Ahmed Sefrioui est né à Fes dans une famille berbere

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Ahmed Sefrioui est n Fes dans une famille berbere, bien que lui-meme ne maitrise pas la langue berbere vue son education en arabe et la politique marocaine d'assimilation. Son pre tait meunier. Il grandit dans la mdina, espace prgnant dans son uvre, en particulier dans le roman autobiographique La Bote merveilles.

Ahmed Sefrioui va lcole coranique, comme la majorit des enfants de son ge l'poque. Le souvenir du fqih, et de ses mthodes particulirement violentes lgard des enfants, est trs prsent dans son uvre.

Il frquente aussi lcole franaise puis le collge de Fs. Sefrioui est le fondateur du muse Al Batha Fs, ville que l'on retrouve dans la majorit de ses crits. De lcole coranique aux coles de Fs, en passant par la dcouverte de la langue franaise, se fait un cheminement que l'on retrouve dans ses crits historiques . Il devient journaliste L'Action du peuple. Puis il assure des fonctions dans la gestion et la protection du patrimoine de la ville de Fs. Il entre ensuite la direction du tourisme Rabat. En 1947, il reoit le Grand prix littraire du Maroc, attribu pour la premire fois un Marocain, pour le manuscrit du Chapelet d'ambre. La majorit de ses crits feront l'objet de rditions ou de traductions. esum de la boite merveille | la biographie de l'auteur >>

resum de la boite merveille | 23 novembre 2006

resum de chaque chapitre pour la boite merveille Compte rendu de lecture par ayoub nassir. L'hiver Chapitre I Dar Chouafa Deux lments dclenchent le rcit : la nuit et la solitude. Le poids de la solitude. Le narrateur y songe et part la recherche de ses origines : l'enfance.Un enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants qu'il ctoie. Il est fragile, solitaire, rveur, fascin par les mondes invisibles. A travers les souvenirs de l'adulte et le regard de l'enfant, le lecteur dcouvre la maison habite par ses parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le rez-de-chausse habit par une voyante. La maison porte son nom : Dar Chouafa. On fait connaissance avec ses clientes, on assiste un rituel de musique Gnawa, et on passe au premier o Rahma, sa fille Zineb et son mari Aouad, fabricant de charrues disposaient d'une seule pice. Le deuxime tage est partag avec Fatma Bziouya. L'enfant lui habite un univers de fable et de mystre, nourri par les rcits de Abdellah l'picier et les discours de son pre sur l'au-del. L'enfant de six ans accompagne sa mre au bain maure. Il s'ennuie au milieu des femmes, Cet espace de vapeur, de rumeurs, et d'agitation tait pour lui bel et bien l'Enfer. Le chapitre se termine sur une sur une querelle spectaculaire dont les acteurs sont la maman de l'enfant et sa voisine Rahma. Chapitre II Visite d'un sanctuaire Au Msid, cole coranique, l'enfant dcouvre l'hostilit du monde et la fragilit de son petit corps. Le regard du Fqih et les coups de sa baguette de cognassier taient source de cauchemars et de souffrance. A son retour, il trouve sa mre souffrante. La visite que Lalla Aicha, une ancienne voisine, rend ce mardi Lalla Zoubida, la mre de l'enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb. L'enfant pourra boire de l'eau de sanctuaire et retrouvera sa gaiet et sa force. L'enfant dcouvre l'univers du mausole et ses rituels. Oraisons, prires et invocations peuplaient la Zaouia. Le lendemain, le train train quotidien reprenait. Le pre tait le premier se lever. Il partait tt son travail et ne revenait que tard le soir. Les courses du mnage taient assures par son commis Driss. La famille depuis un temps ne connaissait plus les difficults des autres mnages et jouissait d'un certain confort que les autres jalousaient.(rahma donna a sidi.m un cabuchonde verre) Chapitre III Le repas des mendiants aveugles Zineb, la fille de Rahma est perdue. Une occasion pour lalla Zoubida de se rconcilier avec sa voisine. Tout le voisinage partage le chagrin de Rahma. On finit par retrouver la fillette et c'est une occasion fter. On organise un grand repas auquel on convie=inviter une confrrie de mendiants aveugles. Toutes les voisines participent la tche. Dar Chouafa ne retrouve sa quitude=tranquillite et son rythme que le soir. Le printemps Chapitre IV Les ennuis de Lalla Aicha Les premiers jours du printemps sont l. Le narrateur et sa maman rendent visite Lalla Aicha. Ils passent toute la journe chez cette ancienne voisine. Une journe de potins pour les deux femmes et de jeux avec les enfants du voisinage pour le narrateur. Le soir, Lalla Zoubida fait part son mari des ennuis du mari da Lalla Acha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associ Abdelkader. Ce dernier avait reni ses dettes et mme plus avait prtendu avoir vers la moiti du capital de l'affaire. Les juges s'taient prononcs en faveur de Abdelkader. L'enfant, lui tait ailleurs, dans son propre univers, quand ce n'est pas sa bote et ses objets magiques, c'est le lgendaire Abdellah l'picier et ses histoires. Personnage qu'il connat travers les rcits rapports par son pre. Rcits qui excitrent son imagination et l'obsdrent durant toute son enfance Chapitre V L'cole coranique. Journe au Msid. Le Fqih parle aux enfants de la Achoura. Ils ont quinze jours pour prparer la fte du nouvel an. Ils ont cong pour le reste de la journe. Lalla Acha , en femme dvoue, se dpouille de ses bijoux et de son mobilier pour venir au secours de son mari. Sidi Mohamed Ben Tahar, le coiffeur, un voisin est mort. On le pleure et on assiste ses obsques. Ses funrailles marquent la vie du voisinage et compte parmi les vnements ayant marqu la vie d de l'enfant. Chapitre VI

Prparatifs de la fte. Les prparatifs de la fte vont bon train au Msid. Les enfants constituent des quipes. Les murs sont blanchis la chaux et le sol frott grande eau. L'enfant accompagne sa mre la Kissaria. La fte approchait et il fallait songer ses habits pour l'occasion. Il portera un gilet, une chemise et des babouches neuves. De retour la maison, Rahma insiste pour voir les achats fait la Kissaria.Le narrateur est fascin par son rcit des msaventures de Si Othman, un voisin g, poux de Lalla Khadija, plus jeune que lui. Chapitre VII La fte de l'Achoura. La fte est pour bientt. Encore deux jours. Les femmes de la maison ont toutes achet des tambourins de toutes formes. L'enfant lui a droit une trompette. L'essai des instruments couvre l'espace d'un bourdonnement sourd. Au Msid, ce sont les dernires touches avant l e grand jour. Les enfants finissent de prparer les lustres. Le lendemain , l'enfant accompagne son pre en ville. Ils font le tour des marchands de jouets et ne manqueront pas de passer chez le coiffeur. Chose peu apprcie par l'enfant. Il est l assister une saigne et s'ennuyer des rcits du barbier. La rue aprs est plus belle, plus enchante. Ce soir l, la maison baigne dans l'atmosphre des derniers prparatifs. Le jour de la fte, on se rveille tt, Trois heures du matin. L'enfant est habill et accompagne son pre au Msid clbrer ce jour exceptionnel. Rcitation du coran, chants de cantiques et invocations avant d'aller rejoindre ses parents qui l'attendaient pour le petit djeuner. Son pre l'emmne en ville. A la fin du repas de midi, Lalla Aicha est l. Les deux femmes passent le reste de la journe papoter et le soir, quand Lalla Aicha repart chez elle, l'enfant lass de son tambour et de sa trompette est content de retrouver ses vieux vtements. L't. Chapitre VIII Les bijoux du malheur. L'ambiance de la fte est loin maintenant et la vie retrouve sa monotonie et sa grisaille. Les premiers jours de chaleur sont l. L'cole coranique quitte la salle du Msid, trop troite et trop chaude pour s'installer dans un sanctuaire proche. L'enfant se porte bien et sa mmoire fait des miracles. Son matre est satisfait de ses progrs et son pre est gonfl d'orgueil. Lalla Zoubida aura enfin les bracelets qu'elle dsirait tant. Mais la visite au souk aux bijoux se termine dans un drame. La mre qui rvait tant de ses bracelets que son mari lui offre, ne songe plus qu'a s'en dbarrasser. Ils sont de mauvais augure et causeraient la ruine de la famille. Les ennuis de Lalla Aicha ne sont pas encore finis. Son mari vient de l'abandonner. Il a pris une seconde pouse, la fille de Si Abderahmen, le coiffeur. Si l'enfant se consacre avec assiduit ses leons, il rve toujours autant. Il s'abandonne dans son univers lui, il est homme, prince ou roi, il fait des dcouvertes et il en veut mort aux adultes de ne pas le comprendre. Sa sant fragile lui joue des tours. Alors que Lalla Acha racontait ses malheurs, il eut de violents maux de tte et fut secou par la fivre. Sa mre en fut bouleverse. Chapitre IX Un mnage en difficult. L'tat de sant de l'enfant empire. Lalla Zoubida s'occupe de lui nuit et jour. D'autres ennuis l'attendent. Les affaires de son mari vont trs mal. Il quitte sa petite famille pour un mois. Il part aux moissons et compte conomiser de quoi relancer son atelier. L'attente, la souffrance et la maladie sont au menu de tous les jours et marquent le quotidien de la maison. Lalla Zoubida et Lalla Aicha, deux amies frappes par le malheur, dcident de consulter un voyant, Sidi Al Arafi. Chapitre X Superstitions. Les conseils , prires et bndictions de Sidi Al Arafi rassurrent les deux femmes. L'enfant est fascin par le voyant aveugle. Lalla Zoubida garde l'enfant la maison. Ainsi, elle se sent moins seule et sa prsence lui fait oublier ses malheurs. Chaque semaine, ils vont prier sous la coupole d'un saint. Les prdications de Sidi A Arafi se ralisent. Un messager venant de la compagne apporte provisions, argent et bonne nouvelles de Sidi Abdesalam. Lalla Aicha invite Lalla Zoubida. Elle lui rserve une surprise. Il semble que son mari reprend le chemin de la maison. ChapitreXI Papotage de bonnes femmes. Th et papotage de bonnes femmes au menu chez Lalla Aicha. Salama, la marieuse, est l. Elle demande pardon aux deux amies pour le mal qu'elle leur a fait. Elle avait arrang le mariage de Moulay Larbi. Elle explique que ce dernier voulait avoir des enfants. Elle apporte de bonnes nouvelles. Plus rien ne va entre Moulay Larbi et sa jeune pouse et le divorce est pour bientt. Zhor, une voisine, vient prendre part la conversation. Elle rapporte une scne de mnage. Les femmes la fille du coiffeur, pouse de Moualy Larbi , de sa famille.le flot des potins et des mdisances. N'en fint pas et l'enfant lui , qui ne comprenait pas le sens de tous les mots est entran par la seule musique des syllabes. Chapitre XII Un conte de fe a toujours une chute heureuse. La grande nouvelle est rapporte par Zineb. Malem Abdslem est de retour. Toute la maison est agite. Des you you clatent sur la terrasse Les voisines font des vux. L'enfant et sa mre sont heureux . Driss, est arriv temps annoncer que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a t prononc. La conversation de Driss El Aouad et de Moulay Abdeslem, ponctue de verres de th crase l'enfant. Il est pris de fatigue mais ne veut point dormir. Il se sent triste et seul. Il tire sa boite merveille de dessous son lit, les figures de ses rves l'y attendaient. Fin.

resum de La boite merveillesPar berdayi nadia [msg envoys : 2] le 04-01-10 15:50 Lu :3372 fois

*L'auteur-narrateur-personnage ( Sidi Mohamed) raconte son enfance en commenant son rcit l'ge de six ans. Il dcrit son tat de solitude et cite les diffrents locataires de Dar chouafa ( tanta Kenza)comme Driss El Aouad ( le fabricant des charrues)sa femme Rahma et leur fille Zineb, Fatma Bziouya ( la femme d'un jardinier et voisine de la famille du narrateur en deuxime tage). Il parle aussi du Msid et de sa timide amiti avec quelques camarades de l'cole coranique et relate que ses vritables amis sont les objets et les personnages imaginaires de sa boite merveilles. Ensuite, il parle de sa mre ( Lalla Zoubida) qui l'emmena au bain maure (hammam) endroit dans lequel le narrateur sentait "l'odeur du pch". Aprs les dures scnes du hammam, cette dernire revient

raconter tout en dtails ses voisines et son mari le lendemain. Ce chapitre se termine par une forte discussion entre la mre de sidi Mohamed et leur voisine Rahma qui a eu l'ide de faire la lessive le mme jour que la mre du narrateur , ce qui a engendr l'vanouissement du narrateur. *Le narrateur commence ce chapitre en racontant qu'aprs une journe dure au Msid, il rentre la maison et trouve sa mre souffrant d'une terrible migraine. Ainsi, aprs le djeuner, la famille reoit une visite improvise de Lalla Acha (ancienne voisine de lalla Zoubida). Cette dernire russit la convaincre de faire une visite Sidi Ali Boughaleb pour gurir elle et son fils .Aprs toutes les complications pour raliser le voyage, le narrateur , une fois la zaouia, se fait griffer par un chat . Cela prcipite le retour la maison.. Bnficiant d'un cong, le narrateur assiste la scne de l'habillage du pre et reoit un cabochon en verre facette de Rahma pour sa boite merveilles. *Aprs une description de l'ambiance de l'cole coranique, le narrateur rentre la maison et il trouve que la chambre de Fatma Bziouya brillait d'un clat inaccoutum. Quand sa mre a vu que sa voisine avait une lampe ptrole pour s'clairer, elle finit par convaincre le pre d'acheter une lampe pour eux aussi. Le lendemain matin, Rahma , qui tait sortit pour assister un baptme , revient en pleurant car elle avait perdu sa fille Zineb dans la fouleAprs avoir trouv la fille , Rahma organise un repas pour les pauvres pour remercier Dieu. *Pendant les premiers jours du printemps, lalla Zoubida et le narrateur taient invits la maison de Lalla Acha qui habitait Zankat Hajjama. La femme qui tait pie par ses voisines, les loua haute voix et chuchota l'oreille de Lalla Zoubida sa vritable pense. Sidi Mohamed jouait avec les enfants de la maison, et Lalla Acha et sa mre parlaient de Rahma. Le mari de Lalla Aicha( Moulay Larbi Alaoui) rentre soudainement la maison et demande de parler avec sa femme en priv, cette dernire raconta ensuite Lalla Zoubida les problmes de son mari avec son associ Abdelkader .La mre du narrateur raconte ces problmes son mari le lendemain.. *Un mercredi, le Fquih, de bonne humeur, expliqua ses projets pour l'Achoura Quand le narrateur revient du Msid la maison, il trouve sa mre en visite Lalla Aicha, de retour, elle raconta les malheurs de cette dernire Fatma puis Rahma. Ensuite des cris annoncent la mort de Sidi Mohamed Ben Tahar ( le coiffeur)Le chapitre finit par une msaventure du narrateur provoque par le chat de Zineb qui lui a vol la chane de vert-de-gris offerte par sa mre. *Les prparatifs pour l'Achoura commencent au Msid, le Fquih distribua les travaux par groupe. Le narrateur tait fire d'tre le chef des frotteurs. Le lendemain matin, il accompagna sa mre au Kissaria pour acheter un gilet .Au retour , il mne une dispute avec Zineb sans raison.. Ensuite , le narrateur avait faim et commenait rver d'tre un prince qui offre des repas aux mendiants. Aprs un moment , on coute Rahma qui raconte L'histoire d'un couple (Khadija mari au vieux Othman.). *La veille de l'Achoura, les femmes s'achtent des bendirs et des tambours. Le pre du narrateur lui offre une trompette. Au Msid, il participa l'quipement des lustres pour la nuit de L'Achoura .Le lendemain , le pre de Sidi Mohamed l'emmne au coiffeur Le jour de L'Achoura , le narrateur mit des vtements neufs et alla au

Msid pour les clbrationsChez lui et aprs le repas de fte , sa famille reoit une visite surprise de Lalla Aicha. *Avec l'arrive de la chaleur, les mouches envahissent la maison. Le Msid fut dmnag dans un petit sanctuaire. Un lundi, le pre du narrateur rentre tt la maison pour accompagner sa femme au Souk des bijoux pour lui acheter des bracelets soleil et lune. Une fois au Souk, le pre du narrateur entre dans une dispute avec un dellal malhonnte, ce qui provoqua sa perte dans la foule. La famille rentre donc la maison pour attendre et pleurer. Plus tard, le pre rentre avec les bracelets que sa femme refuse de prendre aprs les vnements vcus cause de ces bijoux. Aprs ces malheurs, le narrateur devint vritablement malade. *Sidi Mohamed recevait des soins de sa mre pour gurir de sa fivre. Le pre de ce dernier annonce sa femme qu'il avait perdu son capital pendant les enchres aux haiks. Ils ont dcid de vendre les bracelets . Ensuite le pre prend la dcision d'aller travailler aux environs de Fs pour rsoudre ce problme .En partant , il laisse l'argent des bracelets sa famille qui va vivre dans la solitude pendant l'absence du pre. Pour acclrer la gurison du narrateur, Fatma lui apporte un genre de mdicament base de colle de farine "tadeffi". Ensuite la mre et son fils se rendent la maison de Lalla Aicha pour rendre visite un Fquih appel Sidi El Arafi au quartier Seffah.. *Le narrateur sa mre et son amie Lalla Aicha arrivent chez le fquih. Ce dernier commence prsenter les prdictions voiles de ses visiteurs. Cette visite au voyant est reste cache aux voisines de Lalla Zoubida qui leur a dit qu'elle tait alle aux sanctuaires de la ville. Elle annonce son fils qu'elle a dcid de le garder la maison et de l'emmener chaque semaine prier sous la coupole d'un saintUn matin elle reoit la visite d'un envoy de son mari qui lui apporta quelque nourriture . *Aprs une invitation de la part de Lalla Aicha, le narrateur et sa mre se rendent chez elle. Lorsque les deux femmes taient entrain de converser, Salama (la marieuse) rend visite Lalla Aicha et lui parle de son rle dans le remariage de Moulay Laarbi avec la fille du coiffeur et les checs de cette union. Zhor ( la voisine de Lalla Aicha) arrive et apporte de nouveaux renseignements sur le mariage de ce couple. Cette scne termine par un incident de la part du narrateur qui a renvers son verre de th. * Le dernier jour de cette histoire tait plein de joie depuis ses premires heures du matin. Allal El Yacoubi (envoy du pre du narrateur), vient pour s'assurer de l'tat de Sidi Mohamed. Soudain, Zineb vient annoncer qu'elle a vu Maalem Abdeslem prs de la mosque. Plus tard ce dernier rentra chez lui charg de deux poulets et de nourriture. Pendant que le narrateur parle avec son pre , Driss El Aouad vint visiter le pre et entre dans une longue conversation avec lui. Cette scne ennuya le narrateur et le poussa se laisser emporter par le sommeil avec sa boite merveilles la main.

Le schma narratif: histoire emboite applique La Bote

merveillesPar Idoubiya Rachid [msg envoys : 911] le 23-09-09 13:46 Lu :7934 fois

Le

schma

narratif.

Dans un rcit, les actions se suivent et senchainent selon un modle prcis. On appelle ce modle le schma narratif. Cette structure se compose de cinq tapes : chacune de ces tapes joue un rle prcis dans la narration : 1- La situation initiale : cest le dbut de lhistoire, cest un moment dquilibre dans lequel on prsente les personnages et ce quils font. Ils sont dcrits dans une situation stable, rien ne sest encore vraiment pass. On dcouvre aussi le lieu et lpoque o se trouvent les personnages et ce quils font. Le temps dominant est limparfait. 2- La perturbation : Cest un vnement inattendu qui vient perturber la situation de dpart. Il met fin la vie habituelle des personnages et dclenche laction : plusieurs vnement se mettent se suivre. Les verbes sont gnralement au pass simple. 3- les pripties : Face cette nouvelle situation, le personnage doit agir pour tenter de rtablir lquilibre. Il passe par des preuves. Les verbes dactions et le pass simple sont dominants. 4- La rsolution : Cest la solution dfinitive du problme. Cest llment qui va amener le dnouement. Le personnage a accompli sa mission.

5- La situation finale : Elle indique la nouvelle situation du personnage qui retrouve une situation stable. Cest la fin de la squence narrative. NB- un rcit complexe comme celui de la bote merveilles, comporte plusieurs squences narratives. Dans lextrait tudi dans le chapitre : 5, il y a la coexistence de deux schmas narratifs : on parle alors de macrostructure narrative et de microstructure narrative. Japplique le schma narratif sur lhistoire de Lalla Zoubida. Ch.4 Situation initiale: Cet Abdelkader, ce fils dadultre rendre compte de leurs mauvaises actions le jour de la Balance.

perturbation: Abdelkader a ni, il na pas simplement ni, il a mme prtendu avoir vers la moiti du capital de laffaire de Moulay Larbi

pripties: Le Pacha ne pouvait pas connatre tous les dtails de cette histoiredirent-ils. Les experts ont t runis. Ils ont discut jusquau soir. rsolution: Finalement, ils se sont prononcs en faveurs dAbdelkader il faut des juges et des escrocs pour leur donner du travail.

Situation finale: Ce sont toujours des honntes gens qui sont sacrifis.