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D epuis 2008, des élu-e-s écologistes siègent dans la majorité du Conseil municipal de Toulouse et de la Communauté urbaine de Toulouse Métropole. Nous mettons toute notre énergie à la construction de politiques publiques adaptées aux défis de notre temps. L’amplification de la crise économique, sociale et écologique appelle une réponse ambitieuse et concrète. Nos grandes agglomérations sont en première ligne pour expérimenter des solutions nouvelles face aux enjeux de solidarité, de transition énergétique et environnementale, et d’une économie à repenser. L’avenir se dessine à l’échelle locale car ici se prennent des décisions fondamentales pour la qualité de notre environnement quotidien et pour la lutte contre les injustices sociales. Plus que jamais, les investissements de la collectivité doivent bénéficier aux projets les plus utiles pour le quotidien des Toulousains : les transports, la lutte contre la précarité énergétique, la diversification économique… De préférence aux investissements de prestige tels que le parc des expositions ou l’agrandissement du stadium. Plus que jamais, la voix singulière des écologistes dans le paysage politique est nécessaire. Face à la montée des populismes, nous ne pouvons nous contenter d’un bipartisme de façade. C’est notre modèle de société qui est à réinventer, et celui-ci doit remettre les citoyens au coeur des décisions publiques. Nous donnons rendez-vous aux Toulousains et aux habitants de la Métropole pour mettre en mouvement une force politique capable de dessiner un avenir ambitieux et réaliste pour nos territoires. Notre responsabilité politique est aussi de rendre compte de notre action. C’est pourquoi nous avons le plaisir de vous convier à une série de rencontres, à Toulouse et dans plusieurs villes de notre agglomération. Les élu-e-s EELV Michèle Bleuse, Danielle Charles, Régis Godec, Philippe Goirand, Antoine Maurice, Jean-Charles Valadier (Toulouse), Stéphane Coppey (Balma), Medhy Imelhaïne (Colomiers). LES ÉLU-E-S ÉCOLOGISTES DE TOULOUSE ET TOULOUSE MÉTROPOLE FONT LEUR BILAN VENEZ ECHANGER AVEC NOUS ! - Toulouse le 11 avril à 20H00, salle Barcelone, 22 allées de Barcelone. - Cugnaux le 22 avril à 20H00, salle Albert Camus, place de la République. - Colomiers le 29 avril à 20H00, salle n°5 de l‘ensemble associatif du Cantal. - Saint Orens le 6 mai à 20H00, salle Catala. - Tournefeuille le 13 mai à 20H00, salle associative du Phare. ANS D’ACTION MUNICIPALE ET COMMUNAUTAIRE MARS 2008 - MARS 2013 5 Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles. Renseignements : [email protected] 5 soirées-rencontres dans l’agglo IPNS - Ne pas jeter sur la voie publique

5 ans d'action municipale et communautaire

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Bilan de mandat des élu-e-s EELV de Toulouse et Toulouse Métropole

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Depuis 2008, des élu-e-s écologistes siègent dans la majorité du Conseil municipal de Toulouse et de

la Communauté urbaine de Toulouse Métropole. Nous mettons toute notre énergie à la construction de politiques publiques adaptées aux défis de notre temps. L’amplification de la crise économique, sociale et écologique appelle une réponse ambitieuse et concrète. Nos grandes agglomérations sont en première ligne pour expérimenter des solutions nouvelles face aux enjeux de solidarité, de transition énergétique et environnementale, et d’une économie à repenser. L’avenir se dessine à l’échelle locale car ici se prennent des décisions fondamentales pour la qualité de notre environnement quotidien et pour la lutte contre les injustices sociales.

Plus que jamais, les investissements de la collectivité doivent bénéficier aux projets les plus utiles pour le quotidien des Toulousains : les transports, la lutte contre la précarité énergétique, la diversification économique… De préférence aux investissements de prestige tels que le parc des expositions ou l’agrandissement du stadium.

Plus que jamais, la voix singulière des écologistes dans le paysage politique est nécessaire. Face à la montée des populismes, nous ne pouvons nous contenter d’un bipartisme de façade. C’est notre modèle de société qui est à réinventer, et celui-ci doit remettre les citoyens au coeur des décisions publiques. Nous donnons rendez-vous aux Toulousains et aux habitants de la Métropole pour mettre en mouvement une force politique capable de dessiner un avenir ambitieux et réaliste pour nos territoires.

Notre responsabilité politique est aussi de rendre compte de notre action. C’est pourquoi nous avons le plaisir de vous convier à une série de rencontres, à Toulouse et dans plusieurs villes de notre agglomération.

Les élu-e-s EELVMichèle Bleuse, Danielle Charles, Régis Godec, Philippe Goirand, Antoine Maurice, Jean-Charles Valadier (Toulouse), Stéphane Coppey (Balma), Medhy Imelhaïne (Colomiers).

Les éLu-e-s écoLogistes de touLouse et touLouse MétropoLe font Leur biLan

VeneZ ecHanger aVec nous !- Toulouse le 11 avril à 20H00, salle Barcelone, 22 allées de Barcelone.- Cugnaux le 22 avril à 20H00, salle Albert Camus, place de la République.- Colomiers le 29 avril à 20H00, salle n°5 de l‘ensemble associatif du Cantal.- Saint Orens le 6 mai à 20H00, salle Catala.- Tournefeuille le 13 mai à 20H00, salle associative du Phare.

ans D’ACTIONMunicipaLe et coMMunautaire

MARS 2008 - MARS 20135

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.

Renseignements : [email protected]

5 soirées-rencontres dans l’agglo

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L’ECOLOGIE CHANGE LA VILLE

des solutions pour une et solidaireDepuis 5 ans, nous oeuvrons à l’émergence d’une autre manière

de conduire l’action publique au sein de la majorité municipale et communautaire, en mettant au centre la nécessaire transformation écologique et sociale de notre territoire.

Protéger l’environnement, assurer un développement soutenableClimat et énergie : la mobilisation est lancée. Le dérèglement climatique et l’augmentation du prix de l’énergie appellent une action d’ampleur : l’urgence est sociale et économique autant qu’écologique. Pour y faire face la commu-nauté urbaine s’est enfin dotée d’un Plan Climat Energie Territorial. C’est un outil transversal au service de la mobilisation de tous, collectivités locales et en-treprises, associations et citoyens. De la lutte contre la précarité énergétique au développement des énergies renouvelables, les chantiers à engager d’ici 2020 sont nombreux et le défi immense.

Des bienfaits dans l’assiette et dans l’agriculture. L’équivalent d’un repas bio est servi chaque semaine dans les cantines scolaires. C’est un levier pour développer l’agriculture biologique locale et inciter nos fournisseurs à évoluer vers des pratiques plus vertueuses. La municipalité a montré l’exemple avec la reconversion des 270 ha de cultures céréalières de son domaine agricole. Pour protéger et développer l’agriculture périurbaine, nous avons également impul-sé une charte pour une agriculture durable, qui marque l’engagement nouveau de Toulouse Métropole en la matière.

Economie : place à l’utilité sociale et à la diversification. Sous l’impulsion d’Antoine Maurice, l’économie sociale et solidaire est enfin intégrée à la poli-tique économique de la Communauté urbaine. Elle a renforcé son soutien au secteur, puis établi un Plan d’actions à partir d’un diagnostic réalisé en concer-tation étroite avec ses acteurs. Les activités qui privilégient l’utilité sociale, le développement local, l’équité des échanges et le respect de l’environnement et des personnes ne sont plus marginalisées.

La sensibilisation à tous les âges. Depuis 2009 les enfants des CLAE sont sensibilisés de manière concrète et ludique aux grands thèmes de l’écologie, de même que les adultes, à la faveur de projets intergénérationnels ou à l’occasion des festivals signataires de la charte des événements éco-responsables. L’exem-plarité municipale est aussi encouragée à travers la formation du personnel et l’introduction de clauses environnementales dans les marchés publics.

espaces verts et biodiversitéLa ville ne tourne plus le dos à la natureDepuis 2008, des prairies ont fait leur apparition à Toulouse. C’est l’exemple le plus visible de la gestion durable, qui vise à concilier usages humains et respect de l’environnement. Conduite par Michèle Bleuse, elle s’applique à une superficie de 750 ha. Concrètement, l’entretien des espaces est pensé au cas par cas, au plus près des usages : les bords d’eau nécessitent moins d’interventions que les aires de jeux.

Cette approche a permis de réduire sensiblement le recours aux pesticides et la consommation de carburants. Elle est aussi moins gourmande en eau et moins coûteuse. Enfin, elle contribue au maintien et au développement de la biodiversité en milieu urbain, indispensable à la vie humaine.

En 2011, l’agence Natureparif a récompensé cette politique en décernant à la Ville le titre de Capitale française de la biodiversité.

Quelques chiffres

3 427... Habitants, 460 commerces et 337 acti-vités libérales dans la zone de mise en place des 8 nouveaux contrôles d’accès automobile en centre ville, pour piétonni-ser intégralement la rue Alsace Lorraine et la place du Capitole. Une méthode de concertation rodée pour cette première étape de l’aménagement du centre ville.

3 100... Logements dans l’écoquartier de la Cartoucherie, dont 35% d’habitat so-cial et 25% d’accession sociale pour les primo-accédants. Une opération qui associe exemplarité environne-mentale et innovation sociale, avec un projet d’habitat participatif.

30 000...Salariés employés par les struc-tures de l’Economie sociale et solidaire dans notre aggloméra-tion. 37 mesures ont été lancées par Toulouse Métropole en soutien à ce secteur qui remet l’humain au centre de l’activité économique.

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L’ECOLOGIE CHANGE LA VILLE

métropole durableUne ville repensée pour tous ses usagers

Nos priorités pour l’avenir

La piétonnisation en marche. C’était l’un des engage-ments forts de notre majorité : la piétonnisation du centre ville de Toulouse a commencé, avec les rues Alsace Lorraine et Pargaminières, et la fermeture du Capitole au transit automobile. C’est la conception d’un espace public partagé qui est mise en oeuvre. Avec Jean-Charles Valadier, adjoint

à l’espace public, nous plaidons pour une extension rapide des aménagements à l’intérieur de la ceinture formée par les boulevards, puis aux faubourgs périphériques, avec des zones 30. Les Toulousains sont prêts et aspirent à ces chan-gements.

Un développement urbain mieux maîtrisé. Notre agglo-mération a connu une urbanisation galopante, avec à la clé des trajets toujours plus longs et l’asphyxie automobile. La communauté urbaine a amorcé une rupture en inscrivant au coeur de ses outils réglementaires (SCOT, PLU) des prin-cipes fondamentaux : densifier la ville pour réduire notre consommation foncière, lier l’urbanisation aux transports en commun. Malheureusement sur ce point l’ambition res-te en deçà de l’enjeu (voir en dernière page).

Ecoquartiers : une aventure urbaine et humaine. Les écoquartiers fleurissent partout en France mais celui de la Cartoucherie ne se limitera pas à l’isolation des bâtiments. Dans sa conception Régis Godec a voulu allier écologie, mixité sociale et implication des futurs habitants, pour créer les conditions d’une vie citoyenne riche. Les premiers habitants s’y installeront en 2015.

L’occitan a droit de cité. La municipalité s’est engagée avec les associations. Cela s’est concrétisé par l’ouverture de sec-tions bilingues dans deux écoles primaires et par l’adoption d’une charte pour la langue et la culture occitanes. Cette base ouvre de plus larges perspectives. La municipalitat s’engatgèt amb las associacions. Foguèt l’obertura de seccions bilingüas dins doas escolas primàrias e l’adopcion d’una carta per la lenga e la cultura occitana. Plan mai de perspectivas son possiblas ara.

Une ville d’eau. Danielle Charles participe activement au projet Axe Garonne, qui vise à réconcilier Toulouse avec son fleuve. Il prévoit d’ouvrir la ville sur la Garonne par des aménagements tenant compte des différents usages : navi-gation, loisirs, continuités écologiques ou encore produc-tion d’eau potable.

financer prioritairement les projets à forte utilité sociale et faible impact environnemental.donner une plus grande priorité aux transports en commun et aux cyclistes avec un réseau express vélo d’agglomération.faire baisser la facture énergétique en favorisant la performance thermique des logements et des bâtiments municipaux.engager une densification douce pour une ville moins dévoreuse d’espace et plus conviviale.etendre progressivement la piétonisation à tout le centre de Toulouse, puis aux autres centres de vie urbaine.développer l’agriculture aux portes de la ville.

Retrouvez un bilan plus détaillé de

notre action sur notre site internet :

www.toulouse.elusverts.fr

VéloUn mode de déplacement enfin crédiblePhilippe Goirand a initié un plan vélo global avec de nouvelles priorités. Les voies cyclables structurantes sont privilégiées. De nouveaux services sont proposés pour que chacun trouve sa « solution vélo ». - 11 M € d’investissements annuels : plus fort niveau par habitant de France.- 97 km de nouvelles voies cyclables, 120 km de double-sens cyclable.- Charte qualité : bandes cyclables plus larges, bordu-res basses abaissées à zéro cm...- 4750 enfants formés en vélo-école.- Plus de 1000 Vélos à Assistance Electrique financés. - 2 fois plus d’abonnés VélOToulouse : Service 24h/24, 30 nouvelles stations.- 280 vélos en location dont 180 vélos pliants.- 467 arceaux au parking du Capitole...

Toulouse Métropole s’est engagée sur un objectif de 15% de déplacements à vélo. Il faudra encore de la volonté politique pour l’atteindre.

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L’ECOLOGIE CHANGE LA POLITIQUE

une voix différente à gaucheNous partageons avec nos partenaires de la majorité le souci de l’intérêt général et un attachement profond aux valeurs d’égalité et de solidarité. Mais nos cultures sont différentes : EELV place la transition écologique au coeur des politiques publiques, tandis que les socialistes et les communistes considèrent encore l’écologie comme un élément à juxtaposer à des politiques traditionnelles inchangées. Il nous faut donc convaincre et nous opposer lorsque nous le jugeons néces-saire, conscients de notre singularité, et conscients que notre réprésentation actuelle ne nous permet pas tout.

Transports : un bilan mitigé. En 2009 un ambitieux Plan de Déplacements Urbains a été proposé par l’écologiste Sté-phane Coppey pour remédier à l’asphyxie de notre agglo-mération. Malheureusement, il n’a pas été mis en oeuvre. Trois ans plus tard, Pierre Cohen, qui avait décidé de de-venir lui-même président de Tisséo, a présenté un projet qui ne répond pas aux urgences écologiques et sociales de notre territoire. Nous n’avons pas voté ce document qui nous engage pour des années et nous conti-nuerons de faire de ce dossier la priorité des priorités pour notre agglomération.

Francazal : un débat escamoté. Nous n’avons cessé de mettre sur la place publique la question du devenir de cette ancienne base militaire située dans notre agglomération. Aucune métro-pole européenne ne dispose d’une telle opportunité en son sein (270 ha), pour permettre son développement et mettre en oeuvre une diversification économique. Nous deman-dons l’ouverture d’un débat public et restons vigilants face à l’éventualité de la création d’un deuxième aéroport.

Eau : un engagement boit la tasse. Le retour à une gestion publique de ce bien commun faisait partie des engagements de notre majorité. Malgré l’audit sur l’eau et la confirma-tion que cette délégation s’est faite au détriment des tou-lousains, les groupes socialistes et communistes ont préféré

renégocier ce contrat au lieu de le dénoncer. Les écologistes réclament le retour en régie publique dès 2015.

Equipements : priorité au quotidien. Nous considérons que nos investissements doivent aller en priorité aux projets utiles au quotidien des habitants. Nous nous sommes donc

opposés au déménagement du Parc des expositions à Aussonne, pour la bagatelle de 300 millions d’Euros. Cet équipement sera à 40 minutes du centre de Tou-louse, alors que l’actuel Parc du Ramier est sur le point d’être desservi par le tram... Pour des raisons similaires nous avons voté contre l’agrandissement du Stadium en vue de l’Euro de foot 2016. 40 millions d’Euros d’ar-gent public seront dépensés alors

que ce projet ne figurait pas au programme de notre équipe municipale.

Non à la LGV, oui au TGV. Parce que nous souhaitons l’ar-rivée du TGV à Toulouse et le développement du ferrou-tage, nous défendons la rénovation du réseau existant plu-tôt que le projet de LGV, pour lequel le financement reste incertain. C’est l’option la plus réaliste et celle qui grèvera le moins la capacité des collectivités locales à répondre aux besoins les plus urgents en matière de mobilités (transports urbains, TER).

Des élu-e-s engagé-e-sLe rôle d’un élu local ne se cantonne pas aux dossiers dont il a la reponsabilité et il ne cesse pas de militer le jour où il ceint l’écharpe municipale. Depuis 2008 les élu-e-s EELV se sont engagé-e-s... ... En poussant la Ville et la Communauté urbaine à prendre officiellement position (liste non exhaustive) : - Pour la réquisition des logements vacants en faveur de l’hé-bergement d’urgence.- Pour l’expérimentation des salles de consommation de dro-gue à moindres risques afin de lutter contre la toxicomanie.

- Pour des moyens accordés aux maires afin de réguler les implantations d’antennes relais de téléphonie mobile.- Pour l’amélioration de la prévention des risques indus-triels.... Dans les luttes. Pour la défense des retraites. Contre l’aéro-port de Notre-Dame-des-Landes. Contre les gaz de schiste. Pour le droit vote des résidents étrangers aux élections loca-les. Pour les services publics. Pour le mariage pour tous. Aux côtés des salariés... pour le progrès social !

Responsables de la publication : Régis Godec - Antoine MauriceImpression : EELV ToulouseCrédits photo : © barlest - Fotolia.com ; © jundream- Fotolia.com ; Groupe EELV Mars 2013

Groupe des élu(e)s EELV de Toulouse et Toulouse Métropole27, rue des Lois - 31000 Toulouse

Téléphone : 05 67 73 81 39Mail : [email protected]