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7s* Année* CINQ OENTm aS INNQ CENTIMES Jeudi 2A Mars 1904. ib ?eî îirp ,îrf^in«îtx^'b « t «î:a?\iï: .rf .iraî*T :.â ,70ts*I ,'Lera f2 .[a r.I:sa-cnD< <î : ÜîOi ^üôvatùA / -i r iii ,«.%SL'07 i '--Cill lia \ oq 'I iîu -909 -on fiOiflU rnst co 00, S 0^’ u: 00 1 e-dcj-hi'U.^- d i â Aoim s .\P ,19Û/ 9taL‘ A> ' S e o ii; GAXfIISXS; —- .iTssttnlno ,flOl9ÎflBV .T798 a i •VI ^ .aiY-ilod ;.d ,V.iO-Yit«-^0ïY^l onioO IPÜL aSmafi . . F=- -------------- TTtr..- ▲ 3s iû XT. a SÆ a i^ X s . JtfMH .,U M dtmâtÊlik ' ' ' ' 1 I 8' !■ ®IBo*à«6*mâ<Wi»lO ^ .a«U.*9M^ ,!'/ • 4 » ': , - ,B*. ,| ai Juf-tou IM panm,a« ■8illU~,? tBb - ' C3HB -z;.. ^ r iz > z f t ! 5 4 « 3 i w y ^ Xw Ifâ tiaO . __ .t7 R E :i^^X .d ,sttTüii :,d , MTRATIOH .d , ,0"? r.'.iî amtUB '[6 . ,üijja ;.L •MWfM^or rtwaMf. fo5f5ÉLÎ-i I ,I)1ÜÜ S.T ;.d ,3uJ! Switt», 1$ M Mar,s £9e ‘^. K. GombM 48t41-a Jar-Tflffle'dd'MS-' -BbsrI f e S d t S ^ ; ^ » | KBÜiiiwr vènmeaî, à la *éanç^. jX^ gpblait désemparâJat-répandait ses ptDi^ ]uMs*4ftM«J[mrja,:iUaTaür. WrJfccbaiBiP',4*fe‘-d««t ^qa» g_Mii)>r«nA lai ^peopotait; ¥ e 4» r ÿrdit-OB^qiilâ mmH ^dnTÉ& ; fictoire pdniblen^i rëmppr|iÿd gavait, le léo deo^ j SU ^uimi˧^ i z>i • W 'iit Si M. M in p r^ fi étfi, acoa$|Qi avpc, !« ilM tii^ {andip g|M Ipfu^tBté>.da « bloc * jgiJaD^ent des piovoéationi at dea- igjnres, M. Cembea. n’adaA manqué fêtre firappé dW -y»jtefaeSta de M. Ürét k-yégÊi9^^..&>URa^'. M.',, Juiéa arait ,dH?4''îr. Ç dniÿ5:; . < bfiiir ■ ! diei résoiBpSeiÂi' aÿ pÿen^êir:û^al, ét i, ifjez parij^tfrj ijoua^^eM 'sonitm- jiQii 3..> iï.^ aû eg ^'a spn;tena,.ene5at^ cW Ip ppéaident.du Æoiueil quia iqporté tout:ie choc, couTr^t dwU Inpi, eommail convenait, M. RouTiér, liiiftre des flnaDWa. 11. Combes a tenu, sur la q u ^ g n iuratraitesburrières,. le langage que là ministrM prévpyants. et sages ôppô‘- .i aânt aux Spllîçltatibns im pnden^g .: I ippoTtezrâ^d Iss resspurces pour tidiisr les rémrmes.que tous noua de- lûdez ! > Mais ce .langage, M. Combes U t le seul qui n ’eut pas le adroit de le tenir. Son attitude dans la discussion de . IIloi d’assistance aux vieiQards et aux idnnes le ,lui d é f ^ ^ t . d’u j» &çon il. MŒerand et M..^Combes étaieiU^ loiie digues l’un de.l’auire'en cette çir- eoBstance ; m ais l’hon^me. du. pro- gnnme collectiiisteu4e..Saint-Mandé, fancien ministçs ,c^ Çopameacp-du ca- liiet Wal^kâlànasêaai~rip6éeentait ne ambition robuste en iàce d’un prér ident du Conseil en passe d’êire dé- nodé. Ces jours derniers, dans les milieia vaidectdstes, on iaisait deM. Mi^erând bmisis^re nécessaire, et pu lui.atici- igait même, dans une combinaison nentaelle, le .portefeuille de la Jus— doe. Les journaux attribuaieut ce ren^ Mignement i M. Pierre Baudin, P-au-- deii ministre., qui a beaucoup d’en^-O; - — D’après M. Clémraçeau, M. MiUe- nsd serait aussi le qshdidat,dê. M. Jo- leph Reinachj auquel il prête ce pro- ((sbien digne de notre époque, où rien n’est i sa place : e -B faut un socialiste poor &ire une politique- modérée. Mon eudidat à la présidence du Conseil est M l Millerand. ' M. ClémeUcequ attribue mêmeUu directeur fun grand jonnial une dé ceaiormules qui sont biqn dans.l’esp^t de la conversation pwisienns. :. < On ne. (est fairâ un ministère de détente ît’avec M. Mülerand. > 11 7 a là de quoi dérouter le pu- blic, qui est pour les choses simples et voit eu M. Millerand un homme qui a lidnsé la doctrine coUeCtiviste et qui te renie pas la politique de guerre reli gieuse que poursuit M. Combes; Avant de parler du ministère de de- tuin, il faut savoir ce qu’il' adviendra, dt cabinet Combes. Or, on dit que cer- 1 ^ candidats ministres, qui sont res- - . . 1 i' ' : (T !'<< iés>bbstinénmBt fldèles' à-M. Bembesg ^ confirmant ler^lëutfèris oêaÉknééf'' 1— tels qgaa JMbjL Stieime, —'j^uiraii le iq mqrjue. M, ;«psi " ietpmiisvià.le* pUûi^ciitR lU&qne .dé^C* CkHibeq^ust^iéola brer jUsqUfen.Belÿque:; ütadsiMH. arrien et Etienne ont manifeâiéRdeé'^t [elléités dp,.r^v(^tCc:qui»içi|^l^e^ se traduire çonwM._l^èîlej^^ _ or^jutTsr^^gitbî'l ; • r’oK Là,; Au Collège dé SïsBoé Les professeurs du EoiOjÿ de France eut ;eo»né;% 'W «é*pô‘î f ‘Y6iit’ci*fil^«'Sf-* I. Bhii'e&flm ' .s^.-mioh e»i«ii .1- ^ La Croix-RpoKiptlu Oueire. La commission exécutive d e ,^ -.OUI ................ ‘ ■ la Croii-'Rongé a’ décidé'dè dëi de Helidoff, ambassadrice dé ~ d'organiser M produit d_. ______ _____ fraUK.de la-Croix-Ronga, un vapaur«biépitaB gui. seraii expédié à Pwt-ArthuE.j Bd ^cpun du Pape. ' Le piqie 'a^rùùlé’Col^js.dascard''^' Le caf^nal OK^ia, âoïen cmSaqu ___ ùésenté sas.voe'nx'i roccaislDn i fiàiïf ‘ ....... ............................. inen... discbu ____ gouvernement français a 1 ïorganiser en Francs, ûl c^esti * des donetloni reeiRulHèé''ou aux gard, des.con Sectarieme. L’abbé Soyer, curé d'Avioth (Hense), a été privé de.son tEaifemeqtpoor é menées inter nationalistes >; lisez.: ponr ATpir participé à an pèlerinage auquel avmwt pris part des Bel^j - Il LE FAIT DU JOUR iXùe'uxv .A.xi-fcialiaxxilaxTiei.1 — Oui, mon petit^ dimût à ^jeune collègue le vieil h& sier i son ier a W ( \iS6Ji- % f ti M jj» gPHdéiJtéluHt I;^idc I odfs, tfejrtjyrqgv y?SM II 1!e«deidM)«r4..sJl3s iMirsAell Ml I* mnü. 1 istnfupaptpnâiJMciinctetMceABsd’einiioc ] Buac 4uiifl^aHurtibrirfpeai L’asubmlièiAe 0: 1uUtita«-séeMKî3AlglMixiP«iii'ds|iisij[nti ^ .... - ,amiMn»rfc:,i ÿdt^ÿp-OïkdntstiP ’unèi;: I ipefir«e^%df àeéndtdédUêrqsàiMiggwbev^ ( 'entendre attraper les nut^'èêliâftfioatf * tSÎfuit’ifmMlfÿ'” *’!’ .‘, î i d » f ’9 ù b s J te s t? ’ Wândi<l ... di>( âüi .Aniirz:8ét?Md, [MMitiib «Pins ^e voyait étonné, m’ex|dié|Mil«écetneliihad (FiastnlMsUttlmizciaaiték ütnMdaniffSkdl sbatkMni.'KdUI été s^pB^emttnfiteiqS} a d b ] suigtri8kdètil)èmbHÛ>è*l<méteslilaMrtfn^( ( epéfa dJX^«tl^étt.'«|KMaMNMI>t«»t I in t& i’I ] ^ t M /ff«i»^RiiHtaldi3aoaFi i st. Ce n’est plus un fonctionnaire, c’estiniP • I nrcon de eafe..iet, et eh voyage., dans les i ures, o n ^ W »àiW rif'^8W ;J(^^ : «ufetiéa I ie m fié cr,. qtu"eit reséScsUsiaus j’p» ai î'gndM t hîSIpft' _____ !hamhriss...:Xes agaiainXjtaiimaiB^iiiMiiâ. lattireé d«tdiénçe;.lT «haéanBà smûll oiir.;. IÉiantenénfril#y“a F » de IM ita l’audienrÿ ou est qomme i^il n’y,<^uvi^' jai^.ili. fi^ter sféiM»*» ;ens... Plusilsr. soatÿU haut, p)««iis po-r..; ieBt.M Dee «m iram ^ dès oaqifiéhsès ild raisseau se-voféSK ■pélsseii^’devunélê'^idèr leè^géSis quiste atmt riea.daa«a«jMis|p#i; les journiüistas, des (empiis^jaasnalistes nèi^...'HDur les oamarêdea fiiy..» tuu-v ours un tour de faveur... Pour les amLt rot* L, 4 ^ îéïr’diais^S =é^ç*îéir' apprend 1» disâpfiüe'.'.' Les' amis entrent librement, rcbtitat le tèmps qu’ils, vedlent, fument des ci^irettecL.. & Ict perteuA enril tend deq excïainatipi^ A*. Ahj n^ULViet)q,.j k Bonjoiir,' mon « ïsjteâtt >. Adieu, e vdeiUe k orapüle viens .donc un de ces soirs. ^Uèfiféaiim^dU 1 -!!n!ir,?a''.7‘j!si sson n'ayez Td " chaîne dunabénet du ministre de la marine, tout en dél,aya^t. ^ s , . i ^ y p i^ d’w ù une pincée ^é biclè'bonatq'dé soude ; bui; mon petit, j’en ai une maladied^esto- tnâe. Pendant trente ans, j’avais été, je peux le dire, .un homme modèle : jamais ' un repas en retard I Depuis qu’ils sont l2 je ne me reconnais plus. Ils, arrivant ici vers dix ou onze heures ; et leurs audiences, durent jusqu’à des une heure et deihiè, des diaux hetmes.,. On ne peut^d^euner,., qu’après... Le soir, à l’heuréhabituellé.,de' mbn dinér,jen’ai plus lèim, je ne menge .... plus..Eè voilà un régime pour;un estômac;: deJnoh âge I c CcSnment fèraientrils;. tous les. deux : pour commencer-plus, tâ tf Ils flniéseid trop tard. Iis donnent des rendez vous à une heure du matin à dés cainarédeS,~à de's jèumalisies. Ces gens-lànesebouchent donc jamaisf... Et'qu’est ce qu^s. viénnez^ faire ici f J’ai vu bien des ministres' de^Ia' marine depuis 1866... J e h ’àvéds jiÇnais vu un pareil état major. Je ne méfigaiéis' pas que ces choses seraient jamais posrr Bibles... » ■ Ét'lé vieil huissier à chaîné, res^ to^ geur. Il reprit après pu temps dé — LesJournaux en ent.racoméijnmis féil n’est pas ^ .. . il y é,éu des exagératîpns»< Les ronds de saucisson sur. la table du ministre... non; un jour seulement fal . ;.d d.iisMiyvs leétUi)keini<< I l n ’a donc I jutlM^aét k après miimitv..^cfe8t la honneiiemré..; »-• p a ne sont pas Jàid essottiàés^’^ se df> bent; ce-sont'dés ittbts d’amitié, ' I i je connais,, je puis le';dlpe, ^ u ^ A S arine.,1 Depiiri tisnte ansjé 1^ vaei^' er... ! ' ; c 'Ceux que-j’a i 'VUS petits «miiraiits im berbes et timides sont maintenant de -viééar bfSCieré éupériéùrs, à favorin bléncs, A colliér'de'Barbe.,. ils ont roulé par ibut le m m îdê;. Tons'm é Connaissent... Il y èn a ’qi4 m e d o ^ n t ht main. Ib ne me' tù toi^ pas, comme ÙûtL.ïiL^ Tisïieg; queliuéfqis,, mais.% me segrentla main, et ça ne 44:- {bilit pos; les distances... Qüiuid ils vâent: passer devant eux, le Chapeau rpnd-snr Ik tète, lé rS g a r^ à ta bbuche, üaMnf Iss inmbr^nis, .mésMeùrs qbi ne i^nt ïiéh' ' ' ^ ' ’m ê i ^ é l ’ç ^ ^ y é d ^ .«hiânè à è ^ " '' iquand'.^ voient .ça, |^ , 6fficieôt ju s lan^. jceîtt quelquefois un; regard -étonné vSt.. triste. » a Llmtre jow, piéndant quah’é héprès, lun capitaine .de ’vaiÀeau a' éWehdu.'Jè fl’avais ùinbttCé le prentfer..^ Qnâird il tfjr <a plus^it pemonne, M. TisSiér ih’a, sbnité . i e t m ’a d i l : 4e ^ renvoyer. J’ai ehàché ime phnoapelie: i « — M; le chef de cabinet s’excuse... I « Le.pauVM^^offlcieTtqusjé'cbnnéM Cé> ipujsîé'mh^t^ré i|é l^nnp^Poœuàü, est, ! de;^!!' rouge. Û m’à répondu : < — 11 ne voue. • Péji d it cela comme, icala... .t&-îüU.;.a .Din^'-îîU-. — .iW-tO {_9 .oiaiu ;.d .siiooJsü ;.d ~tn. lié tiwiwfltTM'"' ^ ehto»8BiP,%’étÉibWH»î« le campf a il avait, «8Lisdaétjr.Æ^i^ AbiH6t du mildstrek» ^IsîotneO ;.d . -fadicO'.îB gg»ri(» iponrisev vetoefitoW 1 itpa pan>lbngieim|B„:if<ili('iàieftiecs*^ let l’a lancé à H. .le m ^ ^ e . C’i ^ t ourBatS Im rait^e BT. «nu conseiUer.A^,S«lletani4fé»MnPiMrâ 11. Tissier. Je n'en saie«ieeeadaisÿaaSilét lieatqusMidsipàefcte eabbbatàid8éF«"®Ê-^ iellence,jer... > M. le ministre rfy V p ë”’ )lüB fait stteiiUuu qns kU pt e'adw m inT T ' «mégi f r i J t i a q a « sont de deux •« îa qui n*ont riêü de caché Tun >our jutceMJBtt iV oel^'*ealîe^^ IPSOa vxBCmw^n^OP^ _ wptéme — «àiioâil M» uMsfi-iaqMatt&edéjfeinlèàaQqialtti»'^ mteÿaaiàla’IDèé ^ ;aWi teptntCi'Qt’fià ■ieçaamiéit’hit ta»:: rant. Us s’en vont... Je compréodai.Qd|vJ : ucstp igran«i^WB> QBHWW pPinccrooii puifiindtDaMim SUüies-sahiaUHflcteUUb’ de«aM ttste3enb.pMlina 8 <V l’air de dire : c C’estqHitiBtttmèdqui^Cpt:' k ÿeé'ptt’«téiS''Iiél«fikilaissKsoëfidBé1n6i/- ;« vd«À;dbitndétà:<fft«?çà^'q^ 0 tance... i dej,^%<pusse, oaraM-.: Aimâfflii.Wi-tübP s;ai8Beffii<est;i.! SiKOndeimsto àsitf une chaise pendantjqas iUantrss êtes idiences passent. U veute’en aUer. « Atten- « dez encore ». lui dit fit.’Tieeier quinrend- sonHéléCl^eAt jdM utté-^. « n é i^ ‘ ••‘'ys^svde sùi^qtm n’ayait^p^ ^ ^ d é ' ' dé ' com giüi^c^ôhâ'.C’ètaft' pqor ^ ê ée^laiit. % le de ^ jn e t dit ; ;a C’esCvou^ ’ 5 ^ e r in^ôpieur Cavard.f Ert- '« vbyéz-inbi,‘à déùx heures, deux dé vos < m e^au^ liiniei^. J’qi un ofdcier snspécC ( à ÂiirémMriéU^e.'.P!élt«htendu..z:» c Ayant dit cc^.détanti’e^teien,; sans doute pour produire un effet, pour faire loimiaai d é lui.' « Après ISahordage du Gaulois .et du I B aaccij.lea dw ix commandan ts avaientAtè ‘d é m c«tés.c Le- '.comiqs&âaift 'Duihy(é 'dé ' la M aisonneuve, ' -rnni das -deux, 'vlént ‘éK>ii^ Mi^ ïiasiér. dès m e s s ie ^ èaUéentideqqd^- faâeprbhiddéBé&t' QiMÂdlsCimfiàaimaÇrt^ séreüiè,'’éèiânié f l ^ t ^ p B ù'tarèriej’itië. cogné}édfi4diënt%iUttTè% p ^i . sier luf ® sViF'Vota#êoyÿrtféni'CoihMn'- < dant, que vous ne pouvez pas conduire < un ÿ ^ u puiq(^ypua.ne.j!o«T«in«asé < pas pnsaer tqut. seul sous une porta.; > J’ai ent*dUi':j’én-Auis;dev«an:.ronge;Se moquer ainsi d’un capitaine de vtdssèàu,'' d’tmrÀoinméqui sera; peutzétreanural I éSUb-attrappentles autres, ils éattrap- pefitaasstûitrtratae. •■■3^ .-iy Il arrive bieii «(prélqiiefbis .que ,M. le M inistré Sa'fàia«> 'cenrlrè -M.'-'iè-chef dé câiîhéi, inais 'éatt q n ^ Id' ^é 'chef de céhinei n'étS'pàélà. M-.'té,MSnistrè''reiniié îfAiïrabÂ^iÉ'»^ -aioc'hinc j Làii'ic;' . ; ;02£ 6; il 1> l^iiMfiPWlftfàiSidàifiiédas.v N.ads ] >.ai!r,iieiaclào»jigia(u vjausq».i;âaaBdle ' ieaHt!paatfate,âHy»a éherdagè,cetitqriai toat I ’arrange... C’estileamiÉsMatiBiiaedipoib. 1 nrtfnrfnr'*’-*- WsWdUsnédislMitbNddad 1 oiiuaataiUiM-mHMSii^lfiîMRnSsdd ] ar«ÜlfltifélieaiMfi' “ ■*' ....... il-Ji' '-V at,.; - Jii t.tiiï I3q-ÉI»ïk3;:*.d?W»' it. .riO-.;: ' I i«inaÉ(...téttÂi.:ii3»3.v.J :i>M y,.lad(lM cl ’,o-»i*|ova“ .'J;JU»éé-l.-;î ■-i ' et iM-BÿsrtgaiSua iotit jsfaw djzeMeoam:, 8 T ; n8;0sJ-la!£e-8W93tnt8 eb ,lss i eslHWdi^ tS lecCi-ÀA mef 1 »tr- — ] oSciér. ' 8Co;‘. ~ «sîrt4W i.»P9LvitmJÇéPffl»(kMvl* «hflî <utod^îmanl^.^^^tolSsseaveceux.i;l~,8 «-UiEjkialenaallmidaipüaai pmitréstpiéi ] antl dgéaruaiJjnphet; ltf.laAMl»iBlBa;n!aiK 1 lttsilaalBlsdnvMol«fBeier lai^->knàa^ , l » a « j , 6é b r i t a ; ü 0 i a;.. :-.;i .1 iiiûi * f- i >•• èl'L ’ô LiQit , _______ ,id¥fc4M4®Aqw,i < hoséé;Bf;apic$pM^àJAM«fiUSré, èéPS ir. ------------- — u,— ibo«i*eido:ao!jdé; ( evmt «ma jeam.«oU^;i»;qai.éearqaiUeBt ; lis yeux. ;a;.!Ü '!l; -. î; a y-!£.ra3T i'zo.i ,ü; ’^A'Aréiâfter «dA uinedé Mv PeUtUut : ■'Vii;s".>.. ïài.Li^asa j ndiifiivijô es! Aucune nouvde qui màidM-A’àtFaasiv ; naUfiMBoofoaié j p a n M è k jQ n ^ m A nnent qu’ilMo«(»diU!44MnnBk3d«M8 ol^\jf;iMlUJSi«»-(ibquw:è«>ièj^ 1ie d e m t Chefou,:llaw.<J!itttai|uaiide;iai; I >ai^s«idKiB>«k^£M8fon4 cin,Cri{aidu ] jao-Touug; uiMipténeiËile luÉgnagéaimi ai^iètiSngfeqÿ.quLéiAt a»Hé(ÿqtifHWf; I upéctàSi«'duis'c«iU«.Bégi«A:: ^mèà'^tiimêaà^n sî’i'Æ sai ortantes : t'arrives ou i ine à Irkoutik, et la n ahonadeauiargeaei te'ÿyima courte iu-Chonangëùles I enfoi Par i n i a ^ t ÿ t t u i ^ n b n s ilaissàit* lamBdégi'-' luzatioiml— ^ , ..... Le Daily TelegrapK, M a la spécialité «es télègrauuÉn-MfMMtnniifii^oduit. î’aprèzaaijeBmÿ (m>PbUl^l«bnlitâ-’ane>‘ éccaBatibAtfftMè^halr pwèaéjMontoif lébarauement d’une divisioa,'lMimlÙéfdd-. ^sqnd ' lés Hikinak)^^ dé sonrèia éngiataeudoiseaéètiw «oeteilfies; a m é tr ' ........ PAALËèM t ;.T a O jZ U in ç ^ ;.c r .-d i-,'. ' "'CliByiAtéÙB'' ’ Séawx^uSf^nwl%M. I La^üaibrà A amt siondel ' ren|® rt8ifi® î»figre|Bn»»t:,^ jA'.^rgà'icjtgâM ,! ew w a t qn il; hnT ioi«fvadx'int*etéttAla'Erib>efc’a a ^ n - s ietfWsM ttfittpM ^iiBl^td^SiMr t ^ioâer0^..fiUd'dlV «lbp la .i.^inagad»ils:Ingne traoçaise dans le - -' ' brnider'tèsMM^I^^ _ a céDl)àttn.t&. diapBjîtiQni quiian^iuauit an -Anneedes^neviidats éù-te ’KiB'aMAt leÿ profesMèaft’W :cèé“écb^'." BzUs-iliaf 'ffli- ; toù4 éSôàmàL;sqWe,4 q Ud Il -T . ? g’si^dt'* U -’-—êle» eeeaedAOaneaAlÂafUV ào S ke ;pmoà: à;da;iueliUqae 4me>‘toot^$es’ca£' biurti, q^, tiatertJet afênts du geuvemement, n* brésntàparJA SbttfflerpfMi^d^étn duv’ 2 d im . J „i w : 6 Au début lécidé qu’après ensacreraitla Bois à la diseiission des Ipié-,».. I^TI^ijpemeat Enë am rlï^iS^iitkliP ongréganiste et .»• ilété par l’attÉfffiÉüùtNM® . -'■"■as, qu’elle avait adopté dans ladNiiee ieate. eTn^ifS «ursqes ~nr lir I i->iifij iV tiiiiiJi li-y" J11 9 3 -5^ crdb^eltl en^nt*i^^iw^la'loi'du ! ur lemmWilsIABtreaiaAt^'étolié ieBWaaét,deé-feiiiies dailiy l«sè ___ aents incMMèUtTëiii ,'iuodmsi .saeDuS evéidï «(me, p m r.'"& Ai. 3 Î) aiO rvAAriAh 311B 3 :C'^£î7 ri5n]ja x d s IIDILLSTON d u COOSaiSR DS l ’OISX (35) * I L ’I M O T E PAR ÉMILE RICHEBOURG PlVEJUERE PAUTIE L .A . C H U 'X ’I ï : XXIII MAISON DU DIABLE {Saile) , '-.^vant tout, dit Clirislophe, je tiens g respecter la liberté de chacun. — Un ne te dit pas que tu as tort, ré pondit la femme. . — A a-t-il longtemps que ce personnage ■sconnu est dans le paya ? demanda le Slarquis. ;. Un peu plus de deux ans. C'est alors qu'il a acheté la propriété etest.v t .venu s'y installer? j — Oui, monsieur. Autrefois, il y a bien “ogtemps de cela, la Cordelière apparte- aux moines de l’abbaye de Clairvaux, prétend que les religieux avaient établi a une itnn..-,— r-i,-: j . blanc, de clia*''°^ ‘o p o r la n te f a b r iq u e d e ®t de briques, . et qu’ils vendaient. ,ax-mémes ces divers produits. Du reste,', «lande - z . r f , i , - - - ; - i -------■— * -• a a été fouillée, creusée partout,, et rncore couverte de fondrières et dé lati** Depuis notre grande Révo- ^ ““i.la Cordelière a été rarement habitée j ^ a appartenu' sticcessi-vement' à 'plua-' . propriétaires, et, en dénUer lieu) ài pliîe Troyeaî quîî^tfâit' corn» ' f «ment abandonnée aux lézarda, aux hiboux et aux chauves-souris. Enfin, il y a un peu plus de deux ans, pomm? j? yous l'ai dit. on apprit que M. Vauthier avtût vendu la Cordelière. Peu de temps après, le nouveau propriétaire y mit les maçons, les menuisiers, puis les peintres afin de la rendre habitable. Le jardin devait être dans un.état', pi toyable ; à l'exception de quelques ormçs, restés debout, il était nu comme le reste de la lande. Du reste, c’était lis même ter rain stérile, réfraclaire à toute végétatiô.n. A grands frais, le propriétaire inconnu, fit transporter une. énorme quantité . ,dC . terre végétale, qui fut jetée dans le jardin et couvrit le sol crayeux d’uné. couche épaisse. Cela fait, un pépihiéristé ampna des arbres, des arbustes, des plan^s, rt là jardin fut planté. Quand tout fut terminé, le propriétaire, que les ouvriers avaient vu une seule fois, vint prendre possession de la Cordelière, à laquelle, bientêt après, les gens du pays donnèrent le nom de maison du diable, croyant ainsi faire une rhaliee à l’homme qui savait les tenir i distance et fie donnait point satisfaction à leur curiosité. ' — Encore une question, monsieur Ber nardin. Je suis à vos ordres, monsieur. Est-ce que cet inconnu, évidemment un original ou un fou, comme vous le disiez tout à l’heurè, Imbite seul la Cor delière avec la fémmeimuette'? — Je ne peux pas vous dire, monsieur. 11 y a des gens qui affirment que, outre la femme muètte.'u y a une aètre femme aveû lui.‘Vous dire tontes;les supppsitioBsqna' • l’on fait, toutes les méchanceté qu on ; débité, les choses ihétes,qu’on- raconte est , inutile ; on ne pent ppsiempécher les m ^s, j i -vxisea laitgnes daipi^teik'^LÏaat laisser ; dire. Ceux qui sont allés rôder autour de .la Cordelière, les plus hardis ça les üliia I curieux, prétendent que l’on y entend 1toutes sôriès dé; bruits étranges, entre autres le son d'un instniment de musique, qui pourrait bien être un piano, et le chant d’une belle voix de femme. — Ah ! vraiment? fît le marquis; — Seulement, monsieur, jeiié vous dis point qué'cela s'ôit. On‘raconte tant de choses, voyez-vous 1... ' — ,Vpus avez raison, monsieur Bernar din, on doit croiré seulement ce que l’on : entend de'ses oreilles, ce que l’on voit de ses yeux. . ~ - — Absolument, monsieur. N’ayant plus rien à demander à l’auber giste. le jeune homme- resta silencieux et !se miPà réflédiir. Son imagination ardente . galopait à grande vitesse sur les ailes d!un . réve fantastique. Certes, ce qu’on venait (de lui raconter n’était pas dè natureè le faire renoncer à son projet. Loin de satis faire sa curiosité, le récit de l’aubergiste l’avait, au contraire, surexcitée au plus' haut point. — J’entrerai dans la maison du diable,, se disait-il; je verrai l’hommé sans nom, je connaîtrai la femme qui chante, vieille ou jeune, laide ou jolie, et je 4erai parler la femme muette I S’adressant à l’aubergiste, il reprit : — Jé ne connais pas du tout cette con trée. monsieur Bernardin, je désire la visi ter; pour cela, j’ai l’intention de passer.', quelques jours, à Champigneule. Pouvez- vous m^tre, une chambré convenable à ma " disposilipp?^ . ' '— CÜftàirienjçntj mphsioùr,.nne.chambre jau rei^de-cha'uss’éê^dunf’ lêsneiix i^nètfes o u v r e n t ' i u r l e j à ’cfih. " '* i‘'tr —: ê»'?. décorée à néuf etihçqblée 'comme à là'ville'lijo’iita la femme.‘ j — Eh bien. madaijje^|fcrnartoi je loue cette chambre pour’quin?éjoü»r‘ ' — Monsieur noua fait beaucoup d o n neur; j'aurai’soin que monsieur ne manque ' Le jeune homme se leva. I — si vdus le- voulez bien , madame Ber nardin, dit-il, vous me ferez voir mon logis. — Mais tout,de suite, monsieur,^tojit^ de suite, rêpp'ndit-èlle.'' ' Un instântaprès, installé.daüs la cHambre d’aübèrge,' lè iriaÿquis de Verveipe écrivait à Gastofjjdé' Lîmi ' i pour lé prévenir, qu’il èvall*’Tésoltf^de -Tester quelques jours à Champigneule^ . DAKS PB ZABDIN Le marquie-Adrién dë' Verveine s’éUit couchA de' ’hoime heùrè niais, comme ’ il était très agité et que toutes sortes de peu- ' sées bizarres hantaient son cerveau, il n’a vait pu dlabord -1051» * les-yeuxq-il ne par-'; ' 'vint,:à ^endt*5iir ■qulà; une, heure; ifort avapcéejde la'npit.: Mais pançe qû'il plaît à l’eipritde-se surme.ner, lejcorpsn’entend ^ èbintiperdrê le droit au repos;qui lui.eét nécessaire. Il y avait déjà longtemps que ' lës rayons du soleil, filtrant à travers les lames des .persienn^J s’étaient:' introduits - dans la chambré fifaiibeipe, lorsque le jeune homme se réveilla. , Aprèg avoir passé sa main sur ses yeux, il regarda sa .montre, posée eur-le marbre ’ de la taMe de nuit. Elle marquait huit heu res cinq tninutesi 3a 1 I ,—.D i^ si tardil.s’écria-t-il. ; i.i, ; ; Il sauta à bas du liti,LOUvrit4opts grands une desifeaétresi-reppnasu les pecsmus^i 8; - '’etilaibrisèjfi,^ jriliptuiA dans m ’chanâg-e,;;; ’^apbortgnLl^ ,qÂ9itrs>;|>àn^iiaiatesrâe8 re-’i gmnuen-j^iaisoAi 'i-*;!.’'.' ‘.l'-i;'. '> 'Adi^pms’^ÿil.In'jgèsvUs, puis, sortit de; '.'sa;cHm létg|eti^tgp3danfnla,gsande àtUai. din, qui racCueuht avec un gracieux sou- PS» r-zhaH — ,o5is\^. ,p' — ’Avez-vouatien .dormiy monsieur.? lui \demaDdaTtrelle,v *• - - /- * 1 —j "Trop biep. ’répondit-ü^ puisque je -iVièns<fetilem'erii*^e'nie'feVerr'' i— hi er' soir j v6üléz-;You8 : prenare quelque-choso- c e ’matin-? .i; ..-i ^ Qu’avez-voua à me doirner?. ^ — Dux'aféiàù lajl. du.cli^pïat ou biep «ncore'üné bonne soupe au lait que je puis, -vous‘sferviri.si.linstant..' '■ : ' - - ■’ ■- Êh bien', j'accepte la soupe au Uit. . bladâ.HÏe BCTOardi^^la lui ^ rV it 'aü'ssilôt *da|is Quand il éut d^'e.ùsea u se dis^sa-ài-soptirv • • ^ .1 . Vous alîei faiW' Une petite prbme- .made? hri/ditThÔ^sse; ^ yi 4- Oui,'ine première excursion dans les •cnvirpDS'de Champigneulei- 4 - Vous ne prenez :pas votre fusil ? . , i- Je Crois que ■je;‘.peï'drm8'‘i^ n ''’temps y pt nie faügjiiêr^Si.à içhêrcher . inutilement une cbinpagnie'.de:perdreàux;Oü ün lièvre dans la piainé. rêpôridik^l ’ ètt soUrtànt.’ \ . - 4 - Irêz-vOüff dû côte de k niais6ndii;dîa- tlej?.,. ' 4 - NorijVçer.tes ;• je ne suis-pas peureux, mais çe que vouf m avez raconté hier me kitj encore frissonner ; jeiV'ai nuHé en5Ûe ■de faire coririaîèsànce avec l’hOmmc noir à bai^e blanche. J.. Adrien tenait.ià cacher son .projet, et à ne pas- laisser' .deviner.le motif qui -le^'reteiïait !§ (iiampign.eulfik -j- Ma - fdi'»’ monsieur je comprends f -celq rêt>ondîf k dâjjieiÇèrÿrdk il ... !fParèU'wè rHoromé:}dcoi?Bu]m^ 4>ase:à, Ja - Â^vo^eUete en,^3e:inoaientâ! na — -i- Ü<i .•îii-.U .c-r -■ XI -T Vu! , — Goijaïëùl .S^yç^-ypus.cpja,?.;-/ ; . . . . Dj -T 'jprèi de IarÔute,"ro'nt vu passer dans la <voitui« aui était venue le chercher. rconâcffédtpQbikMBs- iteciMijiAi «asb :^-‘i^èl 8SEO}8!ZB Btas da8iOeejpenéBiesjAïameittfc E M. ftaadt Chaawaa;) séaattUisiÿrtf- [ait la réaaseli, cfikadae liaM^etâ M éba^eo, .dépbés<;b AIMI régé^aaerttMEviUtoabiatfciiiiBa'pw eL ' .üMfl L majorité des w am toi. IT l. ------ ittèm m ÿortéb.à laiàiHràént, liBÂrté de; çtfliidiidSè^jbajji^ - iemomiqné, la désorîiaBisnleB'daninMt'''' èt dk la Iliad e aar iê s . nüfiistrss^MÉu^^^ ■" aôi ôntETchaivà'dk'm' déféosk it adjma'^totts lès boiu ÿnriau deAf.’’ troaper autour dii ‘drapeau Iligue Pérale, pour Mit* teiltt* fii '.t^ fatiniè'hcdMiiedtl'iiitenOTonaliieÉi ' - Après lui. H. Charles B m »âtnlM B tà ùuéaU au éiainMtfatâBaaiqga dhai iiDan - àu miüiCèraDCinBlMsi^dléitiabateaaar heaucoin è’humowr «t de rim i f f MèpoUe fiqàâd’oprssstouét de délatu» YéPfiVmàë r àeeà Mit éms toute M tm m *.■ M? » ^ d i ÿ i a n t , avec une éaei)gie JA m liberté d’eusriganmt * M-jdSm <• Muscienee,; .; . _ .ir, . dé HoMjqthuàhreu* ( iidedt de la Ugoe de t’àiWL______ Foidej's,;parlèrent dans le g flu BcieM»^ Des oTgtiens euthenriu^ (B W it^ àux orateurs, et, à 1» fiBdedakéajptkieHs j Ordre du iopr rarendiquintloj seip^w-ét^^ çaf^fa''étArop:41 ’*v -..--..s :v rî. fTcr’r ? ’ '”' i L’assambléé générale de l’U tdardéim e iemeaule desiametts-penie^M 'Oteui k euiUtb'dima^ à fiwt^afcprdibeddd i ~-EUi i . .Ni-'!'’ -L- I f'S'ii'l t .TSS-îods»? : I— Il étei,t Seal . l .X i-i-' OÂ"feé'fiéé'àT,'sSül; "■ ” '"' i ' . I —r‘Eh bieni madàmie ’6ëniardinj-dit ' jèune homnïe en riaht, jé-luî'kMiiaHeêlk-'' ’ bbn voyage,'; ' 1 I : 11 sortit etmrit d’abord le cheraM *|POst à'celui de la Cordelière; Màiif 'qaMi^ «««O * avoir fait un assez long détour, fi se t , eh rasé iëattips^ne, il raanÉà dansla tion de la maison mystérieuse. -XH , :> ' — jé'mesiiismiSiSaàs Utéteunay&riii ;' - table folie, se disait-il, et meO'<aÉiietkdD^ f: 'j riierit, éhcm .droit,-Ine tiaîliBritWiÉiBII®g'^ ; mais, en ce moment, je ne eu8sp6#*MBd|'‘;' , dë raoiîi je suis-dommèpai'tùiefiateaMOa''^ ' attractive que rieh 'nè peut eznli’ réalité, qd'est-ee qoeita véiizT réellement.?; T ai fété.-ému^' trDaédéiJttSqhtail .;fokid dé Tâme: par'mette voM'dvtéWMk. : iebnpet fraîche quei’ài enteMfaét Js'OMtau ; véirila chantOiae: U .y /a (Uz aiysHtWtlaf ^’ ,véux le connaître; :0m,.mais >en ial'jà'tâ ü d^it? ------ —ç----------------- ; { 111 rejeta,.sa tête; en arrière pai^UB^: yément brusqué. I i—- Cedi est du raispnnemenL . et? ma rafeon n’a 'Tien à;r[® 'i aflhire, puisqye jeconviens âoi-lbi celque je fais est'insensé.‘Céjjne’jMprouyO ' est étrange; ily a en moi comme dM | '“ 'sentiments ; un "àutre à ma plabd'stn ra(t et n’irait paë plus loin, 'Car 3 i'"'' puisse zri’« rav*Jj’iraâj , , Duand il ne fut plus qu’à une M ‘tar ces de, l’hidliiàâda; ‘éoScëaùr'W ^ i^ j i bal tre avec violence^^coÉ -éai àmoihnidttraiuae I ; .-res e,î8xaeaasei«nc«i^«âal j i'ira iqudje,'.iilefaeatait^î' ' T ton DftdcfléAéchÎM Mb 4M " dit n’avait' pu le faire renoncer i (AenortiJ ' >1

7s* Année* CINQ O E N T m aS IN N Q C EN TIM ES Jeudi 2A ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_03_24_MRC.pdf · JtfMH.,UMdtmâtÊlik ' ' ' ' 1 I 8' ! ®IBo*à«6*mâ

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7s* Année* C I N Q O E N T m a S I N N Q C E N T I M E S Jeudi 2A Mars 1904.ib ?eî îirp ,îrf^in«îtx^'b « t «î:a?\iï:. r f .iraî*T :.â ,70ts*I ,'Lera f2 .[a

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rÿrdit-OB^qiilâ mmH ^dnTÉ& ; fictoire p d n ib le n ^ i rëmppr|iÿd g a v a it , l e l é o d e o ^ j SU u im iË §^ „

i ■ z>i • ■ W ' i i tSi M. M in p r ^ f i étfi, acoa$|Qi avpc,!« ilMtii^ {andip g|M Ipfu^tBté>.da « bloc * jgiJaD^ent des piovoéationi a t dea- igjnres, M. Cembea. n’ad aA manqué fêtre firappé d W -y» jte faeS ta de M . Ürét k-yégÊi9^^..&>URa^'. M.',, Juiéa arait ,dH?4''îr. Ç dniÿ5:; . < bfiiir ■! diei résoiBpSeiÂi' aÿ pÿen^êir:û^al, ét i, ifjez p a rij^ tfrj ijoua^^eM 'sonitm - jiQii3..> i ï .^ a û e g ^'a spn;tena,.ene5at^

cW Ip ppéaident.du Æoiueil q u ia iqporté to u t:ie choc, co u T r^ t dw U Inpi, eommail convenait, M. RouTiér, liiiftre des flnaDWa.

11. Combes a tenu, sur la q u ^ g n iuratraitesburrières,. le langage que là ministrM prévpyants. et sages ôppô‘- . i aânt aux Spllîçltatibns im pnden^g .:I ippoTtezrâ^d Iss resspurces pour tidiisr les rémrmes.que tous noua de- lûdez ! > Mais ce .langage, M. Combes U t le seul qui n ’eu t pas le adroit de le tenir. Son attitude dans la discussion de .II loi d’assistance aux vieiQards et aux idnnes le ,lui d é f ^ ^ t . d’u j» &çon

il. MŒerand et M..^Combes étaieiU^ loiie digues l’un de.l’auire'en cette ç ir- eoBstance ; mais l’hon^me. du. pro- gnnme collectiiisteu4e..Saint-Mandé, fancien ministçs ,c^ Çopameacp-du ca- liiet W al^kâlànasêaai~rip6éeentait ne ambition robuste en iàce d’un prér ident du Conseil en passe d’êire dé- nodé.

Ces jours derniers, dans les m ilieia vaidectdstes, on iaisait deM. Mi^erând bmisis^re nécessaire, et pu lu i.a tic i- igait même, dans une combinaison nentaelle, le .portefeuille de la Jus— doe. Les journaux attribuaieut ce ren^ Mignement i M. Pierre Baudin, P-au--deii ministre., qui a beaucoup d’en^-O;

• - — • ■ ‘

D’après M. Clémraçeau, M. MiUe- nsd serait aussi le qshdidat,dê. M. Jo- leph Reinachj auquel il prête ce pro- ((sbien digne de notre époque, où rien n’est i sa place : e -B faut un socialiste poor &ire une politique- modérée. Mon eudidat à la présidence du Conseil est Ml Millerand. '

M. ClémeUcequ attribue mêmeUu directeur f u n grand jonnial une dé ceaiormules qui sont biqn dans.l’esp^t de la conversation pwisienns. :. < On ne. (est fairâ un ministère de détente ît’avec M. Mülerand. >

11 7 a là de quoi dérouter le pu- blic, qui est pour les choses simples et voit eu M. Millerand un homme qui a lidnsé la doctrine coUeCtiviste et qui te renie pas la politique de guerre reli­gieuse que poursuit M. Combes;

Avant de parler du ministère de de- tuin, il faut savoir ce qu’il' adviendra, dt cabinet Combes. Or, on d it que cer- 1 ^ candidats ministres, qui sont res-

- . . 1 i ' ' : (T !'<<iés>bbstinénmBt fldèles' à-M. Bembesg ^ confirmant ler^lëutfèris oêaÉknééf'' 1— tels qgaa JMbjL Stieime, —'j^uiraii

le iq mqrjue. M, ;«psi" ietpmiisvià.le* pU ûi^ciitR lU&qne .dé^C* CkHibeq^ust^iéola brer jUsqUfen.Belÿque:; ütadsiMH.

arrien et Etienne ont manifeâiéRdeé'^t [elléités dp,.r^v(^tCc:qui»içi|^l^e^ se traduire çonwM._l^èîlej^^ _

o r^ ju tT s r^ ^ g itb î 'l ;

• r’oK

Là,;

A u Collège dé SïsBoéLes professeurs du EoiOjÿ de France eut

; e o » n é ; % 'W « é * p ô ‘ î f ‘Y6ii t ’c i* f i l^ « 'S f - * I. Bhii'e&flm ' .s .-mioh

e»i«ii .1- ^ ■’L a C r o i x - R p o K i p t l u Oueire.

La commission exécutive de,^-.OUI................ ‘ ■la Croii-'Rongé a’ décidé'dè dëi

de Helidoff, ambassadrice dé ~ d'organiserM produit d_. ______ _____fraUK.de la-Croix-Ronga, un vapaur«biépitaB gui. seraii expédié à Pwt-ArthuE.j

B d ^ c p u n d u P a p e .' Le piqie 'a^rùùlé’Col^js.dascard''^'

Le caf^nal OK^ia, âoïen cm Saqu___ ùésenté sas.voe'nx'i roccaislDn ifiàiïf ‘ ....... .............................inen...discbu ____gouvernement français a 1

ïorganiser en Francs, ûl c^esti* des donetloni reeiRulHèé''ou aux

gard, des.con

S e c ta r ie m e .L’abbé Soyer, curé d'Avioth (Hense), a été

privé de.son tEaifemeqtpoor é menées inter­nationalistes >; lisez.: ponr ATpir participé à an pèlerinage auquel avmwt pris part des Bel^j - Il

LE FAIT DU JOURi X ù e 'u x v . A . x i - f c i a l i a x x i l a x T i e i .1

— Oui, m o n petit^ dimût à jeune collègue le vieil h&sier

i so n i e r a

W

( \ iS 6Ji- % f t i M jj»g P H d é iJ té lu H t I ; ^ i d c

I odfs, tfejrtjyrqgv y?SMI I —1 !e«deidM)«r4..sJl3s iMirsAell Ml I* m n ü .1 is tn fu p a p tp n â iJM c iin c te tM c e A B sd ’e in iioc] Buac4uiifl^aHurtibrirfpeai L’asubmlièiAe 0:1 uUtita«-séeMKî3AlglMixiP«iii'ds|iisij[nti^ . . . . - ,amiMn»rfc:,iÿd t^ÿ p -O ïk d n tstiP ’u n è i;:I ip e fir« e^ % d f àeén d tdédU êrqsà iM iggw bev^( 'e n te n d re a t t r a p e r le s n u t^ 'è ê l i â f t f io a t f *B ÆtSÎf u it’i fmMl fÿ' ” *’!’

■.‘, î i d » f ’9 ù b s J t e s t ? ’ W â n d i< l. . .

di>( âüi

.Aniirz:8ét?Md, [MMitiib «P ins^ e voyait étonné, m ’ex |d ié |M il« é c e tn e li ih ad

(F iastn lM sU ttlm izciaaiték ütnM daniffSkdl sbatkMni.'KdUI été s^pB^emttnfiteiqS} a d b ] s u ig tr i8kdètil)èm bH Û >è*l<m éteslilaM rtfn^(( epéfa dJX^«tl^étt.'«|KM aM NM I>t«»tI in t& i’I ] ^ t M / f f « i » ^ R i i H t a l d i 3a o a F ii s t. C e n ’e s t p lu s u n fo n c tio n n a ire , c ’estin iP •I nrcon de eafe..iet, et eh voyage., dans les i ures, o n ^ W » à i W r i f '^ 8 W ;J ( ^ ^: «ufetiéaI i e m f i écr,.

qtu"eitreséScsUsiaus j ’p » a i î 'g n d M t hîSIpft'_____!hamhriss...:Xes agaiainXjtaiimaiB^iiiMiiâ. e » lattireé d«tdiénçe;.lT «haéanBà smûll oiir.;. IÉiantenénfril#y“a F » de IM ita l’audienrÿ ou est qomme i il n’y,<^uvi^' jai^.ili. f i^ te r sféiM»*»;e n s . . . P lu silsr. s o a tÿ U h a u t, p )« « i is po-r..; ieBt.M D ee « m ira m ^ d è s oaqifiéhsès i l d ra is se a u se-voféSK ■pélsseii^’d ev u n élê '^ id èr leè^géSis q u is te atmt r ie a .d a a « a « jM is |p # i; le s jo u rn iü is ta s , d e s (e m p iis^ ja a sn a lis te s n è i^ . . . 'H D u r l e s o a m a rê d ea f i i y . .» tuu-v o u rs u n to u r d e fa v e u r .. . P o u r le s am Lt

ro t* L, 4 ^ îéïr’d ia is^S = é^ç* îéir 'apprend 1» disâpfiüe'.'.' Les' amis entrent librement, rcbtitat le tèmps qu’ils, vedlent, fument des ci^irettecL.. & Ict perteuA enril tend deq excïainatipi^ A*. Ahj n^ULViet)q,.j k Bonjoiir,' mon « ïsjteâtt >. Adieu, e vdeiUe k orapüle viens .donc un de ces soirs.

^Uèfiféaiim^dU1 -!!n!ir,?a''.7‘j!si sson

n'ayez T d "

chaîne dunabénet du ministre de la marine, tout en dél,aya t. ^ s , . i ^ yp i^ d’wù une pincée ^é biclè'bonatq'dé soude ; bui; mon petit, j’en ai une maladied^esto- tnâe. Pendant trente ans, j’avais été, je peux le dire, .un homme modèle : jamais ' un repas en retard I Depuis qu’ils sont l2 je ne me reconnais plus. Ils, arrivant ici vers dix ou onze heures ; et leurs audiences, durent jusqu’à des une heure et deihiè, des diaux hetmes.,. On ne peut^d^euner,., qu’après... Le soir, à l’heuréhabituellé.,de' mbn dinér,jen’ai plus lèim, je ne menge.... plus..Eè voilà un régime pour;un estômac;: de Jnoh âge I

c CcSnment fèraientrils;. tous les. deux : pour commencer-plus, tâ tf Ils flniéseid trop tard. Iis donnent des rendez vous à une heure du matin à dés cainarédeS,~à de's jèumalisies. Ces gens-lànesebouchent donc jamaisf... Et'qu’est ce qu^s. viénnez^ faire ici f J’ai vu bien des ministres' de^Ia' marine depuis 1866... Jeh’àvéds jiÇnais vu un pareil état major. Je ne méfigaiéis' pas que ces choses seraient jamais posrr Bibles... » ■

Ét'lé vieil huissier à chaîné, res^ to ^ geur. Il reprit après pu temps dé

— Les Journaux en ent.racoméijnmis féil n’est pas . . . il y é,éu des exagératîpns»< Les ronds de saucisson sur. la table du ministre... non; un jour seulement fa l

. ;.d

d.iisMiyvs leétUi)keini<<

I l n ’a d o n c I ju t lM ^ a é t

k a p rè s miimitv..^cfe8t la h o n n e iie m ré ..; »-• p a n e s o n t p a s J à i d e s s o t t i à é s ^ ’ s e df> b e n t ; c e -so n t 'd é s ittb ts d’am itié , 'I i je connais,, je puis le';dlpe, ^ u ^ AS‘ a r in e .,1 D ep iiri t i s n te a n s j é 1 v a e i ^ '

e r . . . ! '; c 'C e u x q u e -j’a i 'VUS p e tits « m iira iits im ­b e rb e s e t tim id es s o n t m a in te n an t d e -viééar bfSCieré é u p é r ié ù r s , à fa v o rin b lé n c s , A c o llié r 'd e 'B a rb e .,. i ls o n t ro u lé p a r ib u t le m m îd ê ; . T o n s 'm é C onnaissen t... I l y è n a ’qi4 m e d o ^ n t h t m a in . I b n e m e ' t ù t o i ^ p a s , com m e ÙûtL.ïiL^ T isïieg ; qu e liu é fq is ,, m a is .% m e s e g r e n t la m ain , e t ç a n e 4 4 :- {bilit pos; le s d is ta n ce s ... Q üiuid i ls v â e n t : p a s s e r d e v a n t e u x , le C hapeau r p n d - s n r Ik tè te , lé r S g a r ^ à t a b b u c h e , ü a M n f Is s in m b r ^ n is , .m ésM eùrs q b i n e i ^ n t ï i é h ' ' '| à ^ ' ’m ê i ^ é l ’ç ^ ^ y é d ^ .« h iâ n è 'â i è à è ^ " ' ' iq u a n d '.^ v o ie n t .ça , | ^ , 6ff ic ieô t j u s lan^. jceîtt q u e lq u efo is u n ; r e g a rd -é to n n é v S t.. tr is te . » •

a L lm tre j o w , piéndant q u ah ’é h é p rè s , lun cap ita in e .d e ’v a iÀ ea u a ' éW eh d u .'Jè fl’av a is ù inb ttC é le p ren tfe r..^ Q nâird i l tf jr <a p lu s ^ i t p em o n n e , M . T isS iér ih ’a, s b n ité . i e tm ’a d i l : 4e ^ re n v o y e r . J ’a i e h à c h é im e p h n o a p e l i e :i « — M; le chef de cabinet s’excuse...I « L e.pauV M ^^offlcieT tqusjé 'cbnnéM Cé> ipujsîé 'm h^t^ré i |é l^nnp^Poœ uàü, est,! de;^ !!' rouge. Û m’à répondu :

< — 11 ne voue. • Péji d it cela comme, icala...

.t&-îüU.;.a .Din^'-îîU-. — .iW-tO

{_9 .oiaiu ;.d .siiooJsü ;.d

~tn. lié tiwiwfltTM'"' ^ehto»8BiP,%’étÉibWH»î«

le campf a il avait,

« 8 L isd a é tjr .Æ ^ i^AbiH6t du mildstrek» IsîotneO ;.d .

-fadicO'.îB

gg»ri(» iponrisevvetoefitoW

1 i tp a pan>lbngieim|B„:if<ili('iàieftiecs*^ let l’a lancé à H. .le m ^ ^ e . C’i ^ t

o u rB a tS I m r a i t ^ e BT.« n u c o n s e iU e r .A ^ ,S « lle ta n i4 fé»M nPiM râ 11. T iss ie r . J e n 'e n s a ie « ie e e a d a isÿ a a S ilé t lieatqusMidsipàefcte eabbbatàid8éF«"®Ê- i e l l e n c e , j e r . . . > M . l e m in is tre r f y V p ë ”’ )lüB fa it s tte iiU uu q n s k U p t e'a d w m in T T

' «mégi f r i J t i a q a « sont dedeux •« îa qui n*ont riêü de caché Tun >our ju tc e M J B tt i V o e l ^ ' * e a l î e ^ ^

IPSOa vxBCmw n OP _

wptéme — «àiioâil M» ‘u M s f i - ia q M a tt& e d é jf e in lè à a Q q ia l t t i» '^ mteÿaaiàla’IDèé ^;aWi teptntCi'Qt’fià ■ieçaamiéit’hit ta»:: rant. Us s’en vont... Je compréodai.Qd|vJ :

u cstp igran«i^WB> QBHWW p P in c c r o o i i puifiindtDaMim SUüies-sahiaUHflcteUUb’ d e « a M t t s t e 3en b .p M lin a 8 <Vl ’a ir d e d ire : c C’estqH itiB tttm èdqu i^C p t:'k ÿeé'ptt’«téiS''Iiél«fikilaissKsoëfidBé1n6i/- ;« vd«À;dbitndétà:<fft«?çà^'q^0 ta n c e ... i

d e j ,^ % < p u s s e , oaraM-.: Aimâfflii.Wi-tübP

s;ai8Beffii<est;i.! S iK O ndeim sto

àsitf u n e c h a ise p e n d a n t jq a s iU an trss êtes id iences p a ss e n t. U v e u te ’e n aU er. « A tten- « d ez e n c o re ». lu i d it fit.’T iee ie r q u in re n d - sonHéléCl^eAt jdM utté-^ . « n é i ^ ‘ ••‘'y s^ sv d e s ù i^ q tm n ’a y a i t^ p ^ ^ ^ d é ' ' d é ' c o m g iü i^ c ^ ô h â '.C ’ètaft' p q o r ^ ê é e ^ l a i i t . % le d e ^ j n e t d it ;;a C’esCvou^ ’5 er in^ôpieur Cavard.f Ert- '« vbyéz-inbi,‘à déùx heures, deux dé vos < m e^au^ liiniei^. J’qi un ofdcier snspécC ( à Â iiré m M rié U ^ e .'.P !é lt« h ten d u ..z :»

c Ayant dit cc^ .dé tan ti’e^teien,; sans doute pour produire un effet, pour faire

loimiaai

d é lu i.'« Après ISahordage d u G aulois . e t d u

I B aacc ij.le a d w ix com m a n d an t s a v a ie n tA tè ‘dém c« tés.c Le- '. com iqs& âaift 'Duihy(é 'd é ' la M aiso n n eu v e , ' -rnni d a s -deux , 'v lént ‘éK>ii^ Mi ï i a s i é r . d è s m e s s i e ^ èaU éentideqqd^- faâeprbhiddéBé&t' QiMÂdlsCimfiàaimaÇrt^ séreüiè,'’éèiânié f l ^ t ^ p B ù'tarèriej’itië . c o g n é } é d f i4 diënt% iU ttTè% p ^ i

. s ie r lu f ® sV iF 'V o ta # ê o y ÿ r tfé n i 'C o ih M n '-< d an t, q u e v o u s n e p ouvez p a s co n d u ire< un ÿ ^ u puiq(^ypua.ne.j!o«T«in«asé< p a s p n sae r tqu t. s e u l so u s u n e p o rta .; > J ’a i e n t* d U i ': j ’é n -A u is ;d e v « a n :.ro n g e ;S e m o q u e r a in s i d’u n cap ita in e d e v tdssèàu ,'' d’tm rÀ o inm équ i se ra ; p e u tz é tr e a n u ra l I

é S U b -a t t r a p p e n t le s a u t r e s , i ls é a t t r a p - p e f i t a a s s tû i t r t r a ta e . •■■3 ^ .-iy

.« Il a r r iv e b ie ii «(prélqiiefbis .que ,M . le M in is tré S a 'fà ia« > 'cenrlrè -M .'- 'iè -ch e f d é c â i îh é i , in a is ' é a t t q n ^ I d ' ^ é 'c h e f d e c éh in e i n 'é tS 'p à é là . M -.'té ,M Snistrè ''re in iié

îfAiïrabÂ^iÉ'»^

-aioc'hinc j Làii'ic;' . ; ;02£ 6; il1 > l^iiMfiPWlftfàiSidàifiiédas.v N.ads ] >.ai!r,iieiaclào»jigia(u vjausq».i;âaaBdle ' ieaHt!paatfate,âHy»a éherdagè,cetitqriai toat I ’arrange... C’estileamiÉsMatiBiiaedipoib.1 nrtfnrfnr'*’-*- WsWdUsnédislMitbNddad 1 o i iu a a ta i U i M - m H M S i i ^ l f i îM R n S s d d ] ar«ÜlfltifélieaiM fi' “ ■*'.......

i l- J i ' '-V a t,.; - Jii t .t i i ïI3 q -É I» ïk 3 ;:* .d ? W » ' i t . .riO-.;:

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_______ ,id¥fc4M4®Aqw,i< h o s é é ;B f;a p ic $ p M ^ à J A M « fiU S ré , èéP S i r . -------------— u,— ibo«i*eido:ao!jdé;( evmt «ma jeam.«oU^;i»;qai.éearqaiUeBt ; lis yeux. ;a;.!Ü '!l; -. î; a y-!£.ra3T i'zo.i ,ü;

’ A 'Aréiâfter « d A u in e d é M v PeUtUut: ■'Vii;s".>..

ïài.Li^asa j ndiifiivijô es!

Aucune nouvde qui màidM-A’àtFaasiv ; naUfiMBoofoaié jp a n M è k jQ n ^ m A nnent qu’ilMo«(»diU!44MnnBk3d«M8 o l^ \jf ;iM lU JS i« » -(ib q u w :è « > iè j^

1 ie d e m t Chefou,:llaw.<J!itttai|uaiide;iai;I >ai^s«idKiB>«k^£M8fon4 cin,Cri{aidu ] jao-Touug; uiMipténeiËile luÉgnagéaimi

ai^iètiSngfeqÿ.quLéiAt a»Hé(ÿqtifHWf;I upéctàSi«'duis'c«iU«.Bégi«A::

^ m è à '^ ti im ê a à ^ n

s î ’i 'Æ s a iortantes : t'arrives ou i ine à Irkoutik, et l a n ahonadeauiargeaei

te 'ÿy im a courte iu-Chonangëùles

I enfoi P a r

i n i a ^ t ÿ t t u i ^ n b n s ilaissàit* l a m B d é g i '- ' “luzatioiml— ^ , . . . . .Le Daily TelegrapK, M a la spécialité

«es télègrauuÉn-M fM M tnniifii^oduit. î ’aprèzaaijeBmÿ (m > P b U l^ l« b n litâ -’ane>‘ éccaBatibAtfftMè^halr pwèaéjMontoif lébarauement d’une divisioa,'lMimlÙéfdd-.

^sqnd ' lés Hikinak)^^ dé sonrèiaéngiataeudoiseaéètiw «oeteilfies; a m é t r

' ........

P A A L Ë è M t; . T . § a O j Z U i n ç ^ ; . c r . - d i - , ' .

' " 'C l iB y iA té Ù B '' ’

S é a w x ^ u S f ^ n w l % M .

I La ü a ib rà A amts io n d e l 'r e n |® r t 8i f i ® î» f ig r e |B n » » t : ,^

jA '.^ rgà 'ic jtgâM ,! ew w a t qn il; hnT ioi«fvadx'int*etéttAla'Erib>efc’a a ^ n - s ietfW sM t t f i t t p M ^ i i B l^ t d ^ S iM r t ^ io â e r 0 ^ . . f i U d 'd lV « lb p la .i.^inagad»ils:Ingne traoçaise dans le

- -' ' brnider'tèsM M ^I^^ _a céDl)àttn.t&. diapBjîtiQni quiian^iuauit an -Anneedes^neviidats éù-te ’KiB'aMAt leÿ profesMèaft’ W :cèé“écb^ '." BzUs-iliaf 'ffli- ;to ù 4 éS ôàm àL ;sqW e,4 q U dIl -T. ? g’sidt'* U-’-— êle» eeeaedAOa neaAl afUV

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ke ;pmoà: à;da;iueliUqae 4me>‘toot^$es’ca£' biurti, q^,

tiatert J e t afênts du geuvemement, n *brésntàparJA SbttfflerpfMi^d^étn duv’

2 d i m .J „ i

w : 6Au début

lécidé qu’après ensacreraitlaBois à la diseiission des Ipié-,»..

I ^ T I ^ i j p e m e a tE n ë a m r l ï ^ i S ^ i i t k l i P

ongréganiste et . » •ilété par l’attÉfffiÉüùtNM® . -'■"■as, qu’elle avait adopté dans ladNiiee

ieate. eTn^ifS «ursqes~nr lir I i-> iifij iV

tiiiiiJili-y"

J 11 93-5^

c r d b ^ e l t l

e n ^ n t * i ^ ^ i w ^ l a ' l o i ' d u ! ur lemmWilsIABtreaiaAt^'étoliéieB W aaét,d eé-fe iiiie s da iliy l« s è ___aen ts incM M èUtTëiii ,'iuodmsi .saeDuS e v é id ï

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:C'^£î7 ri5n]ja x d s

IIDILLSTON d u COOSaiSR DS l ’OISX

(35)

* I L ’ I M O T EPAR

ÉM IL E R IC H E B O U R G

PlVEJUERE PAUTIE

L . A . C H U ' X ’ I ï :

X X IIIMAISON DU DIABLE

{Saile), '- .^ v a n t tout, d it C lirislophe, je tiens g respecter la liberté de chacun .

— Un ne te d it pas que tu as to r t , ré ­pondit la femme.. — A a-t-il longtem ps que ce personnage ■sconnu est dans le paya ? dem anda le Slarquis.

;. Un peu plus de d eux ans.C'est alors qu 'il a acheté la p rop rié té

etest.v • ■ t.venu s'y insta ller? j — Oui, m onsieur. A utrefois, il y a bien “ogtemps de cela, la C ordelière apparte-

aux moines de l’abbaye de C lairvaux , prétend que les re ligieux avaien t établi

a une i t n n . . - , — r - i,- :— j . b lanc, declia*''° ‘opo rlan te fabrique de®t de briques, . e t q u ’ils v e n d a ie n t.

,ax-mémes ces d ivers p ro d u its . D u reste,', «lande - z . r f , i , - - - ; - i -------■— * -•a a été fouillée, creusée p a r to u t , , e t

rncore couverte de fond rières e t dé lati** Depuis no tre g rande Révo-^ ““i.la Cordelière a é té ra rem en t hab itée j ^ a appartenu ' sticcessi-vement' à 'plua-'

. propriétaires, e t, en dénU er lieu) à i pliîe T royea î q u îî^ tf â it ' corn» 'f «ment abandonnée aux lézarda, aux

h iboux e t aux chauves-souris . Enfin , il y a un peu plus de d eux ans, pomm? j ? yous l 'a i d it. on ap p rit que M . V au th ier av tû t ven d u la C ordelière. P eu de tem ps ap rès, le nouveau p rop rié ta ire y m it les m açons, les m enuisiers, puis les pe in tres afin de la ren d re habitable.

Le ja rd in devait ê tre dans u n .é ta t', p i­toyable ; à l'excep tion de quelques o rm çs, restés debout, il é ta it n u com m e le reste de la lande. D u res te , c’é ta it lis m êm e te r ­ra in s térile , ré fracla ire à to u te végétatiô.n.A grands frais, le p ro p rié ta ire inconnu, fit tra n sp o rte r u n e . énorm e q u an tité . ,dC . te rre végétale, qui fu t je té e d a n s le ja rd in e t couv rit le sol c rayeux d ’uné. couche épaisse. Cela fait, u n pépih iéristé am pna des a rb res , des a rb u stes , des p la n ^ s , r t là ja rd in fu t p lanté . Q uand to u t fu t te rm in é , le p roprié ta ire , que les ouv rie rs avaien t vu une seule fois, v in t p ren d re possession de la C ordelière , à laquelle, b ie n tê t ap rès, les gens d u pays donnèren t le nom de m aison du diable, c ro y an t ainsi fa ire une rhaliee à l’hom m e qui sava it les te n ir i d istance e t fie donnait p o in t satisfaction à leu r curiosité . '

— E ncore un e question , m onsieu r B er­n ard in .

Je suis à vos o rd res , m onsieur. Est-ce que c e t inconnu , évidem m ent

un original ou un fou, com m e vous le disiez to u t à l ’heu rè , Im bite seu l la C or­delière avec la fém m eim uette '?

— Je ne peux pas vous d ire , m onsieur.11 y a des gens qui affirm ent que , o u tre la fem m e m u è tte .'u y a un e a è t re fem m e aveû l u i . ‘V ous d ire to n te s ;les sup p p sitio B sq n a ' • l ’on fa it, to u tes les m é c h a n c e té qu on ; débité, les choses ih é te s,q u ’on- racon te e s t , inu tile ; o n ne p e n t ppsiem pécher les m ^ s , j

i -vxisea laitgnes d a ip i^ te ik '^ L Ï a a t laisser ; d ire . C eux qu i so n t a llés rô d e r au to u r d e .la C ordelière , les p lu s h a rd is ç a les ü li ia

I curieux , p ré te n d e n t que l’on y entend 1 to u tes sôriès dé; b ru its é tranges, en tre au tre s le son d 'u n in s tn im e n t d e m usique, qui p o u rra it bien ê tre un piano, e t le ch an t d ’une belle voix de fem m e.

— A h ! v ra im en t? fît le m arqu is;— Seulem ent, m onsieur, j e i i é vous dis

p o in t q u é 'c e la s'ôit. O n‘ racon te ta n t de choses, voyez-vous 1. .. '

— ,Vpus avez ra ison, m onsieur B ernar­d in , on do it c ro iré seu lem en t ce que l’on

: en tend d e 's e s oreilles, ce que l ’on voit deses yeux . . ~ -

— A bsolum ent, m onsieur.N ’ay an t p lu s r ie n à d em ander à l’a u b e r­

g iste. le jeu n e hom m e- res ta silencieux e t ! se m iPà ré flé d iir . Son im agination a rd e n te . galopait à g rande vitesse s u r le s ailes d!un . réve fan tastique. C ertes, ce qu’on v en ait

(de lu i ra co n te r n ’é ta it pas dè n a tu re è le faire renoncer à son p ro je t. Loin de satis­faire sa curiosité , le réc it de l ’aubergiste l’avait, au co n tra ire , surexcitée au p lu s ' h a u t poin t.

— J ’en tre ra i dans la m aison du d iab le ,, se d isait-il; je verra i l’hom m é sans n o m , je connaîtra i la fem m e qui chan te , vieille ou jeune, laide ou jo lie , e t j e 4 e ra i p a rle r la fem m e m uette I

S’ad re ssan t à l’auberg iste, il re p r it :— J é ne connais pas du to u t cette con­

trée . m onsieur B ernard in , je désire la visi­te r ; p o u r cela, j ’ai l’in ten tion de passer.', quelques jours, à C ham pigneule. Pouvez- vous m ^ tre , u ne cham bré convenable à m a " disposilipp?^ . 'î '

'— CÜftàirienjçntj m phsioùr,.nne.cham bre ja u rei^de-cha'uss’éê^dunf’ lê s n e i ix i^nètfes o u v r e n t ' i u r l e j à ’cfih. " '* i‘ ' t r

—: ê» '? . décorée à n éu f e tih ç q b lée'com m e à là 'v ille 'li jo ’iita la fem m e.‘ j — Eh bien. m a d a ijje ^ |fc rn a rto i je loue cette cham bre pour’q u i n ? é jo ü » r ‘ '

— Monsieur noua fait beaucoup d o n ­

n e u r; j 'a u ra i’soin q ue m onsieur ne m an q u e

' L e jeu n e hom m e se leva.I — s i vdus le- voulez bien , m adam e B er­n ard in , d it- il, vous m e ferez voir m on logis.

— M ais to u t,d e su ite , monsieur,^tojit^ de su ite , rêpp'ndit-èlle.'' ‘ '

U n in s tâ n ta p rè s , installé.daüs la cHambre d ’aübèrge,' lè iriaÿquis de V erveipe écrivait à G astofjjdé' Lîmi ' i p o u r lé prévenir, q u ’il èvall*’Tésoltf^de -Tester quelques jo u rs à Cham pigneule^

. DAKS PB ZABDINLe m arqu ie-A drién dë ' V erveine s’é U it

couchA de' ’hoim e h eù rè niais, com m e ’ i l é ta it trè s agité e t que tou tes sortes de peu- ' sées bizarres h an ta ien t so n cerveau, il n ’a­v a it p u d labord -1051» * les-yeuxq-il ne pa r- '; ' 'v in t,:à ^ e n d t* 5 i i r ■ qulà; une, heu re ; ifo rt avapcéejde la 'np it.: Mais pançe q û 'i l p la ît à l’e ip r itd e -se surm e.ner, le jc o rp sn ’en tend èb in tip e rd rê le d ro it a u repos;qu i lu i.eé t nécessaire . I l y avait déjà longtem ps que

' lës rayons d u soleil, filtran t à trav e rs les lam es d e s .p e r s ie n n ^ J s’é ta ien t: ' in tro d u its - d a n s la cham bré fifaiibeipe, lorsque le je u n e hom m e se réveilla .

, A prèg av o ir passé sa m ain su r ses yeu x , i l reg a rd a sa .m o n tre , posée eur-le m arbre

’ de la taM e de n u it. E lle m arq u a it h u it heu­res cinq tn inu tesi 3a 1 I ,— . D i ^ s i ta rd il.s ’écria -t-il. ; i.i, ;; I l sau ta à bas d u liti,LOUvrit4o p ts g ran d s u n e desifeaétresi-reppnasu les p e c s m u s ^ i 8;

-'’etilaibrisèjfi,^ jr ilip tu iA d a n s m ’chanâg-e,;;; ’ a p b o rtg n L l^ ,q 9itrs>;|>àn^iiaiatesrâe8 r e - ’i gm nuen-j^ ia isoA i 'i-*;!.’ '.' ‘ . l '- i ; ' . '>

’ 'Adi^pms’ ÿ il.In 'jg è sv U s , p u is , s o r tit d e ; '. 's a ;c H m lé tg |e t i^ tg p 3d an fn la ,g sande àtU ai.

din, qui racCueuht avec un gracieux sou- P S »

r-zhaH — ,o5is\^.

,p' — ’A vez-vouatien .dormiy monsieur.? lui \dem aDdaTtrelle,v *• - - / - *

1—j "Trop biep. ’répondit-ü^ puisque je -iVièns<fetilem'erii*^e'nie'feVerr'' ■

i— hi er' soir j v6üléz-;You8 : prenare quelque-choso- c e ’matin-? .i; ..-i

^ Qu’avez-voua à me doirner?. ^— Dux'aféiàù lajl. d u .c li^ p ïa t ou biep

«ncore'üné bonne soupe au lait que je puis, -vous‘sferviri.si.linstant..' '■ : ' - - ■ ’ ■ -

— Ê h bien', j'accepte la soupe au U it. . bladâ.HÏe BCTOardi^^la lui ^ rV it 'aü'ssilôt

*da|is Quandi l éut d^'e.ùsea u se dis^sa-ài-soptirv • • ^

.1 . V ous a lîe i faiW' Une petite prbm e-

.made? hri/ditThÔ^sse; ^y i 4 - O u i,'in e première excursion dans les •cnvirpDS'de Champigneulei-

4 - Vous ne prenez :pas votre fusil ?. , i - Je Crois que ■je;‘.peï'drm8'‘i^ n ''’temps y

p t nie faügjiiêr^Si.à içhêrcher . inutilem ent une cbinpagnie'.de:perdreàux;Oü ün lièvre dans la piainé. rêpôridik^l ’ è tt soUrtànt.’ \ .- 4 - Irêz-vOüff dû côte de k niais6ndii;dîa- tle j? .,. '

4 - NorijVçer.tes ;• je ne suis-pas peureux,m a is ç e q u e v o u f m avez raconté hier mek itj encore frissonner ; jeiV'ai nuHé en5Ûe ■de faire coririaîèsànce avec l’hOmmc noir à bai^ e blanche.J.. Adrien tenait.ià cacher son .projet, et à ne pas- laisser' .deviner.le m otif qui -le^'reteiïait !§ (iiampign.eulfik

„ „ -j- Ma - fdi'»’ m onsieur je comprends f -celq rêt>ondîf k d âjjie iÇ èrÿrd k il ... !fParèU'wè rHoromé:}dcoi?Bu]m 4>ase:à, Ja - Â ^vo^eUete en,^3e:inoaientâ! na —

• - i - Ü < i . • î i i - . U . c - r -■

XI -T ■ Vu!, — G oijaïëù l .S^yç^-ypus.cpja,?.;-/ ; . . . .

Dj -T'jprèi de IarÔute,"ro'nt vu passer dans la <voitui« aui était venue le chercher.

rconâcffédtpQbikMBs- iteciMijiAi «asb: -‘i^èl 8SEO}8!ZB

Btas da8iOeejpenéBies jAïameittfc E M. f ta a d t Chaawaa;) séaattU isiÿrtf-

[ait la réaaseli, cfikadaeliaM^etâ M éba^eo, .dépbés<;b A IM I régé^aaerttMEviUtoabiatfciiiiBa'pw eL

' .üMfl

L majorité des w a m to i. IT l.------ittèm m ÿortéb.à ■laiàiHràént, liBÂrté de; çtfliidiidSè^jbajji^ - iemomiqné, la désorîiaBisnleB'daninMt'''' èt dk la I l ia d e aar iê s . nüfiistrss^MÉu^^^ ■" aôi ôntETchaivà'dk'm' déféosk i t adjma'^totts lès boiu ÿ n r ia u deAf.’’ troaper autour dii ‘drapeau Iligue P éra le , pour M it* teiltt* fii ' . t ^ fatiniè'hcdMiiedtl'iiitenOTonaliieÉi '- Après lui. H. Charles B m »âtn lM B tà ùuéaU au éiainMtfatâBaaiqga dhai iiDan - àu miüiCèraDCinBlMsi^dléitiabateaaar heaucoin è’humowr «t de r im if f MèpoUe fiqàâd’oprssstouét de délatu» YéPfiVmàë r àeeà Mit ém s toute M t m m *.■ M? » ^ d iÿ ia n t , avec une éaei)gie JA mliberté d’eu srig an m t * M -jdSm <• Muscienee,; .; . _ .ir,

l û . dé HoMjqthuàhreu* (iidedt de la Ugoe de t’àiWL______Foidej's,;parlèrent dans le g flu BcieM»

Des oTgtiens e u th e n r iu ^ (B W it^ àux orateurs, et, à 1» fiBdedakéajptkieHs j Ordre du iopr rarendiquintloj s e i p ^ w - é t ^ ^ çaf^fa''étA rop:41

’*v -..--..s :v rî. fTcr’r? ’'”'

i L’assambléé générale de l’U tdardéim e iemeaule d e s ia m e t ts -p e n ie ^ M 'O te u i k e u iU tb 'd im a ^ à fiwt^afcprdib e dddi ~-EUi i . .Ni-'!'’ -L- I f'S'ii'l t .TSS-îods»?

: I — Il étei,t Seal . l .Xi- i - ' O Â "feé'fiéé'àT ,'sSül; "■ ” ' " ' i '

. I —r ‘Eh bieni madàmie ’6ëniardinj-dit l«' jèune homnïe en riaht, jé-luî'kM iiaHeêlk-''’ bbn voyage,'; ■'1 I : 11 sortit etmrit d’abord le cheraM *|PO st

à'celui de la Cordelière; Màiif 'qaMi^ «««O * avoir fait un assez long détour, fi se t

, eh rasé iëattips^ne, il raanÉà dansla tion de la maison mystérieuse. -XH ,

:> ' — jé'mesiiismiSiSaàs Utéteunay&riii ;'- table folie, se disait-il, et meO'<aÉiietkdD^ f:'j riierit, éhcm .droit,-Ine tiaîliBritWiÉiBII®g'^; mais, en ce moment, je ne eu8sp6#*M Bd|'‘;', dë raoiîi je suis-dommèpai'tùiefiateaMOa''^' attractive que rieh 'nè peut eznli’

réalité, qd'est-ee qoeita véiizT réellement.?; T ai fété.-ému ' trDaédéiJttSqhtail

.;fokid dé Tâme: par'mette voM'dvtéWMk.: iebnpet fraîche q ue i’ài enteMfaét Js'OMtau ; véirila chantOiae: U .y /a (Uz aiysHtWtlaf ’

,véux le connaître; :0m,.mais >en ial'jà 't â üd ^ it? ------ — ç-----------------

; { 111 rejeta,.sa tête; en arrière pai UB : yément brusqué.I i—- Cedi est du raispnnemenL

. et? ma rafeon n’a 'Tien à ;r[® 'i aflhire, puisqye jeconviens âoi-lbi celque je fais est'insensé.‘Céjjne’jMprouyO ' est étrange; ily a en moi comme d M | '“ 'sentiments ; un "àutre à ma plabd'stn ra(t et n’irait paë plus loin, 'Car 3 i ' " ' '

puisse zri’« r a v * J j ’iraâj ,, Duand il ne fut plus qu’à une M

‘tar ces de, l’hidliiàâda; ‘éoScëaùr'W ^ i ^ j i bal tre avec violence^^coÉ -éai àmoihnidttraiuae I ; .-res e,î8xaeaasei«nc«i^«âal j i'ira iqudje,'.iilefaeatait^î' '

T ton DftdcfléAéchÎM Mb 4M " dit n’avait' pu le faire renoncer i

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A W ^eW iiB B ÿ dUM U f r u d e Mlle de l’H w de V ile, n l» n 0 r t d’o ie een- taiUtde^viVRTCns ottirt • « iwiM» de l’Unimt. Aotoor do Mat>priiet on remar- qôait MM. Dsgoé, maire ; Coqoatrix, Fanré, Cor£on, eonsaUlen d’airoadiase- ment; le commandant Cizier; les cspi- uiaM Gnesnet, Boyenral, Mahteox, etc.

A deux heaies, le cortège, escorté de nombreux sapenrs et précédé de la mnsiqoeHlÛBidiMl#t-S*Stt-J8Bdll.plâ6fl JftftTCbéped a 'tirin ti~ le d is ^ n tio a des récom­penses aceordées aux ^eox pnÉpiita. La médattli4’ar|e6t isst déceméoà MM. Mar- cbandlonv de Pop-la-Tallée; Lqenne et Parmentier, de Domeliers’; Salrat et De grasM, de Creil ; Préroit de Crony-en- Tbelle; Gifiérd,. de Senlis ; Deftocoort, Carpâtier^ D es^aqnef.de S a i n t - ^ ; Briard, de Saneoense-Saint-Lncien ; Tré- bnqwt, deLargiUiére; Bomlet, de Yerde- rm tDafasonelie, de Notre-Dame-do-Thil ; D o ^ doSaint-Martia-le-RœBd- Clos de cent mWaiiiM de b ionu ent également été remises. Bnfin, signalons la remise solen­nelle des palmes académiques an lientenant Berée' et an sens-«fficier Charbonnier, ainri que des médailles et.diplémes de mn- tnalité é MM. Casier, Gifléra et Lanné.

Toici la liste des médailles de l'Union attribnéos aux Mpenrs-pon^iers de l’ar- rondissoient do Senlis :

MédailUt d^argent.WL

Salvat, sergent à Greil. ,Dterasa^ omoial éCreil.Jtulen PiéTOsf, caporal, Crony-en-Ihelle,

61 ans.Gilhrd ffippolTte, seigent-majm, l Senlis.

. MéiàiUe* de brw ut.■ ■ -MM.' , . '

Regaant, sapenr, Bargny, 43 ans.Thoilliér, sergent, Monwaire, 26 ans.Antoine H., sergent-nuqor, Mei^taire, 25 ans. HerbantBarcl^sapen^Stliy-le-liOng, 26ans. Lallier SylTsio, saqpen « t e 2» ans.Bruxelles Lucien, mpenr, Breenoy-en-Ihelle,

39ans.Cressdb Bé%éne, upOnr, Frasnoy-enrThelle,

89 ans.OndlA cMoea], freenoy-en-Tbelle, 35 ans. lÂcoqA^ im niv VUlers-s.TSaiBt-ijen, 26 ans. ThlôTe logMe, tambour, Hérr, 26 ans. Umbeite Lonls, UentMant^ Yerberls, 32 ans. Braeqne,eapMaLCrouy-en-Thelle, 35jms. DdaflKsaMn^anteniHe-Handonin,2Sans. imnotuTïnit^'eapeial. i* 25 ans. OetuuneBiiiile, caporal, Saint-Len-d’Biserent

29 ans.L’asseiAlée générale qui s’est tenue en­

suite dans lé salle du banquet a été cenia- crée é lé lecture des rapports despréti- dont, secrétaire et trésoner. Un point é retenir : l’avoir de la caisse de l’Union est

Combes dés éclaircissements au sujet ita droit pour les Mpours-pompier, de n derÙB drapeau.:Il «U ditque, lom do re­tirer a ta subdiTisiens eu compagnier des droits qu’elles aTuieut antéiieurraunt, le neureaudéciretapourbntde reconnaître, dans cMtaiis cas, é leurs d r^ ^ u x , une existence l ^ l e r â ’ils ne possèdent p u jusqu’ici etsTautonser, dans l u autru eu , des bnions dont la forme et l u dimensions ne Mnt p u d’ailleurs régtementéu.

Bu Un de séance, l’assemblée a décidé de to iir h prochaine réunion i Soniis.

. . . » .

E n a e ig n e m e n t p r i m a i r e . Esoles normales. — Conconrs d’admission en

ip03. — Frimes ans Institntenrs et instltn- trices publics.Sur ia proposition de llaspectenr d’Aca-

démie, noe prime de < 00 francs par candi­dat présenté et déflnitiiement admis à la .suite du concours d’admission dans les écolu normales en 4903, a été accordée par M. le Préfet aux instituteurs et insti- tutricu ci aprét désignés :

MM. Fsgard, é Booillancy ; Mast, à Pont- point ; Monnier, à Saint-Firmin ; Mlle Weis- senburger, é Senlis.Enseignement agricole et horticole. — Encou­

ragements dn Conseil général en 1903.D u récompenses et encouragements ont

été attribués aux instituteurs publies qui se sont le p lu distingués d a u l’enseigne­ment agricole et horticole.

Ce sont pour l’arrondissement ;4° Primes de 30 francs. — MM. Decni-

gniére, à Chambly; Francelin, àCrépy; Dupentroué, é Fleurines.

S° Prim u da SO francs. — MM. Heller, é UUy-Saint-Georges ; Beuvin, é Ko oy ; Lefévre, à Orry-la-Ville; tialin, àAnmout.Cours d’adultes en 1903. — Subventiou aux

institntenrs et institutrices publics de l’Oise qui se sont le p lu distingués daw« l’orga­nisation et la te n u des cours d’adultes pendant la campagne 1902-1903.Des subventions ont été attribuées aux

instituteurs et institutrices publics de i’ar- rendissement, ci-aprés désignés :

Snbrentiou de 36 francs. — Mme Weis- senburger, é Crépy; M. Méret, à Bras­seuse.

Subvention de 30 francs. — M. Bangn. à Boullare.Sociétés scolaires protectrices des animaux.

La Commission départementale a décidé, dans, M séance dn 49 novembre 4903, d’at- tribiier une subvention, à titre de récom­pense, a iu Sociétés scolaires protectrices des animaux, constituées d a u les écoles publiraes.

Subvention de 30francs.—;m Francolin, é Crépyr

Subvention de 80 francs. — M. Mon- nier,.i Saint-Firmio.

Subvention de 4 0 francs. — M. Baude, é Balany-snr-Thérain.

Siibventions de 7 francs. — MM. Beu- velin, i Rosoÿ ; Polie, é Verderonne.

Subventions de 5 francs. — MM. Ma- gnier, i Gouvienx (Chaumont); Venéque, é C ra^isy ; Gnitbert, à Lamorlaye; Citoa, éGillocourt; Cabeis, é Orrooy; L&vallée, à Borest ; Malin, à Anment ; Kohler, i Montépilloy.; Seünger, à Thiers.

♦----------------U a la M ié s c o i i t a g i e a s è s .

l e Conseil général de l’Oise a, dans sa Mssion d’soUt 4896; décidé que le départe­ment da l’OLse serait rattaché au Labo­ratoire départemental de bactériologie d’Amiètts.

n èst i^ n e lé à MM. les membres dn corps médical de l'Oise que cet établisse­ment .est é leur disposition pour le dia­gnostic des maladies contagieuses 'et no­tamment de la diphtérie, des angines et de la tuberculose.

Tons les renseignements fournis par le laboratoire sont gratoils-

Bn ,vue du (Qagnosh'c de la diphtérie et des Angines, des trousses, ccnuprenant deux tnbésde sérnm gélatinisé et une spa- tuli sténUiéé, sont dépsséw ch ti tous Ut

fharmaeient du diparteam t, qui les dé- . a |S e» n t gpU uittmm t, sur la demande -dés M édeci^ soit é eix-Bimes, soit a ta ;psreMiM iitérassées.. Il: suffira de retourner ces trousses, après «usemencement des tubes é l’aide des

^ucaiMés de la gorge dM nmladss, au La- IwralifrB, 46 ,rneFerM l,é Amiens, pour recevoir, vkgt-quatrebsàres après la ré- canlioa de la trousse, un ffisgoostic bact^ liôlogiqne indiquant la présence en l’ab­sence du bacciile de Lmmsr.

En cas d’urgence, un télégramme avi­sera le médecin du résultat.

MM. les médécins. pourront, en outre, s’adresser au laboratoire, peur toutes les recherches bactériologiques ou micregra- phiques, dont ils auront besoin.

trÜTSül d au ià l ’Oiee.L'Office dn travail publie l’ahalyM des

renseignemants fournis par les Chambres de Commerce, les Conseils de prud’hom­mes, les AssociaUons patronales, été.. S* par les correspondants.

Nous y remarquons pour l’Oise :Dans le ressors du Conseil de prud’hom­

mes de Beauvais, les filatures-ét fébriques de tapis ent pu se maintenir dans nna bonne moyenne d’activité et les fabriquas de drap ont ointiavail noimaL

La cerdminerie, re^ésm téa :à Beauvais par trois importantes maisons, est tonjonrs soumise i dei.finctuaictiont toujours préju­diciables au personnel ouvrier.

L’indostrifrde la tabletterie est relati­vement prospire, mais les briqueteries ont eu béancoap é sooffrir de la saison d’hiver et ne pourront reprendre, avant un mois, leur marche régouére.

Bnfia, le bâtiment, comme tons les ans â pareilie-époque; est très calme, en ce qui concerne pahicttlièrement les peintres, plâtriers, majgons et manœuvres.

Dans les antres branches de cette même industrie, le chémage ne s’est pas trop féit sentir.

B’aprés iM renseigaements communi­qués par les: Associatioas paenmatés, ia durée du travail a été réduite, avec la di­minution des heures de jour, â Beauvais et â Compi^ne.

Les fabriques debeitesdeLacroiz-Saint- Ouen sont toujours aussi actives. Lés où-' vrlws font 66 heures par semaiae.

Dans l’analyse des rensMimsments four­nis par les Chambres syndicBlés ouvrières e t jw les secrétaires des bourses de tra­vail, nous remarquons pour l’Oise :

A Beauvais, 9 Q/0 de chémeurt; 69 heures chez les typographes; 46 0/0 de chômeurs, 63 heures chez les fileurs et tisseurs.

A Mouy, travail peu acti^ 60 heures chez les ouvriers en chaussures.

A Baint-Just'On-Chaussee, pas de chô­meurs, 66 heures chez les ouvriers agri­coles et iudustiiets.

A Béthisy-Samt-Pierre, 5 0/0 de chô­meurs, 60 heurM chez les brossimrs.

A Cuise-la-Mette, pM de chômeurs, 68 heures chez les yumalioa.

A fiermes, pas de chômeurs, 66 heures chez les srienrs â la mécanique.

A Méru, pas de chômeurs, 63 heures chez les boutonnieis en es.

A Andeville, pas de chômeurs, 63 heures chez les tablétiers.

A Noyon, pas de chômeurs, 63 heures chez les mouleurs.

LA R E V I S I O N(Abréyiations : big b on ; b. d., bon d is p tn té ;

^ o n in é i s. a ., M iricos au z iU a im ; «x.» «xempté ; «ng. t o L , «ngagé Tolontairo.)

C a n to n d e C r e i l .Apremonÿ. —' Deleplanque, aj.; Drouardg ex.;

Guilvard, b.; Guinetg b.; Lematreg b.; Lerojg aj.; W e^tensg b.

Blaincourt. Allartg eng. t .; Boucber» b.; 'Deloaière, eng. v.;QaUand, b.; Lenoir» aj.

Chantillyf—ClBiM-w, b.; Crazie, a j. ; Deyaux, b. ; Douyriût o.; Dusart, b.; £loy» o.; Fogel, aerr. aux.; Gameiin, b.; Jonas (rapudie la qualité de Fraocaia); Kesler, b.; Leliucg aj.; Lefebyre, b.; Leœ aire, eog, t . ; L em aitre, b.; Lépine, b.; Leprat, b.; L.ion, b.; Meile, b.; Mercier, eng* T O I . ; a j ; .Noël, b.; Faro ton ,aj.; (Quen­tin , b.; le r te a u x .a j.; Houël, b.

Coye. — Deois, b.; Graux, eng. y.; Lamou» che, 0.; Legeat, aj.; Lesage, aj.; l^esur, eng. y,; Maziile, b.

Cramoisy. » B asset, b.; Delaplace, b.; £>• nault, aj ; Fiocel, b.

Creil. — A utogue, b. d.; Bacot, b. d.; Boblet, eng. yOl.; Bertrand, aj.; Bouillant, eog. yol.; Blet, b.; Bernauer, aj.; Cabat, aj. au 2m m ai ; Caumettea, b.; Cbesneau, aj. au 24 m ai ; Col- lin, eng. yol.; Daniel, az.; Degrasse, b.; Du- harcourt, aj.; Dulong, eng. yoi.; £ngal, b.; Fa* yreau, b.; F irm eiy, b.; Form ey, aj.; François, eng. yol.; Gallois, b.; Grémillot, eng. vol., Gris, aj.; Guerrier, b.; Jean , b.; Labacbe, b.; Lam­bert, aj.; Lam brecht, b.; Landrin, b. d.; La- yoisier, b.; Laclerc, eng. vol.; Lesieur, aj.; Lirony, aj. au 24 m a i; Lorson, b. d.; Luzm, eng. vol.; M aladière, b. d.; M archai, b.; Ma* roux, aj.; M ennessier, b.; F inguet, b.; P iolet, b.; Flumecoq, aj.; Potiüon, b.; Règle, b ., Sé­guin, aj.; Simon J ., b.; Simon L ., aj.; Tellier, b. d .; 'ih ib a u d a t, ex.; Touzet, aj.; Vercouter» b.; Verfaillie, b.; Vem eau, aj.; w oyard ,

Gouvieux. — Balagny, ^ . ; Baly, eng. Beauduin, aj.; Beauwens, b.; Beugniet, a i.; Boitrelle, b.; fioum e, b.; Cociiu, aj.; Colom- bert, b.; Culembourg, b«; Deblire, 24 mai; Duplenne, b.; Fourm ent, b.; Godaro, aj.; Ué- douin. aj.; H uet, b.; Jeannot, b.; Ju iliard , b.; Kréei, ex.; Letellier, aj.; Mary,, b.; M éry, b.; Pearce, b.; P ichot, b.; P icot, b^ Rebeiile, b*; Roger, ex.; Schlim, s. aux.; A rnott, ly. 24mai,

ham orlaye, — Fiatm an, b.; Giroire, ex.; J o ­nes (répudie la qualité de Français); Lavis,-m.24 m ai ; Miles (répudie la qualité de Français).

Meïlo. — Bensse, aj. 24 mai; M anesse Emile, ij.; Manesse, Eusène. eoir. v.? k .

devoghel, ex.;Nogent-lee-Vierges. — Aiexandre, b.; Aubin

èx.; Biot, aj.; Cabaret, aj.; Cany, aj.; Cocu b • Dampfhoffer, b.; Desaintjeao, eng. y.; De»-! pretz, b.; D ieraert, s. a.;yDupuis; b.; Durand aj.; Jf^ezquin, aj.; G eor^n , b.; Gilet, b.; G<k bert, b.; H érouart, b.; luiSj^aj^K ircn, b • Le- jeune, b.; M oün, aj.; N ayâE er, b.; Portem er. e . y.; Quatefacelem, e. y.; Sangnez, e y * Serlippens, aj.; Teilier, aj.; Thom v F b * Thom y P ., b.; Villain, b.; W ecw auters, ex.

Montataire. — Abraham , b.; A utiauet. ai • Barbé, b,; B ület, b.; Binet, aj.; Blampam ai'* Boufflet, aj.; Canjaëre, b.; Ceunen, b.; Che- villot, b.; Chrétien, b ; Corryn, b.; Courcon b • Debaets, b.; De Cock, ex.; Dehamme aj.* De- lalain, aj.; Delsau, s. aux.; D enant, aj.; Denis b.; De P h i, b .; Desmet, ex.; Dubois, aj.* Du- breucq, aj ; DubruÜe. b.; Dumont, b.; Dtipré b.; Ernoult, ex.; Feutry , b.; Fleury, b.; F ran­çois, b.; Gallifa, b.; Gaudet, b.; Goret, aj.; Gri­sou, s. aux.; Heiorich, aj.; Idée, b.; Kmt, b.* Lafont, b.; Lefebvre, aj.; Lemoine, eng. vol * Leroux, aj.; M artin, s. aux.; M ennessier, b!* M onchecourt, b.; NoëL b.; Odiuot, b., P il- lieux, b.; Perlerin, b.; Pernier, aj.; Piochelle b.; Pm et, b.; Poette, b.; Robichon, aj.; Seeuws* aj.; Sellier, b.; Tellier, b.; Thiolier, b.; Trlbo- let, aj.; Vancauwenberghe, eng. y.: Vandam- me, 0 .; Van Daxnme, aj. au 24 mai; Vanden- driesschc, b ; De Geyter, b.; Degouy, ex.

Précy-Mvr-Oue. — Barbet, b.; Démon, b • Derobert M., b.; Derobert G., b.; H ubaut, b.* Léglise, eng. y.; Lemercier, b.; Lorber, s, aux!; M ichot,eog. vol.; Vedlet. b.

Viller* Saint’Paul. — Beauvois, b.; Brelle b.; Derollepot, b.; Heoneton, b.; Lem aire, b.* Nataire, b.; Rottée, eng. vol. '

VilUrê $ou9-Saint-Leu. — Beltenger b • Broyard, b.; P insson A., ex.; Pinsson £ , b.. *

Saint Leu-d'Eseerent — Baldame, b.* Bour-ëeois, b.; Bruxelles, s. aux.; Delaplace, b •

luez, b.; Duplouy, b/ÂFanx, b.; Gatellier, b.: Guffroy, b ; Pénaut, aj.; H uet, b,; Laubé. b. Lepeintre, b.; M irland, b ; Vallée, b.

bert, éi* 24 mai; Leroy, b.; Pinet, b. .T kh trny, — .CSiMC-'b.; Dochoiselle, s.

ÂVDieièrej b.; G’ iipa, b.; VtndereUey a» té -

L . E à 9 À ’J O U F l N â s

C s u t o n d e C re i l .Ajaumét d» la eUuu i9 0 f .

Chantilly. — RmoU, b.; Lriuc, Mrv.-âuxi^^Coyc. — MUot, b.Ct — Oabreuil, b.i A lansh^ au 2t

mai i MuUer, b.: Anbart, s. a.; ChaiMiitier, b.; Meunier, b.; WattS, a. a .;te lèv iao .

Mmtatairt. — Vantelon, seir. aux.; Du­mont, aerv. aux.

Wogint-la-Titrget. — Boucher, aerr. aux.PHey-anr-Oitê, — Colnol, b.; Leièvre, b.

Àjeuruit d» U elosM d90i.Apremont. — Dugardin, b,; Bigue, b.Blainceurt. — Dumondel, b. ■ i, "

Faquet, qj-'> t^irt- 1, b^ GOngeoh, b'.;

, , . Ménètré, aj.; Gor-'dier. aj. 24 mai; Boucher, b.; Hée, edi; Duru, b.; DSmarais, b.

Coy*. — Le Gnennec, qj-Cnmoiiy. — XdSTequin, b.Creil. — Aubertin, b.; Burat, qj.;.Cerciat, b.;

CSrodin,aj.; Cochet, b.; Decreua; aj.; Decuv-:Eère, b.; Delporte, b.; Dinée, <g.; Duboia F.,

.; Duboia P., aj.'; Gria, b.; Lamotte, àj.; La- font, b.; Piaaae, b. abaent d.; Flei, ag.; Pou-’ taaaa,a. a.;8ivet, aj^SCbbrun|[,aj.'au2tnu^taaaa,a. a.; Hivet, ai.: SCborung, ai. au 2t Tiuaniûer, b.t I b f u , M-î 'Vaiîae,;q).imau > *

Gouvieux. — Fontaine, M.; Jambe, aj.Ztmai; Mommelé, b.; Cantrelle, b.

Lamorlaye. — Salies, a, a.; Fayen, aj. 24 mai; DenoyeUe, b.; Gamotel, ex.

Mello. — Rousaeile, b.; Laporte, aj.; Carbal- let,aj.

Montataire. — JeugneL b.'; Chagnot, b.; Biet, b.; Maréchalle, a. a.; Chenllot, aj. 24 mai; Lefèvre, b.; Balagny, b.; Hérouart, qj.; La­clerc, b.; MounT,b.; Julaa, aj. 24 mai; JumeL aj.;Morêen, b ; Doublet, b.: Duboia, b.; Roar aignol, b.; Mallet, aj. 24 mai ; Lange, b.

Hogent let-Vitrgt», — Deizade, qj.; Thomaaj b.; Gargon, b.; Boyenval, aj-i Lahache, b.; Sar-. telet, b.

Priey-tm-OUt. — Bricot, aj. jSdint-Len-d’BBtermt, — Saint-Laurent, aj,;

DrueUe, b. "Saint-Maximina — Duhoisi tj*TWnemy: — Bottr, -Villef-SaiM^Paul, « Descaipentries, € et

Lavoisier, b« ..

SËN LISl i e P r e o è s d e x l 'E c ta o >.Lnndi est venue devint le Tribunal

l’action endommagea-intérêts pow dif-: famation intentée par M. AmliBier, dé^

Suté de la première oireonsmption.de enlis, à MM, Casteliant,.rédacteur,

Lecomte prppriétidre-génnt du journdd V£cho rèpMéitcaea du Valois.

Après les plaidoiries de M* Bonnefbus et de M'cÀndré Hease, le Tribunal a. renvoyé l’afEure poUr le prononeé de sonji^ement.

— —4 LI— .1-------^A

Coimù lUnicUi. -o-'iUns ^rMunon <hi Cknniié radical du canton de Sentis aura lieu dimanche prochain.

A l’ordre du jour : situation politique; élections municipales ; qnestims diverses.

LiiTBi n i FùuciTAnoics. — L’Inspsc- tenr d’Académie a adressé une lettre de félicitations â M“* Veissemburger, insti- tutrice â Senlis (rue de Meanz), pour la bonne.tenne de son école et les résultats; de son enseignement.

a .* * ; ?;! Patbona&b ScouiBK. — La soirée an­

nuelle du Patroaege de l’Ecole publique des garçons sera donnée par les membres participants, an théâtre de la ville, le dimanche 87 mars 4904, â hoit heures du soir, avec le conconrs de M. Tinel, le dis- tingné pianiste.

Très bien composé, le programme promet aux membres honoraires e t a leurs familles, une soirée des p us iatéressantes.

** *Les Daizs EHH.eiùis nzs Posizs. —

An meis d’octobre dermer, l ’administration des postes et des télégraphiis avait déridé

gn’â partir dn 4« septenubre 4904, les aides ien notées, comptant dix ans an moins

de services effectifs et âgées de 35 ans an pins, ponrraient être autoriiiées â subir un esamen spécial -d’aptitude â l’emploi de dame. Le sons-secrétaii’e d’Etat des postes et des télégraphes vient de décider que la date d’exécution de cette mesure serait avancée et serait fixée an 4" mai 4904.

Soint M axim in. — Brébant. b.; CuIembourE b.; D m to a , b.; Doré, aj.; Duboia. b.; DuchevnS b.; Dufour, b.; H ardoum , b.; Lécotier. b : Rénaux L., b.; Rénaux M ., b.; Rucba. b ■ Thiveroy, ex.; 'Valet, b.; yandenbooiche b.

Saint-VcMS-Iss-Maits. ÿstoa, ij,| Ged-

CoNiBiBUABUs Ht RETARü. — Les per­cepteurs ont la déplorable habitude de. remettre â découvert leurs feuilles aux^' contribuables en retard. -

Ces procédés sont rinrettahMs â tous égards. La première qualité â ex/ger d’u h . percepteur, c’est la disoiétion. On la de-J mande bien aux huissiers !...

Il est question d’une pi oposition te.adant' â obliger les perctptenrs â déposer ileurs feuilles sons pli fermé, ainsi que les hvis-: siers ont.accenttuné de le faire pour 3cs papiers timbrés.

»♦ ♦Le Catùchisu. — l e Saint-Père a,

parait-il, 1 intention deinonunerprochaine­ment ime commission cliargéa d’étudierla question d’un catéchisme unique, lequel ' serait ensuite imposé é tonte l’é lise .

*: >Nos mcHERs. — l a Compagnie d’Arc

dn Bastion de la Porto de Meaux, à Senlis, s[ést réunie pour l’elmt di > l’oiseau; celui- ci est tombé a la 4 fiv balte sous la fléché du chevalier Doisy, qui a été uroclamé Prési­dent peur l'anitèe 4994.

L’élection daaelBciers et du bureau aen lieu ensuite.

Ont été élue;; >1M. Bonm t, capitaine; Hottin, lieutenant; Danger, sout-lieute- nant; Lefcvre, seeritaire; Leclére, c«h- scwr.

¥* <r

Nos. GvmvAsiKs. — Le cours mensuel desmraiteursde l’AsscicititioB dépatlemen-.: taie des Sociétés de gy ittnsstique dè s”Oise, ' qui devait avoir lien â Senlis dimà.nché pitehain, est rémis â t u e date Ultérieikfe'-

¥ 'Les Pièces de 50 Ci tn im s — Par une

rircniaira du 8 février; 4908, i’administre- tion a prescrit aux comptables de tout (vdre, ainsi qu’aux d ébitants de tabac, de s abstenir d>e mettre en circnbitien lez pièces de 59 centimes, â l’effigie laurée de Napoléon U I, frappé!»de 4863 â 4869 in- elnsivemanù, qui leu r auraient été versées â qcelmo titre que c e soit.

Des infot mations .émanant da trésoriers payeurs généraux fiant connaître que les comptables des régfes fliancièras apporte­raient un «ertain T’alentissemeat dans le retrait des pièces dlont il s’agit, en raison des diflkaltés que feraient imrihisles snh- esrsalaa d» l6 9 «iq|M de ^ r a s e e ^ ae*

_ seraienttrop ^ „ ùU'tMÉrteléear ' ' • ' ■

i ù i déünNhédier âM t é u t de ètoeei qui sertdt d^aitnre, m sa prolangeaù||pi en­traver Jt^M ùtioi du'retrait, tous lea ;é t> blisseiilühfvn province viennaiS'de Rece­voir,, â Ihidemande ;de laî iMtaotien du motnemetri général des fondri des lastruc- tiM aJeur «âoiguant de ne iMiser, démr-

tairémênt détérieréM (pièces mutilées, davées ou rognées, revêtues, d’empreintes) ou qui aurtient subi déi’ accidents ayant pour coiaêquenee de leur faire perdre nne partie appréciable de leur poids.

Le muiatére des finaneesfsrait beaucoup plusr'sàgement s’il ramassait nné bonne fois, toute la mitraille nationale démonétisée. Cela éviterait au public bien des ennuis.

Chemin de fer de Château- ’Thlerrjr à llIareuU-eiu>Oui>cq. ' . Snguéte d’utilité publique.

. [ Un arréû préfectoral dn 48 mars 4904 nreserit l’ouverture d une enquête d’utilité pùbiine sur l’avant-projet d’un chemin de fer dqntérét local de Châtean-Thiern â Marenil-sur Ourcq et â la gare de Nquilly- fiahit-Ffont et d’Bssomes.â Verdelet.. Lès pièces de ravant-iHojet resteront dé­posées â là Mairie de Betz pendant un mois â partir dn 80 mars 4904 jnsipi’an 80 avril suivant inclusivement, pour être êommuniqnées sans déplacement, pendant cet intervaila, de neuf heures du màtin â midi et de deux heures â cinq heures du soir, aux personnes qui voudront eh preu- dre connaissance.

Un registre sera ouvert pendant le mémo temps â la Mairie de Betz pour recevoir, tous les jours non fériés, aux heures ci- dessus indiquées, les observations aux­quelles pourra donner lieu l’avant-projet dont il s’agit.

A l’expiratipn dn délai d’enqnéte ci- deftns, nna cemmissien se réunira â la Préfecture â Beauvais, le 88 aviil prochain, â deux heures et demie, pour examiner les observations consignées au registre d’en- qnéte «t donner son avis sur l’ntilitédu riiemin de fèr projeté.

La Chambre de Commerce de Beauvais ot la Conteii munieipri da Marenil-sur- Onicqv dont la vola projetée doit treverser le tarriteirek sont égalm ent appelés â dé­libérer et â exprimer leur opinion sur ledit projet. ,, y _________

Conconme agricole.Sur la liste des prix attribués aux expo­

sants du Concours général agricole de Paris, nous relevons, pour l’Oise, las ré­compenses suivante} :

Houtors. — DwMsy mérinos.8* prix, 195'francs, M. Frédéric Lengust, à

Maroilas. 'FcumUcs séss avant le 1" nul 1901 : S* prix,

160 fnmcs, M. Frédéric Longutt, 4 Marellss.Mâlis,.18 mois rà pins : 6 prix, 184 fnscs,

M. Lucien Bcisscan, à ftiiantamarlc, prés La- goy-lc-Scc.

Prix supplémentaire. H. Longnet. i MaroUes.FaoeUes. — 18 mois an plus : 6* prix, 100

francs, M. Bcisseau, à Lagny-le-Sec.FemeUea de plus de 18 mois : prix snpp'é-

menteire, M. Boisseau, i Lagny-ls-Sec.EspÈci BOViRi. — Saet heUandaùe flnâlftj,

anim am de plut de dtua ans.Prix snpplémtntaire, M. Boisseau, à Ligay-

le-Ssc.♦ .............

Police eoprfsotioaaelle de S en lla , Awdieftee du mart 490i.

Présidence de M. Vabù, juge. Ministère public : M. HinsmiR, substituL

'Baron. — Mancheron (Louis-Julien), âgé de 41 ans, ayant demeuré 4 Baron, est coniUmsé pour ehuse 4 l’aide d’engins prohibés 4 six jours d’emprisonnement et 50 francs d’amende.

ChcMWiy. — Edwards Pruvois, âgé de 85 ans, palefrenier, sijet américain, demeurant 4 Chanhliy. a porte plusitnrs cinp de pobrg an .sieur Brenil, cocher, parce que os denitr avait moschardé sur son compte an sieur Charles Carter, lanr patron.

Coût: 86 francs d’amende avec la loi de sursis.

— Le 'il février, le nommé Depuis (Victor), âgé de 38 ans, a été vu, par le garde panieullet Uuson, visitant des collets et s’emparant du gibier qui éiâlt pris.

Dapus est condamné par défaut 4 deux mois d’enipiiscnnemtnt et 60 Irancs d’amende.

-- Le sieur Tacqoerel, propriétaire 4 Cban- tiliy, avait 4 son serviee comme domettiqae ie nommé Miiqne (Ernest) âgé de 30 ens, origi­naire de Montitaire. Le 88 janvier, eu rentrant de Paris, le sieur Vacquerel fut fort surpris en coBstaUnt que son aomett'que était parti Le lendemain, il eut l’explioation de ce départ furtif en remarquant qu’ace somme de 130 fr., placés dans un miuble de 1a salle de billerd, était disparu.

Ce domesf qiie infidèle est condamné par dé­faut 4 trois mois d’emprisonnement.

Creii. — Le 10 mars, la dame Lintitz, caba- retière, rue Jules'Juillet, vit pénétrer chez elle deux consommsienrs qui se firent servir deux chopes de bière. S'étant absentée un instant de sa saile de débit, ia dame Lantiex vit en v ren­trant l’on des denx individus, ia nommé Du- triaux (André), âgé de 80 ans, debout dans le comptoir. A une observation de la débitante, Dutnanx prétendit examiner les verres; mais la dame Lantiez s’étant avaneée, se rendit bn- médieieaeni compte qie ce qui retenait l’exa­men de Dutrianx étaient les p;éces de monnaie te trouvant dans !• tiroi.'-caisse, que le peu sctupulecx consommatenr était occupé 4 mettre dans ta poche.

Dntriaux est condamné 4 hait jours d’empri­sonnement.

— Denant (Coatun'ien), âgé de 54 avs. ma- nonvrier 4 Creil, est condamné pour chasse aux collets 4 un mois d’tm>risonttement et

francs d’amende.Crépy-tn-Tttloit. — Prétsndant avoir é é

islL'stament poursuivi et condamné, ic nommé Dcg.\aTest(B<rard), âgé de >8 ans. marchand de ma'rée 4 Crépy, a. dans le courant du mois deian''ierdeRie’, dansnne lettré adruiée i M. Soy°'.. procureur de la République, outragé ce magistrat. Bssmarest déclare rtg-etter les termes do vt il s’est servi, il'obt-'ent ainri l’in- du'gince d'u Irihunal qui le condamne 4 50 ,fr. d’amende.

liontatdii'e. — Se trouvant 4 Saiàt-Vaast- les-HelIo, dan's la soirée du 84 janvier dernier, le nommé de J teger (Fiorimond) âgé de 18 ans, a porté an coup de couteau au sieur Loore, qui se trouvait sur Je Muil de ta porte attendent son ntvsu. De Jaeger prétend qu'il n’a f.ap.é que pour se défendre, maii l’examen de son carier judiciaire le représente comme un indi- vidu tris violent, ayant déjà 4 son aet’f plu­sieurs condamnations pour coups portés dans

'de semblables conditiens.J; s’entend octroyer deux mois d’emprisonne­

ment et 50 francs d’amende.— Quignon (Aoguite), âgé de 86 ans. débar­

deur 4-Moot>talre. a formé opporilion 4 Un ju­gement dn 13 juillet 1903, le condamnant 4 ôiinse jems d’emprisonnement pour coups.

Le iribanal réduit 1a peine 4 quarute-huit heares.

BfKiis. — Pour violences réciproques, Its ' nommées Monriiiet(Horttnst), âgée de 41 ans,

£«eia Compiâgue, et Heroé (Blende), 61 ans, %mme Pirsonne, dtmenrsnt 4 B h î^ sont

1 endamnées. chacun* 4 16 fr«ncs d amenda „ unie bénéfiés dé la loi de torsb.

s'atnt-Uonard. - L* 16 février. le garde ahat wêtre Dacbsnx a surpris le Bonunde vam y de 85 ans, ezamimat dit

Saint-Mttximin. -* L* 9 janvier, le rieur Miii,iffitf dèéUsrlMeiiâhtmiadnfjrda Mord, a surpris le nommé Miéq (NipoMon), âgé de >6 ans, qoi, aysit esiSMé la haie pour pésè- irar dans l'MSriuttdn^tnrin de fer. lurettii Yaus letains. Pmriiilvi pour sh4s<e et emtra- Vihticn-4 la poUce des eh>minads far ta nom-

:mé Pieq est condamné 4 60 franc» d’amende.SmUe- — Théodore Gries). âgé de 60 snsî

sam domicile, trouvé eia état divresse sa: les prémenad», a ouir'gé vt meuaeé le gendarme Dapsish, qui l’smmaiiait au vloloi.. Il est condimoé 4 sis jours d'smprisojne-

msnt et 6 francs d’amende.

FAITS L O C A U X«PREMONT

Don aux Ecoles. — L’école des filles d’Apremont vient de recevoir de M. Gail­lard, le dévoué député da la S* circons- ifription de Senlis, 100 tableaux d’Histeire de France et 8 tableaux d'Histoire natu­relle.

On voit que M, Gaillard, bien que ne faisant pins partie da la Délégation canto­nale, ne cessa pas pour cela de s’intéresser â ce qui toache i’enseigoemeut.

BETHISY-SAINT-MâRTlNService anniversaire. — Une messe

anniversaire sera célébrée aujourd'hui jeudi, à dix heures, en i’ég ise de Bèihiiy- Saint-Martin, pour ie repos de i'âme-de M. Monty-Barbier, ancien adjoint au maire de Béthisy-Saint-Màrtin, décédé ie 8 i mars 1903.

BETHISr-SAINT-PIERREMaruce. — Nous apprenons le prochain

mariage de M“* Claire Lavoisiér, fille de M. Lavoisier, entrepreneur de meuuiserie, et de Madame, née Hazard, avec M. Geste, instituteur à Paris.

Nous adressons aux fiancés et â leurs familles nos sincères félicitations.

La bénédiction nuptiale sera donnée aux

i'eunes époux enTégiise do Béihisy-Saint- rierre, le iw d i 5 avril.

BETZRECEmBDRAiisiB. — M.FraBçoisFonv-

leau, adjuaânt an 4' régiment d'infantène coloniale, est nommé receveur bnnùiste da 1” classe, â Betz.

BRASSEUSE 'Le Chehin DE Fer. — Nous recevons

la lettre suivante :Monsieur le Directeur

du Coumsr de i’Oiie, Fermettex-nous, Monsieur le Direetsur, d’em­

prunter les colonnes de votreestimaoie journal, pour poser la question suivante 4 M. Berdin, conseiller général :

Est-il vrai que M. Berdin se ecit opposé for- mellemeat 4 'ce que la nouvelle lig -e de chemin de fer proje ée, d’Aulnay'-les Bondy 4 Rive- court, desserve les commîmes de Bru'euse, Till<neuve-sar-Terberie, Ruberval et Bhuis, privant ainsi ces looa ités du seul moyen de cemmnniettion qu’iileor étut peimii d’esjérer.

Meus nous refusons c pendant a croire qce nctre représentant ait ainsi sacrifié de gaieté de coeur les Inté: éts généraux de son cant-m a i profil d’miététs particuliers.

Nous serions heureux d’obtenir quelques éçoisircistements 4 ce snjeL

Un groupe d’Elteteuri.CHAMANT

Avis. — M“’ veuve Pécheux prévient sa clientèle qu’elle continue toujours le commerce de boulangerie que son fils tenait à Chaînant.

CHAMBLYToxBOLA. — La Fanfare de Chambly

organise une tombola en vue de l’acquisi­tion d’instruments.

Le tirage est fixé au 86 juin prochain.CHANTILLY

Le Conseil et les Sœurs. — Dans sa séance du 13 février, le Ckmseil municipal de Chantilly a adopté à l’unanimité la ré­solution suivante :

< Considérant qu’il s’est toujours préoc­cupé d’assurer, dans les meilleures cocdi- tions, le fonctionnement des Ecoles pu­bliques et a constamment témoigné aux instituteurs et institutrices de ces Ecoles son intérêt et son entière bonne volonté ;

c Que, d’autre part, appelé â donner son avis, aux termes de la loi dn 1” juillet 1901, sur les demandes d’autorisation pré­sentées par les Religieuses de Saiot-Jaseph- de-Gluny et les Filles de là Charité de Saint-Vmceat-de-Paul, pour les établisse­ments qn’elles ont â Chantilly, le Conseil municiiial s’est prononcé, â l’unanimité, dans un sens favorable â ces demandes ;

c Qu’en effet, les services rendus â Chantilly depuis si longtemps, tant aux pauvres qu’aux enfants, par ces étab'isse- mants, leur ont acquit la reconnaissance d’un grand nombre de familles qui les verraient disparaître avec regret;

< Contidérant que, pour prendre dans les Ecoles publiques les enfants recevant actuellement l’instruction dans les établis­sements libres dont il s’agit, il sera indis­pensable soit d’acquérir des immeubles et de les aménager, soit d’acheter des terrains et de construire sur ces terrains, — en tout cas de faire des dépenses considé- rablès, nécessitait un emprunt, et par suite, l’imposition de centimes addition­nels ; — que cette imposition supplémen­taire sera gravement ressentie par les habitants, troublés dans nue situation dont ils soitiiaileat le maintien, et surtaxés dans leurs Contributions sans que l’utilité de cet accroissement de charges leur apparaisse comme justifiée ;

f Qq«, dans ces conditions, le Conseil municipal de Chantilly tient â dégager absolnment sa responsabilité à ce point de vue, 4 bien marquer que les charges sup­plémentaires qui seront la conséquence de la fermeture des établissements scolaire* libres ne sont pas de ton fàit et qu’il a tenté tout ce qui était en son pouvoir pour les éviter ;

c Est d’avis :< (Qu’avant de voter les crédits indiqués

dans ia communication de M. le Sons- Fréfet et les impositions qui en seront la conséquence inévitable, il y a lien d’apps- 1er de nonvean l’attention de l’Administra­tion supérieure sur la gravité, notamment a u point de vue des finances communales, de la sitaation scolaire ci-dessus exposée ;

* Emet en outre le vœu que, subsidiai- rement et en tout cas, la elaite enfantine dei’hospice Condé, qui pourrait être con­sidérée comme une annexe de la crèche qui y existe, soit, dans l’intérêt de ia popu­lation ouvrière, autorisée dans les condi­tions où elle fonctionne actueUement. >

Une Fine Cravaise — Le jockey Rolfe, qui viimt de mourir, était une «-fine cra­vache. >

Nombreux, très nombreux, furent les chevaux sluxqueU il fit passer les premiers lerwening post avéenne seimee de la tac-' tique et n ie énergie remarqmffitis. Rolfa ne gagne eedm ^nt qn’nne renie fris le flfw T-Prii Où T àrii, n t i i «Mit TM rin

^ re s té e célébré dans les annales du- - - Vpmqne : c’était en 4889. avec V eS ? de M. H. Dslxmarre, qui hattit nettSS ^ ses concurrent», â la cote fabnl»,^? i®»/l, rapportast au nart mutuel 1* de 830 francs par unité de 40 francs ^

Rolfe et le propriétrirede raebia, ■, Datanarfe, furent les premiers étenuri aI cet exploit, SI peu escompté que, jaset-ÏÏ ^ rn ie r moment, leM part duchevSaS éW douteux. Malgré la déception d s s ^ neurs. qui ava’ent mité sur les favoris u jo ksy connut ce jour-U nne des haiiï évadons de sa carrière. ^

Aujoard hui que flaurissent le < doDin». le « chapmg » et autres truquages oins ™ moins réguliers, de tels résultats no biS! voquent plus le même étonnement

Les obsèques de M. E Rolfe ont’été ci. lébrées samedi, â Chantilly, au n ü ^ d one très nombreuse assistaiice dansi» quelle on remarquait : le vicomte de TrA dern, M. J. de Brémond, crinte 6. Le gL mdec, comte Sampieri, MM. R. HalbrouT Wyfocki, Fonchard, etc. M. L. 0 1 ry ,S péché, s était fait excuser, n nens est ta possible d’éaumérer les nombreuses m rennes envoyés* par les clubs et société dont Rolfe faisait partie, par les entrai nouK et les jockeys. Nous citerons csllei J* ^ Saint Alary, vico^de Trédwn et comte G. Le Gonidec.

a nocturne. - Dans la nuit da 80 au 81 courant, la gendarmerie de Chan­tilly a dressé procèi-vorbal pour bruit et tapage nocturne contra le nommé Noi (Georges). *

M o n o rra p b ie -G n id e d e ChaatUiy,Nos lecteurs trouveront dans nos bn!

tilly, texte de M. Gustave Maçon, conser- vateM-adjomtduMusée Condé, avec quatn iliustrations ot uoo csurto.

(tet opuscule contient, outre rhistoriqui du Château et de la Ville de Chantilly, itméraire du visiteur au Musée Condé.

On le recevra franco par la posté en mvoyant soixante-quinze centimes en tim- Sîf*■•*?*]*< * U4DCHI8, 14, place ds l’Hotei-de-ViUe, Senlis.

CHEVREVILLE^ SuicmE. — Le 80 courant, vers huit heures au matin, M. Pierre Jovenet, jardi­nier, en se rendant au jardin où il est oc­cupé, et contigu 4 ia mare communale remarqua une femme qui se dissimulait comme si elle avait dessein de faire un mauvais coup. Il entra an café Vaillant y resta quelques minutes, et 4 sa sortie il aperçut dans la mare le coips fiottant de la femme. Aidé du cafetier, il s'empresu de le retirer de l’eau profonde seulement de 1- 30. Mais il était déj4 trop tard, elle avait cessé de vivre. C’était une nnmmf, HortenseBeerens, femme Goerts, d’origine belge, âgée de 44 ans, ménagère 4 Chevre- vUle. Eue s’adonnait 4 ia boisson, et, dans la mare on trouva la bouteille qu’elle por­tait habituellement sur elle et vidait trop fréquemment; elle avait déjà m»niW( riuieutien de se détruire, aussi ce suicide n’a-t-ii surpris personne.

CIRES-LES-MELLOConcert. — Samedi 86 mars 1904, la

Fanfare de l’usine Dillies, de Mello, don- nora un concert dans la salle de M. Gal- leux-Deiavoipiére, a Cires-ies-Mello.

G R _ E I L .

réunion . — Dans sa réunion du mardi15 mars, ie Cercle du canton de Creil a constitué sa commission da la façon sui­vante : MM. Aubert, Barthélémy, Bobœul, CéziUy, Doisy, Durand (Louis), Francbe- mont, decieur Jacquot, Le Moing et Vivien.

'Le bureau est composé ainsi: Président, M. Le Moing ; trésorier, M. Louis Durand; secrétaire, M. Doisy; bibliothécaire, M. Bobauf.

Suites de Blessures. — Paul Siourd, ce déménageur qui s'etait fait d'assez gravis blessures en tombant de sa voiture, la 10 mars au soir, ainsi que nous l’avens raconté dans notre numéro de dimanche dernier,est mort dessuitesdecesblessures.

Suicide. — Profitant d’une absence de son fiis, chez qui il habitait depuis pen, M. Gaiiier père, âgé de 68 ans, s’est tiré, mercredi soir, trois coups de revolver, dént un dans ia région du cœur. Il est mort jeudi matin.

M. Gaiiier souffrait depni* un certain temps déjà d’un cancer â lustomae.

Plaintes. — La dame Crépy ayant gilé, le 15 mars, le jeune Carpenoer, M. CU' pentier père a porté plainte contre elle.

— Prétendant, 4 tort ou â raison, qu la demoiselle Becqnerella poursuivait trop son fils de ses assiduités, M. Bled lan^ M16 courant, vers midi, â sa bru moigani*. tique une pierre qui Ini écorcha la joss, et lui porta ensuite un coup d’une fourdii en bois.

La demoiselle Beeqnerelle à porté plainte contre son vertueux beau-pére.

CoNTRAVENnoN. — Uoe contravention pour iviesse et coups a été relevée le 16 at soir centre un sieur Morel qui, rencontrant M. Michel, avenue de ia Gare, lui las(> sans provecàtioB aucune un coup ds poiog et un coup de téie ; l’ivrogne ne cessa h* brntalités que grâce â l’intervention ofr diatiice de son ami Quignon.

— Procès-verbal pour tapage Eocturri a été relevé contre trois o' ivriers eœployh an renfiouement du Mangella, (3)uronbli (Charlemagne), Laboriot (Alfred) et fiatf (Iules), iundi soir, vers dix heures si demie;. De plus, nue enquête est ouyorlo contre eux au sujet de coups qu’ib sarai*>> portés dans la matinée du même jour 4 on charretier de bateau.

— Le charretier Billot (Clodomir), Malassise, dépendsmce de C reil, s'sst ndresser contravention pour avoir, r dernier, répandu du famier sur la tou publique.

Violences. — La dame Lemaire poursuivie pour avoir exercé des légères sur la personne de la dame ToatuO dans ia matinée de lnndi.

Ivresse — Contravention pour iTTri* a été relevée samedi dernier contisu charmante Jeanne Lavoisier, femint ^ seaux ; cette professionnelle de l iT iéP ^ ayant cru ben d'insulter les ageM également poursuivie pour ce laiL

éRRESTAnoNs. — Les nommés (lean-François), Mar«nx(ThéophileX‘2 Î seur (Joseph) et Bault (Anicet), •«**: anétés, le 17 mars, ponreentnintiP'' corps et conduits â Senlis.

— Les sieurs Tisserand (Louis), (Isidore), Balbert (^nèrrej et W J Î (Louis), ont été trié té t landi WAMMM MT « u w 6t t m M » i ^

^ a i É P Y r i

jJ^filÉRANS.'^Sa« Section di

et do mvù

S w ilo e du Mâ I g ; Meus éonrj «^ÎM iott-jourB*

a je ^ d o ^ u » !

une grafi S S oérâ liou le<

,^ B l * e n v « ^ date da -1

NOS Archers. . 4, notre ville doivù "rttfJteonuedeti ^ d u tir annuel (

AfiODEHK- gg loir. â 1 usine U iV du bambou. Mm 19 tt*, bimboutierl 1 lahetite fraise, a l u inain droite.

gains da D'PorU ggpos de quatre J. . Le84mars, 4 |

giai las ateliérs dej «prensnr, avenusj i i r ^ e ) . mennisiel^ s Y r ô l é u u Obi h l ’est fait une p li fengeenr d’environ? dHiale de la main |

grins du IK CailNi Ripes approxima’

Mtat civil d u |lïtiMiieM. — 10 i

i1oire»-LéOD,reeG1fugi, rèe Ssiot-Lizéi ■lynanda ; Idalot Mi i Iraillvnt. — 31 : 1 niSiint-Ltzsr*. pM«.— U m irs :

gii, 36 ans, av<nn* i- liiMlle LueiêDU*. 111 11; Cowat Alfrtd I f ult. — 88 : Laroehq lAiigsR.fM itationt de -

iiitiiLooUn Farnta. g Kilt Bochit J «annanmuerret de droit 4 1 Miriagit. — 19 : O

met d’usina, at Mlle I [ostia*, sans prcf<f*'*

ERMEIAuddicahon de 1

lieation pour travao las longueur de 8.0( ée du chemin vicinsj imonvUle â Nanti H chemins de i"13(et1éO, auraJ isas-Préfecture deJ Maie des travaux :

FEICPâcHE. ^ Diman

sut, aura lieu la pé iirl. Avis aux amati

GOUlAcqdent. — Le 16

«oies du so ir, wmé Georgre Ma tait monté sur unei] lits d’un fa ia mon ’ouhantenr de 1* irts.

LA CHAPELLIAtliCHEZ LE GREL t u corps doué d'i ibut pré abuser. ' Korne et GraogerJ mis, qui, en parti nges et ne posa' rite ies objet*

ATELIERS BU|Soeiéti anonp

Isa eqiitat da d.soo.lj

ouan DU joni da (tensiil i

dn Con

tfptiatiea dts comp s’il'y a Beu; !

udmi d’un divf '

le»C ^ - iu a . eoi ■^*>s Stat i ï ¥ dahrent F Â mains ai üreoso iial R fré K ié lii l**ï«rine»,

b’Adminie

®®*e*chèri du n’n n

BOPl

LE CDUBBl]Qt 4)S S«0!SB

CRÉPY-EN-VALOIS,K virfBAiis. — Nom «pprenoDi^e

I Sî-SectioB de» Vétérans dos A n i te liM rsetdê m»r ortaais^ . potit > d y I*:.bsl6 join. <wa *■ l o c e a ^ de l^ a iiie dd Méaument i la VlHe da

donneront sons pan las dé-

tara

ù Comité a décidé la création d*nna 'adetoconct ponr le» TeaTOS et le»

■'Salin» de» tétéraM et tociétaira». l l^ s r r iT o r à ce but, la lî6î* Section liaUBnne grande tombola dont la ti-

lien le 46 août, « i la salle du

|^H lfeSl*dont le prix est de 0 fr. 50 I % re mis en vente incessamment.I , U date de la réunion d’avril

"nfe prochslnement.

■ «08 AïCHsas. — Les deux Compagnie» liiSre tille doivent se réunir prochaine- l ü t cfcasnne de leur coié, peur fixer la l^ d a tir auBuel de l'oiseau.

] iccmBUS. Le 48 mir». à deux heures IkiDlr, 4 l’usineJdaxime Clair, dan» l’ate- K-da bambou, M. Racine (Loai»), âgé de loii! btmboalier. en sciant un bambou liepstite fraise, a été iégèremeat coupé à Im ii droite.Tsjia» dn D'Portemer.I jiÿos de quatre à cinq jours.

I ^ La Si mars, à neuf heures du matin, linlas ateliers de M. Lauué (Emile), ea- ISensnr, avenue de Paris, M. Liérois Ü e ) . menuisier, en transportant une I r t a Ifdié un objet qu’il ne vo;ait pas ir i’ist fait ane plate profonde et d’une iMtnr d’environ 6 ceotimétras b la bce IStle de la main gauche.T Sein du IP Cailieox.

Btpe» approximatif de huit jours.

tigt civil du 47 eu iS marc.J inisiMo. — 40 '• Hayon Girard-Mwcal- liUgli-i^os, rue 6 4ané. — SO : Larocbi Su- I w. ru SaiDt-L>z«r«. — SO : Ilelot Aadréi-

Mslot Vaune».Arihar liamuns), l 'j i^ a t. — 31 : Xoinat Maicsl-Geimiin, Igiiiisl-Uxtre.I Ibb .-18 mirs : Fatérsaux Emile-Maxi* litSSins, at^nn» de Seuils. — Si : Lénine litHie Uo'*DB*. I l mois, rna Faiiherb*. —II Cotfit Aîfrtd I idcr-, 4t ans, rue Nalio- u i. - Ü : Laroche Albert, S8 ans, place piïi|ta-I fiUieottoiu de Mariages. — SI : Eitre lliitiilxeidi Farnaad.mcrqoeteuri Fiignicx, liltiBothil Jianne-Loni.r, sans prcfmion, IteNtut de droit i Crépy tt de f.it k Dnty.I pries». —19 : Caron Cuton-Iegése, on- Itiei’ums, (t Hlie Honasae Maria-daüe Au- Ipiu, lus professh», toM deux à Crépy.

ERMENONVILLEJ ünniiCAiiOK n i Tbavadi. — Due adju- 1^00 pour travaux de construetiou, sur Imbaïaear de 3,000 mètres, de la chaus» iHdicbemin vicinal ordinaire n° 4, d'Er- ■■Htille à Nanteuilpar Montagny, entre htliemias de grande communication rl3l et teo, aura lieu la 39 courant à la ü-Fréleciure de Senlis. Evaluation édes travaux : 47,000 francs.

FEIQNEUXJ PiCEi. — Dimanche prochain, 37 cou- Ini, lira lieu la pèche de l’étang de Uer- |g{it.Am ans amateurs.

GOUVIEUXJ iccuBti. — Le 46 courant, vers quatre Ikei dn soir, un ouvrier plombier, Imni Georges Marceau, âgé de 48 ans, liiitnomé sur une échelle, lorsque par liti d'nn faux mouvement il est tombé llhibaitenr de 4“ 50 se faisant une en- llH.

U CH&PELLE-EN-SERVALI OucHiz u G m or. r - La gendarmerie v u corps doué d’une courtoisie dont il llut pai abuser. Témoins lés nommés wnie et Graoger, tréfilenrs i Saint­es, qui, en partie de plaisir dans nos iqei et ne possédant pas & leur bicy- ‘’r les objets réglementaires, furent

am iataM nt twféhendés par teux gen­darmes. Oimner les noms de Robert «( Thomas leur vînt i l’idée oit, en partant, il* se vantérunt d’avoir monté ta eotip é BosftBdiDraMSi ainsi qu’i a«Bbro do coHénos. Mal en prit A nos détinquanls. carv' t ^ dignalement ayant été donné. Us ont été arrêtés A yiUisrs-le-Soc, et Us an- ront à répondra dé plnsi nos oontraven-

Mémo sort est arrivé i t u nommé Oli­vier, de Harly-la-YUle, qui prétendait avoir dans u podie le grelot réglMneatain lorsqu’il n’en avait pas. Aussi sa fausse déclaration lui a-t^Ue valu procés-vorbaL

MONTMGNY-SAINTE-FELICtTÊADJimxCAiiOH. — Le mardi 39 courant,

aura lieu, è la Sous-Préfeeturo de Senlis, une adjndieation pour les travaux de ieens- truction, sur nue louguenr de 3.020 mètres, entre le chemin de grands eommuniçation u° 4 00 et la limite du territoire de Nauteuil, du chemin vicinal ordinaire n* 3, dit cher miu de Montagny à NanteuU. Ces travaux sont évalués à 80.000 francs.

MONTATAIREIVBissE. — Coutravention pour ivresse

a été dtessée contre' un sieur Chagnier (Henri), lundi dernier, ver* midi, rue Mertian. _ _ _

Etat civil du 10 au 47 mars 4904. Ifaistanees. — 14 : Ctupiu, d!t Dahtup n,

Solaoge-Fernanle. —16 : De Vos Beuëe-l.n- B:lle. — 17 ; Dreaière Crisiiane Espinnce- Brésilia.

Dieii. — 13 : Se Pryck AqgMie, 61 ans. — 15 : Htn'cq Ollle, 63 ans, éponse Oumoalin.

fuNieations de vaariagte.—13 : M. H étanok Ostave-AugustiD, saanoavrier et demeiscll* De- wi'‘pela«ie Eméreace. laas proféssion, domi- cliis tons d»nx t Moniatairc.

13 : H. JoUien Ficrre-Adolphe, ajusteur, et dams Boi-:ha Catharina-CléopMe. sans ptofss- sioo, demanrinttous deux à Montataira.

13 : M. K' ff r Hicii>s. ebaud'oenisr, ds- menram i Ncgii.t ei-T e'gu. et demai ele Sodr* Sus nue, taas proieasiun, damaurantl Momataire.

13 : M. Bémy 'élix, tivraur, deasnrant i Mini»»-ia J3i'* (S iic-et-Oiie). et dearoiselle Volts Hana-F<'*''fo>se. sans profission; demeu­rant 1 Mittlan (Se na-el Oisej.

Mariogee. — 13 : M. Bouset Georgas, mi­ca'iatan, dsmsnrmt a Montlcpen (Ailler), et dimcAopert Marie, saus pccfssdou, dcmeu- .rant i Meitatiir*.

NEUILLY-EN-THELLESuicides. — Ou prétendait dernière­

ment que le vent était aux mariage». Il paraîtra pent-étrq trop ptssimisie et trop sombra de dira qu’il est tourné au suicide, cependant, on pourrait le croire. Dimauehe dernier, on trouvait asphyxié un jeuno homme de. 38 ans. Vendredi, c’était un vieillard de 66 ans. Auguste Leclerc, qie l’on trouvait mort de la même façon dans son domicile, rue de Bimont. Le malheu­reux avait, A plusieurs reprises, manifesté son intention d'en finir arec la vie. On ne peut attribuer cette funiste détermination qu’A la gène et à des chagrins intimes.

ObsAques. — Lundi dernier ont eu lieu, a Neailly-en-Thelle, les obsèques de M " veuve Isoré, née Adelphine-Marie- Louise Palate de Missi, décédée eu son domicile, à Paris, A l’âge de 64 ans. La So­ciété musicale les Amateurs Béant* y assis­tait et s’est fait entendre dans le cort^e et A l’église.

PONT-SAINTE-MAXENCE Nos AnèHEHS. — La 4» Compagnie

d’arc a tiré l'oùeau dimanche dernier, de la fsçea dite au berceau. Le roi est l’archer Foupart, tireur èmérïte, qui a abattu l’oi­seau à la 8* flèche.

La 3* Compagnie tirera le sien dimanche prochain, à la perche.

Un (rnavAL au cafA. — Le 49 mars, vers trois heures du soir, un cheval con­duit par M. Lemaire (Emile), 3 i ans, bou­cher, est entré un peu brusquement chez M. BriearJ (Fernand), cafetier, et cela par­la devanture, au grand dam des vitres.

M. Lemaire s’est offert spontanément A payer le» dégâts.

S c te s n M -M É a M ;'^ Une damo G.- (Pautino), âgée de 46 anr,-i pérfS plainte centra son w r i ponr coiipv et bieïsnres. La plainte aenif, paratt-il, fondée, mai» le mari s«aN tixeusable iusqn’A un certain point si tant o sf qn'aB le puisse étra en

! p an a eu .

Iv iiisn . — Goutravention pour ivresse a été drossée, la 46 mars, contra le sieur Namur (Félix), 86 ans, mànoavrimr.

MINT-LEU^’ESSERENTSiuFiDinf. — Un mur en construction

appartenant A M» veuve Debrauer a été démoli en partie par. un stupide individa resté incennu.

Le dommage causé est évalué A environ 30flUBCS.

SXINT-VAAST-LES-MELLOCavalcade. — Le charmant petit village

de Séiut-Vaut était en féie dimanche der­nier. Une cavalcadeparfaitemeutorginiséa a-parcouru Us rues, obtenant un plein suc­cès. Sur la place eut lieu le couronnement d’uue rosière... âgée d’environ 50 Ans, escortée d’un certain nombre de jeunes gens d u deux sexe», les hommes costumés en pUrrots. L’inévitable cbar du charlatan était très entouré. La joyeuse compagnie: a fait le tour du pays, foisant de fréquentes haltes, pendant lesqnellu garçons et flilu se livraient â U danso.

Un grand nombre do personnu étaient venues prendre part A la petite fête, qui s’est terminée p u un bal do nuit.

ULLY-SAINT-aEORGESLe TAlAfhoni. — L’Administration des

Télégraphe» va faire procéder A l’établis­sement de 13 lig ie électrique dssfiUée au circuit tèléphjuiqie 'eutre Utlÿ-Saint^ Georges et Nauilly-ea-Thelie.

Un tracé de cetto ligue indiquant les pro­priétés privées od il doit être placé des snpaerU, restera pendant trois jours, A partir du 3 4 'mars 4904, aux'mairies d’Ully-Saini-Geo'ges et Neuilly-en-Thelle, oA les intéressés pourront én prendre con- naissar ce e t présenter leurs obiervations ou rédamatiens.

VERHRIESrancE dis P ostes. — En dehors dn

bureau de postes, il existe A Verharie deux boites à lettre».

L’uae, placée an coin do la rite Saint- Pierre, en face 1 Bétel du Télégraphe, est t levée » régulièrement trois fois par jour par le b c te u de service.

P u contre, l’autre, située A l’iutorsee- tion des rues Saint-Pierre, de Saintines et de Compiégne, c’est-A-dire dans tm centre très populeux, n’est levée que deux fei», A neuf heures du matin et A nne heure de l’après-midi.

La plupart des correspondances se fai­sant le soir, il en résulte que chaque hahi- tant de ce quutier est oblligé d’aller porter ses lettres au bureau de postes assez éloi­gné. N’y aurait-il pas moyen de faire ponr cette botte comme peur l’autre, une uoi- siéme le rée, le soir A sept heure» T

Bon nombre de personnes qui vont jeter leurs lettres dans cette boite, vers deux heures de l’après-midi, ne so rendent pas compte que la levée vient d’étre faite et que leurs correspondances ne seront expé­diées que le leademain, avec un retard qui peut étra très préjudiciable aux intérassis.

Uiie levée supplémentaire donnerait sa­tisfaction aux nombreux habitants de ce quartier.

CHExra DE Feu du Noed.T p sd n s p é c i a l p o n r R o m e .A l’occasion des Fêtes de la Semaine

Sainte A Rome, la Compagnie du Chemin de fer du Nord mettra en distiibution dans toutes ses gares, pendant la période du 48 au 36 mars induaivement, desbilleu d’aller et retour do 3* et 3* classe pour un train tvieial sur Rome, organisé par la Compa­gnie P.-L.-M.

Les prix de ces billets présentent, pour le parcours sur le réseau du Nord, une ré­duction de 50 Va sur les prix de 3 billets simples, du point de départ A Paris-Nord.

Ponr lo parcours de Paris (P.-L.-M.) A - Roftoles prix sont flixés A :

AOS f'. paur la 3* classa ;67 fr. pour la 3* classe.

Départ de Paris (P.-L.-H.) le 38 mai» A 3 h. 40 soir.

Retour de Rome A volonté pendant la duîÂi de validité des billets.

CHRONIQUf AGRICOLEL e g u i. '

Le gui est une plante parasite qui cause de grands.nvngcs apx arbres et principa­lement Ata «ibnsfiùitiersÿcii fi s’attaque au ptHuU«r etin^poirier.' '

Ou s^na l^ cèttb Annéû, t’aocredssement considérable-dé nouveligAi tOBffes .de gui dam p]asieors.:parties de notre départe^ msnt.%e4Ait«st .MUS itoate le réinMt^. de l’extrém» humidité quénOu» subissons de­puis deux ans. Etant données les pertes très importantes que lo gui fait subir A. certains agriculteurs, il nous a paru néces­saire d'attirer l’attention de ces derniers, ainsi que celle des préfets et^des -niaires, sur la nécesiité de pourvoir immédiate­ment, et avec la plus grande rigueur, A la destruction de cette plante parasitaire.

Le gui possède des raéiDes qui perçoit fécorcedes arbres sur lesquels il s’im­plante. Il peut alors se nourrir aux dépens des tissus de son support, en nuisant natu­rellement beaucoup A la vitalité, ait dévo- Iqipement et surtout A la fructification de ce dercier, s’il n’arrive pas â lé tuer com­plètement. Les bourrelets qui se forment, eu effet, aux points ou les racines du para­site pènèlient dan» l’écoçce, font uMtre des nodoitités èntriprent m tcirpidation de la sève de l’arbre.

C’est une erreur de croire que les feuilles, les tiges et les fruits du gui renferment un poison violeutreadant ce végétal très dan- geureux ponr les bâtes qui l’absorbent. Or,rien n’AstpIu» faux. Nous oDg^geoss mémo les agriculteurs qui n’urriveraioit pas A écouler Àvantagrasemont comme planted’orsemest leur récolte de gui, A la (aire eoasommer par le bétail. Le gui est, en effet, un excellent fourrage, presque aussi riche en szoto è l’état frais qu’A l'état sec.

Natnrelumeüt il ne frudrait pas faire de cette plante la nourriture exclusive des uiimaux de la ferme et des vaches en par­ticulier (ce qui dhiUeors est presque im­possible dans la pratique, la récolte dOt gui n’étant généralemént pas;àssez abondante ponr cela), car, si ée fourrage àujgmsnte la sécrétion et la qualité dti lait, on a remar­qué qu’il entraide, un cectain:6nuigrisse- nient des vaches qui en mangent de trop grandes quantités. C’est d’ailleuri aux moutons qu’il parait surtout avantageux de donner du gui.

Plantes sarcléeset Acide phosphorique.

U ne saurait y avoir de. bannes cultures sans l’introduction des plantes sarclées dans l’assolement; elles permettent, en effet, d’ameublir et de nettoyer les terres. Elles coustitaent, enfin, le meilleur moyen d’incorporer au soMe f a m ie F produit par la ferme. Ce dernier coutient, en effet, de nombreuses graiues de mauvaises plantes, qui, ayant traversé le tube diges­tif des animaux sans s’altérer, — tout au contrai» ,— germent ensuite et infestent les cultures : s’il est lAcile de s’en débar­rasser dans une culture sarclée, cela est presque impossible dans une céréale.

Nous devons donc, antant que possible,' réservw tout notre fuitiier A la sole sar­clée, ne craignant pas de l’employer en forte quantité : 30.000 kilos A i’hectare, en tme seule fois, seront plus utiles que trois apports de 40.000 kilos.

Mais il ne faut pas nous figurer que, même employé A forte dote, — dont une partie seulement utUisée la première an­née, — le fumier snflSra pour ebtenir d’importuitei récoltes‘de jpommes de terre, de betteraves, carottes ou rutabagas. Ce qui caractérise, en effet, le fumier, c’est sa

Ïianmeté en a c id e p h o s p h o r i q u e :I ^ p s t qip le reflet du sol, Idi-pgdoe

^^alvre en Cet élément. ™ih est absblniimi indispensable d’ad­

joindre A la fimure organique nu» fa - ' m itp e p itoapfaïiM e/m aC fournissadi èn «51 le nctanri^'principal- des réèdteé-; pei mittra d’obtenir des rendements inten­sifs, les seuls qui, dans les conditions éc*- nemiques actuelles, raient rémunérateurs.

En présence des cours actuels des en­grais phosphatés et de leôr efficacité rela­tive bien connue A la, suite de multiples expétiences et d’une longue pratique, aucune bé!itation ne saurait ex'ster : c’est aux S c o r i e s T h o m a s < R lo U e > qu’il faut avoir recours dans tons les cas, quelle que soit la énlture, quel que soit le Mirraia.

L’ntilisatien des S c o r i e s T h o m a s f l ^ i l c > en comitiénient du fumier, A la dose de 600 A 6(W ki|og. A l’hectare, permettra néti. seulement d’augmenter eousidérablement les produit» eu tuber­cules et racines, mais encore leur valetu nutritive ou industrielle. Les pommes de terre renferment plus de f é c u l e , lesbetteraves plus de s u c r e ; il y aura tou­jours une richesse plus grande en p r i i i - c i p e s a iim e n ta ii» e s . La récolie sevendra donc plus cher A la féculerie, A la sucrerie ou a la distillerie ; les animaux profiteront mieux et pourront être élevés en plus grand nombre.

Los S c o r i e s T h o m a s * E to i l e > sont A etfuuir soit par un labour prépa­ratoire, soit par le labour de plantation ou de semis. Leur emploi entraiaera tou­jours l’augmentation des bénéfices, et, par suite, constituera une excellente opéra­tion cnlturale.

'V é r if io n s s é r i e u s e m e n tl i o s f e u i l l e s d l m p é t s .

On peut faire réduire soi-mème ses im­pôts dans les trois mois de la publication du rôle.

Aux contribuables qui viennent de rece­voir leurs feuilles d’impôts, et qui cons­tatent avec peine que leiu de diminuer il»lugmenteut toujours, nous dirons :

Consultez le guide pratique et jni du contribuable, que vient de puH. Mercier, avoué honoraire, professeur de législation rurale â l’Institut agricole de Beauvais, sur la révision des impôts en ce qui concerne :

4<> La propriété bâtie et le» portes et fe­nêtres ;

3° La cote personnelle et mobilière ;3* Les prestations et la transférant on

en taxe vicinale; Les subventions indus­trielles ;

4* Les prestations et les taxes d » auto­mobiles et des bicyclettes, etc...

Cet ouvrage deplns de 800 pages eenttent tm s les renseignements nécessaires, les évaluations de propriété, les exemptions, lis réductions A obtenir, 16 résumé de la

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OIDU DO lODB ; di Cons'il d’tdmlnistra-

LjéP'in dn Comai&saire dis pie;yMuioadts comptas da l’axar-1^8 l'il y a lien; leiUniion d’nn dividsude.

las Aetioannires saut ^ ^ qn», conformément 4 l’ar-

Siatnu, las aetieus au ^doiTint dira déposé** dix .“UBoin» avant la trais* avril, L?i. Mclil OU dans una das

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3* A M' BEAUCHAMFS, notaire 4 Fost-Saime-Mixenca ;

4’ A M- MBS8BIEI, avoué da pre­mière iustaaee i Paris, boulavara da SébastapoL 6t ;

6‘ A M. CHABBOL, euratanr aux sueoMsioBS vaCMies 4 Paris;

6* Et an Greffa d i Tribunal eivii da SeuUs, rù una expédition da l’acta de vanta qui doit servir da eahiar des chargM y est déposé.

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BOUCHERIEStant À le Vliio

qu’é la Campagne.

Sonna oecarion : nna Bauoheria, alinéa dtgs nna boan* cosamniM d* l’Olsa; aonviindralt 4 un débutant. — Bonnes eonditione.

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Emdo d* M’ SEUDMAT, notaire èS n lk .

A L O U E R

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4 l’asglo do 1a rue du LtoEet do larne Stlat-Clllos,

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379

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S’rdrassar 4 M. ÏBACA.'a Mom grésin, par Orry-la-VUk (Olto). 168

imdo d* M* FÉTIZON, notalro 4 Senlis.

A V endre p a r Adjudleatiônle Mardi 49 Avril'4904,

d deux heures,A Sinus, an l’Etude da M’ Fénzos,

notaire,par la ministère dudit M’ FénzoN, an présanoa d* H’Bunon, notaire

4 Cou'g vaux,UNI

BELLE PROPflIËTËeonnna sons k nom da

C h â te a u d e B e a n v a l , Sisa 4 SENLIS,

routa da Compiègna, n* 28, rua d* Boa-Stconrs at chemin du

PRerinage de Bon-Soeours.

Etude d* M'TBffiOOn, notaire 4 Acy-an-Mnltiou (Oise).

B e a n M a b i l le r , A v e n d reaux anebèru pnbllqnss, loDimanebe 17 Avtii » J4 ,4 tua bouie, ai f:urs solvants, 4 Bràcy-m-Multion, pro­priété dn Fond des Fnâls, canton d* Bats, arrondissosaent de Senlis (Olsak eompranant notammant :

3 salons, dont u i ohèna soa’t .. Louis IV roaonvait Anbnsson. Sail* à mangar on noyer plaqué avjaa. fall* do bllkrd btmbon avec bUlard et accessoires. Ctblnat Honri n on bok noir raconvert drap. Coffre-fart Fidiot. Hbllothèqua, livres, gra­vures. 10 chambras 4 ooutmar. Glaces. Rideaux, tanturas, lltari*. Vorroila, vitraux do panes ot finé- tras. Soir* vitré* avec appareil de chanffigo at tous acoastoiros, et manblasd* jardin. Phaéton, boggy, ebarrattos. HirMis. Appareil 4 acé­tylène, couduitas at SHpouslons.

S’adrasior ponr visiter sur los liinx, at 4 M’ TUrouin, notaire.

Etud* do M* P E I ^ notaln 4 SanUs.

A v e n d re par adjndieation vo­lontaire, H Inieoé , 4 Villovart- SaiHs, n* 1, rua dn Paat-da- Plarras, k Hardi 6 Avril lOOé, 4 dasx hanras, 4 Sanils, an l’étude da M'Petit, notafra.

mEmb é t iw i

A VENOBE par adjndieation vo- lontaira, la dimaneha 10 avril 1904, 4 nna heur* da rekvéa, 4 Bouvras- an-Multtah, an k Mairia, at par la ministère da M* Thironin. notiiro 4 Acy, AA h e e te re e 3 8 aaree d e T e r r e e t B o ie , litcé» ter­roirs de May en-MutUan, Bouvras, Botoy-an-Muitian, Maufshailcs, Va- rinfroy at BaoUarr*.

Oia pourra traiter d FamiaNe avant l'adjudication.

S’tdrassar pour tout reasa'gna- ménts 4 M. Alexandre, négoetant 4 La Farté-sens-Icnarro (silna-at- Hanta), at 4 M* Thirouia.

Etude do M- BxnE PETIT, notaire 4 Baron.

A v e n d ra par adjudication vo­lontaire, i» D.minoh* 37 Mars 1904, 4 doux henras piésists, 4 Baïoa, an l’étude at par li misûtèra de M- Rieé Petit, notaire, an* m aieon siméa à Baron, ma dn Fond.d* La­val, at ans p iè c e d e te r r e ' as natnra d* ja du, d'nna eoatasanea da » ares 99 cantiaris eiviron, sis* an méaa tl*n.

Etude d* M* QOXNUBB, notaire 4Cbamhly.

A v e n d re pat adjndieation, par la ministère d* M'Qoontiar, no­taire 4 Chambly, k Dimaneha 37 Mars U04,4 une hanre, an k mai- rl* d* Pnlaoux-la-Hwtitargff , S hcoteree 18 eimn 23 «mtleiroc da t e r r a , sitnéa tomtirs do Pui- saux - la - Hanbaigir, Kmllly-an- ThoDo ot DiondonnafOiao);

diDDES DEr SESAIIL notaire 4'CMl(0iN); ot do M* DAM0I8T, notain 4 Cuntgy

(Merd).- Creti, m

ministère doM’ lk -— ---------- _ présMMo do M* ik-■ « ÿ . UM*^ 4 Ombrel, lu Jondi R Mars 1M4, 4 doux houres éo re­levé*, d’une P ra p r lé fA . d’une fiaarenne at d’un* q jn n U ra A P le r re a d e tr iU e , k tottriné 1 VanouU-auMIiso.

.. A a ^ n d ic n tio a , a l’Etnd* at par k nainistère sabk notahwrcn priwwo

Etudo de ■* Pkppo BADOiknotafro 4 Vorbori* (ffiso).

T e r r e s d i B oid , tomfrs d» Vorbano at do Sains-Vaast-do-Long- mont, appartnant 4 M. ot M" Jocn- LocisditGnstavoDobrat, è r a n d i u par a d ju ^ tk n voknudn, k H- mancha 37 Mars 1904,4 doux honre» du soir, 4 Varbario, on ntud* otptfk ministère d* M 'M an ^ notofruT

i tÉ iu Etvdm

. 4 VatÈorio, RUd* Paris, n* 8, appartenant 4 M. ?i«raMahon, â 'V e a d ra n a ra ^ udicatton volontaire, k Oiaancho

du s<«4 Vatberlo, an l’Etnda ot par knfi- alstère do M* Mangin, notwo.

Etude dsM’BALËZEAOX, notaire 4 Chanuhy.

, * PW tdjudicam» vo-lenttir;. 4 Chantilly, on l’étudo do M- Balésetnx, notaire, at par k mi- nistera dndit M- Balézaaux. k Mar- ersdi 30 Mars 1994, 4 dix hanres du M tk , un* naarirak. tlss 4 Chw- tUly, qnai da la Canaritière, n* 88.

01 DEIAIOÉ i LOUERd a s S SeallSg

UN 4P P 4R T Ë M E N Tdi trois ou quatre mèeas

aupramerétigi.S’adrasiar an Bvmu du MnrnuL

n u B o n nm réch ad marié, très lénanx, danmaunde gldwm dans fsrma, fahciqua oaunir*.S’td.-. an Bureau du lennal. ê tt.-

^ ®m deMMiMle un flkm - diem , pour nUa propriété itao à A âam oni. Bablfatfon. avaë 'jB a F '

jurisprudeuee sur les impôU, enfin 1m h r- n ^ m préparégtriipur 1m réclamations 4 Mqb. Il contiUni«Blsi Im lois, réglanent»,

— ■•'■^inr la vitMse «t la cii- ^cJetiM et automebilM, et ) cas d’aecideuts. A ne êostribnable eoonait ses

«itlàiûr eulatiOB

jléàriipoM abi 'batte hroéhur^ droit*.

Prix franco : i fr. 60. Snvoyar mandai 4 l'auteur peur ie recevoir.

SAÏOS DV CONIiê ‘“tu .,.

LES HémorroïdesPeu de persennM ignorent qnelle triste

infirmité omstituent t e hémorroïdM, car c’est une des affections t e plus répanduM, mais comme on n’aime pas â parler de ce genre de souffrancM, mênfe a son méde­cin, on sait beaucoup moins qu’il existe, députe quelquM années, un médicament. l’E U z i r d e 1 (1x^111110, qui t e guérit radicalement et sans aucun danger. On n’a qu’â écrire. S, rue de la Thcherie, Paris, ponr recevoir franco la brochure explicative. On verra combien il est (heUe de se débarrasser de ia maladie la plus ' pénible, quand d ie n’Mt p u la plus don- loureuse. Le flacon, 4 fir. S O , franco.

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On ^ifaiâ id£ ila '4diai^IX M. WJLDAlkGlQIL

dânuiO;iiuM J bonne ÿ j Rb> BWWb f»™.iM auéi §;e 9- êt cniaiiie

ilM l'B fenttg^ tfàt aM ài^ poanikaitw

i^lf^slaii ceob«t4T^tdt ~ «alM.4a;.4iWiil!>'* eoBr

rdbugè: utaniMboBn* inpf; - SbtMbMr f TT

j â i r a t t i___iTart, 11, SeidU'.

liaison tfA CompUgrUf:

D É I^ A IiM ,-. 6 » tk :

B ô in n w t i f o r m m d»Tf.' àVXNLIS ' ^Vtwr it O nt ;

Xjtmmg», BhanutiN,

‘ à^ONT-Stt-MAXSKCt -

'ConvbOj d^ar;

inesaisdtt d«Mairgny, Rèmy>Grm1frun»y,,BMitt*tJiaa^,

rnnda■ 310

e^ ^ O ir tfieiÿeitàe^^.anii on* rtarm* n n m éïjsigb; lo t t r t fai- •inti'cflss da T»n?4«'«h*iiBWt «t sadiswaoigntr iO ab«Tanx #t. eon> dsifw LafemnaénlsiDiira.v'r-Gatas l.*00{?anc9i

S’adr„an Oarstn te tenni^. 311 -10 04 damadda nna b o n n e de

45iào60 ans,' akte ds très bobinas rfièraiMas..S’adr.:anbimxnteJ»nnHl. 387 .1 é » O n d e m a n d e |ehsz V.-le doetniriOLY i iSoissons, nn. m e- XSatfe aébiffnx; rhonneoocbor TèiMèe ehaoibra; la fomma enisi- tièra, Bennas ritftranoss ÿ s ig # i | .^

A O T O l^ IÆ S 'lA ltQ D E llO IC k m ta tr u c te w f ', S E K E iM S ,

Coonawaut pare^périsaceiptuesiies antres,ma^aas de rgitunvAÎInieAffaa nnf-AWbAtb^lAa. ût Atant AH 'paAnnrt dÜrAof

;^,M ;aar« ,.^ .,. jtras bentyent lmh

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L è s p re m iè re s p e rso n n e s n u l n e p ré ? e n ie ro n t e k « le s E p lè îèM ^d e l e n r ïb e a U té 'u iu n le s d u Ï V ^ é r o d u C o u r r i e r d e T O isc d u 9 7 M a r s , p o u r aeA e ie r 1 g r a m m e s d e i

C h p e td a t J u l 0 t D A M O Y e t C ^ , P a p i e r B le u , e n re cév ro u * i

C r a t u i t e m e n t 2 5 <> G r a m m e s . . ;

;ï|i|gL l iO B E R f , S én lp s o p n s ; c ^ g i p < : , 4: M àcbiiieB -'appâo^^ ’ \

lïg te li^n n ltteU i'è tei^^tè'd’AisiiôaiiOM màMUiMks Ssliie-«b>llai]ie s

.,;ji Vanne jrMniea- --r.

- J ï ^ o x j v E J ü; ; T I i9 ]A S o e té tii id ^ M r É a ité n $ T E R m is \e tG m N O N ./ r iatmtn]anbambtBaÉbiinaU^fS8<ites'<^a l’un-ebarfti d ' t ^

... IlendiKaigndsjipaMaB^ilmima» ^«ibetri^w; Or, id’éd «iant^rM ite ’' Itow Us Aaaasts prix a U tarra par leadbaiqné sUte te 'U madère-cr^• ■ ‘ s,i« <u>. nmanF. giiijg3a «erbondji, en toU de daeom^

position .sons L’iiflaeaca daXtlu IBWtS?'. ' ' ' '■ ' .

Do^, si l’on n’a .pas assex de.liK ‘nrien a bnt raebnobei; d* préU ïSüa'dés engrais ^ mt.anron« f im m 'd d -fu q M ,^ l’aeiiU pboh

î 5 S S . * S S J S 6 ® “^

TwnSTair Surnui ir itn n le '^ ri- (Sar, bvee Us iridanini du fosses,

nn nourri'tegfaiS'rMBVltont .eu oonUdbnsI ’engraix eoiteUt,. itohs >'aartetdirii aride pÿosph^qâa, sx^té et mHèro eriinioM Uttttnisnt Isr* mantasoOfio (e’ast^-dire ‘défagaant

I f ^ ^CMnpetition moyenne du ffimier

p&urlM.Idbilos,

%avieMX«a<nP»e—». ^«a»n- , a<yayv**v— aamaa a»w ( ■■a-—jr^«»r»ar *aw

et Toitnrettes a u to m o b i l e s , et étant en rapport direst xtk tonteé les maisons de coastrnction, js me tiens d-la-dispositioa te personnes désireoses d’acbétef néie reitore, pènr l e s conseiU er et l e u r p p o e i^ re p la iv à i tu p e .q a ’llti d é p fre p o n t, ly inettre an eonrant de la mancàane et de i’ trédeii.- Posr-l’achat d’une V o ù t ^ V i^ o c o in ^ u ,Je s personnu ni possédant ' d e connaissances spéciales en Wcaniqae s’illoiisiir nent tonjoarxj aux, apparences et ne se rendent pas compta M ÉllIE! A PH SSS Ê S $ A I , qn’elle n é p o n m p u lenr rente- les serrices 'R e lie s en espéraient, et, an boni de qoelgnes joia, regrettent lenr acquisition, i

Les jersonnos qni: Toufront bie^ .^ftccc^rdei’ leur eon&iny ériteronL tous^ôes.eipuis, jet an proidtP^À^ fBéinp coume P B lÿ e t S B C C K K i^ y car mpa but est. deidoniiet ^u ta satisfactuii ines Clients, aâu de m'ed fiire des réfénaeeni et raenuaandttiHi.

dsmièredt^purieUM eteibl’i..-_____

1. gnepjyagHBbmoSoni-icidriqmtloaaUHBtUa

iraros, trèfle, froment, '.Ûlpsdoiiurier, soit,

*i par an r________ Ï.SÔO'kilos,it teOcflOs^dteote. <'4 ^

JatW» Ittoyietspe, 660 kdoei dçBt 40(kel d ariteâibQspberiqfe, 6»,>depStUS*at.sondo^...687^ 7 d’aeide earbouque, «ridaxalidfqaa,.

Les 'tm u t loit-teMment,’ telt r «Aduvèritedrinents, ruriiri int tonJéalrsissiUammem U# mi'4 ras: amsénéa» rentres lUride

jMiflMittae, la potasse et Uwadoi iLa jieaie.a-prurft ino^|y9ne,^:

S Ü P n S S S lO I D 18 P O I P I S è J B S ^ l O l T S O Q V BITS^ Les&oeMnrseonxrillent,poiirareir

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Ponrnlssenrs de u C o m ^ e dée Cbfcmine de b r du Mord, des Cbemins de fer de

1 Lyon et à la Méditurannée ri d’éiüres grandu CompagnUs,.’ ainri qv* d’an grriid mombre de Gommnnei.

NOBBIÉUSU RdFteNCn Fonetionnant i phu de uOree.

tille de Piris, SxpQsitiorUDO,- —riMlt PB ‘HaiT : HOM ooMoonwi

Bcprésinté par M . M ri.tlG E iK , arc.-géomètteï CbantUiy,

S'oas cette rabriqne les demandes et ofies

igiMTÜlUKDI l’dPPUUL

& ans, tire ï tontu

, noos ine^as > aeiuuuni •• d’eçoplri doBt iëxte ne dépassé pas dnq lipiet. ; . Une annonce (Eavant passer nne sente lis coûte 1 f r . SO. » ^Ponr. les annonces, dewt ip b y snecessiTeinent dans pmaienrs nnmeros, dn jonnial, le prix de ehaqne Snsertscn

est de 1 franc. . ■ t,Le montant da .ces annoncer dut a^ compagner la commande.

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S’adretsir 1 M PBWÔST, cnlliva tenr à Angor-JSaint-Tmeent. 346

Ç . - A S K B Ï 7 > 1 " ” " “S’atÈ.auiinrèân di&. ] inrnat..

‘Om' .dèttiairidre '.dl;.' .stüU: _idB«jfee très an êou*j«Ap«rimiUofr bo®g*ofte;^b «•rt- 4tiwi> Mobàntbnoîinwimi ehavriîU; .faame: a8i?inièxe,jpou'nA i tirii ,un InBHriiP, PbS* slrt;o. B(W«a»f ï<-

G G A M arih^

34ST

ymr Onidemando, i U SaotorU do yaueiennss iO:se),i Bar;1Mlers-Colte- rtia (diinel,’. am: b o a obtvIw b o a tv e li» r ,à liannée._«oûneiwnl[ bien son metiar. r - B* bennosrréf^

313xonoM sont sxl|éu

hoetin et , ^ : . -tibnx,3e fBmu’3 IndiqBéâa. :

ii«iuS451 kilos.'ÏJLolie pbosphoriqne : 23 k. 3. i Potaïoe et sonde r 100 kitM.- ’ Ainsi, ponr maidunir le sol dans U

Mémo état d r 'Nrtiliiéi 11' budrA ajonieruMrilMieiit:aia 1 0 .^ ki­los de fumiar par.^heetire : 8 k ios dfa»U. 3 kA dbâde osphoriqui, ri 48È 3 d’iUali'flxe. Conune gé­néré irieni'"Uis<lêires’ rtnlérafeni

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s adresser i M. SnvM, pUes te

te r MdBaiKe, 38 ans, un en tant, demaniie plpqotabla: U mari « o e h e r ou ir « rd l« a d e pro-, p«qiMd^‘b (< 9 ^ P*’*r I* btuM Poo’â è ou ooàele irge.

bonrg Sàlttt-Jean, Beauvais. 3J9-:« » tlin m é n a g e damante

glace. Pbomme éomntsprffociie#- làrdlBletetoenBaiisiandU aeruM .dé va led d o pb p ilA M , et U frinmè Ûoor u ciuarBe'onfemriàri ricicbaiBbFe.S’ate. an bureau dnjounUl. wa

beafléonp plan,dé uctasjeKeyifrtem de «aide quo. diaiiidib phowhanim efesl ■ ■■

at»,we.,0|! UbMe m .Kuw..Bt cligérde

ijÿ Ml iâeins kObs’ d’isolé

jHatièroiarf inique... dsidOk dd’aiote.'. Matière inorganiqiie . . . 6 k. 7dont O k. 3 d’aoidc jries-;phoriqn*f dt"0 k. 6 de pe-taneetidude.;

M ad..:.................... 79 k. 3

F t^ É itiii^ f Aoeiiifloireg fliL Fièoofl l é t à À ^ . i»'.

iir^M^ELES i)E DIOÜtBO^ON ET

C O M S3aüO T SÜ R -M |O dJnoaN f 4 'l^ RÜBi BOHA^,

à B ifl;O Ç r'V COimu),:

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Comuie e’ast anilonU fcitephorique qri tait délM .aux------r MViDt an fond di fâtnisr* est sn-

- phqs-

i u .fùit'r'.tMmaéqner..4pinn» terre, ainsi traitée, ne rao-ivant comme aionte-qBe.desengraispt>uai*Bi-u>- ■ B B È i® i5 * tiim ie ë p L r iü -- trate de sonte pEospEate tërrenx on

,us feru raisôb « r sérait-il de Ime d’un sel qui neyeceyrait que

icégrais ne38«IGasMflebUs par lesp^tiS.qp’à.la eonÿtton qn’ds soient, .piour foW rèjuminémenb, pm,|cénditio»i, demanh d'iehmtiUvM,

s’Ùdresser d M ichel ^O B E ^ 'T .E à g v lü » cUiBiqae», T o m p teariz , H riÜ ira, Graiàyea.

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I U k l f T > N : | W I I E I I C I » L

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