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3. Une bataille qui s’inscrit dans une logique de guerre totale
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
Le Front
L’Arrière
Pourquoi Pétain cherche-t-il dès le début de
l’offensive allemande à sécuriser la voie sacrée ?
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
La dimension matérielle
Le Front
L’Arrière
« Nourrir la guerre »
pour éviter la rupture du
front
Comment expliquer la
mortalité et la puissance de feu de cette bataille ?
Guerre de masse
Économie de guerre
Mobilisation de toute la société
Guerre industrie
lleProduction massive d’armement par les
entreprises
Progrès technologiques de la Révolution industrielle (taylorisme,
chimie …)
Dirigisme économique = recul de libéralisme
Guerre moderne coûteuse (fort endettement, planche à billet,
inflation)
Travail des femmes, main d’œuvre coloniale
Mobilisation de tous les hommes en âge de combattre
La dimension matérielle
Guerre de masse
Économie de guerre
Mobilisation de toute la société
Guerre industriel
le
La dimension matérielle
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
Le Front
« Nourrir la guerre »
pour éviter la rupture du
front
L’Arrière
Guerre de masse
Économie de guerre
Mobilisation de toute la société
Guerre industriel
le
La dimension matérielle
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
Le Front
« Nourrir la guerre »
pour éviter la rupture du
front
L’Arrière
Maintenir le moral de
l’arrière et du front pour
continuer une guerre longue
Guerre de masse
Économie de guerre
Mobilisation de toute la société
Guerre industriel
le
La dimension matérielle
La dimension
psychologique
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
Le Front
« Nourrir la guerre »
pour éviter la rupture du
front
Maintenir le moral de
l’arrière et du front pour
continuer une guerre longue
L’Arrière
La dimension psychologiqu
e
Encadrement et contrôle de
l’opinion publique
Consentement à la guerre (à l’arrière)
Souffrances subies sans distinctions par les civils
Culture de guerre
Pénurie, rationnement, inflation (lassitude et grèves)
Deuil et angoisse de la mort des proches
Exactions subies en zones occupées
(pillage, travail forcé, massacres)
Union sacrée (et ses limites) pour assurer la
cohésion nationale
Restrictions des libertés (censure,
contrôle du courrier…)
Propagande omniprésente (bourrage de crâne, ceux qui n’y
croient pas)
Guerre de masse
Économie de guerre
Mobilisation de toute la société
Guerre industriel
le
La dimension matérielle
La dimension
psychologiqueEncadrement
et contrôle de l’opinion
publique
Consentement à la guerre (à l’arrière)
Souffrances subies sans distinctions par les civils
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
Le Front
L’Arrière
« Nourrir la guerre »
pour éviter la rupture du
front
Maintenir le moral de l’arrière et du front pour continuer une guerre longue
Pourquoi les combattants craignent-ils l’épuisement de l’arrière ?
Guerre de masse
Économie de guerre
Mobilisation de toute la société
Guerre industriel
le
La dimension matérielle
La dimension
psychologiqueEncadrement
et contrôle de l’opinion
publique
Consentement à la guerre (à l’arrière)
Souffrances subies sans distinctions par les civils
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
Le Front
L’Arrière
« Nourrir la guerre »
pour éviter la rupture du
front
Maintenir le moral de l’arrière et du front pour continuer une guerre longue
Maintenir les efforts à
l’Arrière pour éviter
l’épuisement et la défaite
Guerre de masse
Économie de guerre
Mobilisation de toute la société
Guerre industriel
le
La dimension matérielle
La dimension
psychologiqueEncadrement
et contrôle de l’opinion
publique
Consentement à la guerre (à l’arrière)
Souffrances subies sans distinctions par les civils
La guerre d’usure
Violences
extrêmes
Industrialisation des combats
Conditions de vie exécrabl
es
Épuiser
l’ennemi
Une expérience
combattante spécifique
aux tranchées
Civils victimes
des violences de guerre
Le Front
L’Arrière
GUERREGUERRETOTALETOTALE
« Nourrir la guerre »
pour éviter la rupture du
front
Maintenir le moral de l’arrière et du front pour continuer une guerre longue
Maintenir les efforts à
l’Arrière pour éviter
l’épuisement et la défaite
La voie sacrée, l’axe qui relie le front à l’arrière
Pour ne pas interrompre la "noria" des 2 900 camions y circulant journellement dans les deux sens, Pétain fait ouvrir des carrières le long de la route ; des équipes de territoriaux et d'auxiliaires indochinois jettent sans cesse des pelletées de pierres, sous les roues des camions qui se succèdent jusque toute les cinq secondes. Ainsi sans interrompre la circulation, 70 000 tonnes de cailloux sont utilisées. Le ravitaillement de Verdun par la Voie sacrée fut une entreprise gigantesque car les 300 officiers, 8 000 hommes, 2 000 voitures, 200 autobus, 800 auto-ambulances de la Commission Régulatrice Automobile transportèrent en moyenne chaque jour 13 000 combattants, 6 400 tonnes de matériels, 1 500 tonnes de munitions, consommant 2 tonnes de graisse, 20 000 litres d'huile et 200 000 litres de carburant.
Extrait de www.cheminsdememoire.gouv.fr
Document 2 : La bataille de Verdun en quelques chiffres :
Pertes 260.000 morts et 216.000 blessés côté français243.000 morts et 187.000 blessés côté allemandTaux de pertes par bataillons : environ 30 %
Matériels :Environ 60 millions d’obus tirés en 300 jours dont 1 million pour la seule journée du 21 février 140.000 obus allemands tombent en moyenne chaque jour sur Verdun2.900 camions par jour qui relient l’arrière français à Verdun