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6608 Année. - 1tio 354 BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44. Dimanche, 25 Décembre 1870. éBU50IMI6T1: I Rë.31iCS DES DEPARTS,RT DES ARRIFERS DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'OP,LeANS (Meiji TOULOUSE Un sa, 401.; S mois, 21 f.; 6 muta, 1 t f- nmaa es soxnasox Dapsee, : Arrivée. e tmss D. roda QQEPARTEMENTS - 30 f.; - 26 f-; - 14 f1', t u t0 s. W Mati8 a. 58 Députa Arrivée. r ETRANGEB Lac frais aa lémentairoe de posoi -l. Drts Arrivée.: (napnsa) 2 W Mat f xprd/0 461 pp Matin 8 a. 20 or l 8 h, 30 Marin Bh. $0 Matin t 8 h. 48 lr 3 6U Son 1 16 ABre n Cemap. U f 5 sel, t 3f Sov 3 00 éannmh.) 8 88 9s "It lia Aboaaementa et Ies Aaaoaeea s Matin (sais.) n i5 St+ir (e .I / u6 le !1 u'0 Soir 1 O8 Son (..eh.) 5 06 &i, ie ir 8 W Sair 1 15 Soir 2 20 A TOULOUSE : Aux bureau. da Journal, rue BL-Roma, 44. Soir Ag. 6 20 gel, 10 40 noms 0 atlas- Lmaa o°oetdans, e a.oF4taM A PARIS: Chas M. Hava,, rua J.J. Rousseau, 3, Soir (..ch.) f0 30 ffiati,, 8 h. W Modo 8 h. 70Mann b h. i0 Madn 9 h. 87 3 Soir f 55 Son 2 41 et chas MM*" Lalfitte-Balliar et C. plane de la Bourse, 8;`.. Lerdn (cep,.) IL 45 Seu f Fontaine, rue de Trévise, 22, uona oa mers goh P. 2 20 Soir 5 58 S'il t l0 Son 8 lit Seul. Correspondants pour les Anuonua. Manu S b. W Matin(marah.)7 h. 14 Boir Momréi. 8 40 Sole 40 20 soir lit 78 1 Toulouse 25 Décembre. dont Arnaud, que tante la population f suivait. IL a été partout acclamé, surtout la Creiz-Roossr. IL su confirme que le crime o est impu- BOURSE DE TOULOUSE. table à aucun putti politique. L'ioeteoa- au 23 Décembre 5 0l0 Midi Sarragoeae Folio. An Geaptaet 55 20 295 00 169 00 290 05 Dépéchea Télégraphislaea. Versailles, 10 décembre, Dép@che dre quarher-grsi(eat du prince o Jai fait le tour de Paris à cheval, et i trouvé les troupes allemandes bien l'a dta^osées, surveillent attentivement tout uv ment de le;part des Francail. m f.eseR urteeuborg 'oie et las Basons, qui t perdu ou si grand nombre des leurs dans Ies dernières sorties, sont maint.- naut parfaitomeoe en état de renouve- ler le combat; et les uvrages des Alle- nds ont été fortilléa pour servir de défense en cas de besoin. D'un autre coté Ies Lançais sont très mémo l'huile de hn; tout le bubn est parts et semblent occuper toua les volute dans la direchoa d'Amiens. actifs , de quelque importance. lis met imam hier, 21 prussiens ont été més, un tableme t porté au vaut leur ligue de blessé, un faut prisonnier par des mobiles défense du allé do l'est eu plaçam des de la Lone-Ialérieure et des frauas ti- ppièees de canon dans le coÎ vnerhattenr la Marne et au moyen , de établie à Avion, levant le fort R Leysontimant des troupes allemandes est pour un bumbudement, et L. soldats beaucoup de voir que l'on Dénaj;n Paris. flatd;o doute que l'on en fasse l'essai tin re ms. d'ici i,ol P 11 e en rulloraii tu duel kés sériait. d'arnilloeiu et de v;goureuses sorties de le garw9nn tant entière. loges anvirentama sout remplis de leurs blessés. Lille, 25 décembre au soir. I Pour copte conforme Dire dépéehe du général Faidhrebe Le préfet dols Répisbbgee, commissaire à la défense nationale, {ion ae poursuit activement. Plusieurs ',Aujourd'hui, de 11 à G heures, nue ba' Ameoou Deronrne.. areeetattona ont été faites. taille a ea lie' à Pont Noydle iii Mme ' % g22ere Lrpe'C & Peur copie enferme: 1 arrondissement d'Amiens. au N. E. de Det Le f t de la Rèerahque r - ! e nette vdln) p . fie à la defe¢se ntliionxle, ore N avens eselcnx. ' Bardeaux, 26 décembre. 9 h. 5 es. du matin. Bernay (Rare) 22cdéaembre. Suivant des renseignements considérés comme Lire. probables, il reste à Rouen seulement 1,500 Prussiens; sur la côte de Bon-Secours, il n'y e plus que deux ca- p s en poition. A Elbuef, sont environ 600 Prus- siens. Deux .vires anglais ont coulé dans la Saires aux env roua de Ondoie (chef-Ilea de os tev,daos l'arrondisse- weut de Rouen): de géuerle nnviga- tier, des torpilles ont été placées dans la Seine entre Duclair et Rouen. Tous les ietrepêts et docks de Rouen ont été pillés, les Prussiens out enlevé Armand Dmoxrae.. 1 de bataille, aprés un long combat d'aefil- las détails dre ecoeba[ livré è Nuits Bordeaux, 24 décembre, 3 h. soir. ous sommes restés maîtres du champ i Lyon- 23 décembre. lerle, tero,iué par une charga d'iufaotoeie aie. t que lel' générai Cramera conte- sur toute la ligue. eau l'attaquedeennemi, le 18 dboem bre, seulement 10,000 hommes. La ba- amxa néex'ces. taille a duré toute la jaumée. Les Fran- Bordean., 24 décembre, 1 h. soir. Hier, l'armée du Nord a livré bataille, de 11 heures à 0 heures, à Pont-Noyel- les; elle cal restée maltresse du ch emp do bataille, après uo long combat d'artille- term"n6 p rune charge d'iofanterie r sur toute la ligne. L'ensemble dos reoeriguemcote de la Loire indique que l'enoemt nonce à poursuivre sa marche audelé de Tours, o d. parfait, retirèrent cela as d deus un mille mètres seulement de Nuits. Les Mobiles du filées, de la Gironde, les francs-tireurs des Cévennes, de Lyea et des troupes d'infanterie, eanvellement formées, set montré une grande bravoure Il la solidité de vieux soldats. L'ennemie subi dos pertes considéra' bles. Il ne fit aucune attaque aur Ire pesi- tiooe de Garibaldi, à Artuv, et évacua et que mémo il se replie sur Orléans. Nuits, le 10, laissant une grande quantité De nouveaux ronseignemeuts aur l'af- de morts. foire ds Nuis, du 18, permettent d'af- `` Les pertes do général Cramer saut au- firmer que cette journée a été avants. dessous de 1,200 hommes ;celles de l'en. geusn. Le général Cramer, avec moins de nervi sort quatre foi, plus grandes, parmi 10 m illa hommes, dont beaucoup 1 lesquelles es compte la prince de Rada al voyaient le feu peur le première fais, plus s colonels. et trois batteries, m a soutenu lusqu la - ---- ---^^- 't close ne Wombat entra des forces 4.sié OfII UÉ ojafàie. très supérieures appuyées par sept bat- tenus. L'.memt st allé dans la ----- - l le qn à le faveu d 1 b uri é t a n s n", are élan) foi més 00)OOr- dA l'ab. donner dés q t n. de htaa à couse le la solennité de la , re Un ,coulpe dé4chr, du sous préfet da atin. pNotre as t t f pt bo Pont-Audemer c- br o lévacuanoo des dre, ira pas dépassé ou ray d'un i lf6EG, Is ]otirnal ue l'Onloase ne Prussien. du tété de Nonce. kOomè: e. Les pertes avoués p r PnraStra pas deraa ei lundi. r a l'ennemi sont qua es fois lu.smccunsidé .. nobles uo les noues. Le e Gml- . 24 déoembre Bardeau , qPr On annonce us M. Gambette est Passé 1 4 é bl d é é ll Niort, 24 décembre. Nouvelles de paris, de 22 au soir, par ballon. (Officiel.) Aucun engagernent n est signalé. Il y a eu seulement nne canonnade ver. le plu- trou d'Avron, mais de nouvelles opéra bons sont immin¢ni09. $?M'LNI R.P X P $ La calme ce' complet, le confiance est générale. DCP ,ur. s Laa ires d'uz évaluons nos pertes, duos e Mmutro de leav, , aux préfets, etc. 1. situera 'hier,à ..vira. 800 morts ou le P Bordeaux, le 23 décembre, 5 blessés. heures soir. Les bataillons de la garde nationale Biar à Lyou, le 6linisur de Pl atérice, obiltséa out montré une grande soH- et de la Ouerre a assisté a c le Préfet jeta, de Hhdne à l'enterrement du commao- Depuis Il temps, l'ennemi n'a ni re- uvelb o uiétl les osi- ne dé ôc e rivée es s u attaque ni iuq p U p h p t venue o(ir- tioos du ggénéral Garibaldi. C'est, o notre mer que la sortie de les Pet du 20 0 avait aeobi l'hérotgve ee ic,o légon due été désastreuse pour lia Pussï_.a; Ch. mobi'isés du lthêne qui a le plus . tarai est rempli de blessés, à Bautrand Le 20, Nuits était complétemeot aban- beaaounp de canons ont étb encloués donné par l'ennemi, qm laisse nombre Nous omustetone ce nouveau succès de de morte dans les ligues, et nous repre- ; de la ooerapeuse 'seni'or. le Belfort aven nous polaessiou des blessés q.e nous n'a- d'autant plus de satisfaction qu v e c'est là ms pu évacuer et d'un i o:nnreux 4 que se trouvent Ies j nos artilleurs de matériel. la mobile de I H t L o mer Les nouvelles de Belfort amtonwnt une sortie, dans la net du 20 au 91, déeas samedi Dans l'ordination laits à Montauban transe pour las aesiégaaois. Beauoup de par Mgr l'arouev@que de Ton- 1 canons ont été ..c1-6s, et les vil- Iouee, pour notre diocèse , il y e eu L'arrivée de c ff s e cité fusion, la face., éIl n t ensemble, 0 1 f t glus tais d se . r(Lt hBTOfl OJ 10, .t se A IUI L01168 p e 41 t l 4 t e s'entoodmt plus. It l r B t v t s a f s L au oom - t d- t à do g de t t t I I - t porion 1e l u' i pou bo 2h Dboemhre 1870. u- it t. di 1 4 I t 1 v' t ot instant i Il t . t - prés de omnaur or. venir dans se chambre, sc lg I a à I l ru'aile I 1 I t l l t f t ]peut S fil! Patinant I eu muemutaet d p p t I a b 't les él bisou, p- I tête autre et I 1 t 1 s j al, es confuses sit eau f l à dL t- il I Voir Esdras. No Blocus. oan sentait van u p 1 pavé, quelqu ll Pliaient [non I le g d ilcuce ®+ lfreux, il n'aveit plus une uri ut de ro- are ou I eur bpeu j riaient II f t s an Mare p 1 l"cela! 1 t et ses 6oau leu a J sua tate., père Morse. Je f me '11- 6ll t ires, J'ai -Pins p h t d m { L g re d p I.' cou I - à' t pl bat Le lu1P [ 1 Oie Oh 110 , de bP à q tt I ----M 'r pl I L.g u t 1. k su' t t pl 11 :s re ru Lt t. t s - 39 1 de déle a, eu brande remua, vent talent dans n t. l t t f I f d l 1 P I Sa I2 bleu teille; Il d nf .tari f I ) q I ,lt I a v de lao ville Su t aux e L I r t à d t rn L d I l l 11 a d V I e g M.. isl" o t 't perd., I1 ce. Joué (uu. à è uche, cou iv. 'a I f I AI , le. Nets, -W i trait dans t h b e aon ee..n duo II Notre sergent descend, et qu Jqu s ns J'ae vu quely d sel- 1 1 1 d quoi fil il, et se tenait debout, tout plie, à nous re- tant, après, le le sues. La nie fourmillait dits sar,Ster da la tél. I de L a XV IIl j is garder. de, oule Je me glissa à travers cette I ce le mur et pieu er à ch,. 1 f I p I M . ftir fi., qua eu' o Je e ses faut" ; chacun tenait à au place et voulait n e . la p d l [ L. a P n, ' ,ale 'l'eut so dpeenatt et de longs e .e e 1 h son devoir n . ast tmmanous ,e u suieeaet ;- r. 1 faodamnt dl., la ça o à la lace, des( r Etil se leva tout à coup, Il noua a fart du bien. Il nous aurait dam t Co ume "arrivais devant la caserne, lia p I e t criant O. t - V t lTr em e tve ta e f' d J t déb t t t d né sa viande pour tout lu temps de hlo las; il aimait noir, petit David... IL es cessait sur sis genoux. Il aie usai Es- dras. C'est un brave homme, ev honnête lao , nt le voilà très malheureux ! . J or vol. le sole , lui dira qu'il avait des s, que voit, l'aimions mus, eus tee des raarifrces peur l'aider. cil était forcé de ohavgar 118101... Soi, c'é- tait as que je pensais ;mais, en gar- dant, sa tristesse ma paraissait si terrible, que je ira trouvais plan nu . 11 lamait domo deus eu tromaits tours et arrêtait de nouveau, puis tout à coup il sortait. Sa douleur était frai, grande, il ne pouleit pas môme se plaidra. Eaiia, la 16 avril, nn arndncice lut cour ale pour enterrer "' morts, On bviaa le pool de la porte d'Allemagne, ¢t quantité de gens sururonc jusqu'au soir, pour don- ner quelques coups de piocha au jardin tt@ohor de rapportai un peu de verdure. Mais Zell'en étant toujours malade, nous restâmes chez nous. Le soir, deux no veaux officiers de Mata, envoyés en Parlementaires, entré- renL à le nunomme on relevait les ponts. Ils traversèrent la rue au galop, et as rendirent an gouvernement. - Je lia ai vupasser. . p it s sacs , mon an esce¢ au e une vers e ompagnirs ve.ieient de former la cercle , ce nr ea eo uu sou ir . p . les tournera, xu milieu, lisaient à haute ez l'ordre du jour de l'armée: - c'é- Quelques cris sourds et désespérés de rat l'nbdioaiieu de l'empereur, le lie 'u- vive PEmpecour! eetentiesaiont encore; oe,t dos recrues de 181. et de 1814, pue un seul uri de vivo le Irai I le reeouuaissaveu de Louis XVIII, l'ordre Mat, le courus nnoneve es darses à l'arborer la drapeau blanc et de changer le maison; /tais à peina en haut quo le da emmerde I rgont mourait aussi le fusil sur l'Gpaule. PUuo murmure ne s'éevait dans les Nuns aurions voulu noua réjouir dre la fin du blocus; mais, en voyant le ,argent de. rangs ;tout était calme, terrible, épou, vantable. Ces visu soldate, les dama bout sur notre porte, un froid uona o,tra Serrées, la moustache lia dans les os, et noua collâmes tout atten- éa. lits, roilsbaissés d'us air farouene, pese di il l à t , eu posant a crosse tarit les armes sans rie" dira ; la voix des . Eh bien? . loin e dent Soi!,.. fourriersqui ,'arr@taient detampsentemps suffoqués; l'étatmejer de la place, EL duras ou instant il ne dit rien de plusl¢in sous la vo,tedu quartier, morne, Plus., le regard abattu; Pactemion de tout os Pals il bégaya : t ale, hulules, femmes, enfante, peu' Voilà le plus grande gaeasetie du ails dun bout de la rue à l'autre sur la eeondu_Lns recrues sont Boenutées...Elles pointe dos pieds, la bouche e te'ooeerte, Partent.. La L'roule reste pieds et poings l'ouille tendue ; mut cela, Frite, vous lita notre les griffas des kaisarlioks... Ahl faisan frémir. canailles !... canailles !... J'étais sur l'escalier Sohweyee; je -Oui , sergent , lai répondis-je at- voyais saut et j'eu[endoie chaque pa- tendre , mais 1 faut Prendre e des- roln. sua... nous allons avo r a Tant qu'on lut l'ordre dre jour, rien ne paix, sergent,., Il vous sale, une smur b gril mais ou commandemeut :-Rom- dans le Jura, vous irez prés d'elle... pez les rang !- cri terrible partit à la - Oh1 s en levant la main, (dis de tous lia ailés ; le tumulte, la cou- ma pauvre sieur 4... e e eau a t ess morte e. cette net 11, gara de Toulouse, venant 1 U. 4a m. du soir. hamac menti. de Lyon et se rendant à Bordeaux, . e 24615 M IIIIBSCD t Aanonaea, le HEU. 0 Ir. SO Réclames, la ligne 0 60 Fait. divan, la Ggn. d 00 EB1tEAUI : Il.. Saint.Rames 44, se Maints, a TuIou., Imprimerie Philippe Mon{ardriu: pafite raeSt-Roma, 2 prêtres, 8 diacres, 5 sous-diacres. 5 Druilhet; 250 minorés et 13 tonsurés. 5 I Adrier Malefefte 25 M. le général d, n F Resenyre s est rendu A Amélie-les.Bains pour y achever sa guérison; aprés quoi, l'hono- rable général ira reprendra son com- mandement à l'armée de 1. Loire. - Par décision du 4 décembre dernier, la brigadier Vergès,commandant la bri- gade de a étà nommé créa r te d s.logis à Revel(Hauta.Garou n). Par la mémo déolsion, le gendarme Auriol, de la brigade Pampelone(Tara), a été .0..6 brigadier à Lavit(Tarn-e4Garone). On avait annoncé que M. Armand Du Bourg, qui faisait partie da régimeet d. M. de Chamelle, avait été grièvement bIsI sé et fait prisa ier au combat de Patay. Nus lisons dans ;la Gazelle du Laeev guedoc La triste nouvelle qu'une lettre ue faisait que trop pressentir est arrivée au- lin Snhui à Toulouse. Lo jeune Armand Du Bourg e a succombé aux blessures gent avait reçues au combat de Patay ; il let mortoir,u ment, ranime meurent les _ volontaires de l'Ouest, en soldat et au M. B...... 5 Anonyme, 5 Favier, orfèvre, 20 Ernasp R.ayeole, 50 Houri Eoun!.e. profesaour à la Penult6 de 30 Edmond Malerztr, 50 Le V aa.r 0;,00 n,.:, à Mari, ne, 50 E. Amalric, Ire D° Tersoo .re , Ma. V Etienne Sipjére, SO Camperdon, a Laverease, 100 Frizaq 25 Gammune de Massabraa, par les salas de MM. Mer. adier, Bouchel al Su- bra, 14 Leatrado Senior; 100 Vincent Laya , Moral, é ro Commune da Fontanelles, 173 fe. 65 1,137 fr. 65 Souscriptian de la commune de chrétien. Fantenilfes- Circonstance bleu imprévue et bien I - touchante ! la noble et pieuse femme qui La omonnus aur aon budget, 1 W fr.; a ramassé le liane blessésur le champ de I d. Giléde a ..ira de Foateoilles, batailla la aceur SaiuM anri r Q D eeue 00 ma d de près d'Orléans,) vent trouvé @tre ses eo amas ; 1a p donc. a voulu q e la fama]4e a la L g a', as trouvent réunies ensemble au chenet du mou ante si. "Il Il Du Bourg,' d M.Ar- mand Du ltourg, lent é 1 nt deus les volontares de lO t troiméme frère cal -fille' sana lia spahi.. voilà nt mes amis ,crocus lu Frauda ! aawt Naue n'essaierons pas d'exprimer à ]'honorable M. Gabriel Do Bourg, com- bien nous rassc'tous le coup qui vient de frapper si cruellement socumr de père; il y a des douleurs devant Ioaquel las Il sied de garder le ailenoa. SOUSCRIPTION D6 I.A cruor®-,ARONNa ev P voue èr_e clades et blva'Os mdioeie,s Siareoie, et plus 1 t leur let etobde t l1 b'I C, du dép t ont. mers. MM. Sellée et lls, 50 fr. aN6=ddar-- -- - 100 fr.; Pachy Bernard, Id ie, Marlea , f Fr.; r et Mme A renie, 10 fr-; jean I Lacombc, '' ; 'l'errai François, e fr.; 1g le.; AugusLm , 1 fr. ; ; Depnl, 10 le.; Gdabe.; Français, 2 fr.; e.; Le lh, 2Ir.; La Jacques, 1 fr.; Blaye .I"'.P mer quo steeé nmr,l fr garda, 4 fr.; Cest. Ja u 'r fr. Lofap. st i fr; .; Bar es Aod b,l de,1 f.; Duras François, su village, , 1 1 frfr..; Laforgue, Barthélemy, Si0,50 a. Laforgue Bernard, 0,10 cD Simone .lean, 25 o.; Bardes, veuve u rat éfunie 0,5le 1 e art p .; Lap Gufllaums, f le.; Anonyme, 2 f,.; Dirai, François, 1,80 c. Redoutés Georges, U,50 c.; Carsalade Jean, 0 Jean e,5U o.; Lupiac Oeur n Naudea Blaise, 1 fr:; Fort Us, go.. uteur communal, 9 francs; Lasvi- thor Guillaume, is francs ; Maillas Jean, e, 10 ®.; Claris Pierre, 9 ufir .; Dupesx ras Jean, 7 ir ; Man ment Jnau, au Garroas- set, 1 fr.; 00.; Sdec Jeao, GO a; Busauére 1 il.; Mi elas 20 c ; Géreandld, , 1 1 10 1 IjJean inMena, 1 fr.; Mesac Jean. Pterre, 1 fer. .; Cazaboo .taon.Pierre-Cadet, 5 L.; Augé Pascal, 1 fr.; Povs Bernard, meunier, 2 fr- Total 273 fr. 05 o. enrouée : Et m'étant assis 1 place le ne P. Ad' u Vivez bien'... m',.rnp@aher de f0,bà en Larmes ! J g d do bout de la pe- II III ttte llec, entrer dos aa chambre en pas. On a bien raison de dire que tous lus sent. Ih . ; l'un cannelle P - Vgt-iuq ans de service, Luit bl t 1f t notre hou aergont fut ot pas de pain dd:ls se V c - I d C jean, les ennemis retirèrent Jours . Cerne peos6c smb t I I leurs t Postes 1 sa cents toise, de la c Envieou unqua td'heure p 1 ége I tl p 11 lot e tb ré aur gent de,eendet avr, f t on t u L i Fn tp narre son 'Innais t ' n4 Sàfol sur l'es ' 1 il lot dit Delay) 1, t. re l'or ivée Tiens, voilà pa t L P 1 d . Z- et nos gé- Cét le portrait d l femme t u' t t 11 a, fallut direà orfa t u' l d h d l Tuilerie. S1 0t l tl 4 têt 1 pp t J pris 1,0 j . t Petit D t rail... tune le tel 111 daud p d I.I i1 l a ove pls d â longtemps avec une grande t t s' N l I o ...- Q taud ou songe à puis je l'enfermai dans an lia armoire avec tout, t misèrrs de la guerre, à toutes la lettre. uelle q le t durant des années, IL étmt midi ; et comme les parles a+- on n fierait jamais !... laient,ouvrir, me les pcuvesions al- r J'aime mieux te p Mon île mea fils lisig laientarriver on abondance, vous nous 05. et FrZ,ue], clic mon ShIrI, qui est allé stores devant en gros morceau de bmvf les rejoindra au Amérique. cuil avec On plat de pommes de terre, t j Si je te a contais tous les biens qû ils nous elle.. hàmas nul bonne bouteille , ont acquis deus c, grand pays des hum. de vin. mes libres, lot terres qu'ils ont achetées, Nous étions en train de manger, lors- l'argent qu'ils ont tris de côté, le nombre que des neis,'entombernt dans le rue, 55. Le petits enfants q. ils oto t donnés, Ce! se lova Pour regarder. toutes les satisfuelmnes d et ils nous ont . Un soldat blessé qu'on parle à l'hê- comblés, Sorlé et moi, tu serais dans l'é- pital , . dit il. tonuameed et l'admiration. Puis il criai Jamais lis ne m'ont laissé manquer de e C'oct notre sergent ! . mn. Le plus grand plaisir yne je puisse Une horrible idée me traversa l'esprit. Jour faire, n'e t du souhutar quelque Soe,é voulait ce lever, je lui dis R- chose : chacun,d'eux vent ma l'envoyer! te ! e et je descendra seul. lis n'oublient pas que je les ai sauvés da Le brancard passai: son les épaules de la guerre per usa gronde prudence. queue canonniers de marine ; des enfan's I le les aime tous également, Frit,, etja lent derrière. leur dis, co tin e Jacob : a Que le Dieu co Au premier coup d'eil je reconnus le .d'Abraham et d'lsaac, nos pères, le Dieu serguny la figmc toute blanche et la pal- '.qni e ouvrit depuis que je lis aa truie pleine dre sang. 11 ne bougeait plus. monde, bénisse mes enfants ;qu'ils mu1- Le malheurcaz était allé de choc nous, .tiplient très abondamment sur la terre, sur la bastion derrière l'arsenal, pour se t qua leor postérité sait una multjtudE tirer un coup de fusil au croit., de nations! Nous frémissions ; ou oo savions ce s qui nous faisait trembler. Lui me tendait les becs, et le me ]o ,ai nous ombrassàmes comme de. b Ores, . Adieu, père Slo;ee, disai4tl, adieu pour Vous parlez dote tout deeffila 1 - Vous baves, sergent, que vues au- ne, t=d .u niais nez nous . .. Vous noua voir. Si vous avi s be- soin.... Oai... oui... je le sais... vous @tes du vr lis amis.., de bravos gens I a B me serrait avco force. Eusaito il alla prendre sou fusil ; et ns toue en lui socnaitant da u le suiv.- mukre, lorsqu'il se retourna les lar- mes aux yeux, et embrassa ma famine en disant . Il faut que je vous ombrasse: Il n'y a pas de mal, n'est-ce pas, ma lento Sorlé 1 - Ah I non, ditelle, vous ôtas de la uni da, et jembraeaerai 'Leffee pour voue Aussitôt il sortit eu criant d'eue voix Alors je remontai tellement abattu, tapement triste et désolé, que j'avais 'ne à me seoir debout, pebor16 m'attendait toute défaite. Hotte pauvre songent ,est tué, lui dis-je, que Dieu lui pardonne I...e L,aoMnmCSà12Ite) Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

14 f1', t u - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1870/B315556101_JOUTOU_1870_12_25.pdf · de morte dans les ligues, et nous repre- ; de la ooerapeuse

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Rë.31iCS DES DEPARTS,RT DES ARRIFERS DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'OP,LeANS (Meiji

TOULOUSE Un sa, 401.; S mois, 21 f.; 6 muta, 1 t f- nmaa es soxnasox Dapsee, : Arrivée. e tmss D. rodaQQEPARTEMENTS - 30 f.; - 26 f-; - 14 f1', t u t0 s. W Mati8 a. 58 Députa Arrivée. rETRANGEB Lac frais aa lémentairoe de posoi -l. Drts Arrivée.: (napnsa) 2 W Mat f xprd/0 461pp Matin 8 a. 20 or l 8 h, 30

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Sair 1 15 Soir 2 20A TOULOUSE : Aux bureau. da Journal, rue BL-Roma, 44. Soir Ag. 6 20 gel, 10 40 noms 0 atlas- Lmaa o°oetdans, e a.oF4taM

A PARIS: Chas M. Hava,, rua J.J. Rousseau, 3, Soir (..ch.) f0 30 ffiati,, 8 h. W Modo 8 h. 70Mann b h. i0 Madn 9 h. 873 Soir f 55 Son 2 41et chas MM*" Lalfitte-Balliar et C. plane de la Bourse, 8;`.. Lerdn (cep,.) IL 45 Seu f

Fontaine, rue de Trévise, 22, uona oa mers goh P. 2 20 Soir 5 58 S'il t l0 Son 8 litSeul. Correspondants pour les Anuonua. Manu S b. W Matin(marah.)7 h. 14 Boir Momréi. 8 40 Sole 40 20 soir lit 78 1

Toulouse 25 Décembre. dont Arnaud, que tante la populationf suivait. IL a été partout acclamé, surtout

la Creiz-Roossr.IL su confirme que le crime o est impu-

BOURSE DE TOULOUSE. table à aucun putti politique. L'ioeteoa-au 23 Décembre

5 0l0Midi

Sarragoeae

Folio.

An Geaptaet

55 20295 00169 00290 05

Dépéchea Télégraphislaea.

Versailles, 10 décembre,Dép@che dre quarher-grsi(eat du prince

o

Jai fait le tour de Paris à cheval, eti trouvé les troupes allemandes bienl'a

dta^osées, surveillent attentivement tout

uv ment de le;part des Francail.m f.eseR urteeuborg 'oie et las Basons, qui

t perdu ou si grand nombre des leursdans Ies dernières sorties, sont maint.-naut parfaitomeoe en état de renouve-ler le combat; et les uvrages des Alle-

nds ont été fortilléa pour servir dedéfense en cas de besoin.

D'un autre coté Ies Lançais sont très mémo l'huile de hn; tout le bubn est partset semblent occuper toua les volute dans la direchoa d'Amiens.actifs,

de quelque importance. lis met imam hier, 21 prussiens ont été més, untableme t porté au vaut leur ligue de blessé, un faut prisonnier par des mobilesdéfense du allé do l'est eu plaçam des de la Lone-Ialérieure et des frauas ti-ppièees de canon

dansle coÎ

vnerhattenrla Marne et au moyen ,deétablie à Avion, levant le fort

R Leysontimant des troupes allemandesest pour un bumbudement, et L. soldats

beaucoup de voir que l'onDénaj;n Paris.

flatd;o doute que l'on en fasse l'essai

tin re ms.d'ici i,ol P11

een rulloraii tu duel kés sériait.

d'arnilloeiu et de v;goureuses sorties de legarw9nn tant entière.

loges anvirentama sout remplis de leursblessés.

Lille, 25 décembre au soir. IPour copte conforme

Dire dépéehe du général Faidhrebe Le préfet dols Répisbbgee, commissaireà la défense nationale,

{ion ae poursuit activement. Plusieurs ',Aujourd'hui, de 11 à G heures, nue ba' Ameoou Deronrne..areeetattona ont été faites. taille a ea

lie'à Pont Noydle iii Mme ' %g22ere Lrpe'C &Peur copie enferme: 1 arrondissement d'Amiens. au N. E. de Det

Le f t de la Rèerahque r - !e nette vdln)p

.fie à la defe¢se ntliionxle,ore N

avens eselcnx. '

Bardeaux, 26 décembre.9 h. 5 es. du matin.

Bernay (Rare) 22cdéaembre.Suivant des renseignements considérés

comme Lire. probables, il reste à Rouenseulement 1,500 Prussiens; sur la côte deBon-Secours, il n'y e plus que deux ca-p s en poition.A Elbuef, sont environ 600 Prus-

siens.

Deux .vires anglais ont coulédans la Saires aux env roua de Ondoie(chef-Ilea de os tev,daos l'arrondisse-weut de Rouen): de géuerle nnviga-tier, des torpilles ont été placées dans laSeine entre Duclair et Rouen.

Tous les ietrepêts et docks de Rouenont été pillés, les Prussiens out enlevé

Armand Dmoxrae.. 1 de bataille, aprés un long combat d'aefil- las détails dre ecoeba[ livré è Nuits

Bordeaux, 24 décembre, 3 h. soir.ous sommes restés maîtres du champ i Lyon- 23 décembre.

lerle, tero,iué par une charga d'iufaotoeie aie. t que lel' générai Cramera conte-sur toute la ligue. eau l'attaquedeennemi, le 18 dboem bre,

seulement 10,000 hommes. La ba-amxa néex'ces. taille a duré toute la jaumée. Les Fran-

Bordean., 24 décembre, 1 h. soir.Hier, l'armée du Nord a livré bataille,

de 11 heures à 0 heures, à Pont-Noyel-les; elle cal restée maltresse du ch emp dobataille, après uo long combat d'artille-

term"n6 p rune charge d'iofanteriersur toute la ligne.

L'ensemble dos reoeriguemcote de laLoire indique que l'enoemt nonce àpoursuivre sa marche audeléde Tours,

o d. parfait,retirèrentcela asd

deus unmille mètres seulement de Nuits.Les Mobiles du filées, de la Gironde,

les francs-tireurs des Cévennes, de Lyeaet des troupes d'infanterie, eanvellementformées, set montré une grande bravoureIl la solidité de vieux soldats.

L'ennemie subi dos pertes considéra'bles.

Il ne fit aucune attaque aur Ire pesi-tiooe de Garibaldi, à Artuv, et évacua

et que mémo il se replie sur Orléans. Nuits, le 10, laissant une grande quantitéDe nouveaux ronseignemeuts aur l'af- de morts.

foire ds Nuis, du 18, permettent d'af- `` Les pertes do général Cramer saut au-firmer que cette journée a été avants. dessous de 1,200 hommes ;celles de l'en.geusn. Le général Cramer, avec moins de nervi sort quatre foi, plus grandes, parmi10 m illa hommes, dont beaucoup 1

lesquelles es compte la prince de Rada alvoyaient le feu peur le première fais, plus s colonels.et trois batteries,

ma soutenu lusqu la - ---- ---^^-

't close ne Wombat entra des forces 4.sié OfII UÉ ojafàie.très supérieures appuyées par sept bat-tenus. L'.memt st allé

dansla ----- -

l le qn à le faveu d 1 b uri é t a n s

n",

are élan) foi més 00)OOr-dA l'ab. donner dés q t n. de htaa à couse le la solennité de la,re

Un ,coulpe dé4chr, du sous préfet da atin. pNotreas t t f pt boPont-Audemer c- br o lévacuanoo des dre, ira pas dépassé ou ray d'un i lf6EG, Is ]otirnal ue l'Onloase nePrussien. du tété de Nonce. kOomè: e. Les pertes avoués p r PnraStra pas deraa ei lundi.r a

l'ennemi sont qua es fois lu.smccunsidé ..nobles uo les noues. Le e Gml-. 24 déoembreBardeau , qPr On annonce us M. Gambette est Passé1 4é bld é é ll

Niort, 24 décembre.Nouvelles de paris, de 22 au soir, par ballon.

(Officiel.)Aucun engagernent n est signalé. Il y a

eu seulement nne canonnade ver. le plu-trou d'Avron, mais de nouvelles opérabons

sont immin¢ni09.

$?M'LNI R.P X

P$ La calme ce' complet, le confiance est

générale.DCP ,ur. s Laa ires d'uz évaluons nos pertes, duos

e Mmutro de leav, , aux préfets, etc. 1. situera 'hier,à ..vira. 800 morts ouleP Bordeaux, le 23 décembre, 5 blessés.

heures soir. Les bataillons de la garde nationaleBiar à Lyou, le 6linisur de Pl atérice, obiltséa out montré une grande soH-

et de la Ouerre a assisté a c le Préfet jeta,de Hhdne à l'enterrement du commao-

DepuisIl

temps, l'ennemi n'a ni re-uvelb o uiétl les osi- ne dé ôc h e rivée ess u attaque ni iuq p U p h p t venue o(ir-

tioos du ggénéral Garibaldi. C'est, o notre mer que la sortie de les Pet du20

0 avaitaeobi l'hérotgve ee ic,o légon due été désastreuse pour lia Pussï_.a; Ch.mobi'isés du lthêne qui a le plus

soufferti

. tarai est rempli de blessés, à BautrandLe 20, Nuits était complétemeot aban- beaaounp de canons ont étb enclouésdonné par l'ennemi, qm laisse nombre Nous omustetone ce nouveau succès dede morte dans les ligues, et nous repre- ; de la ooerapeuse 'seni'or. le Belfort avennous polaessiou des blessés q.e nous n'a- d'autant plus de satisfaction quv

e c'est làms pu évacuer et d'un i o:nnreux 4 que se trouvent Ies j nos artilleurs de

matériel. lamobile

de I H t L o merLes nouvelles de Belfort amtonwnt une

sortie, dans la net du 20 au 91, déeassamedi

Dans l'ordination laits à Montaubantranse pour las aesiégaaois. Beauoup de par Mgr l'arouev@que de Ton-1

canons ont été ..c1-6s, et les vil- Iouee, pour notre diocèse , il y e eu

L'arrivée de c ff s e cité fusion, la face., éIl n t ensemble, 0 1 f t glus tais d se. r(Lt hBTOfl OJ 10, .t se A IUI L01168 p e 41 pé t l 4

t e s'entoodmt plus. It l r B t v t s a f s L au oom-t d- t à do g de t t t I I - t porion 1e l u' i pou

bo 2h Dboemhre 1870. u- it t. di 1 4 I t 1 v' t ot instant i Il t . t - prés deomnaur or.venir dans se chambre, sc lg I a à I l ru'aile I 1 I t l l t f t ]peut S fil! Patinant

Ieu muemutaet d p p t I a b 't les él bisou, p- I tête

autre

etI 1 t 1 s jal,

es confuses sit eau f l à dL t- il I Voir Esdras. No

Blocus.oan sentait van u p 1 pavé, quelqu ll Pliaient [non I le g d ilcuce

®+lfreux, il n'aveit plus une uri ut de ro- are ou I eur bpeu j riaient II f t

san

Mare p 1 l"cela! 1 t etses

6oauleu a

J

suatate., père Morse. Je

f me '11- 6ll t ires, J'ai-Pins p h t d m { L g re d p I.' cou

I - à' tpl

bat Le lu1P [ 1 Oie Oh 110 , de bP à q tt I----M 'r pl I L.g u t 1. k su' lé t t pl 11 :s re ru Lt t. t s -

e39 1 de déle a, eu brande remua, vent talent dans n t. l t t f I f d l 1 P I Sa I2 bleu teille;Il d nf .tari f I ) q I ,lt I a v

de lao ville Su t aux e L I r t à d trn

Ld I l l 11 a d V I e gM.. isl"o t 't perd., I1 ce. Joué

(uu. à è uche, couiv.

'aI

f I AI ,le.Nets,-W i

trait dans t h b e aon ee..n duoII Notre sergent descend, et qu Jqu s ns J'ae vu quely d sel- 1 1 1 d quoi fil il,

et se tenait debout, tout plie, à nous re- tant, après, le le sues. La nie fourmillait dits sar,Ster da la tél. I de L a XV IIl j is

garder.de,

oule Je me glissa à travers cette Ice le mur et pieu er à ch,. 1 f I p I M . ftir

fi., qua eu' oJe e ses faut" ; chacun tenait à au place et voulait n e . la p d l [ L. a

P n,' ,ale 'l'eut so dpeenatt et de longs e .e e 1 h son devoirn. ast tmmanous ,e u suieeaet ;- r. 1

faodamnt dl., la ça o à la lace, des(r

Etil se leva tout à coup,Il noua a fart du bien. Il nous aurait dam t Co ume "arrivais devant la caserne, lia pI

e t criantO. t - V t lTrem e tve ta ef' d J t débt t t dné sa viande pour tout lu temps de hlo

las; il aimait noir, petit David... IL escessait sur sis genoux. Il aie usai Es-dras. C'est un brave homme, ev honnêtelao , nt le voilà très malheureux ! .

J or vol. le sole , lui dira qu'ilavait des s, quevoit, l'aimions mus,

eus tee des raarifrces peur l'aider.cil était forcé de ohavgar 118101... Soi, c'é-tait as que je pensais ;mais, en gar-dant, sa tristesse ma paraissait si terrible,que je ira trouvais plan nu .

11 lamait domo deus eutromaits

tours etarrêtait de nouveau, puis tout à coup il

sortait. Sa douleur était frai, grande, il nepouleit pas môme se plaidra.

Eaiia, la 16 avril, nn arndncice lut courale pour enterrer

"'

morts, On bviaa lepool de la porte d'Allemagne, ¢t quantitéde gens sururonc jusqu'au soir, pour don-ner quelques coups de piocha au jardintt@ohor de rapportai un peu de verdure.

Mais Zell'en étant toujours malade, nousrestâmes chez nous.

Le soir, deux no veaux officiers deMata, envoyés en Parlementaires, entré-renL à le nunomme on relevait lesponts. Ils traversèrent la rue au galop, etas rendirent an gouvernement. - Je liaai vupasser.

. pits sacs , mon an esce¢ aue une vers eompagnirs ve.ieient de former la cercle , cenrea eo uu sou ir. p .les tournera, xu milieu, lisaient à haute

ez l'ordre du jour de l'armée: - c'é- Quelques cris sourds et désespérés de

rat l'nbdioaiieu de l'empereur, le lie 'u- vive PEmpecour! eetentiesaiont encore;oe,t dos recrues de 181. et de 1814, pue un seul uri de vivo le Irai I

le reeouuaissaveu de Louis XVIII, l'ordre Mat, le courus nnoneve es darses àl'arborer la drapeau blanc et de changer le maison; /tais à peina en haut quo leda emmerde I

rgont mourait aussi le fusil sur l'Gpaule.

PUuo murmure ne s'éevait dans les Nuns aurions voulu noua réjouir dre la findu blocus; mais, en voyant le ,argent de.rangs ;tout était calme, terrible, épou,

vantable. Ces visu soldate, les dama bout sur notre porte, un froid uona o,tra

Serrées, la moustache lia dans les os, et noua collâmes tout atten-éa. lits,roilsbaissésd'usair farouene, pese

di il l àt , eu posant a crossetarit les armes sans rie" dira ; la voix des . Eh bien?.loin e dent Soi!,..fourriersqui ,'arr@taient detampsentemps

suffoqués; l'étatmejer de la place, EL duras ou instant il ne dit rien deplusl¢in sous la vo,tedu quartier, morne, Plus.,le regard abattu; Pactemion de tout os Pals il bégaya :

t ale, hulules, femmes, enfante, peu' Voilà le plus grande gaeasetie duails dun bout de la rue à l'autre sur la eeondu_Lns recrues sont Boenutées...Ellespointe dos pieds, la bouche e te'ooeerte, Partent.. La L'roule reste pieds et poingsl'ouille tendue ; mut cela, Frite, vous lita notre les griffas des kaisarlioks... Ahlfaisan frémir. canailles !... canailles !...

J'étais sur l'escalier Sohweyee; je -Oui , sergent , lai répondis-je at-voyais saut et j'eu[endoie chaque pa- tendre , mais 1 faut Prendre e des-roln. sua... nous allons avo r a

Tant qu'on lut l'ordre dre jour, rien ne paix, sergent,., Il vous sale, une smurb gril mais ou commandemeut :-Rom- dans le Jura, vous irez prés d'elle...pez les rang !- cri terrible partit à la - Oh1 s en levant la main,(dis de tous lia ailés ; le tumulte, la cou- ma pauvre sieur 4... e

e eau a t ess morte e. cette net 11, gara de Toulouse, venant1

U.

4a m. du soir. hamacmenti. de Lyon et se rendant à Bordeaux,

.e

24615 M IIIIBSCD t

Aanonaea, le HEU. 0 Ir. SORéclames, la ligne 0 60Fait. divan, la Ggn. d 00

EB1tEAUI : Il.. Saint.Rames 44, se Maints, a

TuIou., Imprimerie Philippe Mon{ardriu: pafite raeSt-Roma,

2 prêtres, 8 diacres, 5 sous-diacres. 5 Druilhet; 250minorés et 13 tonsurés.

5I Adrier Malefefte 25

M. le général d, n F Resenyres est rendu A Amélie-les.Bains pour yachever sa guérison; aprés quoi, l'hono-rable général ira reprendra son com-mandement à l'armée de 1. Loire.-Par décision du 4 décembre dernier,la brigadier Vergès,commandant la bri-gade

de

a étà nommé créa r ted s.logis à Revel(Hauta.Garoun). Par lamémo déolsion, le gendarme Auriol, dela brigade Pampelone(Tara), a été .0..6brigadier à Lavit(Tarn-e4Garone).

On avait annoncé que M. Armand DuBourg, qui faisait partie da régimeet d.M. de Chamelle, avait été grièvement bIsIsé et fait prisa ier au combat de Patay.

Nus lisons dans ;la Gazelle du Laeevguedoc

La triste nouvelle qu'une lettre uefaisait que trop pressentir est arrivée au-lin Snhui à Toulouse. Lo jeune ArmandDu Bourg ea succombé aux blessures gentavait reçues au combat de Patay ; il letmortoir,u ment, ranime meurent les

_volontaires de l'Ouest, en soldat et au

M. B...... 5Anonyme, 5Favier, orfèvre, 20Ernasp R.ayeole, 50Houri Eoun!.e. profesaour à

la Penult6 de 30Edmond Malerztr, 50Le V aa.r 0;,00 n,.:, à

Mari, ne, 50E. Amalric,Ire D° Tersoo .re,Ma. V Etienne Sipjére, SO

Camperdon, a Laverease, 100Frizaq 25Gammune de Massabraa,

par les salas de MM. Mer.adier, Bouchel al Su-

bra, 14Leatrado Senior; 100Vincent Laya, Moral,é roCommune da Fontanelles, 173 fe. 65

1,137 fr. 65

Souscriptian de la commune dechrétien. Fantenilfes-

Circonstance bleu imprévue et bien I -touchante ! la noble et pieuse femme qui La omonnus aur aon budget, 1 W fr.;a ramassé le liane blessésur le champ de I d. Giléde a ..ira de Foateoilles,batailla la aceur SaiuM anri rQ D eeue00

maddeprès d'Orléans,) vent trouvé @tre

ses eo amas ; 1a p donc. a vouluq e la fama]4e a la L g a', as trouventréunies ensemble au chenet du mouante

si."Il Il

Du Bourg,' d M.Ar-mand Du ltourg, lent é 1 nt deusles volontares de lO t troimémefrère

cal

-fille' sana lia spahi.. voilànt mes amis ,crocus lu Frauda !aawt

Naue n'essaierons pas d'exprimer à]'honorable M. Gabriel Do Bourg, com-bien nous rassc'tous le coup qui vientde frapper si cruellement socumr depère; il y a des douleurs devant Ioaquellas Il sied de garder le ailenoa.

SOUSCRIPTION

D6 I.A cruor®-,ARONNaev P voue èr_e clades et blva'Os mdioeie,s

Siareoie, et plus pé 1 t leurlet etobde t l1 b'I C,

du dép t ont.mers.

MM.

Sellée et lls, 50 fr.

aN6=ddar-- -- -

100 fr.; Pachy Bernard, Id ie, Marlea, f Fr.; r et Mme A renie, 10 fr-;jean I

Lacombc, '' ; 'l'errai François, e fr.;1g

le.;AugusLm , 1 fr. ; ; Depnl,

10 le.; Gdabe.; Français, 2 fr.; e.; Lelh, 2Ir.; LaJacques, 1 fr.; Blaye .I"'.P

mer quo steeé nmr,l fr garda,4 fr.; Cest. Ja u 'r fr. Lofap. st

i fr; .; Bar esAod b,l de,1 f.; DurasFrançois, su village,,

1

1

frfr..;

Laforgue,Barthélemy,Si0,50 a. Laforgue Bernard,0,10

cDSimone .lean, 25 o.; Bardes,

veuve u rat éfunie 0,5le1

eartp .; Lap

Gufllaums, f le.; Anonyme, 2 f,.; Dirai,François, 1,80 c. Redoutés Georges,U,50 c.; Carsalade Jean, 0Jean

e,5U o.; LupiacOeur n Naudea Blaise, 1 fr:; Fort Us,

go.. uteur communal, 9 francs; Lasvi-thor Guillaume, is francs ; MaillasJean, e, 10 ®.; Claris Pierre, 9 ufir .;

Dupesx

rasJean, 7 ir ; Man ment Jnau, auGarroas-set, 1 fr.; 00.;

Sdec

Jeao, GO a; Busauére1 il.; Mi

elas20 c ; Géreandld,

,1

1

10 1 IjJean inMena,1 fr.; Mesac Jean.Pterre, 1

fer.

.; Cazaboo .taon.Pierre-Cadet,5 L.; Augé Pascal, 1 fr.; Povs Bernard,meunier, 2 fr- Total 273 fr. 05 o.

enrouée : Et m'étant assis 1 place le ne P.Ad' u Vivez bien'... m',.rnp@aher de f0,bà

enLarmes !

J g d do bout de la pe- II IIIttte llec, entrer dos aa chambre en pas. On a bien raison de dire que tous lussent. Ih . ; l'un cannelle P -

Vgt-iuq ans de service, Luit bl t 1f t notre hou aergont fut

ot pas de pain dd:ls se V c - I dC jean, les ennemis retirèrent

Jours . Cerne peos6c smb t I I leurs t Postes 1 sa cents toise, de la

c Envieou unqua td'heure p 1

ége I

tlp 11 lote tb ré aur

gent de,eendet avr, f t on t u L i Fn t p narreson 'Innaist ' n4 Sàfol sur l'es ' 1 il lot dit Delay) 1, t. re l'or ivée

Tiens, voilà pa t pé L P 1 d . Z- et nos gé-Cét le portrait d l femme t u' t t 11 a, fallut direà

orfa t u' l d h d l Tuilerie. S1 0t l tl4 têt 1 pp t J pris 1,0 j . t Petit D t rail... tune letel 111

daud p d I.I i1 l a ove plsd â longtemps avec une grande t t s' N l I o ...- Q taud ou songe àpuis je l'enfermai dans an lia armoire avec tout, t misèrrs de la guerre, à toutesla lettre. uelle q le t durant des années,

IL

étmt midi ; et comme les parles a+- on n fierait jamais !...laient,ouvrir, me les pcuvesions al- r J'aime mieux te p Mon île mea fils lisiglaientarriver on abondance, vous nous 05. et FrZ,ue], clic mon ShIrI, qui est alléstores devant en gros morceau de bmvf les rejoindra au Amérique.cuil avec On plat de pommes de terre, t j Si je te a contais tous les biens qû ilsnous elle.. hàmas nul bonne bouteille , ont acquis deus c, grand pays deshum.de vin. mes libres, lot terres qu'ils ont achetées,

Nous étions en train de manger, lors- l'argent qu'ils ont tris de côté, le nombreque des neis,'entombernt dans le rue, 55. Le petits enfants

q.

ils oto t donnés,Ce! se lova Pour regarder. toutes les satisfuelmnes d et ils nous ont

. Un soldat blessé qu'on parle à l'hê- comblés, Sorlé et moi, tu serais dans l'é-pital , . dit il. tonuameed et l'admiration.

Puis il criai Jamais lis ne m'ont laissé manquer dee C'oct notre sergent ! . mn. Le plus grand plaisir yne je puisseUne horrible idée me traversa l'esprit.

Jourfaire, n'e t du souhutar quelque

Soe,é voulait ce lever, je lui dis R- chose : chacun,d'eux vent ma l'envoyer!te ! e et je descendra seul. lis n'oublient pas que je les ai sauvés da

Le brancard passai: son les épaules de la guerre per usa gronde prudence.queue canonniers de marine ; des enfan's I le les aime tous également, Frit,, etja

lent derrière. leur dis, co tin e Jacob : a Que le DieucoAu premier coup d'eil je reconnus le .d'Abraham et d'lsaac, nos pères, le Dieu

serguny la figmc toute blanche et la pal- '.qni e ouvrit depuis que je lis aatruie pleine dre sang. 11 ne bougeait plus. monde, bénisse mes enfants ;qu'ils mu1-Le malheurcaz était allé de choc nous, .tiplient très abondamment sur la terre,sur la bastion derrière l'arsenal, pour se t qua leor postérité sait una multjtudEtirer un coup de fusil au croit., de nations!

Nous frémissions ; ou oo savions ces

qui nous faisait trembler.Lui me tendait les becs, et le me

]o

,ai nous ombrassàmes comme de.b Ores,

. Adieu, père Slo;ee, disai4tl, adieu pour

Vous parlez dote tout deeffila 1

- Vous baves, sergent, que vues au-

ne, t=d .u niais nez nous . ..

Vous noua voir. Si vous avi s be-soin....

Oai... oui... je le sais... vous @tes duvr lis amis.., de bravos gens I a

B me serrait avco force.Eusaito il alla prendre sou fusil ; et

ns toue en lui socnaitant dau le suiv.-mukre, lorsqu'il se retourna les lar-mes aux yeux, et embrassa ma famine endisant

. Il faut que je vous ombrasse: Il n'ya pas de mal, n'est-ce pas, ma lentoSorlé 1

- Ah I non, ditelle, vous ôtas de launi da, et jembraeaerai 'Leffee pourvoue

Aussitôt il sortit eu criant d'eue voix

Alors je remontai tellement abattu,tapement triste et désolé, que j'avais

'ne à me seoir debout,pebor16 m'attendait toute défaite.

Hotte pauvre songent ,est tué, luidis-je, que Dieu lui pardonne I...e L,aoMnmCSà12Ite)

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Souscriplian data (amante de àlu,euiear,.

MM.Doaseiet Jean-Baptiste, maire, l o f.;111 fr.; LafegeArsaguet Jean, adj,

13ersrd, 10 fr.; Meroadiee Casimir, lot.,Siearac Raymond, 10 fr.; Sanie pierre,5 fr.; Seule Aubin, :i fr.; Saule honoré,2 fr.; Noyez Guillaume, 5 lr.; Souchet.Sacques, if fe; Rouaeli Pierre, 5 fr.; Bon

clous jean, 'i le.; l)om'siet Laurent, d f.;Bouchet Jean, 3 fr.; Laforde Sienne, fere-priéteire, 3 le.; Dubouch Simon,Bonreoaille. Pierre, 1 fr.; Fauté Jean,4 fi.; Laylls Bernard, 1 fr.; Arsaguet Sé-

bastien, 1 le.; Pélate Pierre,1 &.; Sente-z fr., Senseby Philipppe, 1 fr.;

Seneeby Pierre. 1 le.; Laborde Simon,meunier, li fr.; Pharagaa Pierre, 1 fr.;Ailières Jean, 50 0.; Carrière Jean, 50 e.;Sylvca t re Raymond, !i0 0.; Bmet Pierre,GO e.; Abribet Pierre, 50 e.; Rancart Ger-main , f0 0.; Steurac Suzaune , 1 fn;Fira, Jean

Total 1141e.

Smtseriplion ouverte. par la ComiWW Bonfrai, pour les prisonniers français enAllemagne.

5-- fillev MM.

® Le v, de Sntata ème,M M. Anobie,

Armand Vefefette,M. Dreilhet,Farier, orfèvre,M0 Y Policarpe,UeHbe et file,

"'01020

100101050

0. lit dans le Journal de 9t-Gaudena:0, sera bien aise d'apprendre que les

dons recueillis dans l'areoudssement parplu la Comreedes

chaussuree, des vége.

nientpd'hiver eL du tabac aux Mobiles du2° bataillon, leur out été expédiés aujour-d'huimême, par la voie la plus serre : an--ci que plus de trois mule fracs en argent,qui seront directement remis, de la persde leurs faiaills, 3 un kds grand nombrede mobiles.

Il est heureux, va l'irrégularité osionnée par l'omupation de l'enanri et ledéplacement des troupes dans le servicedes postes, que ce oyea aile de faireparvenir de l'argent à leurs enfants aitété mis, par la sollicitude do M0 da Comne fils

et l'abligeance de M. Degnat, àla disparition des parente.

M. l'abbé Digest, aaempagné de sonf ère et d'un ancien élève de Seréze, M.Fabre, fils du notaire de Ta¢laaee, eetiparti cette aprèsmidi pour Bourges, où1 espère rencontrer le bataillon.

Cs messieurs o t quitté la gare à 2heure, emportant dix-sept immenses çaPte destinés à nos chers Mobiles. Grâceaux saufs conduits dont ils sont munis, etaux brassards des ambulances qti on abien voulu leur accorder nous espéronsqu'ifu aceomplirent loir voyage rapide-ment et sans enspeoibre.las

un je- derniers temps le propagateur assidu. Pusse se flatteèéf apr srapp , eut-Stre de combler les

Disou+ de creux a été

ma lot dérisoire, par de misérables as- Disons que pour notre part, de tous les vides quipr urrpe sa duite dans les

vs. Pour avoi voulu remplir son de. plans de guerre mis euj ed'hui en avant, ' armées àaide des reulôrta l va faire

il a été arrêté et fusillé île mumat elui-là nous semble le lus rationnel et vera'Alt: ma d brt

parroni bande de maltai rare qui u'ap- le plus avantageux. qu'il a urs à sa dernière ressource,nnemi, c'est eu respertiem sent à aura. Parti. Quan on attaque un

gne. C' est -s ça

à " a pIde ..belette-a. d iè n'aurait

5i pro. mPt ]nstice usai pas faite, la sur soo point faible qû il le faut attaquer. 1 maiâété mis anus les armas et qui deis-Républigt ve ea deahonveér à Lyon. Or, le

peint

faiblu de l'armée penssi,nne m u le Mais ava¢L

d

ua de communication colle,qa ace le at e ana li' â ai

ougesbles sont entre c es ttenAiled dQuelque n-nosdes coupa'da que lescet lieues

et

plus qu 'elle est of',Il faut quesseat°ocis

.pas asnos mains. , Ce

tons les au leurs, tous les complices du

e, ceux 0'ai l'ont provoqué et canaqui l'ont accu opli, soient saisie partout où

on lus tvde lordre, sans legs 11a dé -A nomile la Répu-[anse st Cmloossibte, au on-

blique, que de pareils attentats mnvri-raient d'opprsrpple s'ils étaient lonGgtte ps

afii as desimpunis ; au iloov de la patriemin de invsion; auxquels dea home -l' venger,mes pervers, ça places de 16veule`;`t ajoutai les ipaux de la guerre,vile out citoyen, toért garda national,

tant officier est tenu, set son hnnneur,de rechercher les sieurtrim's et d'aider àlem

Citoyens,Tandis que vos fils, vos frères, vas

amis, meurentbravoment, en combattant¢n contre cinq, d'obscurs agitateurssou-doyés par l'ennemi, oe parviendront pasà semer la discorde parmi nous. Ils eoréussiront pas à faire croire au monde, entroublant le cité, que la France esti capable et indigne du gouvernement

épublis,n.rClous savon' tous que, méprisables par

le nombre, ils le soo plus encore pa r lesmobiles inavoués qui les poussent. h esttemps qu'ils disparmssent.

Le gouvernement répudie les moyensde répressions qui eomprometteet le li-berté. Ceux que la loi

fournitei[fisenq i s

seront rigoureusement appliqués.saut

la garda netioocle uQule lés buscaur suryens,

que tous eaux qui veulanC le maintiende le République, le salut do 1. Franco,

e lui marchandent pas leur concours, etls perturbateurs seront anéantis.

Le préfet du Rhâme, commissaireextraordinaire du Gouveanement.

P. Gxacuneoac Lacotm.

Auch, 23 décembre.Das ses deaz darniéres séance, le co.-

aetl mnu[eipal d'Aaah a euà résoudre nonfoie déliasse et importaiesLie. I I.

agiasait de fournir le pies soo possi-ble, au gouvernement de la défense natiocale, la somme de U1,BO0 fr., qui,selon la réèpartition faite par ne arrêté

t Il._,lopréfdeole commun das la dépe senà

faire pour l'habihement, l'équipe ent etl'armement des célibataires momhsés.

Pou satisfaire à cette nécesaité desromps actuels, le conseil municipal apesé qu'il était inutile de recourir à uneimposietoa extraordinaire frappant tocsles contribuables; il a décidé que les08,000frans auraient payés avec lasressources disponibles aux budgets; et,pour la surplus, au moyen d'un empruntde 50,000 francs, à 5 0[0, remboursableen dune ana. Get emprunt, qui se réali-

sera par souscription pubhgan, sera,Pa"êeI.té

ar 800 obhgabone de

looraft

fra nc .

hacraP

ra ouverte àil mairie le lendemain de laNo01.

(Canseeeeleur).

)Frisao, W

Total de la b 'liste, _ 276

Pins ce eaanec.

Ma Asixan, , Carbmse, deux pairsde chaussaitea eù Mile.

Nous avoua publié réc$mmeut une let-

tre d'un des Principaux négociants de'l'uloase; contenant un appel an faveur

doe

nos soldats blessés, ou Pris ...ivreeu Allemaggne. Notre honorable narres.sud nt d mandait q aa a-

coussatact dcama

lentrnu amo as une peene dsenmmn

dérablea di usées pour deso arme co enét s

au

u soulageme¢t d'infortunescruelles et' emméntéed's.

&I. V. T. pvéchant eæemple, veut bien

nous prévenir qûil tient à la disposition

de cette ouvre yt louable, une somme de800 fr.

On ce sassait lirep applaudira uinspiration aussi gOm'reme que déstntéc

raséEn

eo.

onséquanoe 1. ;omit' central de laIInLe-Garoime de secours aux blessés

re dés oc jour jnaqu'a ï, anvier, nuesouscription spéciale sols ce titre

ETR Cd?d

l'ont nos aoldul.s lileeiin nu prieonrderxers Alleagne.

rnrtviianrt ,.fart.

.. ,. m S00 fr.

Le camp régional de Bordeaux est dé-e'd6mnt an voie d'organisation. M. legénéral Bons uIl et sen état aoojor mit dûs'y e ra pour veiller à l'installolion due

d 0ér nts s rviees et aussi des troupesvenues des dépJts de Midi et qui s'y sontra dues aujourd'hui.

On y attend prochainement les gardesnationaux ,nolulieés des flanches.du-I3LSe qui sont très-nomhruz, ceux do

Lot-et Cneoone, de Gars, de l'lié

anli IL de Plusieurs antres départe'

monts,

ARRETÉ.

Le préfet du Rhbue, commissaire extra-République.ordinaire d''

En vertu des Pouvoirs rat lui out été

oonféy¢s à )p date du 28. septembre et doter octobre,

Aud qu'il est impossible de tolérdes

asnseongles factieuses aù des alfai-

teura travaillent ouvertement à détruirele Goaveenemut républicain ;

Attende qû eu [ace de l'ennemi, les bonscitoyens doivent vaquer en paix à l'ouvreaie la défense nations-e, et que o tte muvie ne saurait Sire entravée par des agi-tations coupables ;

Attendu qûil faut califat au pplus toides 'oe¢ées dans lesquelles il rat [celle dsrecoenattre les menées les éteaogres etdes ennemis do le France,

ArrêteArt. premier. - La réunions pubfi-

gues soet interdites jusq"i à nouvel ordre.Art. 2. - Las manifestations, de quel-

gave nat¢va q allas soient, sont égalementi te,dit'. ; eaux qui les auront provo-quées seront poursurns comme fauteursde désordre et comme ezodateure à lasuaire civile.

pet. 3. - Les maires et la garda natio-nae cnat chargés do l'exécution du pré-se t on, le.

Lyon, le 21 décembre 1870.Le préfet do département du Béds,

commissaire extraordinaire du you-cernassent,

terP. Cn n

Nous as saurins marchander notre ap

probation à la proclamation et à Pelleté

Taillada joint aux eombreux soldatscos que nous avons ici; aoinpngn es re

M.V. T. .arc b'i eufbt, vous ne saurions

1

O.ancs tireurs tin réorganisation co cu,r-en douter de noua.veux ilniteteurn' memuh dépota du génie, etc., costitue-

ra une force très reu,ar,noble à laquel'eva s'adjoindre pour le temps nices.aire

p osition et Loterie artistique sats manreuvres prétimiuairs notre?!crie départernantale qm ne ffomJta

11, loi' I l'fr.-rec I I .. n ai a le _' p. s ..!as de sept battert. 7ou1

Eu présence de l'encombrement quiréuue dans la grande salle du copilote,par -Esdes doua en nature qui y seri-

eut ie toute part, M. Baron présidentde la nozumissio des

deticals réunie,

s estv t retard goes Jmauiiyeneneanle pour fixer d'une

i adisvdéfinitive l'I?poque du I'ezpoaition,a l'han

ur de pcévenie MM. Is cal lectiouueursne amateurs, dont l'intention est de c. a-

ir à celle muurce de rcourir

insi q tous leu membres

adhérents, gtiuu nouvel avis leur sera

qellement adrasé pour leurpersose

uer le lieu et les jours où les dons de-vont être présurés.

On noue aasoee que MM. les 1eur dula ville ayaut iopris queavait corstrevigné ul:a iiémsian de la Com-

mission mummp le qui eupprtroait le

traitement a s Frères, à dater du pre-mier janvier, uIS71 cet immédiatement

Af rf d gns ep tenté et ramis antre 1sn:al'Archnvbq e un mémoire usai cette gradequestion. Meneailanaur s'est eeop3calé defaire

Parvenir le mémoire à M. le Préfet,et aux membre' de la délégation ¢nver-nefl ice¢tals.

nous assure que dea Listes de nro-tostateans se sigùentde divers côtés, con-lre tait. mesure.

Rxtrait des obsarvatiana mdtéaeologigaee faites

par M: Daaeln, lixtlon t l'extrtmioir sud de1a Ge,,ide tjiéIi; ultimde III''

Do 24 Décembre.

Therm. oui moi, deula nuit : - 11x.il.Il b. s' aT e oiéoi.. axr .

LI h. m. (10,77400 - vous. -o llure..

midi. 110,7371 - cou'. - Etrès-fS

Bile .

l.e baeométre baisse depuis

lamer al.soir. Il a perdu 3 mi Pl., lotunit.

pé,atId

te

c matin leatheninomète , q e1a

ni argarai

, 7 7), ll'eut plustu ,es 3n2

9 D.

Pour la ehranigne Isole et tout ce queoaràda

On lit dans /a fil-CI, de Montpellier : qui précédent.Nos appreuou+ que Mmc Viala vient

d'offrir ses bijoux pour le prix en titreconsacré à l'achat d'une mitrailleuse.

Voici la leu. qûelle a adressée à cetégard à M. le Préfet de l'H6raWt:

Fabréguec,M.

15 décembre 1170.Monsieur le préfet,

«AI.ver

de l'invasion des barbaresde nard

vettouchée des malheurs qui

fondent depuis quatre mois sur notrebelle France, fa, résolu, Meusleur lepréfet, avec l'autonsation de mon mari,

jtcr possèdede fairesductden caitn..

on'man

qui cou is:en pin-gleetbracelet.

Je voudrai chez un orfèvre toulesms dorures et l'argent qti elles produe-rut sera employé à la fabrication d'usmitrailleuse qui portera le nom : cas ai-un x.

Cette mitrailleuse reviendrait aprèsl guerre à la commune d^ icu dncus

il''lea tiendrait à la les oirnonuvernemntdêg

circonedstaes

,s.xigeraient.

Si nia proposition, vous agréa, filonaile' lu i réfet, veuillez me faire l'hon-saur d'une réponse et me dire quelle

sa. vme il me faudra pour la réalisation

de mJu projet ; alors je m empraeseraidegagner. ma case plusieurs dames da

me, ma"s, a

ui,i fore l'espérer, répon-.anieur le préfet, les son.<Agréca, M

Pro

Houle respectueux avec lesquels je me

dis :vol,. dévoués servante.

Mme n6e Aancnex. eNous ne saein'au trop féliciter filme

Viola de aa généreuse idée et do souqniti:iine; nuls sommes sire u eau

dnten u.olI're sera agréée et son appel eLus Privations que peut imposer

mu

t

0. lit dans le Progrès, de Lyon iSi nous 'av os as d'armée capa-

ble rd'écmaernlesol'rupseies,

s' nouepouvons les attaquer ove des forces ouf.fisantes pour percer leurs lignes, a0aiblis-sous-!es du moins tact gdit nous tPossible, alfamonsâaa de vivra et demuniteions.

L s nouvelles qui nous viennent de

l'Est sont unanimes âi apprendra quec est à peine si les lignes prussiennessana éa ers.

p malins trais jours, à Nancy, d'im-menses approvisionnements sont restés,

tenus par les neiges, sous la garda dema as.

,de atoires

'eC de 1Alsace sut

villes

les.

qqpées

per dea garnisons insignfiaut

Eo coupant le chemin de fer, en met-trait les Prussiens dans le plus grandembarras, et rien de tout cala no se fait;ce abndome aux ennemi, la Lorrafveet l'Alsace; oo laisse le pillage et la reines'étendre sur toute la Frans quand, parune marche hardie sur l'Est; on pourraiforcer les Allemande à revenir en arrière,à lâcher les provinces du centre pouraller déludee leur ligua de retraite,quand n pourrait les affamer et surtoutles mettra

=aitde ranoa-

veler leurs munitions.Voilà ce qui nous inquiète, voilà ce qui

no a épouvante.Nous nom sentons livrés à l'inconnu,e0

malheureusemeIL ce qai sest passé jusqûici ne cous tanlea guère à avoirgrande snfiance dada l'habileté stratégi.que de nos généraux.

Le qui, en ce ornent, cet capital,ne t d'organiser le plus visa possible tes

tionale Lnardpour laampe ` 'eaparsaféi beûS apareil sacri lien eu augmemantle

prix,chacun se plaira à rendre hommage à la I obligé darse rendre vent que ces campspen a'. patriotique qui dirige de si obles

fasea istallés, ii deviendrai bleu dif00 ronde. fiefs

dde résister aux armées allemandes

rendors diepmibles, Si, au ooutreire, lemillion d'hommes qui doivent y être réu

s et e ont dé,à à os mourant

Lils; 222 décemre.

m militaire, lanm encé lem istruetise sauver des,a

- Frac pourra eaorece

G ardus veto,aux,Un ttentat bomi.abie e élé commis

hi

malus do ptouaid

aillaume. eL'idée d'une marche hardie sur l'15'eia

été formulée à diverses repri p r qual-Un brave commandant de la garde ana. rues uns de n onfréres.f

couilene

i ana casP S' Pont, üooai., P. républicain éprouvé, an bons. uneueraet notamment cap a

t pu rejoindre lut corps,

lce

ligéra magne ai nd'entretenir

derrière

elle. Nous

'Il-géneraax Chauzy, Bourbaki et Faidherbetons pue en doute que surprise et cu I-

auront

certeinemanL [ait dea mouvementsbutée sur un point quclcong,,e de ae 11e qui leur auront préparé assez de besogneimmense ligne,-le plus sera%.t In pour qu'il leur sait i. d'allermeilleur, .elle ne tut ooligée de lev er à augmenter, le nombre des assiégeants debref délai le siège de ?avis. -(Qadale). Paris.

Je me reesme : encore dan. ou trots

- Dimanche 25 décembre, il y auracent jours que Paris est investi. Lundi 20paràleen à Bordeaux chez les prinipauxlibraires ; à

leRochelle, chez

Tbocreux

à Tours (a...creclle de la maison Bachot-te, rue Royale, S2) ;r deus toutes les ga-res da ehemtos de le un. envahis ; àLondres, librairie hachette et Cie; Kir,\Villiame Street, Strand ; à Bruxelles, librairie de l'office de publicité, rua de laMadeleine; à Ganbve, bas Alme loIn-ay-De,enliés, la seconde brochure de M.m

Émile de Girardin intitulée a Les BoitJours. La première inti,ulée Hors Paris a été épuisée eu deux Jours.

ua. aav000as A cnannnn.

Ce titre est l'expression du venu quenous formons en reproduisant l'ordre duloir suivant, qui à été porté à la to -

vice de toutes leu troupes formant la21eedivision militaire.

Puissant les mobiles de la Crame com-prendre mieux à l'avenir, les devoirs dusoldat ! No-1o imons

'.roira e la pa

ique irréflhie par lquelle ils se sontlaissés dominer, fera lace eu sang-froid d'hommes egnerrpts, lneoqûils se-ront de nouveau conduits en face de l'en-ne

4 leurdansfoules

rases prussiens.

Ordre de la division.

Le général commandant la 211 divisionmiliteue perte à la coveaissance der,trou-pes placées sous ses rdres, la décisionsuivante. du ministre de la guerre

. Les 1200 mobiles de la Creuse mis1 en route. à desünatian de Tours sontreve.

nus le lia Guéret eu débandade ; ils es

eortiesaemme celles de ter et de 2 dé-cembre, et le iége de Paris eut lev6 !

AFFAIRE G'IIAUTEPAYE. encore dsx batailla gagnées, disait_ Pyrrhos à l'un de ses aides de camp etAprès dis audiences consacrées eus nom sommes perds. .Voilà ce

comte derendu avant.hier sou verdict Bismarcketaa roile¢r maître, etpp ut@tes

Il résulte du procès-verbal des eéde l'a-t-il déjà dit. Les dernières dépSchesaine eaperte : venues de Tours nient que le dépar-

te Que M. de Voneye a Mil beâéé pen- lament d'Indre et Loire est compléterontre vivant ; é ac é or l' nnemi qui s'est e lié surdent qu'il était enco

Blois, ecna doute par suite des derniers2l leoele

mort est le résultat dus événements de Paris.br3' Qu et de l'asphyxie ; Le général Beurbaki cache ses cave-3- les blessures constatées sur letsavecle plus grand soin, et il m'estcadavre, ont été faites pendant sa vie meinterdit

de dire où o général a éta-aveo ds ioetruments piquants , trou. bli son nattier 6 é al ; l me ouf.Il.Ohio Oa contondante ; q g q qû

4 Qu'une de ces blessures, celle du fies de constater que° ce cita pas àcrâne a été donnée par un individu MoWim comme bilerait en avait couru unplacé derrière le victime alors que le moment.

vienne était encore debout ; Le bruit court depuis plusieurs jours5° Que le corps de M. de,Moneys a été que le général Garibaldi aurait envoyé

traîné pendant sa vie ; sa démission au Gouvernement, ma sG' Que l'ensemble de cas hlessures bsee a'à pprésent od es nouvelle nest pasroulait

inévitablement amené à la mort. confirmée et il y a lieu de ,:tome qûellene se confirmera pas.

Les journaux de Pléeir e nous anpor- Pour entrait : A. Pujol.tant le résultat le l'affaire

de.e Hantefaye. -

0., été condamnésfo Francois Chambnet, Pierre Buisson,

Fronçais Léonard dit Piarronty, et Peau.pois .11aziére à La peine de Mort; l'arrêtPo te qun seront exécutés sur la placepubli,ue d'Hautalaye;

20 Lampot jeune, aux travaux forcés,à p=rpétuité ;

Campos allé, à huit ana dè travauxforcés

4o Pierre Besse à six ans de tramentforcés.

5o Jean Frédéric, Léonard Lamongie,Pierre loriot, Mathieu Murguet, JeanBeauvais, Léahelle, à cinq eus de tra-

és.fi Jean Salat père, âgé de plus de 00

à a ans de réclusion.7. Pierre Bru, Jean Brouilles, Girard

Feytou; Roland Liquoine, François Sa-

lut Gis, à 1 an de prison.

Pierre Delage et Thibaud Lymay.S.sont aoquiués. Delage est rendu à aa fa-mille. Thibaud Lymay, envoyé dans unemaison de correuoe Jusqu'à 20 eus.

Correspondance spéciale du Journal de

Tanlenee.

Bordeaux, 23 décembre.

D'après une note du Maniteaer repro-duite Par pl¢sieurs journaux de bordeaux,les positons occupées par le général Vi.voy prés de la maison Blanche seraientaie nies titre Vanves et Chétillon. D'après

autre ersion du même journal leVilla-Evraed,toooupée par ie

mêmegêné-

rel, serait à six lieues de Paris, surisroute de Meaux. Cas deux renseigna-mente annieodioloieea sont 'gelameotinexacts. a 'I illa-Évrard, la Maisonblanche et Neuilly sur..Rorne sont à /2a 17 kilomètres de Paris à l'Est dans

1 d Lion de Legny. Le général Ducrot.nila ferme GrosLay et Drancy près

de Bobigny. L'amira La Roncière a essayésans y réussir de s'emparer du Bourgesqui est, comme le géeéral Trochu l'a dé.clavé lors des derniers incidents, nue Po-ilion en dehors do système de défense

de Parie.Pour pprlaioe au uste l'impoance

des succès obtenus parj

les

défenseursrtde

Paris, il faut se rendre compte du butqûils se proposaient. Ce obus litait-il da

opte les lignes dlovestissement deparis? Dans ce cas, il faut recennaltr,

que le but n' est pas encore compléterontatteint, puisque les assiégeants sont en-

n possession des fortes positions dedeaChelles et de Montfermeil, ai

ai

queaslignes de chemin do fer qû ils emplcf

pour faire venir les vivres et les maoi-tlons. Mais il est probable que teL n

S'ait

pas le dessein de président du Gouverne.ec t de la défie, ouloi e. Boit troprexpérimenté Pour vouloir tenter i

d

e, ouper e dehors des ligues ennemies encorps d'armée qui, engagé au milieu desdépartements occupés par l'euuemi, uesaurais plus quelle omis Prendreni comment se mettre eu eom m u 'cationavec les armées de Chauzy et da BourbakC, actuellement trop éloignée de la Capi.tale.

D'autre part s'emparede chemins de il1 de geelgaes sta-

lions r=aura

banlieueBet un bleu mince résultat Let qû on nepeut mettre la main .i sur les approvi.stonnements de l'ennemi ne sur leu pnei-tionsdea eailvay1 par lesquelles se fontlas transports d'Allamalue vers NanteuiIou vers Versailles.

Voici donc la portée qû it faut sadoute attribuer aox darniéres opérationsnore slie, à ce omme20 novembreIej desours suivais comme à celles du 211 n{ 21décembre lus Loupes peussieones quiassiègent la capitale do la Fracs sont81 ombre peu considérable; elles n'excè-dent pas 200,000 hommes valides etmôme aujourd'hui rites n'atteignent pasau chiffre déjà peu susidérablo peur -

ecacement u conférence deau per ffiplus de 200 kilométres.Onrpeut dire sanscrainte de se tromper que ai ce nombreétait diminué eulemeut d'un tiers, CI

ferait impossible au Roi de Prusse deseeter à Versailles et de continuer, l'e.-era;eise àlaquelle il s'épuise depuis traiemoisa vains efi toi

En pie in ou 80 mille pommes miehors de coigbat et sape ravimillementet Paris se trouve dégagé. Le roi do

Lesj..mcars de Londres mal cent sont dispersésda ales !villages répandantque le .6 Marc père Hy-acinm eateu ce I les bruits les plus mensongers.

Lasel,cises

moment 3 Londres, et qti il dan prochain ,et manqué à taus leurs devoirs dansment, dans la salle du Quenri s Concert, cette circonstance. Faites les arrêter im-

prononeer un discours sur la France et médiatemur tir donnez l'ordre de lasl'Allemagne. Le produit de la soirée se (jj

faire traduire devant le cousait deversé dosa la caisse de sesurs des paya guerre.saur français. En onséquenee, feus les officiers

d d f 1 hlai e ana t

Au moment cù nous nous félicitionsde savoir que toutes Is rameurs qu ônavale miens cireata'ion sont bet qti ânonne émeute n'a troublé la trac,lité de Paris, nous resevicns de Lyon

d ajout s Ils.L chef d b troll o de Ea C o x-

R asee ar mm p' e le ébleus, Jugé s ornes d ire t fasdlé.

Nous n e saurions assez dre quellenation nous

caususe

un auntat si odieux,

et

combien nous désirons qu'il ne reste

paMoinsMoins assurément mais biencoupables ene.re saut les actes de violes.ce qui cet été commis à Toulouse, et co-tre lesquels ions protesteus énergique.mont avs les imprimeurs de ocul ville.Pénétrer de force dans les bureaux parajournal, détruire le matériel, briser lespresses, ce sont Ià autant de procédésd',ctoiéennce brutale qui ne peuvent quedés6 reee le parti q¢' les emploie, si

toutefois les auteurs de pareils actesméritent le nom de parti.

C'est au nom ds lépublique qu'ont agiles a Leurs de ses désordres ; d est lallépgbliyae

!,"ils vol prétendu luger

châtiant leur manière ceux qu'il,

considèrent comme ses ennemis.coix [heureux oa oevani pas que leu

vériyapl A ennemis de la République, sBoni las tnsnsés qui as servent de sonnom pour commettre des actes que ré-pro va la oua,ienaa publique.

Mais ce n est pas seulement le Rien'

g mua e mo e seron meaentre les mains de la a madouraccris pou rêtre dirigés sur Limagesges

01

et être t a-duits devant un conseil de guerreue la2:fdivision.

Au quartier général, à Limoges, la 17,décé bre 1870.

Signé de Pr6manvlile.

- On écrit de Renncllea, 17 décembre :Peu da nouvenea du théâtre des opéra-

tions militaires. Beaucoup de bruits sansvalent et qui pr avent qui bon nombrede ganser font des illusions bien ai.-n-li@res. Je ne .veux même Pas en parler.

L'armée du Nord parait appeléeà pren-dre une grande part dans les opératonsultérieures. Le général Faidherbe quiretrouvé l'énergie qû ii déploya am Séné-gal et qui fut couronné de succès, ergasf-se, discipline et pousse en avant son ar-mée d'ace manière merveilleuse. Il a obli.gé la général de Mantmxrfel à arrêter sa

arche sur lo havre, et gràce su généralLrcn,eta qui cet sous ses ordres, il est par-

nu àcouper, parie prise de Hall, leses

capo' allemandes entre Roneaet Réms.

A Qrléavs, on organise la ville oves desIonotiounaires allemande et en, un piedIlemand. Mgr Dupauloup let gardé à vue

dons son palais épiscopal, et le saintetéde la caché hale a été violée par des ecé-nes odieuses dont les Allemands n'eat pascraint de se rendre coupables. La fautaeepencpée à l'évêque coneiemrait à avoirarraché aux soldats catholiques des détailsqm t amené la défaite des Prussiens à

bhque qu ils compromettent par leurs f Coulmiers.xcés c est la France qu 1 s mettant a¢ Un ballon Parti de Paria avant.hier est

long r, en entretenant ana agitation qui allé tomber hier dans le duché de Nassau.paralysa la défense. n portait deus personnes et cent kilo-

Ces mentiere si vaillants sont de é-diocers soldats,

Ivencien o vient d'enavoir encore la preuve à Paris ; et lesmêmes, qui marchent ai braveront à Pos-

ent dana impri' aria ne montrent moinsrésolus quand il s'agit d'attaquer uneredouta prussienne.

(]tanneur)

- Le gouvernement a fait publier desnouvelles favorables de Paris.

Na nous exai'ons pas avant d'avoircel¢ des Cnformatious plus complète.Discs toutefois que la marche an avantde Vi.ay parait avoir nue véritable nu.portance, et qu'an peut considérer le gé'étal, si Is ,vdiceiions Curarise par ldépbche qui je .& d'êtrs lue

sontexaotesa

,comme tuanc défivitinement le campe .Boa.

Le Menilaur, feuille officielle, au bura taire marquer quo . la villa

Evenet et la ferme de la A1ai.on-Blanche,dont le général s'est emparé, sont huésentra Paris et Moeux e , n affirme,

gnomes de lettres. Les Allemands ontainsi hommes et papiers.

- Nous avons peu do oouv Iles de laLoire, mais elles Bout bonnes. L'aile fau-che de cette armée, placée sous le commande de l'amiral Jmurégaiberry, qdéfait le 15 a x environs de Chà:nau-don, un corps ud'armée ennemi qui, d'a-prds la Chronique de t'0uoet, .,.rait eu0 ou 7,000 hommes hors de r,,mbeL Uneambulance prussienne est restée entrenotre pouvoir d la snobe de cet eugege-

ant. Cette ambulance aété

amenée auMas dans la soirée du 16.

- On lit dans le Journal du fleureda 18:

Manteulfel est parti hier deRouen.

' [i y a dos torPCPes sur la Seine, deDoc'airà Rouen. Il, amis des wonsoe des bateacx réquisitionnés à La.or.

mast.Bavdu,Un '.e nos amis est a11é josqû à Gi

sers.ajouta le Moniteur, que la Alaise Bien . Ld, tin poste de Pressions forme au

lie, est à nue aistance de sis lieursde

e carme infranchissable.la ça iloteP On appelle à H en le Moniteur

Voici des données ana Peu, las gréai. ciel Prussien :

lala 9...tic des L1rau.

L'occupation de la Alataon-Blanche etde la ville Évrard par Ies troiipre du gé-nérainoy ne laisse prise à aucune sup-positl

Vion ace

les plans du général Trrch,,

/ers.de nouveau à dix heures,

.r I:, marcha de l'ennemi clos la Nor-man lie.

Ces deaz Peint sont distavte e ho,' - D'on autre côté le Lexovien cactiantkiloméires .ura. de, forte de Rosny ces informations affligeanteset de Nog nt, et ils se trouvent 'tués A l'heure ù nous ettoos coca pra-ntes Inc deux voie, Carrées de l'Est : se, notre ville (Liaiooa) 'et dans une grau

la première dite ligne de Meaux, la sa. de agitation.tonde ligne de Mulhome. Le général Vi- Le bruit se répond que, Penne mi s é-noy peut aussi bien sa diriger sur Meaux, tant rapproché da Bnreay, le généralqua tonner d. côté de Montfermeil n Go, lermy, commrndens le départementee dirigeant cent Yersail se, ou bien pas de l'Eure, irait dopé l'ordre aux mo.set la Marne t marcher sur Coulomi- biles de do se retirer sur Li-re nt Melun. Le point importer st de et

Lesprès mobiles -allie- refusé d'obéir, Lanus l sorces pruesiennee qui,

près oaue les remmgnementaantérieaure

re garde ¢ationals sédentaire re serait asso-ccupent Chellea et Montfermeib ut été méeà la.r manifestation.

engagées et battues. Cela rat problable Des coupa de feu auraient été tirée.car Chell es élu'gné de la Maison et lu général Guiilermy aurait 1h at-Desche que de deux lai omètrne environ teint.

devonsNous ajouter que nos troupe Tes sont les bruits foi courent etétant enropéae à a Maiaa.B'ancba et à 40e anus plulassims sons tontes récer-s vi la Evrard, sono à égala dlétaose daa Morue et de la ligaei ue Millas. P.L. général Laeristan part à lisaient

(Uaioa) + or la limite do Calvadce.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Aux endroits où le rivière se trouva D tt é

é-ai

ut

e I Cana du tant à leur d honneur. M. Beurtheret faisait partie de la garde que du régime eaaudaleuz des trop pétés campagne de Rueaie. Ïx est lentement écoulée sous le Coup de

Villem.nhle a'élé u al ab ttu d'4 %,an bl

e extrencaissée, ei où son lit est ratréoi ar - ° rte, Parmi les mer s devant ce mdé, donnez i vos pauvres tut, garnissait tous les opine naira, élar-a si vaillamment donné sa vie nr le

par s, AL pool Beurtherat, rédacteur adoptifs ta .t de bals af Bissau I horson et aveuglait 1 g d. Iranu ,,irae. ,A,.Is. des Ils , la remorque devint d if le ; , Chef de l'Union libérale. C'est te en autant de . a m.times, u vous Le co¢vv pays Après l'ab l , u -e al lecution_ ° ! elle présent, impossible a passage d douloureuse pouret la cause qu'il servait, pourrez,q

costum.s ageo Iesa foure3ns etb s J été p :.eée Il avé de PariaiIL.

En avant du village et de fort de Ras- P t la f 1 1 t clore amener I p t t t t d'a¢meunes tunes rclatioua ..là J'ose ajwter que, la chanté v .a t à g° gé d pais le dé oall s.II9

dl général.ceny, dans l'angle aigu formé par la bit.,pliai Ûn let fit

sans

dI feu 1. rendent plue par{icuLèremut s unir avec la rés,goatmn, vos té verve t cetpaysag éhi

b

t t à gant été descendue dans u veaumulusi

hirae de Sarasbourg de l 'crucial et nos mgémeurs ses tiré, hl.. tronverrr1 mieux de en rég,m du pauvre Il o s nomma uu nir torr fient d,, la pipi e, la foule, grave et rroeuilhe,

eursCade d Il ad

igA[

r sbles ployas de marine dont la plupart de eût prospéréà Paris ? Peu de chose. - la fabrication du charbon à Paris, triais dont J'ai cru devoir consigner les Pendant neuf heures consécutives on damaient cette causetet exécuté pris.es redoutes sont :urinées et qui portent à Quelle était la situation de cette mai- entreprise par l'administration mmici ms dmis Pintai@t des pauvres, pour- travailla sans taI och; les soldats prussien d'Crdre . c Gémir sur lis sort du Paamat

S kilométrer. son a moment de la déclaration de ate. est chose plus difficile qu'on ne le t'ont, e aime Ies fourneaux éuniesaientleurseadavres d errdre langue représenter l'Balee centrale ailes PI,na-iodé o.mbre, la redoute d'Avion se guerre l Immense. Il ne lui manquait ni aloi' g,nées lemCet. ques etoles cavti.ce pales, - de chemin de fer, les posaient daas lea puce comme laho.rées toutes les tn-mit de la partie qui se jouait sur les bords l'argent ni le crédit et l'un et l'autre loi Les bois coupés aux environ, de Paris Limier leur bienfaisant service de soupe fourgons qu'ils nous renvoyaient pleins, lice révolotioiruaies, Psirde la Mare. Elle tira vigoureusement a lent étes....gardés, Pa,,Cite drue celai sont encore verts, et filer arri- trempée. Il n ést pas doiuf.titeux 'il an écartanurst ddee s ce de la France; - sosa!enteudrevilaser!,a Prussiens, qû elle prs1,i1 en en 1, cvupa10 s person.nelle mtervensioude ver à un bon résultat; il ne feue quelques 'mie donc nos choix pauvresà l'abri Il ,,,, finesnos -Jade, et qui ne sa a ont d'illeur

venais 11 1rairice auprès des cous f ors pas moins de trois cuise°ns succeas - de la faim et de !aes reCC ar' eaumens.

à

aarts,

nen'aient vodlu

Glasaussiramassenous

de,., manifester de la d fiance' tir n toit ,a,'la pluie de pojec611es qui las taras ailiers de laCoour

impérial', a foccas,on i villa le Paris, s c c e ber leurs pertes qui ont été très eons'dd siens, e On e,eddr depo cate°-

sait. d'un procès iment6 dont tout le monde Une combustion aussi prolongée aima çaient de s'épuiser, à Dire un , mprunt lé s. Les orps étaient rangés métho- clerça prouver ljuo le

ar para d"artillerie qui e trouvait à se souvim, procès in Or té à M Émile Pr. naturellement le rendement et d_ de ebarité qui serai bien vite couv,ri. dans les voitures, aig6 catholique était Ci app¢ént consi-

Yibiers relavait des abus ,ai mnnacaievt long,^r par les actionnaires de l'Exposition ne une assez forte proportion de braisa Je ne me sen, pas la force de tenir caps hoval, P l.. en,.'.",,Ils'

is mmnsrdatable pour lmpira, et un 0rément pres_

il W's,dont l'usa pas an de lus et ue souverains dans se: dede faire bat sauter. Les boiteries

Pr"-permanente d'Ameuil. ge est ].là d'être musai profi- rive e réBoxiou qui v

n

eut à toute farce Ce n était sans doute q v sn°aessa ére.t de ré 1 E Jq,C., des, oe méme M. Emile Er. table. soi ir de ma plume Le sort dis Paris et de les L@tas t té

pas Pour ménager Afars ie r'-CI ncao irritée Contre ces y pou rouebus arrica.on

tan r le Malgré ces difficult5, les char`oonniè la France dépend en grande six (pour Il. °° é fet't surmenéesle r po n- mouvement ultramontain et a réa ieuf

trop

ça u, mais leurs arri-gequi

est r pourvu par e dans Ceste o ératio gdont la plart contra toutes ces colères Fulminées ai nt trop court. ,àgjourd'hni le plateau gent d'a +sionuements l'armée tes de la ville ne fearniss'nt pas, tous les quai ne d rais e Isivemevt? de P n, L up

v

de la Grande Pelouse peut rivalisa, avena,invasioûirov pour

jours, mairs de irais Cents hectolitres de noire ',nergie ot deano1 résignation, au nues da ° né pendant la nuit eux fati- nain de Dlen pour des préncupatfons den-sx Ienient l ferait à l'étronç ombustible. point de vue de l'alimentation, jour

S.

ûebirmaactemet en mime territoire de d'argat.. M Roulana rc-Ies Haut's$ruYères et le moulin S. t. E, nI! est accupé par 6,000 hommes dis ima- et dans les dépte.mevts .00o ésdeles - croyez le bien, le mana dieu de la s4

ombre, datait e amère certaine de présC.te le Clergé e. général emeieic p parLES PRUSSIENS EN NORMANDIE. tuation.

ger Iom1° L cuuzarqu'ils ous expédiaient tbiepas. S, formidable artillerie est servie Prussixs, des bats au profit ceux rosi. La plupt des hommes qûon uu- déCCfmlse à l'empire :. Il véeore, et

par las marins et les corpsfsol l'artille- qui nous ravageai et noua pillent, .aie - Si nous Pervers patienter trois mois, doit étaient dé ouillés de leur t etpapa comma cqhe de l'I;glise,

ie placés sans le cornmande inem des ca e ors I sri°gén'e, ait à nous rendre di,- Nous r'oevI.a des nouvelles du HLvre plut P re on mois encore, Paris sera seu de leurs -,,-.a .blets; eargon

èremats il

saa1it

à merveille uI

àa sécuritét nes Porthier et Sio.ne[ Ik IC 2

fn :

rles no.qu s tiens su la,, marchés et de la Normandie jusqu'au 18. . Len- vé et la France avec Paris ! J ° °'r g rr giease est, comme la. son ,tiré spi m puis sdisent nos lettres, continue d'oc..- La t trouvé sur eux

énnemi quiavait échappé cale, attachée à l'existence et à il forcedécemhra, le plateau d'Avion .e Casus de de la Grande-Bretagne, et de l'Amérique. -mi, Fla lance ose plus Facile aux riches à l'avidité des s. Le de so de r emtrai'lot la formidable batterie que .es L'intendaume mn gi tient poer l'ms Par ouen es les villes seeondairce da la et aa: classes plus allées de la popola- entra reeuillis par les tréreâ a été mj Pereuq qu'il rrspeote et gû il aime,"""""

Prussiens net établie sur ter bauwurs da tant à accaparer euAAngleterre les feri,,es, r il p tiau ; elle est plus d iffic il

C

aux pauvres, de .éid avec soin aire rendu aux Jamais il n a vécu sous ne admi.itra-M, las. La village de Chapes ne s'raq le ment pin et l' Cama.. Les farines, paras Il Parait toutefois que Lae proesseus, qui en .âme temps qu'elle Cet plus néeeasai- familles, La unit tombait cependant etla

uLelus libéral' et pls loyale amers lui,têt

plus tenable pour Ies Prussiens, quels que leur emploi sac nécesaairo aujnur- avaient envahi Dieppe au .ombre de , et à eux-méme" e[ à la société ! Ne Prti ol+ramontal O est la cause de' 1 [ de ae blottir 'aise d'hui, t gis 6,000, auraient tté Cette ville aptes serait ce jamais de muonbre tache ne s'achevai[ qua lenta la position difficile da laque.soin qu i s prenuen e que demain le ma anime roi Oui pas le manient ou t. Il semblrrt qûou prolo.geai4 aven papauté :. Le

rr ares: Les Allemands 'ont pea Guillaume entend les revendre,ail

lui 1°' avoir imposa une coutributiou de s'intéresser plus encere à eux P 'faction cette céramoni I' . ue m fourme, traeilad tait sur la t@sueile seul

les traquera du ment do comme ou tee parce qm M. Bismar tome... à otr ils ont priera route de Nuufchétel, en es, r nous les a .rions dé sespoir,

i.

diél

loua temps à rester dans ces s. On reste, à la Fraude 'R'amée. W ment 7h,011B fr. Si nous les abandonnons àeux-mé 9 '' 4 homme l'infailiiniliié t Ilsg paragepie

e heures sounérent daas le lointain àd'é pfri e queg

é85 gn

.arts.,L'atiau;

rq an a fait le roi absolu des croyances et d±.aGourva vl:s éroos les files le jour où les armées françaises cou t et Beauvais. .le u m7me 1. Ce dre impossible, Il it; on coovin

exp,- o nsc'e°ees 'I l'a constituépi yen projet petonLes nouvelles des environs de Banal. faut donc r t de le `prendre le le.- m te Centréleur souverain des pava itort secs nlelligents pour respecter par ci

etpar D, "' vo es de """""a-

qu'ana aussi, qu'ana sut t, demain, et Ies voitures char é de f?res,,e t qu'il a envie.. 6,,000 hommes ne souffrent g es et des rois.. Pasl'église paroissiale de Chelles, qui domine rions d'apprvi,ionnements, nourrir ° y pss ,O pas vfait que ces rudes exercices avaient (angles,la belle terrasse armée à l'extrémité du le million de bandits ailemauds avec les àaaol.in in et environ 4,Ocp du tété de assez cc calculà re°

sitropmple on! 'fièrent dans Paris sous les

Afars le .représenta-.t da Dieu sur la-I,11 .te. et é conoini u , boa dont Içs Du.lair. Si nous sommes alncr ai Paris est é ma de net e

P ieu lais terre n ne Pet guère non Mont s de-vot lt pe.écCieuzeCul

ment, ui date de 177d, 1s,journée rigoureuse,

m P g vent uo gros pont régler !'étendue ,3eé lament réoceu ®6 Pris d'assaut os faro8 de se rendre, g , q rasa sai nt uneau p int d e

qv

4 ° P Llbe f aurait été 8aq nu

Américains en 1861, 1862 t 1863, tir"-ue archéologrCe

a. Il là un chmur ui date du Rio u- ont un si rand arri pur l'alimentation Par quelques centaines da cavaliers, out, des pertes immenses, irr6parahlee ses pogse9siona ta,^rjtoriales et déb tirai sa9 Y 4 g F P 4'est vai, voilà d'admirables exem Iesméme siècle, ove un beau

christ

en

baie

du soldat. 11, pou Chercherple.eo régmsrtio°s que que la Fronoe aura subies, pans mienne à a r notre P c.eduite pop;, u - .L'infaillibilitéait Ors seul tores d'un maître-autel ,,mars

Il'fers oc aut avaient été set. la couteau sur la a une - P Population démoralisée. rituelle oi

v spi-p Le C air parce que les froids comme'- P e ca Pays,, gorg On avait beau sa héler, il restait

aime"L'ae

a'.it à l'omnipateee tem-

quë bla. Les àmes candides verraient tout à sévir avec ri gueur sur ces hommes lés drabandonner. ço° e guerre énorme, etny millarda , P-P,11I..avec -ve tas d"P"", la mitraille dis Nrard, décidément lus sensibles à ea prussiens ot envahi Cama boy au c peut-être. â°°s a v a a li d d s f s é , la LL t L l I vfgve I Tours +vei, dit à M:gre anus plus

nom bre de 10,000, et ils ont forte nuL ré c hrfirx dit assea, dit trop t;,r âfi les pell s cet t se ont sulie re qu'a et la hausser. de sainte l'io[empéna il". emeovs que noue autres que posa , B."ao f .m

i ls o0 aidans

i s étuas les o, s cette mortiq 'êÏe e

'amide0mnra nnexeaiple ae dénad , tpat

a t ehauteuq cou ounée de trots ire I.Jourdhm, les prolonges réglemen-

la France Centrale de Blois,il

avaitta'-

Dans quelquese coup tai.et cotte vesseurb!ance et --._... .

bmo t dar bauou qua taire' sont rempiru en par de légères elques cantine municipales, la ce tableau, dort les personnes présentesque e quota de ana est !voilres champenoises dont le ihoade Jouta déf...,. la cause de la liberté , et soupe au lard et aux légumes était rems ne pourront oublier lougtem s la ira Le Jo lient o//,ciel publia le

xaruezuant celle du plateau de mMooiferillustré a dé à dounb le dessin ai ; ses qualités personnelles lui avaient m- placée par uu bouillon fait aux os de panse mage,Q.and on

d'ernvaàla Fourche y1 d°t`

i appm t

mail,occupé

par les batteries prussiens Jm origin vaciablement to', l'amitié de ceux qui boucherie appelés . os . u os le a Laine. Sorbe lis -t aes ercoa-s

Panai les papiers des Tuileries fi

C

ponton ilitaire , par des pontons Pavulenois q rouges, c pi y , dosai

un grand nombre de notes e[ de lettresd'une disparate désespérante les t connu. Nous devions O. témoi-qui

saut encore recouverte de lambeaux des pour l'enlèvement des derniers codasadressées é Na léo III directement o

demiquel jours avant la bat af Ils ro 2 tomiera éciaux ,

ganga à s mémoire ao manient are, .hàu- de chair, Le service municipal des c-uti- o déblaye les fossés comblés la P °d6ce.ibre, le vice amiral Saisset vint trou P par un;personnel t

d'e

armees; ar

u. 'fout cela n htant pour

-«-battre, et gnit nes fait une certaine quantité de ces os neige de la n t, et on reprit ...... ens Par l'intermédiaire de aes secrétaires s

v

er le gnuve.rnenr de paris, et, avec toutenoue eznpécée pas que tant la plume pour le fusil, il est tombé qui restait encore libre : es la direction

'Ll'®uvrc interrom des s

les alfai ettreres italiennes. Il s'y trouve aussile 2 décembre l'armée du g , Uucrot "I', pon premieràe chaleur d'un inventeur peur a- dé..-- solidement traversé la Marne sur ses Peur Piudépa' .an

re.detce d

é4 ans. adressées, pour les utiliser dontj

nessono i e c,sltes adressées à M. 6arocha,aireminis'q nplateau d'Av ion . Le général Trochu fé- Pon s de chevalets at qu' elle l'a retraver- puy e dis Cmisy commencèrent darrive°

de ciiltes, à l'occasion de la cirFco1n deus de nos grands industriels dont e donne par charretées.jours spins à la barbe des

procédaDemi q.' à la vérification des mené. lEeCy,l,q[ la 8 d cam 1 rance deout e, que ut en obtenu le vice amis P°° Pag°.. d'en prendra las pauvres le chlore 1 surs ras matricules à iél t d i . f.J E° Y I9 d N dé, l St . l'a cnm-T

nLe ré'ira Ides t ni s siens . co,r r tué d'un éclat d'obus, orat fat .n . Nous verrons . pea e....... f er panh

tti demeura . M. Uordr., rueSt Lember, t "as pus pféeiss, Chaque ,angle, au si ss P ru d vu r punks""'-gel. -

"""' ` a

es[ désormais en permanence. On -»« a tro-I ,dit le Rappel, ne copie d'un à Vau ce 1 t ces

1

s quA lui faire signe, l est @k à se ter sait frais qui du ChBLeau duRentier (G6e,Lns),ano 1115, die sa èplacIà côté,CC,.Iutreallait paons

dueeMevLouisPAugesta af!L, vei lu du combat de Villiers, le vis pr je ma u çais du seizième stéche

per vive "'plu' nous. .existe i' à la Il ,La hme plateau -d'Avion

nationale, et uxibmre de ,commission, rai a fait la-inl rteevad l'ordre avala qui traite de l'art de l'artilleur l éonThoma

1 u1r,b fille, route d'Italie, n. !IGJ . Ge pâle linceul qui r ou rait le sol,I sr Nos détachons

I ueent le -d'Avion °ues

Lés, usine et quai de Javel ce Is arbres rpouül6I qui étendaient lapis °° Y quo q trit tn ordre était signéaval

rochusen

La brasartille

- Chaque jour qui â écoula depuis umU rmosé, ulseteraichart

eade

ntae m

ique les g-(Grenelle). branches vrs le ciel, nes ,roux béants OÙ mains de

onutravail:

naît pas.. Commuum, quatre mais, nous apporta ana nouveII e g per la culasse sont tes messieurs, empressés de répondre des cadavres raidis et llémes dormaiuidabouche aux canons se char g1 CNITY ITALIENNEse disait

-

iluil yra deux jo , alors qu'je uv' de P iufém e fout au- g par à l'appel de l'adrniniscratio ,distribuent de leur éternels mail s lit de -lai démontrais l'or ecce de nous établir Prc sage u qaa ]a Louche, et que les mitrailleuses t haom tir

ag jourd' rot'A de la .massa qû ils ont précédé les crr,ons. que jour grat,itrment, à la porte de chaut, ces ombres noires qui se profi- .Mute pnor Prinperi,ni' xar In ritrie,.1,or la grande Pelons, il avait l'air de , {e n ire pays , des Centafula de nul- Les mitrsilleuses a laien, au na- leur établissement 500 litres au moins de '; laient violemme.leur cette immeo 1, aient le. e, clergé frani;els, ,pue IIeai« aum'écoutai à peine, ai aujourd'hui c'est dis tiers dllemands auxquels la France terzième siècle, des rihau s, eL sefrein ou d'os, "'quel ils ajoutent à leurs due de neige qui couvrait le sol, trot feues dItalie, adressée. parie tri ml -s lJui ..,,.a qua me v eut l'ordre de la cou 'est montrée si hospil.1iàre , duraut de ° frais, des tomates et des léeumes en dans cette nature et dans ce mouvement nias i de ''matin 0h1ie1. publiriuC et Jas euh ,viii de ea.... ! Mais a @s an moment tan omposahmt de quatre canons de mous- imité suffisante p Il 20 novcud "1869.pr gues années, net unis e6 posés sur un affdt té arqv pour Constituer un ea- concoui

rarait à nà bie oubliern teste se ende ré0naio.:. Suis-je enfant, s'écri"-t Elle l'a a nourris tous - à tous elle a P°r P

,Clientaliment. scène,

qusibteil ; si foccu a tien du plateau dAvion es ronce p.laines,

orgues deAu quinzième eicle, La Pos

peur t tlée. pe Leitts e mi°istra stgo>, Ies doutes et Ies i,i-aaeortlé des moyenseL dos fzcilités d'exer s àprovision d'as et t jour d'h.i bre de ua qui y t sisiLétudes

du clergé français dep - an fit des Lombardes . à' siavait 616 exécutée il y a trois Jours, cm- ee paisiblement leur commerce et leur ûeliésraiépuisée, t l

oues

osesbaulancsou dés f

nrérmes

de la doctrine hrétieune paix de Villafruca, inquiétudes quirsol terrionsaunaaise je l'indiquais, les Prussiens sur lent industrie : elle a mriehi un grand nom

Less.bombardesse bar eea ar la voir a

e chair ont tee o vo t rece valent silencieusement leur sai te - été transfovmges en agitation bru ante.latiré prévenus, par Cette.CI.patit méme, pue d'autre e.oh elle a fait de queques- culasse étaient formées de deus a-n destination spéciale; ils serai- ai... La..ificief eux-mAmes t systématique par les mltramantairs etde entre attaque sur Villiers et Champi- v es les plus riches banquiers, du monde. es ; la chambra à feu et le volée, Pi.i

nt à faire de la gélatine de l'osséine s'en montrèrent fappés. tes eunemia de l'empire.,.y, Mai, je n'ai point da temps à perdre, C. exemple entra mule. braient unie, q . de.t nous p,,Ierone tant à l'heure longues Nous n'voua rien vu en France 1°sL

.

a

Erlan de Franc, Par un coin qu'on arrachent ment. Or, la gélatine, heureusement, - pape demandait l'ivteretion du'ete à Pauvre,. Qû étaitla mi ger par des tenailles pour charger.I a.. a 7û ici de pareil, disait l'un d'eux. clergé et des fidèles ,a, défenure aonEt Je vico-amiral Saimet fit amener sur fort avant que lefils alné de cette moi- emp ace a vantngeusement les os -A l'excoptian des smurs grises, reprit pouvoir rem I Les

tdpordé journaux tellgiecxson plateau draya. une de ces ferrai da- aon M. Foule Erlanger as fds établi, et rouges; de aorte que les honorables indus_ an de ses oollégues, de Pa i

e sédentaire; c est eu c mphs- re. cuisines de café Anglais, du C.fé Srs groupes de soldats disséminés çàL'armée et la Lion doivent à ces f nationaLa partie le plus élevée du pl"Laau d'A saut sou devoir qu'il a succombé. Il a été Biche ci de la Alaise. dorée, quia taus et là, des camn forme es qu'on a, elle la Grande X11°Yena désintéressés et dévoués une ` tué pemnt

versdont la fumée a'u

Peleiror, et offre un dévelo de 2011 eco naissance d'autant plus grande que éar n. éclat d'obus. Contribué à faire de , oa fils de Fra.as t levait un tournoyant vers lu ciel tout u°pi.emeni Inur mérite est moins en vue.Né

e Franche-Comté, ancien radiosdes

petits crevés n et de notre France ttirail de guerre, toua rs mouvement mi-mètres de large sur 700 de longueur, SaA tour eu chef de la de Lyon et de une grande crevée.. lit i l

ait i {Bathddo et la téta de saint Eloi qui y Français, et que le cacao, moyemxm' 9uat usé, on s dans l p

sont renfermées. quelgoos gouttes d'eau bouillante, de- A 1 vetot, ils ont pillé la boutique d'unrmuus us .par.-Tau. t demi la gamelle sous la aminés bijoutier,

Le phare élotique établi sur les but. peemer soldat venu mm axodlente et e Nulle Part, dit le Journal du Jldure,tes Montmartre per les soins de M. Baztn grande tasse de chocolat. ils ri ont ntré de résistance, et ilsvient de rendre de oosveaua services à C'est à Chélons, paraît il, que la mai- traitent de lâches les populations affoléesla défense de Paris et d'éventer une sur- son Erlanger, est en train d'établir Fil,- de terreur. .p que Ies Allemands noua méon' teepAt des approvisto.nenems allemands Ils annoncent l'intention d'établie ungearent^ et des dépouilles françaises. coin sur les hauteur. qui dominent l'em-

Un is la nuit du 20 au 30 novembre, nember 1 bouchure de la Seine,

M. Durr, secrétaire du Gouvernement __ , En attendant, l'aerondissameut du lis-orsit trous. vie Cet entièrement évacué,il. :a défense nationale ,

mettre au phare du poste électrique de.Montmeett e l'ordre de projeter u.a gerbelumineuse sui, le coure de la Seine de Bc-uo.s à Aegenteuii-

Cet ordre du gouverneur de Paris futusxitôt exécuté, et instantanément aussi

]a distance qui sépare Montmartre de Besous lut parcourue par une lumière élec-trique.

A vol o 1. distance est de 8,000mètres.

L Les

esaetil

tille¢rs doqui.nt toujours l'ail au guet, o.veyèrentquelques obus sur Ies régiments cuuomisqui furent obligé, de quitter la place.

De notre .été, quelques mobiles quiavalant échangé avr. les Prussiens plu-sieurs coups de feu ont été blessés. Il .'ya pas es mort d'homme.

Cover..nTi...es Lama n rseux,-PAS,An.

ni,

LA nAana.

Ce n'était pas entreprendre une minced'opération que de passer la Marne surdos ponts ce bateaux.

Tout manquait pour pela. Plus de pon-tons, plus de p.auroumera. Les équipagesdestinés à nous faire fra..hir le Bleu,alors qu'on pensait le tenir dans notre

'Lent été pris à Strasbourg IL à

Mette Les prussiens en avaient fait leurprofit, et cependant le général Ducrotvoulait fra.ohir la Marne. Il fallait trotterles Prussiens à Villiers et à Champygny,

Le génie Civil fut ebargé d'organiser ceservice indispesable aux opérations deFarmbe de Paris. Les ingénieurs se mirentà la besogne. Ou fiait e, fin nir réunirune Bottille Le fort de Berry ;st tranafermé e.chantier miritime, Le, pon:^neréunis las uns aux autres , les bateaux-mouches devaient les remarquerdues la Mar.e, en fane deo Champigny,à l'endroit ou. la 2a armée affnutueraitsonpassage.

- La Prince ..nonce, dans ses non'voiles diverses, que la reconstitution dela Bibliothèque de Strasbourg fait rasprogrès rapides. Sans parler du concoursdes .cadémies et des libraires de toutel'Allemagne, des présente particuliers etde grande valeur viennent chaque jourcour"b"er au rem p acnme.t des ouvra-ges détruits. Quelques-,,,.a de tendonssaut

dés à des circonstance assez tristes.C'est ainsi quo le sas oui Laudfenuann deCobleniz a affect toute sa bibliothèquepour onteibuer à I. raonstitution deCelle do Strasbourg. Labiblimhèquo deCI savant est riche eu ouvrages :° philo.logis et d'histoire; elle passé e er, a,trediverses maures fort races qû on ns Ieoo'va plus dans le eommeroe. Il avait 0utre-fois légué tout ses livres à son fils loba.-.as La.dfermae n, nais celui ci atout.art dans les traoehées douant Metz leprofesseur Lendh,manu a pensé qû il

en pouvait faire u" meilleur usage quede l'offrir à la Bibliothèque de Stras-bourg.

- Tous les français prisonniers à

Magdebourg, ayant à leur tête AI. Alari-capitaine du génie, ont signé )s

protestation suivanm :

. A l'heuredes

efforts hérol'ques dupays, il Ce faut pas qui une inquiétudeénrr Le les

puttiespérances.

parle d'unerestauration

aecondée par nous. C'est nueillusion ou nie ..larmoie.

. Que les défenseurs de notre chorspa-trie le sachent bien, l'armée Française'appartient qûà la France, le Peonresauf. peut en disposer. Les volontés deia nation seront nos o aireo.r

^vas le serine f d'obéi sauce qua.ous loi foisons ici, étire

son,

"nepurege-ment dans le présent sa `oufil papi

p uvres! remen es?l'avenir. a (Suaaenf lac aiynaturrs.) courage, et, pour mieux voue préparer à

LA VIE A PARIS.

Pour mieux apprendre le mot de l'ali..Lotion nécessaire t suffisante, j'aivoulu d'abard étudier de prés le servmedes lauroa.. économiques et des nanti-

s municipales ; ar, votai ce que l'aiv

Pour 5 centimes, on

donne

au pauvresoit uae pCriioe, un demi-litre environ desoupe aux légumes et au lard, dans le'quelle ou a fait tremper du pain, soit nainpotion de légumes ante oa de riz, acwm-modés an gras,

Face h centimes, on a en outre un boamorceau, deux cents grammes, de paie de

vende qualité, l'excellent pain de labouta gens Scipion, le pain des hopitsuæ

et des hospices. L'an.embla de la soupeou des légumes et du pain Constitue unreps Complet, de îles borne quali é qui

-IL.aa pauvre, ou à .es patrons

dix centimes, à la ville quiuze au vingtcentimes,

Deux repas semblables, que chaque in-dividu ou ses bieofaiteaes payeraientvingt centimes, qui seraient peur le villeune avance de troue eu quoea"te 0eutimea suffiraient pleinement non-seulementà entretenir la

vie

de pouvre, mais àl'empocher de s'otarie do la faim, eu sa-tisfasaut pleinement son ne êti', à moisaqu'il ne soit ezcessif et maladif, et qu'ildie loue par ...séquent u.e exceptionmalLeureuse,

L+ villa de Paris est en mesure de aon-tinnercette alimentation pendant troismais encore,

Le piisaper pour vous' chers lecteurs,get üa " u de trop e t, croyes, i,CI .

Nordit d'être réduiteà vote

votre tour au réf-me setuei de nos a P d

s

pondant s gai i ni BForrt cmbre dannées et que ors fou g 'ff t e l d is Les

sana douta à so bu d autres doaua tus eΫs, le e ,frémit un à on lo long de laredoutables encore que la guerre

Pla

rouir, Je sol fut nivelé, les frères rentrè-famine et la fièvre de famine, le choléra

r s !tune enfila, baillèrent mmi-ue le typhus.

cher r ronssées depuislele

matin,,

repri-Si u contraire, nous sonnons Pana leu, I

ai

u leurs ée ales pet nutb .roi

et le Fraooe, ces oing n,dlaeds épargnés cent un à an, lentement, dans les veiné.-Cou suffiront ,abondamment pour ras profondes.ambler l'abîme de o désastres, pour Une bé¢,diction sis eême tomba Suracheter dus Lestiaua at du grain, et après -es déplorables, humbles et héroideux années eu plus, la France houe@te vitimes de laun quesont gouvernée, déchargée du poids

eommc guerre. On dit qIeue nous

écrasant de ,on armée te, ao-s dans siècle sans foi : s deuxp n r

tiers de ces pauvres gens parlaient destir des étreintes sataniquesues

de

de la Ions- _Impairest des médailles. Le chilfracnption, qui condamnetle plus pur

dodes morts fut officiellement , q àson sang l'oisiveté au liriche ag ,haute voix auz officiera ennem

isis,

qui leserait plus Borissanto et plus riche quedéolarérent cosl'orme à leurs

qui

ja mis. informations, et o planta sur chaque,111 posé, et pnisqu Iz satisfaction tumulus une crois da bois noir avec cettedes besoins essentiels des populations simple inscr:ptienet In o dition aune qua ,ion de la posibilité de la eenti...Il.. du siège, de la

formation et de l'organisation d'une nou. .a.crnsanrve le eunée intérieure, de l'attente Pas

six cents quatrevingseingte du ,O .es des armées extérieures ; soldats et orfielue, leon"sis tombés

il est non-seulement juste, ris me..- soi le champ de baholle' e, que par un aarifi°e d'argent ou ensevelis pie las ambulances de la grasse

par ne emprunt spécial, n nions le 8 ,lécembre 1870.tous nos pauvresà éme de em défendrede besoins trop impérieux, en ajoutant -Monsieur, dirent

triles officiers rus-1 le lent u régie,. alimentaire que siens en saluam cent ment M,

Pnous venons de rappeler tic demi-htrgis

"','r mm. Grenda lavm

ndemi

ditre de talé et trente am gale, nous nous reverrons à Paris,.Ce. a pais, messieurs, réponditde ancre par jour, -Après l

ils seraient alors ramenés presque au le] 'iI., moirefrauç,le.pied de l'égalité, et leur bien-être relatif HH r à di, o t eu lieu; dans laferait notre force, chapslue

demil'gételdes Invalides, les

L'abbé amiunne, obsèques eu général Renault, tombéggl.rioCsemnf sur le champ do bataille de.-vy.-._-_.-_. Villiers. L'église, la cour d'honnamr et lanef étaient tendues de

.air,et sur la surba-

sâemruau nos .aura us L'AreAaas cedel'hémise détachaient les armes du dé-ni noinas, funttaatourées de branohea de lauriers, Le

service extérieur était fait par la gardeNous détachas 'ee passages suivants mobile ; le service d'honneur, à liotd-

id'uae relatimu de cette imposante cée' r ur par nu détacheme¢t de soldatsau e 'valides. Le gouvernement de la Il-L

feues nationale était représenté part i o J l F

éa rou e qu m ue de Vin sers, à Ch. u es avre et Et Pid Léé-rnescar,e gn -

esttà traovaré'rail oiissoy peosu a lis ceurt

tait ào lal céréla Snorre, de

queque

egouvuveruneur

dechose d'exagéré, quand on pense à ce qm aris, qui n avait pu s'y endre, rate r,- aOslo ,]ce arbres de cette magnifique la- par la direction des opérationsrAq mais il est nécessaire pour l inmlli- e éuüt fait représenter par son

Lat-:maor:ce dis .ai va anivre . La me était Pres e t.aa 1- pas.. J

tPnma0 ap aponganne Peanent I. ..IL;uee neige sèche, une, qui se glissait par-

R mg a is uoaseats,

Closlité sacrés du patrimoineg de S luta

Pie r et les reseov es pénnniairesnour entretenir Rome catholique et monn-aient le..

Edevenu 1. unes fle n0ice romaine,,

Et le ministre repose à J'enmer,,ed'user à sas ég,rd d'une v bienveilbmrefermeté, ' de le eoueir,ire aux violeur sL. parti uttamentai., comme intriguasolitiques. Toute 1'gite'ien vient de

l'Un-là et de l'A., de tu Religon, quireeut nee sorte de dictature ecciésial.

turque ; et il regarde leur suppression cuva.e néae,.abe au repos de Clergé et e ladéfaite du . parti religieux ., qui cher.

che aes placer à .été et .adossas, dugou-versement.Enrevanehe, il faudrait i3terdire nonjournaux libéraaa tonte attique coutrele clergé. Plu, tard, ce, a sera à sup-primer également le domination 000gré-gssis'e qui lento atteinte à la dignité età l'iadépeudano,,0 du Clergé .élaliee et desévoques.Le 20 tebre 1866, M. de Sartiges aadreseg àal'emperene des ebservationa

sur ta situation respective des gouverne-ei:ta italie et ramais visà-vis l'un de

l'autre, vis-à vis d° leurs sujets et ,is-àvis de la France. IL rapporte les récriant.nations du pape, aceusant l'interventionde la France en baba d'avoir ébranlé aontelae, Il .e

voitde remède à cette si,

tuation que dans la réconciliation de lapapauté avec l'Italie, e traitent sur, Iesbases de l'Eglise libre dans l'Otat libre.Pessant à l'éventualité du départ

du pa-i

éostiles un parses sujetsam,àeentents,ll.,mit que le plus sils asile serait poer lutfile de Malta, oh il attr,ndrait que l'em-chainràpatmite isa'er .v entour pro-1 il

tea.eaati., soit v- oonvas Cet de

.ai-

a eg lé gouvernmentitieoire

étai,,,tcane leomagouvernement pro-

.

Analyse de lettrea de i'ipiacopat

L'évoque de Saint-Dié, M. Caverottadé Iarb au ministre des cultes que . i'iu-terdiotionqûonluiimpose impligae,ait`

Paris aient torr -,uuu. Presents aI

pour lui devant Dieu et devant les hoas-

préma te-;- - à for un su- mes une responsabilité t(ij i, ne saurait--,euage de regrets a calai qui t accepter,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Il ne croit pas, d'ailleurs, que le pape -quo prescrit le saint père.uâ.êff s les gisioce sonos d lu M. e ard , évêque 'o

Il,

ta nias couccsaiunset

t accordéveutcertain t

i estfaitsI dgr q i I est faits

tolérances m qu'o des àges piété t ü t g p rtéa sort à

vilesdent. Il x'a faitait ydbéir à la forte d. i scores dé q 'C x pmncipes gé

hoses. Mats il an leur accorde pas le dru t é _ qui régissent las eh oses civiles etpensesde préseeter doetnnalemeut et d'un a Frauae. Elle le mat dans

amères ab,ola, cet é et de choses eus I l .lité de remplir I obbganou d'enme le seul vrai et bue en soi, commo lu - 6u I clergé et les h lèlea sur les chuw dltuon normale de la somé(b. t s, justes , ". 'x saintes et

En terminant, il le conjure de revenir I t a à mesr

Par tte poureue cette circulai,., ou u oins da ne diction, dit-il, vous nous crées uns post-point lui donner une publicité prénesto- tioi humiliante inoeeepreble en France.rée.. Voue nous traitez ainsi, monsieur il

M. Giguoua, év@que de Beauvais, est nieb'q comme des paris, de la paroledouloureusement alfeoté d'une interdia-

évngélique, nous réduisant à faire un

on rai, lescorps à part , isolé a milieu

nede iren q à y.us, constitue pour l'é- iocèse, condamné à l'ignominie du si-piscopat s une situante des plus lunes et d'attaques inégales , n'ayantdifficiles

etet d'o

donùpeuvent ,crier des cues à souffrir les m ustices et les caloséquences redoutables. fi ..loi trouve nies de nies ennemis. Vous ..as obligezira de précédent dans l'histoire et ce me à laisser nos fidèles douter

des

appelle même au Concordat yui garantü notre prudence, de notre désir du bien eià la religion tholigne, apostolique et de la pacification des espri s, de outreaon libre exercice, et au mmns fidélité à nus serments envers l empereur,1. liberté de publier les décisions et ju- de notre volonté de rester bues Fraie sStatuts pronuucés eo matière doctrinale tout eu étant bons évêques..çaiPar

le chat de 1. catholicité n S'il est M. Leca.rlier, évégae de Montpellier,permis en France, dit-il, d'outrager le écrit au ministre ana lettre trèspipe et de Lafouer les doctrines dont ileoop-desliedle, mn il prend u

attitudeest l'orgue, pourquoi serait-il défendu posée à Belle de ses collègues: Si toutson évêques de présenter ses actes aux r scrit peutifical, dit il, doit être eooep-croyants avec le respect et l'amour q r té ver, une oumuaian ulaefse, demainsont dus au premier représentant de Busse peut nous=Il dIDieasur la terre I . de Napoléon III, ildeberpd rpeM. le Breton, évêque du Puy, déclara

va Henri IV de l'empire t délia l'Aile-qu"aimer la Peacue, armer l'empereur et ague da serment de fidélité, et il l'au-n go¢vemcmaat, mais il arma aube,, duc que les Peancais catbeliquea se sou-plusque I. vie, JésasChrist es son égli- mettent d'une manière absolue. C'est uuagi, et par. qu'il veut avant tout sauvercomme un antre, paie il est unson âme et ce reconnaîtra qu'à lE,aliee peso étmroant en 1805..catholique et à aon chef le droit de fixer Il distingue cette la publieatiou del'enseignement de la évité, il déplore, l'Eoycliyae, faite par lus journaux, et lam'y soumettre, des piétemante publication solennelle adressée à la con-dont rempires'était loequ'alees abstenu. catholique par c a quo leL'évêque de Langres M. Guarrie do- gaint-Esprit a posés pour réagir l'Eglisemare a obérer de toute aon âme anx

enseigumosmsnontenus dans l'Ency-bque a qui ne sont, au fond goule

la doctrine contante de IEglise ,quelspane in[ailtilale de la vérité , .taux.

tous les fidèles sont tenus de sesoumettre d'esprit t de .mur, sous pei-ne d'être rangés ,selon la parois do Mal-Ire, armi les païens et les publicains.,

L' véque de Soiasons, M. llaaea , dé-clare' =saseocieré ses collégues tpar-tager surs sentiments tant su*c'l'Il

en elle-mbme, dont aucun catb°-tique ne pont rejeter les décisions doc-trioalet, ne aar la probibitioa qui luiest faite de la publier , et rai blesse àses yeux le droit divin des évêques d'eu-soigner les fidèles et de leur transmettrales iostitatinns do chef suprême de lE-glise.,

M. de Leveaou de Vesins; évêque d'A-gas, veut bien rendre à César , ce quiappartient à L'ésar , mais après avoirrendu a Dieu ce qui appartient à Dieu Lepape, suivant 1ui, n'a jamais voulu faire

agite d'hostilité utre l'empereur ,.envers qui il garde de vifs sentiments deereunnaineaneq, ni attaquer la consti-tucionde l'empire

M. Uuureul, a chevéq e d'Avignon,déclare que plus il. es[ dévoué à 7 m i-p«leur, plus

ildoit aecompliu religieuse-

ment ses devoirs d'évêque, main qu'enmatière de proues ; de discipline et defoi, il est et il sera toujours soumis à

si Won la que PE(àt ait la droit deviser les b II , brefs, me r rs, ace., e esttout un système à établir, une législati-on à rafnndea, un nouveau droit publiaA proolaaeoe,

Plaignez-nous, monsieur le ministre,dit-il en terminant, nous élevés à la sain-te et digne école de Saint-Sulpice ; plai-gnez surtout celui rai a, à sa ga be,la tirade hâtive de Carc ,sonne, ei à Ildroits les éruptions du Gard, et derrièrelui le tranchant de Rodez. Cette lettredoit rseler toute eonfidenbe0e 1 mais sile gouvernement ne réprime pas, quoi-que aveu mesura, tans les timides ventaller, et on signalera une foi, de plus à

l Gaine des partie les quelque. hommes

sages qui savent allier avec un, foi sia-ére l'honneur d'apport soir à l'Egiise de

France.

OccupaGen de Reine.Lettre du Comte Th. ,Vole, an datedie 77 (écrier 1851, au président de laIlépubdique.

Habitant acqRome dephis des années, ilcroit avoir uis des notions parfaite-ment exactes sur l'état politique de cette

dis sur le position qu'y occupe laFr....e résultat de son enquête, en ce qui

touche le s int-péee, son autorité taon.porelle et l'esprit des populations, lui

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rr t p r.,t é l e aga d'.rl fi t étés. 4usmtét er dé t tules t ou s f - .Su rie a pnbhé et df ro a

1'r( f t b t s sont aeie-

ne _es ces qua le sucre payë, uut la pu que

Lee que Ré p et é ni; é l hem fin bataille lu

dét d lundi, rué fr. 50 lo kulag a été ve uy s n de ilrtarre le ira a t d "M. p Par d matin , fr.au proclamé.'. Cependant tune f s mot iv e pceée sur troc, f u ,Ii L tés sont faibles et les ventes sonttorrent le spot-père dont. t i lGhé l11

tetain

CEl tdrrll

t iqm'eu

o es 5 r , elle dans duens pale

des

eà l'a Lu 1on elle

y

pbitancea:tout de domo. que la prés {. F I Ir ts p J t:

h

l i . armes Irasis-

despu

ojeonlea lancés pur dd

rrAces fit sa `215çai s r aéceasatm pou t le s

vu av p1pag - Sou ire Amérique 220envoi, du pop Le pb I s pli sm et le Navs avons ac pl que Celles qui ont été don ner a sur le sil

S en 180J b sse mo- Gamoetta avait ris l és 1 t a ila d0 I s s roue donner peu d 2010 sacscentre Aém i tGu,,amie dore 1- i d a peuple, et la faire impnme et afficher dans t t 1 d u corps ,le du général Y y et si ne ar:és

t p eaé d la clad'eau de mer, out été rouets auxtant classe,et la noblesse, se sentent mi-

rrulro iioës de

ooptûtrutéefa,ret d'ab

ervis par les marins de la Gloire et de evehères publiques àdivers pria et assezpopayant peur, ne ferait rien 1 Plas ha! la Il' talim sensiblement n au dessous de la On, offipou soutenir le gouvernement. . Je suis l'on l", tirer la te nets mn que l'atta- ! En les voyant arriver sur In terrain, le-"air,le.baYonautre est

ionnon autour I

Allemandsout cru

quecea ua ans éloisu, dit M. Walsh, ue Ara ee0e - que à aconvrglus

et dire és4 d'hui comme autrefois de bonne molli- q 8 Il n'a été rien dit aux autres marehan-g paru Dfazzini, chargés de p prit d us pour les t'repos- disesgor constituent la lus, act ordioui,nferaient trembler Rome et offraient à que- L'envie leur prit de s'ou emparer et ils

contenir la phier io tout entière.. D'après un ordre du ministre, tous les cummencèraot à les canomer.lenrs bel- du marché, oR, dv paies, a4-on trait611 signa. 1 akr[udP ezceileme de l'ar- chefs de corps devront faire lire à Icurs lote (tombèrent sur leur carapace comme des a ée insignifiautes.

mégi frannaise, et regratte vue les mffieiers troupes le fin rapport où parmi les des vols sur une vitre et firent le méme ; Affyairesiee

en vine, [oujoars nulles.laie[ pas u n salon ù ils puissent so ou rvau re acrnu uquw agi rie rie aa

réunir ; que la femme de l'embaeaedeur surément le secret do la victoire.M. de Rayeeval , ne reçoive pas ; quele général Gé eaux ue reçni Se qu'en

- Une dé écho de Berlin. 15 décembrepetto comité ; cea situation le tropt p le voie de Flerencrla société romain. de la société ira'- 4oi e des i par e:

puisa . perte des indications bonnes à recueillir:- Malgré se bonne tende, l'armée Iran- On a de ai e o villes desçaiae y est mal vue par la grande masse corps de Frédérik-Charles et de Mecklem-de la population romaine , par que b urg; on y manque de vivres, les bles-

oue nous tenons un pouvoir qû elle dé ses meure t par ceetainea pendant leteste et aspire à renverser, mal vue aussi transport, les frontale opposent partoutpar les ,,,serviteurs parce que noue une énergique résistance .

s sas ; e ro, Le télégramme ajouteavons délivré Home san llLcr ,,aient pouvoir faire u -mêmes.

En résumé l'abandon de Ilome serait lesignal d'une r6voluti.n ou du triomphado l'iuufiuenee de l'armée autrichien°e.

M. Walsh se plaint as terminant, quel'assemblée législative it fait preuve

d'un détestable esprit dans le choit de

APPARTEMENT au esa-as-reaees aompoaé de cinq pluaes

PRIX . 310 FRANCSBue des COffrea, 19. prés de la

prison mil lira.

la Boa fission de per ananee qui serait Les mcgose blindés de da Compagnie duh 'emin de fer d Orléaeaaeom posée, avivant lai, porteursrana. c

e méfiants,[nlrigde

ana atbrouellaa.

C'est nuaDuosaious les c ,wons on tomberez t joujou .vol lequel s Bibi epas, dit-il, nus deacenders noblement, n'ose pasjener.s'il le faut, du post. élevé où vous ont Le joujou, test le wagon blindé ; Ri_appelé (sil) d z Il a de sulfrages : et bi, e daat le Prussien. La pbr sn est ellevotre réle dans 1 hrstorre contemporaine d'on manie, qw le jour de l'atmque de le

',tara encore digne d enclos Vous gran-dissez tous les jours, tandis quo les hein

s de Parti n'amoindrissent. e

v

SI

relative(ote relative

mà l'installation des kov-

pee t nnà les dana Rame , u pointue de ia déle°eo cotre uns iusaeree-

tiou populaire, remise au ministre de laguerre, sor sa demande; le 8 ai 1851,par le heutenant-colonel du génie Fems-sard.

L'auteur signale les sentiments hostilesde la population et des troupes romainesoutre l'uoenpatien trençaiee, et propose

les moyens d'installation militaire les plusflieaces pour prévoir toute tentative

d'insaerectiom

Des désordres assez grav vieonetesd'eclator duos ta capitale de la Sardaigne :

Le général Angelini, eo mandant dela divisionmmilitaire de Cagliari, e Frappéd'on coup de poignard, ce pleine rue, unjeune home de famille de distinction. IL

est résulté une vive émotion des habi-tenta. Les troupes oet employé les bason-nettea contre a population mena nI, ;

MAIRIE DE CARCASSONNE.

enfin, sur un ordre télégrapbigne -es.blindé pivote sur ban oseFlorence,

piele générale été .roté et co me les taneellee des navires cuirassés;s°°né. en mess que la gueule du canon de ma-

Le a7 déoembea 11 1, é a heures,adjudication de la terme de la Per-ee6tin. des .mite de place ans foi.

et marehée, pour Croie années,

Ier janvier ion,

'Plaide

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Péngnena, etc.M. Gommard a. charge également de le Vitrerie, ans peu les plus madérd,.

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ana, rua de la Dalbade, 25.Bousquet Ileanne EaialirL lingère, 20

ans, Epouse Celle!, rue Arago, 4.Jw

Bordeaux, 20 décembre 1870

Correspondante particulière du Journalde Toulouse.

La Situation se modifie nullementet les cours des froments restent platdtfaibles que fermes. Nous maintenons euela place de Bordeaux le prix de 21 à 22francs 50 suivant qualité. Quant

dos..reliée de la région, ils présentent desécarts esses sensibles qui dépendent aou-

nt des oiaeooetanoes toutes locales.Ladépartement des Basse,-Pyrénées est ce-

lui où la mmoyenne des ercuriales ressortau prix le plus élevé.

Q sud à l'importance des affaires quise traitent ,elle est i signifiante. Unachète seulement ppour la co, sommetiocourante, ...ai l'adminisieatiou de leguerre fait-elle aes achats à Marseillequelle expédie mpar vais de fer jusqu dBordeaux. Les masses de blés traités parl' d i 'teation de la guerre est très con-sidérable.

Le marché des deneéea coloniales estans

ectivit@.

Naus aig°aleecus deucen-dent la hausse énorme qui s'est produitesu les sucres affinés.

De 150 à 152 fretin dernière tète, les

Cependant, ton sucras ébruts195francs.

bougé et la demande a été fort limitée,placé seulement 25 barriques

gntilles à 104 francs et 600 caisses bardasà 78 fia cs en eetrepbta.

Cette hacesa; que nous asa-gère, agi continuera cula.. ai ..de dévions

Spiritueux sans chang ment. -Valutla côte d'hier, lundi, 19 décembre.

516 Languedoq 86 d. 63 fr.Tafia Martinique 54 d. 47,50 à 60Tafia Guadeloupe 45 Il.

Essence de Térébenthine à 64 fr. surla marché de Bordeaux Lacéra de Danne noua est pas parvenue.

H.^:naard.

Cours des Marchés.

SPIRITUEUX.

Carra, 2f décembre. - Cours fixé 352 fr,; nui pour toutes les autre. peeu-"50onaonsq

22 Décembre. - Coure fixéà 00 fr. Marc à livrer, nef.Bezterla, le P3 D000mero 18,90.

Ici, dans la semaine, ou u payé uFr. 53 le cours en dremierble.

Fr. 6gPour les 4 `r

avril.3l6

es mois,etmerc,ufe. mars48.

A notre marché de ee jour le murs du3J6 bon guht disponible s été fixé a 53fracs.

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Le cahier dal charges, le eeala- I mercredi, i jauviae pronbein, s s

n'silorani

sent

heures du soir, dana uae fias selles QYtel-de-Vill ' 'e du Capitole a l ddull d',aluesonune

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Près le bo.leaeed.Partie da tex ,tenez est occupée

jusqu'au 1. PévNer, pee M. No-L.viiel maee}rand de vina en gras

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effet. I{s furent bien vile désilluaionnéset ils se sauvèrent vivement en voyant dequelle manière cette machine recevait lesc6 pardeursérusssiens.

Bibin'y r ie d plus, mais les ma-

gona blindés sauront bien les rattraper.

Décès du 22 décembre.

Mouchard (Pierre), 88 ans rue St-Michef l0.

Caudal (Marie) neuve Andrieu, 80 eus,Cate-pavée-Montaudran.

es traveaus, pour le bombardement l Suae (pierre), tailleur de pierre 55,de Paris' ont été confiés au général du eus, rue u Bearnais, 8.génie route de Pleisk.. Théron )leou.Maeie-André-Alexis), peu-

Ilais nus savons ce q¢il tout penser priétaire, G3 ans, rue des 7d é tif d b b dpara s ee ces pr om ar ement .

gara sil Bmufs, démonta d'ara seul coupquatre pièces prussienaes. Il a quitté, vules aievonatenees, le pont de la Dévasto-sienpour monter le wagon blindé; il ne'en plaint pas, pourvu qu'on lui donne

l'occasion de causer avec s Bibi, n commail dit toujours de" ses moments de bel-e hum

C'est auz

toile.

du cheminl

de ferd'Orléans, au-delà de la gare d'Ivey, qu'onFabrique ces joujoux, avec lesquels i: es-père, d'un

scolcoup, gageur l'autre man-

cbe et la belle.C'est à l'initiative de M. Dupuy de

Lbme qui set due 1. construction delaye nouvelle ..chien de go""'

Sur me wagon ras de cbamin de fer,o e placé nu aII2t supportant une de ceaef£royabies pièces de marine, avec les-quelles nos unie mis les Allemands outtait, depuis trois mois, connaissanoa la.time.

La piéta et son a0'ùtdot

enferméedans une chambre cuirassée, dont les pu.rô l'abri des boulets, Bout faites desept feuilfea de blindage, ayu' t nue épais-seur totale de hait cent mètres et dunepièce de chêne épaisse de cinquante cen

lo public qu il sera procédé. laIrivdi. le iseviee prochain, è deuxheures do soir dans une des sallesde Capitole, à fadjudloelion destravaux e taira pour le pavage engelais brute osa mies eevuatel, Tia-

re de la Balaneo et de Béa,-

pouvant s'éle-r a la somma de 1-2,500 le., seors

et cacheetéesour. oumfssmna pmbréest cach

B

Ze Présideai de lie evm-on vdmi¢iaiealivs inu-

nieip¢la,G. Cuusm.

COMMUNE DE TOULOUSE

Le Président de la Commissiondmiui ieativa unialpals prévient

1, public qu'il aera procède, lelu di, la ,laie iee pr bain, à 2heures die loir, sana une aea sanasdu Capitole, à l'adjndieatioa deshavaux e faire pour le pavage engalets borts des rues de la Gravatte-Si-Cypeian, du Euvillon, Consten-ilne, Désole et Toueneleuille

Cette entreprise, pouvant sele-er a le Baume de 4,000 fr., sera

edae heté'ssoumissions timbrée'

Le Peeaidmt agi le cam-'on adminirtmeiea ma-

meipalqG. Cooeie.

COMMUNE DE TOULOUSE

Le président de la Commissiondmiaisteslive municipale prévient

le public q,tll s e procédé I

anr e

nous

ô tp Cas travaux, pouvant s'élever tla eomme de o h., seront ad-jugés eue

eoumiseu

imiaee timbrées etcachetées.

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