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1 1 F ut donc crée en 1967, le Special Weapon And Tactics (S.W.A.T) pour aider la police dans les situations les plus difficiles. D'ailleurs, le slogan qui suit a contribué à la renommée du Swat : « Quand les gens ont un problème, ils appellent la police. Quand la police a un problème, elle appelle le Swat ». Aujourd’hui, le SWAT de Los Angeles n’a plus grand-chose à voir avec celui des années 60 et est considéré partout dans le monde comme l’une des meilleures équipes d’intervention qui soit. Toutes les villes améri- caines ont désormais leur Swat mais celui de L.A reste la réfé- rence. A l’époque les policiers du Swat devaient fournir la majeure partie de leur équipement, y compris leur arme personnelle. Déçu des performances de leur revolver .38 de dotation, ils eurent l’autorisation de pouvoir porter un pistolet semi-automatique type 1911 en calibre 45 ACP. Mais malgré les qualités bien connues du 1911, les contraintes budgé- taires du LAPD ne permirent pas d’acheter les armes. Pour palier ce problème, les membres du Swat récupérèrent les 1911 dont ils avaient besoin directement de la « Property Division » c'est-à-dire les armes saisies à la pègre ou bien celles rendues par les particuliers, mais comme cela ne suffisait pas, ils durent acheter leur propre REPLIQUE D’EXCEPTION : KIMBER LAPD SWAT CUSTOM 2 Air soft ●●► Kimber Lapd Swat Custom 2 Le 11 août 1965, le Los Angeles Police Department (LAPD) dut faire face à un des faits divers les plus violents de toute l’histoire américaine, les émeutes du quar- tier noir de Watts. Il fallut pas loin de deux semaines pour que le calme revienne dans la ville. A la lumière de ces graves émeutes ainsi que pour lutter contre l’escalade du trafic de drogue, de la violence et de la résistance de plus en plus organisée envers les forces de l’ordre, le LAPD décida de créer une unité spéciale permettant de régler plus efficacement les situations de crise.

Air soft REPLIQUE D’EXCEPTION - tireurs.fr · arme de poing. Pendant près de 35 ans et jusqu’en 2002, aucune arme de poing ne fut acquise par le LAPD Swat. Pour enfin harmoniser

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Fut donc crée en 1967, leSpecial Weapon And Tactics(S.W.A.T) pour aider la police

dans les situations les plus difficiles.D'ailleurs, le slogan qui suit acontribué à la renommée du Swat :« Quand les gens ont unproblème, ils appellent la police.Quand la police a un problème,elle appelle le Swat ». Aujourd’hui,le SWAT de Los Angeles n’a plusgrand-chose à voir avec celui desannées 60 et est considéré partout

dans le monde comme l’une desmeilleures équipes d’interventionqui soit. Toutes les villes améri-caines ont désormais leur Swatmais celui de L.A reste la réfé-rence. A l’époque les policiers duSwat devaient fournir la majeurepartie de leur équipement, ycompris leur arme personnelle.Déçu des performances de leurrevolver .38 de dotation, ils eurentl’autorisation de pouvoir porter unpistolet semi-automatique type

1911 en calibre 45 ACP. Maismalgré les qualités bien connuesdu 1911, les contraintes budgé-taires du LAPD ne permirent pasd’acheter les armes. Pour palier ceproblème, les membres du Swatrécupérèrent les 1911 dont ilsavaient besoin directement de la «Property Division » c'est-à-dire lesarmes saisies à la pègre ou biencelles rendues par les particuliers,mais comme cela ne suffisait pas,ils durent acheter leur propre

REPLIQUE D’EXCEPTION :

KIMBER LAPD SWATCUSTOM 2

Air soft ●●► Kimber Lapd Swat Custom 2

Le 11 août 1965, le Los Angeles Police Department (LAPD) dut faire face à un desfaits divers les plus violents de toute l’histoire américaine, les émeutes du quar-tier noir de Watts. Il fallut pas loin de deux semaines pour que le calmerevienne dans la ville. A la lumière de ces graves émeutes ainsi que pour luttercontre l’escalade du trafic de drogue, de la violence et de la résistance de plusen plus organisée envers les forces de l’ordre, le LAPD décida de créer uneunité spéciale permettant de régler plus efficacement les situations de crise.

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arme de poing. Pendant près de 35ans et jusqu’en 2002, aucune armede poing ne fut acquise par leLAPD Swat.

Pour enfin harmoniser l’arme-ment individuel, la direction prisen 2002 la décision d’acquérir unearme de poing de type 1911 etchambrée en .45ACP, ce typed’arme étant très populaire auxEtats-Unis, de même que la légen-daire puissance d’arrêt de lacartouche. Cinq fabricants propo-sèrent alors leur modèle de 1911.La qualité numéro une demandéepar le LAPD fut la fiabilité : En effet,un pistolet du Swat doit pouvoirfonctionner tout le temps et dansn’importe quelle condition. Mais ildevait aussi avoir une précisiondite de combat. Après denombreux tests très sélectifs, unfabricant arriva premier en ayantdevancé ses concurrents avec unemarge impressionnante. Le vain-queur fut donc la firme Kimber OfAmerica, société connue principa-lement pour ces armes de chasse.Mais le 1911 gagnant de la marquen’était en rien un modèle préparéissu d’un « Custom shop », c’étaitun modèle d’entrée de gamme, leCustom II. Par contre, il a quelquesspécificités qui ne sont proposéesd’habitude qu’en option : unehausse combat surélevée, unguidon sur queue d’aronde, uncanon inox rétreint, une ramped’alimentation polie, un chienévidé et profilé, une fenêtreabaissée et élargie, une détentetravaillée, une sûreté manuelleallongée… Le Swat a demandé enplus des organes de viséenocturne au Tritium et unquadrillage fin de 30lpi(lines per inches) sur ledevant du pontet. Pourfinir chaque arme depoing reçoit un marquagespécifique : est gravé surle côté droit de la culassesous la chambre d’éjec-tion le marquage officiel

« LAPD SWAT CUSTOM II » et lenuméro de série commence parKLA114. Le K pour Kimber, LA pourLos Angeles et enfin 114 car c’est lenuméro d’appel d’urgence duLAPD SWAT.

Chaque policier du Swat reçoitdeux Kimber dont un va êtreéquipé d’une lampe tactique. Ils’agit du modèle 310R (3V) ou 610R(6V) de Surefire. Cette lampe,conçue à l’origine pour le 1911 parJohn Matthews, fondateur deSurefire et par l’armurier du LAPDSwat Bob Weber, est utilisée par leSwat depuis plus de 20 ans.Fonctionnant sous 3 ou 6 volts ,elle fournit de 65 lumens (3V) à 120lumens (6V) de lumière aveu-glante. Elle est utilisée soit pouridentifier, soit pour désorienter ouencore pour maîtriser un individu.La 310/610R est spécifique au PAtype 1911, elle se monte directe-ment devant le pontet et severrouille avec un arrêtoir deculasse spécial rallongé. La lampeest activée soit par un commuta-teur On/Off sur le côté soit par unpalpeur ambidextre à pression fixéaux plaquettes de crosse.

Avec l’adoption du KimberCustom II, le LAPD SWAT possèdeenfin un pistolet 1911 en .45ACPneuf, de qualité et uniforme.

Passons maintenant à la répliqueAirsoft.

Une réplique unique et rare.

Le modèle dont je vais vousparler est un custom relativementrare et cher, mais c’est la répliquequasiment parfaite du KimberCustom II du LAPD SWAT.

La réplique de base utilisée pourréaliser ce custom est un 1911 A1avec système Hop-up* du fabri-cant Marui. Marui est devenudepuis un peu plus de cinq ans lespécialiste des répliques d’armesde poing à gaz avec fonctionne-ment blowback. La société Western Arms, premièremarque à sortir il y environ 20 ansune réplique d’arme de poing utili-sant le système « Blowback » restele leader incontesté en terme dequalité de fabrication et deréalisme, mais aujourd’hui, Marui,avec sa puissance industrielle etson savoir-faire, a rattrapé le retardqu’elle avait dans le domaine desrépliques d’armes à gaz typeblowback.

Etant donné que le modèleKimber n’existait pas à l’heure deréaliser ce custom, il a donc falluprendre le modèle M1911A1version militaire, seule réplique de1911 disponible à l’époque dans lecatalogue Marui.

Pour réaliser ce Kimber, il a falluchanger pratiquement toutes lespièces (sauf mécanique interne,

Air soft ●●► Kimber Lapd Swat Custom 2

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●●► Kimber Lapd Swat Custom 2

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platine…) : En effet, il suffit de jeterun rapide coup d’œil sur unM1911A1 pour s’apercevoir quel’ensemble des pièces mécaniquesextérieures et cosmétiques estdifférent d’un modèle de la sociétéKimber et en particulier cetteversion Custom 2.

En fait, pour réaliser cette prépa-ration, seule la mécanique internedu M1911 sera conservée.

Voici en détail les pièces qui ontété remplacées :Ensemble culasse, canon, carcasseen aluminium usiné avec les vraismarquages Kimber et LAPD Swat,les organes de visée type Novak, lebouton de déverrouillage de char-

geurs strié, le plug ajouré avec satige guide de ressort de culasseallongée, le marteau allégé, ajouréet de couleur alu mat, la queue decastor (Beaver Tail) plus proémi-nente qu’un 1911A1, la sûretémanuelle spécifique ainsi que leHousing plat et strié (pièce sous laqueue de castor qui abrite leressort de marteau). La queue dedétente a également étéremplacée et est constituée detrois trous ronds. Pour peaufiner leréalisme, j’ai fait l’acquisition devraies plaquettes de crosse Kimberde couleur noire, achetée sur uncélèbre site internet de vente auxenchères.

L’ensemble des pièces énumé-rées ci-dessus provient du cata-logue de la société NOVA,spécialisée dans les piècescustoms pour les répliquesd’armes de poing à gaz, notam-ment les modèles de chez Marui.Suite au succès du film SWAT sortien 2003 ainsi qu’à la renommée dugroupe d’intervention américain,Nova décida de sortir cetensemble culasse/carcasse avecles marquages réels du modèleKimber Custom II LAPD SWAT.

Passons maintenant au montage.Tout d’abord, il m’a fallu démonterintégralement le M1911 de basepour pouvoir récupérer les piècesnécessaires. L’ensemble de lamécanique interne se monte sansproblème ce qui prouve la qualitéde fabrication des pièces Nova.Pour une meilleure cinématique etplus de puissance, j’ai procédé aureplacement des ressorts deculasse et de marteau d’origine.Enfin, je finis par installer sur laréplique les plaquettes noiresmates quadrillées. Voilà le Kimberest fini, passons maintenant à larevue de détail.

Comme nous allons le voir, laréplique est tellement fidèle aumodèle réel qu’il est quasimentimpossible de faire la différenceentre les deux à moins de les avoiren mains.

Air soft ●●► Kimber Lapd Swat Custom 2

●●► marquage fidèle à l’original

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Air soft ●●► Kimber Lapd Swat Custom 2

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Le canon est bien couleur inox,le bushing de calage est noir, lemarteau est allégé, ajouré et decouleur alu mat, la queue dedétente est striée sur le devant etpercée des trois trous ronds, lasûreté manuelle et la queue decastor sont fidèles tout comme lebouton de déverrouillage de char-geur. Les appareils de visées detype Novak sont constitués d’unehausse combat surélevée et d’unguidon sur queue d’aronde avecun point blanc (mais non autritium). Sur le devant et sur l’ar-rière de la poignée, on trouve unquadrillage fin. Les plaquettes decouleur noire ont un aspect légè-rement caoutchouté. La culasse estéquipée sur l’avant de 5 stries depréhension inclinées ainsi que 8sur l’arrière. Les marquages aussisont très réalistes. Sur le côtégauche de la culasse, le nom «Kimber » est gravé au milieu decette dernière. Sur le côté droitsous la chambre d’éjection estbien inscrit « LAPD SWATCUSTOM II ». Enfin sur la carcassecôté droit, on trouve les réfé-rences suivantes : « Kimber,Yonkers NY USA » (le nom de lamarque ainsi que l’emplacementde son siège) et sous cela lenuméro de série « KLA114154 » quirespecte bien ce qui a été dit plushaut concernant le modèle réel : Kpour Kimber, LA pour Los Angeleset 114 pour le numéro d’appeld’urgence des SWAT.

Alors que les chargeurs du vraisont des modèles sans talonnette,moi j’ai opté pour des chargeursavec talonnette type Wilson car jetrouve qu’ils équilibrent bien lebas de l’arme et permettent unemeilleure extraction en cas deproblème. Enfin pour augmenterun peu la puissance de laréplique j’ai installé un ressort deculasse et un ressort de marteaurenforcés ce qui permet un gaind’environ 30%.

Mais le Kimber ne serait pascomplet sans la fameuse lampetactique de marque Surefiremodèle 310R adoptée par le Swatde Los Angeles. Pour trouver cemodèle très rare car plus commer-cialisée aujourd’hui pour les civils,il m’a fallu passer des heures sur lesite internet de vente aux enchèresdéjà précité. Après plusieursexemplaires manqués, j’ai réussi àm’en procurer un exemplaire trèsrare puisque ce modèle est en faitun modèle 610R transformablesans modification en 310R : Cette610R est livrée avec un prolonga-teur amovible à pas de vis ce quipermet en quelques secondes depasser du modèle court 310R aumodèle long 610R et vice versa (ilest juste nécessaire de remplacerl’ampoule 6V par une 3V).

Me voilà donc en possession decette fameuse Surefire pour 1911.Ce modèle est équipé d’un inter-

rupteur on/off sur le côté gaucheainsi que d’un palpeur ambidextrequi se visse sur les plaquettes decrosse. Par souci de compacité etde réalisme, je laisserais le modèleen 3 volts. Pour l’installation del’arrêtoir de culasse rallongé, ilfaudra que j’élargisse un peu letrou de réception, car sur laréplique il est un peu plus petitqu’en vrai. Le palpeur ambidextre,qui prend place sur les plaquettes,se monte sans problème et sansjeu sur ces dernières en utilisantles vis rallongées fournies. A l’utili-sation, la puissance de la lampe3Volts suffit largement dans leszones de pénombre même elle nefournit seulement environ 45lumens.

Les palpeurs sont idéalementplacés et tombent parfaitementsous les doigts ; il faudra quandmême se méfier, car si on serre untrop fort la poignée, on met lalampe en fonction ce qui pourra

●●► Queue de détente ajourée et allégée

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poser quelques soucis lors deprogressions discrètes. D’ailleurs,au tir on allumera souvent lalampe, ceci étant dû à la légèrecrispation de la main forte aumoment du départ de coup. Voilàvous savez tout sur la présentationet la qualité de fabrication de cetteréplique et de son kit de transfor-mation, passons maintenant auxessais sur cible et en jeu.

Les essais

Concernant les chargeurs, cesderniers ont une capacité de 24billes car, malgré leur look typesimple colonne, Marui a réussi letour de force de faire des char-geurs à pile imbriquée.

Après avoir rempli le chargeuren gaz et en billes, j’insère cedernier dans la réplique et j’armela culasse. La réplique est prête àtirer. Je positionne ma cible papier(C50) à 10 mètres de distance et jecommence à tirer. Les premiers tirs

partent vers le bas car le hop-upest à zéro. Pour accéder à cedernier, il faut à chaque foisenlever la culasse et procéder auréglage pas à pas du hop-up via lamolette se trouvant sous lachambre du canon. Ce hop-up esttrès aisé à régler correctement etles tirs seront extrêmement précis.Avec un bon réglage, on obtientdes tirs précis jusqu’à une distanced’environ 30 mètres ce qui estimpressionnant pour une répliqued’arme tirant des projectiles de6mm en plastique.

Sur la cible C50, à 10mètres, les tirs ne sortent pas de lazone 7 à 10. Le groupement estbon. Je me recule à 15 mètres et jetire à nouveau : désormais les tirsse trouvent à partir du 6 de la cibleC50. Il est évident que la qualité dela bille (variable suivant lesmarques), mais également l’instal-lation ultérieure d’un canon«téflon » de 6,01mm à 6,04mm de

diamètre (le canon d’origine estd’un diamètre intérieur de 6,05mmet en laiton) permettront des grou-pements encore meilleurs.

En ce qui concerne le ressentilors des tirs, il est excellent etl’effet de kick du recul de laculasse est sec et franc. Les tirsrapides ne posent aucunproblème et l’on peut procéder au« double tap » sans arrière-pensée:en effet, le rappel de détente estfranc et court et permet donc desséries de tirs rapides. La prise enmain est sans reproche et lesaccessoires digitaux tombent natu-rellement sous les doigts (levier desûreté manuelle, arrêtoir deculasse, bouton de déverrouillagede chargeur…). La prise de visée,avec le guidon légèrementsurélevé et son point blanc ainsique la hausse de type Novak danssa version aussi surélevée, estaisée et l’acquisition des cibles esttrès rapide. Les chargeurs à talon-

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nette sont très pratiques car latalonnette permet de saisir le char-geur en cas d’extraction difficile dece dernier. Bien évidemment, ilfaudra éviter de laisser tomber leschargeurs au sol, car ils ne sont pasprévus pour et risque de casser oude se déformer. Ce phénomèneest commun à toutes les répliquesd’armes de poing, peu importe lamarque. La capacité des chargeursKimber à talonnette est de 24billes, comme ceux pour M1911A1.Enfin, avec un chargeur rempli degaz, on peut tirer à peu près deuxchargeurs de billes.

En ce qui concerne la lampeSurefire, les palpeurs sont telle-

ment naturels à utiliser qu’il estrelativement courant d’allumer lalampe même quand ce n’est pasdésiré. Effectivement, avec la cris-pation normale de la main fortesur la poignée, l’allumage estpresque systématique. Ilconviendra donc d’être vigilantpour éviter de se faire repérer lorsd’une progression tactique aucours d’une partie d’Airsoft.

Pour le jeu en partie d’Airsoft,cette réplique de Kimber SWATsera parfaite avec une tenue LAPDSWAT ou bien toute autre tenuede groupe d’intervention de policeaméricaine. Utilisé avec un étui decuisse Safariland modèle 6004(pour arme type 1911 avec lampeSurefire), son utilisation sera aiséeet son maintien sécurisé.

Les changements de chargeursse font très vite et la puissance dela réplique permet de toucherprécisément une cible (environ 95m/s avec une bille de grammage0,25gr).

EN CONCLUSION

ce modèle full custom KimberLAPD SWAT Custom II de la firmeMarui permettra d’avoir un belobjet, rare, très bien fini, fonction-nant parfaitement et qui susciterade la part de vos amis collection-neurs de répliques ou d’armesneutralisées une admiration et uneréelle envie de posséder le même.Bien évidemment un custom decette qualité se paye au prix fort etun total final d’environ 1000 eurossera vite atteint (réplique, kitmétal, ressorts, et bien évidem-ment la lampe Surefire). Laréplique simple de M1911 A1(carcasse et culasse en plastique)coûte quant à elle environ 150euros dans les boutiques spéciali-sées françaises. Avis auxamateurs...

Jean-Guy BECRETCrédit photos : J-G Becret