La Croix (1880)

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    La Croix (1880)

  • Bayard. La Croix (1880). 19/04/1902.

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  • ADVEN1AT REGKOH TTOIt~tii~iti~Mi~i~,LA JOURNEEPARIS, LE 18 AVriIi 1902

    Le oolonel Marchand, aprs sonroyage triomphal travers la Sibriet la Russie, est arriv ce matin Paris.

    Il a t chaleureusement reu lagare du Nord par de nombreux amispersonnels, parmi lesquels le com-mandant Baratier.

    XIl est prouv que le ministre sub-ventionne ses oandidatsavec l'argentdes contribuables. (Voir plus loin.)

    XLe gouvernement belge a fait hier| la Chambre des dclarations trsjettes. Il maintient qu'il n'y a pas lieude modifier la loi lectorale, et la

    Chambre a affirmsa volont de oloreaujourd'hui cette discussion.

    Le travail, du reste, reprend toutdoucement dans diverses usines duCentre.

    XLa rbellion du Kouang-Si prend

    de trs grandes proportions. Les re-belles, bien arms, sont matres de30 villes ou villages importants.Ils font apposer partout des procla-mations annonant leur rsolution derenverser la dynastie rgnante quiest usurpatrice et de la remplaoer parune autre vraiment chinoise.

    XLa sant de la reine de Hollande

    continue causer des inquitudes.Une note du Journal officiel ditque les suppositions des mdecinssont devenues une certitude, la reine la fivre typhode.

    La maladie suit son cours normal.XUne dpohe d'Amsterdam de ce

    tttatia annonce que les ngociationspour la paix avec les Boers sontrompues. X

    L'emprunt anglais a t couvert30 40 fois. Il fait dj prime de 1De nombreuses souscriptions sontvenues du continent et surtout deFranoe.

    XLa hausse est gnrale a Londres et

    dans toute l'Angleterre sur les den-res les plus ordinaires. Les bouchersde Londres ont lev de 0 fr. 20 leprix du kilo de viande.

    XM. Chamberlain,interroghier A ce

    sujet A la Chambre des Communes,a dit n'avoir aucune communicationA faire.

    XLa mort du roi Franois d'Assise va

    amenerdes modifications importantesdans les ftes de la majorit de sonpetit-fils, le roi Alphonse XIII.La reine rgente d'Espagne vient

    d'ordonner un grand deuil de troismois et un demi-deuil de mme dure.Le service funbre du roi dfunt sefera A Madrid et l'inhumationauralieu PEsourial,aux spulcres des rois.

    xLa crise ministrielle de Morvgen'est pas rsolue. Le prsident de laChambre, charg de former le nou-veau Cabinet, demande le temps derfioair.

    DERNIRESNOUVELLESPARIS, 4 heures

    LA CANDIDATURE DE M. PIOULa candidature de M. Plou a t acclamehier soir, Saint-Gaudens,au milieu d'un en-thooBisme indescriptible par prs de 2000 leo-teurs.

    Ce succs dans le canton sur lequel M. Bep-male, son adversaire, comptait le plus, est duplus heureux augure pour le rsultat final.

    ARRIVE DU COLONEL MAROHANDLe colonel Marchand et le capitaine Sauvage

    83*t arrivs ce matin 8 h. 30 la gare daNord. venantde Cologne.Ils taient attendus sur le quai de la garepar le commandant Baratier. Ce dernier, dsqail a aperu le colonel, s'est port au-devantde lui. s'eet jet dans ses bras et les deux offi-

    ciers se sont embrasss longuement.Us te font ensuite dirigs rapidement vers lalertie et ont pris le fiacre 18811. Il y avaitenviron 200 personnes sur le quai et la porte,Mitant en dehors de la gare.Quelques cris de Vivn Marchand 1 se sontMit entendre aucun incident ne s'est produit,Aucun service d'ordre exceptionnel n'avait tWgani*.

    Le colonel Marchand, questionn par unjournaliste sur set projets actuels, a rpondu Pour le moment, je ne songe qu'a me re-

    >oser-J ai obtenu un cong de convalescencele trois mois, et je compte le passer Paris. Peut-Atra aussi irai-je Thoisseyembrasser

    ton pre. mai je H'ni- encore rien dcid laet gard.

    NOS GOUVEMTSNos gouvernants ne sont pas ceux

    qu'un vain et lger peuple pense.Le gros public, naf et bon enfant, ne

    se rend pas encore bien compte de cettevrit c'est que prsident et ministresde la Rpublique rgnent mais ne gou-vernentpas.Ils s'agitent surles planches,dans la parade officielle, mais une forcesecrte et mystrieuseles mne.

    Il faut percer le mystre de cette forcela Franc-Maonnerie-quin'est toute-

    puissante que parce qu'elle est secrte Nous devons rester discrets, pru-dents, toujours travaillant couvert,

    disait en mai 1900 le F. Leduc dansun Congrs des Loges; plus nous reste-rons cachs, plus nos adversaires nouscroiront forts.

    Agir au grand jour serait une grandeimprudence, ce serait nous compro-mettre.Nous devons rester ce que noussommes et conserver nos vieux sym-boles dans nos temples ferms plus quejamais aux profanes.

    Et embusquderrire ses vieux sym-boles , l'araigne maonnique tisse satoile pour gober les mouches profanes.

    Les Loges, disait le franc-maonHubbard, le 26 novembre 1899, ne peu-vent pas descendre ouvertementdans lalutte; elles doivent se tenir dans l'ombre,tenir la main sur les journaux et lesassociations.

    Et les fils de sa toile, ce sont lesgroupes fraternelsd'tudes,les Comitsd'action pour les rformes rpubli-caines, les Comits excutifs du partirpublicain, radical et radical-socia-liste.

    Depuis 1885, c'est sous ces diffrentstitres que les Loges ont fait les lections.

    Puis ce sont des myriades de sous-groupes,de sous-Comits, o les francs-maons prennent la direction Nousavons suivi le mot d'ordre qui noustait donn, disait le F. Girod au Con-vent de 1891, provoquant la formationde Comits radicaux, d'associations di-verses o nous sommes entrs en plusgrand nombre possible.

    Exemple t

    Personnellement, disait le F.\ Re-boulet au Convent de 1897, j'ai citerl'exemple d'un groupe de cinq maonsqui, dans un canton important de larme, s'estcr une situation lectoraleimportante et a pu mme faire chec un candidatouvertementpatronnpar leprsident du Snat, tout-puissantcepen-dant dans la rgion.

    Et pour resserrer davantageles maillesde sa toile, la bte recommande la for-mation de sections de la Liguedes Droitsde l'homme et du cttoyen. (Conv.de 1899.)

    Elle met en ligne la frquentationdes francs-maons dans le plus grandnombre possible de Socits, toujours etparticulirement dans les patronageslaques, scolaires et de bienfaisance,associations de prvoyance, de secours,de tir et de gymnastique Encouragertoutes les Sooits de libre-pense,pres-sentir les institutions qui, dans leurrle d'ducateurs du peuple, peuventnous rendre de grands services. Lesmembres des Socits de libre-pense etles instituteurs sont, pour la plupart,des macons de cur, ils constituentdes soldats de la mme arme que lantre.

    Ainsi s'exprimait avec une candeurqu'excuse seul l'espoir du secret, leF. Bourguet au Congrs des Loges duNord-Ouest, en mai 1900.

    Et toujours, en cette immense entre-prise de mainmise sur la France et surla Rpublique, on voit poindre l'hypo-crisie comme moyen prfr.

    Il ne faut pas, dit le F. prsidentde la Jeunesse rpublicaine,au Conventde 1898, il ne faut pas appeler ces uvrespatronages laques, car vous ef'rayez

    LE REMPLAOEMSNT DE M. DOUMERD'aprs les renseignements que nous avons

    recueillis une source sre, MM. Pichon etBeau seraient les deux seuls candidats en pr-sence pour le poste de geuverneur gnral del'Indo-Chine. La candidature de M. Laurentn'existeraitplus.

    Tout fait prvoir, d'aprs les bruits qui cou.rent dans les milieux gouvernementaux,quele poste en question sera oon M. Pichon.

    M. LOUBET AU 8 AL ONLe prsident de la Rpublique s'est rendu

    cette aprs-midi au Grand Palais pour inaugurerle Salon des artistes franais.

    M. Loubet a t reu par le Comit;plusieursministres accompagnaient le prsident nousavons remarque notamment M. Waldeck-Rousseau et le gnral Andr retour de Saint-Maixent.

    M. Lpinedirigeaitlui-mmele serviced'ordre.Aprs avoir parcouru les diverses galeries et

    s'tre entretenuavecquelquesartistes, M. Loubetest rentr l'Elyse.

    Aucun incident ne s'est produit.00flflGItfllS ET BOEf*S

    M. Wolmarans. un des dlgus boers enEurope, interview au sujet de la nouvellepublie par la Nieuioe Rotterdamsche Cou-rant, disant que le bruit s'tait rpandu LaHaye de la rupture des ngociations de paix,dclare qu'il n'a pas eu connaissance de cebruit fit qu'il ne sait absolument aucun dtaildes ngociationsen cours.

    -+.ADIEUX DU GENERAL BONNEAULorient.- Un grand dtner d'adieu, en l'hon-

    neur du gnral Bonneau,nouvellementpromuau commandement de la brigade de cavaleriede Rouen, a eu lieu hier soir, au Cercle mili-taire. Y assistaient: le vice-amiral Bienaim,prftst maritime le contre-amiral Rivet, le g-nral Bertin et grand nombre d'officiers de lagarnison. La musique du 66* d'infanterie a fait

    las parents ou la jeunes filles; il fautles appeler simplement Associationsdes anciens lves de telle coVfy celan'effraie pas et vous pouvez ainsi runirdes noyauxqui sont des ferments excel-lents pour notre Rpublique, notre d-mocratie et certainement un jour pournotre Franc-Maonnerie.

    Est-ce clair? Voyez-vous maintenantcet immense rseau aux mailles serreset solides qui enveloppe et enlacele pays,ligotant toutesleslibres initiatives,toutesles nobles indpendances?

    Comprenez-vous maintenant que nosgouvernantssont les simples pantinspantinscomplaisants,du reste-de ceuxqui tiennent en main toutes ces ficelles?

    Citons un exemple o nous saisironssur le vif l'action maonnique gouverne-mentale.

    C'est un franc-maonillustre,le F. De-quaire-Grobel, quis'exprime ainsi au Con-vent de 1899

    Eh bien Y Affaire, pour l'appelerpar son nom, Y Affairea fait marcherla main dans la main, sous un ministrehybride en apparence, et en ralit siparfaitement uni quant au but pour-suivi, a fait marcher, dis-je, la maindans la main des hommes qui avaientpeut-tre un idal rpublicain un peudivergent,maisqui tous veulent la Rpu-blique avec toutes ses consquences Voil l'uvre que vous avez faite; etvoqm avez fait en plus, je ne diraipas un pays, mais ut ministre votre ima6e!

    Oui, nous sommes en Franc-Maon-nerie et non en Rpublique franaise,c'est--dire en Rpublique franche etouverte, accessible tous les Franaisselon leurs mrites et leur dvouement.

    Un trust formidable a accapar tontenotre activit nationale et politique.

    Voil la vrit.Et ceux que ces textes ne suffiront pas

    convaincre ont un bon moyen de sefaireuneopinioncompltementinforme;qu'ils lisent le livre que vient de publierM. Prache, le vaillant dput de Paris,et qui n'est que l'expos prsent laCommissionparlementaire charge d'exa-miner la ptition contre la Franc-Maon-nerie (1).

    Voil un livre autour duquel toute lapresse socialiste, radicale et sectaire ferale parfait silence .

    Il est plein de citationsbien jour, detextes crasants. Nous n'avons eu nous-mmes qu' le feuilleter pour crire cetarticle tout fait d'emprunts aux comptesrendus officiels des Loges.

    Il faut dcidmentarracher le masqueaux Chevaliers du secret.

    Ils se cachent, ils se terrent, donc ilsfont le mal.

    Il faut que le peuple franais deviennerellement le peuple souverain et ne soitpas une sorte de roi fainant entre lesmains des maires du palais maonnique.

    Et pour l'aider secouer le joug, ondoit lui dnoncer les candidats francs-maons, amis des francs-maons ou sou-tenus par les feuilles maonniques.

    C'est la tche qui s'impose tous lesFranais qui veulent vivre libres, sousun gouvernementlibre et responsabledeses actes devant le pays et non devantun aropageclandestin. Cyr.

    ROMELe cardinal M or an

    Rome, 18 avril. II est taux, bien que lesjournaux anglais l'aient annonc, que le ear-dinal Moran, archevquede Sydney doive rester Rome en qualit de cardinal do Curie.

    Le cardinal Moran quittera Rome la fin demai et, aprs un sjour en Irlande, repartirapour l'Australie l'automne prochain.(Paris- Novvellet.}JLe Saint-Sige et le Montngro

    Rome, 18 avril. L'accord rcemmentoonchientre te Saint-Sige et le Montngro a pro-

    (\)La ptition contrela Fran-Maonneri.a la 11* Commission des ptitions de laChambre des dputs. Motifs et conclusionsde la Commission, par M. Prache, rapporteur.Bureaux de la < Patrie franaise , 15, rued'Argenteuil, Paris. Prix: 2 fr. 50.

    entendre ses meilleurs morceaux. Ce matin, legnral Bonneau a pass en revue le 63; ilfera, cet aprs-midi,ses adieux au rgiment.

    LATORI8E EN BELGIQUEBruxelles, 18 avril. La matine est trs

    calme on se contente de commenter lessances de la Chambre et du Snat amsi qued'mettre des prvisions sur les runions decette aprs-midi.

    On annonce de Charleroi qu'une importantemaison a d refuser une commande de 800 wa-gons livrer l'tranger.

    A Anvers, le Conseil de disciplineacondamn un jour de prison et 25 francs d'amende desgardes civiques pour acte d'insoumission.L'un des blesses des dernires bagarres vientde mourir l'hpital Saint-Pierre.

    Les mesures d'ordre prises depuis midi sontdes plus rigoureuses, car l'on s'attend deviolentes bagarres vers la fin de la soire,aprs la sance de la Chambre. On estime eneffet, que le projet de discussion de la revisionsera rejet.Ds que le vote sera connu, les troupes et lesgardes civiques seront masss aux abords duParlement.

    .ESPAGNE ET LE VATIOAN*Rome, 18 avril. Dans les cercles du Vati-

    can on considre comme trs probable uneentente prochaine entre le Saint-Sige et legouvernement espagnol au sujet de la revisiondu Concordat et de la question des Ordres reli-gieux. Le Vatican, pour faciliter les ngocia-tions, fait preuve de la plus large condescen-dance. (Paris-Nouvelles.t

    Cherbourg, 18 avril. Le croiseur russeDuc-d'Edimbourg est parti hier soir pour laBaltique.

    LES FINANOBS TURQUESConstantinople, 18 mil. Sur l'ordre 4

    fi oqu parmi les catholiques croates un vri-table mouvement de rbellion.

    On annonce la publication prochaine d'undocument pontifical qui stigmatisera svre-ment l'attitude des catholiques croates et lesinvitera se soumettre aux dcisions du Saint-Sige. (Paris-Nouvelles.)GAZETTE DU JOUR

    CE QUE L'ON GAGNE MOURIRDans son numro du 14 avril 1898, au-dessous d'un dessin caricatural,d'ailleurs

    fort bien russi, le Figaro apprciait commeil suit le sectaire Isambert qui vient demourir

    M. Isambert dit l'aimable se donne pourjournaliste et se croit orateur. Ceux-'qui l'en-tendent prfrent ses articles, et ceux qui lelisent aiment mieux ses discours. Il faisait, sousl'Empire, son ducation politique au rat-mort.

    Gambetta, qui le prenait volontiers commeplastron,avait coutume de lui dire: Tu peux la rigueur crire, ne parle jamais.

    Et il y a toute une colonne dans ce got-l. Or, mardi 16 avril 1902, on lisait dansce mme Figaro:

    M. Isambert, ds son jeune ge, entra dans lejournalisme et il y prit bientt une place im-portante. Gambetta qui l'estimait et l'affection-nait, etc. Intelligence ouverte, esprit cultiv,Gustave Isambertne laissera que des regrets,etc.

    II faut croire que M. Isambert a biengagn mourir. A moins que ce ne soit leFigaro qui ait perdu vieillir.

    FONT PRIELES F.HI. FOUT PRIERPOUR LEURS ADVERSAIRES

    Parmi les manuvres lectorales misesen uvre par les Loges pour amortir leretentissant soufflet du 27 avril prochainsur les joues ministrielles, on nous ensignale une qui ne saurait nous dplaire:

    Dans l'arrondissementde Wassy(Haute-Marne), les amis du ministriel Rozet fontrpandre en abondance des petites feuillesdemandant des prires pour son trs hono-rable concurrent, M. Paul Festugire.

    Et les bons aptres qui ne peuvent rienfaire sans y mettreun petit cachet de canail-lerie, aprs avoir fait eux-mmes distribuerces feuilles, s'crient Voyez commeM. Festugireest peu sr d'tre lu puisqu'ila si ardemment recours au ciel I

    La canaillerie part, il reste ce fait peubanal des F.M.\ exhortant la prire.

    D'ailleurs, la candidature de M. Festu-gire ne s'en porte pas plus mal, au con-traire, le succs s'affirme de jour en jour etles lecteurs se prparent rendre le minis-triel Albin Rozet a ses palinodies.

    LES MftRTYBS DE L'ASSISTANCECes jours-ci, les journaux de Grenoble

    publiaient le fait suivantOn a amen l'hpital, sur une voiture bras, un enfant de 17 ans, accroupi dans unfauteuil. Cet adolescent appartiendrait au ser-

    vice des Enfants assists et aurait t plac duct du Bourg-d'Oisans depuis fort longtempsmalade, c'est dans ce fauteuil qu'il auraitgrandi, pourri, devrions-nous dire pour trejuste. Il a fallu briser son sige pour l'enleverde dessus un vritable lit de fumier, les bar-reaux s'attachaient la chair. Naturellement,l'enfant, qui tait toute extrmit, ne pouvaitsurvivre, et malgr le nettoyage qu'on lui a faitsubir, il a succomb. On a d, ne pouvantredresser le corps, le placer dans une caissespciale.

    Et cependant, l'Assistance publiquea pourvisiter ses pupilles des mdecins et des ins-pecteurs en grand nombre. Elle a des res-sources et une organisationmatrielle con-sidrable.

    Ce qui prouve une fois de plus que l'ar-gent de laltruisme ne peut remplacer lavraie charit chrtienne.

    LE CANDIDAT EMPEREURDe tous les candidats, celui qui parait

    tenir en ce moment le record des faveursobtenues pour ses lecteurs nous paraittre sans conteste le citoyen Empereur,dput sortant de Moutiers.La liste des faveurs gouvernementalesobtenues par la haute influence de Csar-ConstantinEmpereurformeunvrai volume.

    Et il y en a qui ne sont pas banales.Celle-ci,par exemple 1Sur mon intervention ritre le ministre de

    l'Intrieur, malgr l'avis contraire du Conseild'Etat, autorise les communes de Planay et deNotre-Dame de Brianon contracter un em-prunt pour acheter chacune une montagne.

    En outre de ces deux montagnes, l'Etata inond la circonscription du terrible

    grand-vizir, l'avance de la dette publiquepourJe payementde l'chancedes crances Lorandoet Tubini a t rembourse intgralement au-jourd'hui.

    La Porte a soumis la sanction imprialeles termes d'une nouvelle rponse M. Bouvieravec des modifications favorables l'accepta-tion du projet de conversion.

    La sanction est encore attendue.

    UNE FAMIQUE D'ENGINS ANARCHISTESEN LIVONIE

    Londres, 18 avril. Une dpche reue parta Daily Mail annonce la dcouverte d'unefabrique de bombes subventionne par desanarcnistes en Livonie. (Paris-Nouvelles.)

    EN BALLON SUR LES ALPESL'archiduc Lopold Salvator a accompli hier,

    avec son ballon Meteor, un vritable tour deforce en arostation. Parti de Salzbourg, il afranchi les Alpes autrichiennes, une altitudede plus de 4000 mtres. La descente, s'estopre sans incident Judenberg, dans lesAlpes de Styrie, quatre heures aprs le dpart.

    GARE EN FLAMMESCagliari. Un terrible incendie a dtruit

    compltement la Rare du chemin de fer lesdgts sont normes; le feu avait pris sa sourcedans un magasin de papier et de vieux livres.ENTR. AERONAUTES

    Londres, 18 avril. Le docteur Barton, le fa-meux inventeur qui est charg de construireun ballon dirigeable pour le gouvernement bri-tannique, a dclar hier qu'il avait adress undfi M. Santos-Dumont.L'preuve consisteraen un trajet, alter et retour, de Londres Edimbourg.

    M. Bartondclare sa machine bien suprieurecelle du Brsilien. Il est si sr du succs

    qu'il offre de parier 2OO0O francs.On ignore encore si M. Santos-Dumont, ac-

    tuellement New-York, relvera le dfi.

    Csar de billets de mille francs de livres,d'objets d'art, les facteurs -reoivent 'des ratifications, les cantonniers sont gorgsd'or, les instituteursvoient leur traitementdoubl, etc., etc.

    Etonnez.vousaprs cela que M. Caillauxn'ait pu quilibrer son budget aprs depareilles libralits envers Empereur!

    C'est une ruine que ce Csar.

    Plerinagede TrnTslteLes adhsionsau Plerinagede Jrusalem,Nazareth, Constantinople, Athnes, se sont

    multiplies cette semaine. Nous rappelonsles conditions i classe, 860 francs.2" classe, 680 francs. 3 classe, 450 francs.(Tout compris bateau, embarquements, d-barquements, chemins de fer, voitures pourNazareth, Bethlem, Saint-Jean, logement,nourriture, bonnes mains.)

    Le Plerinage dbarque au Carmel et ladirection vient de recevoir la bonne nou-velle que le cheminau flanc de la montagne,largi 5 mtres de large, permettrapourla premire fois de le gravir en voiture surune pente adoucie. C'est d'en haut que par-tiront les voitures pour Nazareth.Quant aux quarantaines, la Nef du Salutles a toujours vites en usant de sa libertafin de ne point toucher les points quiseraient contamins.

    Le programme est dpos nos bureauxet au secrtariat, rue de l'Universit, 192,Paris, VII.

    M. LOUBET EN RUSSIELe port de dbarquement

    Nous l'avons annonc, M. Loubet dbar-quera Dunkerque son retour de Russie.Il a autoris le prfet du Nord lui pr-senter lundi prochain, 21 avril, la dlgationcharge de lui adresser officiellement, aunom du dpartement, une invitation qu'ilacceptera.

    M. Sculfort, prsident du Conseil gnral,a pri le maire de Dunkerque, le prsidentde ta Chambre de commerce, le prsidentdu Conseil d'arrondissement, les snateurset les dputs du dpartement, de se joindrelundi au bureau du Conseil gnral, afin dedonner toute son ampleur la dmarchequi sera faite l'Elyse.Le dpart

    C'est dcidment le 13 mai, au soir, que leprsident de la Rpublique quittera Parispour se rendre Brest, o il passera lajourne du 14, pour s'embarquer la chutedu jour.

    La division de !a Baltique appareilleradans la soire du 14. Les prparatifs Brestcontinuent avec beaucoup d'activit.

    M. Loubet descendra la prfecture mari-time, o des appartements vont tre spcia-lement disposs pour le recevoir. C'est aupont Trhouart, dans le port de guerre, quele prsident de la Rpublique s'embarquerapour se rendre bord du Montcalm.

    M. Mcerds, commissaire spcial Brest,est Paris, o il prend des instructionspourles mesures de sret concernant l'arrivede M. Loubet Brest et son sjour danscette ville.

    L'intention de M. Loubet est d'arriver lematin par le train de 9 h. 82, et de s'em-barquer l'aprs-midi, 3 heures, sur leMontcalm.

    Le maire de Brest a demand au prsi-dent de vouloir bien prolonger un peu sonsjour Brest, mais celui-ci s'est montr in-flexible.

    M. Loubet recevra les maires du dparte-ment ou de l'arrondissement, visitera1 colenavale et une autre cole maritime, puispassera la revue de l'escadre du Nord.

    Le ministre de la Marine accompagneraM. Loubet Brest.

    Le GnlchenHier, en visitant la carne du Quichen,qui doit faire partie de la division navale de

    la Baltique, les scaphandriers ont constatqu'une aile de l'hlice s'tait brise en coursdes essais de vingt-quatre heures que cecroiseurcuirass vient d'effectueren vue deson dpart pour la Russie. On suppose qu'ila rencontr une pave.Le Guichen a t conduit l'arsenal etchou dans le bassin pour tre rpar.MARCHAND ET WALDERSEE

    D'un rdacteur de l'EclairJ'ai eu Berlin me dfendre des interviews.

    et j'ai refus de parti-pris toutes les invitationsqui m'ont t adresses. Je suis parti de Berlinmercredi, et je me suis rendu immdiatement Hanovre, pour aller prsenter mes respectsau marchal de Waldersee. qui avait t, enChine,extrmement bienveillantpourmoi,aussibien d'ailleurs que pour tous les officiers fran-ais. Je ne saurais trop le rpter. le comte deWaldersee a rempli ses fonctions avec un taotmerveilleux.

    DEPART DE NEW-YORKDU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE CUBA

    New-York, 18 avril. M. Estrada Palma,prsident de la Rpublique de Cuba, a quitteNew-York le 16 avril. Il va s'embarquer Nor-folk et prendra le 20 mai la prsidence de laBpublique cubaine.

    D'ici la, un accord commercialsera probable-ment oonolu entre Cuba et les Etats-Unis.

    MOUVEMENT JUDICIAIRESont nommsPrsidentde la Chambre la Cour d'appelde

    Bastia, M. Mariani, juge au tribunal de 1 ins-tance de la Seine, en remplacement de M. Gaf-fory.

    Juge au tribunal de 1" Instance de la Seine.M. Nouvion, conseiller Nmes;

    Conseiller la Cour d'appel de Nimes,M.Gra-ni. prsident Albi; prsident du tribunal de1" instance d'AIbi, M. Grabias, prsident Cas-telsarrazin

    Prsident du tribunal de 1" instance de Cas-telsarrasin, M. Canavaggio, procureur de laRpublique au mme sige:Procureur de la Rpublique prs le tribunalde 1" instance de Castelsarrasin, M. Lagaune,substitut du procureur de la Rpublique Bayonne;

    Substitut du procureur de la Rpubliqueprsle tribunal de i" instance de Bayonne, M. La-nery-d'rc, substitut au procureur de la Rpu-blique Libourne;

    Substitut du procureurde la Rpubliqueprsle tribunal de 1" instance de Libourne,M. d An-glade, juge supplant au mme sige;Conseiller la Cour d'appel de Poitiers,M. Pcolet, prsident la Rochelle, en rempla-cement de M. Moreau. dcd;

    Prsident du tribunal de, 1" instance de laRochelle. M. Martineau, juge Rochefort;

    Juge au tribunal de 1" instance de Rochetort,M. Pommier, juge au BlancJuge au tribunal de premire instance duBlanc. M. Capillery, juge Montbliard.

    FIDELITEAL'LECTEOR

    MM. les abbs Gayraud et Stphan, candi-dats dans la 3 circonspeription de Brest,avaient fait le rve patriotique de dposerau seuil de l'lection du 27 avril toute pas-sion politique.

    Renonant l'un et l'autre la lgitimaambition de reprsenter la catholique popu-lation de la 3 circonscription de Brest pourunir ce pays dans l'action politique commeil l'est dans la foi en Dieu, ils avaient d'uncommun accord offert la candidature AM. Piou, prsident de l'Action librale etdput de Saint-Gaudens.

    Mais ils avaient compt sans la fidlit dM. Piou ses lecteurs. Celui-ci a jug qu'ilse devait ceux qui, depuis plus de quinzeans, lui fournissenttant de prcieux et tou-chants tmoignages de leur admiration, de,leur confiance, de leur attachement et deleur dvouement.

    A Brest, c'et t l'unanime acclamation; Saint-Gaudens,c'est la lutte pre; Brest,c'tait la victoire sans guerre; Saint-Gau-dens, la victoire sera achete au prix damille combats, o il aura triompher des,injustices, des injures et des calomniesd'adversaires sans vergogne.

    M. Piou n'a pas hsit il a prfr lechemin sem d'pines que lui montrait1.devoir de fidlit la voie triomphale qului proposaient les candidats de Brest.

    Il est Saint-Gaudens.Il y est entour del'estime et de l'affection de la chre popula-tion qui lui a ouvert.les portes du Parle-ment. Il y reste.

    Que M. Waideck-Rousseauessaye de l'endloger; qu'il appelle son aide les forceset les ruses de la Franc-Maonnerie; qu'ilmette en branle son prfet et son arme defonctionnaires; qu'il invente les calomnieset soudoie les calomniateurs :"M. Piou de-meure inbranlable; il ne soutient pas l'as-saut pour lui, il le soutient pour l'hon-neur et pour l'intrt de son arrondissementqu'il veut prserver du joug d'un minist-riel sans valeur, d'un maon sans moralit,-d'un socialiste sans amour du peuple.

    M. Piou est fidle ses lecteurs et seslecteurs lui seront fidles.

    Mais sans regarder mme les armes dontse sert M. Waldeck-Rousseau, on se de-mande o en est descendu le gouverne-ment pour tenter de priver le Parlementfranais d'un orateur de l'envergure deM. Piou, et de se priver lui-mme des lu-mires d'une opposition aussi loyale, aussidroite, aussi claire? O en est-il descendu;pour prfrer la ridicule nullit dans 1'apr.probation au mrite clatant dans la contratdiction? O en est-il descendu pour prf&rer un Bepmale un Piou?If

    Au point de vue gnral, la lutte entre-prise par M. Waldeck-Rousseau contreM. Piou est une honte.

    A son point de vue particulier, l'arrondis-sement de Saint-Gaudens regarde commeune injure la seule supposition qu'il ottcapable de sacrifier son fidle reprsentantaux colres et aux vengeances d'un minis*-tre qui gouverne contre les honntes gens-

    N'est-ce pas aussi une injure de le croirecapabled'accepter des mains de M. Waldeck-Rousseau un dput, dont ce ministre nevoudrait pas pour prfet, pour pereepteurLet surtoutcomme commensal, en tte--tte-.

    D'aprs les nouvelles que nous recevonsde Saint-Gaudens, les lecteurs de Saia>Gaudens se prparent stigmatiser, 1*37 avril, l'attitude scandaleuse de M. WaKdeek-Rousseau, venger l'affront de la can-didatureofficielle de M. Bepmale et faireune lection triomphale M. Piou.

    D'OU TIENT LEUR ARGENT

    La Patrie franaise et l'Action librale,'pour permettre aux candidats de 1 opposi-tion ministrielle de lutter contre les eaa-.didats des fonds secrets, ont fait publique-ment appel aux souscriptions de tous lesbons Franais qui voulaient aider secouerlesectaire jacobin et collectiviste.

    Les listes des souscripteurs ont t pu-blies, au jour le jour, dans un grandnombre de journaux.

    Ces souscriptions taient libres et ceux-lseuls qui estimaient comme un devoir pa.252.. 1901 aragoae actionis actions1u rang.350. Litsur Eiffelact.joiM4& 1496 Russe~"HI8II.&47bo .132 I)Gleproyl"nni,.it9 tite3 500.455 50 .d55 Suer. actiono.3\.ftj ~9:: r ~r.'S,~i;4~ ~75:W~M~ usse 5? lm.132 M .1.32 40 i>nlep,Tlpnn,001!18.. IliO.BMuned.Fntnc.976:37!S. Bourbonnais3" 500,85 460. ::DyntmiteCentr..)e.7J.7~ !ntr.4XJB3Ea A Tt TW

    Saint-Mand. Fortune incendie. Ily a quelques mois, M. Jean Herry, 24 ans, de-meurant Saint-Mand, hritait d'une sommede 100 000 francs, lgue par un parent loign.Sa joie fut vive; mais, comme le savetier deLa Fontaine, il en perdit le boire et le manger.Pris de la peur d'tre vol, il gardait tout sonavoir sur lui, se dfiant de tout et de tous.

    L avant-dernire nuit, perdant tout fait laraison, il a allum du feu, a tir de ses pochestitres et billets et a tout fait flamber. Puis ils'est tir dans la tte un coup de revolver quine l'a que trs lgrement blesse.

    On va s'occuperd'internerce malheureux quis'est volontairement ruin. Il a entirementdtruit 70 000 francs de titres dont on ignorelesnumros.a~tv~us~~

    Finistre, Le cadavre d'an notaire.Le cadavre de M. Leolech, notaire Fouesnant,a t trouv hier dans le bassin du port decommerce de Brest. M. Lec!ech avait disparudepuis dix jours.

    Yonne. Mort accidentelled'un facteur.Le facteur Droin, de Collan, traversait

    bicyclette la ville de Tonnerre quand il allabuter contre un cheval. Le facteur, renvers desa machine a donn de la tte sur les tessonsd'une bouteille qu'il avait dans son sac. Quelquesheures aprs, le malheureux rendait le derniersoupir. Droin qui tait g de 29 ans, laisse uneveuve et un beb de 6 mois.Gers. Terrible mprise. Joseph M.domestique Antras, prs Auch, s'tait rendu l'afft dans un bois voisin de la proprit deson matre.

    A un moment donn, ayant vu, non loin delui, les branches d'un buisson s'agiter, le chas-seur paula et fit feu.Un cri dchirant suivit aussitt le bruit de ladtonation. Affol, le domestique courutvers lebuisson, et l, il trouva tendu terre, la figureensanglante, un de ses voisins, Joseph L.qui, comme lui, chassait l'afft. Le malheu-reux avait reu toute la charge dans le haut dela poitrine et sur la figure.L'tat du bless, que l'auteur involontaire dece terrible accident a aussitt transport chezlui, est des plus alarmants.Loire. Les pluies. A la suite de pluiesabondantes tombes ces jours derniers, leniveau de la Loire et des principaux coursd'eau de la rgion s'est lev dans des propor-tions considrables.

    Les riverains de la Loire prennent des pr-cautions pour le cas o la crue s'lveraitencore.Meurthe-et-Moselle. Fon dangereux.De notre correspondant de Nancy Jeudisoir, Barthlmy, subitement atteint de foliefurieuse, a tir. rue de la Visitation, Nancy,plusieurs coups de fusil sur ses voisins et lafoule; il a bless huit personnes, dont unegrivement.

    JJUAt-lLAJaTOr,Ih.Jri.

    Belgique. Viaduc croul. Le viaducdu chemin de fer situ La Hulpe, sur laligne de Bruxelles Ottignies, s'est ecroul.

    Il s'agit simplement de l'affaissement acci-

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    record des 100 kilomtres. Sa tentative n'a pas cfcouronne de succs.

    Par oontre, Guillaume, sur sa voitureUe,a fait les100 kilomtres en l h. 36 m. 56 s., ce qui constitue lerecord pour voiturettes.VELOCIPEDIE. Bordeaux-Parts. La grandecourse classique de Bordeaux-Parisse disputera cetteanne, pour la douzime fois, les 21 et S5 mai prochain.Tous les meilleurs routiers ont t'intention d'y parti-ciper, c'est dire qnn le succs de la grande preuvest d'ores et dej assur.

    Cette course est organise par le Vtlo.Marteau-paris. Avant Parts-Berdeam, nomaurons la course Marseille-Paris qui aura lieu les let 19 mai.

    Cette preuve, qu'organise l'Aulo-Vlo a rnni34 coureurs de vitesse et 30 touristes-routiers.Les engagements seront clos le H mal.Au Parc des Prinoes. La seconde eprenve de lagrande course internationalede deux jours dont iespremires pripties se sont droules dimanchedernier au Parc des Princes, aura lieu dimancheprochain.Le rsultat est loin d'en tre acquis au coureurDickentmann le champion hollandais qui tient latte en ce moment, car il ne prcde pas neauconp 1

    coureur franais Edouard Taylor. si l'on ajoute queTom Inton et de Guichard seront entrans d'unefaon parfaite et que Hobl veut prendre une cla-tante revanche, il faut nous attendre une preuvepalpitante.Paris-Madrid, Mnller s'est mis en route hier 5 heures, pour battre le record Paris-Madrid,dtonadepuis huit ans par Edouard de Perrodil et Farman.Mutler est entrain par Dacier en motocycle. Ilcompte tre ce soir Bordeaux.Le grand pria cycliste. Voic le programmade la deuxime journe du grand prix cycliste de laVille de Paris! joerne, jeudi 26 juin A. Prix de la Commissionsporti'e. Course scratch rserve aux coureurs de et 3- sries. Prix 300, 150, 100 et 50 fr. Distance,5000 mtres courir en un seule srie.

    B. Prix de l'Esprance, preuve de repchage dugrand prix. Course scratch rserve aux coureursnon qualifis pour les demi-finales aprs les srisliminatoires.

    A courir en sries, trois demi-finales et une finale.Le gagnant sera crua lift pour les demi-finales dugrand prix, le second touchera 100 fr. et le 3" 50 fr.Distance, 1 500 mtres.

    C. Prix du Commerce et de l'industrie. Course de>primes. Prix 10 fr. chaque tour de piste. Primefinale du dernier tour de piste 100 fr. an 1", 75 fr. au2, 50 fr. au 3'. Distance 6000mtres.

    D. Prix des trangers. Course internationaleou-verte aux coureurs trangers ayant pris part auxpreuves ou sries liminatoire du ftrand Prix, courir en sries faites sur le terrain, demi-finales s'ily a lieu et finale. Prix 300 fr. an 1", 150 fr. aa 100 fr. au 3; plus M fr. tous tes coureurs classasseconds et s fr. tous les coureurs classs troisimesdans les demi. finales. Distance lOOO mtres.FOOTBALI, Le championnatde France. C'esttbien dimanche prochain que sera jou le match finaldu championnat de France enjre le Raclag Club doFrance et le Raeing Club Roubaisien.

    Le premier coup d'envoi sera donns 3 heures, hBcon-les-Bruyres.AEROSTATION. Un concours. L'ro-CInfo

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