36 festival 26 juillet 15 août - Jazz in Marciac · RobeRt CRay band ’’Nothin But Love’’ robert Cray guitare, chant James Pugh claviers richard Cousins basse Les Falconer

36e festival26 juillet15 août 2013

Dossierde presse

Nous sommes heureux de vous présenter

le 36e festival Jazz In Marciac.

Contact presse / photos / accréditations :

Marie Lasserre Cha

Tél. 05 62 09 32 95

Fax 05 62 09 38 67

Email : [email protected]

www.jazzinmarciac.com/presse-inscription.html

Jazz in Marciac

B.P. 23

32230 Marciac

dossIer de presse Jazz in MarCiaC 2013 - 2

Dossierde presse

Dans l’univers un rien nébuleux des festivals musicaux de l’été, une même

question revient sempiternellement à l’ordre du jour. Par quel miracle un

rassemblement fleurant bon le terroir et l’essai de pénalité comme Jazz

in Marciac parvient-il à rassembler pendant deux semaines abondamment

programmées, et ce depuis trente-six saisons, le gratin du jazz international

dans l’enceinte de son stade qui n’a pourtant rien d’Olympique ? Le Président

(de “ JiM “ pas de l’aSM) entretiendrait-il des rapports privilégiés avec les

descendants de Bernadette Soubirous, sa proche voisine (haute) pyrénéenne,

ou bien aurait-il passé quelque accord occulte avec un vague Hootchie

Cootchie Man adepte du magic juju néo-orléanais ? Ce qui expliquerait

d’ailleurs la présence suspecte de Wynton Marsalis à chaque nouvelle édition

et renforcerait la rumeur de l’existence du culte mécréant que vouent les

Marciacais au jovial trompettiste, ainsi qu’en atteste, dans le village, la statue

de celui-ci.

Trêve de balivernes, la réponse est pourtant l’évidence même pour tous ceux

qui ont fréquenté les lieux. Les plus grands musiciens du moment reviennent

régulièrement à Marciac, tout simplement parce qu’ils s’y sentent bien. ainsi

cette année, se pressent-ils tous au rendez-vous. Du blues brother robert Cray

au ministre de la batucada Gilberto Gil, du Cubain Chucho Valdès à la diva

Diana Krall, de l’enfant gâté de Miles Wayne Shorter au flamenquiste Paco de

Lucia, du maniaque funk Maceo Parker au pape turbo folk Goran Bregovic, ce

dernier à la plus grande joie de la communauté serbe locale.

Joe Cocker lui-même, parce qu’il a conservé un souvenir ému de son précédent

passage, aurait dit-on, privilégié le Gers au détriment d’une énième célébration

de Woodstock. Côté nouveautés un nom ressort du lot. Celui de George Benson,

dont il ne faudrait pas oublier qu’avant d’aligner les tubes smooth jazz FM, il

s’imposa comme l’héritier de Wes Montgomery. Gageons qu’entre Marciac et

celui-là aussi, l’histoire ne fait que commencer.

Serge Loupien


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in the quite nebulous universe of the summer music festivals, one question

keeps coming up. What miracle has allowed “ Jazz in Marciac “, an event

smelling sweetly of soil and penality tries, to gather the finest artists of

international jazz on its rugby ground - which has yet nothing to do with an

olympic stadium - for over a heavily programmed fortnight, and moreover

for the last thirty six seasons ? Would the President (of JiM not of aSM)

have some acquaintance with Bernadette Soubirous, his (high ) Pyrenean

neighbour ? Or has he been dealing with some sort of occult and vague

Hootchie Cootchie Man follower of a new Orleans magic juju ? Thus explaining

Wynton Marsalis’ suspicious presence at each festival edition, and confirming

by the way the current rumours of a secret worshipping the Marciacais would

devote to the cheerful trompet player’s, as his own statue erected in the village

could already betray.

But lets stop joking around ! For anyone having visited the premises, the

answer is crystal clear. The best musicians of our times come back regularly

to Marciac, simply because they feel good here. That’s why, this year again,

they’re all rushing in to be part of the scene. From the blues brother robert

Cray to the batucada minister Gilberto Gil, from the Cuban Chucho Valdès

to the diva Diana Krall, from Miles Davis’ spoiled child Wayne Shorter to

the flamenco player Paco de Lucia, from the funk maniac Maceo Parker to

the Turbo folk Goran Bregovic -the latter to the delight of the local serb

community.

Joe Cocker himself - having kept a fine memory of his last appearance in

Marciac - is said to have favored his Gers venue at the expense of some

umpteenth celebration of Woodstock. regarding the new guests, one name

stand out from the bill : George Benson whose smooth jazz hits should not let

us forget that he has previously been known as Wes Montgomery’s heir. Let’s

bet that with this musician also, the Marciac love affair is just about to start

too.

Serge Loupien

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Dens l’univèrs un tansiput nebulós deus hestenaus musicaus de l’estiu, ua

medisha question que s’i torna a cada escasença. Per quin miracle ua amassada

que sentish bon au terrador e l’ensai de penalitat coma Jazz in Marciac s’i

escad per acampar pendent duas setmanas abondosament programadas, e atau

dempuèi trenta-sheis sasons, lo beròi monde deu jazz internacionau dens lo

barralh deu son estadi que n’a çaquelà pas arren d’Olimpic ? E lo President (de

“JiM“, e non pas de l’aSM) entertengueré relacions de las privilegiadas damb

los arrèrhilhs de la Bernadeta Sobirós, la sua vesia (hauta) pirenenca, o auré

passat quauque ocult acòrd damb ua sòrta de Hootchie Cootchie Man adèpte

deu magic juju neo-orleanés ? Çò que explicaré alavetz la preséncia suspècta

deu Wynton Marsalis a cada navèra edicion e ahortiré la rumor de l’existéncia

deu culte mescresent que vòdan los Marciaqués au joviau trompetista, atau

que n’atèsta, dens lo vilatge, la sua estatua.

Pro de contaralhas, la responsa qu’ei pr’aquò la quita evidéncia ende tots los

qu’an corrut los lòcs. Los magèrs musicians deu moment que tornan totjorn a

Marciac, tot simplament pr’amor que s’i sentishen plan. atau enguan, se sarran

tots au rendetz-vos. Deu blues brother robert Cray au ministre de la batucada

Gilberto Gil, deu Cuban Chucho Valdès a la diva Diana Krall, deu gojat vesiat

deu Miles Wayne Shorter au flamenquiste Paco de Lucia, deu maniac funk

Maceo Parker au papa turbo fòlc Goran Bregovic, aqueste a la gran gaujor de la

comunautat sèrba locau.

Joe Cocker eth-medish, pr’amor qu’a guardat un soviéner esmavut deu son

passatge d’avant, auré se ditz, privilegiat lo Gèrs au detriment d’ua enau

celebracion de Woodstock. Costat nautat un nom que’us passan a tots. Lo deu

George Benson, deu quau ne se caleré pas desbrembar qu’avant de produsir los

tubes smooth jazz FM, s’impausèc coma l’eretèr deu Wes Montgomery. Hasèm

la joga qu’entre Marciac e aqueth tanben, l’istòria ne hèr pas que començar.

Serge Loupien

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RobeRt CRay band’’Nothin But Love’’

robert Cray guitare, chantJames Pugh claviersrichard Cousins basseLes Falconer batterie

Guitariste et chanteur américain, robert Cray est

un des meilleurs spécialistes du blues dans ce

qu’il a de plus authentique. au cours de sa longue

carrière, il a enregistré quelque vingt-trois albums

en leader, dont cinq ont été récompensés par des

Grammy awards. De même, “Showdown !“, qu’il

a réalisé avec albert Collins et Johnny Copeland,

deux figures du blues contemporain, a été couronné

en 1986. C’est dire que les amateurs de ce genre

toujours populaire ne pouvaient rêver mieux pour

entamer ce festival !

Dossierde presse


26juillet

21hCHAPITEAU

vendredi

Soirée parrainée par les Producteurs Plaimont et France 3 Midi-Pyrénées

repères biographiques

•1953, 1er août, naissance

à Colombus, Georgie.

•1980, enregistrement de

“Who’s Been Talkin’“, album

qui le fait remarquer

•1986, “Showdown“, avec

albert Collins et Johnny

Copeland, lui apporte la

consécration.

•Depuis les années 90,

tournées dans le monde entier

avec son groupe : Brésil,

Japon, australie, Europe...

repères discographiques

“nothin But Love” (2012)

“Cookin’ in Mobile” (2010)

site

www.robertcray.com

prem

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artie

MaRCus MilleRSean Jones trompettealex Han saxophoneadam agati guitareBrett Williams piano, claviersMarcus Miller basse, clarinette basseLouis Cato batterie

issu d’une famille de musiciens new-yorkais,

Marcus Miller apprend avec son père le piano et

l’orgue avant d’aborder, vers l’âge de dix ans, la

clarinette basse qu’il pratique toujours, puis la

basse électrique qui le rendra célèbre. Devenu

professionnel vers vingt-deux ans, il s’oriente

vers le jazz-rock et développe un style personnel

qui le fait remarquer par Miles Davis. avec celui-

ci, il enregistre, entre 1981 et 1989, six albums,

dont le célèbre “Tutu“ qu’il produit et pour lequel

il compose la majorité des titres. Partenaire de

Luther Vandross, chanteur et compositeur de soul

et de rhythm and blues, puis du saxophoniste David

Sanborn, il se produit aussi et enregistre sous son

nom ou avec le groupe SMV (Stanley Clarke, Marcus

Miller, Victor Wooten) Musicien complet, doté d’une

stupéfiante virtuosité, spécialiste du slap, il est le

bassiste le plus spectaculaire de la scène actuelle.

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26juillet

21hCHAPITEAU

vendredi

Soirée parrainée par les Producteurs Plaimont et France 3 Midi-Pyrénées


•1959, 14 juin, naissance à

Brooklyn (new York).

•1969, étudie la clarinette

basse.

•1973, aborde seul la guitare

basse.

•1977, enregistre l’album

“Lovesongs“ avec David

Sanborn.

•1981, début de la

collaboration avec Miles

Davis. Enregistrement de “The

Man With The Horn“.

•1984, collabore avec

Jean-Michel Jarre pour

l’album “zoolook”.


“Tutu” qui lui vaut la célébrité.

•1977-1999, collaboration

avec Luther Vandross

(enregistrement de seize

albums).

•1987, participe à l’album

“nougayork” de Claude

nougaro.

•Années 90 et 2000,

nombreuses tournées, activité

de producteur.

•2008, formation du groupe

SMV.

•2009 et 2010, participations

au festival Jazz in Marciac.


“M 2“ (2012)

“The Ozell Tapes“ (2012)

“Tutu revisited“ (2011)

site

www.marcusmiller.com

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artie

aCS, comme allen, Carrington, Spalding. Un trio féminin qui est un véritable

all-stars. Chacune des musiciennes qui le composent appartient au Who’s Who

du jazz contemporain. Toutes trois se sont déjà produites à Marciac dans

différents contextes.

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Soirée parrainée par Jazz Magazine-Jazzman

Repères biographiques

•1957, 12 juin, naissance à Pontiac

(Michigan)

•1982, débuts professionnels

•1984, enregistrement en trio de “The

Printmakers“

•1985, “Homegrown“ en solo

•Depuis 19895, carrière en solo, tournées

et enregistrements avec ravi Coltrane,

Betty Carter, Wayne Shorter, Elisabeth

Kontomanou...

Repères discographiques

“a Child is Born” (2011)

“Live” (2010) avec Timeline

Site

www.geriallen.com

Repères biographiques

•1965, 4 août, naissance à Medford,

Massachusetts

•1976, études de piano et solfège au

Berklee College, puis de batterie avec alan

Dawson

•1982, enregistre avec Kenny Barron

•1983, installation à New York

•1989, installation à Los Angeles

•2012, Grammy Award pour “The Mosaic

Project“

•Entre 1988 et 2013, enregistrements sous

son nom et tournées dans le monde

Repères discographiques

“Money Jungle : Provocative in Blue“ (2013)

“The Mosaic Project” (2011)

Site

www.terrilynecarrington.com

Repères biographiques•1984, 18 octobre, naissance à Portland (Oregon).•1998, découverte de la contrebasse et de la basse à la northwest academy.•2000, débuts comme chanteuse dans le groupe noise For Pretend.Etudes à la Portland State University, puis à la Berklee School Of Music.•2001-2002, enregistrement de deux albums avec noise For Pretend.•2005, enseigne au Berklee College.•2006, premier album sous son nom, “Junjo“.•2011, Grammy Award comme Best New Artist.Collaboration avec Stanley Clarke Donald Harrison, Joe Lovano, entre autres.

Repères discographiques“radio Music Society“ (2012)“ Chamber Music Society“ (2010)“ Esperanza “ (2008)

Sitewww.esperanzaspalding.com

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27juilletCHAPITEAU

21hGeRi allenD’abord intéressée par la pop et la soul,

elle découvre le jazz à travers les disques

de Herbie Hancock. Elève de Kenny

Barron, puis de nathan Davis, cette

pianiste à la technique très sûre, inspirée

par Bill Evans et Keith Jarrett, tourne dans

le monde entier et enregistre en leader ou

comme partenaire des meilleurs musiciens

actuels.

teRRi lyne CaRRinGtonBatteuse de jazz mais aussi compositrice

et productrice, Terri Lyne Carrington a été

l’élève de Jack DeJohnette et a travaillé

à new York avec Stan Getz, Lester Bowie,

Pharoah Sanders et de nombreux autres

musiciens. Depuis les années 80, elle

participe à de nombreuses tournées à

travers le monde, comme partenaire de

Dianne reeves et Cassandra Wilson, entre

autres, ou à la tête de son propre groupe.

espeRanza spaldinGC’est une des révélations de ces dernières années.

À 25 ans, Esperanza Spalding, à la fois bassiste,

contrebassiste et chanteuse, a surgi de manière

fulgurante sur la scène du jazz. Pratiquant le

violon en autodidacte dans sa petite enfance, elle

s’est ensuite tournée vers le violoncelle, puis la

contrebasse et la basse électrique. Ses études à

la Berklee lui ont fourni les bases théoriques et

techniques nécessaires à une carrière qui n’en

est qu’à ses débuts sur le plan international, mais

se révèle déjà comme des plus prometteuses.

Parmi ses influences, elle cite ron Carter et Dave

Holland, et voue une grande admiration à Wayne

Shorter. Quant à sa musique, elle brasse des

influences diverses, avec une prédilection pour la

musique brésilienne. Composant elle-même ses

chansons, elle chante aussi bien en anglais qu’en

portugais et en espagnol, avec une fraîcheur et un

swing réjouissants.

aCs Geri allen piano Esperanza Spalding contrebasseTerri Lyne Carrington batterie

Wayne shoRteR QuaRtetfeatuRinG danilo peRez, John patituCCi and bRian blade“80th anniversary Tour”Wayne Shorter saxophone Danilo Perez pianoJohn Patitucci contrebasseBrian Blade batterie

après avoir été pendant plus de quarante ans l’un

des principaux architectes du jazz moderne, Wayne

Shorter revient à la tête d’un quartet exceptionnel

composé de musiciens talentueux, Danilo Perez

(piano), John Patitucci (contrebasse) et Brian Blade

(batterie). À presque quatre-vingts ans, celui qui fut

le saxophoniste des Jazz Messengers et de Miles

Davis avant de fonder avec Joe zawinul le groupe

mythique Weather report, n’a rien perdu de son

inspiration. Sa musique inclut, à côté d’anciennes

compositions originales, des pièces de Villa-Lobos

et aussi des mélodies celtiques, des thèmes de

flamenco, voire un cantique médiéval. Une diversité

qui l’apparente à Gil Evans dont il a l’insatiable

curiosité musicale.

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Soirée parrainée par Jazz Magazine-Jazzman


•1933, 25 août, naissance à

newark (new Jersey).

•1960-1964, travaille avec les

Jazz Messengers dont il est le

directeur musical.

•1964, intègre le nouveau

quintette de Miles Davis.

•Années 60, enregistre une

dizaine d’albums en leader.

•1970, création avec Joe

zawinul du groupe Weather

report.

•1996, sa femme et sa nièce

meurent dans un accident

d’avion.

•1998, collaboration avec

Herbie Hancock

•2000, forme son nouveau

quartet.

•2004, Grammy Award pour

son album “alegria“.

•2004-2013, tournées et

concerts à travers le monde.


“Without a net“ (2013)

“Beyond The Sound Barrier“

(2005)

“alegria“ (2003)

site

www.wayneshorter.com

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27juilletCHAPITEAU

21h

ViRGinie teyChenéStéphane Bernard pianoOlivier Ker Ourio harmonicaGérard Maurin basse, guitare, arrangementsJean-Pierre arnaud batterieVirginie Teychené chant

Sans aucun doute, la meilleure chanteuse de jazz

qui se soit révélée chez nous ces dernières années.

après avoir triomphé en 2008 au festival de

Juan-les-Pins où elle a obtenu, dans la catégorie

révélations, le Grand Prix du jury et le Prix du

public, Virginie Teychené a poursuivi une carrière

jalonnée de succès, tant en France qu’à l’étranger.

Elle le doit à une voix bien timbrée, à la tessiture

étendue, et aussi à sa diction parfaite et à son sens

du swing. Musicienne accomplie à l’aise sur tous

les tempos, s’exprimant avec la même maîtrise en

anglais, français ou portugais, elle est accompagnée

par un trio digne de son talent et qui l’entoure

depuis ses débuts avec. parfois, l’appoint de solistes

de talent, les trompettistes François Chassagnite,

puis Eric Le Lann, et l’harmoniciste Olivier Ker

Ourio.

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Soirée parrainée par LIP



Draguignan (Var)

Etudes de droit et de

littérature

•1992, débuts de chanteuse

•2003, opte pour le jazz et

rejoint le groupe Workshop

Experience

•2006, festival de La-Seyne-

sur Mer

•2007, premier album,

“Portraits“

•2008, couronnée au festival

de Juan-Les-Pins

•2008, participe au festival de

Montpellier

•2010, deuxième album,

“i Feel So Good“

•2012, troisième album,

“Bright and Sweet“.

•2010-1013, concerts et

tournées en France et en

Europe


“Portraits“ (2007)

“i Feel So Good“ (2010)

“Bright and Sweet“ (2012)

site

www.virginieteychene.com

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28juillet

21hCHAPITEAU

dimanche

GeoRGe bensonGeorge Benson guitare, chantrandy Waldman claviersThom Hall claviersStanley Banks basseMichael O’neill guitareOscar Seaton batterie

Guitariste et chanteur américain, George Benson a

connu, au cours de sa longue carrière, une notoriété

bien au-delà des cercles du jazz. C’est ainsi que

certains des enregistrements de ses très nombreux

albums, comme la chanson “This Masquerade“

(1976) ont obtenu un grand succès commercial.

Oscillant entre variété et jazz, il allie un toucher

très pur à une maîtrise sonore incomparable et à un

sens aigu de l’harmonie. Disciple de Grant Green et

de Wes Montgomery, il double souvent de la voix

ses improvisations à la guitare, obtenant par ce

procédé des effets originaux.

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Soirée parrainée par LIP


•1943, 22 mars, naissance à

Pittsburgh (Pennsylvanie)

Très jeune, apprend l’ukulélé

et écoute Charlie Christian,

puis se met à la guitare.

•1958, joue dans des groupes

de de rock

•1960, création de son

premier groupe

•1962-1965, joue avec

l’organiste Jack McDuff

•1964, premier album, “The

new Boss Guitar“

•1965, forme un quartette

avec Lonnie Smith, tourne et

enregistre pour Columbia

•1965-1970, joue et enregistre

avec divers musiciens, dont

Miles Davis (1968)

•1976, succès de “This

Masquerade”

•1980, “Give Me The Night”,

réalisé par Quincy Jones

•1977, retour au jazz

proprement dit

•1989, joue avec McCoy Tyner

•1980, joue avec le Count

Basie Orchestra

•1980-2000, enregistrements

et tournées dans le monde

•2009, récompensé en tant que

Jazz Master par le national

Endowment for the arts.

•2009-2013, album “The Guitar

Man” et concerts en free lance


“Guitar Man” (2011)

“Songs and Stories” (2009)

“i Got a Woman and Some

Blues” (2008)

site

www.georgebenson.com

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28juillet

21hCHAPITEAU

dimanche

sandRa nkakéJi Dru flûte traversièreMatthieu Ouaki guitarearmel Dupas claviersKenny ruby basseThibault Brandalise batterieSandra nkaké chant

artiste aux multiples activités : cinéma, théâtre

(dont, en 1994, “Les Sorcières de Salem“ d’arthur

Miller), musique, la franco-camerounaise Sandra

nkaké poursuit depuis les années 90 une carrière

atypique. Pour s’en tenir à la musique, la diversité

de ses collaborations traduit la multiplicité de

ses engouements : funk, soul, jazz, rhythm and

blues. En concert, elle déploie toute son énergie

et se révèle une véritable “bête de scène“, capable

d’enthousiasmer le public par son énergie et sa

conviction.

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•1973, 15 novembre, naissance

à Yaoundé (Cameroun)

•1999-2008, participations à

des groupes tels que ceux de

Cheick Tidiane, Julien Loureau,

Juan rozoff, entre autres

•2008, premier album,

“Mansaadi“. Plus de 200

concerts à travers le monde.

•2009, participation au disque

collectif “Les amoureux au

ban public“

•2012, deuxième album,

“nothing For Granted“

•2012, révélation

instrumentale de l’année aux

Victoires de la Musique


“nothing For Granted“ (2012)

“Mansaadi“ (2008)

site

www.sandrankake.com

28juillet21h30à l’astrada

dimanche

ERDF distribue l’énergie de votre musique

Chano doMÍnGuez tRioChano Domínguez pianoHoracio Fumero basseDavid Xirgu batterie

De son andalousie natale, le pianiste Chano

Dominguez, né à Cadix, a reçu et fait fructifier la

passion du flamenco. Doté d’une brillante technique,

il s’est fait connaître d’abord dans des groupes de

rock progressif avant de s’intéresser au jazz et

plus précisément au jazz fusion, sous l’influence

de groupes tels que Mahavishnu Orchestra ou

Weather report. On retrouve aussi dans son jeu

des influences de Bill Evans et de Thelonious Monk.

il est devenu une figure marquante de ce qu’on

pourrait appeler flamenco-jazz.

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Cadix (Espagne)

•1968, commence à apprendre

la guitare sous l’influence de

son père

•1972, joue de l’orgue à

l’église et du piano dans des

groupes folkloriques

•1978, forme le groupe de

rock andalou Cai

•1981, dissolution de CAI et

évolution vers le jazz

années 80, rejoint le groupe

espagnol Hiscadix

•1988-1989, tournées en

allemagne et en Suisse

•1990, finaliste du Concours

de piano Martial Solal

•1992, avec son propre

trio, pratique la fusion jazz-

flamenco

•1992, premier Prix des

jeunes interprètes à ibiza

•1994, album “10 De Paco“

sur des compositions de Paco

De Lucia

•1997, album live “Directo A

piano Solo“

•1999, “Iman”, meilleur album

de jazz de la 4ème édition

des Prix de la Musique

•Anées 2000-2013, tournées

dans le monde entier


“Flamenco Sketches“ (2012)

“Con alma“ (2009)

“acercate Mas“ (2009)

site

www.chanodominguez.net

Soirée parrainée par France 3 Midi-Pyrénées

29juillet

21hCHAPITEAU

l u n d ipr

emièr

e par

tie

ChuCho Valdèsreinaldo Melian trompette Chucho Valdés pianoGastón Joya basseYaroldy abreu percussionDreiser Durruthy bata, chant rodney Barreto batterie

Depuis plus de trente ans, Jesus “Chucho“ Valdès

est le pianiste, compositeur et chef d’orchestre

le plus renommé de son pays et sa réputation a

franchi les frontières. il a connu la célébrité avec

le groupe irakere, fondé avec arturo Sandoval et

Paquito D’rivera en 1973 et dont il est devenu le

leader en 1981. il a par la suite fait partie d’une

autre formation cubano-américaine, Crisol, avec

le trompettiste roy Hargrove et dirige depuis

plusieurs années son propre orchestre. Son

jeu, qui se caractérise par un toucher puissant

et une grande virtuosité, en fait un musicien

particulièrement spectaculaire qui a repoussé les

frontières du jazz en y incluant des éléments afro-

cubains et caribéens.

Dossierde presse



•1941, naissance à Quivican,

près de La Havane, de Chucho,

fils de Bebo Valdès.

•1946-1955, études de piano

et de théorie musicale.

•1956, formation de son

premier trio de jazz.

•1959, débuts dans l’orchestre

de son père Bebo.

•1961-1963, pianiste dans

divers clubs de La Havane.

•1965, engage dans son

groupe le chanteur amado

Borcela.

•1970, son quintette se

produit en Pologne.

•1973, création du groupe

irakere.

•1976, tournée en Pologne,

Finlande, italie, Europe de

l’Est.

•1978, participation au

Festival de newport.

•1980, Irakere obtient un

Grammy award.

•1983, première tournée en

France.

•1986, tournée en Europe.

•Années 1990, nombreux

enregistrements et tournées

dans le monde.

•1999, Irakere se produit à

Jazz in Marciac.

•Années 2000, le pianiste

poursuit une carrière

personnelle en quartette ou

septette.


“ Tumi Sessions “ (2008)

“Jazz Bata“ (2011)

“Chucho’s Steps“ (2010)

“Juntos Para Siempre“ (avec

son père Bebo) (2008)

site

www.chuchovaldes.com

Soirée parrainée par France 3 Midi-Pyrénées

29juillet

21hCHAPITEAU

l u n d ise

cond

e par

tie

aCtuuM QuaRtetLouis Laurain trompetteBenjamin Dousteyssier saxophoneronan Courty contrebasseJulien Loutelier batterie

Quartette issu du collectif parisien COaX, actuum

relève d’un genre indéterminé que l’on pourrait

qualifier de free punk jazz. C’est dire que la

démarche libertaire de Julien Loutelier, Louis

Laurain, ronan Courty et Benjamin Dousteyssier

s’autorise tous les mariages et toutes les

transgressions, dans la grande tradition du free

jazz, en particulier celle d’Ornette Coleman, qu’ils

s’entendent à régénérer avec une énergie, un

humour et une inventivité communicatifs.

Dossierde presse


eléments discographiques

“Brutal Music For nice People“

(2012)

site

www.collectifcoax.com

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artie


l u n d i


daVe douGlas Quintet With speCial Guest CaRMe Canela

Dave Douglas trompetteJon irabagon saxophoneMatt Mitchell piano, claviersLinda Oh basserudy royston batterieCarme Canela chant

Le trompettiste américain Dave Douglas, né en

1963, est en passe de devenir un habitué de Jazz

in Marciac où il s’est notamment produit au sein

des formations de John zorn. Le voici à la tête de

son quintette actuel avec, en invitée, la chanteuse

barcelonaise Carme Canela, spécialiste de la

chanson à texte, bien connue des amateurs de jazz

espagnols. Le champ d’investigation de Douglas,

des plus vastes, englobe aussi bien le jazz que la

musique classique ou traditionnelle en passant par

le klezmer. Sa production discographique en leader,

prolifique, témoigne de son goût pour la recherche

et l’expérimentation. il a, en quelques années,

acquis une grande réputation tant auprès des

musiciens que du public.

Dossierde presse




Montclair, new Jersey

•1968, se met au piano

•1970, commence

l’apprentissage du trombone

•1972, opte pour la trompette

1981-1983, études à la

Berklee School of Music

•1984, installation à New York

•1987-1990, tournée avec

Horace Silver

•1993, débuts comme

soliste. Enregistrement de

son premier album, “ Parallel

Worlds “

•1994, formation de son Tiny

Bell Trio

•1995-2009 participe à de

nombreux groupes, dont

Masada de John zorn

•2002, fondation du Fesival

of new Trumpet Music

•2005, création de son label

Greenleaf Music

•2009, création de Brass

Ecstasy

•2010-1013, enregistrement

de plusieurs albums


“Time Travel“ (2013)

“Be Still“ (2012)

“Dave Douglas“ (2012)

site

www.davedouglas.com

seco

nde p

artie


l u n d i


shai MaestRoShai Maestro pianoJorge roeder contrebasseziv ravitz batterie

Pianiste israélien de jazz mais aussi de musique

classique, passionné par la musique indienne,

Shai Maestro s’est fait connaître chez nous grâce

à sa participation au trio de son compatriote, le

contrebassiste avishai Cohen, avec lequel il a

enregistré quatre albums. Etabli à new York, il

joue régulièrement en solo ou comme partenaire

de nombreux musiciens. Son trio a enregistré en

France son premier album, en 2012.

Dossierde presse



•1987, 7 février, naissance en

israël.


classique

•1993, découverte du jazz par

l’intermédiaire des disques

d’Oscar Peterson

Etudes à Givataim (israël), puis

au Berklee College de Boston,

enfin à l’académie de musique

de Jérusalem

•2002 et 2003, Prix national

“Jazz Signs“

•2004-2008, obtient une

bourse d’études du Fond

culturel américano-israélien

pour le piano jazz.

•Depuis 2006, membre du trio

d’avishai Cohen

•2012, premier album sous

son nom, “Shai Maestro Trio“


“Shai Maestro Trio“ (2012)

“Seven Seas“, avec a. Cohen

(2010)

“aurora“, avec a. Cohen (2009)

site

www.shaimaestro.com

Soirée parrainée par Universal

prem

ière p

artie

30juillet

21hCHAPITEAU

m a r d i

diana kRallDiana Krall piano, chantStuart Duncan guitare, violonaram Bajakian guitarePatrick Warren claviersDennis Crouch contrebasseKarriem riggins batterie

De retour à Marciac où elle s’est plusieurs fois

produite avec un succès jamais démenti, la

chanteuse et pianiste canadienne Diana Krall fait

partie des quelques personnalités qui ont marqué

le jazz vocal de ces dernières années.. L’intensité

de ses interprétations et la chaleur de sa voix

attirent très vite sur elle l’attention et la quinzaine

de titres qui constituent sa discographie confirment

son succès international. Mariée en 2003 au

musicien britannique Elvis Costello, elle a un temps

abandonné ses tournées pour se consacrer à leurs

jumeaux nés en 2006. Son retour à la scène et ses

derniers albums ont montré qu’elle n’avait rien

perdu de ses qualités ni de la faveur du public.

Dossierde presse



•1964, 16 novembre,

naissance à nanaimo

(Colombie britannique).

•1968, débuts au piano.

•1979, commence à se

produire dans des restaurants

de sa ville natale.

•1981-1984, études au

Berklee College de Boston.

•1985-1988, remarquée par

ray Brown, s’installe à Los

angeles.

Prend des cours et commence

à chanter avec Jimmy rowles.

•1989, s’établit à New

York. Début d’une carrière

internationale.

•2000, décorée de l’Order Of

British Columbia.

•2002, perte de sa mère et

de ses mentors, ray Brown et

rosemary Clooney.

•2003, 6 décembre, mariage

avec le chanteur britannique

Elvis Costello.

•2006, 6 décembre, naissance

de leurs deux enfants.

•2010, tournée en Nouvelle-

zélande et en australie.

nommée aux Juno awards

comme artiste, meilleur disque

et album vocal de l’année.

repères discographiques :

“Glad rag Doll” (2012)

“Heartdrops” (2010)

“Quiets nights” (2009)

site

www.dianakrall.com

Soirée parrainée par Universal

seco

nde p

artie

30juillet

21hCHAPITEAU

m a r d i

kenny baRRon platinuM tRioKenny Barron pianoGeorge Mraz contrebasseLewis nash batterie

Habitué de la scène marciacaise, Kenny Barron

revient sous le chapiteau à la tête d’un trio de luxe.

révélé auprès de Dizzy Gillespie dans les années

1960, il a joué, au cours d’une carrière bien remplie,

avec des centaines de musiciens renommés. Sa

participation au quartette de Stan Getz reste dans

toutes les mémoires. auprès du saxophoniste, ses

qualités d’accompagnateur ont été portées à leur

apogée et il fut, durant cette période, un partenaire

des plus stimulants. Héritier de toute la tradition

pianistique, son jeu élégant, pétri de swing, capable

de s’adapter à des contextes très différents,

conserve intactes toutes ses séductions.

Dossierde presse




Philadelphie.

•1958, débuts professionnels

avec Mel Melvin.

•1959, travaille avec le

batteur Philly Joe Jones

durant ses études.

•1962, free lance à New York,

joue avec roy Haynes, Lee

Morgan, James Moody.

•1962-1967, joue dans

l’orchestre de Dizzy Gillespie.

Début des années 1970,

collabore avec Yusef Lateef.

•1973-2000, exerce comme

professeur de musique à la

rutgers University.


son nom, “ Sunset To Dawn “.

•Fin des années 1970, trio

avec Buster Williams et Ben

riley.

•Années 80, membre du

quartette de Stan Getz.

Fondation du quartette

“ Sphere “ consacré à la

musique de Thelonious Monk.

•Années 1990, plusieurs

nominations aux Grammy

awards.


l’album “ images “.

•2005, figure dans le Jazz Hall

Of Fame.

•2008, album “ The Traveler “.


“K.B. & The Brazilian Knights”

(2013)

“Sunset To Dawn” (2011)

“Golden Lotus” (2011)

site

www.kennybarron.com

Soirée parrainée par Vivendi

prem

ière p

artie

3 1juillet

21hCHAPITEAU

mercredi

Wynton MaRsalis QuintetWynton Marsalis trompetteWalter Blanding saxophone, clarinetteDan nimmer pianoCarlos Henriquez basseali Jackson batterie

Habitué de Jazz in Marciac dont il est devenu la

figure emblématique et le parrain, impliqué depuis

de longues années dans une manifestation qu’il

fréquente depuis 1991, Wynton Marsalis a toujours

eu à cœur d’y présenter un programme original.

À 52 ans, le trompettiste s’est affirmé au fil du

temps comme un virtuose capable d’interpréter

avec brio les concertos classiques les plus ardus

aussi bien que de parcourir toute l’histoire du jazz

en lui imprimant sa marque propre. Considéré dès

les années 80 comme un prodige de son instrument,

il a par la suite affirmé sa personnalité de soliste,

mais aussi de leader et de compositeur. au point

que sa maîtrise et son aisance d’improvisateur

lui valent l’admiration de ses pairs et d’un public

sensible à la séduction de son approche mélodique,

à son sens du swing et à son désir de ne pas se

couper des fondements de la musique de son

peuple. il faut y ajouter un charisme incontestable

qui l’a fait d’emblée adopter par les Gersois.

Dossierde presse



•1961, 18 octobre, naissance

à La nouvelle-Orléans.

•1967, début de

l’apprentissage de la

trompette.

•1969, intègre le marching

band de Dany Barker.

•1975, joue avec le New

Orleans Symphony Orchestra.

•1979-1980, études à la

Juilliard School of Music.

•1980, engagé dans les Jazz

Messengers d’art Blakey.

•1981, joue avec Herbie

Hancock. Forme son propre

orchestre.


son nom, “Fathers and Sons“.

•1983, reçoit deux Grammy

awards, classique et jazz.

•1984-1989, remporte les

Grammy awards cinq années

consécutives.

•1987, Co-fonde le programme

jazz du Lincoln Center.

•1997, prix Pulitzer pour

l’oratorio “Blood On The Fields“.

•2004, création de la “Marciac

Suite“.

•1990-2012, directeur du

Lincoln Center Jazz Orchestra,

compositeur de plusieurs

œuvres classiques et jazz.

Enregistrement de nombreux

albums.


“The Music Of america” (2012)

“Play The Blues” avec Eric

Clapton (2011)

“Vitoria Suite” (2010)

site

www.wyntonmarsalis.org

Soirée parrainée par Vivendi

seco

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artie

3 1juillet

21hCHAPITEAU

mercredi

bRass danCe oRChestRaDidier ithurssary accordéonGeoffroy Tamisier trompetteJean-Louis Pommier tromboneFrançois Thuillier tubaChristophe Lavergne batterie

Ce quintette composé de Geoffroy Tamisier (tp),

Jean-Louis Pommier (tb), Didier ithurssary (acc),

François Thuilier (tu) et Christophe Lavergne

(dms) propose l’alliance originale des cuivres et de

l’accordéon pour une musique festive et, comme

son nom l’indique, axée sur la danse.

Dossierde presse


prem

ière p

artie

3 1juillet21h30à l’astrada

mercredi


lpt 3 et l’haRMonie d’oRthezLpT3François Thuillier tromboneJean-Louis Pommier tubaChristophe Lavergne batterie

Harmonie d’orthezPatrick Landaravilco directionJean-Louis Pommier & François Thuillier compositions et directionJean-Pierre Peyrebelle coordination artistique

On retrouve dans le trio LPT3 des musiciens

du Brass Dance Orchestra. Ce groupe, composé

de François Thuillier, Jean-Louis Pommier et

Christophe Lavergne, pourrait constituer seulement

l’embryon d’une fanfare. il n’en est rien. Le trio se

suffit à lui-même. résolument acoustique, au-delà

des frontières du jazz, il s’ouvre aux musiques

d’aujourd’hui. aventure, prise de risque, complicité,

tels sont les maîtres mots qui pourraient définir

le fonctionnement d’une formation aussi insolite

que captivante. ils sont, pour l’occasion, associés à

l’excellente Harmonie d’Orthez, une banda grand

format dont la réputation auprès des danseurs n’est

plus à faire.

Dossierde presse


seco

nde p

artie

3 1juillet21h30à l’astrada

mercredi


GilbeRto Gil ‘’Fe Na Festa‘’

Gilberto Gil guitare, chantSergio Chiavazzoli guitareToninho Ferragutti accordéonnicholas Krassik violon, rabecaarthur Maia basse électriqueGustavo di Dalva percussionJorge Gomes zabumba, batterie

Guitariste, chanteur et compositeur, figure

emblématique de la musique brésilienne, Gilberto

Passos Gil Moreira, dit Gilberto Gil, a débuté comme

chanteur de bossa nova mais s’est surtout fait

connaître en composant et en interprétant, avec

son ami Caetano Veloso, des chansons centrées sur

la politique et l’engagement social. Célèbre pour sa

participation, dans les années 60, au mouvement

tropicaliste, il fut emprisonné et contraint à

l’exil par le régime militaire instauré en 1964.

De retour au Brésil, il se lance en politique tout

en poursuivant sa carrière artistique. Conseiller

municipal de Salvador de Bahia, il a ensuite occupé

le poste de ministre de la Culture du gouvernement

Lula da Silva. Son retour à Marciac où il présente

son dernier album marquera l’apothéose d’une

soirée entièrement consacrée à la musique latine.

Dossierde presse


Soirée parrainée par la MAIF

prem

ière p

artie

1erAoût21hCHAPITEAU

j e u d irepères biographiques


Salvador de Bahia (Brésil).

•Années 60, membre du

mouvement tropicaliste.


son premier single “ Povo

Petroleiro “.


son nom, “ Louvaçao “.

•1969, emprisonné avec son

ami Caetano Veloso.

•1970-1972, exil à Londres,

joue avec les Pink Floyds et

autres pop stars.

•Années 1970, tournée aux

Etats-Unis.

Collaboration avec Jimmy

Cliff et carrière internationale

en solo.

•1973, tournée mondiale avec

C. Veloso.

•1980, introduit le reggae au

Brésil.

•1989-1992, conseiller

municipal de sa ville natale.

•1993, enregistrement d’un

de ses meilleurs albums,

“ Tropicalia 2 “.

•2001, nommé Ambassadeur

de bonne volonté par la FaO.

•2002, album “ Kaya N’Gan

Daya “ en hommage à Bob

Marley.

•2003-2008, ministre de la

Culture.

•Depuis 2008, retour à sa

carrière de musicien.


“Fe na Festa“ (2010)

“Bandadois“ (2010)

“Gil E Jorge“ (2009)

site

www.gilbertogil.com.br

RobeRto fonseCa‘’Tradicional ’’roberto Fonseca piano, claviers, chantrobertico Garcia trompetteJavier zalba saxophone, clarinette, flûteJorge Chicoy guitareYandy Martínez contrebasse, basse électriqueChérif Soumano kora, percussions africainesJoel Hierrezuelo percussions cubainesramsés rodríguez batterieMercedes Cortes chantEl nene chant

roberto Fonseca est devenu, en peu d’années, une

figure éminente du jazz afro-cubain. acclamé en

2005 à Marciac lors de son passage avec ibrahim

Ferrer, peu de temps avant la disparition de ce

dernier, il est revenu à plusieurs reprises sous le

chapiteau, à la tête de son propre groupe. Chacune

de ses prestations a permis de mesurer la maturité

acquise par le pianiste. Celui qui fut qualifié à ses

débuts de “ talent le plus prometteur et le plus

important de la musique cubaine “ a tenu toutes ses

promesses. Une technique brillante, un jeu puissant

qui n’exclut pas la délicatesse du toucher, un sens

rythmique qui lui permet une synthèse entre le jazz

et Cuba, mais aussi l’afrique et le Brésil. autant de

qualités qui en font, à trente-cinq ans, un musicien

particulièrement attachant et qui n’a pas encore

donné sa pleine mesure.

Son nouveau projet présenté ce soir, pour la

première fois en Europe et en exclusivité, avec onze

musiciens et sa mère, la chanteuse Mercédès Cortès,

allie tradition et modernité.

Dossierde presse


Soirée parrainée par la MAIF

seco

nde p

artie

1erAoût21hCHAPITEAU

j e u d i repères biographiques

•1975, naissance à La Havane

(Cuba).

•1983, entame des études de

piano tout en se passionnant

pour les percussions.

•1989, écrit ses premières

compositions s’inspirant du

genre afro-cubain.

•1990, révélation du festival

international Jazz Plaza de La

Havane.

Etudes musicales à l’instituto

Superior de arte.

•1996, tournée en Italie avec

le chanteur augusto Enriquez.

•1997-2006, co-leader avec

Javier zalba du groupe

Temperamento.


son premier album, “En El

Comienzo“.


d’albums en solo.

•2001, second pianiste, à

côté de ruben Gonzales, dans

l’orchestre d’ibrahim Ferrer.

•2001-2005, tournées à

travers le monde.

•2002, joue à Tokyo avec

Herbie Hancock.

•2006, joue à Paris pour le

défilé de mode d’agnès B.

achèvement de l’album

entamé avec ibrahim Ferrer.

•2007, partage la scène à

Marciac avec Chucho et Bebo

Valdès.


“Yo“ (2012)

“Live in Marciac” (2010)

“akokan” (2010)

site

www.robertofonseca.com

EXCLUSIVITÉ

eRiC baRRet-JaCQues pellen duoEric Barret saxophoneJacques Pellen guitare

eric Barret

On ne présente plus le saxophoniste ténor Eric

Barret, figure familière de Marciac où il s’est

souvent produit et où il anime depuis des années

un stage pendant le festival d’été. Théoricien

éminent (on lui doit des méthodes pour saxophone

qui font autorité), c’est un musicien sensible, à

la technique impeccable. Son association avec le

guitariste breton Jacques Pellen, dont le début

remonte à une quinzaine d’années, promet des

explorations passionnantes.

Jacques pellen

Guitariste et compositeur, Jacques Pellen s’est

attaché, tout au long d’une carrière fertile en

collaborations diverses, de marier la musique

traditionnelle de sa Bretagne natale avec le jazz.

ainsi a-t-il dirigé plusieurs trios et quartettes

réunissant musiciens bretons et musiciens de jazz,

dont le trompettiste sarde Paolo Fresu.

Dossierde presse


prem

ière p

artie Eric BarrEt

eléments biographiques•1959, 5 mai, naissance au Havre•1975, commence en autodidacte l’apprentissage du saxophone•1978, débuts dans le groupe Urban Sax•Début des années 80, joue avec les meilleurs musiciens français•1985, trio avec Henri Texier et aldo romano. Prix Boris Vian•1985, intègre l’ONJ de François Jeanneau•Fin des années 80, forme un quartette avec Marc Ducret, Hélène Labarrière, Peter Gritz.•1997, intègre l’ONJ de Didier Levallet•1998, création d’un nouveau quartette, new Shapes•Années 2000, duo avec Simon Goubert, duo avec Jacques Pellen, trio Close Meeting et European Quintet

eléments discographiques“Close Meeting“ (2006)“My Favorite Songs“ (2005)“Linkage“ (2004)

sitewww.ericbarret.fr

JaCques peLLeNeléments biographiques1957, naissance à Brest1969, étudie la guitare classiqueannées 1980, joue avec des jazzmen et des musiciens de musique bretonne contemporaine1986, trio avec Gildas Scouarnec et Peter Gritz1988, il crée Celtic Procession, groupe à géométrie variable fondé sur l’improvisation1990, album “Pellen 4“1993, album “Celtic Procession“années 2000, se produit en trio, en quartette et en duo avec Eric Barret

eléments discographiques“Offshore” (2011)“Lament For The Children” (2007)“Ephemera” (2003)

sitewww.gwerz.com

1 erAoût21h30à l’astrada

j e u d i


Dossierde presse


1 erAoût21h30à l’astrada

j e u d i Moutin faCtoRy QuintetChristophe Monniot saxophone altoEmmanuel Codjia guitareThomas Enhco pianoFrançois Moutin contrebasse, compositionsLouis Moutin batterie, compositions

Les jumeaux Louis et François Moutin, le premier

batteur, le second bassiste, ont décidé en 1998

de créer leur propre groupe pour jouer leurs

compositions. ainsi est né le Moutin reunion

Quartet. Pour mener à bien leur projet, ils

s’adjoignent le pianiste Pierre de Bethmann,

né en 1965, co-fondateur du trio Prysm, et le

saxophoniste américain rick Margitza, né en

1961, ancien partenaire de Miles Davis à la fin des

années 1980, établi à Paris depuis 2003. Dès sa

constitution, le groupe se produit avec un succès

croissant en Europe et aux Etats-Unis. Devenu

quintette sous le nom de Moutin Factory, le groupe

pratique une musique chaleureuse, faite d’émotion

et de spontanéité, perpétuant le swing et le groove

du jazz, qui rallie d’emblée tous les suffrages.

seco

nde p

artie


Louis Moutin

•1961, 24 décembre,

naissance à Paris

•1968, piano en autodidacte

Vers 1978, se met à l’étude de

la contrebasse

•1985, musicien professionnel

après des études scientifiques

de haut niveau

•1987-1988, membre du trio

Machado

•1990, première collaboration

avec son jumeau François

•Années 1990, joue avec,

entre autres, Martial Solal,

François Jeanneau

•1998, création du Moutin

reunion Quartet

François Moutin

nombreux éléments en

commun avec son frère

jumeau Louis

•1981, adopte la batterie

•1985, diplôme d’ingénieur

à Télécom Paris, doctorat en

physique

•1985, devient musicien

professionnel

•Années 1990, joue dans le

trio de Martial Solal

•1997, se fixe à New York

•Années 2000, les deux frères

jouent et enregistrent avec de

nombreux musiciens de haut

niveau


“Soul Dancers“ (2010)

“red Moon“ (2009)

“ Sharp Turns“ (2007)

site

www.moutin.com


Dossierde presse


Soirée des Musiciens parrainée par la Spédidam

RiChaRd Galliano‘’I Remember Astor’’richard Galliano accordéonBertrand Cervera premier violonSaskia Lethiec second violonJean-Paul Minali-Bella violon altoÉric Levionnois violoncelleSylvain le Provost contrebasse

Le Cannois richard Galliano, né en 1950, commence

très tôt à jouer de l’accordéon et remporte à

douze ans un concours de jeunes prodiges. Sa

fréquentation des milieux du jazz date du milieu

des années 80. il travaille alors avec de nombreux

musiciens, de Chet Baker à Michel Portal en passant

par Eddy Louiss, Enrico rava et bien d’autres. Mais

c’est la rencontre, en 1983, d’astor Piazzola qui

sera pour lui déterminante. Elle marque le début

d’une longue amitié et donne à sa carrière une

orientation nouvelle : il crée le concept de “ new

Musette “, à l’image du “ new Tango “ de l’argentin,

et va dès lors connaître un succès constant dans

les contextes les plus divers, à l’image de cette

soirée où il jouera, avec un quintette la musique de

Piazzola.

prem

ière p

artie



naissance à Cannes.

Formation au Conservatoire

de nice.

•1973, installation à Paris,

rencontre de Claude nougaro.

•1973-1980,

accompagnement de

chanteurs de variétés,

musiques de films.

•1983, rencontre d’Astor

Piazzola.

•1991, retour au répertoire

traditionnel de l’accordéon.

•1993, “ New Musette “. Prix

Musicien français de l’année

de l’académie du Jazz.


d’une série d’albums.

Collaboration avec Michel

Portal, Eddy Louiss, Daniel

Humair, entre autres.

•1996, Victoire de la Musique

pour l’album “ new York

Tango “.

•2003, album “ Piazzola

Forever “.

•2009, “ From Billie Holiday

To Edith Piaf “, enregistré avec

W. Marsalis à Marciac.


“Southern Exposure“ (avec

Christian Howes) (2012)

“r. G. Plays nino rota“ (2011)

“ Bach “ (2010)

site

www.richardgalliano.com

02Août21hCHAPITEAU

vendredi

Dossierde presse



JaCky teRRasson“Gouache“

Michel Portal clarinettesStéphane Belmondo trompette, bugleJacky Terrasson pianoBurniss Travis basseMinino Garay percussionJustin Faulkner batterieMalia chant

Depuis qu’il s’est produit à Marciac au sein du

quartette de Guy Lafitte, Jacky Terrasson a fait

ici de nombreuses apparitions dans des contextes

divers. L’une d’elles le présentait, en 2007, en duo

avec Michel Portal, l’un de ses invités de ce soir. né

à Berlin d’un père français et d’une mère américaine,

il a étudié le piano au Berklee College de Boston et a

remporté, en 1993, le Prix Thelonious Monk. Depuis,

il a enregistré une bonne douzaine d’albums sous

son nom, le plus souvent en trio, mais s’est risqué

avec succès, en 2007, à la redoutable épreuve du

disque en solo. Son style, ancré dans le bop, en a

retenu l’expressionnisme et on y perçoit, jusque dans

le choix des thèmes qu’il interprète, les influences

conjuguées de Monk et de Bud Powell. Son lyrisme

se teinte volontiers des couleurs de ravel et

de Poulenc et il ne dédaigne pas les chansons

françaises, notamment celles de Charles Trenet qu’il

transfigura naguère avec un talent parfaitement

original. il est entouré ce soir d’invités prestigieux.

Deux

ième p

artie


•1965, 27 novembre,

naissance à Berlin

(allemagne)

•1970, entame à Paris des

études de piano classique et

s’initie au jazz

•1984, obtient une bourse

pour le Berklee College de

Boston

•1985-1988, se produit

régulièrement en club à

Boston

•1988, retour en France,

service militaire, accompagne

abbey Lincoln et Dee Dee

Bridgewater

•1990-1992, retour aux Etats-

Unis, joue avec art Taylor

•1993, vainqueur du concours

international de piano

Thelonious Monk

•1993, accompagne Betty

Carter en tournée

•1995, signe chez Blue Note

et enregistre plusieurs albums

en trio

•2003, Victoire du jazz

(meilleur album) pour “Smile“

•2003-2013, collaborations

diverses, nombreux concerts

en trio ou solo

•2012, premier album chez

Universal, “Gouache“


“Gouache“ (2012)

“Push“ (2010)

“Mirror“ (2007)

site

www.jackyterrasson.com

02Août21hCHAPITEAU

vendredi

Dossierde presse



GuillauMe peRRet & the eleCtRiC epiCGuillaume Perret saxophones électriques, effets, compositions, directionJim Grandcamp guitare électriquePhilippe Bussonnet basse électriqueYoann Serra batterie, sampler, machines

Pur produit d’une époque qui a érigé en valeur

absolue le métissage artistique, le saxophoniste

Guillaume Perret s’emploie avec son groupe à mêler

de multiples influences, contrepoint baroque, rock,

électro-funk, musiques africaines, métal, avec une

certaine coloration jazz. Un mariage réussi si l’on en

juge par le succès qu’il rencontre depuis quelques

années auprès d’un public très divers, sensible aussi

à l’aspect visuel auquel il s’attache dans ses concerts

Troisi

ème p

artie



annecy

•1986, premier apprentissage

de la musique

Etudes de classique et de jazz

aux conservatoires d’annecy

et de Chambéry

•2001, Prix de saxophone

avec félicitations du jury

Diplômé d’Etat de jazz et

musiques actuelles, enseigne

le sxophone et l’improvisation

•Années 2000, joue et

enregistre avec, entre

autres, nguyên Lê, Claude

Tchamitchian, Flavio Boltro

Enregistrement de trois

albums avec le collectif

LeBocal

•2009, crée son projet

Guillaume Perret & The

Electric Epic


son nom


“Guillaume Perret & The

Electric Epic“ (2012)

“Over The Clouds“ (avec

Laurent De Wilde) (2012).

“Ego“ (2006)

site

www.guillaume-perret.fr

02Août21hCHAPITEAU

vendredi

Dossierde presse


benoit beRthe baCk QuaRtetBenoît Berthe saxophone Jean Kapsa pianozacharie abraham contrebassenicolas Charlier batterie

Originaire du Gers, ancien élève du collège de

Marciac, le saxophoniste Benoît Berthe a formé le

quartette Back en 2007. Le groupe se situe dans la

mouvance post bop, alliant tradition et modernité

dans un répertoire composé d’originaux. Son succès

public s’est déjà concrétisé par la participation

à de nombreux festivals et par le premier prix à

l’European Jazz Contest de rome en 2011.

Prem

ière p

artie


•Naissance dans le Gers

•Elève au collège de Marciac

Obtention d’un DEM Jazz à

Mont-de-Marsan

•2008, diplômé du Centre des

Musiques de Didier Lockwood

•2010, premier album, “First

Pages“

•2012, enregistrement d’un

second disque à paraître en

2013


“First Pages“ (2010)

site

www.back-quartet.com

02Août21h30à l’astrada

vendredi


Dossierde presse


benny GReen tRioBenny Green pianoGiorgos antoniou basserodney Green batterie

Le pianiste Benny Green, formé à l’école d’art

Blakey et des Jazz Messengers, puis membre à part

entière du trio de ray Brown, est un des pianistes

les plus talentueux de sa génération et l’un des

plus demandés sur la scène du jazz américain. Sa

solide technique et sa virtuosité lui permettent de

s’adapter avec brio à tous les contextes, soit comme

partenaire, soit à la tête de son propre trio, comme

c’est le cas ce soir.

Seco

nde p

artie


•1963, 4 avril, naissance à

new York City

Enfance à Berkeley, Californie

•1970, début de l’étude du

piano classique

Etudes à la Berkeley High

School

Devenu professionnel,

retourne à new York

•1983, joue avec Betty Carter

•1985-1989, membre des

Jazz Messengers

•1993-1998, membre du trio

de ray Brown

•Depuis 1998, dirige son

propre trio


“Magic Beans“ (2013)

“Source“ (2011)

“Green’s Blues“ (2001)

site

www.bennygreenmusic.com


vendredi


Dossierde presse


Soirée parrainée par Pierre & Vacances

Wynton MaRsalis Quintet With the saChal Jazz enseMble

Wynton Marsalis trompette Walter Blanding saxophone, clarinetteDan nimmer piano Carlos Henriquez basse ali Jackson batterie nijat ali direction nafees ahmad sitarBaqar abbas flûte ijaz Hussain tablârafiq ahmed naalnajaf ali dholak, mardang

Habitué de Jazz in Marciac dont il est devenu la figure

emblématique et le parrain, impliqué depuis de longues

années dans une manifestation qu’il fréquente depuis

1991, Wynton Marsalis a toujours eu à cœur d’y

présenter un programme original.

À 52 ans, le trompettiste s’est affirmé au fil du temps

comme un virtuose capable d’interpréter avec brio les

concertos classiques les plus ardus aussi bien que de

parcourir toute l’histoire du jazz en lui imprimant sa

marque propre. Considéré dès les années 80 comme

un prodige de son instrument, il a par la suite affirmé

sa personnalité de soliste, mais aussi de leader et de

compositeur. au point que sa maîtrise et son aisance

d’improvisateur lui valent l’admiration de ses pairs et

d’un public sensible à la séduction de son approche

mélodique, à son sens du swing et à son désir de ne

pas se couper des fondements de la musique de son

peuple. il faut y ajouter un charisme incontestable qui

l’a fait d’emblée adopter par les Gersois. Le trompettiste,

compositeur et chef d’orchestre (cf 31 juillet) est toujours

prêt à expérimenter des formules nouvelles. ainsi se

produit-il ce soir, pour la première fois à Marciac, avec

une formation venue du Pakistan.

Prem

ière p

artie



à La nouvelle-Orléans.

•1967, début de

l’apprentissage de la

trompette.

•1969, intègre le marching

band de Dany Barker.

•1975, joue avec le New

Orleans Symphony Orchestra.

•1979-1980, études à la

Juilliard School of Music.

•1980, engagé dans les Jazz

Messengers d’art Blakey.

•1981, joue avec Herbie

Hancock. Forme son propre

orchestre.


son nom, “Fathers and Sons“.

•1983, reçoit deux Grammy

awards, classique et jazz.

•1984-1989, remporte les

Grammy awards cinq années

consécutives.

•1987, Co-fonde le programme

jazz du Lincoln Center.

•1997, prix Pulitzer pour

l’oratorio “Blood On The

Fields“.

•2004, création de la “Marciac

Suite“.

•1990-2012, directeur du

Lincoln Center Jazz Orchestra,

compositeur de plusieurs

œuvres classiques et jazz.

Enregistrement de nombreux

albums.


“The Music Of america” (2012)

“Play The Blues” avec Eric

Clapton (2011)

“Vitoria Suite” (2010)

site

www.wyntonmarsalis.org

03Août21hCHAPITEAU

Dossierde presse


Soirée parrainée par Pierre & Vacances

ahMad JaMalahmad Jamal piano reginald Veal contrebasse Herlin riley batterie Manolo Badrena percussions

ahmad Jamal vient juste de fêter ses quatre-

vingt-trois ans. il fait partie des musiciens dont

les nombreux passages à Marciac ont toujours

suscité l’enthousiasme. non sans raison. C’est un

magicien du piano, un de ceux dont le style, fait

de ruptures rythmiques, de légèreté et d’audaces

harmoniques, est si original qu’il n’a guère suscité

de disciples. il fut adoubé par Miles Davis qui le

tenait pour son pianiste préféré et connaît, surtout

depuis les années 80, un grand succès populaire.

Ses développements gorgés d’invention semblent,

de prime abord, relever de la fantaisie du moment.

ils s’inscrivent, en réalité, dans une conception plus

vaste, quasi architecturale du morceau.

Seco

nde p

artie


•1930, 2 juillet, naissance à

Pittsburgh (Pennsylvanie).

•1937, aborde l’étude du

piano et s’initie aux classiques.

•1944, premiers engagements

dans les clubs de Pittsburgh.

•1947-1949, tournées avec le

big band de George Hudson.


premier trio.

•1955-1957, constitution de

plusieurs trios successifs.

•1958, enregistrement devenu

légendaire de “ Poinciana “.

•1962, installation à New York.

inscription à la Julliard School.

•1963, nouveau trio avec

Jamil nasser.


“ awakening “ qui marque un

tournant dans sa carrière.

•Années 1980, multiples

concerts et enregistrements.

•1994, enregistrement en solo

des improvisations de “ Jamal

at Home “.

•Fin des années 1990-2010,

grande activité et stabilité du

trio.


“Blue Moon“ (2012)

“The Look Of Love“ (2012)

“Happy Moods“ (2011)

site

www.ahmadjamal.net

03Août21hCHAPITEAU

En aVanT-PrEMiÈrEET En EXCLUSiViTÉ MOnDiaLEnOUVEL aLBUM “SaTUrDaY MOrninG“(sortie le 24 septembre 2013 sous le label Jazzbook records, distribution harmonia mundi)

EXCLUSIVITÉ

Dossierde presse


the house Rent paRty pRoJeCt’’A celebration of Harlem’s Stride Piano’’Louis Mazetier pianoBernd Lhotzky pianorossano Sportiello piano

Trois spécialistes incontestés du piano stride,

l’allemand Bernd Lhotzky, l’talien rossano

Sportiello et le français Louis Mazetier, font revivre,

en solo, duo et trio, le style des pianistes de Harlem

des années 30 tels que James P. Johnson ou Fats

Waller. Virtuosité, émulation, swing, tels sont les

ingrédients d’un style qui n’a pas pris une ride et

continue d’enthousiasmer de nombreux amateurs.?

Bernd Lhotzkyrepères biographiques•1970, naissance à Tegernsee, Bavière (allemagne)•Etudes musicales à MunichMène une double carrière de concertiste classique et de musicien de jazz.

repères discographiques“Striding The Classics“, avec Dick Hyman (2005)

sitewww.lhotzky.com

rossano sportiellorepères biographiques• 1974, 1er juin, naissance à Vigevano (italie)• 1983, commence l’étude du piano• 1990, débuts professionnels dans la région de Milan• 1992-2000, tourne avec le Milano Jazz Gang• 2002, grand succès au festival d’ascona (Suisse)• 2005, Prix du Jazz classique de l’académie du jazz• 2007, installation à New York• 2007-2013, concerts et tournées dans le monde entier

repères discographiques“Schubert in Jazz“ (2011)“Listz in Jazz“ (2011)“Chopin in Jazz“ (2010)“Lucky To Be Me“ (2010)

sitewww.rossanosporiello.com

Louis Mazetier repères biographiques•1960, naissance à Aubusson (Creuse)•1967, premiers cours de piano classique•1974-1977, apprentissage du piano stride•1977, études de médecine à Paris•1983, duo avec François Rilhac•1983-1993, pianiste du Gilbert Leroux Washboard Group•1988, formation d’un trio et création du Paris Washboard avec Daniel Barda•1992, prix Sidney Bechet de l’académie du Jazz•1995-1999, activité en piano solo•2002, création d’”un duo avec Jean-Lou Longnon•2002-2013, concerts et tournées dans différentes formules

repères discographiques“My Own Stuff” (2012)“Tributes, Portraits and Other Stories” (2008)“Drop Me Off in Harlem” (2007)


s a m e d i


Dossierde presse


Soirée parrainée par La Dépêche du Midi

CuRtis stiGeRsCurtis Stigers saxophone, chantJames Scholfield guitareMatthew Fries piano Cliff Schmitt basse Paul Wells batterie

Saxophoniste, guitariste, mais aussi auteur-

compositeur interprète, Curtis Stigers est connu non

seulement pour ses prestations en tant que musicien

de jazz, mais aussi pour sa participation à des films

de cinéma et à des émissions de télévision. Protégé

de Gene Harris, il a toujours oscillé entre plusieurs

genres de musique. ainsi son style est-il imprégné

de rock et de soul, ce qui a contribué à sa grande

popularité auprès du public américain.

Prem

ière p

artie



à Boise (idaho)

•Dans sa jeunesse, joue dans

des groupes de jazz, de rock

et de blues

•Etudes de clarinette et de

saxophone classiques

•Rencontre avec Gene Harris

qui l’encourage à jouer du jazz

•Fin des années 80,

installation à new York

•1991, disque d’or pour

l’album “Curtis Stigers“

•1992, participe à la bande

son du film The Bodyguard

•1995, album “Time Was“

Enregistrements avec, entre

autres, Elton John et Joe

Cocker.

•2006, chante à la télévision

(BBC) avec la journaliste

Penny Smith

•2008-2009, compose pour

des séries américaines;


de plusieurs albums solos


“Let’s Go Out Tonight” (2012)

“Lost in Dreams” (2010)

“real Emotional” (2007)

site

www.curtisstigers.com

04Août21hCHAPITEAU

dimanche

Dossierde presse


Soirée parrainée par La Dépêche du Midi

al JaRReauJoe Turano saxophones, claviersLarry Williams piano, flûteJohn Calderon guitareChris Walker basseMark Simmons batterieal Jarreau chant

La longue carrière d’al Jarreau, plus de quatre

décennies, est jalonnée de succès éclatants. il

est le seul chanteur à avoir remporté pas moins

de sept Grammy awards dans des catégories

différentes, jazz, pop et r&B. On lui doit des succès

(Moonlighting, Teach Me Tonight, Spain de Chick

Corea, ou encore Your Song d’Elton John) qui ont

fait le tour du monde. Doté d’une voix chaude de

crooner, il est capable de swinguer et d’improviser

comme les meilleurs chanteurs de jazz et son

magnétisme en fait un “ entertainer “ de qualité, à

l’aise aussi bien en trio qu’en big band ou, comme ce

soir, accompagné par un excellent quintette composé

de Joe Turano (sax, claviers), Larry Williams (p, fl),

John Calderon (g), Chris Walker (b), Mark Simmons

(dms).

Seco

nde p

artie



Milwaukee (Wisconsin).

•1960-1965, études de

psychologie.

•1970, quitte le Wisconsin pour

Los angeles où il commence à

chanter dans des bars.

•1975, premier succès avec

l’album “We Got By“.


d’albums qui sont autant de

succès.

•1981, se produit au festival

de Montreux (Suisse).


de nombreux albums,

participation à des musiques

de films.


enregistrements dans des

contextes divers.

•1992, après quatre ans de

silence discographique, album

“ Heaven and Earth “.


“ Tenderness “ marquant un

net retour au jazz.


d’albums confirmant

l’influence du jazz.

•2006, album “ Givin’ It Up “

avec George Benson.

•2010-2013, tournées en

Europe et dans le monde


“a. J. and The Metropole

Orkest Live“ (2012)

“Big Hits al’s Way“ (2011)

“Let’s Stay Together & Others

Favorite“ (2010)

site

www.aljarreau.com

04Août21hCHAPITEAU

dimanche

Dossierde presse


leïla Matial GRoupJean Christhophe Jacques saxophoneLaurent Chavoit contrebasseEric Perez batterieLeïla Martial chant

Leïla Martial n’est pas une inconnue à Marciac.

ancienne élève des classes de jazz du collège, elle

s’est produite plusieurs fois au Festival bis où sa

technique vocale et la ductilité de sa voix ont séduit

un nombreux public. Partie à la conquête de la

scène jazz française, elle en est, à l’heure actuelle,

l’un des espoirs les plus prometteurs, grâce à une

personnalité et à un talent qui la font échapper

aux cadres conventionnels et la poussent vers une

exploration vocale des plus aventureuses.

Prem

ière p

artie


•1984, mars, naissance en

ariège, dans une famille de

musiciens.

•1994, entrée au collège de

Marciac. Pratique du piano et

du chant.

•Début des années 2000,

études à Music’Halles et au

conservatoire de Toulouse.

•2004, obtention du DEM

avec félicitations du jury.

•2004-2007, études au CNSM

de San Sebastian, puis au Cnr

de Montpellier.

•2007, installation à Paris,

collaboration à diverses

formations.

•2009, premier prix de soliste

au Concours de la Défense,

troisième prix de groupe pour

le Leïla Martial Group.


“Dance Floor“ (2012)

site

www.leilamartialgroup.com


dimanche


Dossierde presse


yaRon heRMan

featuRinG eMile paRisien’’Alter Ego’’

Emile Parisien saxophoneYaron Herman pianoStéphane Kerecki basseziv ravitz batterie

Une blessure au genou a interrompu prématurément

la brillante carrière de basketteur entamée en israël

par Yaron Herman. Ce ne sont pas les amateurs de

jazz qui s’en plaindront : reconverti dans la musique,

il se met au piano à l’âge de seize ans et, sous la

direction du célèbre professeur Opher Brayer, ne

tarde pas à donner des concerts dans les salles

prestigieuses de son pays. Depuis, établi à Paris

après une incursion américaine, il est devenu l’un

des pianistes les plus demandés dans le monde

entier, enthousiasmant public et critiques par sa

technique, son lyrisme et une fougue exceptionnelle,

aussi bien en solo qu’à la tête de son trio. Un début

de carrière fulgurant pour ce musicien unanimement

reconnu.

Seco

nde p

artie



Tel-aviv (israël).


et de théorie musicale.

•2000, bref séjour à la Berklee

College School de Boston.

De retour pour Tel-aviv, il

s’arrête à Paris où il décide de

se fixer.

•2000-2002, trophée Nouveau

Talent du Sunside de Paris.

Enregistrement de son premier

album “ Takes 2 To Know “


de “ Variations “ en piano solo.

Premiers concerts en Europe,

Etats-Unis, amérique du Sud

et Chine.

•2007, élu Talent d’or Adami.

Tournée en solo à travers le

monde.

Enregistrement de “ a Time

For Everything “ avec Matt

Brewer et Gerald Cleaver.

•2008, tournées triomphales

du trio dans les festivals du

monde entier.

révélation internationale de

l’année aux Victoires du Jazz.

•2009, nouvel album “ Muse “.

nombreux concerts à Paris,

Tokyo, Pékin.


“ Variations “ (2006)

“ a time For Everything “

(2007)

“ Muse “ (2009)

site

www.yaron-herman.com


dimanche


Dossierde presse


Soirée parrainée par la Région Midi-Pyrénées

Raynald ColoM Quintet With speCial Guest ChiCueloraynald Colom trompette Logan richardson saxophoneJuan Gomez “Chicuelo“ guitareMarco Mezquida pianoarmand Sabal-Lecco basseroger Blavia percussion, batterie

né en France, le musicien catalan raynald Colom

a commencé à peine âgé de quatre ans par

l’apprentissage du violon avant de se mettre à la

trompette. Entré par la suite au Berklee College,

il se perfectionne sous la direction de Bill Pierce

et Darren Barret, entre autres. Sa participation en

2001 à la tournée de l’European Youth Orchestra

le fait connaître en dehors de son pays. Devenu

ces dernières années l’un des musiciens les plus

sollicités de la scène espagnole, il se passionne pour

l’exploration de musiques traditionnelles telles que

le flamenco et pratique, dans un style proche de

celui qui fut celui de Miles Davis lorsqu’il collaborait

avec Gil Evans, une fusion propre à séduire au-delà

du seul public intéressé par le jazz.

Prem

ière p

artie


•1978, naissance à Vincennes

(France).

•1982-1986, étudie le violon

au conservatoire de Créteil.

•1988, retour à Barcelone.

•1988-1998, études au

conservatoire de Terrassa et à

l’Ecole de Bellaterra.

•1999, entrée au Berklee

College de Boston.

•2000, se produit en freelance

en Espagne.

•2001, tournée ave l’European

Youth Orchestra.

•2002-2003, membre du

sextette de Perico Sambeat.

•2004, création de son propre

quintette.

•2001, 2002, 2004, 2005,

élu meilleur trompettiste de

l’année.

•2008, participation à

plusieurs manifestations

internationales.

•2009, nouveau projet

“ Evocacion “ avec le guitariste

Juan Gomez Chicuelo.

•2009-2013, concerts et

tournées

repères discographques

“rise” (2012)

“Evocacion” (2009)

“Sketches Of Groove” (2008)

05Août21hCHAPITEAU

l u n d i

Dossierde presse


Soirée parrainée par la Région Midi-Pyrénées

paCo de luCiaPaco de Lucia guitareantonio Sanchez guitareantonio Serrano claviers, harmonicaalain Perez bassePiraña percussionrubio chantDavid de Jacoba chantFarruco danse

Considéré comme l’un des meilleurs guitaristes

flamenco au monde, associé pour une dizaine

d’albums à la grande figure du chant flamenco

Camaron de la isla, Francisco Sanchez Gomez, dit

Paco de Lucia, a toujours eu le souci de faire évoluer

la musique traditionnelle de son pays en l’ouvrant

à d’autres formes et à d’autres influences. ainsi

s’est-il intéressé, outre aux œuvres classiques des

compositeurs Manuel de Falla et Joaquin rodrigo,

au jazz et particulièrement au courant de la fusion

avec le rock. En témoigne sa collaboration avec des

guitaristes tels que John McLaughlin et Larry Coryell,

avec lesquels il constitua un trio célèbre au début

des années 80. Désormais établi au Mexique, il a

contribué, au cours d’une carrière internationale bien

remplie, à élargir considérablement l’audience du

nouveau flamenco à travers le monde.

Seco

nde p

artie


•1947, 21 décembre, naissance

à algésiras (Espagne).

•1952, premières leçons de

guitare par son père, lui-même

guitariste.

•1959, prix spécial de guitare

flamenca à Jerez.

•1961, tournée aux Etats-Unis

comme guitariste de la Cie de

danse José Gréco.

•1965, enregistrement de son

premier disque en solo.


d’une douzaine d’albums.

•1981, collaboration avec

John McLaughlin et Larry

Corryel (“ Friday night in San

Francisco “).

•1984, participation à la

musique du film “ The Hit “ de

Stephen Frears.

•1991, enregistrement du

“ Concierto de aranjuez “.

•2004, Prix Prince des

asturies des arts à Oviedo.

•2005-2013, nombreux

concerts dans le monde


“Por Estilos (5 vol)“ (2012)

“Conciertos Espana. En vivo“

(2011)

“integral“ (2010)

site

www.pacodelucia.org

05Août21hCHAPITEAU

l u n d i

Dossierde presse


Soirée parrainée par France Inter

eRiC bibbEric Bibb guitare, harmonica, chant Staffan astner guitareTrevor Hutchinson contrebasseLarry Crockett batterie

Chanteur et compositeur établi à Londres, fils de

Leon Bibb, chanteur de folk vivant à Vancouver,

Eric Bibb a entamé sa carrière en Europe avant

d’atteindre à une renommée internationale. Sa

musique, fondée essentiellement sur le blues,

manifeste aussi d’autres influences. Ce qui lui vaut

un succès excédant le seul public du blues. Son style

où se retrouvent les traces prégnantes d’un folk

country blues mâtiné de soul et de gospel le situe

dans la lignée de Taj Mahal, qui lui succèdera sur

scène. Parfait connaisseur des racines de la musique

noire américaine, il allie au style traditionnel une

subtile sensibilité contemporaine.

Prem

ière p

artie



new York. neveu du pianiste

John Lewis.

•1958, commence

l’apprentissage de la guitare.

•1967, débuts publics dans une

émission de TV avec son père.

•1970, rencontre à Paris le

guitariste Mickey Baker et

opte pour le blues.

•Années 80, s’établit à

Stockholm. retour pour

quelques mois au Greenwich

Village.

•1994, premier album, “Spirit

and Blues“.

•1997, “Good Stuff”, enregistré

à Stockholm, connaît un grand

succès.

•Années 2000, nombreuses

tournées aux Etats-Unis et en

Europe.


“Brothers in Bamako“ (2012)

“Deeper in The Well“ (2012)

“Blues, Ballads & Worksongs“

(2011)

site

www.ericbibb.com

06Août21hCHAPITEAU

m a r d i

Dossierde presse



taJ Mahal tRioTaj Mahal guitare, chantBill rich basse Kester Smith batterie

Chanteur, compositeur, multi-instrumentiste,

Taj Mahal est une figure marquante du blues

contemporain. Un blues métissé, incluant les

musiques traditionnelles d’afrique de l’Ouest, des

Caraïbes, d’Europe, d’amérique latine, résultat de

ses nombreux voyages et de sa curiosité pour toutes

les formes musicales. Son influence sur la jeune

génération des bluesmen ne se dément pas depuis

des décennies. Pour sa seconde venue à Marciac,

il est accompagné de partenaires talentueux, le

bassiste Bill rich et le batteur Kester Smith.

Seco

nde p

artie


•1942, 17 mai, naissance à

Harlem, new York

Passe son enfance à

Springfield (Massachusetts) où

il entame des études de piano

classique, clarinette, trombone

et harmonica

•Années 50, découvre le blues

et les musiques ethniques

Début des années 60, études

d’agriculture à l’université du

Massachussets

•1964, s’établit à Los Angeles

Joue avec toutes les légendes

du blues, de Muddy Waters à

Lightnin’ Hopkins

•1967, enregistre son premier

album, “Taj Mahal“


de six albums

•Années 1980, s’immerge

dans la culture et la musique

d’Hawaï

•Années 1990, tournées et

enregistrement de nombreux

disques


“Senor Blues“


“Shoutin’ in Key“


“Maestro : Celebrating 40

Years“

•2008-2013, tournées à

travers le monde


“The Eye Of The Hustler“

(2009)

“Satisfied ‘n Tickled Too“

(2009)

“Maestro“ (2008)

site

www.tajblues.com

06Août21hCHAPITEAU

m a r d i

Dossierde presse


l’oRChestRe de JiM & Cie en RéGionJean-Charles richard directionraphaël Matheu trompetterodolphe Tissinier trombonealexandre Galinié saxophone ténoramaury Chaumond guitareLaurent Coulondre pianoLouis navarro contrebasseJeremy Bergès batterie

L’orchestre JiM et Cie en région est constitué de huit

musiciens issus des écoles partenaires

de Midi-Pyrénées (Conservatoire à rayonnement

régional de Toulouse, Université de Toulouse-Le

Mirail, Ecole agostini, Music’Halle, Conservatoire à

rayonnement Départemental de Tarbes). L’ensemble

se produit cette fois sous la direction musicale

de Jean-Charles richard, également auteur des

arrangements. Une expérience qui est appelée à se

pérenniser au fil des années.

Prem

ière p

artie


m a r d i


Dossierde presse


Jean-ChaRles RiChaRd ‘’Traces’’Jean-Charles richard saxophones soprano et barytonPeter Herbert contrebasseWolfgang reisinger batterie

Sa double culture musicale, classique et jazz, permet

au saxophoniste soprano et baryton Jean-Charles

richard, de s’investir dans des projets originaux

et aventureux où il mêle musique improvisée

contemporaine et jazz. il s’est déjà produit à Marciac

au sein du groupe Spoonbox de Claudia Solal.

Seco

nde p

artie


m a r d i


•Etudes classiques (1er prix de

saxophone) et jazz au CnSM

de Paris

•Se produit au sein

d’orchestres classiques, de big

bands (George russel, antoine

Hervé) et de fanfares

•1995-2000, membre

des DéSaXés, groupe

humoristique

•2001-2005, participe à la

création de Cirque Lili avec la

Cie Jérôme Thomas

•2005-2013, participation

à de nombreux projets, du

solo au big band, activité

d’enseignant.


“Traces“ (2012)

“Faces“ (2005)

site

www.jeancharlesrichard.com


Dossierde presse


Soirée parrainée par le Conseil Général du Gers

kellylee eVansEric Löhrer guitareraphael Debacker pianoSylvain romano contrebasseFabrice Moreau batterie Kellylee Evans chant

Chanteuse de Jazz et de soul canadienne, Kellylee

Evans a opté pour une carrière musicale au début

des années 2000 et s’est par la suite distinguée

sur la scène internationale en assurant la première

partie des concerts de George Benson, Tony Bennett,

Dianne reeves et Maceo Parker, entre autres. Dans

la cohorte des vocalistes apparues ces dernières

années, elle se distingue par la pureté de son

timbre de voix et la variété de son inspiration. En

témoignent les cinq albums qu’elle a enregistrés sous

son nom.

Prem

ière p

artie


•1975, 7 février, naissance à

Toronto (Canada)

Etudes droit et de littérature

anglaise

•2000, renonce à ses études

pour se consacrer à la musique

•2001, joue avec Ravi Coltrane

au festival d’Ottawa

•2004, 2ème prix de jazz vocal

au concours Thelonious Monk

•2006, premier album, “ Fight

Or Flight “

•2007, meilleure artiste

féminine de l’année aux

Canadian Smooth Jazz awards

•2011, “Nina”, sorti en 2010,

élu meilleur album de jazz

vocal au Prix Juno

•2011-2013, tournées

internationales


“i remember When” (2013)

“The Good Girl” (2010)

“nina” (2010)

site

www.kellyleeevans.com

0 7Août21hCHAPITEAU

mercredi

Dossierde presse


Soirée parrainée par le Conseil Général du Gers

Joe CoCkeR‘’Fire it up’’

Le chanteur de rock et de blues anglais Joe Cocker,

qui s’est déjà produit il y a quelques années sous

le chapiteau de Marciac, connaît depuis la décennie

70 une réputation internationale et un succès

commercial que traduisent des “tubes“ aussi connus

qui n’est pas sans évoquer celle de ray Charles pour

lequel il professe une grande estime. Elle lui vaut

des admirateurs inconditionnels dans toutes les

générations.

Seco

nde p

artie repères biographiques

•1944, 20 mai, naissance à

Sheffield (angleterre)

•1960, forme son premier

groupe, The Cavaliers

•1961, nouveau groupe, Vance

arnold & The avengers


premier 45 tours. nouveau

groupe, Joe Cocker’s Big Blues

•1966-1969, tournées avec

son Grease Band, créé avec

Chris Stainton

•1969, tournée américaine

avec un groupe de trente

musiciens, Mad Dogs &

Englishmen

•1972-1982, tournées dans

le monde entier parfois

perturbées par des problèmes

d’alcool, et enregistrements

de plusieurs albums1979,

tournée Woodstock en Europe


Up Where We Belong, en duo

avec Jennifer Warnes

•1987, nomination aux

Grammy awards pour Unchain

My Heart

•1994, participation au

festival de Woodstock 94

•2007, concerts à Londres et à

Sheffield

•2009, tournée nord-

américaine

•2010, se produit en Arménie

•2011, concerts en Australie


concerts dans le monde entier


“Fire it Up“ (2012)

“Hard Knocks“ (2010)

“Hymn For My Soul“ (2007)

site

www.cocker.com


mercredi

Dossierde presse


Soirée parrainée par Airbus

Prem

ière p

artie



Long island (new York)

Petite enfance à Los angeles

•1982, décès de son frère,

John Jr., dans un accident de

voiture

•1986, études de saxophone

au California institute For The

arts

•1991, engagé par Elvin Jones

années 1990, collaboration

avec Steve Coleman

•1997, enregistrement en

leader de “Moving Pictures“

•1999, mariage avec Kathleen

Hennessy

•2002, lancement du label

rKM Music

•2004, produit l’album

“Translinear Light“ de sa mère

alice


enregistrement de plusieurs

albums en leader


“Spirit Fiction“ (2012)

“Blending Times“ (2009)

“in Flux“ (2005)

site

www.ravicoltrane.com

08Août21hCHAPITEAU

j e u d i RaVi ColtRane QuaRtetWith speCial Guest steVe ColeManravi Coltrane saxophone ténorSteve Coleman saxophone alto David Virelles piano, claviersDezron Douglas basseJohnathan Blake batterie

Second fils de John et alice Coltrane, ravi apprend

d’abord la clarinette et écoute des musiques très

différentes, jazz, funk, soul, et aussi classique,

avec, notamment, une prédilection pour Dvorak et

Stravinski. après la mort de son frère, il adopte le

saxophone en 1986. influencé par Steve Coleman,

il tourne et enregistre abondamment, alternant

saxophones ténor et soprano. il se produit ce soir

à la tête de son quartette composé d’individualités

brillantes.

Dossierde presse



Deux

ième p

artie


•1969, 1er février, naissance à

Berkeley (Californie)

•1974, suit des cours de

musiques indonésienne et

indienne

•1990, joue au Village

Vanguard avec son père

•1991, diplômé de l’Université

de Harvard, entame sa

carrière musicale

•1991, vainqueur de la

Thelonious Monk international

Jazz Saxophone Competition

•1992, premier disque en

leader, “Joshua redman“

•1993, enregistrement de ses

premiers albums, “ Joshua

redman “ et “ Wish “

•Début des années 2000,

formation de son Elastic Band

•2000-2013, tournées dans

le monde et en particulier en

France, notamment avec The

Bad Plus


“Walking Shadows“ (2013)

“Compass“ (2009)

“Back East” (2007)

site

www.joshuaredman.com

08Août21hCHAPITEAU

j e u d i Joshua RedMan QuaRtetWith aaRon GoldbeRG, Reuben RoGeRs& GReGoRy hutChinsonJoshua redman saxophonesaaron Goldberg pianoreuben rogers contrebasseGregory Hutchinson batterie

Fils du saxophoniste Dewey redman qui fut

associé dans les années 70 aux expériences du

free jazz, Joshua redman a choisi, lui aussi, les

saxophones ténor, alto et soprano où il a, au fil des

ans, affirmé sa personnalité. influencé par Coltrane,

mais aussi par Lester Young et Charlie Parker, il a

une connaissance de l’histoire du jazz qui nourrit

son inspiration et lui permet d’occuper, parmi les

saxophonistes contemporains, une place particulière.

Partenaire d’Elvin Jones, Jack DeJohnette, roy

Hargrove, entre autres, il enregistre en leader depuis

1992 et ses derniers albums attestent de sa maturité

et de son évolution vers une musique résolument

ancrée dans le hard bop mais qui a désormais acquis

une indéniable originalité. Le succès que rencontre

cette musique tient pour une bonne part, outre le

sens mélodique du saxophoniste, à la qualité et à

l’homogénéité de ses accompagnateurs.

Dossierde presse



Troisè

me pa

rtie


•1975, naissance

•A partir de 1982, études de

musique aux conservatoires

de Belfort, Besançon, Paris

•1996-1998, joue du baryton

dans les big bands parisiens.

•1998-2005, enseignante

à la réunion, participe à de

nombreux festivals de l’Océan

indien

•2005, retour en métropole,

premier album “Vue d’en haut“

•2005-2010, enseignante

à alençon, elle tourne avec

son groupe en France et à

l’étranger

•2010, deuxième album, “Way

Of Life“, chez aCT

•2013, troisième album, “Open

Heart“


“Open Heart” (2013)

“Way Of Life” (2010)

“Vue d’en haut” (2005)

site

www.celine-bonacina.com

08Août21hCHAPITEAU

j e u d i Céline bonaCina RéunionCéline Bonacina saxophones, compositionsillya amar vibraphoneromain Labaye bassenicolas Leroy percussionsHary ratzimbazafy batterieLeïla Martial chant

La passion des saxophones, alto, soprano, et plus

particulièrement du baryton, a fait de Céline

Bonacina une valeur sûre de la scène du jazz

français et même international, puisqu’elle est

parfois l’invitée d’Omar Sosa. rentrée en 2005 en

métropole après un séjour de sept ans à la réunion

où elle enseignait au Conservatoire régional, elle a

constitué un groupe à géométrie variable, du trio au

sextette, avec lequel elle a participé à de nombreux

festivals, en France et à l’étranger. Son troisième

album est sorti en 2013 sous le label allemand aCT.

Dossierde presse


Prem

ière p

artie


•1968, 25 février, naissance

au Mans (Sarthe)

Enfance baignée par le

classique et la pop.

•1979, début des études de

piano.

•1983, découverte de la

musique brésilienne.

•1984, premiers concerts dans

des groupes de rock et de pop.

•1985, découverte du jazz.

•1990-1992, concerts à Paris

dans des groupes de fusion,

rock et funk.

•Depuis 1998, concerts

et direction musicale de

plusieurs projets.

•2007, album “Détours“.

•2009, tournée au Japon.

•2010, album “Americas“.

•2012, participation à la

journée internationale du jazz

UnESCO.


“Détours“ (2006)

“americas“ (2010)

“as it Comes“ (2012)

site

www.dominiquefillon.com

doMiniQue fillon QuaRtetSylvain Gontard trompetteDominique Fillon piano, claviersLaurent Vernerey basse électriqueJean-Marc robin batterie

avant de se consacrer au jazz, le pianiste Dominique

Fillon a subi l’influence d’autres musiques, qu’il

s’agisse de classique ou de variétés. ainsi lui doit-on

la révélation de Sanseverino dont il fut un temps le

directeur musical. Ces expériences ont nourri son

inspiration et se reflètent dans son jeu, imaginatif et

pétri de swing. Parmi les influences qu’il revendique,

Jarrett, Hancock, Peterson. Un brelan d’as.


j e u d i


Dossierde presse


Seco

nde p

artie



naissance à Washington DC

•1960-1964, enfance aux

Etats-Unis.

•1981, études de philosophie

à l’Ecole normale Supérieure,

à Paris.

•1982-1983, séjour aux Etats-

Unis.

•1984-1990, s’établit à New

York. Etudes à la LOng island

University.


premier album en quintette

•1989, trio avec Ira Coleman

et Jack DeJohnette.

•1990-1996, accompagne

Eddie Henderson, Greg Osby,

Joshua redman, entre autres.

•1993, prix Django Reinhardt

ce l’académie du jazz.

•1996, publication de son

livre “Monk“ (Gallimard)

•A partir de 1997, intérêt pour

la révolution électronique

dans le jazz.

•2006, collaboration avec le

rappeur abd al Malik.

•2011, joue avec Géraldine

Laurent.

•Depuis 2012, retour au trio

acoustique.


“Over The Clouds“ (2012)

“Fly !“ (2010)

“PC Pïeces-remixed By

Friends“ (2008)

site

www.laurentdewiolde.com

lauRent de WildeLaurent de Wilde pianoJérôme regard contrebasseLaurent robin batterie

Le parcours de Laurent de Wilde témoigne de

ses deux passions, le piano et l’informatique. il

fut en effet l’un des premiers pianistes français à

s’intéresser à l’électronique et à son utilisation dans

le domaine musical, ce qui l’a conduit à collaborer

avec des artistes divers. il revient à Marciac avec

un trio acoustique, renouant avec une veine dans

laquelle il excelle.


j e u d i


Dossierde presse



Prem

ière p

artie



Mobile (alabama)

Entame des études de

musique classique avant de se

tourner vers le jazz

•Années 1960, intègre le

groupe de James Brown

•1960-1975, directeur musical

de James Brown, il compose

certains de ses succès les plus

fameux

•Dans les années 1970, forme

les JB’s Horns avec Maceo

Parker et Pee Wee Ellis

•Années 1980, formation de

The Horny Horns. Joue avec

les groupes Funkadelic et

Parliament

•Années 1990, tournée

mondiale, enregistrements

de très nombreux albums.

Formation de son propre

sextette qui enregistre deux

disques

•2002, publication de son

autobiographie, “Hit me, Fred.

recollections of a Sideman“

•2009, se produit et enregistre

avec David Krakauer


enregistrement de plusieurs

albums


“The Lost album” (2011)

“With a Little Help From My

Friends” (2010)

“The Godfather Of Soul Train”

(2008)

site

www.funkyfred wesley.com

fRed Wesley and the neW Jb’sFred Wesley trombone, chantGary Winters trompettePhilip Whack saxophonereggie Ward guitarePeter Madsen piano, claviersDwayne Dolphin basseBruce Cox batterie

Tromboniste, probablement le plus célèbre dans

le style qu’il a adopté, mais aussi arrangeur et

compositeur, Fred Wesley s’est fait connaître, au

milieu des années 60, auprès de James Brown qui

l’avait choisi comme directeur musical. Sa carrière en

tant que leader, entamée à la fin de la décennie 80,

lui a permis d’exploiter et de développer les qualités

qui en font l’un des maîtres du funk tel qu’il est

pratiqué un peu partout dans le monde : recherche

de l’expressivité, simplicité harmonique, usage de

riffs, prédominance des cuivres, influences mêlées

de soul et de gospel. Un genre que cette figure de

légende a largement contribué à populariser.

09Août21hCHAPITEAU

vendredi

Dossierde presse



Seco

nde p



Kinston (Caroline du nord)

•Années 1950-1960, joue dans

les night clubs avec ses frères.

Etudes musicales à l’Université

de Caroline du nord.

•1964, engagé par James

Brown ainsi que son frère

Melvin, batteur.

•1970, quitte James Brown

pour former un groupe avec

Fred Wesley et Pee Wee Ellis.

•1973, retour au sein du

James Brown Band où il dirige

la section de cuivres.

•1977, intègre le groupe

psychédélique de George

Clinton où il joue le maître

de cérémonie. Joue dans

les groupes Parliament et

Funkadelic.

•Années 1980, intègre le

Bootsy’s rubber Band de

Bootsie Collins.

•1990, enregistre son premier

album solo avec Fred Wesley

et Pee Wee Ellis.


et tournées

•1998, rencontre Prince avec

qui il enregistre.

•Depuis 2000, participe aux

tournées de Prince.

•2013, février, publication

de son autobiographie, “98%

Funky Stuff : My Life in Music“


“Soul Classics” (2012)

“Life On Planet Groove” (2010)

“roots & Grooves” (2007)

site

www.maceoparker.com

MaCeo paRkeRné dans une famille de musiciens, le saxophoniste

alto et compositeur Maceo Parker a très tôt pratiqué

la musique avec ses frères. remarqué par James

Brown, le père de la soul, il restera vingt-cinq

ans à ses côtés, contribuant, par sa créativité de

compositeur et la chaleur de ses solos, au succès

de celui que ses musiciens appelaient “ The God

Father of Soul“. Depuis qu’il vole de ses propres

ailes, il perpétue avec la même flamme la formule

qui a fait le succès de son mentor : un orchestre au

groove impressionnant, des choristes swinguants, un

son de saxophone immédiatement reconnaissable,

un funk sans concession. Une transe héritée des

groupes de la fin des années 70. Difficile de rester

insensible à l’énergie déployée par cet ensemble

galvanisé par son leader !

09Août21hCHAPITEAU

vendredi

Dossierde presse


Prem

ière p

artie

site

www.novembrequartet.com


vendredi noVeMbRe QuaRtetantonin Tri Hoang saxophone, clarinette basseromain Clerc-renaud pianoThibault Cellier contrebasseElie Duris batterie

Composé d’antonin Tri Hoang, romain Clerc-renaud,

Thibault Cellier et Elie Duris, ce quartette avant-

gardiste a décidé de poser des miroirs au sein

de sa propre musique, faisant dévier des images,

improvisées ou composées, dans toute la durée et

l’espace de la pièce. Une musique expérimentale

fondée sur l’asymétrie et la surprise. À découvrir.


Dossierde presse


Seco

nde p

artie


•1969, 23 avril, naissance à

Saint-Brieuc.

•1976, commence la pratique

du saxophone.

Etudes musicales au CiM, à

Paris.

•1994, premiers

enregistrements avec Sinclair

•1996, enregistre avec Magic

Malik.

•1996, prix au Concours de la

Défense.

•1996-1999, joue avec le

collectif nuits blanches, Lionel

Belmondo, François Théberge,

alain Jean-Marie, entre autres

•1999-2000, séjour à New

York.

•2000, premier album en

leader.

•2001, formation d’un

quartette, se produit avec les

Belmondo.

•Années 2000, enregistre

à Brooklyn, s’intéresse à la

fusion avec les musiques

actuelles.

•2013, prix du disque français

de l’académie du jazz pour

“Kubic’s Monk“


“Kubic’s Monk“ (2012)

“Cheerleaders“ (2010)

“Omry“ (2008)

site

www.myspace.com/

pierrickpedron


vendredi pieRRiCk pédRon tRioPierrick Pédron saxophoneThomas Bramerie contrebasseFranck agulhon batterie

Saxophoniste alto et soprano, lointain disciple

de Charlie Parker dont il a hérité le lyrisme et le

goût pour la mélodie, Pierrick Pedron est ouvert à

toutes les formes de musiques actuelles, jazz, pop,

électronique, dont il nourrit son inspiration. Son

dernier album en hommage à Thelonious Monk,

enregistré avec son trio actuel, témoigne de sa

maturité.


Dossierde presse


Soirée parrainée par les Producteurs Plaimont

Prem

ière p


stochelo rosenberg


Helmond (Pays-Bas) dans un

camp de gitans.

•1980, le trio Rosenberg

remporte le premier prix du

Children’s TV-Contest.

•Années 1980, le trio se

produit dans les églises et les

camps gitans en Europe et

commence à composer.


l’album “Seresta“ .

•1992, Stochelo reçoit le

Golden Guitar du magazine

Guitarist.

•1993, concert au Carnegie

Hall de new York avec

Stéphane Grappelli.

•1995, tournée au Japon.

•1997, enregistre avec

Manhattan Transfer.

•2000, joue avec Romane

dans l’album “ Elégance “.

album avec Toots Thielemans.

•2002, participe au second

volet du Gipsy Project de

Biréli Lagrène.

•2005, formation du Trio

Stochelo rosenberg en

parallèle du Trio rosenberg.

Publication d’une méthode de

guitare.

•2010, album autoproduit et

vidéo accessibles sur internet.

Participation à de nombreux

festivals, dont Marciac.


“Djangologists“ (2010)

“Free as The Wind“ (2010)

“Tribute To Stéphane

Grappelli” (2008)

site

ww.therosenbergtrio.com

tRio RosenbeRG inVite Costel nitesCuCostel nitescu violonnous’che rosenberg guitareStochelo rosenberg guitarenonnie rosenberg contrebasse

Le trio rosenberg est d’abord une histoire de famille,

comme c’est le cas de nombreuses formations de

jazz manouche. Composé de Stochelo, guitare solo,

cousin de nous’ché, guitare d’accompagnement, et de

son frère nonnie, contrebasse, il a contribué depuis

sa création à la fin des années 1980 au renouveau

du genre, au point de devenir un groupe phare. Sa

réputation a, en effet, dépassé très vite les limites

de la communauté Sinti des Pays-Bas pour atteindre

à une dimension internationale. Depuis leur

premier album, “Seresta“, en 1988, les rosenberg,

encouragés à leurs débuts par Stéphane Grappelli,

ont multiplié les tournées à travers le monde et les

enregistrements.

Costel nitesCuLe violoniste d’origine roumaine Costel nitescu s’est

imposé chez nous depuis quelques années comme

un virtuose étincelant. Doté d’une solide formation

classique, il mêle, dans son style, le jazz et les

musiques traditionnelles d’Europe centrale. attaques

fulgurantes, envolées lyriques, swing constant,

telles sont les caractéristiques de son jeu. il est le

partenaire habituel des meilleurs solistes de jazz

manouche.


s a m e d i

Dossierde presse


Soirée parrainée par les Producteurs Plaimont


s a m e d iSe

cond

e par

tie



Sarajevo (Yougoslavie).

Etudes de violon au

Conservatoire de Sarajevo.


premier groupe, Bijelo Dugme.

Opte pour la guitare et

devient une rock star dans

son pays.

•Vers 1970, rencontre avec

Emir Kusturica, bassiste dans

un groupe punk.

Fin des années 1980, se

consacre aux musiques de

films et à ses compositions.

•2005, reconstitution de son

orchestre.

•Depuis 2006, sillonne

l’Europe avec son Orchestre

des mariages et enterrements.

•2007, tournée au Mexique et

aux Etats-Unis.

•2010, élu pour composer

la chanson de la Serbie pour

l’Eurovision.


“Champagne For Gypsies“

(2012)

“alkohol-Sljivovica &

Champagne“ (2009)

“Carmen With a Happy End“

(2007)

site

www.goranbregovic.rs

GoRan bReGoViC et l’oRChestRe des MaRiaGes et des enteRReMents’’Champagne For Gypsies Tour’’

Compositeur et musicien venu de l’ancienne

Yougoslavie, le Serbo-croate Goran Bregovic

vit à Belgrade où il possède son propre studio

d’enregistrement. après une carrière de rock

star, il s‘est tourné vers la composition musicale

et a travaillé pour le cinéma (plus de trente

films, dont ceux de son ami Emir Kusturica) et la

télévision. Depuis quelques années, il se consacre à

l’interprétation de sa propre musique et a largement

contribué à populariser la musique traditionnelle des

Balkans. Ses propres compositions et interprétations

sont toutefois largement métissées et offrent la

fusion entre folklore, rock, pop, classique, musique

religieuse, reggae, tango et musique électronique.

Dossierde presse


Jazz eMeRGenCeLa formule de Jazz Emergence, projet inter-régional,

consiste à offrir à de jeunes musiciens français un

tremplin leur permettant de découvrir les réalités de

la scène et de la vie professionnelle. Quatre groupes

issus de diverses écoles de musique se succèderont à

l’astrada : Welder Bee 4, Made in, Tasty Granny et TLG.

WeldeR bee 4 (aPEJS, Chambéry)Pierre Marie Lapprand saxophone ténorChristophe Pannekoucke guitareGeoffrey Grangé basseBenoit Joblot batterie

Made in (iMFP, Salon de Provence)alexandre Lantieri saxophone, clarinetteSammy Ben Malek guitareronan Devaux guitareFlore Galais contrebasse

tasty GRanny (Jazz à Tours)Thomas Leuwers guitareFrançois rosenfeld basseBastien Torre batterie

tlG (Music’Halle, Toulouse)Paul-antoine roubet saxophoneMaïlys Maronne pianoDimitri Kogane batterie

1 0Août21h30à l’astrada

s a m e d i


Dossierde presse


Seco

nde p

artie eRiC Reed tRio

Eric reed pianoDarryl Hall contrebasseMario Gonzi batterie

Pianiste à la technique impressionnante, partenaire

de Wynton Marsalis, admirateur d’ahmad Jamal,

Eric reed s’inscrit dans la tradition pianistique qui

part du stride pour aboutir à McCoy Tyner auquel

il doit son goût pour un jeu en accords. Solide

accompagnateur (de Wynton Marsalis, entre autres),

il excelle aussi comme soliste à la tête de ses propres

trios.


dimanche



Philadelphie.

•1975, joue dans l’église

baptiste dont son père est

pasteur.

•A partir de 1977, études à la

Settlement Music School de

Philadelphie.

•1981, sa famille déménage à

Los angeles. Etudes à la r.D.

Colburn School Of arts.

•1986, rencontre Wynton

Marsalis.

•1988, dirige ses propres

groupes.

•1990-1995, membre du

septet de Wynton Marsalis.

•1996-1998, membre du

Lincoln Center Jazz Orchestra.

•A partir de1999, leader de

son groupe, il joue aussi avec

Cassandra Wilson, Elvin

Jones, irving Mayfield et

d’autres vedettes.

•2005, se produit en quartette.

•2010, intègre le groupe

inside Straight de Christian

McBride.

•2010-2012, nombreux

concerts et tournées.


“Baddest Monk“ (2012)

“Something Beautiful“ (2011)

“The Dancing Monk” (2011)

site

www.ericreed.net


Dossierde presse


lionel louéké tRioLionel Louéké guitare, chantMichael Olatuja basse électriqueJohn Davis batterie

Guitariste et chanteur né au Bénin, Lionel Louéké a

été remarqué par des musiciens aussi éminents que

Charlie Haden, Herbie Hancock ou Terence Blanchard

avec lesquels il a joué et enregistré. a la tête de

son propre trio, il a enregistré en 2012 un album

remarqué, “Heritage“, qui témoigne de son talent à

marier le jazz avec la world music où il puise aussi

son inspiration. repères biographiques

•1973, 27 avril, naissance au

Bénin.

•1982, étudie les percussions,

puis la guitare.

•1990, installation à Abidjan

(Côte d’ivoire).

•1994-1998, études à

l’american School Of Modern

Music, à Paris.

•1999-2000, études au

Berklee College de Boston.

•2001-2003, études au

Thelonious Monk institute de

Californie.

•2002, joue et enregistre

avec le trompettiste Terence

Blanchard.

•Années 2003-2013, concerts

et enregistrements avec le trio

Gilfema.


“Heritage“ (2012)

“Virgin Forest“ (2011)

“Mwaliko“ (2010)

site

www.lionelloueke.com


l u n d i


Dossierde presse


opus fiVealex Sipiagin trompetteSeamus Blake saxophoneDavid Kikoski pianoBoris Kozlow basseDonald Edwards batterie

Les cinq musiciens qui composent le all Stars Opus

5, Seamus Blake (sax), alex Sipiagin (tp), David

Kikoski (p),Boris Kozlov (b) et Donald Edwards (dms)

sont tous des vedettes à part entière de la scène

new-yorkaise actuelle. Chacun a joué et enregistré

avec une pléiade de musiciens avant de faire

bénéficier de son expérience ce quintette qu’a soudé

plusieurs années de collaboration. En témoignent

deux albums enregistrés en 2011 et 2012.


“Pentasonic“ (2012)

“introducing Opus 5“ (2011)


m a r d i


Dossierde presse


les doiGts de l’hoMMeOlivier Kikteff guitare, oudBenoît Convert guitareYannick alcocer guitareantoine Girard accordéonTanguy Blum contrebasse

Groupe français de jazz manouche fondé en

Bretagne en 2002 autour du guitariste soliste Olivier

Kikteff, Les Doigts de l’homme actualisent avec

humour le répertoire de Django reinhardt. Etabli

dans la région rhône-alpes depuis quelques années,

le trio devenu quartette, puis quintette, a déjà

enregistré cinq albums où se déploient les qualités

d’arrangeurs et d’interprètes d’Olivier Kikteff, Tanguy

Blum, Yannick alcocer, Benoît Convert et antoine

Girard.


“Mumbo Jumbo“ (2013)

“1910“ (2010)

“Les Doigts Dans La Prise“

(2008)

site

www.lamastrock.com


mercredi


Dossierde presse


festiVal bisDu 26 juillet au 15 août

de 10h30 à 13h30

et de 15h30 à 19h45

avec Guillaume de Chassy Trio,

Laurent Cugny - Dré Pallemaerts - Jérôme regard - nelson Veras,

Massaliaz (arnaud-Témime-zenino),

anne Paceo Quintet,

Mariannick Saint-Céran Swingtet,

Samy Thiébault Sextet,

Sonny Troupé Quartet,

Véronique Hermann Sambin featuring Xavier richardeau,

rémi Toulon,

Soul Serenade

and many more !

En partenariat avec La Dépêche du Midi

Conc

erts

grat

uits

Dossierde presse


staGes & MasteR ClassesDu 26 juillet au 3 août,

stages de perfectionnement sous la direction de

grands artistes internationaux.

Plus d’informations : www.jazzinmarciac.com

l’espRit du Jazz - GeRshWin de RoseMonde Cathala Spectacle théâtral et musical de la Cie de la rose.

Composition musicale : Wynton Marsalis, Emile

Parisien.

Interprètes : Jean-Michel Martial, Ladji Diallo,

Corinne Ferré.

Musiciens : Greg aguilar, Hervé rousseaux, Pierre

Thuries et Emmanuel Forster.

conseillé à partir de 12 ans.

Du 3 au 10 août à 18h, salle des fêtes de Marciac.

renseignements à l’Office de Tourisme de Marciac

Dossierde presse


Jazz in MaRCiaC,festiVal éCo-CitoyenEngagé de longue date dans une démarche de

développement durable, Jazz in Marciac a mis en

place un certain nombre d’actions éco-responsables :

- collecte sélective des déchets

- collecte d’huiles alimentaires

- incitation au covoiturage

- choix du matériel de restauration

(gobelets réutilisables consignés)

- choix des produits alimentaires

(aliments de saison, produits régionaux)

- éco-conception des documents de communication

(papiers provenant de forêts gérées durablement,

impressions labellisées imprim’Vert,

réduction du nombre d’éditions)

- choix d’équipements adaptés (utilisation

d’énergies renouvelables, traitement des eaux

usées, hébergements labellisés, matériaux

recyclables)

- sensibilisation du public

- solidarité

Jazz in Marciac remercie les festivaliers pour leur

participation citoyenne à ces actions.

En partenariat avec : arPE Midi-Pyrénées, Ecocert,

Ecocup, Excellence Gers

Dossierde presse


infos pRatiQuesPrix des places : de 10 à 60 euros

abonnements : de 90 à 500 euros

réductions habituelles

Location- 0892 690 277 (0,34euros/mn)

- www.jazzinmarciac.com

- Fnac, Carrefour, Géant, Magasins U, intermarché

- Virgin Megastore, E. Leclerc, auchan, Cultura, Cora

- Maison Midi-Pyrénées Toulouse

Hébergementrésidence de tourisme, hôtel, gîte rural, chambre d’hôtes,

camping ou chez l’habitant :

l’Office de Tourisme Bastides & Vallons du Gers propose une

offre variée et peut assurer vos réservations.

Office de Tourisme Bastides & Vallons du Gers

[email protected]

tél. 05 62 08 26 60 / fax. 05 62 08 26 61

www.bastidesetvallonsdugers.com

Info handicapL’association Synergie Passion facilite l’accès des personnes

à mobilité réduite aux sites du festival et leur propose des

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36 festival 26 juillet 15 août - Jazz in Marciac · RobeRt CRay band ’’Nothin But Love’’ robert Cray guitare, chant James Pugh claviers richard Cousins basse Les Falconer