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ACCUEILLONS
LES
POLLINISATEURS
AU JARDIN !
Saviez-vous que 85% des fruits, légumes et graines ne peuvent se développer sans l’intervention d’insectes pollinisateurs ? Ces petites bêtes, en butinant de fleurs en fleurs, transportent le pollen et assurent ainsi la reproduction de végétaux.
Les haricots, les tomates, les concombres, les potirons… tous ont besoin de l’intervention des pollinisateurs pour que se forment leurs fruits et que nous les récoltions. Ainsi, un tiers de l’alimentation humaine et les trois quarts de nos cultures
dépendent directement du travail de ces insectes, tout comme 75% de la flore sauvage. Ce service de la nature à l’agriculture représente un montant de 153 milliards d’euros par an à l’échelle de la planète.
Pour les plus pessimistes, la disparition des abeilles et pollinisateurs entraînera à coup sûr l’extinction de l’espèce humaine. Il est donc capital, pour la survie des êtres humains, d’assurer la sauvegarde de ces insectes.
DES INSECTES
INDISPENSABLES
www.aujardin.info
Le saviez-vous ? Au départ, les insectes transportent le pollen pour nourrir leurs larves. Certains vont jusqu’à butiner 1000 fleurs pour nourrir une seule de leurs larves ! La plupart des végétaux ont besoin des insectes pour produire des fruits, mais pas tous. Le noyer, le châtaignier, le noisetier, les graminées…, par exemple, sont pollinisés par le vent.
Lorsque l’on parle de pollinisation ou de pollinisateurs, ce sont tout de suite les abeilles qui viennent à l’esprit. Pourtant, elles sont loin d’être les seules à remplir ce rôle. Des centaines d’insectes jouent cette fonction centrale pour la nature.
On peut citer le proche cousin de l’abeille, le bourdon, de la famille des hyménoptères, mais aussi les diptères, insectes à deux ailes, communément
appelés les mouches. Dans cette famille, ce sont plus particulièrement les syrphes, fines mouches jaune et noire, et les bombyles, petites mouches poilues, qui jouent le rôle de pollinisateurs.
N’oublions pas les papillons, scarabées, et encore beaucoup d’autres. La variété d’espèces parmi les pollinisateurs permet une pollinisation des plantes durant toute l’année.
Concrètement, comment procèdent-ils ?
Lorsque les insectes vont se nourrir sur les fleurs, ils transportent des grains de pollen de l’étamine, qui renferme les cellules sexuelles mâles de la fleur, vers le pistil, qui contient les ovules (cellules sexuelles femelles). Cette étape permet la fécondation de la fleur, qui mènera au développement des graines et des fruits.
DES ABEILLES
OUI, MAIS
PAS
UNIQUEMENT
Le bombyle est un diptère (famille des mouches) (photo : www.aujardin.info)
Cétoine dorée (photo : www.insectesduhautjura.fr)
Azuré (photo : www.aramel.free.fr)
L’insecte pollinisateur le plus connu est bien sûr l’abeille. Bien que tout le monde la connaisse, rares sont ceux qui maîtrisent bien le monde de cet insecte si important pour la planète.
L’abeille mellifère ou domestique est la plus connue, mais il existe 400 autres espèces d’abeilles rien qu’en Belgique et plus de 2000 en Europe ! Elles sont appelées abeilles sauvages. Elles n’ont pas été domestiquées par l’homme et ne vivent pas nécessairement en colonie, contrairement à l’abeille mellifère.
Il existe également plusieurs sous-espèces de l’abeille mellifère, qui sont adaptées à différents climats et écosystèmes. En Wallonie, c’est l’abeille noire qui est naturellement présente.
LE PLUS CÉLÈBRE
DES
POLLINISATEURS
Le saviez-vous ? Certaines abeilles solitaires font leur nid dans les coquilles
d’escargot vides.
Les abeilles mellifères ne produisent pas uniquement du miel. Le pollen extrait des plantes permet de lutter contre les infections et la fatigue. La propolis, sorte de mastic produit par les abeilles, est un antibiotique naturel efficace contre les angines, sinusites ou otites.
Abeille mellifère butinant une fleur de pommier (photo : www.mamans.femmesdaujourdhui.be)
Osmie bicolore faisant son nid dans une coquille d’escargot vide (photo : www.aramel.free.fr)
Chaque année, on réalise que le nombre d’abeilles dans nos jardins diminue dangereusement. L’utilisation de pesticides est notamment pointée du doigt. Que ce soit à grande échelle dans l’agriculture ou dans les jardins de particuliers, ces produits nuisent gravement aux insectes pollinisateurs.
Par ailleurs, nos jardins étant de plus en plus structurés et la nature qui s’y développe, domptée, il reste bien peu de place aux insectes pour trouver le gîte et le couvert nécessaires à leur survie.
PIQUER EN DERNIER RECOURS
De nombreuses personnes craignent les abeilles car elles redoutent les piqures d’abeille qui contrairement à celles des guêpes, sont assez rares. Les abeilles ne piquent qu’en dernier recours, lorsqu’elles se sentent en danger. Lorsqu’elles piquent, une partie de leur abdomen reste attaché au dard et elles meurent. Elles ne viendront donc jamais vous piquer pour le plaisir.
ELLES
DISPARAISSENT
Anthophore à pattes plumeuses (photo : www.biodiv.sone.fr)
Nous l’avons compris, il est grand temps de venir en aide à ces petits insectes, afin d’assurer leur survie, et la nôtre ! Pour cela, nul besoin de suivre des cours d’apiculture compliqués. De simples petits gestes peuvent déjà faire toute la différence…
Choisir les bonnes plantes
Un premier geste simple à poser est de choisir, pour son jardin, des plantes qui conviennent aux pollinisateurs. Il faut savoir que certaines plantes et fleurs sont plus utiles et fournissent plus de ressources que d’autres pour les pollinisateurs. Elles sont appelées plantes mellifères. Les deux ressources principales recherchées sont la quantité de pollen et de nectar. Le nectar sera transformé en miel par les abeilles. Quant au pollen, il servira d’alimentation aux larves. Pour aider les pollinisateurs et les attirer dans votre jardin, mettez-y des plantes mellifères ! La phacélie, le marronnier, le bleuet des champs, ou encore la marguerite. Ce ne sont là que quelques exemples… De très nombreuses plantes peuvent remplir ce rôle. Pensez aussi à laisser une zone où peuvent se développer naturellement les plantes sauvages.
Plus de renseignements : www.abeillesetcompagnie.be
(onglet boîte à outils) La brochure « Vers un fleurissement
favorable aux pollinisateurs » est téléchargeable sur
http://biodiversité.wallonie.be/fr/plan-maya.html?|dc=5617
DES GESTES
SIMPLES POUR
LES AIDER !
Syrphe sur une marguerite (photo : www.pixabay.com)
(photo : www.biodiv.sone.fr)
Un autre geste important pour les insectes pollinisateurs est de disposer, dans son jardin, de lieux dans lesquels ils peuvent construire leur nid. Pour les accueillir chez vous, il vous faut aménager des lieux de nidification et de ponte. Pour cela, les hôtels à insectes sont une partie de la clé. Quelques morceaux de bois, un peu d’outillage, et c’est parti ! Des exemples et aides à la construction de ce type de structures sont facilement trouvables sur Internet.
Attention également à l’orientation de votre hôtel à insectes : Sud-Sud Est - dos aux vents dominants.
Faites attention, par contre, à éviter les constructions trop importantes, qui
attireraient également les prédateurs des pollinisateurs, et desserviraient votre but premier. Privilégiez plutôt une multitude de petits emplacements dans lesquels les insectes pourront s’installer. Une bûche percée de quelques galeries de 4 à 12 mm de diamètre et d’une dizaine de centimètres de long, ou encore un fagot de tiges creuses suffiront bien souvent pour accentuer la présence d’abeilles sauvages dans votre jardin.
Conserver des espaces plus naturels, dans lesquels la nature peut se développer, est également très important. Un tas de bois, un talus de terre ou de sable, ou encore des talus empierrés ainsi que des espaces verts que l’on ne tond pas peuvent déjà offrir de très beaux gîtes aux insectes.
OFFRIR UN TOIT
AUX
POLLINISATEURS
Fagot de tiges de roseaux (photo : www.dragfepic.pw)
Buche percée de trous (photo : www.m.espacepourlavie.ca)
Hôtel à insectes (photo : www.pixabay.com)
L’utilisation de différents produits chimiques pour lutter contre les pucerons, cochenilles ou autres nuisibles est catastrophique pour les pollinisateurs. Si vous voulez les accueillir et les aider, un jardin sans pesticides est la base. Mais comment entretenir un jardin naturel sans utiliser de produits nocifs ? Quelques gestes élémentaires suffisent.
Invitez les prédateurs naturels
Les insectes et les oiseaux sont des prédateurs naturels qui consomment
ceux qui nuisent à vos jardins. Les plantes mellifères et les arbres fruitiers les attireront à coup sûr !
Privilégiez les plantes résistantes
Certaines plantes sont particulièrement sensibles aux ravageurs et aux maladies. Remplacez-les par des végétaux plus robustes !
Enrichissez vos sols avec du compost
Le compost est le fertilisant le plus respectueux de l’environnement. Et les engrais naturels, comme les
résidus végétaux ou d’animaux, peuvent servir de complément au compost. En plus de nourrir les plantes, ces engrais naturels stimulent la biodiversité des sols et contribuent à réduire nos déchets.
Créez un milieu diversifié
Dans la nature, les proies et les prédateurs tendent à s’équilibrer. Pensez à planter des espèces végétales très diversifiées afin d’accueillir le plus grand nombre d’habitants utiles à la biodiversité.
Plus de conseils :
www.adalia.be
DES JARDINS
PLUS NATURELS
Laissez les herbes et fleurs sauvages pousser librement (photo : www.framboise-pornic.eklablog.com)
L’une des deux grandes causes de la disparition des pollinisateurs est la disparition de leur milieu naturel. L’urbanisation élimine les espaces où la nature peut se développer librement. Et nos jardins sont souvent tellement structurés qu’il n’y a pas de place pour la nature. Pourquoi dès lors ne pas dédier une partie de nos jardins à nos pollinisateurs ? Pour cela, il suffit de laisser la nature s’y exprimer sans intervenir, sans tondre l’herbe, et d’y planter des espèces pour former un pré fleuri. Après quelques temps, des fleurs sauvages envahiront cet espace et donneront une belle touche de naturel à votre jardin.
UN PRÉ FLEURI
DANS MON
JARDIN
Prairie fleurie (photo : www.pixabay.com)
Si chacun d’entre nous peut agir dans son jardin pour préserver les insectes pollinisateurs, des actions à plus grande échelle sont également nécessaires. Voilà pourquoi la Wallonie a mis en place le Plan Maya. Ce plan vise à offrir le gîte et le couvert aux abeilles et autres insectes pollinisateurs. Il vise également la sensibilisation du grand public. Dès 2011, les communes wallonnes se sont engagées dans ce plan. Aujourd’hui, la Wallonie compte 212 communes Maya. Manage est devenue une commune Maya en 2011.
L’alimentation des abeilles Comme expliqué dans les pages précédentes, il est impératif de reconstituer des espaces riches en plantes mellifères et sans pesticides. Les communes Maya s’engagent à mettre en place divers aménagements mellifères (prairies et pelouses fleuries, haies, vergers, alignements
d’arbres) dans les espaces verts, leurs cimetières, aux abords des écoles…
Le fauchage tardif Le Plan Maya encourage également le fauchage tardif dans les communes. Celui-ci est un outil simple et efficace pour favoriser la biodiversité. Depuis la mise en place de cette mesure, pas moins de 800 espèces animales et végétales, parmi lesquelles des plantes mellifères, ont été identifiées le long de nos routes !
Pas de pesticides Les communes Maya doivent évidemment accorder une place importante à la flore et à la faune. Pour cela, elles s’abstiennent de recourir aux pesticides et autres produits nocifs.
En 2012, le Plan Maya a été élargi aux provinces wallonnes. Et, depuis 2013, les particuliers peuvent, eux aussi, participer.
LE PLAN MAYA,
DES ACTIONS À
GRANDE
ÉCHELLE
Prairie fleurie dans le cadre du Plan Maya
Les apiculteurs sont confrontés à des mortalités d’abeilles inexpliquées. La Wallonie soutient la recherche sur les maladies et les virus dont les abeilles peuvent être victimes, mais également au sujet des contaminations suite à l’utilisation de pesticides.
Soutenir les jeunes apiculteurs
Chaque année, près de 500 nouveaux apiculteurs sont formés au sein de « ruchers-écoles » ou via le CARI (Centre apicole de Recherche et d’Informations).
Bee wallonie
Bee wallonie est la vitrine de l’apiculture wallonne et des savoir-faire développés par les apiculteurs. Elle regroupe l’ensemble des acteurs de l’apiculture, les pouvoirs publics et le secteur de la recherche : études sur le dépérissement, formation, apiculture et agriculture… sont autant de défis à relever.
Infos : www.beewallonie.be
SOUTENIR
L’APICULTURE
WALLONNE
© Vincenzo Chiavetta © Vincenzo Chiavetta
Initiée en 2017, la Semaine des Abeilles et des Pollinisateurs a pour but de sensibiliser le grand public à la nécessité de protéger les abeilles et les pollinisateurs pour notre société, aux rôles et aux services qu’ils nous rendent, à l’apiculture durable, à la diversité des espèces ou encore aux possibilités d’aménagement des jardins afin de les accueillir favorablement. Fin mai-début juin, partout en Wallonie, des acteurs de terrain, des spécialistes, ou de simples amis de la nature se mobilisent pour proposer tout un tas d’activités au grand public. Projections de films, conférences, activités ludiques autour des abeilles, visites de ruchers, distributions de graines de fleurs mellifères… Les occasions seront nombreuses pour découvrir le monde fascinant des insectes pollinisateurs et pour apprendre à les aider.
LA SEMAINE DES
ABEILLES ET DES
POLLINISATEURS
Comment évoquer les abeilles sans parler de miel ? Les apiculteurs wallons produisent un miel délicieux, qui sera bientôt protégé par Indication Géographique Protégée (IGP). Le « Miel wallon » sera bientôt reconnaissable entre tous les miels. Une action de la Wallonie pour protéger les abeilles et mettre en avant le savoir-faire des apiculteurs de nos régions.
Et si je devenais apiculteur ?
L’étape ultime dans la protection des abeilles une ruche et de produire du miel. Évidemment, cela ne se fait pas n’importe comment. L’apiculture est un art qui se pratique grâce à des connaissances scientifiques et techniques. Pour les acquérir, il existe des centres de formation en apiculture, appelés « ruchers-écoles » qui forment 500 nouveaux candidats par an.
D’autre part, vous pourrez trouver plus d’informations et les conseils nécessaires pour devenir apiculteur sur http://www.apiculture-wallonie.be/ et sur http://www.cari.be/.
LA WALLONIE
PROTÈGE SON
MIEL
© Vincenzo Chiavetta
Pour 4 personnes
4 tranches de bresaola Un peu de roquette 2 cuillères à soupe de ricotta miel
Étaler les tranches de bresaola sur un plan de travail, les recouvrir d’un peu de roquette, en laissant une partie qui servira à replier et fermer la tranche. Ajouter un peu de ricotta mélangée à du miel et refermer la bresaola. Servir en apéro.
Pour 10 personnes
un rouleau de pâte brisée 3 à 4 poires du gorgonzola coupé en morceaux pignons de pin miel
Découper les navettes à l’emporte-pièce et les placer dans les moules. Éplucher les poires, les couper en petits dés et les disposer sur la pâte. Ajouter les dés de fromage et un filet de miel. Parsemer de quelques pignons de pin. Faire cuire environ 20 min dans un four préchauffé à 180°C.
Fagots de bresaola à la
roquette, ricotta et miel
Navettes aux poires et au gorgonzola
Pour 4 personnes 1 pâte brisée 3 gros oignons jaunes 1/2 bûche de chèvre 1 càs de miel 15 cl de crème fraîche épaisse ½ cube bouillon poule + un peu d’eau fromage râpé
Étaler la pâte dans le moule à tarte, la piquer et la placer au frais. Couper les oignons finement et les faire revenir tout doucement dans une poêle avec un fond d’eau et un bouillon cube émietté. Mettre sur feu doux et surveiller la cuisson, ajouter de l’eau si nécessaire petit à petit jusqu’à ce que les oignons soient translucides puis verser le miel. Faire caraméliser les oignons toujours sur feu doux. Une fois qu’ils ont une jolie coloration, stopper le feu, couvrir et réserver. Reprendre la pâte, étaler la crème fraiche et déposer les oignons le plus uniformément possible par-dessus. Couper les tranches de bûche de chèvre et les déposer sur les oignons. Ajouter du fromage râpé sur le tout et enfourner pour 20 à 30 minutes dans un four préchauffé à 180°C pour que la tarte soit toute dorée et le fromage croustillant.
Pour 6 personnes 25 g de beurre 10 pluches de coriandre 1 pincée de coriandre moulue 3 càs de crème épaisse 1 litre de bouillon de volaille 1 oignon haché 1 gousse d'ail hachée 2 càs de miel d'acacia 1 botte de carottes fanes (800 g)
Éplucher les carottes et les couper en rondelles fines. Faire chauffer une cocotte avec le beurre et ajouter l'oignon, l'ail et les carottes. Laisser cuire 5 bonnes minutes en mélangeant. Ajouter le miel ainsi que la pincée de coriandre, poursuivre la cuisson 2 à 3 minutes. Ajouter le bouillon et assaisonner. Couvrir et laisser cuire 40 minutes environ à feu doux. Si vous possédez une cocotte-minute, laisser cuire 20 minutes à partir du moment où la soupape tourne. Ajouter la crème et passer le tout au mixeur électrique. Répartir le velouté dans des bols et ajouter quelques pluches de coriandre.
Tartelette au chèvre et aux
oignons caramélisées au
miel
Velouté de carottes au miel et à la coriandre
Pour 24 cookies
3 œufs 150 g de sucre 100 g de miel doux 80 g de beurre fondu 80 ml de lait 500 g de farine 1 sachet de levure chimique 100 g de pépites de chocolat 100 g de chocolat blanc haché grossièrement 150 g de chocolat au lait haché grossièrement 100 g de noisettes hachées grossièrement
Battre les œufs avec le sucre et puis avec le miel. Ajouter le lait et ensuite le beurre fondu. Tamiser la farine avec la levure et terminer par le chocolat et les noisettes. Façonner les cookies en mouillant ses mains avec un peu de lait pour éviter que cela ne colle. Cuire à 180°C pendant 10 min.
330 g farine 200 g d’amandes entières 3 œufs 130 g miel 100 g sucre 1 càs de fleur d’oranger (facultatif)
Mélanger tous les ingrédients en finissant par les amandes. Verser la pâte qui reste assez collante sur un plan de travail fariné. Former 2 "boudins" et les disposer sur une plaque de cuisson. Les faire bien ronds car ils vont un peu s'étaler. Cuire à 170°C pendant 30 min. Laisser refroidir sur une grille et couper des tranches. Disposer ces tranches sur une plaque et les remettre 5 min au four à 240°C pour finir la cuisson. Les croquants doivent être légèrement dorés. Remarque : il est possible de remplacer tout le sucre par du miel : on obtient alors une pâte beaucoup plus collante et colorée. Dans ce cas, la deuxième cuisson est à réaliser à four plus doux.
Cookies au miel et aux fruits secs
Croquants aux amandes
et au miel
Pour 12 tartelettes
un rouleau de pâte sablée (ou feuilletée) 150 g de spéculoos 125 g de crème fraîche 1 pomme coupée en dés du miel liquide
Préchauffer le four à 200°C. Étaler la pâte dans les petites tartelettes cannelées. Émietter le spéculoos dans une bassine et le mélanger avec la crème. Étaler ce mélange sur la pâte. Éplucher la pomme et la couper en dés. Disposer les dés sur le spéculoos et placer dans le four 20 min, jusqu’à ce que les tartelettes soient d’une couleur brun doré. À la sortie du four, garnir de miel au pinceau. Laisser refroidir et servir.
Pour 6 personnes
200 g de chocolat noir 4 œufs 4 cuillères à soupe de miel crémeux 125 g de beurre très mou 2 càs rases de Maïzena
Préchauffer le four à 180°C. Battre les jaunes d'œufs en omelette avec le miel. Faire fondre le chocolat et hors du feu ajouter le beurre en parcelles en mélangeant bien. Quand le mélange est bien lisse, l'incorporer au mélange miel/œufs et mélanger doucement. Ajouter ensuite la Maïzena. Quand le mélange est bien homogène, ajouter les blancs battus en neige bien ferme en soulevant doucement la pâte pour ne pas les briser. Mettre dans un moule et faire cuire pendant 15 à 20 min.
Tarte aux pommes et
au spéculoos
Fondant au chocolat
corsé et au miel
Pour 70 petits beignets
500 g de farine 5 œufs 1 càc de sel 1 càs de beurre ramolli miel crémeux pour enrobage huile pour friture
Faire un puits avec la farine, ajouter au bord le sel et, au centre, les œufs et le beurre. Si les œufs sont trop petits, rajouter un œuf. Pétrir longuement la pâte et la faire reposer sous un linge pendant 30 min. Réaliser des boudins et les couper en petits morceaux. Faire chauffer l’huile et cuire les petits beignets. Une fois refroidis, les enrober avec du miel préalablement fondu.
Pour 4 personnes
1 pâte feuilletée 2 pommes rouges miel beurre Sucre impalpable (sucre glace)
Laver et couper les pommes en tranches pas trop épaisses, en enlevant le trognon mais pas la peau. Les faire caraméliser dans un peu de beurre avec le miel et réserver. Découper la pâte feuilletée en bandes de +/- 20 cm de long sur 4 cm de large. Disposer les pommes en les faisant se chevaucher légèrement. Replier sur les tranches de pomme et enrouler la bande pour former les roses. Placer les roses dans des moules à muffins pour ne pas qu'elles s'effondrent pendant la cuisson. Placer au four à 180°C pendant 20 minutes. (surveiller) Déguster chaud ou tiède.
150 g de chocolat noir 10 cl de crème liquide 60 g de sucre blond ou roux 3 grosses cuillères à soupe de miel 20 g de beurre demi-sel
Hacher le chocolat au couteau de cuisine. Faire chauffer la crème avec le sucre et la retirer du feu juste avant l'ébullition. Ajouter le chocolat haché et mélanger vivement, jusqu'à obtention d'un mélange homogène. Ajouter le miel et le beurre et lisser. Verser dans un pot et laisser refroidir au frais. Se conserve 1 semaine au réfrigérateur.
Beignets
Rosace au miel et aux pommes
Pâte à tartiner
choco miel
Pour tout renseignement et inscription vous pouvez
vous adresser au 064 518 362
Le 15 septembre : Marché des saveurs
5e édition – Centre Sportif La Drève, rue Vanhulst 15 (La Hestre) – de 10h à 17h Suivez-nous sur Facebook « Marché des saveurs de Manage »
Du 7 au 20 octobre : Expo sur les adaptations de la faune et de la flore aux conditions extrêmes Hall de l’Administration communale
Le 24 novembre : Distribution d’arbustes Salle des fêtes de l’école communale de Fayt. De 10h à 13h
Au départ du hall de la Maison communale de Manage.
Marches du jeudi à 13h40 dans l’entité
18 avril 2019
2,16 et 30 mai 2019
16 et 27 juin 2019
Les animateurs : Marie-Christine Higuet et Willy Debruyne
064 28 44 93 ou 0478 94 13 08
Quiz
1. À quoi sert le nectar des plantes ?
………………………………………………………………………………………………………..…………………………………………..
2. Combien de pourcentage de nos cultures dépendent du travail de nos insectes ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
3. Donnez deux conseils pour un jardin plus naturel
……………………………………………………………………………………………………………………………………..………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………
4. En quelle année, Manage est-elle devenue une commune MAYA ?
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
5. Comment s’appelle l’organe qui contient les cellules sexuelles femelles chez une fleur ?
………………………………………………………………………………………………………..………………………………..……….. 6. Donnez deux plantes mellifères pouvant aider les pollinisateurs
……………………………………………………………………………………………………..……………………………………………..
7. Quelle est l’abeille qui est naturellement présente en Wallonie ?
………………………………………………………………………………………………………..…………………………………………..
8. Dans quel sens faut-il orienter votre hôtel à insectes ?
………………………………………………………………………………………………………..………………………………..…………
9. Quel nom donne-t-on à de fines mouches de couleur jaune et noire ?
……………………………………………………………………………………………………..………………………………
10. Comment appelle-t-on la substance produite par les abeilles et qui constitue un antibiotique naturel ?
…………………………………………………………………………………………………..………………………………………………..
Réponse au jeu-concours du PCDNews n° 72 (remis le / /2019) Pour être valable, le bulletin doit nous parvenir avant le 25/04/2019
Entourez votre village Bois d’H/Bel/Fayt/Man. La H/Longsart. Nom / Prénom ………………………………………………………………………………………………………………..……………...…... Rue ……………………………………………………………………………………………………………..………………………..N° ……….
PCDNews - Tous droits réservés-2019
D’après « Accueillons les pollinisateurs au
jardin ! » de Abeilles & Co
Conception : Service Civilités
Éditeur responsable :
Émerence Leheut - Échevine du Cadre de
Vie et Présidente du PCDN
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