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Le Quizz photos des profs quand ils étaient enfants page 10. Les voyages pages 5-6. Le nouveau bac pro page 3. Soleil et révisions, le cocktail de fin d’année… Numéro 8 - Juin 2011 St-Jo. Le Joséphien Le journal du lycée Saint-Joseph de Lamballe www.lycée-saintjoseph-lamballe.net www.lycée- saintjoseph- lamballe.net 14 003 avec le soutien de

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Le Quizz photos des profs quand ils étaient enfants

page 10.

Les voyagespages 5-6.

Le nouveau bac propage 3.

Soleil et révisions, le cocktail de fi n d’année…

Numéro 8 - Juin 2011St

-Jo.

Le JoséphienLe journal du lycée Saint-Joseph de Lamballewww.lycée-saintjoseph-lamballe.net

www.lycée-saintjoseph-lamballe.net

14 003

avec le soutien de

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Page de communication JDL

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N’ayez pas peur, cet encoura-gement que nous avons sou-vent réentendu lors de la béati-fi cation de Jean-Paul II résonne de manière particulière dans la relecture de la vie de notre établissement.Cette confiance qui nous conduit à l’audace a été forte-ment expérimentée cette année dans nos divers projets :En effet il a fallu de l’audace et de la confi ance aux diffé-rentes équipes pour ouvrir les portes du lycée aux Canadiens, Tunisiens et organiser les sé-jours en direction de Paris, Moscou, de l’Italie, du Canada et du Burkina Faso.Cette ouverture internationale proposée en priorité aux élèves du niveau première, a contri-bué pour beaucoup de lycéens à renforcer le désir de la ren-contre et accueillir la différence culturelle.Quelle audace a-t-il fallu aus-si aux organisateurs de la Saint-Joseph, le 18 mars pour

mettre en place cette journée riche de rencontres avec les multiples associations pré-sentes, et d’expression des ta-lents des nombreux lycéens… et professeurs !« N’ayez pas peur, ouvrez toutes grandes les portes au Christ » c’est aussi ce té-

moignage qu’ont transmis les deux couples récemment arri-vés à l’abbaye de Boquen lors de la célébration du chemin de Croix du Vendredi Saint aux 32 lycéens présents : ils ont quit-té leur situation professionnelle pour témoigner de la richesse d’une vie donnée aux autres et

au Christ dans un climat de fra-ternité et de partage.C’est aussi avec confi ance et détermination qu’au sein du lycée se poursuit la mise en place de la réforme du lycée ; la préparation de son applica-tion au niveau des premières est en cours. Autre nouveauté : la création du BAC Pro ASSP (accompagnement, soins, service à la personne) qui va renouveler les pratiques pé-dagogiques. Le défi est de pré-parer les jeunes à une pratique professionnelle où l’emploi va croissant.De l’audace il en faut aussi pour assumer le quotidien et former les jeunes en vue de leur réus-site scolaire, professionnelle, et personnelle.Tous nos vœux de réussite ac-compagnent celles et ceux qui vont bientôt passer leurs exa-mens et franchir une nouvelle étape dans leur vie de jeunes.

Jean-Luc DRAPEAU.

Avant les vacances de Pâques, le bac semblait encore un peu loin, et le stress pas vraiment présent. Aujourd’hui, ils comp-tent les jours, et l’inquiétude est belle et bien présente. Les révisions, les terminales ont le nez dedans : que ce soit pour de simples contrôles, des examens blancs, des oraux ou au contraire les véri-tables épreuves. Certains sont confi ants, d’autres beaucoup moins. À chacun sa méthode pour réviser : le soir dans le calme, avec de la musique, au CDI seul ou avec des am(ie)s, le week-end, dans des lieux

publics, le matin pendant le petit déjeuner… Avec ou sans aide : parents, grand frère ou sœur, ami(e) ou club d’activi-tés… Bien que certains aient déjà passé l’oral des épreuves à option, l’anxiété est toujours présente, et grandissante de jour en jour. Les professeurs sont assaillis d’élèves leur po-sant des questions de dernière minute, le CDI est dévalisé, ain-si que les librairies avec les ma-nuels de Bac ! L’heure fatidique approche. Affaire à suivre…

Manon BONNAFOUX.

D’ici la rentrée prochaine, l e b a c P ro f e s s i o n n e l Accompagnement Soins et Services à la Personne rempla-cera le BEP Carrière Sanitaire et Social.Ce bac Pro se prépare en 3 ans contrairement à 2 ans pour le BEP. Les matières géné-rales enseignées resteront les mêmes c’est-à-dire : français, mathématiques, sciences-phy-siques, histoire-géographie, anglais et EPS. L’équipe en-seignante de cette année res-tera inchangée pour l’année à venir. Cependant, un change-ment aura lieu concernant les semaines de stages à effectuer.

Ainsi, les élèves effectueront 22 semaines de stage : 6 semaines en seconde Pro et 8 semaines en première et terminale Pro. Jusqu’à maintenant, les BEP ne disposaient que de 9 se-maines réparties sur les 2 an-nées d’enseignement.Ce bac a pour fi nalité une for-mation solide au service des autres ayant pour but l’accueil de la personne et de sa famille. L’un des objectifs principaux du bac ASSP est la capacité de l’élève à élaborer un projet in-dividualisé avec la personne en lien avec sa famille. Ainsi, par le biais d’un travail en équipe, l’élève sera à même de détermi-

ner les besoins et aptitudes de la personne pour son bien-être.L’enseignement profession-nel est également orienté vers l’éducation à la santé au tra-vers d’activités d’animation, de soins, d’hygiène et d’en-tretien du cadre de vie de la personne. Celles-ci sont asso-ciées à des notions théoriques concernant la santé, l’alimenta-tion et les différentes structures d’accueil : des structures ac-cueillant des adultes dépen-dants, des enfants et des per-sonnes handicapées.

Marie ROSIER,Leslie SADOC.

Éditorial

Entrée du parc de la Corne, cliché de Lauriane Ermel, 2nde C.

N’ayez pas peur !

A vos marques, prêts ? Partez !

Un nouveau bac à Saint-Joseph pour la rentrée 2011

Camille, Marie et Laurine révisent dans la bonne humeur !

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Jo.

Les élèves de terminale Carrières Sanitaires et Sociales.

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Sommaire

Page 3 :Edito, le nouveau bac Pro.

Page 4 :Les canadiens et les Tunisiens au lycée.

Page 5 :Voyages : Russie, Canada, Paris.

Page 6 :Voyages : Burkina-Faso, Italie, bord de mer.

Page 8 :Charlotte et Vanessa, la St-Jo.

Page 9 :Bilan Eco-école, forum des emplois saisonniers, recette du chef.

Page 10 :Jeu concours : reconnaître les profs quand ils étaient petits.

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Marlie, Erin, Judy, Martin, Cole, Megane, Nick and Jack font partie du groupe de Canadiens accueillis par les premières L et ES du lycée.Ils ont entre 16 et 17 ans et sont originaires de Toronto.

Quelle a été votre première impression en arrivant a Lamballe ?On a trouvé Lamballe tout petit !

Quelles sont les différences entre le lycée saint-Joseph et le vôtre ?Là-bas il a beaucoup de monde. Dans notre lycée il y a beaucoup de diversités eth-niques, beaucoup de chinois. Notre établissement se situe en plein centre ville, nous com-mençons l’école à 9 h et termi-nons à 15 h pour pouvoir faire des activités sportives l’après-midi. Le système scolaire est différent chez nous, mais nous sommes en première comme vous.

Quelles sont les choses qui vous ont choquées ici ?Ici le papier toilette est rose, chez nous il est blanc ! On a

trouvé ça bizarre.En France, on mange beau-coup, surtout du fromage, et on boit plus de vin qu’au Canada. Nous avons adoré les crêpes au Nutella, c’est très populaire ici. Et en France pour se dire bonjour on se fait la bise alors qu’au Canada on se « tchek » et on se prend dans les bras.

Comment l’intégration avec vos familles s’est-elle passée ?Nos familles sont très gentilles, bien que l’on ait du mal à com-muniquer avec elles, car elles ne parlent pas très bien anglais et nous on ne parle pas très bien français.

Comment voyez-vous la France maintenant ?C’est extraordinaire, magni-fique, splendide, superbe, excellent, ça nous donne en-vie de revenir plus tard. Nous avons hâte d’aller à Paris après notre séjour dans votre lycée, car nous n’y sommes encore jamais allés.

Qu’avez vous visité ?Nous sommes allés à Saint-

Brieuc faire les magasins, nous avons visité Dinan et Saint-Malo et avons fait des visites de châ-teaux. Nous avons également apprécié la visite guidée d’une ferme qui produit du cidre.

Qu’avez-vous particulièrement apprécié dans le lycée ?Vous avez de la chance, votre lycée est très coloré. Les cou-loirs, les classes, le CDI et l’es-pace de restauration ont vrai-

ment des couleurs très gaies ! Et puis nous avons adoré man-ger au Croq’Jo, le concept est vraiment sympa.

Manon FRANCAIS,Margaux BARATOUX.

Le lundi 21 mars, un groupe de jeunes tunisiens nous a fait partager l’expérience de la révolution dans leur pays. Ils ont travaillé sans fi let car ils avaient oublié leurs exposés à la gare Montparnasse et à l’aéroport d’Orly. Malgré cela c’était très réussi. Ils nous ont

d’abord montré un diaporama sur le paysage tunisien, puis ils ont fait une mise en scène sous forme de journal télévisé. Une Tunisienne jouait le rôle de la journaliste et une autre de Ben Ali. Derrière elles défi laient une vidéo du peuple disant : « Dégage Ben Ali ! ».

Ensuite, les jeunes tunisiens ont parlé à tour de rôle sous forme théâtrale pour rétablir la vérité sur eux et abolir les préjugés. La révolution tuni-sienne a fait de nombreuses victimes : ils nous ont montré des images choquantes qui ont été cachées par les médias. Bouleversés, certains de ces jeunes pleuraient et se don-naient la main.Une jeune fille a déclaré : « Aucun dictateur ne prendra le relais lors des prochaines élections présidentielles qui auront lieu le 24 juillet 2011 ».Les Tunisiens ont répondu à nos questions : nous avons ap-pris que les cours se sont arrêtés pendant 3 semaines et que si la révolution avait persisté, leur an-née scolaire aurait été considérée « blanche »: ils auraient été dans l’obligation de refaire cette année. Ils ne veulent pas entendre parler de révolution du Jasmin mais de révolution de dignité. Pour fi nir les Tunisiens ont chanté leur hymne, la main sur le cœur. Ils sont très attachés à leur pays.

Anaïs LEPERF,Sara ROSSI.

Un lycée d’accueil

Les Canadiens au lycée.

Do you speak english ?

Un témoignage exceptionnel

Les élèves de terminale ES ont foulé le sol tunisien le 31 oc-tobre 2010. L’émotion était au rendez-vous pour des jeunes costarmoricains désireux d’em-brasser une culture ambiva-lente où l’occident et l’orient s’entremêlent tel le soleil et le zénith.Malgré le changement clima-tique, un temps radieux et en-soleillé, et la perte des repères, les « expatriés » de Lamballe ont tenu la dragée haute et fait preuve de sérénité.Ainsi fallait-il demeurer concen-tré tout le long du voyage dense en activités culturelles avec la découverte des us et coutumes des Gabésiens. Les correspondants du lycée Pilote de Gabes ont manifesté un en-gouement sans pareil lors de la visite des lycéens du lycée Saint-Joseph. Ainsi les liens se sont serrés davantage et un cli-mat de réjouissance mutuelle y régnait. Personnellement, j’étais subjugué par la disponibilité de ces Joséphiens.C’est de bonne augure pour un partenariat intarissable et digne

des établissements respectifs.

Anouar MJAID.Professeur de français.Lycée pilote de Gabès.

« Nous sommes très heureux d’avoir connu des gens aussi généreux, sociables et sym-pathiques. On a passé un bon moment, des journées inou-bliables. Et surtout avoir des amis français, nous fait grand plaisir. Nous sommes très curieux de connaître leurs traditions et leur vie. Nous espérons leur rendre visite. Merci de nous donner cette chance d’échange et de par-tage. » Nasfi Salmine, 16 ans.

« Ce séjour fut magique ! Ce fut une merveilleuse oppor-tunité pour nous de pouvoir vous accueillir. Cela nous a permis de nous ouvrir sur une culture enrichissante et de jouir de moments agréables. Nous avons hâte de vous revoir en Bretagne. » Nesrine Abbès et Khouloud Hamdi, 17 ans

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Les lycéens tunisiens chantant leur hymne.

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Joséphiens, citoyens du mondeRetour sur le séjour des Joséphiens à Gabès

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Du 17 au 24 avril, des se-condes, premières et terminales apprenant le russe ou souhai-tant découvrir la Russie ont visité la capitale soviétique en com-pagnie de Evguenia Tsvetkova (professeur de russe) et Isabelle Ferrey (professeur de sciences sanitaires et sociales).Sous le soleil et avec des tem-pératures qui augmentaient de jour en jour, nous avons pu découvrir la Place Rouge avec la cathédrale de Basile le Bienheureux connue pour ses dômes de couleurs, le Parc des Expositions qui conserve un pa-villon pour chaque ancien pays de l’URSS et les plus belles sta-tions du métro, célèbre pour ses décorations (mosaïques, sculp-tures, vitraux,…) qui le rendent unique. Nous avons également visité le Kremlin avec ses diffé-rents monuments religieux, la cathédrale Saint Sauveur im-posante avec ses coupoles en or, le domaine qui accueillait les tsars : le Tsaritsino, le bun-ker de Staline et aussi le musée

de l’aérospatial.Même si nous étions logés au Centre International des Enfants, nous avons pu découvrir le mode de vie russe grâce aux visites des musées de l’artisanat et du quartier où était situé notre centre d’hébergement. Une visite dans un marché nous a permis de dé-couvrir les spécialités du pays notamment les matriochkas dé-clinées sous différentes tailles, modèles, formes, couleurs. Nous avons également goûté à un repas traditionnel composé d’une entrée de crudités, d’une « soupe », de pommes de terres avec du bœuf et des crêpes au miel. Tout au long de la semaine, nous avons mangé des plats russes comme le kacha servi au petit déjeuner ou encore goûté différents thés.Une rencontre avec des élèves russes a été organisée une après-midi. Chaque école a présenté son pays, sa région et sa ville. Nous avons eu la pos-sibilité de nous poser mutuelle-ment des questions. Les élèves

de Moscou nous avaient préparé un jeu et une démonstration de kazatchok tandis que nous, les Joséphiens, leur avons appris la

danse bretonne.Nous sommes revenus avec de nombreux souvenirs et lorsque l’avion a atterri à Rennes, nous

étions tous heureux d’avoir dé-couvert un nouveaux pays.

Marie ROSIER.

Trente élèves de première ont visité la capitale française du-rant 5 jours. Ils ont admiré la Tour Eiffel (de jour comme de nuit), les Champs Élysées ain-si que la Grande Mosquée, à l’entrée de laquelle les fi lles ont dû se couvrir les épaules et la tête. Ils ont eu la chance de ren-contrer des stars célèbres… au musée Grevin ! De plus ils ont goûté au plaisir des sciences au Palais de la découverte au travers d’expériences, de tests et de petites conférences. Ils se sont également baladés sur la Seine, ont bénéfi cié d’une visite guidée du Paris haussmannien,

du muséum naturel, ont vu l’ex-térieur de l’opéra Garnier et ont assisté à une pièce de Théâtre « Antigone » de Cocteau. Bien sûr impossible d’aller à Paris sans visiter le château de Versailles. Le musée du Louvre est lui aussi incontour-nable surtout pour des élèves de premières qui étudient le XVIIIe siècle. Du coup Mme Le Berre, accompagnatrice (avec M. Le Bigot et Mme Grosmaître) a fait la guide en commentant des tableaux du libertinage.

Anaïs LEPERF, Vanessa GOUIGUENET.

Comment s’est déroulé votre voyage au Canada ?C’était GENIAL ! Tout s’est dé-roulé comme prévu il n’y a eu aucun souci dans l’organisa-tion. Ce voyage dont une partie s’est déroulée sous la neige a été fort en rencontres…

Comment s’est passée l’entente avec vos correspondants ?Super. Les répartitions étaient très bien faites au niveau des goûts et des centres d’intérêts. Le voyage aurait certainement été différent sans eux. Ils nous ont très bien accueillis. Nous avons suivi leur quotidien au ly-cée et en dehors après les cours

étant donné qu’ils finissaient leur journée de classe à quinze heures. Nous avions donc le temps de sortir avec eux. Ils nous ont fait également découvrir leurs soirées canadiennes…

Qu’avez vous visité au cours de ce voyage ?La CN tower où nous avons pu apercevoir la ville de Toronto vu du ciel.Le musée des sciences de la ville.Le Royal Museum : très grand musée équivalent du Louvre en France.Le musée des civilisations.Les chutes du Niagara, impres-sionnantes malgré le brouillard

ambiant.Le zoo de Toronto où nous avons pu apercevoir les ani-maux typiques du pays dont les caribous.

Et comment s’est terminé le voyage à Montréal et à Ottawa ?Très bien. Nous avons clos notre séjour par la visite du Parlement (une fl amme placée a l’entrée y brûle tout au long de l’année) et de la magnifi que basilique Notre-Dame.

Et votre départ pour la France ?Ça a été assez diffi cile, très riche en émotions surtout au moment de quitter nos corres-pondants mais nous avons l’in-tention de retourner les voir d’ici quelques années…

Un petit commentaire pour conclure ?Le voyage était « AWESOME » ! Ça a été pour nous une expé-rience inoubliable ! En plus, nous avons pu progresser en anglais sans nous en rendre compte !

Jeanne CARRO,Charlène LETORT.

À la découverte du monde !

La cathédrale Saint-Sauveur.

Moscou, une capitale à explorer pour un émerveillement sans limite

A nous la capitale !Voyage des premières L et ES au Canada : des Français au pays du sirop d’érable

Un guide pour le moins original !

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Les lycéens depuis la CNC Tower, 533 m.

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Cette année, comme les an-nées précédentes, les élèves de première ont participé à différents voyages. Les desti-nations étaient multiples et va-riées : Canada, Russie, Paris, mais aussi Burkina Faso, pays d’Afrique noire extrêmement dépaysant.

Ce qui frappe au début c’est la différence des modes de vie. Au quotidien, tout est différent : manger, boire, dormir, se dépla-cer, travailler… les gestes les plus simples de notre vie sont à repenser ; par exemple, aller pomper de l’eau dans un seau si on veut se laver, ou prendre un petit déjeuner : là bas on mange une fois ou deux par jour maximum…Mais au-delà de ces habitudes chamboulées, on remarque les différences culturelles et so-ciales ; le respect des anciens ; ne pas passer au village sans les saluer, la solidarité dans la famille, dans le village ; on par-tage, on se soutient en cas de problème de santé par exemple

et on fait la fête ensemble aussi quand tout va bien… et malgré la pauvreté apparente, les oc-casions d’être heureux, de se

réjouir, de profi ter de la vie, ne manquent pas. Car la vie est courte au Burkina : l’espérance de vie est de 46 ans !!! alors,

bien sûr ; ce qui frappe aussi c’est la jeunesse, les enfants, omni-présents, où que l’on aille. Là encore les choses sont très

différentes : des classes de 70 ou 120 élèves ; il faut qu’une moitié sorte pour que les autres puissent écrire, faute de place sur les tables et de crayons…La mission principale des Joséphiens était la rénovation d’une salle d’alphabétisation pour les femmes du village de Banyolo et la création d’une bibliothèque jeunesse ; près de 350 livres apportés dans nos valises. Des vêtements avaient aussi été collectés en France. Nous avons organisé une tombola. Le billet, vendu 4 centimes, donnait droit à un tee-shirt, une casquette, un vê-tement d’enfant…

La seule balade touristique fut vers le mont Sanguié, lieu sa-cré culminant à 550 m et de-vant lequel ont lieu des rituels et sacrifi ces d’animaux. Nous n’y avons fait qu’une pause photo !!! voir ci-contre.

Clémence ABEE,Isabelle HAMON.

Ce séjour était proposé aux élèves de première du 18 au 23 avril 2011, son objectif était de faire découvrir les richesses et les potentialités de notre en-vironnement immédiat, de sen-sibiliser les jeunes à l’écologie et de promouvoir une alimenta-tion saine, originale et utilisant des produits locaux.Joseph, Allan, Jean-Philippe, Yves-Marie, Benoît et Morgan, six élèves de première S, ac-compagnés de Mmes Léon et Hillion ont donc pu découvrir le cap Fréhel, sa faune et sa fl ore, le patrimoine du cap d’Erquy, son ancienne carrière de granit

et l’entreprise de taille de grès, en partenariat avec le syndi-cat des caps. Ils ont visité la maison de la baie et le milieu dunaire à Hillion ainsi que la mytiliculture.Ils ont également repéré et cueilli les algues comestibles afi n de les utiliser en cuisine. En effet, grâce à la cuisine pé-dagogique du lycée profession-nel, ils ont réalisé des maquis et des moules aux algues, qu’ils ont pu déguster et faire dégus-ter, un vrai régal !

Stéphanie LEON.

Dans la période du 16 au 22 avril, certaines classes de Saint Joseph (dont les se-condes latinistes) et les qua-trièmes latinistes du Sacré Cœur ont participé à un séjour culturel en Italie.Personnellement, je pense que ça a été une expérience enri-chissante et très agréable.Nous avons visité beaucoup de monuments. À Florence, la Piazza del Duomo, la Piazza della Signoria et la Galerie des Offi ces, différentes églises et chapelles (l’église San Lorenzo, les chapelles des Médicis). À

San Gimignano, la Collégiale et le Palais du peuple. À Sienne, la Basilique San Domenico, le Palais Public et le Museo Civico. À Rome, le Forum, le Palatin, le Colisée et le Circus Maximus et pour conclure, nous avons vi-sité la Cité du Vatican. En bref, nous avons entrepris un voyage à travers la Rome baroque et la Renaissance. Les hôtels se situaient à Montecatini et à Bracciano.Nous avons beaucoup marché et vu des monuments situés dans les textes que nous étudions, mais heureusement les profes-

seurs nous laissaient des quar-tiers libres pour aller faire les bou-tiques et acheter des souvenirs !Les richesses culturelles vues valaient bien 27 heures de car, heureusement pour passer le temps le chauffeur nous a passé des fi lms : L’arnacœur ; Destination Finale et Nos jours heureux.Mais, c’est sûr que cette expé-rience me laissera un très beau souvenir et je pense que tous les participants sont du même avis que moi.

Sara ROSSI.

À la découverte du monde

Le groupe posant sur les terres sacrées devant le mont Sangué.

Destination Afrique : voyage solidaire et bouleversant

Séjour au bord de merUn séjour latino

Observation d’oiseaux au Cap Fréhel.

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Une petite pause ensoleillée pour les Jospéhiens.

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Vendredi 19 mars, le lycée a cé-lébré la Saint-Joseph qui en fait, avait lieu le lendemain… Pour démarrer la journée, après un pot offert au Croq’jo, plusieurs intervenants sont venus parler de différentes associations trai-tant de nombreux domaines (tels que le médical, l’humanitaire, le caritatif ou encore l’écologie). Ils nous ont informés de leur but, de leurs actions, de leurs budgets mais aussi des bénéfi ciaires et certains d’entre eux étaient éga-lement présents pour témoigner. Chaque élève a pu participer à deux de ces conférences (l’’une à huit heures et demi et l’autre à dix heures et demi) en s’y ins-crivant au retour des vacances. Après la fi nale de badminton op-posant Camille Lempereness à Pierre Robin élèves de terminale S, l’après-midi des spectacles a débuté. L’ensemble des pres-

tations se déroulaient dans la grande salle de permanence du bâtiment C, ou sur la cour devant pour les chorégraphies.

Chaque classe a ainsi pu pré-senter une animation qui durait en moyenne dix minutes… Au programme : chants, danses, fl ash-mob, lipdub, théâtre, jeux en tous genres, court métrage et même concours de gobage de fl ambi ! À noter l’excellente performance de M. Durand et M. Jan dans diverses activités spor-tives telles que la boxe ou encore la corde à sauter. Cette journée a été clôturée par un goûter composé de viennoiseries et de boissons sucrées… sous la pluie mais cette dernière n’a tout de même pas réussi à gâcher la bonne ambiance qui planait sur le lycée depuis le matin.

Jeanne CARRO,Charlène LETORT.

Un lycée de convivialité

Une journée associative et festive

L’association « Les Restos du cœur »

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Les TS ont le rythme dans la peau !

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Il y a 7 mois que Charlotte élève en première L/ES est arrivée en France. Elle est originaire de Berlin, la capitale allemande.

Comment s’est passée ton arrivée en France ?Très bien, je me suis bien adaptée. Avant d’arriver, j’avais quelques préjugés sur la France et les Français, mais je les ai très vite oubliés ! Je suis contente d’être en Bretagne car je ne voulais pas aller au centre de la France. Je vis dans un petit village de trois maisons à Plédeliac. Ma famille est très gentille, elle m’a fait visiter beaucoup d’endroits comme Paris, Rennes et Dinan. Je suis allée à un Fest-noz, J’ai égale-ment fêté Noël avec eux, ce qui était très cool.

La séparation avec votre famille n’a pas été trop diffi cile ?Si bien sûr, elle me manque. J’ai deux petites sœurs, dont une de un an que je n’ai pas vue grandir car elle avait 5 mois quand je suis partie. Mon autre sœur a 5 ans. Tous les mardis je

téléphone à ma mère pendant deux heures.

Le système éducatif est-il différent en Allemagne ?En Allemagne c’est plus libre. Je finis les cours à 15 h 30 mais je n’ai que très peu de récréation le midi (seulement 20 minutes). Tout le monde doit participer en cours, sinon nous avons de mauvaises notes d’oral. Nous sommes libres de choisir nos coeffi cients pour le bac.

Est-ce diffi cile de suivre les cours en Français ?Non car en Allemagne j’avais sept heures de français par se-maine. Et les cours m’intéres-sent, l’histoire-géographie un peu moins car c’est diffi cile. Je m’en sors en cours car je tra-vaille beaucoup pour réussir, même s’il est parfois diffi cile de se mettre à faire ses devoirs quand on rentre tard du lycée !

Margaux BARATOUXManon FRANCAIS.

Vanessa, est une jeune fi lle de 18 ans qui est arrivée en sep-tembre 2010 au lycée.Elle vient tout droit de la Colombie où elle étudie dans un lycée Américain privé.

Tout d’abord, Vanessa, peux-tu te présenter ?J’ai 18 ans, j’ai mon bac et aus-si mon permis. Je suis arrivée en France en août 2010 où j’ai passé un mois à Paris avant d’arriver fi n septembre au ly-cée St-Joseph où une famille d’accueil habitant Plémy m’a accueillie.

Es-tu satisfaite au niveau de la langue française ?Oui, ça fait seulement 8 mois que je parle le français et je le parle couramment. J’ai aussi pu améliorer mon anglais.

Quelles sont les différences entre le lycée de « France » et celui de « Colombie » ?

Tout d’abord, on porte des uniformes de couleur verte. Ensuite, nous commençons les cours à 7 h et notre jour-née se termine à 15 h, elle est suivie si on le désire d’activités sportives.

As-tu rencontré des diffi cultés lors de ton arrivée ?Au niveau des cours de Français oui, au début ce n’était pas facile de comprendre mais petit à petit ça allait beaucoup mieux. Les cours d’espagnol m’aident aussi à comprendre la langue française.

Il y a des choses qui t’ont surprise ou choquée durant ces 10 mois passés en France ?Les grèves en début d’année m’ont un petit peu surprise, c’est une chose très rare dans mon pays.La nourriture aussi, j’ai constaté

qu’elle était meilleure ici et que les Français prenaient souvent l’apéritif. Et il y aussi la diffé-rence de température entre chez moi et ici. En Colombie, il fait 30 degrés toute l’année tandis qu’en arrivant ici, j’ai dû m’acheter des manteaux car j’avais trop froid !

Morgane ROUAULT,Leslie SADOC.

Charlotte, une Allemande en Bretagne

Vanessa, la Colombienne

Associationpour le développementdu Journal des Lycées10 rue du Breil - 35 051 Rennes cedexTél. 02 99 32 61 04 - [email protected]

Lycée Saint-Joseph63 rue Mouëxigné - BP 90465 - 22404 Lamballe CedexTél : 02 96 50 11 20 - Fax : 02 96 31 93 75Mail : [email protected] : http://www.lycée-saintjoseph-lamballe.net

Directeur de la publication : Jean-Luc DrapeauMise en page : Bayard Service édition - Ouest - Tél. 02 99 77 36 36Publicité : Bayard Service Régie - Tél. 02 99 77 36 39Imprimerie : LBC (61 Tourouvre) Papier : 80g terraprint couché mat PEFC(ce papier est fabriqué à partir de bois issu de forêts gérées de façon responsable)

Charlotte (au centre) entourée de ses amies.

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Cette année encore, nous avons demandé le label Eco-École qui récompense les établissements scolaires eu-ropéens pour leurs actions éducatives en faveur de l’en-vironnement et du développe-ment durable.

Nous avons participé à l’opéra-tion « Nettoyons la nature », à la semaine nationale de réduction des déchets. De plus, tous les secondes ont été sensibilisés lors des séances d’accompa-gnement personnalisé au tri sé-lectif (utilisation des poubelles jaunes pour les papiers) et aux économies de papier (utilisa-tion des feuilles recto verso, moins de photocopies grâce au numérique…)

Le thème de la solidarité s’est imposé cette année compte tenu des opérations régulière-ment organisées par le passé en direction des enfants hospi-talisés (collecte de jouets), des personnes démunies (Resto du cœur), des malades ou handi-

capés (Téléthon)….Il nous fal-lait pérenniser ces opérations de solidarité de proximité et aussi penser à l’international…Déjà, depuis plusieurs années, les « opérations Bol de riz »,

qui consistent à ne manger un midi au lycée qu’un plat de riz (sucré ou salé) et une pomme et à reverser la différence du prix de revient par rapport à un repas « normal », permettent

de faire des dons substantiels à des associations caritatives ou aux compagnons scouts de Lamballe. Par exemple, l’an dernier, les 668 euros récoltés ont permis d’acheter les four-

nitures scolaires des enfants des écoles primaires du village de Bonyolo.

La solidarité ce n’est pas la charité ! De retour de voyage nous pouvons en témoigner. Si nous avons donné du maté-riel, nous avons reçu en retour tellement de sourires, de joie de vivre, d’amitiés, que nous sommes revenus bouleversés.L’année prochaine, nous pen-sons travailler le thème de la biodiversité… Lors de la St Jo, en mars, certains élèves ont confectionné avec M. Bouédo des nichoirs qui sont mainte-nant fi xés dans les arbres de la cour. Notre jardin d’herbes aro-matiques fourni du persil dont le cuisinier a besoin et bientôt ce sera la menthe pour les ta-boulés… Un groupe de 1res est allé nettoyer un blockhaus où nichent des chauves-souris et restaurer les barrières de pro-tection des sites de bord de mer.

Isabelle HAMON.

M. Ludovic Calvez, chef cui-sinier au lycée, met toujours du cœur dans ses recettes pour qu’elles soient réussies et qu’elles plaisent à tous. Il a accepté, lors d’un rendez-vous, de nous faire part d’une recette sucrée : les brownies.

Ingrédients (pour 20 brownies) :225 gr de chocolat.225 gr de beurre.190 gr de sucre.100 gr de farine50 gr de noix de Pécan (elles sont moins amères que les autres)35 gr de poudre d’amande.4 œufs.1 cuillère à café de levure.

Laissez fondre le beurre et le

chocolat. M. Ludovic Calvez vous conseille d’incorporer le chocolat une fois le beurre fondu sinon le chocolat brûle.Mélangez les œufs, le sucre et la poudre d’amande. Ajoutez dans le mélange le choco-lat fondu, la farine de noix, la levure et les noix de Pécan. Versez la pâte dans des petits moules en silicone.Cuisez la pâte à 180 °C pen-dant 20-25 minutes.Pour accompagner, M. Ludovic Calvez vous suggère de la crème anglaise ou encore une boule de glace à la vanille.Vous pourrez retrouver prochai-nement cette recette parmi tant d’autres sur l’ENT.

Sara ROSSI, Marie ROSIER.

Vous avez ou allez avoir 18 ans ? Vous êtes intéressés par un emploi saisonnier pour les vacances d’été ? Alors vous êtes peut-être allés au Forum des Emplois Saisonniers qui avait lieu à la salle Municipale de Lamballe le samedi 19 fé-vrier. Pour la 8e édition, une tren-taine d’exposants était présente et entre 900 et 1 000 personnes étaient attendues.Un large choix de secteurs était proposé, tels que l’aide à la personne avec le baby-sitting, l’agriculture avec l’en-treprise Gouessant, la grande distribution,le Mac Donald’s,

l’usine de la Cooperl ainsi que les agences d’Intérim de Lamballe.Chaque secteur faisait complé-ter une feuille où le jeune indi-quait ses coordonnées, s’il était ou allait être majeur ainsi que la période à laquelle celui-ci était disponible. Chaque secteur, en fonction du poste, recherchait un nombre de personnes, sou-vent limité. Pour cela, il fallait mieux s’intéresser à plusieurs secteurs pour augmenter sa chance de décrocher un travail.Mais peut-être que ce n’était pas un travail saisonnier que vous recherchiez mais une

association pour faire du bénévolat ?La Protection Civile de Lamballe proposait à toute personne, dé-sireuse d’apprendre les gestes qui sauvent, des stages de for-mations gratuits d’une durée de dix heures par semaines.Que cela soit pour un emploi ou pour s’inscrire dans une asso-ciation, cette journée aura été une bonne manière de faire un premier pas dans le monde du travail et peut-être, d’effacer certains préjugés.

Vanessa GOUIGUENET.

Pêle-mêle

Des élèves au retour du nettoyage du blockhaus

Eco-École : c’est l’heure du bilan !

La recette du chef !Un forum pour un job d’été

M. Calvez prépare ses brownies.

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L’affluence pour rechercher un emploi saisonnier.

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Pour clore l’année scolaire, nous vous proposons un jeu concours dont l’objectif est de reconnaître vos professeurs et personnels d’éducation quand ils étaient enfants. Pour vous ai-der, nous vous donnons la liste des participants. Vous trouve-rez également au CDI, le trom-binoscope des professeurs et personnels. Les bulletins de réponses sont disponibles au CDI. Fin du concours le 9 juin. À gagner : 2 pl. de cinéma.Vous devez trouver :- Jacqueline Baqué

(Surveillante)- Barbier Elodie (Français)- Bernard Besnier (Lettres/

Latin)- Françoise Blondel (Anglais)- Véronique Bouvet (Espagnol)- Nadine Carlo (Vie

professionnelle)- Marie-Claire Dornadic

(Espagnol)- Valérie Driencourt (Histoire/

Géo)- Grégory Durand

(Mathématiques)- Isabelle Ferrey (SMS)- Sandrine Gueguen (SMS)- Sylvie Guernion

(Responsable informatique)

- Françoise Hamon (Mathématiques)

- Valérie Hérault (Professeur documentaliste)

- Jacqueline Hillion (EPS)- Charles Jeanson

(Philosophie)- André Kœhler (Allemand)- Le Berre Evelyne (Français)- Stéphanie Léon

(Surveillante/animatrice)- Maire-Claire Morin

(Microbiologie/vie professionnelle)

- Johann Pecheur (Histoire/Géo)- Fabien Robinault (Français/

Histoire)- Nicole Taillard (Français)- Jocelyne Thomas

(Mathématiques)- Evguenia Tsvekova (Russe)À VOUS DE JOUER !

Quizz photosQui est qui ?

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