7r6e Année. -104

s, il fr.14 Pl.

POLITIQUE ET LITTÉRAIREA:B 0NrTMMMISTIS

TOULOUSE iVillol Un an, 40 te. - Si. -1.1, 21 Trois m,

DI5O'A1:TEMENTS.... - S0 te. - 26 4t. -Petite tlourse. broock, ministre de

l'.Krgyll, président dilParis, 13 avril, 10 h., 10 soir.

5018 ...................... 119.30Tare .... .... ...... 10,97

0bl igations lrgvptiarnoe 60t0 81u,noSouque ottomane.......... 545,62Italien .................... 84,55fiungrcis ............... . 91,511(o

Troisième Orientale russe... 62,18Marché forme.

P>OUnSE D- TOULOUSEil.xu 3 Avril.

3 0P0 Porteur................., 63 304 L2010*

' * « ....... *'*>''''«'*113 50

5.0,0 Porteur ................. 119

Chemine de fer.Lyon-Méditurranné0........... 1272 50Nord ......................... 1572 50Carmaax,.........s.

nr1865 nn

vuaeud

Midi............ . 383 25Ville de Paris 1871 ...........114 105 25I eueiére

30il 1870 NI,.......... 481 50

;10,01879. L ......... 490 xoNord-ESpagun Priorité......... 313 esSarxgusso ........... ..... 332 25Forges et Aciéries du Bueucle 102 esCanaux agricoles............ 279 50

l.iquidetiea 15 avril.

Mobilier Fran,ais.............. 705 en

Toulouse, 14 Avril

ULLETXN POLITIQUE

Nus lecteurs lreusereut plus loin une

analysa du discours de M. Clémenernuqui lait le tour de tonne la presse Lesjonrnanx modérés ont déjà rnmmrncé al'aitnquer n verront. Nous publierons de.roi me revu, de la presse.

. g ,HavvicenL or- indures; e i Province dans le bureaux dDilk, mïmsur, d'Irlande; ill. rus et dC le renon, conforme ana lois

président du conseil de commerce; M. ganiques. la préfecture de chaque département et

I

u a,,oNc-Lotve sera il apprit à la Chambre des - Dan sa séance d'aujourd'hui, le dan` e ,-x du chef de service desnains; lord Knmbcrla' irait à Vienne ou Conuei l m un ici pal de Paris nrefusè encore

1 nturesd etse l' ce13taset pour les départements dans

3 rvicà Conslanlinopin comme ambassadeur de nu préfet de police le crédit. de 3 e e0,000 fr.esq st représenté.

p ur l'entretien des armes des pompnerela Grandi Bretagne.

Le Doilq :Veux croit que le marquis rieDarlinglon prendra le plu tel'euillo des af-fairas étrangéres. Quant au D'ilg 1'r1c-geeph, il 1 n andr la oominelion nie lordDufTunin com ne vice roi des Indre, enramplacemrnt de lord Lytton.

Un conseil du cabinet aura lieu mer-credi prou nain. On njonle que la reine acréé le vicomte Barrington membre de la

Chambre des pairs. Si, Laurence palle, sirAn iser E Gaines, sir bar Ber lie Gnestet M. Bailli.-Cochrane eeraïrnt égale-ment créés pairs.

Quant à M. Gladstone, il refuserait dé-cidément lovation qu'on voulait loi faireà son arrivée à Londres.

L. perspeclive d'uo changement dansla politique du gonvernemant anglais àl'égard de

l'Orienta déterminé le Vati-

,. n à ordonner à Mgr Vanutclli d'allerimmédialerncot prendre possession de souposte de délégué apostolique à Ccns-tentinople. Mgr Vnnmelli ne passera paspar Vienne. aman, en l'assit dit, moisierendra dircelemeni à Consranlinople, Ilsera porteur de 1o11res de Pape pour lesurie, et de Mgr Nuna pour le grand-visir.

Les insturtioue données à MgrN'a-sont conçues dans un esprit

conforme aux vues des grandes puissan-ces sur k, question d'Orient,

`8' .I,11(aggj Pil0 ltp e V È E

Pars, [fi avril, i h soir.1 sourdes I té I 1, pc t :1 N` Le Conseil des mimetes AI réuni dalle

mn r le rt I gland h r ef d+ B Is- la matinée.ni, volt eti l f n I . prince ( ris; - La Liberté croit savoir que ses deli.th 1 T, qu f. .Iv r e ,I -_ n lent bératione ont porté sur les roux des cou-depuis s- I .' l cpe, tc nrc Jemrss on_ sole géneraun, ielairvemeut ans décretsallie, ou mourant, est a0eint, dit""" de 20 mais et sur les luttera des -Loues

d de des plus sa°.Imu,,s Des Il,' La Libellé déclare inexact que M.l.epere ait I toton trou d'envoyer

a

pérhor de Saint-Peleisbeurg Ju 11 au quel une lettre à c sujet. Le gour verneson. snnPUerui que I, raur a fait, 'e jour- ont interviendrait seulement si las ma-

llà, vrrs trois hvlurs il, l'après- midi, nne lllfestations pro. ont un antre carnetèrevisite a!r prince et a ordonné aussirét 'nn

que relui qu'elles ont actuellement.

eeuns'ldrs de écrues lPI'.'phhluesquirrix

'est- Le Nalionai a are que le conseil

deux fils du chancelier ur les roda ,mpreumcé rnitresles p oursurtes àl

tombe1m n b odes disenuuv prononcés sur la tombeà se rrn,hr :,après de leur père. Nous n'Ia, de Flourens.srslrions pas sur la granité de 'et évène- A l'issue du conseil, M. de Freycinet estment 5 us doute 1.1 politique t;é le du allé 'tues M. hepére.

g mv,r ne'nent dit r,,a lie erra pas.ilnc ntr, Ce journal confirme que les ministresn sont entretenue longuement sur Ira let.

gnmgdil arrive. To notais la J .pardon très adressées par les évêques pour pro-d'un honnie aussi consiriérabie que le tester conte les décrets du 29 murs.p mistrc du cxar, qui a 11 haute Suivant le National, le conseil des mi-nnrüirlld.ursitoutes

les mlffiires d, son i istres ne se serait mollement o dupé deI ,y'c la question des poursuites à rutenter aux

dupais un quai t de ne, saurait éIre journaux qui ont publié ,,s récite relatifsconsidérée mou plus comnro indl(Tércnte, aux bvènoments de la Commune.

Contrai remontlinr n n(. sr lien établi e quo ic - à certains rensôgnec m ontdn

plmcecet t. ch k<li ne s'effare pas

sa

Bansin ors surie prochain euvem diplo-

I linon r viqmu, ]ce nu inaai

un laisa

sens lessai'---

I.aGoselte uul'onale de Dertin transmet te,:M.IéonSny,amb d aLonduesM. Duchltel, ara bassad. ur A Vienne

Irrtmms r11-laines observations qui - Le TemTne assure que M. de Freyci-ontllu.e gn I d , mgmrla lice. net n'a encore reçu Il-1-Ils Protestation

Dl ns la jnée du 12, le cousit fé lé- de Saunt Siège...ai discutera à nouveau, sur le proposi- L'Ordre déclare renecto l'aseergonlori d'un gouvernement confédéré, prn_ du blouéleur die Pu?l-de;Dôme disant que

In blemm I le Wnrlember le dot d un- M. itouher aurait exprimé la il ratasse que6 pr1 lui cause h. lettre da prince Jéréme. M.poil

dit timbre. Il ne suait plus gnesuon, Itonher n'a Jamais tenu ce propos,dit le Tagblau, il'unc modification de la - Le dit que la consultationcanstit arien, mais seulement d'un change; contre les décrets du 20 mars est presquemont à apporter au règlement intérieur terminée, mais que le joar de sa publie.-du conseil fr.lérsl Eu outre. selon la tien n'est pas encore conn u.

(;-,lie nalienalu, le représentant de l'cm- - La Patrie rapport. que M. de Frey-cint dans une conversation particuliére,pire recevrait nu droit dl Prla renforcé aurait dit : «Aussi longtemps yue je pré -

qui ne filtrerait plus le chancelier de l'em- n .'dorai le ministère, je ne mo laisseraiire à soutenir dcrml le Bcichsing les e aller ni à l'irreligion ni à la persécu-

P b'projets il" conseil fédéral qu'il n lion. In'a votivePP - La Patrie dit que la gouvarnecnentpas'enverra une circulaire aux évêques.

Les journaux anglais élaborent des - La commission du budget continue

car' bitumions ministérielles. Le :Vorninq- ses travaux.

rosi omeonce que la reine fer., probabir. Le. sous commission (ministère de 1n

ent a ,le, d'abord lord Granville, m aismarie) entendra 1. i»ist,,, jeudi.

m Dl, Dore la deuxième sous-commissionque M. Gladstone sera définitivement (cultes), la minorité a demandé la stop-premier ministre. Lord Dcrbv eu lard pression du budget des cultes.

Grnncille prendrait le portefeuijle, des af- Apnée discussion, la son.-ca:nmiseion

l'aires étron ivres, et M. Lb I I rs Ledit i des a déelde de voter en principe les créditsg demandés, atln de rester fidèle

eixenga-

lïnances, 31. Goschen devicnrlrait Premier g.monts du Concordat,manifeste

I nais aloi conditionnélord de l'amit uné M. Ee ils. auraitl'inléeisur, et le marquis de Ilrtingtoa

quellee

NI.re

rlerme

é nlitutions républias

cadin'hes.ostilit

la erre. Lord Kumberlairait com- .

Gntsfi

neod reçu mission de nsi-', Y g.e ces desidee r dans sou rapport.me ambassadeur à Vienne. Le rluc d'Ar-

Lu

acommissionataa

refusé d'augmenter legyil serait nommé vice;roi des Indes et crédit pour la restaaration des euthédra-lord fripon vice-roi d'In I n,les, entre autre colle d'Amiens, et d'neg-

Le Times

r br r u I Nimonter le traitement des deux évêques de

1'Alglrfe.Gladstorrr taro 1 iii i -d,, Elle a résolu de diminuer de 100 000 fr.

1

, ,La feuille de la raté cr ait les crédita pour t'énseignement du plain au directeur général des manufactures de lin tout ne fois, qui puisse permettra ils donnent la trente un enea, 'Loiulltesons portale elle .

que lard Derb sera appelé au ministère nhaat dans les rnaitriaes des cathéd lotos.. l'Eltat, ministère des Onances (Paris), sans a . s 1.1 P f. (lot. -t . -li, t ..r, , Inclus par dont la ivre lesY et de réduire les secours accordés aux aifranchr r. I 11 p M, tricot DUp t pu se ir téu, il r p rat voir modifier pan un

des colonies en ce cas, lord Sclb,o*urnui

congrégations autorisées d'hommes et de Les candidats pourront prendre cnn I p t n f 'ro, lui aussi, un p do mtntiehq ue ,acte législatif unilatéral le prix des pro-deviendrait lord chancelier i lord :'mati]- tentures. naissance de l'arrété ministériel et due eu canes de sa cmoPiraoee. duits venus de l'étranger.

DEUSIEME ÉDITION

ADMINISTRA-1111 E'i REDACTII?N . IRUE SAINT-ROME 42.

Mercredi'I!i Avril 1880

-L-NN'C)NCPiSLes Annnncee suas r°eçues A la. Société géaénale des A.nuonce s HAV At3, LAI'ITfl et Oe

A Tuucueee:, rée d'Aleac'. .rraine, 40. - A Peuls, place de la Bonres, S.

Noue aurions ..noie gnelques peti use léser...à [ notamment ai evaet s'ose quealiae dep rs nr l'orateur a m, i, i trop

Ilsur 'Il allia on vox travaux de Iaxu

qvc se pormetmci trop fl'ilemvvu remit nos mu-tcipalltés Cette sllaaiou, irô,, 'us, conty deus la

bouche de M, Pi .val Dorrs1, car alto s'xpplirrnaitvol Opéra do Paris, a été nu peu trop vi-

ent ."ligné" et detonrii, (la desion les,quoi sens), émut donnée In rés..'. au bureauuu davs le salle de plusieurs membres do In un-

Eu bion quo l'orateur nuit ..poséurgi,mont n vo n, sue le

,que. tioo

meq e a, sur nette

dI',

il,t q n I lliealoi

iatérét 1os développnnue ts lo M.Ya=cal Duprat

Pour terminal la sisaal, M. Idny a ch¢leu-mont remercié In cont'éronoier, nu nom do

In popvlnl,un de notre nulle et du comité, ue luidisante non pas n,lie¢, mais au revoir. n

Voitt 1. compte;renon '1e soit. réuion.

l'Inde; le duc A l'occasion des bourses des séminaires, Pièces q u'ils auront à fournir, à Paris dans

renard; sir Ch. M. Loakruy a dal n lé au goura eruemenG les burnous de I direction générale desertlas sema,. manufactures de létat au ministère desde surveiller l'ens n n

n

La courd ,t

ça.d at nio n v i ont de j u go,- qu IlRomc, 13 avril. dans le cas d'un accident arrivé A un ou-

La Chambre a élu comme président M. tt crier, l'imprudence commise Par ce dee-Coppiao, candidat mh,istérlel: 050. couva In respunsabi!i té du maître,

lors qu'et est constaté que cette umprn-demce cas la s..Il cause de 1'ac,ident et

Bultest, 13 ai ,11. n 'il n'est relavé contre le malte aucunLit Chambre a -Il le

traité

de com- fait de négligerme nu d'imprudence, ayant,dans n re gnelnonquo, contribué A

morec avec l'Angletorro. ddterminer lfarciden t.

AUTRE DÉPÊCHE,Paris, 14 mars, Oh., matin.

Le dément l'envoi de M. Chat-lennel-Laconrteemme ambassadeur à Cous-tantinople,

- La Justice réclama ]'élargissementde Uereeasostui.

- Le Rappel demande 1. séparation del'F.glise et de l'Elat ; il croit quo celtemesure ne

troubleraitaucunement le

pays.- Le Journal des Débat, critique les

lettres des "vên ses coutre les décrets du29 mars ; il termine en disant que ces dé-arots seront exécutés.

- Le Couselilulionnel reproche au ré-publicains d'épurer méme la liberté.

- Le Parlement critique les décretsde 20 mars; il ajoute que si les évêquesne séparant pas leurs causes de celle descongrégations 1. faute en est au go.vce-

Le Soleil dit que M. Clémeuceau estdans le vrai; l'opportunisme ne osai pasaboutir, ni accorder aucune liberté.

Los élections de 1880 décideront seu-ils du sort dos libertés de réunion, d'as.sociation et de la presse.

- La République française engage leprince Nupolénn à se

'cuir tranquilleet

de 1 ter e a s do ne pas fa e t np debru t t u 1 lui; la Franc. nt pasIl Il

d'h umcur à s'en nnpnoce,1,e moi io jour i dit q 1 fit

élu i' qr Il t Lion lq 4 hutmo 1 plus I ch. f tsa, I te d la ie ludru ts de I Etat i a vos les pétentr n

cléricales.

D he de PUn"t5 au 13 avril.Spiritueux : 73.

Chronique LocaleBien que le projet du ministre de la

guerre sue l'ave,rent ne soit pasencoresort l o l d'plat, il 'occupe au mni le Id Cedd(,li ri des programmaslest mettre en viguerie la lisp, sit on fmda men tolu de ee propos, en vertu del.,gaelle nul dans Futile, ne Pourra dCsor-

e obtenir an grade supérieur â il .'ales cou"i onces nécessaires pour rem-plir les fonctions do ce grade.

Des épi05ves d'aptutu le seront, eu cou-séquence, imposées à tond le, officiers qnndo sent xn an cor en grade, soi l: A I ancrer t üès complet quo nias ahans pli s louesnoté, soit au choix. Ces épreuves varie. v. b voleur Ira argu,iient d. 1 prés paront de Caractère et d importance en rai; l'orateur. Parhsnn déclaré du lubo échange

son des emplois. Elles rosor t ab1., M. l'osent Truprat n'a peutëtre ]11- abe csp as

àdix 'x-Leu, hont

pratique,,pua. Au -

traire. elle S onttlurtU

Ut enlaissant toutefois uns

Il' L se

gêneplace des cn

rai dalots. spécialeset

t ralrs des cain-u rient,. Dans ces rouantse s ue t

relever bientôt le nivouu tI ttel [etsi 1 otre cures

d'Cf,

qp r., dans

leq l on est radie trop 0m lm,is sous.endC au travail et au

s55avoir

la justicequi leur est duo.

Le ministre de la guerre vient de déci-der que les médecins militaires démission-naut avant dix ans de service ne pourrontpas étre nommés dans le cadre des officiersde santé de la réserve.

AVIS

Aux termes d'un arrêté du ministre deslionnes,, eu date du 12 nuls 1880, les jeues gens sagou de 21 à 25 ans, qui sans

avoir été classés en rang villa pour l'ad'loilo. ont été recousus udmiscibles à

l'école Normale supérieure (section riessciences), 9 l'école Polytechnique ou à l'é-cole I'orestièee, peuvent sansavoir à subir

examen préalable cten étau lelranchisdu surnumérarrat être nommé véritica-tours stagiaires de la allure du tabac autraitement de 1,500 francs.

Après un an de stage ils seront titulai-res, s'ils satisfont convenablement à un

f l t l t b

La Cour d'assises de la Haute;Coron neouvrira, b Toulouse, le lundi 10 mal 1880,la session

o

1 du de.xilmn trimes-tre, pour la aunes. M. le gardedos sceaux a nommé, peur la présider, M.te cclaillee Nayton. Une o ,.onna.ce deni te premier président de rSaiut-Grossevient de désigner comme assesseurs, MM.Causé et Laurens.

Une seconde séance de musique reli-gieuse sera prochainement donnée parM. Georges l'ouean dans le basilique de lallxnrade, au bénéfice de la Souillé des ar-tistes musiciens.

M. le doct.a, Oise-m m , directeur del'institution duc Dêg..ls de Pres le,ouvrira, à Toulouse, le 3 mai prochain,

n cours de diction à l'usage des bagues,hdtol du Midi. Le cours d- vingt jours.Trailement spécial pour le blèsement, lebrudo u ille,nent et toge les autres défautsde prononciation. - S'inscrire à l'avanceen écrivant à Paris, 90, avenue d'Eylau.

Cours d'horticulture et d'arboriculturedu département de la H¢ule-Garonneet de lu ville de Toulouse- Profes-seur : M. lI I R t unes.A 9 heures 1 matin, j rdiu de NI.e, r ie des Ilécolh.s, _t,.

Simili 11 cours il. jnud 15 11850P y eur do la branche il finitd y 1 ornons et luommtees.

sertirai. de M. 1-aisolait1 praat.

P eévdesee deM IL07Y, protes,eni A Is Pu,,ultéde droit do Touion,e.

e »nbronxLa Pnhlic était, Innlioqnc la veille dan' b colle du C.er)ne pour

on-rond'. M. Pascal Duprat parler sur le libreL'Os lo.é.haag, et L'abolition des .ouata. L.

du sujet snfft à expliquer cuita bots.lim, ro-

2r NI. R,.n. Iloe-, a loidoui do cette . ndcp tort d'abord la pool. Pou eéa,i , ]a

1 t on économique et L'Itut de l'op,ruon Pvhl 1

t i n t i mi Lu savant proacq tt 1 LIAI n,ecuu..laité

t . y ont ro aarga,ables ob aussiva grvnUln

M. l'oral Duprat a parlé ensuite, pendant plus

quei a geoural, q., ourle les l,otoot .teeNos locloars i,oa on I, ,n'sr, Par lis opte;rondo

l t .o 'a ici son andilo' q pros li

d-nultl.,r prrteohorù f- tannedoute appris avec pla,air par quel el,,.bll dele,

y lu, Il ]b h g:t cool ta,vnt reè_ Ilo mpli t ,t t I 1 Notons d'a,llcurv

t d 1 fier b nuet,onas. P .,a D01 t p. 1 ,i,iné lo sisièounauquel M. ILnry a daclsei xdheesi etnngn.l cou.

tt lue , s inoon notre p t 1 d

t t ara. v o des d n lu hiesquo pd...,ale, établis de tapon à protège, le ha.ait national, dada sud mesure juste et s Indu-

coueomnmto¢r av profit dublt, sans écruscr 1.pruducü,ur.

Yaecal n-Rtmar u outra que M.q uns,y rat, qui s'est loua dcloo.t, loi tenon nus les od-

uncoa ,les due fora et de'a bllill. n'upusp dit ua l'n ricultvr , est-à;de du

ini(

mot

ldedo

eisaait 1 plus votre région.point qui

e

Chorus frisant, l'orateur a fait une Profotsimnde foi un profit b t 1 t t t'q S'II,.toute, demi leu 1 t 1 t 1'-quo libres éoh ng,etoe Il prolo t vai,unstondent étayer leurs théories sur les chiffres,

,e fin do coolIn, b statisnque constituele sons moyen quo aune ayons de juger nos q us,'minus diffloibs. Sana d unie e wrt ou pouf dirade la atawst11n0 tu économiu politigno .que M.11ushey disait des mathématiques ar pliquéos aux

natnrnllve:uom parent les mathématiques,les chtvrts, àun n,onlln d'un irava0

admirable c pabl d au,lre ù tous lia ducos,da finesse, le savant physiologiste an&bis ajov-

examen pro essionne s sone s i ien tait : , yb,isIl

qu'on rire de ce ouun dépend l

signa:és. s de co , nt'.aime lo pIns pufait rupa

e l'a e

n' duqu

criactivité féconde

qù onyn r r lu tondu % 'o Ins à u sPour assurer a". agents de tteraté;ne

qu pire

m,alto

e

du ont dn la loi qu'elle .ee seraIn

las troublée parr industrieorieun avancemenC SUffrsa mmneontra

,ideg on s'y i,mtdonnqno er

des cl'o's d e des rlvaude ra x étron erble nom re des emploie inférieurs vérifie fdateurs à 1oc500x fr. e1 m800 et lus ut tr.) est n pois, de

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c

o oud. iIl

me des pages eo formules fou do .lis C'es[ créergr

mp'E qai nentrechiaree)noro nu hrurovspaeunresultat corton

,

point dans les caisses de l'Eta t eE qui estlimité pour 9nx ait tiers an pllls de demi r d qn aune done incertaine. n .de,, emplois TAv},ana donsupérieurs qu'ils peuvent ôtrn { ° j an tond organisé on faveur des particu-

Appelés àoccuper. pas mettre ara cossas da pois dans Il moulin bers.Las demandas d admission dos candi rats d 1 t t t q t p cola. e uumillona nv N1. Pascal Duprat est aussi de ceux qui

accompagnéee d .piüces à l'appui devront dis t 1 b fl nul aiment que le question des dollars. soittons pus nous prie as cotent ei o. nilmle regrée par des trottés de ramniceee. Seuls,être adressées la 15 mai 1880 an a ins tard

ALLOCUTION DL M. HOZY

Messieurs,

Je tiens à vous 10 dire de suite : c'est àla priera de M. Pascal Duprat que je prm,dmla parole. Dans votre Intérêt et dans lemien, j'eusse mieux aimé nus en Il tee ter dela lui donner. Mais ils pensé qu'il étaitbon d'entendre d'abord un homme de larégion, un habitant de 'loulous., affirmsrdes convictions économiques pareilles avx.tomes, pour, établir une spéce d'équi-libre de température entre Iii et 1. con-trée qui le reçoit.

Vuus avez entendu hier l'homme politi-que, le républicain et le lettré ; ee soir,

est l'éoon oulune que vous aile,, applau-dir. L'économiste, c'est.h;dire l'hom me q.idonnait 1,5 lois non écrites, a s pluspuissantes que les textes promulgués, quiprésident à la formation des rlehosses, àleur Lireulueioo et à leur dieiribu tien.C'est vu problème de circulation de rchasse, soit antre les nations, soit entreles régions d'on môme pays, que l'orateur

a examiner devant vins. Cotte circula-tion doit;elle être libre et mus morave,ou peut;elle tire, an contraire, enchaînéepar des lois restrictives

Pour la solution de ce problème, n usm es divisés, comme sur le terrainde

la politiglue ®uatre systamosse disputentles esprits :col il, de la prohibition, celuieu ansI l plut t celui q l dIl

II_ aIt pLd dn.- q- l f

lui, et l lu libre h h absolu.L a dru 0xtre n s t l 1 lh n t.Le 1st Prohibitif 1 t q. les

a tins formassent leu p t li tors lesI aiu lits Pb ng, s t bl t entreelles

une ..,aille do ]a CI . (. imamle doutent nnmtenan:, loregne la civiln-satiun aaugmenté la variété des besoins,qui ne snru raient lire satisfaits que par despeudnits exntignes? Peut-il d'nilloursré-ister iu!'org'anisation dam chemins de fer

et à l'invention du télégraphe ? L'on essaiebien de le 'lettoi, encore quelquefois, midisant lue l'état de guerre fait nue loi dchaque peuple d'are indépendant de l'é-trar gem. M t sit ut de guerre n cetqa'o ne passagers; et l'on u e Susrait infliger à une notion, en état de su nié,le régime exception nrl qui ou oluvieutqua l'état de maladie. Cent coimposait a5 un homme bien p orna ri l eI linglotte. de prendra choque o:utiu tous lesemldes qui peuvent prémunir cu guérir

les maladies que l'on cet eptihl dpo avoir solilrir à un moment don.é.

Le libre échange absolu, à outrance,n'a pas, lion plus, de très na,nbrouuxadep-

s. Bans doute, c'est I i l i tt--'r 1car il supposa l'intime I d t p p

la fraternité des peupl , et est laelve. Ce que veulent les économistes lit,6-roux et il n'y apasd o. t-qu ni esoit Inberal est l'egradueldes drots de douane, a imsuro q la enn ilisatrrn grandit et que 1 f l odue-trico de rh { e anion augmentea.,-

La chose est bien emrtame,avons approuvé et Dons no repous-pas encore tout A f f i

t u q lqdroits de douane qui t, .rc eà 30010. Qu'on ne nous combatte doncpas, à moins qu'on nue ait ignorant ou 'le

uval'se fol, comme 3 nous étions deslib es échangistes aveu, les et à outrance,d

Le débat se restreint domo il vo lasprotectionnistes et ceux qui ne voientdans les droits de douane que des mesuresfiscales.

M. Pascal Duprat et les hommes dor-s lesquels je me range, reaonssent le

sastlme protectionniste par les raisonss antes

uns Cent violer le droit de propriété quadu

taloi, un consommateur à payer, par

gn'impnee le droitla surélévation de prisde douane Aise produit 1 pli don-sidér able que celui repréel ntant la

aile r

de l oet au heu de la Production ;2s C'est créer un droit nu profil; et

'est fours ainsi an socialisme plan aglu et Plus injuste que celui q,ti assurerait le droit au travail ;

3e C'est enlever l'aiguillon de la cair-

pu dit bien qu'ils gênent la liberté desno liG t i des tarifs. Mais qui no voit

quo cette huilé. pendant quelque t,mp-,empu''b [os repreenil1,5 que l'étrtnger ne

angnerail pas d'organiser contre nsi nous preutuns la Ilberté de relever nostarifs contre eus P

M. Parai Duprat pense également qu'ilne faut pas Vlom er, - comme test 1.nwde aujourd'hui depuis quelque temps,dans certains organes de la pressequand on voit la Francs importer etirnporter môme plus qu'elle u'oxporte. Ou o, I

agit .eiuai, c'est qu'on en est encore àce préjugé ,lu rnoynn-àge qui ne voyait larmhIlle que dans la monnaie. D'ailleurs,est-ce qua In murmure espa st h ojnorsd'un pays, paroi que ce

payys

i ipun i YEst-ce que l'étranger loi vend nier, nousn',y adulte pas aussi? EnUre que les règle-ments do compte ne ae font pa, bien plutôten titres de crédit qu'en mounaiet

Ne faut-il pan se réjouir, au contraire,lorsqu'on voit importer notamment d«sobjets d'alimentation essentiel,. c mn ecela a eu lien l'amiêa dornilro, on biendes rnaiièra poo Halos que l'industriefrançaise met en rouvre?

Lndu, si l'on importa, c'est qu'on a puaeharer. Si ou a pu acheter, c'est qu'on apu payer. Si on a pu payer, c'est qu'on atavatllé, .'est qu'on a créé des produitsqui vous donnent la Pais - er d'negnisi-t,on. L'Importation suppose donc autantd'amict té que l'exportation.

Voilà pour les relations entre nallons.Dans 1'l u térleur d'u a môme pays, M.

Pascal Duprat, novcnn l'impôt de l'oc-troi, qui ressemble à une douane intérieu-ir. Faut, l le snpprimort

Sans doute, l'impôt de l'octroi est déle.s-table

Il out al assis sur des a.tibres souventssentielles à la cursemmotion Ie.Il pss1 sud lquefois avec Plus de is o r-

sur les personnes pauvres que e sur les persomme aisées, cor celles-ci consommentsouvent dans ode objet moins largo qnnles_salisplooLières des objets d'alimentationvoea151uo

;lt décourage un pou la production agri-

cole qui fait Pénétrer dif(Jriloment ton,ses produits dans les villes oh exi'to ouoctroi;

11 e. t v xato d mot en perceptionCuit t.ux à toi non[es,;Il donne lieu a des résr sta ires qui se

pu odaise t sous des formes tonnants..on ,l t. t t t6 i esse lelre,

t eh d t. J'tête àrl cuirt t e l l t, 1. Code Péril.

G. t ] c s jugé Pur qo,iemplacel loctroi s Il rapport. pour G une

la France, su faveur des 1.534 co In osqui le 1 4a t arc le d, 2JA nnilIrons, fini . ul fours i t 126 mi linons, aToulouse, il don oe 2,850;000 Pran es su nnbudget de 4 millions :159,000 fr.

Je n'ai à rccumlmunder à I'oratenr"aile précaui:ion; mais avant de 1imolie,ne flul-il pas avoir assuré la resueal.ruc-t(on? il. Ménmr, nutammenl, proposabien de remplacer l'octroi par une taxesupplémentaire sur la propriété belle.Illis colle propriété est-cil, la ss ale à1'rûte I d p' -es auxquelles âubv ieutloclro . Il, ait donc iojaste de lui enfait, Bp

1

.r la, Ppression.l,q a aboluiesoctrois son, doute;

s dans ce pays ils ne rapportai et tquo 13 m, Ilions, et 13 millions sont plusfaciles à ram place que 220. Et puis, l'i?-t E a p I mer, eu faveur de. co nI

es privé. dorhrol, une part du I

duit des postes et des accises; notre liai,sit faire autant.

(nest idouo n e quesoon délmate queaille des octi

Cent, j 1 eu Lntentaon dn prémunir lundi topo coutre tee attaques sileg, tira q 01 P l D p a t o us

faire n.il,e outre loetnou, :.lu jeis la prnder.c.C de don esprit, et j'ai tenu

Ramer pli .I d lui en cousu t itquo la lîfi It c' trois t r e

.:bar le q p t N 1'-d'ors mmutu conquein nosolu ne

Pupularit+i malsaine et ils montai., 'I'if l0 4 d'abolition i'im

p,t q ne serment pas ummélr t raoutréa Insanes.

Vous 511ez d'ailler rs juger Ae la canmo-

n

n do nos idées, curje me bête mutin delui don ren la parole.

DISCOURS DE Ni. PASCAL DUPRAT.

Vous venue d'entendre le commun foireI le 1. indu tont

tut, t . lots lusurtout, In I pas', a n , cc se lu.s cou,me.tatevre Je ne pas traduire exactement Wpensée quo ren fdrnun le livre.

Je regretterai profondéineut de nn pas

partager la promesse f t:. nm par notre honorable pie idem.

lre que sons s. m'en coudre,, pas.J'aiil e mensonge en horreur. Aussi expri-

erai-je ici com Piétement et sans détourma pensée sur les q.estloos complexesquiI ré 1000 peut si vivement toute notre

oc n, le moment.Je Il e décrues dès le début du ce dillor Il,

je uis absolument et ('ranelsemen5 u,p vr-stidan le

lua liberté rooil,b,ale pour

toutes les traneacüon avec ente titrepour la circulation

de

es idées entre toursles peuple..; eu un mot, nue liberté com-meroialo, an dedans e au shors,absohm. C'est a 00r. Lire que e je

suis

l'ad-versaire déc'aré de tous las d t do

d ir .t 1 adoualo ré.l avec tantles point t d.r es(, leu

plignerau tout àlh_a [o quo), sr

tien q I i t doctroi.D'os 1 p- 01 Lion des droitedo l "Ils,

li es to de.x éléments bien d ,tactsqu'il faut $e garder de confondre.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

M

Le p et et A le r'sp te v. e luusse jamais inspirer que par le droitloi tiers, 1 a d le 1 l'a pt et la ustice. (Nouveaux applaudisse-t'e ssit ,tait que l6d , essai le droit I rats)yaalilit 1 f l nn1'1 F e lin, cette eireoi t I -il

M a I r. est on autre qui est le lot t'a- fait quelque chose le coupable . E,idennprie et ,lote-y- out pour batr réel et t 11 eu pour ainsi dire , ce,t d l'île payer au poducteur m t1h un e - i 1 out 7 hnet,tc. (Applaa-e Il

droit pf n élevé: celui-là, je do t ) Ile . t dit Ntala cep g luemon i. bo tore d'a t 1 p I b' i til'

La irett pcl çu à l'entrée des villes, qua- q,i n t a t i Pro ttillé droitd octroi, , 1 i objet 1 ce qui p y t ne p artel ,e, hl . 1 t 7et po or but un on té tg6 I ,in < Trésors tI'E manie abolit laL l b[' t

d

pi Io

p ' ales la 150 i'e'iu t 7 t 't, I1 11 nts 1 1 t té e 1 de huit t iare stri out l a passro ,I des

-.` f être tt ll d t 1Oo Oérot . ,nee éa3lne renferma tua l'lsjus- I p fait un traité t I g. t t

l t li Li t l tn s' 1ge e aam,moA p é 1't M P c I D pr t j a- q I s pro t. t t. tic la t

b o r t , P t r Il L ll d'tl f Ibtlt data, rl cet ta il m on.

Da alla 10 tai lC trot avale ,a net 1 Nuit,depais q Ij o s, la paltstravo . teseti.In d' a ,l'os sis air, l'an hlfue'a tout d. , Lx Repn ,In

é la t q 'll 'tri f 6,

pi d . t tt t d 7 suâtht I. faisait ri1 .tir nu1L e eut au loli odece e.nt, que le parti protecliou-

L tl t g ilé te .yst o0dont l

PI. 1 ,N` l

(.t i1

tq I - mal oxrte t taon Imin, rte, eu qui, je i relise bien, ne an

ée j lP t tri de supra e l t o

lis disent:Nous ui o, paieque les cotons,

le'tin tilles t t les fers soaf

front -parlons d'abord les cnl,.e n 7 trio

lits l E Ile. Il serait ail titise, les lit ris de ces pr.Lect ira Istca ie

Maniant a mô i I l t t louis lis la,

1,Jat va des faabriques rmpou'lent non Pusl '

la fortune, et le ir marche était des plan1 I il y

salle de tt L t- Le't la.hi i

nlarlieu do

s'

lfsiblr,Ina a lait qu

Mais, j toi f os t t qu sontleur, pont é et l pIl t, i l s s s u j s,rat t d, m furie

tr qni de munie avec 1. protee-tmn.

toue p len, a po b le yu Pinté1 v t â . sont

a i' ,' s , ne e he rien

lIl t,a

e t f 1 l' 1 pliil,l l 1 g atome rie to n i', Ici jasais s

rttra a i amin à l'et-privilAgos sapes par la révo-

éelan t laoIl, 5f f t t

sue, I i pré t t 1 ptx I C I salir Ili i t t h,a

de la et , , , o f t, I il Il .'111111q

la . L i i it produit en désespoirde ça . Pionne.

Il y ,t le ne durs pas la 1 .railsdans I. vb.i, ii 5vr lui mute pietentientI I t, 1 I picsttL "t II t- q rendait1., l l,s u n i o n , elle 1e r1 t nnprit spécial NousI -il t I i'ti l'e)tils hypo

iL - r t u j "i, r que latiti l lt l ont dan,

L tel t .I INéo toit t la1, ro tro l'y 1I oublient a,.

j sors' I un d pela r mi , qn slip a no ce ttmyt qu'an olemer,t.

e ui lo la ,.up Iite;s rnlemout il loi leurpeau t l' de l'étaler au grand jour auxye Ix 1 1

Po, vois, Il Il do oint la. - Je l'ailit, n ou, voie ,,, h outre ducI in',, j t t 7 t f irae Pré-

l' L y l l 1 tel demandela "Il t' entrave., l'unie

Tu ol, cet o nt mortel, ettant

di,tes,voile ses

pospétas lo cette Il-

burté,r dé,,ocre et si vivmment eomhat-

t ettrés at ava ont't d,. {é'id

rit eIl ie s, pin'10n, ton

n nu . a L'homme, né1, ra.,I ar lie, ;-l eut outil,, cieentuoa9t d t I, U p l'la' que

joot lit.un, ,]o ,en .an,ll irrle Ion lit oitôh fit A rit pied iht plat

ti l t II Parti po'-' r a l f i lo n , i y IF allae,t nj let v,l, n Ire 'm,ré.

IlJ a I ol p I' l 'eeIie11-Ili

1

t)= U a l tl )u s..lqF 1 Kit, I II saventt j d t qu a

1 i t hl e volentp. I, {' ;a 7 I.

01, lis t t ., leBroc., I o I u

chillr I t' I I I i t1.fuojtebj t. lusI t I l mitré, ,trit le, h'II ea I , I cl' ai e lins rie

e D igné na1, I

n s j L t. t I t a,nu, réunis . Il I ")"sale, t,xt les, lasIl;

.fers ul I.v h ,u Iln,.

ils ,1 1 à t r dans leurnulploto l", e t l t r , ire Ils Icur ont 1 t:S,yr, p t é par desd ) t tu 1 "da,,, Voltel' t l pionne,t s , G x c, le, titi tan u, twist pen-j.,tt f I . I t I ut-.

tqn ., Ire roua phitr e,i' Il s tarnp .Ii lah,t, fo rut on jean tout

, t à la Chambre pont bien

,F 1 L L _ pt été quo[ nrI I 1 t I s

Il

vl ons ,i

é,;, st"" 11 lut pens° lue liI i- 1t la t t clo,t n, t III t ] . iii rts r,,el n ,

1 Il r ..

Le, pin ,,t , I,- la proteatmn des cafég " l 111 t ri t ÿ Iaq

`i1 ornll re t lapa s pi us 1 in{,t

,:"":,i,1,' peur travail, quelque ad ..Niabler tari ' I Ie, I et ,nia

1 ça 1161l, l' .x ,tai d , hailosel, 18611,t^,p II .1 pouel tlur

ils 51 I a. calhil"'l

t, ,j '55aigu ad.;niln. re (ApplauA naira), ira par je no

ISIJILI.t?TON UU OU2NAl DS TOULUOSBDa I4 Avril,

NI, :e

L'ÉNIGME DE LA BAGUE

était

NI. Psny,r quartier, qui appnrheutl lu

' l i t a tp oses ronsiderahl ,,o 'il fait

luter, tant en France quà létra nger,out peu em ha,men e avec l'état eu dé-

,sc dont il go aida ses congeaéres.Pour moi, put n s quo ,membre de

la punie 1 IIIsuivee(ili os et p,isudrsse,t) je mea I "tt q I ,tes. ,161,mire t e g and oa rien'lit le ,manne de se, opd"atins fnnnarers

Arr f dntltplott,a etla furiication pl l C t sont lem n)p plia le so t_s atonynms qua chuqou année, pubhe.tleur état de situationet ,l b 'bis tl le 1 i l'C'elf,

ri,soi vateuré q u iin le lsauraieut fiatdernl e

loi.Voilà p les fats Mars pour tes home

te c'est bien pire. c a que p siout t I r e Il st

qtCon N plie, un uun immense alléfit (bl 1 t )

L 1 t des millions de tonnes de}toril,,, n est il pas exact de dieu que c'estsa p I t ft sur tint l bnei d 1 t -, et sites,,t btoc, ' I L

ibt bL t Eh'h bien 1

a l aqui 1l g l

' t t l n 'fume et qui ..lit l jIri I itr, nhesl sans oepena ,r td7 ellesq. celles qui exploitent lest t les su-e" ot,

U x pp p t servir à j t l er lIr j pé.tledle 1 timL,

i es l'A n , don t lest t ,s isr' raiIl,tif i r' Y i 10.000 le, irontaI h ! 1200

élevéG 'IL " [à 1 ,elle put '000 I'lavéu t u apital d un I,rail ah tire.

C'est topo ,,leur les gaie ecps'és quitl plus, tuai, ils i'file vrirepr6 I

lu I une, la classes,envrtéro

eY les saIn ores.

Mais nous leur demanderons s'il I payentdes I , io é Hiles t .vu, et

I t 1 t bases qua surIil'a sonl'en tl i b'. 1 lias hie,

v mit allie àl sonole p u 1

oI ) ,t ]q

puro

travail L I b d clin gji t 1 l idu ti te et lao eus o I I111^1 I

p(Ail plaudi ssanen is )

ono.ea In met humanitaire,t p ,fan son, ares pénétrésamis

av l",.,'Il Iri,o . (AIPla.diseéitics lsss,( vous

Ici le on for t xcen S nisso, Bolgiquo ou il a traité.t

ii, ,l S tint Ncol seo t l t naja

la < 1 nI ag r.

les onvrlers à emnpositic aura lias pa-trons

En trois 'lissa dot Sl 1-.,,-.1 Il I at,I t t

rtsae,drsent que l'Exil nou,,,v

Irenver<enx Oui, diraisj', it loue doit la piotectnen, 1.juatice, la

médecin, da loin en Ici" celles da deux outrois voisins fort peu riciéatifs, tels que

clergyman ot sa femme, personne noIrfi an,hi,satt le 1 1 I .raison dunhaut de la semai à ['satin quelq

.,es

rasorties au vo t fur ai Ille, pont! lemoilis

tas, étai t In, seuls évAtemen tsdesla vin de Dose Court. Comme Iapl uI,attd'a leams Mlles Il)vées à liri(,htun, alhalMa Parley avait uni'-il à mont,,à-h a I et plus ,Plus fois , son. 1 tdu martre f oqu fanon, elles tait melce,avec ses eu .pagnes, anx cavalcades quipar"nraient les alentours si pittoresquesde cette ville fashionahle. Maintenant, hé-las I cet exercice si salutaire et si pis-sant lai était interdit, non par lad f11-cmlté d'avoir u cheval- Mes. Sanholln't tt t peint avare et n regrrttaii ride ce qui pouvait servir au nier,-dtee de salieue - mais par cait. de eot'taises eus-sidérations particulières. Marion ne piu-ut mont ,i un groom.Le j-l I)ngt' p 11,05510 Na la tait.t la merci. fat finalement abandonné

où imptat e bl n'a an ortuonijour , par u ne ncroy,b le c option à

es habitudes, la vieille dama,xayant re-sarqué de l'abattement dan, l'extérieurde la liane aile, s'éc.a par nue sorte d'insgiration

a Mail, non chéri ment n'y a

Un dépit rie f ut le luxe qui l'in iou raitr. da I, bonté do su tante, l'nbeenoe de

nlatiasl'Ii,,, etde société,jninleàla posl-':n

f r - tjM pidyIn t tp ,blla. v e ., la u II, tq b),I.n a p r,non I, utg htol, l'lég'nn, Il ,Je l'i : ,lu ge. U n é-tat dan,, pas oWnnanI qua sit m s deré,idenen a Dene Court eussenl éveilléd an, l ema de 1,.. jeune fille un sen turentrlr rPh.jlli'n ,entre le ,uun utnnie donnete , , , x i . t a r e t Cep, ntl a r t , nuilententil,-eaaria Mi mon

a i " >ré t ,u

1a tante no p gé plutôt? Rleu u

fiosait pou, elle; cil vaut Ira instincts' p&h eu t l iuvabcnd'rave^nssraisaete,élis s t I D ait rien par r, de les' o pis, ait rieuse, i e telle créatoriprit pile t, riulesna j t entait diras cnpahle de gon veiner u ahe veto Il doitI.ol , Il liéI.u 1 i rte cnn y avoie dal, 1 plus dunet in t I1 la it once que fille de fermier d aube ratég vouslu' n1050,1 sa via de e elaua, âuriez, en entre, ]o groom Pelons four

Si l'on excopto la visite périodique du vous ...,te,. Je ferai Prendre des infur-

r t n, pas y_n, p qu lr personnes, pain sans exagieu1ion,11 nen taie , I Unat ne leur a pus dit : l- an irot-Poirier do 200 frais cs par anaceslnlric t fo coter, marr.l,aud de e Il y a molli let petits empleyé,, i

d tsar da itconb 11 ur à faillé 1 i0J C, up

tuif 5cnti)ea dont I

tour IihOu ted'acsion et, :l a a inter- budget.,, t tnsn fhaants. Cest surtouts1 filleul, t

f lit, f Il Ih ., qe II

ni' enl t l i tta L) i{ r noi, e t u f 6 16 lusrit atreclaoF o lantdo limaient. 1 qui nef y- t jas plus cher unhtre(

LL'tat ne l I ' t p bl de I le 1 Bord de Ch u i que 1li_nhti

inju,liees ci

huis quà 1r t IC t,nxg.t nep t er I et livra

r 1 t 1 Ltt t aile e'uti rama u ud ds,tie , u ddbtt ,j ad

jeeof Il r Il[t , f[ E 1 tEIl .la uo. las j et l

ôp i le 1 nation, t t 55.5 )

IP l ttmt tt it tIl ,

t ut li a Il { 1 dorée 1o u Il ,ai il Illerinde tolu ou

n. oto, le roue etjnmais

t iL', itdu-triela lie ras i,5'r t Isoo,,.dis ont: Nous contribuons a LIgrnndeur du1 v l t fab lt

f

j

1 a ( h I y erien de bill Iaua l ,oton el,fi0 laFloue.1eu sana celuimeute,étto geaile

q l I t-g. aloyau d y 11,00Il b t IIII et luxe to n a1 t nha,- aa prohudu l , ,,lisier

év, i,, nui a si l 1. rat e'o , le Leursd I s, il grover,t son t adact au pe5'Jud . - d t , tin tustries p e er étire plust

Ils ufil` m,,qn t 8 vol, réafi L batelet de7 a 8 010 et l: 1 ,dis ateur9 ie timon I_ ritlet. ]O al 010 1 1101

p t0 1

tons si IElt Iia 1 leI""' ou 'nul

t l de a i l les

ai `ta Ir ài

'autrei C aile

h Igub t pov t 6 v il' -mpdtque 1, nation devrait

1 leLeurs post t t donc f. ' et

t t col, a g t p

lacs lcg lsenhnnent da rire, E, d, IaJnsLilo t le I -g 1 t t l t u

p 1 6 qui ou I U

0<, I',I ,or 'levant le croitp

Je iou ira', b-en, dit M 1 scai Uupl ijd c i le tlidenal s pro, o t I MP Vy,e qImt I

' at q1,6 , tq

re. oon dd eh il: ns nxjuols nl rient de bonne foi,

bien Itu an u,ont la moine chose et vous

nixe. Il met Tout le develnppo.ne out de 1,5 richesse nation xla depuis 1860. L

Ilf rtbisvan ,.,.tore hl f paf t n I bl pro

E natoonaln est an 1 pl de onnl-Ilar Il ea 1mgot, d 'ne ,nul en déprit dan,I f la Banque da 1"" ,fin,toit assnr, r les pat t'etn n nies. P.., agiqu'il y I t. Flanne toitee feluiter de cette situer st fisctable à l'industrie qu'à la propriété 1055-

3e u 1`t le 0o reeeiar,tetL e . t aleaux burrten as imil ea..ie le

d 1fI . in lois l'ao ro des

es octrois,q an, transformer. (Applaudisse-et

L octroi, latent du moyen agi, il, outetc ovin )yes (1 mot pi m

o

l' j' ) E mutours par

laya ta,, 1 p é e ir

ire las droits x C uns liet:. i à L l tu h esyI uR., t let 't et it

chair.t ] o noir eancra Il IIII ac 1, jan IV, ils feront r t h va b i lent i ,tin,mise,

C abord heu a Paris, sous fa titre d'or-trot 1 I ,fats,nee.Il t d

e

, ou hs régularisa, on Iagi rit approchait du Co iestes et l

lira pic c.

Les villes i -u les besoins à sait,farce, comm per sir pl. 1L e,,,ai a -'J', avoir le plus beau

np tille

de l'Italie,il yu eu émulatio autre lescitas.

d'Illinois testas Ios rnagtiheenoes crééesP", 1 nichil l,,,e, mérue inrsquo salis ci

t 1 (e qui n'arriva q ,e tel p), dansal -, Isuions In dévia (Applaudssee t) ondihon'15,05va seront

1 p 1 v%as comma nu i t lu pusC e , j iii logo e, a'. t 1 'It ,tin

dé,a l c qu'on on fait Sonven t, tropont, j'ai vu tllanneder il,r les villes

dru fronts ,onso ibrables et, a econt ment pénible et C o,lourean,viocol

-,Iiiis qui paymait quior t, pis. I I I grand. I t, que 1 Il y a aux encore Votre présence

le tir i t ou t do I du pauvre an était t ert'eigonnent vivant; vous pployé .7 'ai lié posé à I CI ur bra un projet snnn i,, 1 lig t - tcourageuso 1 tde rapport pour l'abolition les ot'trois ,t ana anurie le val me deneceribra.l:r,

ij 1 j

loh chiaent, file ,le,,, 11,

isi il

I ,t à I. emplacer.A Paria, ou t octroi donne une moyenne

II. 3 1-0 IIf

lePsti q 1

r qa."la g.ghd Ofci,

par jour , e n drtatga ant le I in .,e etf t l l'art des molula e

ts o

l qs, il nrm,e un ch sire de 2,000 frai

par an Lh biens 1 ce .étang., composé de

1L TOULOUS

plan en pOIi, I 'l

t im

ni,

notion d,csCI, il lall,

ode de,ni V 'là des qui I .ul t I

cs s nécidé del`em9aded

s n a tt limitéel 1 1 x

j t tleI FIre,d 1, pi

-ié t rée I (1 ll

g.1ja ,,Î",,,[,.1.1

pl udi,a cri b), ou plutdt ja mo sentiraià lacantt t t afflige.

l, hion 'les ons de l'CUropo, lestcie ors i,tont Pas.

u 1 d l ` - r , t t . . a-tional tes qui n ut ra nplaee les octi is par

emplit fixe III dirent sur le tapi tel .u IoPO Pin a.

1 jourJ'hoi,dit _il,

la liberté de la pa-I sot cj i et elle '].a.. 1, (huit,

9 l'es - t d 1. i aiderlexti noua des norois à hais, comme

h rs, at le ûe ;pl g a l'ant:j,i lit , ,aar. hisa iii1n-

ôt.d l q le, lO ri N

t a lées tsar Lent ciron des vil-las, rien .est plus ral.ionnal, et on lestrouvera dans l'application f a t u I pente1111

'ersimb'PI le I ,venu. ce qui ,,,,,,,,a

d p g l d'autant plus éeo-notnesd 1- tels deli ries les.on ails mutnimpaux tx t s mtores-

sésIl y a a q e ni, i t l i n les fétes,

1. ]IIl .o

fla

e i b nx h tes (apIu l ,se t) d : est t A ,e.x-I I tir dora. Cet pp char, et or

faut n'at oa sabst tua a,Snsido l'altofol nqs

J n je 11 lit en -ommen-ç t pal b cté loto' t d i)II, ,

est b io) .t a t éaqua e

iuo fraternité t

tselle, non, je da la réel

due

que u nirmonpy. "f .,.II 9e frire des campagneslion Quo h tt

Que 1 p pl atjsfstt des actes de laRép',bliquo, L'aime et qu'il donne I

speetarI d o n t on forte et ntfhiles, eC 1f t a CY mple gagnera I N ripe,

etainsi quoje,Itands le fratotnité desf les.

Autrefois, anus ",plus des ,suer) s leclocher, mais à mise. t ne ,1ru, mord iil,

'a dl,parucomme

e d'sp t t fus pou-v),rsqu r t t et p I la merchi dos t 'u. Adverse e, ,lent

tir'de iou le

pr studios, qui ompris t c s' i 1. jerie mo dissimule pas quo Cain tuera ton-

jours u. peu Ahel; tua I c ` aura onsis pouvoir des remèd. p i g rir seble,sores, et l'hamm b. t clantrttve, pourra arriva n à

idéaln,

('Criple salve d applaudissements.)

]tF.I,1LRCIEIIdE T DE M. ROZY.J gltittg 1 tt t ri te la prémdonco; je

1

'vul1 il couvi ont, pour setter

uu h tehonoré et aimé, put va, hélas)nous qu rte

Oui, M r t tus vous pard.ns decuits le perd f e i n t le sar-

i via brante lente < s, j'ai1 pu1'tl suis x Il t Iyns],Il

a pr ' ex. t, ,ocre auto pourl'amitose atmn de 1 test t L'- puvois dire que notre 0v, mI raiminjImImarchaitf,.,ot dans lette v.,paroles d'hier l'encourageront sur ce ter-

le.Pour colle d'aujourd'hui, qumquo j t

sur nv ail ait pan ingrat, - on est ,e. eztirses rhouniste a Toril 11. I o issei id,lacis durables V si lé ra fin r mtdes cnn

cet mb,,, quet

las api rs .o,rurn ,as àtun I nni-

PaItuis . art là rue des en, n

ente ttrtrnuhors. Lenseignenucitt "en.

ut tau t3e

nsable atour te et lehcata shotnetut f .l'on sentant respirer dans t tasvos paroles.

v é l v I cationduud'oit ,t de lu juslrc 1 lvotla c'que nous n'uu hlnen une jamais, quand eus

edar votre rem.Du telle, idéel, ,le tels souvenirs ardeur

d I qn i nO a, rllachent pus Aussi, en1 ont une saronle fois ,merlu, je

7 te pas adieu, mats au ,avoir. (Applandtssemeuts).

,i: tvii ,,,n le jan

YUNU DU 12 avusu,

Ras t l gIx h,oel,ette [ auto aux

I an 1' F.ii.IAl daaloi r, , l t pli

,o,,'Ill - Salade do laitues De,-

8 d 9 reps metértroln®fylesIl. 12 et13 Avril.

ail i,., A F.redtelt eoTnsu,e DL

un ii r I la h be.nn 1,t;R t ir fa hie.;39 . 4- Sr 1 sr, f,s,hle738 AI F 1, 8 nag ESE molore.36 t, L I,, j 'd 6'19 fuit.

+ uag. PIC id.' id.i1 Il

BULI.n'rIN M. [E.ROLO.nQI&du 12 avril.

La tel , IlléllitI,rI,I,),,..,,, dont 1,sent t I hie l près d' vfat,

rat léla N le . Mlle as ,,tains et des '.'oies le

e star e) t, .

'ans 1ellé 13 'll 'non en e eII 't 24 mile a

,lux tesla au large s ncet v s 1 ot d t l le

la baossu at _eniement do 1 nieu cep Li-

nts die

,lot; to tP dos t, du S. etu S 0 b tt p cit.i." , et lail, ,a

1 tmPni atnre ,,st encore peu a,-ne

née.

ton Planée, u c f bl 1 p ouentre pros d u yfans (157' ), s r s s laiut- Iu6 mit t forme vail

8'^ par antre, la temps est estimepartoat.

D, d t s le viol v. ta au

A a ossa t t. lu.lq,tt Iossiblos dans le ton rie et leSud-

Ouest.

Va, ahan, du 12 av)il , relude la bore,, I a Pan:,, 'hoc I talé

A 11 h - 12, PO0A f b - 14o 'L'o

fistltiur hsromdt,tgle .705 millimètre,.

2 nasu rR LU toi A4It 111811I I A I 10 ça ,cher à

0h41 T i 6foJ.L is d 1 7 ] 7 h v i l . , ter e.116.43

., g d 1 3 I(m s,

l'oiep

agi Iema,a la s'li1. St F1loeonhn

P A F I S(Cornaspanda..0 pai'lifullire)

Paris, 12 011,

D. meeting qui a ,,il l' me toi dertoi et à i' il- Lew ,'Oscar le la sepyrus n de, 1 p l' 1. o"s, je no

s} ri fo ,t V tf jasanen 0051 l .t et y I i 1 tout,

suit tf 1 I, l t D phrases areus, l.clamatu,ea, vol ,faut neuej ai

entendu l'r lit h. 1 1 VIII MDora n o orle III II l uo a, B hile,. foutle momie est sorti Lori d isalpolnté.

I l t q f t hi àiIl, 1,i M cI n'ont 1

la morte dce.i un n. I,1 üntetota -tt, réelu o e vrais que le d"conirs d.. M Olémone I f d t. t t t ,le

i v i tuf t t

ppa f t l' s i, a i t 1 le1. 1 1 l I',plus I I. i f I les'

Mont t et l I it t] ij II.IliamiIt M Cl. t ll.t a ni e 1, r,il Pendant

iIidéni

Illi', Il' Ildnresq . écr511 , t aIred. Par-lent l I t h . t t 1

_ f I t q Ill'a ris t l tan avec n loirapt I .t li, p d t .fors; il aI tue I ,t lo u, os tourhM. Lei ire. a M L'. ep ot l

tous,n

arts et leur', 10, ontré qu'an pouvoirils avaient profondément moi( I' orsetinio.s soin tous les ponts qui tIraient anrrefmsla programme repulli-caln.M . Clémencean a eu do, vmts n ordents, des aperçu, très une, al ja 'l'ors â la

mations, et, si je trouve la personne ,.a- tiens aussitôt que la jeune personne lo valent pas lieu trop loin de Dene-Court.lue, je la prendrai à mou service comme dL'virerait, Le H.,in-da-lliable était fe rendez-vousvoir e y La lent était loi nettement écri t et fi t ,111 t 1 1. h u 1: olM

II.j ,,liat j d. y t uJ v II d sassa de son idée, n co ç k term s lies rens«.ihno ne m jpuis' dernier mot d un petit rire eute

s L f t l doux que 1 bois j out b u Eau . .-co.e t f ahuri' r, do Bn ghton, v I nul ],mai, sou is, la bande equr,tt . so camp )sh d unel' T h. on de dre avec quel t ',dons le tours de la ii utnzame a f lot b g ai-, comme chacun

Ioésseme t M,r n 1 pli le I t jerie ferrure lev gfà hante ans, pour spic, tout 1!ii,,I,t,III d.I a, 1 jou'a'-cé par tante Ilail, en ] l les agi d'un habit c plut d.tua,,ono fat ax j ,q aux l0 1 t un lad

rocheeohes C f 7 I ,,j,, las fe n 'tallé, 1 le Polie tinta fait nouveau 1 ons o ,Pou t le fi p ledu puys, b, 1 e déliée ne lot pqu'alla devait n'initier. et le p in a euble qu'offrent les tris i

dé:ouvorte. M S,obo11, l domont ré. Doux ch,vaux dressés forent mie à la ao eu es Il 'cet pas ruas de voir deuxvallée cru ire ses eut une nop rlispositinn dos deux écuyères. Le gro

Ilu Irais cavaliers, trou, bien montés et ru-

salle in,

i ration; elle ,nggérn qu'en fui- Peler,, monté sur un sioux bidet, g, 'I

g,ablesde passer l'ennui, contempler la

enta nie, annonce dans les journaux de ', jeune ninil",s.se et sa compagm: dan, chasse du h;.tde quelquecoliiio, et fairecelte ville d'équitation pourrait leurs galops à travers las dunes, où bout'- par-ci. ar-là, entra deux cigares, su

I robablemont four isr ['article demandé, fiait la fraîche brise, eL le Iong des sen- taxes de geluop derriae les chiens.lin ton séqu prou e av t 1 g Maris on Iearloy se tenait, d'habitude, en

ait d)scntl 1 FI crin, tel jeux la,n t Mis lbirloy, qui était ) acuy,,e très dehota de la chas,., et, eonne I, g,nlcclient insérer dansla Chrotalgieede Panel,- hardis,, taillait souvent de rude,

"'>o-sis ei-dessus mention.es,us intentait

ion l'avis suivant : piétas à so ;oct.; car elle ne tarda do la suivre des yeux; aussi Iii arrivait-ilt On demande une jeune femme ho.,- pas à s'apercevoir que, quels qni eussent fois de se trouver .enfondue dnna ne

table, sen haut t'à, bien moirer 1 cheval. été ses antécédents, Anus Brice montait putgroupe de iflâmmrs. Cu usinage no I ntS 1 t , se ont celles d'une f ç)n riiez médiocre; a

aétait pas

totoujo uurns

agréable, et 1 lao sonsq se b e,ont à awamps t telle lu matin plalaer d¢ loi 'criblé quelque peu compro..ett outg r I é, uc'tre.l une fier sa sol émorité l iutf os, hia,rrtro c aste lice coule qui l'a ;e. nnngo u t L al 1faune demies I l 1 t C t à la cam pagne.

tgai la d'on tien due a [aille, l i e peur liés respectable d. 'inx péters l

Un groom es mtocs touj)a

rs nos d'ex du fu int q résulteraient ne ,ait d d ire t t rie qui aumes. S'adrussor, avec do bonnes sstfiro e ont s pp r 1. Dols distraction ,ait dépovuà L gai ris admira taure I cocas, à..., nec v j qû vile eut dans sis vie sr monotone. vaques par su gonce et sa beauté. Une pré, ,ver son écuyère. Ce perso.ungc se

Plusieurs semaines s'éeuu Ibrent s 1, houraux changement apporté dans les ,jolie femme en fin bit d'ninnznae et bonne rouira à l'approche de mis. Farley, en,fur l'annonce produisit du résultat. lindn dispnsitinn.e de In jeune 0lle par ce nouvel 1 écuyioOo ,,a déploie jamais plu, de sédua- ,jetant ons mots à son in torloeu trie

lettre daria certaine Anne axone ce ne larda pas à se manif,st.,.1

tien qu'à hheva1 ; os lui revient à dire e Soaveuez-vous donc, h six heures, oIl

es liBrille, exposant que la signataire, on ,fou- Plus d'une idée sombra évamouiLplus I que m P 1 y était fort à sas aa tige, I

Is Ii

1 té de l i l l e d'un p f.. lép t f d 1 l h I ts'l

la 1 t j t t ne népondaients aux1"".` t l l , I t f L q

jc ( ' 1 1 boss. g . i s flirter, sas y

Asu6vreInel, In fan ll7 t e f91 Iar t es t i t 11ajrna ,u pli pttosdeuil 7 Isole icad 1r ( .)lo, iah n f il .out t l' i Ill., 1 1 pr 1 . ,In d'assister c"d. le adorables t 1. bl is i evo,xtrès a mpetent p ur occutIr J. place jn sIe tah'il aux chasses qui se donnaient ; rassernbls eu maltes m ssi sous e n

b (Redue Drbtaratque.)diquée, et salait prît e à entrer ea froc. dans 1, connté de sussent, lo squ elles l'a- chapeau enfilaient pour justifier lee té

tlice qu'il a tout à fait ravi son

tribun ; ce n'estpnhlique, cet il

arIa'. 11Parlé1

a re O tel méthode et 1 -j lh t c qu'il dit et

1,nul t fanai, p i a 1

d, ,a },.nste. Choir, 1°'IIouhcr. . cett qui é t p I é s l e , p l o , h a r -

i ins, dont 1 j l 1 ,forme tordent'll t t l t de la, l

x t. a I tut 1 -ciétéIII, 1 -.h bases, . le secretIl ,l'ut

d 1 de. L. ,r 1,: j I-, f A I

libéral, ettp t a d l' prt. 1 11tdu ILtt 1 réclame I III,t 1

ira, il la ut pour iii et Onu .6a.s. I d M Cavi behn,

l d t 'osci II

t 1 t h . t t i . I nVail criai prod l par ter tantes allusionsquand M. a parle de celui que

I. tt l' g d I I

[ , ck ,je ' l 1 1 l j la ,alleallait ie I Ifl 7 - - t

Il Paraît b l lf h-get'M bora-Irai t r 1 : f ' ]

' o qu'il I 1 t 1lielo p gindre Ix Parole. Aujo 7 h -i - t

ai,r i lié a Paris t pu l' I,'lesté I'inteat t do pren d,0 -o ,ragenl tl ll_ aL'slesIlIo, Cr E E t, vo,pl t iai Z.j i t q M. Gant tp Lo o,1 r tic llé L il levait s i les

j t gênantes t a. 't j t tarap I r de riposte d,i tt out

M t teon aimait C te, d'atllepa, à quel

i t -C ri petit Lire

I`> ,tu Il Ild',f t 7 A.t

et d i L , I l l fil t al olad I 'I p déf l 1 d-t lo

NI Cl,d 5I'q I. t't p 1

itl .il1 IlsI l g , f I

I1 t f I l f o n t

ajourer que Il métrai da q eturn,trtpu ,, danger, je

hier, { et t t' 1 b F i t du'neYd,Lq notait ,t,éh ipealalut. 1 11 e lavait psproregé.Il f ti :ban erre d ,a ix tréri, craints, et j'aicette raom,n tous le, se,nul la oe dre funquet a étéInos

ne i tee dent d honneur, et ar l onelle aut ait

compose le bu,eao d'arniist

A fort c r- lap i t f e .h

ne r, car, à Iar La via r r lierdra quo cotte s marne, rais' peu à jeu't ,.et t à l pll la 1 d h 16 t ',prisuujo rd hoi sas séances, Bien qu'on petit

t, t b ., lut t e Il, ellenoultendit I s c mmuniuato os 10 pla-

oat, rapporte I,s snuecornnns,ons.Le 1 lus inter .., out do r rai ports aété fait par M. Gatrne, lie e le tudget

It. Ieg t 1, -.7 tan

a

h tt 7 150,000 f qinitie mies i

tl I catl-.1 11re i , pr I . de I ro.,Il o,,tla som-me omet étant de, reitatiets 'or liat ie C t q Iq, f t l n.... la 1

r' ,de l

pie Ira Ins na i, lia l la. ralov,les

Au ctrquercrnando.-

inaL1MiM1 AU m"IlsT ans 1. Li. Hile

O ail toi laer ] situéI l I 1 1 2 h , 1 t U Ifan,

'lie o,ç tlf q Il citoyen CIMI,in-o a l ' . p t l i h c d

e t (f,/ , t) l pie 1 1 xli I l f l à I 1

I t j ci lui lut f t et,- 7 Iar e t oe

neatr.Mille vr vhi,emteou Il ,,Il IlIl lL 1 ts 11. 'll I1.

Ln ,tuait { tir mc pin. ter i, t)u tes lesIls s ,out oclIpéus q t II I

t tt tl tl député. 1

11 1 donnent li.jI quai te]h 1 'i t litilgalll I ris 1

listei npr be et d loontplace lent e,6 t 1In.

A l x 1 ale, bore miht ¢ 1 Iy l l eau apparaît à l t b niC,

C l i é 1, I I] p l 5,0,0IlI[1 ls 1 p g i t Ilg t g 'f tf o .11 1 ll tIl Il1 Mnnt,ua,tro. 1, idole 0,t devant les a la-

rateur'a.a M. de on pas per tore,]a t p. lit let ye M t,je vonsd ema 1 dit

ton

. t 1 ),loin bue. de, g I Isllentdc votreo,?uninn?sT, agent I Or,dont 3,000 vois avec uni en,en, blo et urc

noignages rouets d'admiration qu'elle re-cueillait sursonpassage.

Un ynv qu'mr'l a une hauteur,oh. 1 t I I défiler 1 teb ,fat le

as

h 1 lu crotonmit t l p i la tt 1

cette ris u, q ie qui lai plaisait. L, c

Il ila. al 'é d I r 11. .t

-Il -.il -é ns

.'ctr dtn rI ad b n sccous.e, il partitean b Ill. en dépit des

tria t I I ptur 1 .E La. itaeum le 1 etenupl, agit sui la mt -

Ivre de rails Parley, qui s'élança sn, lesG'ace, dis .son iamarude, ,,,,,t yoal-ques m mnont,, les spectators de cottea . é p t I l ,moir. nou ,zoneallait se racler au tort-0ge m net calot' qniarpentait le n ll . d à 1 1

TI ..itefoi,,i

o Ma1t n il, t Parfaiteomit à son aise, alla eut bien) ritmia m, d it

o ' prjcieux quadrupède, e t l n i ayant Imprf-d t pp 0 1 I qu'il

t l rit b galop, pourul l 1 he in Y, q il avait des-l pour le 'lieu. i elle legs

g tl . 1 ir ta t p d

Ina e C rossée, son ml, pr mentor alanineleclair, sitar çut an aavaher le boumemine et fort tien ,.enté, causant de fort

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v' le Chef d'orchestre le I l'a appelée : codification apportée à la 101 d'autres a libéraux,,. » (L'orateur fait.r lad esse (EtctamatVise) Quand la n ,crue a2 c et td ) qui se It

t l citoyen M n t il t ton ? Mys tèrc , L tic 1 t r 1 s Hé ol l Iul Simon (Bruyante Talla l ),il.ce, pl let t ff v v sen s r i grlue d i t rizraac q Bh la S t Ilf Lè tar , yaire,el,

't 'Il désigner t n i d bo plaisir. (Applaudi e et, P q r de nous, M. L;I Ffi ' 1 1 corc I' mente.) fait

11

.l Iaas de Port l's 1clLafont ! il i nt I ma pour la loi de un net 11 s c C I qui est nu no lél hail,

bat n. L orsque Al tlu h tt l is r 1 I Et } nrtant le prog'amm0 de R ansü l te 111 à Romans le droit de réunion, M. Ferry nous ava t promis tout cela (voix .Cru)

1 11,fi t , -ascill u I I 'C V t, I s ] Il ch m ua oman Baoos et frénétiques^- prl' quei le tir G t tt p d tl l0 appel dleve»acnl) 10l d(tt llvée..s) va

hl'a. I ettr pal de prendre i j ILp 1 p,ucc quel la R nbl 1 o est lesf.

od c [ t ans p d fie Mats Leo. t nmf h d la eométe Livide sur la thé e. o-

P C p 1 o.se rl iv terll re lesclut,i. ll s i -tir, (Prés1 C 1 i l lui u fallu trouver ces clubs IL dl., que V AI

a pas su dire eo qu éE It nn club, Le unpar fi, à1Jockey-CI r6 vêlait pas u club, mars la tondre lue.,aile Raga,he Irait uo club. (Rires. I d'epplaudlsOuuble salve d pplaudtel m ale) I.e pas de perseviI rejet é' 1 a Sénat. Lt. o bien I sseulem ntqel.r q il e e n S .n OU I JI de l Ltl'accident él C lo 7. P.t en foc gl 1

t de 0 1 lo droit de s (Oeat e tYo1

omei i 4 i plus aas el N nn g vernemcmt dqu'une vat c fion, qui d'api Il.1 Eglise et ,il aux dépens de sas conadhérents Il est liupescible de nier qnele g êg fions eligieuses u de1 antes et daugerenss6 s cution9.O s pull dis décrets du 29l'wgioi d d ifs. au lies d'un simpleprocés-verbal d'expulsion ? On ne met-trait pas tant de façons s'il el agissait desimples eiteyeus. Encore les agrégationsreligi onces que le gouvernement met endemelreda faire autorser) ourrontelleslu pri etlége scandaleux, tnlalérgble, del'exemption du ,,,,,,,a militaire (Bra-vos énergique) N'es)')) pas vrai de con-clure octet fat le choses quo la politiquede nos gouvernants consiste à protégerles crtnemrs les plus aetioraés de la liépublique P (Vois nombreuses : C'estVrai.)

l'assume, glissons plutôt sur l'épuratdu 11,1p nul qu trop f tp1d Iet r sons 1 [- tratu c (B ya lesro 7amalao ) Je pie 1 1 d.

tres.t I i trtaui t

ur 1d p 'eut dal1 s

M ôLR' hpus

b' c dit-il ter fctai il m'g tqt à Jet cars1 , dea a t 1 que trop prouvé le rmtnneoitir

uleseaee

Oh Oh

Iào

i Isr l)N'ost00l us lui ,lui

nousI oui,

es

s I)Ndant0.

'Irercé

nd que pends,luiI pe1 éj

t,

41 c'était, pourla

plaideur,1 i .- A lndt.)

N'est-ost s

la! a[(Re

- Asse vvple au

'est ce 1gela fait

leeeeComptei eet

établi la blaI tdard osp cntstes qui sa ,bill,. par deuxmille sept

ceents

poorsnftu, plus d'un mil-lion d'amende et .u demisiécla de pri-son Y (Bruyante ovation.) Voilé, üest-eep-, du

note d'accusation en régla contrela i,ragr'strat.re.

Il vol bien évident qu'Il y a urgence à lat 'nse'o dm l'inamtvi'eihté de ace vies s

d'élite. n (L'orateur ,ourle). Eh lion t surce point, la comrnissi eu de la Chambre,] Il tenu i éu et trés Iéservee,lu, p -t ett 1 c 'lordmzelleut

et se heurte à la votante de M. legarde des sceaux q.i n'est pas partisande tas nspension de l'inamovibilité, On peutpxévdr que, puni éviter une crise, onajournera l'affaire. C'est toujours La. êmelys lénre.

Vous p, rlerut-,je ,laceroies militaire detrais ans 4 Mais non, puisqu'il cul ajo uc eS,(Jetai e génér at),

d l'instruatloh publique. Der-aot, a la Serbon ne,h1. Jales Ferr

nous mezpnuei lue réfor vos à accomplir,Iyl

faut lise juste. Je reconnais que sur cepnintil e été fait quelque chose, on aréorganisé le conseil supérlaur de linst t Mais on a pcneedé sans méth..leclos a commencé parle haut ale l'eehelle.l eus avons en perspective In suppression1 la lettre l'obSlim er, la creatien dos

les d i tilles et l'augmen tatlmt du b.d-get de l'instru chou publique. - Mais

uons-i,, 0e l'lustraction gratuite, bliga-toire, laïque, -laïque surtout t Ce der-

'er point ciel eu quej'app," ce,i tdpierrede lvnetae pour e'eeallueitee st nos au

fsavent s'inspirer du sentimenteuulitnal. Je regratta clje sois fâché de leet tre : Tau t cela est ajourné, et .pua sem-

as foin d'être en voie e d'aboutir, (Rireset applaudi.seem,ot,.)Vous connais,,,,,, fieprolos de loi de NI. Paul Pur t, qui ennelot

giquement à la laïcité. Ii est bien clairque .nus sommes, là encore, en face d'urne

mais il est certain qu'on l'éviterapara. ajolirnelnent. Le gouvernementnu.tourne 10 dos A la véritable solution et

s donne l'enseignement e'eligisu,tbligalvire pou le, enfavets's de libreopenseurs. C'est une abominable lyren-nte. (Longue salve d applaudissements),

Abox domw la queshnn cléricale. (MOUVe-ment prelengé. Beaucoup de ch opensse fe'u'lent les nains.) J0 lue sais déjàoeple 100 l'année rein iére à co sujet et ,j'aidit qne lng article 7, cet os qu'air nous 1011

aità roer, etait in.lile, i.efhcaco etdaegee eux. Je "'D pas à changer d avis.Il était inutile, :les décrets du 40 marsfondés sort la loi le prouvant; inefficace

q.'ihy a longtemps qua nous savonsa le clergé séculie.9 elle , ci

clubpheurr

pleurerqu il ait taud les elérleaux surit des jésui-tes, (Longs et vifs appeaudienemerets),

> (fl.ppeauu r mente.) Ce sont les évêques qui noue lont dit etA ça eomen t, I- parti repuhlicriio tout qui se plaisent à ...s le répo er inutile.entier (:Contait dos .,,,,il, de cet hommet Il''meu, ny :i quun moyen, qu'une soin-d',u'lion. Avons-nou, about( ? Il serait dl- tlon pratique : c est la séparation de l'E-sr)n noble de l'Cai.allumer. Nous a Ons eu éfile et de l'l fat, Là c.mme

toujoursles dé crliti.ns. (Voix : Non I isola I Cris e go uver.ament y tou rna le dos (Aeeenti-.la parle le nanuellard I)le vais lo prou metéél) Il ft l'alliIi,n gnra,au quoa oevvt0iverc iatinua Para et ur, et mon 'il n'610 astonsfon Inc bicha de mainsmarlis, etcontradir,taor reconnaîtra q u'il s'est qu'il snppr'irne les immunités scandaleux

trempé. (,tsuequesd'assentimees(.) IOt d'a- sas accordées ans dmgrégatioens. Vous rendre. Depuis la Révnlntimi de 1703, labni, Je dis : Il le savait sien celui qui, savon qen 281 congrégations d'hommes et monarchie e été refaite aube a piéco e ilayant te péri i disait qu'il fallait aboutir d fl d,,eemmes voyagees Prix réduits , es(C' est vrai l) Eh bien 1 il faut que ceux qui leur facilite leurs relations ce aidequi donnent des conseils ne s. laissent leur propagande. Nous ne voulons pluspose tel er suI .fier leur grandeur, de ces pellettes indignes. Il faut qu'ongDauOte ainedapy la "'m' ment.) Quels cesse d0 Pnvotrsse IC recru temect dumr I n, yens lin I four aboutira clergé en astreignant do la-les, a se,-(Vives marques fiante.ilt.) Je regrette v nilituiee abiigatoirour tous (Salped'euI Ir à dire une palle chose : Je ne d applaudissements) L"",erd clérrcaI estvois que las vacances. (IIéIuellé géné- grand, immense, et il faut cesser de met-rate.) tri constamment .II présence deux princi-J'cuire donc dans la vif de mon sujet. pas ennemis, l'Fglise et )'F:tat, ai, l'État l'OUbh des haine.., nées de fils dissensions,Depuis dix ans on i s parle de réforma 10110 togjenrs et est toujours vaincu. (Brai Unids00s.alois d'un eorurnunell'orl et nousInnnicipale. On d'a pas Oublié dos grands vos erattnnviastee) Et qu'on ne noms Aise réaliserons la promess0 qui 515 fefte par.taise s de lors ris cigales. Nous voyoRns pas que nous sommes des âtres ebnnérl- 1 os péxes d'instituer dans anok'0 beau ettonr h lieue 1IM, 'l'hiurs, de Broglie, i- que,, des innovateurs. Il n'y a qu'A citer généreux pays un gouvernement ayantd, Ferry et ,.Ili quanti. Cnpeuda.f, Ferry lui.même, deus

anprofession pour principe la liberté, pour régla la ius-

l'homme des toisons répondait à M. Ferry de fui a.a électeurs de 1. sixiéme eircons- troc, Et ai nous prenons la résolution dequi lui disuit : Vo as n'entendez rien à la cri ption en 1869 à Paris a La Franco [ le faire, faisons-lo suri retard. (Tous lespolitiq ne rl os résultats : Mats le ta .se- n'aura pas de liberté tant qu'il existera électeurs ce t¢venl et acclament l'ora-nats mieux; que vous ln pvliligne des un clergé d'Efel.,, AI est, faut -II somali leur qui tombe comme anéanti dans unréoullale, c'est .tonne l'ai inventée. (Ap- par-dassus tout la décentralisation admis fauteuil. L'ovation ne dure pas rueraspf",,sti.vsemerets- H-lorilé.) Depuis 1878 nizdeative, la séparation absolue de l'F- de dix minutes.)l r j . l I esa itats oui qj ).rnee, gl t i I Ftal C sent 'les d t t Ont(Non a c 'l"'.) r s AiCli parlait il le rv. Q'. Nous public .... romain la fin du demie-,Idtl

tu,sur

lapresse (Aile al t)

FLICt 1 ni), rd'h.l t (Ildlarité.- Applau- termdu qui est einprmté etc F,-,.pole

est en préparation, On n'a pas os la nom- dtenemen(s.) et qui ,..lyse les questions fartse s m.tuer la loi sur la liberté da la presse; on Je vais plus lita. Je vais Citer une Liste Clém.nceau par des élgcteurs.

elou, m.

un »'1

I)o de 1

deux u ty Mle ci t

l 1111100 td saait y 1 f t

T t I t do. 1 )ns ll anquet, rapond i n l t M. 11 q l estN ,,i1 1 l Pli '1.rt [e

frrp p out la eau l:, fie _on r ,t tan., 11 .1

qui lecIc t' C li f' te 11 app t li i 1,,,,-,,a, )ces er bre lx : Il est

L rlla,tcn Mo 2e!rues de rlea e

con eusvn onde,a

1sle t.yed lied!' ceis.(l'oix nombreûseeeOn(! ..fi Nouveaux cris : Enlevez tasp1

f

e dan, n rep'cil. Ua vituyentrait, ir l t t lc terre, de aiouet 1 ((, ri, , t P alea,ez le I) Ud i i0 de cou ô fis tl Viella

m its. 1,0 tissu ana-

unguibus eteux l r les

v fie ,E J . Clécraleae t t t t I, t t1nt A eur ex 11 il uor sr 1'te.l tTlui

lr 1 tl ,,I a

d crime ast1 président Laf t é le

s I t d m t tableet l'df d

a,li

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)

[ te F l l 1 Il II,l'y 1 d t

V

)usel'tm1[

roulai-Hooi ave fait I hon-seor

de me n.u ruer lla itent, (stfhetsuNon c'e ls f«..,!) VOne a

0a les

ce s Geollr' -t D ires s, ue essee r-

e et, an hou. del0 Volai'. (Ton

Lis France a

r'oll' eu citoyen Muni et, 1211010e relalef.)aIl y es quoi Ites

Muiml, rjni -lesPatrie publiait unp t t le Bonnet va t a Partemenl.,or art

j'o litait le. tissu lic)aiou antreTrinquet, que vous vouez d'acclamer pré-Il fie Y 1 hm 50111. (Rumeurs. - Explo-

11,

etoyuns,lacoal, a

1. llétrir .cru-T"» (La amitiécris le Vive

e en ii inalulion es-clal ) l7 'E I t t,.te t e'eanlleI, I r iI, (tee vi hnl': à la porté leanoneltard I (I,a elloyale quitta la nulle, huéet c. rsrut.

La ail ep n Laftmt annonce qu'il en don-i, la inc )le .a , tope I Clémencean, dé.

pntl du dix.huit ondisseure It.prise dol+t doit devoir prévenir, polir,

la iligui r" ue lel séiul'o, qu'il fera impi-lo,) ll f,xflu I I saille tout cltny [ Iseper nettll I nterrompra'rnusles cf toge ns q.i nrirumt des rbclumatiaas àa lie devront derrranrton [a parole apr-afKilo

le ri tayen Clémelteaau Il Ilni sondiscours.

Le ci toyon Clémenceau se Iéve. Unobruyant, .v atoll lui est faits. Il attendqua le silence lai parinetin do se failli en-tendra et etaunelece cul discos, ,foc ,unmortanoa nous Lommaude de eoprodu'ro

'I, 11, et -oisnu, - Comma l'année der-niAre, la 111 présente devant v s pour

em olrfe compte du rm)ndet que vouan amé. ,Iowa, dois da fraunlies

explicati.'IS, je vais vousles donner, (Ap-pteudl"cau ts)

Depuis la l s«:pteuxbro 1870, nrues o. Oellelignc, on ce dans 'lac nal' I - I narglm 1)u 1 q tbroc I h..Ire le, mbh rI.ete , la c ,atri b I

dkn

JetI

[l'n lq. t e'. Lnnrya il feolilai to'jeter à la cash lo rrclriliue,le parti répubifcein fut organisé Inllil li-

lenl net Létaitar e,dito,

ieistderuie

+ist àl ment -"muletdo nosnlv,n,aii ee. C'est et partir le ce

ont qu'an homme politique trés fn-tuant a lit- mot es . a : Il faut arisa'tir. A houx qui hü disaient: Vous éros unnt0r,P. il ruile lait :

dé tl-o s pour des

uvelle saluee 17

1I lui ti1e1 c le 1a

et qlu

1 mes i se pr p tés 1511011 rie:

01e)O r dit q f0'O t tôno entué 1 tit0 tions républicaine,. Auloor-

d b I dons vo 1131bl que nomi-.a un'nale e i o

et tt t nro.archu.que, ,Notre Constitution doit erre réviséele plus tôt possible,

Une vesx: l,'av sz sons votée aetta Cons-titathm ym. cLEmv'ncvA'. - Non'n'étais pas

déuuté à ce moment-là, (Tonnerre d'op-peaudeilemerzts.)Mais, quand môme, je no

tel irdlvloi Prisaisai ré le pr ocre ,je tel alepu s t . dra des

compta ono fo.rni de franches aspli-nations; c'est ce que je fais. (Brielongés) Notre liépar M. G'topo,

irq 0e. (Iialamté Inet, de l'aveu.a,., de sau . ma l i d .er e .lCnà C

gUtt tt, i Lap "de

"r t d 9 r gableiluqe le Sénat cool leu,. o t l'aA perpétuité. Et si M Gamhettd on 1

pas dit, M. n Leé ztalridule.h g v t d m no s

l'appcreitdndrere

Ix Se. t

onch i ut l Il 9 Pé at

t C e n Sr ), Il

I t )n a Etots ottr e

e 9,1r Iq e "t il 1- double iiie

bayer continuellamont l'o,niesistres qui répondant à chaquee loi émanant de fia Chambre : ce

JOURNAL DE TOULOUSE

INDO-CHINE

On dit quo 'e rejet par la Che duh,,.aile le Lnall équivaudrait

uninedé-

oiat d tuer o 1 pis C du ,,cela,aiqu r t t est d mlI I r 1 et > d Dora Km,g;

210055lPOOmms e dtlt qu'unenom-

101 es da l'emp e 1 p11 1 hnprésd xndro e t 1 J té da sept ,soloce t r o G is

qu'il -l 'Il ux .en-g g 1 1 f I t enu. 0001 re11 o 1 fie au. exigences de ] Rus-

L al 500011 o iniai 1(h rg G1 1 l unçta r 1 nroi aoICar t C r t p tee do la mai rte

7 Ctue1 fis tous les ,ge© ta1 Ilpal et a i l iqueux, match à p de

rallier; 110 yrellgarde

à cent fr .,.et defaire il.. ch es bonne et cinq a Ite t soui, t a a t ,le faire u ott

i uI 11,y s nous pus à une rupturecec .1.nt entre Celestcs et Russes. Aprés

s'être bien consultée, aprés . r plisl'avis de las astronomes et lie toue etssag t ils saut nom beaux nouselgrgeonsleu ministres chnmis à médi-ter quelque peu a.r le langage que ]nidont à co sujet la presse anglaise, en Eu-Inpe,àHomg-Koug, à Shanghai et le

.Japon, (,ettc presse pousse à cou rupture,.Ir le le x puissants ernpiee et sonbuest trop hansparent Pour quo nouspie n I peina de l'expliquer lI

Illect I lus la Rassit aura des eovbar9ras dans I. Konidje et moins l'Angleterreen ara fâchée,

Malgré ['éclatante dhsgrdcm do Ch'ung-How, malgr.e te rejet du traité do Liva-rlia, nous croyons q.i une guerre .air. lachi e i ,.Il sire n'est point aussi pr.chi lu ,m tel. le désirer en certain

ileu (, q loue ansérine deus notre opIton at 1 mmonce du px aehaiu départ

b 6 de, M la marqutsleur de Chine en France

e tén cité - lot astique do lapl t o chinmse, M, lsaag Va saris

douta taira sas

,,,,,t,

pour obtenir un nan'I,m nu VoLE.0a. - Osa bande detraité mai srt n onéreux pour son pays qne malfaiteurs qui dévalisait les m anscelui uIa"q oto-signéàLivad par Ch'un4' filai., le quai ter de fa Vtlletto était tombée

est excellente Emais le Sénat ne l' ow Il out fa 1aro[era uo va olt u i quelques terrl )s entre, les mau)s deas. t tout en -y""? A laudisaenten[s, tl air le reste o( pp tuer on éhanm ce. Toutefois 1r e Er t e chef de nette bande,iL de plan desomnc da tout seul n 010 aile une sommeéuor ne, Ou b reltore usurpé oofuu sous lo nom de Mignon dit Cmur

Sénat retien en sou pouvoir las <eiileurespo,

d'Amour, était parvenu' acae quelquesnous ne pceero0s super er les sa ustraira lus echer-Qu'on ,aidant de ta légalflé. le a entouré si rionst stratégique dis Kouldja, e1 que ce compagnons, à is r

ceite in011lOfion de tant de forts avancés , 05) pas la peine dm ['].,a', une garnison I chas des agen Is,ry u'ellb est imprenable. On a pris las plus chinoise dans la ville rie et item lorsque A la suite d'an vol aval violeuoea com-II. s saxes pr-caa bon s, em 0,Oye las enbh_ ce te gai nrson peut y erre ecrasee par le I mie il y a quelques ana n Otiro une ti ngéCCIr tes tas pins flics poor rendre la r0vrdion fou 111" lalierms ruesee.de la constitution ho possible. En ell,'t,

rqn 11, tees, il .e suflt pas qu'allale demdée par les deux chambras, il

fnnt qua chue.ne d'elle, séparément, de-temine l

l'aarficles quel n

prés éaer. I c te 12appniez.vous q elorequa nous avons ravisé cette cm,t ttrou pour le dodue' des Chambres à Paris,

'a pas voulu nous permettre de revi-sa, l'article relatif aux pmetes Iuhliq.esqui fournil chique evranée l'occasiond'ina,sels, la Républiquelorsque les C7ambeos se réunissent,

Do sorte quo uons s noce obligés da-r que le t rift vent Qe 1>1

Institutions est bearulonp plus dit/io Icique ce qui se passe chez nos vuisened'autels.Manche et d'outre-lthin, - Qn'estil résulté do 0011ep01111000 t On a oeIl unegMso perpet.olle pour dviter une crise dé'Cuise, cirwcstanoe d'au tact plus lange-l'use que le gouvernement rat c mposéfoins en vue des aspirations dela Charn-

bue et du pays qu'un vue de eertamas lui.venauoes personnelles. Ou ne ve fit plusouvrir la euccession dis cabinet. Vous avezn nos gclnvernants dmnauder A la Clmm-

de répudier ses engagements: la pro-messe de poursuivre les hommes du 18Mai.

On n'a pas oublié 1. virulente apostro-pho dm M. Ferry au ministre de l'intérieurda 10 Mai : a Prenez garda, il y le des ras-pursabilités persannellssengagoesel M, deFuurtoa a répondu par un sourire. C'A-tait la sourire dos augures. Je l'ai cola priaplus tard. (LildIeilé gérzéa"ale. Apptau-dilaeolc e)s prolongés.) Et L)rsquo nousnous s mrne.s levés pour dire : le Vous

nnieliez las monarchistes qui ont pré-para lu guerre civile, v s pouvez hie.amnistier les républicains qui l'ont snàlo I

vous n0 pouvez faire qu'il y ait deux jus-tices dans le pays... u on nous a répondul'aurquoi1 PII oreplait que la balancepnnche du t0 dos tee acore de la 2epu-bliquq r (Ea4lomolatn,. -Marques d'andignalvon) Nous avions proposé d'au ldian,

naux de c s répondre :Nodl la usg:u'onvlot lideserosce

sn pas (Violent tumvuZte.(r's A val l'apportunis>ne)

Or Voies la lréirction de M, GambetteétaitdOielo O. vint qua nousavonsabouti

a l'énervement, à l'équivoque, à l'anémie.Efcnro une fuis, je regretta de le conata-ter, il est terri ps, fl est urgent quo celaohnuge 1l faut qua la parti ré p ublrcnfnfasse un retour sav lui-Inérne, qu'il char-che A se rendre compte des a9pI1 xtim a dupays et gn'it fasse d'é )ergique1 effortspour obtr, air les Ié,fJ,mes qu'il a patléeaadu plus pur .1001 de sang, Si ..ai, les luiac0.rde pas, iep édis,lao,qu'iflaspren-dra lui-me'me. (Na ,,,,,a ovation, - L'o.râleur paraît d bout de tard-) Le paysparlera prochainornent ; nous attendonsa-o )nfiar ce le Verdietimpitoyable pounos et versaires u'il n tan ocra as

r

4 ded P

fse 1, qu'il en soit ainsi de la République.Tous ceux qui souffrant t..rneut las

yeux vars lu République; ils atte.dantd'elle la réparation, une somma de (os-ticepinsgrande aufur età masure queles progre e t [ [ s s'épanouissant,Ayons don t y , l'ambition de pré-parer I ava Ir fat que Wons pouvons l'es,pérer ;001répudions sincéreinent toute idéed0 VI110, mais a sachons imposer

Voudra-t-on recevoir M. le marqulaTwist à Saint Pétersbo.rg ? Il est permisd'un douter si l'on y tient à l'exécutionstricte du ptraité, Mais :e Rusele sait

que ersonne la part de lion qu'ellet faite ot peut 8tre, d sais t.." ridé

bila t-olle avant de rejeter les parolesconciliantes dis nouvel ambassadeur, Dans,lg régions centrales d. l'Asie eu Insuo-

mes de lu Russie 10v oonséquénc sJecal-

culables, et, pour nous, il nous est difficilede comprendre qu'une si grande puissancesacharnàt à la posseaslu. d'a. territoireaussi misérable quo celai dont nous nous

iln jI r,_s, uons le eépèt ns seraitsuivi de il lubies graves ICCeasle'fur1ces-tun, elle général ,->se nufmann, qui ycommande, serait centraint do rester surla detansive et d'abadonuer ses projetssur Mer,,

l,a tactique militaire, l'armement dessoldats ,-,,,-a sont certainement ,.né-ri'senà ceux des soldats chinois, mais-les1 ramiers se trouvant ce moment Ceprésence d'une C'ruée forte de trente àcinquante mille armée, masséeur la frontière du Kouldja et qui s'étend

déjh vnenagante de Aksou à Cho ugeluchak.Les forces des Russes ne s'élévent qu'adix mille hommes, et un général limi0mi,avec on peu d'audace et Il habileté, pour-rait les battre en détail,

Co qui est également un désavantageur les Russes, c'est que les forces chi.

oison dont nous venons du paner sontarmées

àl'européenne et 1111 elles sont

sans les ordres d'un général heureux quia sil las conduire depuis longtemps à lavictoire,

Ce général, te nom de Te0 't'suug 'rang,rat parvenu h dominer les rebelles de'rungan dans le Kansuh; il a étouffé dursdes Mois de sang ]ce rév.ltes qui ont éclatéchois I n-C. tlu Iuregarlo.

L.Chine,aillent

l , 1fl du dernier Yac0Ub Bcget de s 1 rdan ts

Ciel Lo leung-'rang, ;1 n'en poirltdente,, qti il die conseiller A FLlIlu le re-jet llél ]to e lu traité file hivadm, la

c u: xtion du matheur011x Ch'ungH.w eetcest a lui encore lue la Rues!,devra la pin In dm son influence dons .ao ntaiues contréce, ai l'étaila do ce géné-

bi l toujours victoria..oiefe

vieu

ent lioint àpàlfr,

Lqulnéedernfére,

la Russie avait réunideus le Pacifique une escafre assez canadérable avec 1 iobentton de l'offrir à laChine dans le cas eh cette puissance dé-claroreil la gaine au Jupon a aujat del'occupation des îles Liou-TCheou. Elleespérait par cette allia.,,. acquérir a0-prés de la cour Je PGkin une influencedont 111e serait, à l'occasion, a...le contreles Ltindlatéréta anglais. Le rejet duusotraictéomde

va mat il néant cette ingéiebinaison, La trop grande habileté do la di-plomntierusse dais le réglemont do l'af-faire du Kouldja a tout perdu.

(Temps.)

Le Père lli ),, était part,! pour Rome, il,I al

l«insar le sapé

Qa01q j..,.".. x ont rapporté qua,dés son arrivée, le Révérend pâle, a reçul'ordre d0 se rendra u couvant de Cor-bure, arrondissrrulent ds 0aloi (Corso).

Le P. Didou a ebtonrpéré aussitôt à l'or-me J is dis laêricur général; Il s'est orubar-gnte hier onr la 1'st at q i lui etaitassignes, m ontra.t afin sa lid

ielitéa

voua qu'Il avaitjurés en -Iranien reli-gton.

TRIBUNAUX-111 AIl.lTS 001,0 0OLI1 ml CA.s 1 N,ha Corr de cassation e1t da I lie

de x r rôts que ses, moyen' .fil. defuir. osnnaltre.

I"a chambre civile a décidé que les ri- IV. Le,, do,i.murcales des [ ue alors qu la V. La ville sous l'sont belr1,.s lr las tonds de la frbllJ

nais].q- et noie su, ,aux d t é' t t i V1 Ul, I-Ia p , 1 - Lastreillis l la ro' 1 e 1 I 1. .unemais A lI d p t t us .o011!. III. -Peu,

1,1 o1u l x c 1 1. lit e t d 91VYS IP rce du chie uns.1 I ve t étr m inscrits sur 1 I le élity

lia).VII. Guirlan te

"""i,*

- 001, e. (Gaston Da-u In n',-,a,--

5fei)t Pas a.ecette com

résidence (lace, bx lu

VIII. Mélanges,- AId nr ntalenbert et laLet chuinbre' c nede, do s n Côté, a I nou votlo éd,ncn des Mémonos do 5niat 1,11115rendu .n arnet par leiuel la,ail

[ar unindividu de d )oner .1.. mens un son bril-le' ttneuf, do lu' dia lob,leu'il luiprésente vaut 20

fraurece,quet

d'auqrecmvolr

quatre plé000 de 5 francs en échange, aeCnOOtilue pas 11 délit d'escroquerse, Il ya à on semple mensonge yur ao renferme

ucne des éléments de, osmorose irau-duleusos 1.1 tel 4[l d l Colle p6n vl.

Co""": E t e[ ndant, autant yuep ossible, ce aloyau de faire de la mon-naie r

FAITS DIVERS

LE arxnrrlsasr: r n rsrauelylit

Lxardodémocrolleo, a Sa egesse, constate, dansun article spécial; quo le bandltiame prendef Espagn1 des pr0[)Ounertla asss VArrtablmnent'nquicfantes. fl cita assez longue listedes chefs de bande qui résultat le pays.

Cesont : .Juanilloues, do la Sierra; ElTerrible, de Alcauar El O c r e o d lie-,duc ia; Los Castrole,s, ac Flic te dol Pro

' Lt Surano, de Ciranatnle; El Zurdo,de Malaga; EI Chat., de Calmai; halaSamgre, de Sév ll Agit, des Asturies;Pacte , Ampli, de P00 osa; Sigro, de Bar-celone ; bllgualillo al Iiubio, da Grenade;Et ino et Telaiaila.

Cette liste peu as -rantoast reproduitela EC lvnpa0 cal q

rcommandes

àlecteurs de ne p négliger de donner cesnoms à leurs do t lues le., enloi-II,

gnant formall meut do se blé. souven rl I 0''t'

b "s"eus là, Imil tess ncemm sn.lnet

h0. ont. u des.alios lu cas gaillards-la on doit toujours

erre sorti.

ae Belleville par des maltai teurs dont l'inse vantait d'eIre de la bande Abadle uactive sorveillance fut orge t, dansla nul I de samedi à dimanche, les agents

nt arrêta, ruade la Butto-Chaumant, qua-tre individus qui, à la suite d'attraction,pépé traient dans ml établissement de mar-chand de vls,

A. Dépôt, rue individus ont été 'l'am-i 'st le fameux Mignon, dit Cocu,

d Amour; les trois autres ne sont courusquo seau leurs nome da guerre : la Cha-leur, La Loup, In F.Iulse ; tous glmtre para

-e t Atre des repris dej ustice,

La chef de la bolide .voue une vingtainede vols commis de compiicrté avec seshommes, mais ,o énergufu t air,Ii lut

CIsel hommes, frappé dos duos

qu'ils volaient.IDre perquisition a été faite au dmni-

elle de Cnailf d'Amour, et unu 1l;e Vmgi-nie qui = y trouvaiten es moment, et dontles Ionctlons cor ,',[aient à porter auMon, de P(eté ou citez les brocante ers Icsobjets vcléa par 1, bande, a été égalementserdtée,

VARIAUn voyageur arrive dans un village

d'Allemagne et entre chez un barbier. Lafemme lu savonne, mais, a. lieu de passer

D'hlairoau dons de l'eau, elle crache des-

sus, sans façon, pour hunmetor le savon.-Madame, dit le touriste outragé,

est-0e parce que je suis étranger que vouse imitez ainsi?ce

Certainement, dit la femme, Iy mottons plus d'égards.., Quand ce soukles gens du pays, nous crachons sur leur510000...

L1 feunle d'un paysai, normand tombedaug.xeu. n'nt balade, Un 7 estale le, 0 midiroge, axa 01110, ct, tout eucausant, laisse pressentir In crainte de rrepas être cousenabloment rémunéré de suesoins,

- Mou.sieor, dit le muni, l'ai là cinqlouis, et qua vous tuiez ou guéris'" lachere femme, b ' magot cet A vous,

La marndc mourutA. boit de quelque temps, le médecin

se présenta pour reclamer feu cent francs.-- Docteur, dit le pauvre al'lligé, me

vmlà tout prêt à taon ma pro e Per.mettei rnol saule t l x

_tis ques-

fions, en prd'lac 1 1 g e tf noiesAvez.vous tué m. lemme Y

-- 'ro I l comment tué 1 assurément non.- Tant alleux. L'avez-vous guérie ?- Non, llélds 1- Eh bfau, si, comme "" on conve-

nez, vous ne l'aveu ni tué ai guérie, vousêtes hors d'es termes de nos conventionset n'avez légalement lion à me demander.

Voici le sommaire du Saias-Nicatas, nu-méro 16 (lb avril 1880),

I,o vue du bleu pbin Iltnoul do Najas1. - Lachat do lo mdro M,il I L t pwit, Olade,quel Il I I ) I j 1 c1111,1 de9yly t 151 rt L qI. 0,1500 ,,Iligrag I.udosic Dupm, I. - Mal ans lettees, -

Tiralr,0 eus davineleos. - Illustrations, parGaillard, Hopkius, Perdiuasdus, Avril, de Mon-sel, et'.

Envoi franco d'un nnruéro spécisu

menr demanda par lettre affiannhio,Ll61nic s Ch i)elagrave, à Paris. Etohoz

tous les libraires.Abonnement : U. am, 18 £r.; six m

'l0 franc.

Voici le sommaire de Correspondant,revue périodique paraissant le 10 et le 25de chaque amis. (Il- livraiaml , 10 avril1880).

1, C ] Il . p Id 'la G 11 l'Il L g I I 1,1 1 L V

pal I1 [ d P (1 l l111 boa Ode linio d 1 ...... u. le prom,ni

empire ICh, d'Avesncl,

III (P .,iogima Albert Ilu-

X QIid rue pol,trquaAUgule, 13...à,fl,

Commerciaux de Paris.12 AVRIL,

naïfs de Colla, F armes, 8 ml.<rgues,0h. s, 6 h.

nispoviblo,,,, 78 .. Sisponible '-Conrunt,,,,,. 16 Crurnrt...,..., fF 25Avril..... 15 Avr...,,,.,,, 65 ,-4 de mai.. } Mai duo...., 66 ,a dornicen.... 80 ?à' a de mai...... 63 50

Huile de Lin. Far, nec supr'eI,ores,

111,1onible,... 13 Disponible..,, 66conraal ,,,.-. 11 75 courant....... 66Avril ,,,, 72 7,i Avril. . Lt ,

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Le samedi 17 avril 1800.En audience dos criées du tribunal ci-

vil de Mm et et pe rdevarlt monsieur Cou-g t présedaut a c' commis, on son'lévo-lut e an l'nrt lots distincts et séparés,d 1 nbl tu 1 5 les u-lies d Au ter o etd 11 dan, a,raduII.mcntdis durci o), notamtnont

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la dito eammulle, imposée 1,010 un 1'evenude quatre-vingt-denx francs ciminantéc t 11111'1 1ntàl'expmi-touais d un h rloi et d un café dit el bôtoleC coté S.] f Ei ino, n sur la m se à prix pouroe lot do cinq m Ire traucs.

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et n n 1

tea8375, RG 40 et II955. La

clôta re a lieu dans de bonnescondltuma h83 62, 85 30, 119 40.

Bourses allemandes sans affaires, en lé-gers réaction.

Marché anglais très ferme. Gis Consoli-dès à arrivent do Londres à 98 13116 aux2 cotes. C'est 114 ue hanses eus samedi

l'Italien quelque ferme ne donne lieuqu'à peu d'echanges, aux pr x estrèmeade8470 a 8485.

Marché0 co

des valeurs peu mouvementé.t t e re i l'une dizaine de

I B u d' cnm to lHYl )tt a m. q p ot l

DIobiter t e luis.th a S

Lemme de ferH 1 m tr elles t csu ,h i i, e t BU les ors de samedi,a

raqué, les tonds étrangers restentE) Rgal t sf thonna: ses. Velenrs égyp

Lierre., mise. Le . Valeurs ottomanes enbelle ePsise. La Banque fait lot-tant 54a 50Change

sur Londres, chèque 25 29Après Bourse: 5 010, 111) 43 Talle,

1076; Banque ottomane, 543 75; LgyIl ta!30760, F10ri n, 76 ^18 Rus.., 93 15116;lion

deole, 91 3116.

Le Dlrecteur-!tirant: L. 00x0,1.

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Il.h , 3 h. d h.8 h.Mati...

... 6 ., Matin... .... 9 30 L dente .......... ... ... 6 h., 1] h.. IL S. A h 7 h. ] b. Il b. 1 h , 5 h e h.7 Sa,vt-S,man par la Cèprdre!.... 8 h., h. I l h. 2 h 4 h., T h. 8 h., l0 h- l l h., 8i 8a, sa,

d h. 7 h. 8 h U h.,. h. 12 h. 4 h., 8 h4

hh. 7 .

78

hh.,h. 1/2, 5 h, 1/2

33b.,

7 h. 8h. 12 h. 4h.,8h.M":

(Dnvoel. + Meliu IVilf 9 43 M taudraa Ip. des Dem - II al. 10 h, 5 h. il h. 6 h.Matin .. 5 130 Soir exp.)... 12 45 Se,nl-Agne. - Caslenet .. 6 h., IO h, 3 h., 6 h. 7 Il. 1/2, 11 h. 1/214 h. 112, 7 h. 1;2Mxlia Albi. 8 39 Son....... 3 4P

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