.


26 œuvres de 24 artistes présentées en plein air

Les arTIsTes INVITés :Anne Catherine Becker-echivard « Cosmogénie ombilicale »

Willy Bihoreau « monsanto road »

Yves Boulay « Boite à mémoire »

Thierry Chouvel « the game 6 »

Jacques deal « La Funambuloserie »

Thierry de Penhouët « Maldonne à l’enfant »

Yves hayat « Baghdad »

Rémy le Guillerm « nus »

Rémy le Guillerm « Paix » toile affiche 3 x 3 m

luna « Bee or not to be »

Christophe lustri « durable »

Bruno Pilia « igor »

Bernard Pras « Louis XiV – inventaire 47 »

olivier Roche « C’est la vie »

dagmar sippel « À votre service »

Anton solomoukha « Cancer »

Jacques Tati « Play time »

ole Tersløse Jensen « a concise history of aviation. Part3 »

Philippe Tykoczinski « Poupées »

Marie VdB « un cœur en enfance »

Marie VdB « La muse »



LEs MoNUMENtoiLEsdans l’ arboretum duMusée du Terroir Normand


Exposition collective de 11 photographes adhérents au projet de « Photo à l’ouest » (qui se propose de réunir différents acteurs régionaux et de développer les échanges entre les différentes approches de la pho-

tographie). chaque photographe exposé ici présente un aperçu de son travail à propos d’un ailleurs, nous livre un témoignage sur une autre

société, réalisé au cours d’un séjour plus ou moins long. Au final, ce sont autant de regards et de manières d’aborder d’autres cultures.

CarTe bLaNChe à L’assOCIaTION

Photo à l’ouestMusée du Verre

aVeC des phOTOgraphIes de :

Georges dussaud (Portugal),

Jean hervoche (europe du nord),

Vincent Robinot (Kirghizistan),

Michel-Philippe le haire (Venise),

luc leguérinel (Les Canaries),

Jacques Yvergniaux (afrique),

Catherine Gaffiero (maroc),

delphine dauphy (usa),

Paul Vancassel (Chine du sud),

Guy durand (Japon)

Gilles Baumont (shanghai).

photographie et société

débaT Le 5 NOVeMbre

2011 à 15 heures

SAlle ViDéo De l’école

Victor Hugo

Les photographes peuvent illustrer la vie sociale et la documenter par leurs tra-vaux de différentes façons. Mais jusqu’où les photographes peuvent-ils nous ap-prendre quelque chose des différentes manières de vivre ? en quoi leurs images

peuvent-elles nous aider à réfléchir aux rapports sociaux, aux solidarités ou aux tensions qui s’expriment dans la vie sociale ? Enfin, les photographes peuvent-ils nous aider à imaginer une autre société ?

Débat, animé par Paul Vancassel (président de Photo à l’ouest), il sera accompagné d’une projection de photographies réalisées par des photographes amateurs européens, qui se sont penchés sur la diversité interculturelle dans la vie des quartiers de rennes (workshop européen, organisé par « Photo à l’ouest » en avril 2011).

Retrouvez les photographes de l’association :www.photoalouest.com

photographie de georges dussaud Porto, Vitoria, tribunal

da relao do Porto


Musée du Verre

18 Quelle société ?

de haut en bas, photographies de : Guy durand et, Catherine Gaffiero


de haut en bas, photographies de Jaques Yvergniaux et Michel-Philippe lehaire


Les LaureaTs du CONCOursMaisons des Arts de Conches

arno brignonXavier dumoulinpatrick MourralCharlotte Yonga

© Patrick Mourral


de haut en bas et gauche à droite© Arnaud Brignon© Charlotte Younga© Xavier dumoulin


ARNAUD BRiGNoNLa douBLe aBsenCe

Travail réalisé en 2010 - 2011 avec le soutien de la bourse Toulous’up

« Tous sont nés à l’étranger. Un jour, ils ont choisi de partir, de fuir leur pays natal. aujourd’hui, ils vivent en France et savent qu’ils ne repartiront plus. Je suis allé frapper chez eux, ils m’ont raconté leur histoire et leur décision de rester ici. Ce choix est le fruit d’un long travail de deuil pour certains, d’un choix radical pour d’autres. ensuite, j’ai pris une photo... »

Arnaud Brignon 35 ans, vit à Toulouse. il appartient au collectif de photographe «du Grain à Moudre ». Travaille pour la Presse nationale (le Monde Magazine, l’humanité...) et régionale. il est représenté par la galerie Voz’images (Boulogne-Billancourt). Animateur-Photo-graphe aux Ateliers Photos saint Cyprien (Toulouse)

Prix et bourses : • Résidence à la maison

de la photographie de Lille - 2009• Lauréat bourse du Talent Espace

et Territoire #40 - 2010• Lauréat Grand Prix ETPA - 2010• Lauréat Bourse Toulous’Up - 2010• Lauréat du prix documentaire au

festival Scoop d’Angers - 2010• Dotation Kodak professionnel -

2011


XAviER DUMoULiNPassager de La nuit

« Le regard ébloui par ce qui brille, irrésistiblement attiré, le papillon qui vient se brûler les ailes nous ressemble. diurniser la nuit, c’est vouloir extirper l’homme de sa condition, c’est soumettre la nature, étendre notre emprise à toute la planète. nous exposons ainsi notre société, perdant toute spiritualité, aux menaces du tout argent et au délitement de notre identité ».

Xavier dumoulin 37 ans, vit et travaille à Paris. Appartient au collectif de photographes «les vauriens de l’image»

Collaboration régulière avec le musicien Bruno Giannotta avec qui il réalise plusieurs montages artistiques photos/musique. Pro-duit des images publicitaires et travaille pour des architectes.


cHARLottE YoNGALoWer Bottom

Cette série d’images a été réalisée entre décembre 2010 et février 2011 lors d’un séjour en résidence d’artiste à Oakland, dans le quartier dePrescott-oakland Point situé dans l’agglomé-ration de san Francisco et communément appelé West oakland ou « Lower Bottom ».

Charlotte Younga vit et travaille à Paris, 26 ans.

2010 Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique avec les félicitations du jury, ENSAPC

2008 Diplôme National d’Arts Plastiques avec mention, ENSAPC

2011 Lauréate du concours photo MAP11, SFR Jeunes Talents

2011 Résidence à la LOBOT Gal-lery, San Francisco, Usa

2009 Bourses d’Aide à la Mobilité Internationale, Egide Ile-de-France


PAtRicK MoURRALL’arChiPeL

Patrick Mourral vit à Paris, 37 ans.

1996/98 Diplômé de l’école des Gobelins (prise de vue), Paris.

1993/95 École Pivaut (arts gra-phiques), Nantes.

2008 Exposition person-nelle à la galerie “LA CHAMBRE”, Strasbourg.

2009 Exposition aux “CHRO-NIQUES NOMADES”à Honfleur.

Liens :

http://galerie-fmoisan.fr/artistes.php?id_artiste=25

http://www.lamarcheduvivant.org/spip.php?article347

http://www.vsd.fr/contenu-editorial/photo-story/l-oeil-de-vsd/99-utopie -le-village-troglobal

http://catchdessin.blogspot.com/

ce catalogue d’exposition est publié pour présenter la quatrième édition de la Biennale photographique de conches, qui a lieu du 8 octobre au 27 novembre 2011.

La BiennaLe PhotograPhiQue de ConChes

Alfred Recours, maire de ConchesChristian Gobert, maire-adjoint chargé des affaires culturelles et organisateur de la Biennale photogra-phique de Conches.

Maison des Arts : Caroline Prévert, chargée de la communication et coordonnatrice des expositions des lauréats et des monumentoiles.

Musée du Verre : eric louet, attaché de conservation, commissaire des expositions du musée et coordinateur du débat « Photographie et société. »

Alexa Klotchkof, médiation culturelle,

Johnny Constant à la technique.

les services techniques de la Ville pour l’ensemble des manifestations.

aVeC Les PhotograPhes

Gilles Baumont, Catherine Bec-ker-echivard, Anne Willy Bihoreau, Yves Boulay, Arno Brignon, Thierry Chouvel, daniel Collobert, del-phine dauphy, Jacques deal, Xavier dumoulin, Guy durand, Georges Dussaud, Catherine Gaffiero, Rémy le Guillerm, Yves hayat, Jean her-voche, Michel-Philippe le haire, luc leguérinel, luna, Christophe lustri, Patrick Mourral, Bruno Pilia, Thierry de Penhouët, Bernard Pras, Vincent Robinot, olivier Roche, dagmar sippel, Wanda skonieczny Anton solomoukha, ole Tersløse Jensen, Philippe Tykoczinski, Jacques Tati, Paul Vancassel, Marie VdB, Charlotte Yonga Jacques Yvergniaux.

remerCiements À

Le Conseil général de l’eure, le Conseil régional de haute-normandie, Patrick Lebescon et les éditions Filigranes

du 8 octobre au 27 novembre 2011

LEs LiEUX

■ Musée du VeRRe route de sainte marguerite 27190 Conches-en-ouche tél : 02 32 30 90 41

■ MAison des ARTs Place aristide Briand 27190 Conches-en-ouche tél . 02 32 30 76 42

■ ARBoReTuM du Musée du TeRRoiR noRMAnd rue Paul guilbaud

■ sAlle Video de l’éCole ViCToR huGo rue godefroy de Bouillon

enTRée liBRe

Documents

08-10-11 27-11-11 Quelle société · 2011. 10. 11. · die). La région a fourni, en 2009, 2,5 millions de quin-taux sur 34 000 ha. La fibre de lin fait l’objet de nombreux travaux