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Comment s’occuper cet été ? Page 9 Je suis délégué de classe. Page 6 Ouverture d’un club manga. Page 5 Bonnes vacances à tous ! Numéro 32 - Juin 2017 Saint‑joseph Devant : Marc, Cyrielle. Deuxième rang : Constance, Laura, Emma, Juliette, Olivanne, Jessica. Troisième rang : Julian, Lucille, Enora, Thomas. avec le soutien de 14 003

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Comment s’occuper cet été ? Page 9

Je suis délégué de classe. Page 6

Ouverture d’un club manga. Page 5

Bonnes vacances à tous !

Numéro 32 - Juin 2017

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Devant : Marc, Cyrielle. Deuxième rang : Constance, Laura, Emma, Juliette, Olivanne, Jessica. Troisième rang : Julian, Lucille, Enora, Thomas.

avec le soutien de

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Tu es un ancien élève de Saint‑Joseph ?Oui, j’y ai suivi mes 3 années de lycée. J’ai obtenu un bac S, spécialité mathématiques en 1996.

Te souviens‑tu de certains professeurs ?Ayant été fortement attiré par les matières scientifiques, je me souviens principalement de mes professeurs de sciences ! Madame Rouillé était mon pro‑fesseur de biologie, elle m’a donné le goût d’apprendre par l’exemple. J’adorais les expériences, les TP. Monsieur Lemoine était mon professeur de sciences‑physiques en Seconde et Madame Hamon, enseignait les mathématiques et était mon professeur princi‑pal en Terminale.

Quelques souvenirs du lycée ?Le midi, on empruntait un pe‑tit chemin pour aller manger au « vieux Saint‑Jo ». Après avoir déjeuné on allait jouer au billard au bar de l’Arrivée. Sur le site du lycée je me souviens que chaque bâtiment avait sa spécificité : le pôle sciences était au C, les langues au D et le B était plutôt orienté histoire‑géographie. Mes années lycée ont été des années calmes et de transition. Je garde le souvenir d’un lycée serein, sans problème. On y re‑cevait une bonne éducation.

Quelles études as‑tu suivi après avoir obtenu ton baccalauréat ?Je me suis inscrit en IUT gé‑nie électrique et informatique industrielle à Lannion. Je me disais que de cette façon si j’en avais marre des études, avec un DUT (bac +2) j’aurais pu en‑trer dans le monde du travail. Au collège et au lycée je dois dire que j’étais un élève plutôt moyen. En fait je me suis révélé dans l’enseignement supérieur. J’ai adoré mes 2 années d’IUT.Mes notes m’ont permis d’inté‑grer l’école supérieure d’ingé‑nieur de Rennes, l’ESIR reliée à l’université de Rennes 1. Trois ans plus tard, j’en suis sorti avec le diplôme d’ingénieur option imagerie numérique. Au cours de mon cursus sco‑laire, j’ai toujours été attiré par la langue anglaise. C’est pour‑quoi, pendant les grandes va‑cances j’étais serveur à Bristol en Angleterre et c’est la raison pour laquelle j’ai choisi de faire mes six mois de stage de fin de cursus en 2001 à San Fransisco chez France Télécom qui a une

filiale dans ce pays. Après les attentats du World Trade Center, il aurait été compliqué de rester aux Etats‑Unis. Je suis donc rentré en France et ai tra‑vaillé deux ans à côté de Nice, à Antibes dans un laboratoire de recherche où j’occupais le poste d’ingénieur développeur. En 2004, j’ai trouvé un job à Paris qui consistait à faire du dévelop‑pement dans une équipe de test dans une startup qui conçoit des logiciels d’amélioration d’images. Quand on fait du développement de logiciels il faut toujours une personne pour vérifier que tout fonctionne. Mes compétences techniques m’ont donné (et me donnent toujours dans mon tra‑vail actuel) un avantage certain dans cette fonction.Quatre ans plus tard, je suis entré à Médiamétrie, socié‑té qui mesure les audiences télé. J’étais responsable test (test lead) et qualité dans une équipe. Tout se passait bien mais je n’avais pas de pers‑pective d’évolution de carrière.

Vous avez alors décidé de tenter votre chance à l’étranger ?Oui à cette époque, des amis

sont partis vivre aux USA. Ils m’ont redonné l’envie de l’Ail‑leurs. J’ai fait des CV et ai postulé en Angleterre. Les dif‑férents emplois où j’avais été un peu «touche à tout» avec l’aspect technique et test m’ont permis de trouver très rapide‑ment un poste à Londres, que j’occupe toujours depuis quatre ans, à la BBC Worldwide. Je suis test lead dans une équipe. Nous travaillons en collabora‑tion selon la méthode Agile : c’est‑à‑dire directement avec les clients et les développeurs. Avec cette méthode, nous avançons par étape et avons les retours clients à chacune de ces étapes et non pas sim‑plement à la fin du projet. Nous nous adaptons ainsi au fur et à mesure. Pour travailler avec cette méthode, il faut à la fois comprendre ce que fait le dé‑veloppeur et ce qu’attend le client. En tant que testeur j’as‑sure cette liaison entre déve‑loppeur et client. Je ne suis pas toujours devant mon ordinateur, j’ai beaucoup d’interactions, de contacts. C’est ce qui m’inté‑resse dans mon métier de test lead.

La BBC située dans le quar‑tier de White City est une boîte de production, elle produit des contenus et BBC Worldwide les vend à l’étranger. « Danse avec les stars », par exemple est co‑produit par la BBC et TF1. Moi je travaille sur les logiciels de gestion des programmes et des droits rattachés à ces programmes.

Quelques conseils à donner aux élèves ?Avoir une expérience à l’étran‑ger, ne serait‑ce qu’un été, permet d’améliorer très rapi‑dement son niveau d’anglais. La différence peut être énorme. Lorsque je suis revenu de San Fransisco j’ai pris l’habitude de regarder la télévision unique‑ment en anglais. Les élèves ne doivent pas avoir peur de parler anglais. Avoir un accent fran‑çais en Angleterre (j’en ai un !), ça n’est pas un problème. A Londres, il y beaucoup d’ac‑cents différents et ça ne pose aucun souci. Maintenant je ne parle presque jamais français. Je parle anglais, je pense an‑glais et je rêve anglais. Pour vous parler en français je dois

vraiment me concentrer. Je re‑viens sur un autre aspect qui me semble vraiment impor‑tant pour les lycéens. C’est le concept Agile. Il est très lié à la nouvelle génération habituée à un monde où tout va vite. On peut concevoir qu’au lycée les élèves travaillent en Agile et produisent quelque chose à chaque étape de leur projet. Pour l’illustrer, on peut prendre l’exemple du théâtre. Plutôt que présenter la pièce de théâtre au bout de six mois de répé‑titions, il s’agirait de présen‑ter une scène en vrai tous les quinze jours. Cela permet de faire des réajustements au fur et à mesure et très tôt si néces‑saire. Cela évite de reprendre tout depuis le début, ce qui n’est pas toujours possible faute de temps.

Quelles sont les qualités nécessaires selon vous à l’exercice de votre métier ?La curiosité, l’esprit logique et le pragmatisme.

Propos recueillis par

Valérie HERAULT.

Que sont-ils devenus ?

Lionel Champalaune

Lionel Champalaune, ingénieur testeur à la BBC

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Depuis le début de cette année scolaire, la section équitation et ses cavaliers se sont enri‑chis d’expériences et d’appren‑tissages nouveaux. Un esprit d’équipe s’est installé au sein du groupe grâce à plusieurs temps forts. Il y eut tout d’abord le Jumping d’Erquy plage du‑rant lequel les cavaliers ont eu l’opportunité de découvrir les coulisses d’un grand concours en tant que bénévoles et de participer à son organisation. Ces trois jours ont permis l’en‑trée en contact, non seulement avec des cavaliers amateurs et professionnels de tous les hori‑zons, mais aussi avec le jeune public curieux de s’essayer à la discipline équestre sur les « baptêmes poney ».Plus tard, le horse‑ball de Noël mettait en avant l’esprit de cohésion du groupe : deux équipes de six personnes s’af‑frontaient avec détermination

pour la victoire. Les encoura‑gements et les éclats de rire étaient au rendez‑vous pen‑dant toute la durée du match qui avait commencé à che‑

val et... s’était conclu à pied! Récemment, les cavaliers ont commencé des séances d’éthologie équine (étude du comportement du cheval) aussi

bien théoriques que pratiques. Elles favorisent l’apprentissage de la compréhension entre le cheval et son cavalier par des exercices nécessitant énergie

et concentration. En effet, les cavaliers ont, pour ainsi dire, appris à penser moins en « humain » et plus en « cheval ». Au programme : désensibi‑lisation du cheval aux bruits et objets nouveaux, contrôle du placement des pieds du cheval et autres exercices qui contri‑buent à créer une atmosphère de confiance et de compréhen‑sion entre l’homme et l’animal.Aujourd’hui, grâce à l’entraide et la solidarité qui maintiennent les membres de l’équipe sou‑dés, les cavaliers ont la sensa‑tion d’avoir progressé dans la pratique de leur discipline et pour certains, d’avoir acquis plus de confiance personnelle. Ainsi, aucun ne regrette son entrée dans la section et tous souhaitent poursuivre l’année prochaine !

Cyrielle TESTARD, Constance BERRAUTE.

La vie au lycée

Les douze élèves de la section équitation posent au haras de la Poterie

Section équitation : une année au triple galop

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Le bâtiment B sera repeint

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J’ai pris rendez‑vous avec Monsieur Ferron pour savoir si le lycée allait subir des trans‑formations durant l’été ; période propice aux travaux dans un établissement scolaire car il n’y a plus d’élèves. Les ouvriers peuvent travailler plus facile‑ment !J’ai appris que plusieurs pro‑jets se concrétiseront durant cette période. Tout d’abord, l’extérieur du bâtiment B (le plus haut du lycée avec ses 3 étages) sera repeint dans les

mêmes couleurs que le bâti‑ment A dont le ravalement a été refait l’année dernière. Et l’été 2018 ce sera au tour du bâtiment C.L’entrée du lycée sera modi‑fiée. De nouveaux portails se‑ront mis en place pour assurer notre sécurité. Nous entrerons et sortirons selon de nouvelles modalités. Le matin de 7h40 à 8h15 et le soir de 16h55 à 17h15, le portail sera automa‑tiquement ouvert pour laisser le flux d’élèves entrer et sortir

sans créer de bouchons. En novembre, toute l’entrée sera végétalisée.Un nouveau laboratoire de sciences‑physiques sera créé en CG1. Il pourra être acces‑sible aux personnes à mobilité réduite.Le poste «plonge» du Croq’Jo sera amélioré afin de supporter davantage de couverts.

Olivanne BARBÉ.

Des travaux de vacances

C’est l’heure du bilan, de la rédaction du dossier de la‑bellisation pour l’obtention de notre 8ème label Eco‑Lycée. Cette année encore, le travail réalisé, dans et en dehors des cours, par les élèves, les per‑sonnels, les enseignants a été remarquable. Le thème choi‑si était la santé, le bien‑être. Nous avons proposé à nos élèves des expositions, confé‑rences, échanges sur l’éga‑lité hommes‑femmes, contre la violence faites aux femmes, pour « comprendre et savoir dire NON à la haine », sur les conduites addictives (tabac‑alcool), le cyberharcèlement… Les éco‑délégués ont égale‑ment mis en place le premier Téléthon au lycée. Les élèves de Terminale ont été sensibili‑sés au don du sang, 24 jeunes majeurs ont souhaité faire leur premier don. Des lycéens ont également réalisé un flyer pour

prévenir les accidents domes‑tiques lors du baby sitting… Ce ne sont que quelques exemples du travail des éco‑délégués. Les Terminales ASSP, dans le cadre de leur accompagnement, ont mis en place la journée du handi‑cap pour les élèves de Seconde. L’idée ? Sensibiliser les élèves aux différents types de handicap (au‑ditif, visuel, moteur…). Cette jour‑née a été une réussite tant au ni‑veau des connaissances que les élèves ont pu apporter sur le han‑dicap que sur les échanges entre élèves. Elle a permis une mixité entre les élèves du général et du professionnel. Les Terminales ASSP ont mis en avant leur sa‑voir‑faire, leurs connaissances. Cette année encore beaucoup de lycéens et d’adultes se sont inves‑tis pour conserver le label. Nous croisons les doigts et attendons les résultats avec impatience !

Stéphanie LEON.

En route vers un 8e label…

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Les membres du nouveau club mangas ont bien voulu répondre à mes questions.

Quand a été créé le club mangas au lycée ?Le club mangas a vu le jour le 24 mars 2017, il a été créé par Charlotte Hames.

Dans quel but ce club a‑t‑il été créé ?Le club mangas a été fondé dans le but de se retrouver autour d’une même passion, d’échanger, de débattre autour des mangas, de faire connaitre les nouveautés, de s’échan‑ger des mangas et surtout de faire partager notre passion aux autres élèves

Quand vous retrouvez‑vous ?On se retrouve tous les vendre‑dis midis et une fois sur deux le jeudi midi au BDI. Nous sommes plus nombreux le jeudi. Pour une bonne organi‑sation, je viens une demi‑heure plus tôt afin de tout préparer car nous avons toujours beau‑

coup de choses à nous dire et à partager.

Que faites‑vous au club ?Notre club est ouvert à tous et nous proposons des quiz dédiés aux mangas. Les ly‑céens sont alors récompensés pour leur participation par des cadeaux. On parle des man‑gas que nous avons lus, on

regarde des animés en japo‑nais ou en français, c’est l’oc‑casion pour nous d’apprendre le japonais et nous proposons des cours de dessin. On aime se retrouver ensemble car le manga est vraiment une pas‑sion pour nous, le club est avant tout un lieu de partage et crée du lien social. Nous sommes à l’affût des nou‑

veaux mangas et c’est alors l’occasion de débattre sur les nouveautés.

Combien êtes‑vous dans le club ?Nous sommes environ vingt mais nous espérons l’an‑née prochaine nous agran‑dir et atteindre les trente membres.

Quel est votre manga préféré ?Cela dépend de chaque per‑sonne, par exemple, moi je pré‑fère Naruto ; mais certains sont plus intéressés par One Piece où l’on peut suivre les aventures de Luffy, manga alliant culture, aven‑tures, personnages fantastiques. D’autres préfèrent Fairy tales, un nouveau genre de manga plus moderne. Il y en a vraiment pour tous les goûts. Il y a de plus en plus de mangas d’amour. Ainsi, des personnes qui ne lisaient pas auparavant les mangas commencent à s’y intéresser grâce à ces nouveaux genres.

Est‑ce que les mangas vous inspirent dans la vie réelle ?Le manga développe l’imagi‑naire. Pour ma part, les mangas me passionnent mais pas au point de m’en inspirer dans la vie réelle. Cependant, je pense que certains passionnés s’en inspirent et c’est bien pour ce genre qui n’est pas considéré à sa juste valeur. Il mériterait d’être plus populaire et d’être davantage reconnu. Julian HAUMONT.

Nous étions 30 élèves à nous envoler pour la Russie pour un voyage d’une semaine.Nous logions dans une au‑berge de jeunesse, dans une rue adjacente à la « pers‑pective Nevsky », la rue la plus connue et commerçante de Saint‑Petersbourg. Nous avons passé un magnifique voyage aussi bien d’un point de vue relationnel que cultu‑rel. Notre séjour a été rythmé par de nombreuses visites de palais, cathédrales, villes et autres monuments, toutes aussi riches les unes que les autres. Nous nous sommes égale‑ment rendus à la « datcha de Vladimir Poutine », ainsi que

dans une maison à l’envers. La visite d’une école secondaire nous a permis de comparer le système russe au système français. Nous avons aussi eu l’occasion de rencontrer des élèves russes dans une école des arts où nous avons pu as‑sister à des cours de danse, chants, sciences, échecs, le tout se terminant sur une choré‑graphie mélangeant les élèves russes et français. Nous reve‑nons de ce voyage avec des souvenirs plein la tête et l’irré‑sistible envie d’y retourner.

Mathilde KERAVIS,

Noémie CATTEEUW.

Jean‑Baptiste de Boisseson et Théo Vétil, fondateurs de l’As‑sociation Sportive (AS) rugby du lycée, ont répondu à nos questions.

Pourquoi avoir ouvert une AS rugby au lycée ?Un certain nombre de lycéens apprécie ce sport mais pour diverses raisons ne le pratique pas en club. Nous leur offrons la possibilité de venir s’entraîner tous les mardis midis. Le rug‑

by permet de se défouler et ça fait un bien fou. On est heureux d’avoir pu poursuivre l’esprit de l’AS rugby qui avait eu un grand succès dans notre collège.

Comment vous organisez‑vous ?Après nous être changés à midi quinze, nous nous échauf‑fons pendant environ dix mi‑nutes puis nous formons deux équipes pour faire un match le reste du temps. Jean‑Baptiste

est le coach et Théo le de‑mi‑coach. Dès qu’il y a une faute ou un geste dangereux, le jeu s’arrête et on explique ce qui se passe pour que chacun puisse progresser.

Les lycéens se sont‑ils améliorés ?Au début, la plupart n’avait en‑core jamais pratiqué le rugby donc le niveau était moyen. Puis petit à petit, grâce aux conseils et aux explications des règles du jeu, les joueurs ont fait des progrès notables !

Etes‑vous les deux seuls à pratiquer le rugby en club ?Oui, mais la pratique du rug‑by au lycée a donné l’envie à certains de s’inscrire en club l’année prochaine. L’AS permet de découvrir le rugby gratui‑tement. Et étant donné que le niveau est plus faible qu’en club, les plaquages sont moins brutaux.Cette AS continue l’année pro‑chaine et recrute !!! Vous êtes tous les bienvenus... surtout que de nombreux joueurs sont des Terminales qui ne seront plus au lycée l’année prochaine !

Enora LE HO, Thomas BENALOUANE.

La vie au lycée

Quelques membres du club mangas

Le club mangas s’invite au lycée

Saint-Petersbourg by Saint-JoRugby : des débuts prometteurs

Les élèves devant le musée de l’Ermitage

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Les élèves de l’AS rugby

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Le lycée Saint‑Joseph multiplie les actions et les sensibilisations auprès des jeunes sur des sujets de santé publique.

Aujourd’hui, la cigarette est au cœur d’un nouveau projet. Mme Aurore Norrais, personne d’éducation m’a fait part d’une nouvelle expérience. Pendant la semaine culturelle, les classes de Secondes ont par‑ticipé à plusieurs ateliers santé tels le tabac, l’alcool et les dro‑gues. Concernant la cigarette, l’idée était de faire fumer un poumon de porc et de filmer l’expérience. «Ce projet n’a ja‑mais encore vu le jour dans le milieu scolaire» signale t‑elle. Il a été réalisé en parte‑nariat avec des professeurs de Sciences de la Vie et de la Terre et de sciences‑physiques (Mme Navière, M. Legall et M. Lévêque), la laborantine Mme Lebars et Mme Laprestey du service civique. Grâce à un système de pompage, il a été

possible d’injecter de la ni‑cotine dans les poumons de l’animal. «L’objectif était de le faire fumer 90 cigarettes et il a été atteint». L’expérience a été montrée aux Secondes. Ensuite, il a été possible de comparer un poumon de porc sain à un poumon infecté. «Les élèves ont pu participer à la dissection de ces organes». Selon Mme Norrais le résultat a été concluant voire même «choquant». Elle se réjouit de la réaction des élèves : «Une lycéenne m’a même deman‑dé les vidéos pour les mon‑trer à ses parents pour qu’ils arrêtent de fumer». En effet, les vidéos donnent à réfléchir. «Voir ce qu’on ne peut pas voir dans notre corps par l’in‑termédiaire d’un animal est surprenant». Les élèves ont pu se remettre en question sur leur mode de vie et leur dépen‑dance à la cigarette. J’ai recueilli quelques témoi‑gnages de Seconde, leurs ré‑actions sont très intéressantes.

Pour Maïa :« L’expérience a choqué tout le monde. La comparaison des deux pou‑mons était impressionnante ». Ces petits ateliers ont même impacté sa vie quotidienne : « En effet, je fumais un peu pour tester et maintenant dès que je vois une cigartette, cela me rappelle les poumons de porc noircis par la nicotine ». Dorénavant, fumer ne lui est plus possible. En ce qui concenre Thomas, l’expérience a eu le mérite de confirmer ses convic‑tions : « Je n’ai jamais fumé et cet atelier m’a conforté dans ma réticence vis‑à‑vis du ta‑bac. En effet, fumer peut avoir de lourdes conséquences sur la santé comme des maladies cardio‑vasculaires, des can‑cers, une mauvaise irrigation du sang, une mauvaise oxy‑génation des organes... En somme, la consommation de cette drogue reste «un véri‑table fléau» dans notre société.

Jean‑Baptiste ANDRE.

Je suis délégué de la Seconde G. Je pense qu’être délégué de classe est une expérience intéressante et enrichissante. Le délégué est élu par les élèves de sa classe pour les représenter. Il joue un peu le rôle d’interface entre les élèves de la classe et l’ensemble des adultes de l’établissement (di‑recteur, professeur principal, professeurs, vie scolaire, per‑sonnel administratif) . C’est l’in‑terlocuteur privilégié du profes‑seur principal.

Ce rôle a une vocation de mé‑diateur. Nous ne sommes pas seulement les distributeurs des informations distribuées par la vie scolaire ou même par les enseignants, nous avons aussi un rôle de conciliateur lors des différents entre élèves ou par‑fois entre élèves et enseignants. Tous les délégués suivent une formation initiale. Ils ont un rôle important de transmission et de restitution des informations lors des conseils de classe. Les Premières et Terminales

sont présents durant toute la durée du conseil. Ils sont tenus au « secret professionnel » par rapport à des informations personnelles qui peuvent être données sur les élèves.La plupart du temps, la pa‑rité est recommandée et me semble nécessaire. Un avis masculin et féminin est enrichis‑sant dans de très nombreuses situations. Cette implication au sein de notre classe nous apporte, en tant qu’Humain, une dose de savoir‑faire et de savoir‑être qui, dès notre plus jeune âge, nous implique et nous incite à prendre des ini‑tiatives dans notre société.Pour ma part je ne me suis ja‑mais dit « Je suis apte à être délégué de classe ». J’ai donc été élu « de force», la classe m’a jugé capable, la démocra‑tie m’a jugé à la hauteur. Je suis délégué de classe depuis trois ans. Cette expérience m’a aidé à grandir, je me sens plus ré‑fléchi. Cette année j’ai encore accepté de me relancer dans cette aventure qui une nouvelle fois s’est montrée positive. Elle me permet d’avancer AVEC les autres, elle nous responsabi‑lise, nous sociabilise et nous forme comme futur bon citoyen.

Marc BOUDARD.

La vie au lycée

Madame Aurore Norais

Mieux vaut prévenir que guérir : un lycée engagé

Je suis délégué de classe

Tous les délégués de classeSa

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Laurie et Marc, délégués de la Seconde G

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Association pour le développementdu Journal des Lycées10 rue du Breil, 35 051 Rennes CedexTél. 02 99 32 67 47, [email protected]

Lycée Saint‑Joseph63 rue Mouëxigné - BP 90 465 -22 404 Lamballe CedexTél. 02 96 50 11 20 - Fax : 02 96 31 93 75Mail : [email protected] : http ://www.lycée-saintjoseph-lamballe.net

Directeur de la publication : Emmanuel FERRONRédactrice en chef : Valérie HERAULT Réalisation : Bayard Service Édition Ouest - Centre - Tél. 02 99 77 36 36Publicité : Bayard Service Régie - Tél. 02 99 77 36 39Imprimerie Du Loch (56 - Auray) Papier : 80g terraprint couché mat PEFC (ce papier est fabriqué à partir de bois issu de forêts géréesde façon responsable)

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Depuis l’âge de 8 ans, la mu‑sique fait partie de ma vie. Cette passion a débuté en regardant et en admirant de jeunes talents sur l’ordinateur. J’ai alors eu envie de chanter à mon tour. J’ai commencé en chantant sur des bandes sons avec une de mes amies. Je me cachais car je n’osais vraiment pas chanter devant les autres. Cela a duré jusqu’à mes 12 ans. A partir de mon année de Cinquième, j’ai commencé à me poser des questions et je me suis dit que je pourrais moi aussi chanter devant un public. L’été 2014, j’ai fait ma première scène et depuis je me dis que chanter devant une, dix ou cinq cents personnes c’est pareil. Je chante tous les répertoires excepté le métal.Maintenant je suis des cours de musiques actuelles à l’école de musique le Diapason à Plancoët et depuis bientôt un an, des cours de chant. Cela me prend deux heures par semaine. Au bout d’un certain temps, j’ai eu envie de m’ac‑

compagner d’un instrument. J’avais une guitare dans ma chambre mais jamais je n’avais eu la motivation suffisante pour apprendre à en jouer. Alors, avec de la volonté et de l’en‑traînement, j’ai réussi et cela fait maintenant 2 ans et demi que j’en joue et je continue

toujours afin de me perfec‑tionner. Chez moi, la musique est une passion familiale. Lors des fêtes de familles souvent je chante avec ma sœur et mon oncle nous accompagne à la guitare. Ce sont vraiment de bons moments. Avec le temps, on s’habitue à chanter devant

un public. Avant de monter sur scène, je suis stressée comme toute personne qui doit se pro‑duire en public. Mais lorsque je commence à chanter l’ap‑préhension disparaît. Ce que j’aime quand je suis sur scène c’est le partage avec le public. Chanter, c’est une manière de

s’ouvrir aux autres, de parta‑ger sa passion et pourquoi pas de transmettre quelques émotions. Je pense que tout le monde peut «bien» chanter, il faut juste de l’entraînement et de la persévérance.

Juliette SAUTRON.

Aujourd’hui les inégalités entre les hommes et les femmes ont diminué grâce à l’évolution des mentalités. Pourtant dans cer‑tains domaines, les préjugés concernant les hommes et les femmes persistent, notamment

dans le sport. Pour beaucoup de personnes encore, certains sports sont réservés exclusive‑ment aux hommes et d’autres aux femmes. Or ces préjugés n’ont pas de raison d’être. Si certains hommes souhaitent

pratiquer la danse, et certaines femmes le motocross ou le foot‑ball, leur sexe ne devrait pas être un frein à leurs centres d’intérêt.J’ai connu une fille qui vou‑lait faire du motocross, mais à chaque fois qu’elle en parlait à quelqu’un, cette personne lui répondait qu’elle n’était pas de taille à conduire une moto ou qu’elle n’avait pas la force de la gérer. Alors toutes ces critiques, ces mises en garde ont commencé à la faire douter. Son père faisait lui‑même du motocross et n’était pas oppo‑sé à ce que les femmes pra‑tiquent des sports à moteur. Au contraire il approuvait qu’il y ait de plus en plus de courses fé‑minines. Mais lorsque sa fille lui en parlait en plaisantant afin de sonder sa réaction, il lui répon‑dait qu’il préférait qu’elle choi‑sisse un autre sport. Je pense que son père voulait surtout la protéger du danger du moto‑cross. Cette fille est un exemple parmi tant d’autres, mais je l’ai choisi parce que cette fille c’est moi, et toutes les personnes qui m’ont dit que je n’y arriverais pas, que je n’étais pas assez forte m’ont découragée, et j’ai abandonné l’idée pour le moment. Aujourd’hui nous accompa‑gnons en famille mon père à

ses courses de motos et cela me convient. C’est de ma faute, je n’ai pas été assez forte pour passer au dessus des critiques et j’aimerais que les personnes qui sont attirées par une acti‑vité, un sport ne se laissent pas influencer par les avis des uns et des autres. Nous ne rentrons

pas tous dans des cases et c’est tant mieux. C’est par la persévérance et la persuasion que les autres auront la preuve que nous ne nous étions pas trompés !

Jessica BERTHELOT.

Coups de cœur

Juliette au micro

Le chant rythme ma vie

Le sport un domaine où les préjugés persistent

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Jessica sur la moto de son père

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Le papa de Jessica

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Du 26 au 31 juillet 2016 se sont déroulées à Cracovie en Pologne les 31èmes Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) . Cet événement a été initié par le pape Jean‑Paul II en 1984 et se déroule tous les 3 à 4 ans dans un pays différent afin de regrouper le maximum de jeunes chrétiens à vivre un moment unique dans leur vie. Le thème de cette année était « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséri‑corde ! » (Matthieu 5‑7)Le 18 juillet dernier nous sommes partis de Bretagne en direction de Cracovie pour deux semaines. Nous étions une soixantaine de mineurs costarmoricains de 16 à 18 ans à prendre la route vers la Pologne et environ 35000 Français de 16 à 30 ans. Les JMJ commençant la deuxième semaine de notre voyage, nous avons été accueillis au départ dans la ville et station thermale de Krynica, au sud de la Pologne où nous avons pu rencontrer la population

locale et vivre des moments de partage et de foi avec tous les jeunes bretons et polo‑

nais réunis à cette occasion. La deuxième semaine était commune à tous les jeunes

du monde entier. Nous étions logés en périphérie de la capi‑tale, mais nous passions nos

journées à Cracovie afin de vivre les différents temps forts de ces Journées Mondiales de la Jeunesse. La messe d’ouver‑ture présidée par l’archevêque de Cracovie s’est déroulée en présence d’environ 2 millions de jeunes sur le site de Blonia au cœur de la ville. Le lende‑main, le Pape François pronon‑çait son discours de bienvenue à tous les jeunes pèlerins du monde. Le week‑end de clô‑ture des JMJ s’est lui déroulé à la périphérie de Cracovie au Campus Misericordiae, un immense espace où tous les jeunes présents ‑soit environ 3 500 000 personnes‑ sont res‑tés 2 jours jusqu’à la messe de clôture célébrée le lendemain matin par le Pape François. Ce que j’ai pu retenir de ce voyage ce sont les rencontres que j’ai pu faire avec des jeunes du monde entier mais aussi la communion très forte entre tous ces catholiques venus pour prier, partager, découvrir.

Yves‑Marie GEREL.

Le « Hand Spinner » (ou Fidget Spinner) a été inventé en 1997 par Catherine Hettinger, une Américaine, qui l’a créé pour son enfant autiste. Le Hand Spinner s’est réellement dé‑mocratisé depuis le printemps 2017. A l’origine, le Hand Spinner était conçu pour les enfants ayant des problèmes de concentration, comme les autistes par exemple, mais aujourd’hui, il est considéré comme un loisir, comme un objet de relaxation. Le Hand Spinner est constitué d’un roulement à billes, d’un petit palier sur le roulement à billes pour pouvoir le tenir avec les

doigts, et de 3 poids de masse égale autour. Le principe est simple ; utiliser la force cen‑trifuge pour le faire tourner à grande vitesse. Ce petit objet fait tellement fureur dans les écoles primaires qu’il est par‑fois interdit. Au lycée, il est déjà bien implanté, 1/3 des élèves environ en possèderait un ! Il coûte 5 euros et il s’achète dans n’importe quelle grande surface ou magasin de jouets. Tellement ce petit objet s’est popularisé, il est bien souvent en rupture de stock dans les magasins.

Thomas BENALOUANE.

Les deux mois et demi de va‑cances sont l’occasion de se détendre et de faire le plein d’activités. Mais pour cer‑tains d’entre nous, le temps peut paraître long et il est par‑fois difficile de trouver de quoi s’occuper.Les grandes vacances per‑mettent de passer du temps avec ses amis. De nombreux

rendez‑vous sont donnés sur les plages du Val‑André, de Saint‑Cast ou en ville pour faire du shopping. Nous sommes aussi friands des sports à « sensations », nous aimons nous rendre au parcours ac‑crobranche Indian forest de Morieux. Dans nos esprits, l’été est également associé aux Vieilles Charrues ou à Bobital.

On y vit nos premières expé‑riences de festivaliers entre copains. Et puis, comme il n’y a pas cours le lendemain, nos parents acceptent plus volon‑tiers que nous organisions des soirées et donc que nous nous couchions tard. L’été est, en ef‑fet, associé à grasse matinée !Mais pendant que des jeunes s’amusent, d’autres ont recherché un job d’été pour découvrir le mi‑lieu professionnel et, surtout, com‑mencer à mettre un peu d’argent de côté dans le but de prendre un peu d’autonomie financière par rapport aux parents.Nous ne sommes pas égaux face aux grandes vacances : un certain nombre d’ados ha‑bite en campagne, n’a pas de moyens de locomotion, ne bénéficie pas de transports en commun et, de ce fait, se retrouve un peu isolé pendant cette période. Mais l’été n’est‑il pas aussi l’occasion de partir en vacances avec ses parents (souvent les dernières !), de mettre de l’ordre dans ses af‑faires, d’anticiper la prochaine année scolaire en comblant ses lacunes, bref de tirer profit de ce temps devant soi pour abor‑der sereinement et reposé la rentrée ?

Laura BOISHARDY,

L’air du temps

La foule en liesse

Les JMJ : inoubliables journées de la jeunesse

Le Hand Spinner fait fureur !Les vacances d’été nous accordent du temps !

Thomas nous présente son Hand Spinner

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L’été, un moment propice à la détente.

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Depuis les années 1990, un concept révolutionne peu à peu le monde du travail, la santé et permet à tous d’innover : les Fab Lab !Ce sont des laboratoires ou‑verts à tous, où l’on peut créer tout ce que l’on imagine, grâce à des machines mises gratui‑tement à disposition. On y re‑trouve des découpeuses‑laser, des ordinateurs mais surtout la fameuse imprimante 3D ! Cette dernière, star de ce lieu, modé‑lise tous les plans : ceux que l’on dessine sur des logiciels spéciaux tout comme ceux que l’on récupère librement sur in‑ternet grâce à l’open source. Le principe est simple : fondre la matière et recréer l’objet. Ce passage d’état numérique à état physique nous permet de presque tout imprimer ! Alors, armés de plastique, de bois, de métal ou encore de ciment, certains créent des figurines ou des lunettes et d’autres s’attellent à des projets d’en‑vergures. Suite à la perte de son bras dans un accident, le

Rennais Nicolas Huchet s’est crée une main bionique 30 fois moins chère et bien plus fonctionnelle que les prothèses

lambda ! Avec son équipe, il l’améliore pour qu’elle soit un jour utilisable par tous avec un risque de casse beaucoup

moins important. L’entreprise chinoise WinSun a développé, quant à elle, une imprimante 3D géante capable de construire

des maisons ! Voitures, bases lunaires, médicaments, nour‑riture, vêtements et même organes : avec une machine aux utilisations infinies, l’arbre des possibles est ouvert ! Il ne reste plus qu’à faire appel à votre créativité pour façonner le futur ! Aujourd’hui, plus de 500 Fab Lab existent à travers le monde (environ 60 en France) dont un à Saint‑Brieuc. Nombreux sont les particuliers qui optent pour l’achat d’une imprimante 3D. Cela constitue effectivement un investissement puisque l’achat de cette machine représente un coût de 300 à 5 000 euros sui‑vi de très grandes économies. Notre lycée s’en est d’ailleurs doté d’une pour les options ICN et ISN.Grâce à cette technologie, l’es‑prit créatif de chacun est solli‑cité. Alors, à quand des impri‑mantes 3D imprimables ?

Lucile CUNNIET‑ROBERT.

Depuis des semaines, les tu‑toriels concernant le slime se multiplient sur les réseaux so‑ciaux. Sur Youtube, Instagram, Facebook, on peut voir de nom‑breuses vidéos montrant des personnes malaxer cette pâte d’un genre nouveau. Si l’expérience vous tente vous aussi, il faudra vous munir de la colle transparente Cléopâtre (ce serait celle qui fonctionne le mieux) . Cet ingrédient qui est si important dans «la recette» a vu ses ventes doubler depuis la vogue du slime. Il vous fau‑dra également de la mousse à raser et pour finir de la solution oculaire (type Dacryosérum) .

Après avoir mélangé ces 3 composants vous obtiendrez une pâte visqueuse. Vous vous demanderez quelle est la fonc‑tion de la pâte ainsi obtenue ? On dit que malaxer longuement le slime a des vertus relaxantes et anti‑stress. Sur Instagram on parle de «Satisfying video’s». Attention tout de même, la fabri‑cation artisanale ne réussit pas à 100 %. Il faut savoir ajuster les doses pour obtenir une pâte agréable à modeler avec les mains. Si la pâte colle trop, on vous conseille d’ajouter de la solution oculaire.

Olivanne BARBÉ.

Depuis quelques années, les séries se multiplient et sont devenues un véritable phénomène.En effet, des séries sont pro‑duites dans tous les pays même si les séries améri‑

caines restent les plus popu‑laires. Elles durent en moyenne 40 minutes mais peuvent varier de 20 minutes à une heure et sont découpées en plusieurs saisons. Ces séries peuvent être des adaptations de livres,

bandes dessinées ou encore de films. Il existe une vingtaine de genres différents : action, drame, comédie, policier… Elles sont tournées dans de vraies villes. Le tournage dure plusieurs mois puis nous sa‑vons quelques semaines plus tard si la série est renouve‑lée. De nombreux objets déri‑vés ont été créés tels que des sweats, coques… Pour pouvoir rencontrer les acteurs de nos séries favorites, des conven‑tions sont organisées et ils font beaucoup de conférences ou festivals pour en assurer la pro‑motion. Puis, certaines sont récompensées lors de céré‑monies comme les « Golden Globes » et les « People Choice Awards ».Le saviez‑vous ? Les séries les plus regardées sont « Game Of Thrones » et « Breaking Bad ». Celles qui sont les plus appréciées en ce moment sont « Riverdale » et « 13 Reasons Why ». La série la plus longue est « Guiding Light ». Voici celles que je peux vous conseil‑ler : « Chicago Fire » et ses dérivés, « Devious Maids » , « Quantico » ou encore « Riverdale ». Et vous, êtes‑vous sériephiles ?

Emma RICHEUX.

L’air du temps

Les élèves du cours d’ISN entourent l’imprimante 3D

Fab Lab : imprimez vos idées !

La pâte slime a le vent en poupe !La folie des séries

Olivanne a réalisé la fameuse pâte slime

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Les séries qui rendent les jeunes accros

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