3
SAL MANDRE Le journal du personnel de la Mairie de Beauvais, de la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis, du Centre Communal d’Action Sociale et de l’Office de Tourisme de l’agglomération de Beauvais NOVEMBRE • 2017 Du 9 au 13 octobre 2017 Retour sur la semaine de la qualité de vie au travail C ette « semaine de la qualité de vie au travail » (SQVT) était la première organisée au sein de nos collectivités. L’initiative, lan- cée il y a maintenant 14 ans sur le plan national par l’agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (ANACT), donne l’occasion à toutes les entreprises et collectivités d’un focus sur la qualité de vie au travail. « Qualité de vie au travail » ou « Bien vivre au travail » ? Que recouvrent ces deux notions ? La QVT est une notion qui dépasse largement les frontières de notre territoire national. Ce concept a déjà fait l’objet de très nombreuses définitions. En juin 2012, les partenaires sociaux français précisaient que « la notion de qualité de vie au travail renvoie à des éléments multiples, relatifs en partie à chacun des salariés mais également étroitement liés à des éléments objectifs qui structurent l’entreprise. Elle peut se concevoir comme un sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail, le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabili- sation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnais- sance et une valorisation du travail effectué. Ainsi conçue, la qualité de vie au travail désigne et regroupe les dispositions récurrentes abordant notamment les organisations du travail permettant de concilier les modalités de l’amélioration des conditions de travail et de vie pour les salariés et la performance collective de l’entreprise ». « Bien vivre au travail », c’est la démarche dans laquelle les collec- tivités sont engagées depuis 2013 et qui ambitionne d’apporter aux agents des réponses en faveur de la qualité de vie au travail. Les actions sont nombreuses, parfois individualisées ou spécifiques à un service, elles restent trop souvent méconnues ou incomprises quant à leur lien avec la QVT. Alors au-delà d’un coup de projecteur pour réaffirmer l’ambition de nos collectivités, cette première semaine de QVT était pour nous l’oc- casion de proposer un rappel des fondamentaux de la santé sécurité au travail tout en abordant ces questions au travers d’ateliers plus ludiques et moins conventionnels. Les différents ateliers ont réuni près de 500 personnes, ce qui est très positif. Les participants ont tous souligné la très bonne ambiance sur toute la semaine. Les intervenants, souvent des personnels de nos collectivités, ont apprécié les échanges qu’ils ont eu avec leurs collègues. Partager ces conférences débats ou ateliers ludiques aura aussi immanquablement permis de renforcer les liens entre les agents. Nous espérons que vous serez plus nombreux encore à vous associer aux prochaines initiatives qui seront prises sur le sujet. Avec les CHSCT et le comité de pilotage « Bien vivre au travail », nous restons en effet pleinement impliqués et ce sur plusieurs axes : vête- ments de travail et équipements de protection individuelle, vestiaires et locaux de service, formations… et même des ateliers de renfor- cement musculaire animés par les éducateurs sportifs. Jean-Jacques DELORY Directeur Général des Services de la CAB Benjamin MEUNIER Directeur Général des Services de la Ville

2017 Retour sur - Bibliothèque de la Salamandresalamandre.beauvaisis.fr/pages/salamandre-novembre-2017.pdfde la police municipale travaillent au quotidien avec le Parquet de Beauvais,

  • Upload
    others

  • View
    0

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

  • SAL MANDRELe journal du personnel de la Mairie de Beauvais, de la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis, du Centre Communal d’Action Sociale et de l’Office de Tourisme de l’agglomération de Beauvais

    NOVEMBRE • 2017

    Du 9 au 13 octobre 2017

    Retour sur la semaine de la qualitéde vie au travail

    Cette « semaine de la qualité de vie au travail » (S

    QVT) était la

    première organisée au sein de nos collectivités. L’initiative, lan-

    cée il y a maintenant 14 ans sur le plan national par l’agence

    nationale pour l’amélioration des conditions de travail (ANACT),

    donne l’occasion à toutes les entreprises et collectivités d’un focus

    sur la qualité de vie au travail.

    « Qualité de vie au travail » ou « Bien vivre au travail » ?

    Que recouvrent ces deux notions ?

    La QVT est une notion qui dépasse largement les frontières de notre

    territoire national. Ce concept a déjà fait l’objet de très nombreuses

    définitions. En juin 2012, les partenaires sociaux français précisaient

    que « la notion de qualité de vie au travail renvoie à des éléments

    multiples, relatifs en partie à chacun des salariés mais également

    étroitement liés à des éléments objectifs qui structurent l’entreprise.

    Elle peut se concevoir comme un sentiment de bien-être au travail

    perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la

    culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail,

    le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabili-

    sation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnais-

    sance et une valorisation du travail effectué. Ainsi conçue, la qualité

    de vie au travail désigne et regroupe les dispositions récurrentes

    abordant notamment les organisations du travail permettant de

    concilier les modalités de l’amélioration des conditions de travail et

    de vie pour les salariés et la performance collective de l’entreprise ».

    « Bien vivre au travail », c’est la démarche dans laquelle les collec-

    tivités sont engagées depuis 2013 et qui ambitionne d’apporter aux

    agents des réponses en faveur de la qualité de vie au travail. Les

    actions sont nombreuses, parfois individualisées ou spécifiques à un

    service, elles restent trop souvent méconnues ou incomprises quant

    à leur lien avec la QVT.

    Alors au-delà d’un coup de projecteur pour réaffirmer l’ambition de

    nos collectivités, cette première semaine de QVT était pour nous l’oc-

    casion de proposer un rappel des fondamentaux de la santé sécurité

    au travail tout en abordant ces questions au travers d’ateliers plus

    ludiques et moins conventionnels.

    Les différents ateliers ont réuni près de 500 personnes, ce qui est

    très positif. Les participants ont tous souligné la très bonne ambiance

    sur toute la semaine. Les intervenants, souvent des personnels de

    nos collectivités, ont apprécié les échanges qu’ils ont eu avec leurs

    collègues. Partager ces conférences débats ou ateliers ludiques

    aura aussi immanquablement permis de renforcer les liens entre les

    agents. Nous espérons que vous serez plus nombreux encore à vous

    associer aux prochaines initiatives qui seront prises sur le sujet. Avec

    les CHSCT et le comité de pilotage « Bien vivre au travail », nous

    restons en effet pleinement impliqués et ce sur plusieurs axes : vête-

    ments de travail et équipements de protection individuelle, vestiaires

    et locaux de service, formations… et même des ateliers de renfor-

    cement musculaire animés par les éducateurs sportifs.

    Jean-Jacques DELORY

    Directeur Général des Services de la CAB

    Benjamin MEUNIER

    Directeur Général des Services de la Ville

  • Ses premiers pas dans la fonction publique territoriale

    Venant du secteur privé, Katie a dû découvrir les spécificités du secteur public : les terminologies, le mode de fonctionnement….. Un univers à part entière !

    Elle se définit comme une personne de terrain ; aussi sa première préoccupation a été de se rendre sur les structures les plus importantes pour y rencon-trer les équipes. C’est l’occasion de s’imprégner des lieux, de faire connaissance et d’entendre les préoc-cupations des collègues ; c’est aussi pour Katie la possibilité de faire passer des messages (accompa-gnement, changement …) en expliquant le pourquoi des choses in situ.

    Avec l’agent chargé de la fonction d’inspection* (ACFI), elle a visité plusieurs services. Cela lui a per-mis de faire des constats et proposer une formation obligatoire en matière de santé et de sécurité avec trois domaines essentiels : la sécurité incendie avec le maniement des extincteurs, le risque chimique et la formation premiers secours civiques(PSC1). Ces formations deviendront obligatoires sur un cycle de 3 ans. Il en va de la sécurité de chacun d’entre nous.Avec Jean-Claude TOURNEUR, conseiller prévention et en lien avec les CHSCT, Katie analysera égale-ment les circonstances des accidents de travail avec pour objectif de proposer des actions de prévention ciblées.

    Son premier gros dossier Ses marques tout juste prises, Katie a planché sur la Semaine pour la Qualité de Vie au Travail (SQVT) qui a eu lieu du 9 octobre au 13 octobre 2017 avec l’ambition de (re)visiter au cours de cette semaine les fondamentaux de la sécurité au travail mais dans le cadre d’un concept innovant et aborder différem-ment le thème de la sécurité. La théorie c’est bien beau, mais quoi de mieux que de pratiquer !Alors, un premier travail de réflexion a été engagé par le comité de pilotage « Bien vivre au travail ». Les échanges ont été riches et le comité de pilotage composé de chefs de service, d’agents mobilisés sur la question du « bien vivre au travail » sans oublier des représentants des organisations syndicales, fort des expériences et constats réciproques de ses membres, a arrêté plusieurs axes à développer pour cette semaine.Avec ses collègues en DRH, Katie a ensuite travaillé à la déclinaison concrète des axes à développer pour proposer une offre variée, dynamique et attractive. Après de nombreuses démarches auprès d’entre-prises, beaucoup de contacts avec les intervenants internes comme externes, un gros travail sur la lo-gistique de la semaine mené avec Judith BANREZES

    depuis quelques semaines en charge du secrétariat des instances de dialogue social, la programmation a pu être définitivement arrêtée.

    Des conférences débats :• Les acteurs de la prévention - Les EPI • La sécurité incendie - Vigipirate• Echauffement et bien être par le PRAP -

    Prévention des addictionsDes ateliers ludiques :• Bien manger autour de vélos smoothies• Comment récupérer vite et bien

    (sieste flash)• Sensations fortes autour de la prévention

    routière• Ergonomie au poste de travail (spécial postes

    administratifs)• Le bien-être par les bonnes postures (spécial

    services techniques)• Se détendre avec Pilates• Se détendre avec des massages

    2 de ces ateliers ludiques ont été proposés spécifi-quement pour nos collègues administratifs (ergono-mie des postes) et pour nos collègues des services techniques (bonnes postures) avec des mises en situation.Cette semaine a été intense pour Katie et Judith et tous les collègues impliqués dans l’organisation. Katie se projette déjà dans la SQVT 2018 ! Les retours des agents qui ont participé à ces différents ateliers ou conférences sont importants. Ils permet-tront d’améliorer le concept pour changer de regard sur la santé, sécurité au travail mais aussi pour ren-forcer les liens entre les collègues qui ont pris plaisir à se rencontrer tout au long de la semaine.

    Ses missions futuresLa SQVT passée, Katie a pour mission d’animer le réseau des assistants de prévention mais aussi de travailler à l’établissement du nouveau cahier des charges des EPI (équipement de protection indivi-duelle) pour les agents (qui sont en forte attente sur le sujet) ; c’est une tâche importante car on compte pas moins de 290 sites différents.L’animation de ce réseau permettra entre autres la mise à jour du document unique, le déploiement de mesures et/ou d’actions de prévention comme la mise en place des registres santé et sécurité et l’accompagnement des assistants de prévention dans leurs missions. Elle doit travailler aussi à la définition des axes de progrès sur lesquels la collectivité doit s’engager pour développer la culture sécurité et la sensibilisa-tion de chacun. Un des premiers enjeux sera de par-ticiper à la rédaction du nouveau cahier des charges.

    Il y a bien entendu une réglementation sur laquelle on ne peut pas transiger, mais il faut savoir surtout être pédagogue, savoir parler de la sécurité, savoir être sur le terrain et être à même de faire passer le message... et Katie s’y emploie.

    *ACFI : agent chargé des fonctions d’inspection ; professionnel indépendant du centre de gestion inter-venant dans le cadre d’une convention passée entre les collectivités et le centre de gestion. Ses missions consistent à contrôler la conformité des installations de travail. Il peut également être un conseil pour la collec-tivité ou le CHSCT.

    SALAMANDRE • NOVEMBRE 2017 SALAMANDRE • NOVEMBRE 2017

    Katie LEWANDOWSKI a pris ses fonctions d’ingénieur santé sécurité à la direction des ressources humaines le 24 avril 2017. Lysiane LEFEVRE l’a rencontréé.

    Gros plan Vigipirate avec Stéphane TISNÉ

    Katie LEWANDOWSKI et Judith BANREZES aux commandes de la SQVT

    Des compétences internes mises en valeur

    SALAMANDRE • NOVEMBRE 2017

    Stéphane TISNÉ a passé 15 ans chez les Pompiers de Paris. Sandrine DROIT est allée à sa rencontre.D’abord instructeur, il est devenu en fin de carrière formateur, puis chef de salle de gestion de crise.Il intègre la fonction publique en tant de responsable de la sécurité et de la vidéo protection à la Ville Nou-velle de Sénart (77). Le 1er juin 2017, il rejoint la ville de Beauvais en tant que directeur adjoint chargé de la sécurité. Il encadre les policiers municipaux, aux côtés des deux chefs de service, et l’équipe du centre de supervision urbaine (C.S.U) chargée de la vidéo protection sur le territoire. Le Maire devant veiller, à travers ses pouvoirs de police, à assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publique dans sa Commune, les services de la police municipale travaillent au quotidien avec le Parquet de Beauvais, la police nationale, la gendar-merie et les élus municipaux. Dans le cadre de la semaine de la Qualité de Vie au Travail, Stéphane Tisné est intervenu lors de confé-rences-débats. Il a présenté le plan Vigipirate et ses conséquences. Lors de cette conférence, Dany Perrot présentait la partie sécurité-incendie.Cette thématique est importante pour chacun d’entre nous. Si tous les services doivent être sensibilisés à la sécurité incendie, nombreux sont ceux qui doivent mieux appréhender le plan Vigipirate. Quel service n’a pas eu à organiser ou participer à des manifesta-tions sur notre territoire ? Le contexte, entre autres d’attentats, nous impose de renforcer nos actions en matière de sécurité. Il est important de rappeler pourquoi ces mesures existent, avec toutes les contraintes imposées par l’Etat et comment les adapter aux différents services. L’Etat impose donc aux communes des mesures variables d’une manifestation à une autre en fonction du nombre de personnes attendues et qui doivent être comprises par tous. Loin d’être des contraintes, elles doivent surtout permettre la sécurité des personnes présentes lors des manifestations, d’où l’importance d’être « carré » au niveau de l’organisation.Les gardiens de police municipale sont des acteurs essentiels des dispositifs de sécurité, mais seuls ils ne peuvent pas tout. Les organisateurs doivent être également partie prenante et parfois d’autres acteurs de la sécurité, comme des vigiles assermentés, doivent être sollicités.

    Elle travaille depuis 27 ans à l’Unité de Pro-duction Culinaire tous les mardis et vendredis, en qualité de diététicienne-nutritionniste.

    Lui travaille depuis 21 ans au service Archi-tecture dont 17 ans en tant que dessinateur au bureau d’études thermique du bâtiment (BET), et depuis 4 ans, en tant que référent sécurité incendie dans les établissements recevant du public (ERP).

    Elle établit les menus du midi pour les enfants des écoles primaires publiques de la ville de Beauvais, propose des suggestions de menus pour le soir. Elle compose les menus des Résidences des Personnes Agées (RPA) ainsi que ceux des selfs La Salamandre (situé au foyer des jeunes travailleuses en centre ville) et Le Tilloy (situés dans les locaux des ser-vices techniques municipaux). Elle adresse les compositions et les allergènes des menus aux familles concernées par un enfant allergique. Elle traite 50 dossiers de Protocoles d’Aide Individualisé (PAI).

    Lui gère le suivi de maintenance des alarmes incendies, des extincteurs, du désenfumage et du Système de Sécurité Incendie (SSI). Il assure le suivi en amont et en aval et participe aux Commissions Communales de Sécurité (CCS) dans les ERP du 1er groupe. Il est inter-médiaire avec le Service Départemental d’In-cendie et de Secours (SDIS 60). Il participe aux dossiers pour la partie sécurité de dossiers de permis de construire et des déclarations de travaux au sein de la direction.

    Elle n’a aucun agent placé sous sa respon-sabilité.

    Lui encadre un agent Ville et travaille avec 4 à 6 techniciens des sociétés.

    Elle collabore principalement avec les ser-vices de restauration, les services communi-cation et éducation.

    Lui coopère globalement avec tous les ser-vices et essentiellement avec la régie bâti-ment, le service patrimoine et les finances.

    Elle a élaboré, dans la Semaine pour la Qua-lité de Vie au Travail, un atelier de goût avec dégustation de produits différents afin de sor-tir des sentiers battus de l’alimentation. Elle a expliqué sur le « savoir manger » équilibré.

    Lui a animé, dans la Semaine pour la Qua-lité de Vie au Travail, la conférence « Sécurité Incendie ».

    Elle a aussi proposé toutes les idées menus de la semaine.

    Lui pense, concernant le thème de cette semaine « Un management de qualité, ça s’apprend ? » que cela s’apprend et qu’il y a des choses à savoir, à faire et à éviter. Pour un management en général, il n’est pas néces-saire de suivre une formation car cela peut être inné pour certaine personne.

    Elle espère apporter une meilleure qualité de vie au travail à nos collègues en les informant sur le bien manger pour bien travailler.

    Lui déclare apporter une meilleure qualité de vie au travail à nos collègues en les informant de leurs responsabilités en tant que chef d’établissement dans leur bâtiment de travail.

    Elle souhaite continuer à établir des menus toujours aussi équilibrés et étudier la fré-quence des plats servis pour faire découvrir de nouvelles saveurs.

    Lui s’applique à mettre à jour les descriptifs bâtimentaires de tous les procès-verbaux des CCS, les plans d’évacuations/interventions, le listing matériel de désenfumage et optimiser le nombre et la position des extincteurs sur l’ensemble des bâtiments (290 sites).

    La semaine QVT aurait « manqué de sel » sans le concours de nos collègues de l’UPC (Unité de Production Culinaire).Comme d’habitude ils avaient à confectionner, conditionner, livrer les 3600 repas quotidiens (cantine dans les écoles, selfs municipaux, résidences personnes âgées, centres de loisirs...).Cette semaine était aussi la semaine du goût où ils ont préparé les petits-déjeuners dans les écoles maternelles (100% bio et avec du miel provenant des ruches muni-cipales).Nos collègues de l’UPC ont dû modifier l’organisation pour nous confectionner pas moins de 312 repas pour la collation du midi, dégusté par de nombreux participants aux ateliers ludiques lors de nos participations aux ateliers.

    Bien avant la semaine, il a fallu trouver les contenants : pas une mince affaire pour trouver la petite boite en plastique adéquate pour nos entrées, celle pour le plat et aus-si celle pour les desserts, et l’emballage pour les couverts et celui pour les tranches de pain.Et puis, il ne faut pas oublier la livraison des repas sur les lieux des ateliers (bar de l’hôtel de ville, quadrilatère, conservatoire de musique, Elispace, HDC) ;Les « paniers pique-nique » ont été très appréciés, ils étaient gouteux et bien meilleur qu’un sandwich quand on doit manger sur le pouce.

    L’incroyable talent de l’UPC

    Qui est-ce ?

    Anne Vignon s’est beaucoup intéressée à la pro-blématique de l’approche de l’eau pour certains enfants et adultes et hasard ou pas, elle découvre en 2006 une méthode d’enseignement corporelle qui répond à ses interrogations, le PILATES. Cette approche, elle l’applique avec les personnes qui sont mal à l’aise dans l’eau et avec les enfants de CM1-CM2. Les retours étant positifs, elle décide de s’inscrire, pour une démarche professionnelle mais aussi personnelle, à une formation afin de devenir inter-venante en Pilates et valide ainsi son diplôme en 2014. Malgré une approche « différente » et encore peu connue, Anne a su l’intégrer à son travail et l’enseigne deux fois par semaine (mercredi midi et jeudi soir) au gymnase de Tillé. Le Pilates consiste en une technique physique qui se pratique généralement sur tapis, qui s’adressent

    aussi bien aux femmes qu’aux hommes et c’est ce que l’on a remarqué lors de l’atelier ludique de la SQVT…

    Cette méthode repose sur trois principes : • La détente, qui est le point de départ de toute

    séance• L’entrainement à la concentration sur soi-

    même• La pratique d’une discipline respiratoire,

    conjuguée à un ensemble d’exercices de relâ-chement puis d’étirement des principaux axes du corps et enfin du renforcement musculaire

    Les bienfaits du Pilates sont recommandés aux personnes qui ont besoin de prendre soin de leur corps en douceur et à toutes celles et ceux qui rêvent d’avoir une plus jolie silhouette, plus ferme, plus dessinée : c’est à dire à nous tous !

    Et sur notre corps, quels sont les résultats ?• On s’assouplit grâce aux exercices • On se muscle harmonieusement (mention spé-

    ciale pour les abdominaux qui sont travaillés en profondeur)

    • On se redresse : les muscles dorsaux étant sollicités cela aide à l’alignement de la colonne vertébrale et du coup à avoir moins mal au dos !!

    L’atelier qui s’est déroulé sur deux plages horaires de 50 minutes a été une vraie découverte pour les agents qui ont pu apprécié se détendre et se concentrer sur eux-mêmes.

    Fatia ABDESMED

    Arrivée en 1991 comme maitre- nageur au sein de la collectivité, Anne Vignon s’est vu proposer plusieurs missions au plan d’eau du Canada et à la piscine Argentine. Elle a également assuré la formation de futurs maitres-nageurs sauveteurs.

    Atelier «Se détendre avec Pilates» Sylvie LEGRAND vous propose de jouer !

    Judith, logisticienne éméritede la SQVT

    Accueillie avec le sourire, Audrey BAHRI s’est entretenue avec Judith BANREZES qui a rejoint la DRH à temps plein début septembre. Elle est chargée du secrétariat des instances paritaires et pour immortaliser à jamais ses premiers pas dans la direction, elle s’est emparée avec énergie de toutes les questions logistique de cette SQVT.Judith a veillé à ce que toute l’organisation « tourne » !!En fonction des activités, c’est Judith qui vous a trouvé les salles, les lieux adéquats et sympathiques pour profiter de tous les ateliers durant cette semaine.Avec Fatia Abdesmed, elle a enregistré vos inscriptions. Judith a adressé un mail de confirmation à chacun d’entre vous et il y a eu 490 participations. Elle a préparé et édité les plannings du « qui fait quoi et où », les listes d’émargement, les passeports. Elle a fait en sorte que tous les intervenants aient tout le matériel et les conditions nécessaires à leur prestation et veillé à ce que les participants soient bien accueillis café et sourire compris !Challenge relevé avec même en bonus la possibilité de participer à quelques ateliers. Alors, après sa petite sieste flash, Judith, comme Katie, pense déjà à la SQVT 2018…

    Elle s’appelle Evelyne DELAFALIZE. C’est notre collègue diététicienne-nutritionniste à l’unité de production culinaire (UPC).

    Lui se nomme Dany PERROT. ➔ C’est notre collègue technicien référent

    sécurité incendie des ERP, au service maintenance et énergie, à la direction

    de l’architecture.

    Katie et Judith, un duo de choc !

    Pause déjeuner avant la séance de massage ou de Pilates

    Atelier diététique

  • SALAMANDRE • NOVEMBRE 2017Directeurs de la publication : Jean-Jacques DELORY • Benjamin MEUNIERConception et Réalisation : Christelle DEPLANQUESRédaction : D.R.H Crédits photos : DRH • ADOBE STOCKDépôt légal à parution

    Réponse du dernier jeu :La réponse au jeu mystère est baignade.

    Gagnants du dernier jeu :Les gagnants du jeu précédent sont Armelle Ber-taux et Caroline Carbon qui ont pu apprécier les joies du pédalo en famille et entre amis.

    Quel a été le nombre de repas préparés par les agents de l’UPC lors de la semaine de la qualité de vie au travail ?

    Réponses :A : 296B : 312C : 490

    Vous pouvez jouer jusqu’au 15 décembre 2017. N’hésitez plus, comme au loto, 100% des gagnants ont tenté leur chance !

    Nouveau numéro de la Salamandre,

    nouvelle question : Votre carte vous permet de profiter de spectacles, voyages, activités sportives, billeterie... moins chers ainsi que des réductions chez de nos nombreux partenaires !

    Le renouvellement de la carte du C.O.S. pour l’année 2018 se fera

    du 5 décembre 2017 au 31 janvier 2018.

    L’arbre de Noël du COS aura lieu le dimanche3 décembre 2017à l’Elispace

    Infos COS

    Toute l’équipe de la Salamandre

    vous souhaite de Joyeuses Fêtes !

    À noter

    Inscriptions prioritairement via l’intranet avant le 5 janvier 2018 ou auprès de Judith BANREZES au 03.44.79.40.42 ou Fatia ABDESMED au 03.44.70.41.70

    et une bonne année2018