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LA MISSION DE L’ENGIN DE MARCILLY * * * Par Raymond TERRASSE * * * Claude Burkel, ancien ufologue-enquêteur de terrain, tout en étant le chantre du pic Cambillon, s’était lancé à fond dans l’étude des atterrissages de Quarouble, et du posé de Marcilly, en Seine-et Marne. Pour le premier cas, il avait été en contact direct avec Marius Dewilde ; et dans le second, là aussi, il est devenu le précurseur d’une nouvelle approche du phénomène OVNI : l’étude de la terre à l’emplacement du posé par la radiesthésie, qui semble prometteuse, au vu des premiers et spectaculaires résultats. En ce qui me concerne, n’étant absolument pas sensitif, je me contente de mon orthogéomètrie, qui elle aussi, apporte sa moisson de satisfactions. Grâce à elle, j’ai pu démontrer, de manière géométrique et géographique, ce que d’autres avaient subodoré ; à savoir que le phénomène OVNI possède deux facettes, en apparence dissemblables ; les atterrissages physiques des engins, et les apparitions mariales. Tous deux utilisent la même technologie pour les apparitions et disparitions. Le choix du témoin, la façon de jouer avec lui en le manipulant, est la même pour les deux facettes. C’est du pur théâtre faërique, cher à Tolkien, dans lequel le témoin joue un rôle de rêve éveillé, dont il n’a aucune conscience. Evidemment, des énergies très puissantes se manifestent, et sont encore actives bien des années après ; entre autres à Marcilly, ou à l’église de l’Ile Bouchard. La radiesthésie et l’orthogéométrie sont donc bien des instruments modernes et performants, pour avancer dans la recherche ufologique. Comme je l’ai démontré à Châlons-en-Champagne, lors des premières rencontres européennes, la ligne que j’ai appelée primordiale, est celle qui relie Gisors au château de Chambord et à la grotte de Lascaux, car tous les trois sont bien alignés. Il y a d’autres trajectoires qualifiées de principales, telles ; Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence ; La mission de l’engin de Marcilly 1

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LA MISSION DE L’ENGIN DE MARCILLY* * *

Par Raymond TERRASSE* * *

Claude Burkel, ancien ufologue-enquêteur de terrain, tout en étant le chantre du pic Cambillon, s’était lancé à fond dans l’étude des atterrissages de Quarouble, et du posé de Marcilly, en Seine-et Marne. Pour le premier cas, il avait été en contact direct avec Marius Dewilde ; et dans le second, là aussi, il est devenu le précurseur d’une nouvelle approche du phénomène OVNI : l’étude de la terre à l’emplacement du posé par la radiesthésie, qui semble prometteuse, au vu des premiers et spectaculaires résultats.

En ce qui me concerne, n’étant absolument pas sensitif, je me contente de mon orthogéomètrie, qui elle aussi, apporte sa moisson de satisfactions. Grâce à elle, j’ai pu démontrer, de manière géométrique et géographique, ce que d’autres avaient subodoré ; à savoir que le phénomène OVNI possède deux facettes, en apparence dissemblables ; les atterrissages physiques des engins, et les apparitions mariales. Tous deux utilisent la même technologie pour les apparitions et disparitions. Le choix du témoin, la façon de jouer avec lui en le manipulant, est la même pour les deux facettes. C’est du pur théâtre faërique, cher à Tolkien, dans lequel le témoin joue un rôle de rêve éveillé, dont il n’a aucune conscience.

Evidemment, des énergies très puissantes se manifestent, et sont encore actives bien des années après ; entre autres à Marcilly, ou à l’église de l’Ile Bouchard. La radiesthésie et l’orthogéométrie sont donc bien des instruments modernes et performants, pour avancer dans la recherche ufologique.

Comme je l’ai démontré à Châlons-en-Champagne, lors des premières rencontres européennes, la ligne que j’ai appelée primordiale, est celle qui relie Gisors au château de Chambord et à la grotte de Lascaux, car tous les trois sont bien alignés.

Il y a d’autres trajectoires qualifiées de principales, telles ; Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence ; Mont-Saint-Michel / abbaye de Clairvaux ; Tournai, en Belgique / Lourdes ; Belleville-sur-Mer / Trans-en-Provence. Belleville étant le point de départ sur la côte française, à six kilomètres de Dieppe, du méridien intermédiaire au milieu de ceux de Paris et Greenwich, découvert par Guy Gruais et Guy Mouny. C’est pour cette raison que je le dénomme méridien G-M. Il descend vers la grotte de Lascaux, qu’il frôle à 375 mètres à l’ouest. Nous reverrons Belleville dans cet article.

Tout ceci, et les figures que j’ai tracées, notamment à partir des cercles de rayon Chambord-Gisors, ou de diamètre Gisors-Lascaux, m’ont amené à une évidence que j’ai matérialisée sous la forme d’un théorème :

L’orthogéométrie est une branche de l’ufologie qui relie les atterrissages d’OVNI et les apparitions mariales, à des lieux mégalithiques, préhistoriques, historiques, spirituels et religieux. Cette relation est basée sur le nombre d’Or, PI et leurs dérivés.

Bien que n’existant pas, le hasard a bien fait les choses lors de ma dernière approche. Et ce n’est pas parce que Marcilly est située sur la circonférence du cercle Chambord-Gisors, donc à égale distance du château de François 1 er que le fief templier, que je pensais débusquer l’objectif principal de cet atterrissage, indépendant de l’énergie découverte par Claude.

Lors d’une étude précédente portant sur un ensemble de trois cercles, j’avais remarqué la croix formée par les lignes : Belleville-sur-Mer / Saint-Bauzille-de-la-Sylve, et Riec-sur-Belon / Stenay. Et une particularité m’avait frappé, que je mis en réserve.

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Une fois terminée cette étude, et les croquis assez complexes qui en ressortaient ( je la présenterai peut-être un jour ), je pris une autre carte pour tester mon idée, sans plus.

Je gardai deux des cercles, ayant pour centre commun le château de Chambord, et donc concentriques. Ce sont : le primordial Chambord – Gisors de 184 kilomètres, et Chambord-Clairvaux de 246 kilomètres.

Je dessinai la croix indiquée ci-dessus, et que montre le croquis N°1 :

Je viens de présenter Belleville-sur-Mer, Gisors est le fief templier par excellence, et immortalisé par le livre de G. de Sède : les templiers sont parmi nous. En passant, je signale que la construction du château fit l’objet d’une passionnante étude de Claude Burkel, très éclectique.

Ne parlons pas du Mont-Saint-Michel ; depuis la pose de sa première pierre en 706, il est archi-connu. Si l’abbaye de Clairvaux est le lieu de naissance de l’Ordre du Temple, Stenay dans la Meuse, est la capitale mérovingienne de Godefroy de Bouillon. Elle pourrait aussi bien s’appeler Stenay-la- mystérieuse, car tous les rois de France, et tous les présidents de la République ( oui TOUS ) s’y sont rendus. Henri IV chargea le maréchal de Turenne de la prendre en décembre 1591, et Louis XIV en fit sa première campagne militaire. Stenay est un des Hauts-lieux de l’orthogéométrie. Toute cette région des Ardennes regorge d’apparitions mariales, jusqu’en Belgique.

Riec-sur-Belon reçut la visite des OVNI, à deux reprises, en 1973 et 1974.

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Si l’on veut avoir des détails sur le château de Chambord, il suffit de se procurer les livres de Didier Coilhac, dans lesquels il est aussi question d’OVNI.

Saint-Bauzille de la Sylve, près de Montpellier, fut le théâtre d’une apparition mariale hors du commun, le dimanche 8 juin 1873. Elle est remarquable sous beaucoup d’aspects, notamment avec un record technologique, encore irréalisable de nos jours par notre science : le transport, sous les yeux des témoins, du voyant à une vitesse incroyable à travers les ceps de vignes, sans aucune égratignure ! belle démonstration de dématérialisation- rematérialisation visible, sans perte d’atomes.

Nous retrouvons donc ici un losange formé de deux triangles isocèles, avec pour base commune la branche de la croix : Riec-Stenay. La particularité de cette base, c’est que chaque extrémité prend appui sur le cercle intérieur, et sur le cercle extérieur, afin que chaque moitié soit égale à l’autre. Les deux cercles sont donc bien complémentaires. Constatation encore plus évidente avec le deuxième croquis.

Enfin, si l’on voulait tracer un arc de cercle reliant les trois branches de la croix, comme pour former un arrondi à la manière des boucliers des templiers, le point central se situerait à l’intersection de la branche verticale, et de la ligne Mont-Saint-Michel / Clairvaux. Incidemment, cette trajectoire passe par Chartres.

Ceci dit sans pour autant affirmer que ce super losange qui couvre une bonne partie de la France, représente une protection symbolique voulue par les Responsables des OVNI. Et ce, même si la France est mise sous le patronage de la Sainte Vierge, par Louis XIII depuis 1638.

Dans le deuxième croquis, les templiers sont encore à l’honneur, avec Rennes-Le-Château, et Clairvaux. Toutes deux sont à l’origine des recoupements permettant la naissance du losange régulier, dont les axes mesurent 600 et 424 kilomètres, et les côtés 367 kilomètres.

En effet, la ligne partant de la sécante Stenay-Riec / grand cercle, vers Rennes-le Château, coupe le petit cercle. De même, Stenay-Clairvaux-Saint-Bauzille, coupe également au même niveau le cercle extérieur. De Prémanon, atterrissage de 1954, on joint ces deux croisements, et on poursuit jusqu’au cercle intérieur, à environ 5 kilomètres au sud-

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est de Charroux, dans la Vienne. Cette sécante est confortée par le célèbre cercle de pierres de Stonehenge, en Angleterre, qui rejoint Celles, près de Foix ( apparition mariale de1686 ).

Ce quatrième angle du losange est vierge de tout atterrissage d’OVNI, du moins officiellement. Peut-être y en a-t-il eu un, mais que le ou les témoins n’ont pas osé signaler Les pilotes de ces appareils, même en évitant le contact, s’arrangent pour que l’atterrissage ou l’envol soit remarqué. Mais il se pourrait que dans l’avenir, un de ceux-ci, ou la Sainte-Vierge, vienne confirmer cette énorme figure géométrique.

Quand ? a supposer que j’aie raison, il est impossible de fixer, ne serait-ce qu’une décennie. L’atterrissage de Marcilly s’est déroulé en principe le 12 juin 1989. Il s’est écoulé 116 ans et quatre jours depuis que la Sainte-Vierge s’est rendue à Saint-Bauzille-de-la-Sylve, marquant ainsi l’emplacement du premier angle du losange.

Il a fallu attendre le 27 septembre 1954, pour qu’un OVNI désigne Prémanon comme deuxième partenaire. Soit un peu plus de 81 ans. Comme quoi, il ne faut pas être pressé pour jouer aux quatre coins. Par contre, une accélération temporelle est survenue, puisqu’à peine 35 ans se sont écoulés pour rejoindre Marcilly.

De plus, il est à remarquer que ce losange dessiné sur plus d’un siècle, ne peut être véritablement cautionné qu’à travers les deux cercles concentriques, sous le couvert de l’autre grand triangle isocèle, et avec l’aide de Stenay, Clairvaux, et Rennes-le-Château. Sans cet appui orthoténique, et j’oserais dire templier, nous n’aurions qu’un triangle isocèle : Marcilly-Prémanon-Saint-Bauzille.

Par déduction ou raccroc, en quelque sorte, et grâce à la hauteur prolongée, nous obtiendrions ce losange ; mais sans avoir la certitude du label de garantie..

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Or Stonehenge-Celles, en marquant le point d’arrêt du quatrième sommet, me semble montrer la volonté des Responsables des OVNI de terminer cette figure géométrique. Ce qui n’empêche pas un futur atterrissage d’y apporter la touche finale.

Comme dans beaucoup d’autres cas orthogéométriques, on s’aperçoit que les Responsables des OVNI et des apparitions mariales, n’utilisent pas le même temps que nous. Pour eux, la durée d’une vie humaine n’est qu’un battement de cils. C’est pourquoi il est difficile, pour ne pas dire impossible, de penser à un contact éventuel, et relativement rapproché. Si les ufonautes de la préhistoires ont joué les enseignants auprès des hommes du magdalénien, il ne saurait en être de même à l’heure actuelle. Nous sommes plus barbares que nos ancêtres. Il faut bien se dire que nous sommes des élèves agressifs et peu doués, et que nous apprenons laborieusement.

Quand nous aurons, ne serait-ce que le certificat d’études tout ce qu’il y a de primaire, peut-être commencera-t-on à entrevoir une éclaircie dans la brume ufologique ?

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Raymond TERRASSE

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