7
8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 1/7 Onzième séminaire des Ankhou. Après une interruption de deux ans, le Sé Ankhou, animé par Alain Anselin et Fabr repris. Il est désormais centré sur l’ étude d prédynastiques et de leur compar inscriptions à l’encre , sceaux , tablette toujours dans la perspective d’une a l’invention des premiers systèmes d’écri l’ontologie juridique de la Maât . Voici esquisse, un texte provisoire, de ce qui fu discuté au cours du Séminaire des Ank septembre 2010 , à Schoelcher ( Martinique Martinique Martinique Martinique ). . Potmarks Studies I. Etude discutée de lectures de Potmarks pré-dynastiques . Al Membre des Les siècles des Dynasties 0 et I sont cara de grands changements politiques e qu’exprime parfaitement le développement nouvelles formes politiques, de type étatiqu outil le plus remarquable, l’écriture – char les formes anciennes qui les encadrent de le et de leurs valeurs – et élaborant simult nouvelles règles. Correlation between Naqada IIIA1-IIID and Dyn. 0- ( Hendrickx Predynastic-Early Dynastic Chronology ,200 minaire des ice Silpa, a s potmarks ison avec et stèles , proche de ure, et sur la première présenté et hou du 21 in Anselin Ankhou térisées par culturels, conjoint de e , et de leur iant partout urs normes anément de 1 ,55-93 ) Les ink inscriptions fleurissent s s’affichent sur les jarres des tom souvent à Abydos, et reflètent l’é administratif sur les produits Egypte. Il y a une continuité d jarres de la tombe Uj et de celle la Dynastie I, elles investissent large (tombe S 3504 Saqqara) e privée de biens funéraires chez elles traduisent l’engagement évènements particuliers (comme de leur importance dans la gestio Ilona Regulski a commencé d’en minutieuse fournissant un é nouveau sur les équipes de dynasties ( I.Regulski Scribes in Early Dy dem Sand. Streiflichter aus Ägptens Ges Dreyer, ed. Eva-Maria Engel, Vera Mülle Wiesbaden,581-611 ). S’il est vrai q stèles ou des sceaux obéissent culture funéraire exprimant le st royal des produits et des domain inscriptions des premiers rois le comparaison solide par la ré standard jetées à l’encre sur environ 1500 à Saqqara et autant Ilona Regulski a dénombré, so des données de la tombe royal Qa’ab), 25 inscriptions conce Upper Egypt , i i i pw.t s s s m c cc c .w, et n h h h b (?) m h h h w, deliveries from Egypt . Sous Aha , à partir des d de la tombe S 3357 de Saqqara, elle identifie deux équipes de s différentes ( I.Regulski,2008,592 ), l’une deliveries from Upper Egypt , arrivals from Lower Egypt , l’abr mrw , revenant plusieurs fois. Rem du sémitique: akkadien : s s s amnu gil ereni , huile de cèdre ( (R.Middeke-Conlin the Aromatics Industry in OLd Babylonian Les potmarks sont attestées dès Hor (E. van den Brink Two pottery jars i from the Tomb B1 at Umm el Ga’ab, Abydos , U. Hartung, op.cit .,2008, 655-660 ). Elles le pouvoir, ou y être liées – certa Egypte sont même « like serekhs et connaissent leur apogée à la D sont elliptiques, des groupes de si ous la Dynastie 0, elles bes des pharaons, donc tendue de leur contrôle e Haute et de Basse es ink inscriptions des de la Dynastie 0. Sous un champ social plus reflètent la disposition les élites. Dynastie II, des scribes dans des le hb sd ) et témoignent du pouvoir. établir une paléographie clairage sociologique scribes des premières nastic Egypt [in:] Zeichen au chichte zu Ehren von r und Ulrich Hartung, 20 e les inscriptions des à des règles précises, atut social ici, contrôle es là, la cursive des ink ur propose un point de étitivité d’inscriptions le flanc des poteries, à Abydos. s Sekhen/K 3 , à partir e d’Abydos (Umm el nant des accounts of 10 des Lower nnées Ink inscriptions ribes (Petrie, 1901, XXX gérant, i i i n.w s s s m c cc c .w, les l‘autre , i i i w.t m h h h .w, les gé du nom de l’huile, rque : le mot égyptien diffèr lu, huile de roseau, s s s aman , The Scents of Larsa : A Kingdom ,thesis, Yale, 2010, 68 ). la Dynastie 0, sous i i i ry cised with the name of [in:] E-M Engel, V. Müller u semblent inspirées par ines potmarks de Basse type ». Elles foisonnent ynastie I . Leurs formes gnes, deux ou trois.

Alain Anselin Potmarks Studies I II

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Alain Anselin Potmarks Studies I II

8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II

http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 1/7

Onzième séminaire des Ankhou.Après une interruption de deux ans, le SéAnkhou, animé par Alain Anselin et Fabrrepris. Il est désormais centré sur l’ étude d prédynastiques et de leur comparinscriptions à l’encre , sceaux , tablettetoujours dans la perspective d’une al’invention des premiers systèmes d’écril’ontologie juridique de la Maât . Voiciesquisse, un texte provisoire, de ce qui fudiscuté au cours du Séminaire des Ank septembre 2010 , à Schoelcher ( Martinique Martinique Martinique Martinique )..

Potmarks Studies I. Etude discutée de lectures de Potmarks pré-dynastiques .

Al

Membre des

Les siècles des Dynasties 0 et I sont carade grands changements politiques equ’exprime parfaitement le développementnouvelles formes politiques, de type étatiquoutil le plus remarquable, l’écriture – charles formes anciennes qui les encadrent de leet de leurs valeurs – et élaborant simultnouvelles règles.

Correlation between Naqada IIIA1-IIID and Dyn. 0-(HendrickxPredynastic-Early Dynastic Chronology ,200

minaire desice Silpa, as potmarks ison avec

et stèles ,proche deure, et surla premièreprésenté et

hou du 21

in Anselin

Ankhou

térisées parculturels,

conjoint dee, et de leuriant partouturs normesanément de

1 ,55-93)

Les ink inscriptions fleurissent ss’affichent sur les jarres des tomsouvent à Abydos, et reflètent l’éadministratif sur les produitsEgypte. Il y a une continuité djarres de la tombe Uj et de celle

la Dynastie I, elles investissentlarge (tombe S 3504 Saqqara) eprivée de biens funéraires chezelles traduisent l’engagementévènements particuliers (commede leur importance dans la gestioIlona Regulski a commencé d’enminutieuse fournissant un énouveau sur les équipes dedynasties ( I.RegulskiScribes in Early Dy dem Sand. Streiflichter aus Ägptens GesDreyer,ed. Eva-Maria Engel, Vera MülleWiesbaden,581-611). S’il est vrai qstèles ou des sceaux obéissentculture funéraire exprimant le stroyal des produits et des domaininscriptions des premiers rois lecomparaison solide par la réstandard jetées à l’encre surenviron 1500 à Saqqara et autantIlona Regulski a dénombré, sodes données de la tombe royalQa’ab), 25 inscriptions conceUpper Egypt , i ii i pw.t s ss s mc cc c .w, etn h hh h b (?) mh hh h w, deliveries fromEgypt . Sous Aha , à partir des dde la tombe S 3357 de Saqqara,elle identifie deux équipes de sdifférentes ( I.Regulski,2008,592), l’unedeliveries from Upper Egypt ,arrivals from Lower Egypt , l’abrmrw, revenant plusieurs fois. Rem

du sémitique: akkadien: s ss s amnu gilereni , huile de cèdre ((R.Middeke-Conlinthe Aromatics Industry in OLd Babylonian

Les potmarks sont attestées dèsHor (E. van den BrinkTwo pottery jars ifrom the Tomb B1 at Umm el Ga’ab, Abydos, U. Hartung,op.cit .,2008, 655-660). Ellesle pouvoir, ou y être liées – certaEgypte sont même « like serekhset connaissent leur apogée à la Dsont elliptiques, des groupes de si

ous la Dynastie 0, ellesbes des pharaons, donctendue de leur contrôlee Haute et de Bassees ink inscriptions desde la Dynastie 0. Sous

un champ social plusreflètent la disposition

les élites. Dynastie II,des scribes dans desle hb sd ) et témoignent

du pouvoir.établir une paléographieclairage sociologiquescribes des premièresnastic Egypt [in:] Zeichen auchichte zu Ehren von r und Ulrich Hartung, 20e les inscriptions desà des règles précises,

atut social ici, contrôlees là, la cursive des ink ur propose un point deétitivité d’inscriptionsle flanc des poteries,à Abydos.s Sekhen/K 3333, à partire d’Abydos (Umm elnant des accounts of

10 desLower nnées

Ink inscriptions ribes (Petrie, 1901, XXX gérant, i ii i n.w s ss s mc cc c .w, les

l‘autre , i ii i w.t m h hh h .w, lesgé du nom de l’huile,

rque : le mot égyptien diffèrlu, huile de roseau, s ss s aman, The Scents of Larsa : A Kingdom,thesis, Yale, 2010, 68).la Dynastie 0, sous i ii i rycised with the name of

[in:] E-M Engel, V. Müller usemblent inspirées parines potmarks de Bassetype ». Elles foisonnentynastie I . Leurs formesgnes, deux ou trois.

Page 2: Alain Anselin Potmarks Studies I II

8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II

http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 2/7

Les potmarks correspondantes aux tombS3504 observent la même distribution grépartie entre Abydos et Saqqara que les ink des tombes des rois et des élites. Elles époucarte des inscriptions scigillographiques.tombes royales des souverains de la D

Abydos et dans celles de leurs haut-foncSaqqara, les potmarks ne «voisinent» pasavec les empreintes de sceaux . Edwin vanétabli un inventaire du voisinage de ces dles tombes abydiennes d'Aha à Qa'a, et poélites de Saqqara (tombes 3357, 3471,3503, 3035, 3036, 3506, 3507, 3038, 3111,chronologique). Les tombes abydiennesune balance potmarks / impressions de sceamais sur des quantités appréciables, partila tombe T de Den, 269 potmarks/ 227 imsceaux . Les tombes de haut-fonctiondominées par le poids des impressions de scDjed, et leur disparition ensuite, sauf pour3506 (61 potmarks /178 impressions de scerègne de Den (E. van den Brink,The International Pot While at London or After or How to Progress with the Study Potmarks, Egypt at its Origins 3, 2008,s.p. Cf. aussi EdwPotmark Egypt.Com, Egypt at its Origins 2, 2005, LeuvenEdwin van den Brink précise : « Sincewine jars (potmarked or not) were seacaps/cones bearing cylinder seal impressionexpect indeed many sealings in those tombwine jars (with or without potmarks; as fothe case of Tomb T/Den [269/227]) and fein those tombs with fewer wine jars (wit potmarks); as for instance in the case of T (65/29). Since not necessarily all potmark the royal and elite tombs are only wine ja(frequently) and bowls (sometimes) also car this would perhaps explain some of the d between numbers as, for instance, in the cY/Merneith (442/56), although this should against the actual record, that is one should out how many of the 442 potmarks a

Merneith's tomb actually do appear on wihow many on other types of pottery vesselsBrink,communication personnelle, 20-10-2008). Empreintes de sceaux , des ink inscriptipotmarks sont distribuées là où le pouniveaux de hiérarchie dans la chaîne opérdistribution des biens, les répartit.inscriptions permettent de suivre «à la tral’appui, comme ceux de Hemaka ( htm.w b i ii i t

s S3357 etéographiqueinscriptions sent aussi la

Dans lesynastie I à

ionnaires àpar hasard

den Brink années pourr celles des185, 3504,

dans l'ordreprésentent

ux variable,culièrementressions deaires sont

eaux jusqu'àla tombe Sux), sous learks Workshop:

of Early Dynasticin van den Brink,2008, 237-239).any of the

ed by clays you would

with manyinstance iner sealingsor without mb Q/Qa'a

d vessels ins (beer jarsy potmarks)iscrepenciesse of Tombbe checked try to figurepearing in

e jars, and (Edwin van den

ons et desoir, et sesatoire de laoutes ces

ce», titres àt mdh dh dh dh nsw ),

ceux qui, au sein des élites, ul’exercice du contrôle palatialtravaux, et d’esquisser les contonaissant. Se dessine ainsi lafunéraires qui sont au principetombes d’Abydos au sud à cell

qui fournissent l’essentiel desBasse Egypte de Minshat Abou Opar Tarkhan ( L.Mawsdley), milieu eautour des Sequence Dates 77-8le Nagada III C2-D de Stan HenLe graphisme des potmarks estlogographique que celui des isemblent caractérisées par ungroupes de deux ou trois signpouvant présenter des difficultépeut-être une maitrise diffégraphiques liée à la strate socialphénomène non pas dialectal, mbien que nombre de ces signesdes premiers hiéroglyphiques,d’entre eux n’apparaissent pasautres inscriptions, Geoffrey Tahieroglyphs à leur propos ( G.Tassie,B.Calcoen,Corpus of Potmarks from the P Cemetery at Kafr Hassan Dawood, Wadi Tuits Origins 2, 2005, Leuven 2008,203-235).Nous prendrons pour premienotre étude la série [ poisson +qui apparaît 6 fois comme potm219d, 220d, 222d) dans lesd’Hemaka, S 3035, à Saqqara, criches d’inscriptions phonétisées.Cette série de deux signes estnotamment Tombe X53, sous c cc c d d

Abydos (source : Edwin van den BOn la retrouve à Saqqara tomtombe S 3505, sous Qa’a ( cf.table

sent de l’écriture dansdes produits et des

rs d’un appareil d’Etatcarte des institutionsde sa légitimité, des

s de Saqqara au nord,

onnées, et jusqu’à lamar ( K.Kroeper) en passantt fin de la Dynastie I,, de Petrie, c'est-à-direrickx.moins élaboré et plus

nk inscriptions . Ellesformat standard de

es, parfois simplifiés,s de lecture et refléterrente des standards

le de leurs auteurs - unais diastratique. Aussi,soient contemporains

et parce que certainsdans les corpus des

sie parle de preformalF.Hassan, J.van Wetering a

rotodynastic to Early Dilat, East Delta, Egypt, Egypt at

thème de(rectangle )]rks (195c, 214d, 218c,oteries de la Tombelèbre par des étiquettes

fréquente à Abydos,i i i i b (Petrie RTI 1900).

rink, Egypt-Potmark.com )e S 3506, sous Den,

au chronologique plus haut).

Page 3: Alain Anselin Potmarks Studies I II

8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II

http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 3/7

En Basse Egypte, elle est attestée à Tark Minshat Abu Omar, 4 fois (tombe T311 deKafr Hasssan Dawood, 4 fois (tombes 4000et 4058 sur des wine jars (G.Tassie and al.,2008, 228,

Potmarks de Minshat Abu Omar(Kroeper,2000,2 A Minshat Abu Omar, la série apparaitombes de la Early Dynastic period , sur desPetrie SD 78-80 , tombe T 1590 datée de Se82, middle and end of DI et sur des wine jtombe T 1590, et 15 fois tombe T 2275 ( K.KroElite in MAO, 1992,127-150, part. 139-140, [ in :] E. van den Brin1992). Karla Kroeper propose une lecture asecond signe, carré ou rectangulaire : h hh h wt ou

Lisa Mawsdley a souligné la fréquence,significative, de ce second signe: « …the moapplied mark appears to be from sign-gr group includes marks that are composed square or square with one or more secoDue to the shape of the sign it has been inh hh h wt (Gardiner O 6), and may have been used an estate (Kroeper 2000, 216). It must be noteusually depicted as a rectangular enclosmaller building within one corner while(Gardiner Q 3) denotes the letter p. First Dynames on seal impressions are inscribed wirectangular or square enclosure so it would either shape could be used to represenalthough the main form was the rectanglpossible that the square may have berepresent pr (Gardiner O 1) or house ». Potmar 9 wine jars à Tarkhan ( cf . figure ci-dessous ).Lisa Mawdsley relève l’association de cecelui du poisson « Of interest is one typincised with a fish adjacent to a square . Fisa wide chronological range from the reigQa’a and are frequently found on vessels f Saqqara and Minshat Abu Omar (Helck,1992000,208), but are poorly attested at TarkhanThe corpus of potmarks from Tarkhan,BMSAES 13,2009,19

Marks with squares on wine jars, Tarkhan(after Petrieet al.1913, XX, XXXI; Tomb cards for tombs 115 and 148, Petrie

an, Abusir,Sabu), et à

, 4034,4051234).

08).

t dans huitVessels typemerchet, SD

rs : 22 foisperTombs of the,The Nile Delta…,lternative dur i ii i .

sans doutet frequently

oup I. Thisof a singledary signs.

terpreted ast o represent

that h hh h wt isure with athe square

nasty estatethin either aappear that

an estate,. It is alson used toattestée sur

signe avec76l vessel

h signs haveof Den to

om Abydos,,18-19; Kroeper,» (L.Mawdsley,7-219).

Museum, London).

A Minshat Abu Omar, le poissonrameau ou un arbre, dans une graà celle d’une série d’ ink inscriptio

Potmark de Minshat Abu Omar et ink ins

Les ink inscriptions des jarres duaussi la figure du Scorpion, mbassins , s ss s , qui fourniront plusnotion de département administrarbres , exprimant une commétonymiques de l’arbre , qui délou se confond avec lui, du poinqui l’administre, pour qualifier l

Scorpion + rameau/bassin/arbr

Potmarks de Tarkhan (Kroeper, 2000,208) et

Les potmarks de la tombe 3040l’arbre et le rectangle d’édificemais peuvent aussi associer lespotmark de la Tombe d’Hecomposée d’un groupe de trodénominateur commun des drameau et rectangle ? Quel seiconographique, particulièremepoisson ? Ilona Regulski lui atdans une ink inscription standardof Upper Egypt figurant à cotéantérieure aux potmarks de la To2008, 592, 590 : figure 2). Sa graphie, acen traits, privilégie l’articulationi ii i n est combiné au bol nw:

Ink inscriptions portant le serekh d’Aha(Regulski,2008,590,fig.2)

La combinaison du hiéroglyphesigne commutable avec le poissécrire i ii i n.w est attestée par l’inscrLauer,PD, V, 13, Abb56), lue i ii i n.w pr.w Frühägyptisches Wörterbuch, 2002, 149).données, cela ne saurait suffiautoriser à voir dans laou h hh h wt, et de deliveries , i ii i n.w.

est parfois associé à unhie cursive comparable

ns de la tombe Uj.

criptions de la Tombe U-j

roi Scorpion associentétaphore royale, à destard leur référent à laatif, et des rameaux vsutabilité des signes

limite l’espace contrôlé,t d’eau , et de l’ édifice s domaines contrôlés.

e/ ? (Dreyer, 1998).

de Saqqara (egypt-potmark.c

de Tarkhan commutent(3040/17 vs 3040/28),deux (1590/67). Une

maka à Saqqara estis signes, le poisson,ux signes domaniaux,ns donner à ce libellét au graphème duribue une valeur i ii i n.w, i ii i n.w s ss s mc cc c .w, deliveriesdu serekh d’Aha, donc

be d’Hemaka ( I.Regulski,ompagnée d’un plurielphonétique : le poisson

de la maison et d’unon, le bol jambé, pouription d’un vase ( Lacau &par Jochem Kahl ( Kahl,En l’état actuel des

re cependant à nousention d’un office , pr

Page 4: Alain Anselin Potmarks Studies I II

8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II

http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 4/7

En effet, il semble difficile de rapprocher ici le signe dupoisson des ink inscriptions de celui des potmarks et delire celles-ci Deliveries Office . D’abord, parce que lessignes i ii i n.w (bol jambé ou poisson+vase nw ) ne sont pasassociés à un signe pr dans les ink inscriptions , et nefournissent donc pas un groupe correspondant à celui de

la potmark . Ensuite, parce que les ink inscriptions sontautant de tax inscriptions , inscrites avant distribution, desmarques de contrôle économique du pouvoir – et non desmarques incisées avant cuisson sur les poteries dansl’atelier même du potier, référant à un autre type decontrôle. Karla Kroeper propose une interprétationfondée sur l’exploitation des matériaux du site de MinshatAbu Omar dans le delta oriental: « The possibility that the marks may be an indication of contents seems rather small since most marks were applied at the ceramicworkshop/s, and similar marks are found on different vessel types…That a distribution or collection place might be indicated by some of the marks is more likely. Inparticular the large amount of double signs consisting of squares ( h hh h wt) with fish or other signs may indicated aplace of origin from some centre of distribution in theDelta, especially as some main estate names in the Deltaknown from the Old Kingdom contain a fish sign in thename » (K.Kroeper,2000,216). Geoffrey Tassie observe la mêmecombinaison de signes sur les poteries du site voisin deKafr Hassan Dawood et reprend les conclusions de KarlaKroeper: « As many estates/sites are attested as havinga fish sign in their name, at least as early as the Old Kingdom, it may well indicate the place of origin of thevessel or a regional redistribution centre (Kroeper 2000:216)» pour les développer : «As most of the potmarkswere incised before firing, the place of origin is morelikely indicated, rather than a regional redistributioncentre (unless the place of origin was such a centre), for this would imply that certain vessels were produced at asite with the express intention of naming the large nodesof redistribution, rather than place of origin ». «Thisdistribution pattern is in accord with the large royaladministrative centres acquiring or appropriatinggoods, particularly wine and other foodstuffs originating

from (East) Delta localities to supply their feasting (….)and redistribution requirements . Also, the absence of this type of potmark from the corpus of about 900potmarks from the small agricultural community of Adaïma in Upper Egypt ( Bréand, pers. comm. 2005) would seem to support this distribution pattern : that the largeroyal administrative centres were the final destination of goods from the Delta, rather than smaller Upper Egyptiancommunities having direct access » (G.Tassie et al.2008,210 & 212).

Comme nous allons le voir plus bas pour la période post-XX° dynastie, le hors institution va donc sans potmark .Au bout du compte, ink inscriptions , sealings etpotmarks font affleurer au ras des tombes un circuit dedistribution supposant des commanditaires, uneadministration des produits à livrer (i ii i n.w ), et des

chaînes opératoires enchâssées les unes dans les autres,qui conduisent le produit à ses destinataires. Ilsfournissent littéralement une traçabilité archéologiquedes (produits contenus dans les) poteries, de leurcommande royale à leur destination cérémonielle. Lespotmarks incisées sur les wine jars sont de loin les plusnombreuses ( cf. E.van den Brink, plus haut) et donc les mieuxexploitables dans la révélation du système.Le système de contrôle de la production et de ladistribution du vin tel que Pierre Tallet l’a brillammentreconstruit pour les âges plus classiques du NouvelEmpire, est sans doute plus sophistiqué que celui dontles premières inscriptions nous livrent vestiges. Mais ilfournit en retour un éclairage incontestable au modèleinitial que Geoffrey Tassie dégage de l’exploitationcomparative de leurs données sur un site du Deltaoriental pour la période prédynastique. Pierre Tallet meten évidence le rôle d’un véritable bureau administratif aucentre du dispositif au Nouvel Empire, dans le marquagedes jarres, leur scellement, puis leur étiquetage. Cetoffice, supervisé par un i ii i my r 3 33 3 pr ou parfois un ss ss s nsw, un scribe royal, contrôle les ateliers qui fabriquent lesjarres -certaines incised before firing - et en approvisionneles domaines (vignobles). Les jarres remplies, lescellement du vin est délégué à un chef des vignerons ,h hh h ry k 3 33 3 myw, m d dd d r.t , en bas de la hiérarchie , qui lesretourne à l’office qui les étiquette avec mention dudestinataire, l’institution bénéficiaire, temple ou palais(P.TalletQuelques aspects de l’économie du vin en Egypte ancienn[in :]N.Grimal & B.Menu, eds.Le commerce en Egypte ancienne, IFAO, Le Caire, 19241-268). Pareille organisation s’inscrit dans la continuitédes vestiges prédynastiques du système. Les inscriptionsdes jarres sont ainsi «les témoignages de ce qu’on aappelé la «gestion domaniale » [qui] ne se conçoivent que dans le cadre d’une gestion directe des terres par

les institutions qui en bénéficient » conclut Pierre Tallet.La faillite partielle de ce modèle à la fin de la XX°Dynastie, et « le passage à une économie reposant davantage sur l’affermage des terres à des particuliers ,ou système bénéficial, entraine de façon logique ladisparition de ce marquage des récipients (souligné par nous)».En ce qui concerne le prédynastique, les mêmes typesde marques et leur répartition géographique suggèrentune unité de contrôle de forme semblable à celle des

Page 5: Alain Anselin Potmarks Studies I II

8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II

http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 5/7

âges classiques; ils peuvent indiquerdestinations des produits contenus,nécessairement des lieux de manufacture dedont l’identification appelle de solidechimiques des matériaux - celles réalisées pde basalte, distribués dans toute l’Egypte

évidence leur fabrication dans des ateliers undans le delta ( Leanne May Mallory,Predynastic and First Basalt Vessels, Toronto, 2000). Transparait ainsijalonné des marques graphiques des respoateliers de fabrication des poteries; portandes domaines fournisseurs (un répertoid’édifices fournissant leur modèle à l’orgbassin > département ) ; et l’empreinte, scigilde l’instance qui supervise tout le sfractionnements et allotissements des biens dCette concentration du palais, de la poterie,de production des offrandes funéraires danintégré n’est pas nouvelle. Elle a antécédenEgypte, bien avant que le pouvoir n’étendeà des territoires de plus en plus lointains.les sites Hk24A et Hk25D de Nekhen ont lboulangerie et brasserie fournissant la bièredes cérémoniels royaux du Nagada IB-IIAque l’écriture n’apparaisse, et suggèrent unelocation of a critical node of a local resystem » dessinant au sol un patron politijoliment par Michael A.Hoffman de beer b(J.Geller, From Prehistory to history: Beer in Egypt [in :] RAdams (eds.),The Followers of Horus. Studies dedicatedHoffman,Oxford,1992,19-26).Au Nagada IIIA2, ennombre des jarres de vin palestinien de lScorpion à Abydos, le vin rejoint la bièrseule boisson cérémonielle des élites, danway of death . Au pays de la bière qu’el’acculturation du vin est développée comde distinction sociale. Rapidement, les roivignobles en Egypte même. Raymond W1908 comme vignobles royaux des domainde Den, et les domaines de Adjib, dw3 33 3 w h hh h c c c c h hh h du Corps d’Horus , de Qa’a, nbw h hh h c c c c h hh h r,

d’Horus (R.Weil,1980,444 à 448).Dans tous les cas de figure, le vin est devenégyptien - un bien somptuaire faisant l’économie intégrée, du vignoble qui le produroyale - et/ou au palais- qui le consomment.sous contrôle exclusif du pouvoir royal, ilmême coup comme l’un des bancs d’essprofilés de l’institution du contrôlepharaonique.

origines oumais pascontenants,

s analysesur les vases

, mirent en

iques, situésDynasty Egyptianun circuit

nsables desla «griffe»

e d’arbres,nisation : s ss s lographique,stème des

e prestige.des ateliers

s un circuitts en Hauteson contrôleNotamment,ivré poterie,, h hh h nk kk k t n d dd d mt,, bien avant«deliberate

distributionque qualifiérons model . Friedman & B.to Michael Allentémoigne lea tombe de, jusque là

s l’ egyptianst l’Egypte,

e un signes créent desil donne ens de Djet etr, Adorationr du Corps

un produitobjet d’uneit à la tombeTotalementapparaît dui les mieuxdministratif

Douzième séminaire desLe douzième séminaire des Ankho2010 , à Schoelcher ( Martinique Martinique Martinique Martinique ). Acourte étude comparative d’une pot un exposé de sa méthodologieconstructions d’ ontologies juridiqu

qui fera l’objet d’une publication dd’Egyptologie n°15 (juin 2011).

Potmarks Studies II. Etude discu

de lectures de Potmarks pré-dynastiqu

Distribuées sur des supports pardes lieux éloignés mais toujoursquatre inscriptions prédynastiquesd’avoir en commun tous leurs sigTrouvé dans une tombe prédyvase de marbre noir porte un

Qa’a, avant-dernie(Petrie, 1901,Royal Tomgravé à sa gauchinscription de trois

groupe de quatre signes.La stèle de S3 33 3 b.f , haut dignitairQa’a, a d’abord en comminscriptions d’un autre vase d

de Qa’a ( W.Fl. Petrie,RTI , pl.IX), et d’même roi, la mentiHorus harponneuservice dont s’honrègne de Djoser (II

Hsyr c cc c , le hiéroglyphe V 32, uremplaçant celui du harpon, T21,du scribe h hh h m n t tt t r Hr msn(w) P i ii i

(J.E Quibell,SaqqaraV, 1913, 31.5) .Stèle de Sabet tablette d(Petrie,RTI ,

F. Griffiths ( RTI , 1901, 44, § 36) transstèle de Sabef H HH H nt(y), celui quiHrw , «of Horus who is alone », dnom du Palais ; Raymond WeiHarpon de la Ville d’Horus (R.pharaonique. La II° et III° Dynasties, Paris,(J.Kahl,Frühägyptisches Worterbuch, WiesbadeRaffaele ( http://xoomer.virgilio.it/

Ankhou.a eu lieu du 21 octobre

lain Anselin présenta uneark rare, et Fabrice Silpa,(modèle logique de

s appliquées à la Maât ,

ns les Cahiers Caribéens

tée

es .

Alain Anselin

faitement différents enen contexte funéraire,

ont ceci de remarquablenes sauf un.nastique d’Abydos, unserekh au nom de K3 K3 K3 K3 c cc c , Horus de la Dynastie I

bsI, pl.IX). Le rectanglee est le cadre d’unesignes - ce qui fait un

du règne den avec lesmarbre noir

une tablette d’ivoire duon d’un édifice dédié à

h hh h wt Hr msnw P i ii i -rera plus tard sous leI° Dynastie), le célèbren flotteur de roseaux,dans la graphie du titresur un panneau de bois

f, vase de marbre de Qa’a’ivoire de Qa’apl.IX, pl.XXXVI ,48 ;RTII , 5.2 )

litère cette partie de lapréside, h hh h c cc c .ty wc cc c w pwans lequel Petrie voit lel la traduit Château du.Weill Les origines de l’E1908, 277).Jochem Kahln, 2004, 301) ou Francescofrancescoraf/hesyra/hesy.htm)

Page 6: Alain Anselin Potmarks Studies I II

8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II

http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 6/7

fournissent une translitération, h hh h wt h hh h r.waujourd’hui acceptée. Ce titre n’est pl’inscription d’un vase mentionnant Adjib(Kaplony,Steingefäbe,1963,20) comporte égalementet rectangle de coin – il faut donc bien lire :Horus harponneur de Pe .

Le registre supérieur de la stèlede Sabef énumère ses titres – ledernier, n nn n rp pr d s ss s r , Intendant dela Maison Rouge, et le second, n nn n rp hb , DiFête , encadrent le titre de H HH H nt(y) h hh h wt h hh h r.Premier du Château d’Horus harponneuCe qui nous intéresse ici, c’est bien le preregistre supérieur de la stèle, identique àsur le vase de marbre noir pourvu du serek Deux potmarks provenant de wine-jars d’du Delta oriental, Minshat Abu Omar ( K.KPotmarks from the Pre/Early Dynastic Cenetery at Mi(Northeastern Delta, Egypt ), RecentResearch into the Stone Age ofNortheastern Africa, Poznan, 2000,187-218), présentent en effet defortes similitudes dans leur libellé, bien que lsoient pas dans le même ordre – problème dpour le groupe [ maison-poisson ], et que ld’entre eux diffère. Les deux potmarks appmême horizon prédynastique que les vases dstèle, et présentent les caractéristiques cpotmarks de la Dynastie I. Il y a donc unarchéologique et chronologique à rappotmarks des sites du Delta des inscriptid’Abydos.Quelle lecture proposer ? celle de Griffithn nn n3 33 3 nb , “the governor of the Residence of Abehind ” (Griffiths, 1901, 44, 36) que Petrie tientde la tombe de Qa’a ( Petrie, idem, 21).d’interrogation à propos du premier mot estOn admet aujourd’hui que le signe dreprésente le hiéroglyphe O6 de l’édifice h hh h autres signes communs font l’olecture inchangée : hiéroglyphe M 16, clum

phon. h3 h3 h3 h3 , behind , et hiéroglyphe V16, lserving as hobble for cattle , phon. s3 33 3 , z3 33 3 , pGardiner, 1988, 580 et 523). Pour sa part, le hiéronb , wickerwork basket , phon. nb : lord ;all , figuré sur la stèle de Sabef ne se rdans les potmarks (un et deux traits horemplacent). Enfin, la seconde potmark deOmar est combinée à un carré quadrilll’ébauche d’un poisson (?), cf. Potmarks Studies

msn.w P i ii i ,s nouveau,, mr p i ii i bi3 i3 i3 i3 carré du pi ii i

Château d’

ecteur de lamsn.w P i ii i ,

r de Pe .ier titre ducelui portéh de Qa’a.n cimetièreoeper,Corpus of shat Abu Omar

les signes nejà rencontrée quatrièmertiennent aue pierre et laurantes dese cohérencerocher les

ons royales

s: ( h hh h c cc c -ty ?) s3 33 3 ll Protection

our le nom Le point

e Griffiths.u rectanglet. Les deux

jet d’uneof papyrus ,

ooped cord rotection (A.lyphe V30,nb : every,etrouve pasizontaux leinshat Abu

é , pr (?) etI.

La similitude du libellé iconpotmarks avec les graphies dstèles, vaut donc pour trois descombinaison, on l’a vu, est tenom de la Tombe de Qa’a. Ledatées du règne de Qa’a à la fin

ainsi de tous les partenairesportant nom de domaines , nbd’Horus dans lesquels Raymondroyaux ( R.Weil,1908,444-448) ; nom d royaux ; et potmarks incisées surdes ateliers au centre de distributiSi l’on pouvait retenir une valel’inscription de la stèle de Sabef de signes de la potmark , la jarreOmar combinerait mention, rarl’Horus Qa’a, et du centre de rfournir sa tombe - un centre voisioriental, que désignerait le secondToutefois, outre le problème de lde la mention d’un commanditexpliquer pourquoi la jarre 3009site d’une région de vignobles,dans le Delta Oriental, et noncomplexe funéraire de Qa’a à Ab

Une certitude : le vin est un bdont se prévalent les Horus de lvin, l’écriture apparaît elle aussi cdont l’emploi, réglé par les

égyptienne, se répand avec l’erègnes du contrôle des aggloruraux, les n i ii i wt, à tout le pays *, ettissu de réseaux socio-économiqupar les hiérarchies que développL’Etat s’enracinerait ainsi dansomptuaires funéraires de la rodistinction et d’apparat sociald’institutions et d’équipements(prêtres lecteurs maîtres de l’orn t tt t r, corps d’artisans, sculpteurs,mutant en scribes, ss ss s .w, maîtresL’écriture aurait trouvé là conteémergence et son rapide essor.moins dispendieuse - mais, pourgrâce auquel nous pouvons alchiffres et des lettres pour en parl

*Ce que met excellemment end’une période plus tardive, len i ii i wt nn hk3 hk3 hk3 hk3 h hh h wt.s, tu es comm(Conte du Paysan, BI 220-221, édition de

ographique des deuxes sceaux, tablettes et

quatre signes dont lanue par Petrie pour lecorpus des inscriptionsde la Dynastie I atteste

’un système : sceauxh hh h c c c c h hh h r, Or du Corps

Weil voit des vignoblese domaines funérairesdes jarres fournies par

on royal.r semblable à celle depour le premier groupe3909 de Minshat Abu

, d’un commanditaire,edistribution chargé de

des vignobles du deltagroupe [ poisson +carré ].

a similitude incomplèteire royal, il resterait àa été retrouvée sur unà Minshat Abu Omarsur le site même du

dos en Haute-Egypte.

ien politique nouveauDynastie I. Comme lemme un bien politique, ormes de la culture

xtension en quelquesérations des espaces

se décline au long d’uns ordonnés eux-mêmesleur administration.la gestion des fastes

yauté et son souci de, une gestion lourdedu pouvoir nouveaux

aliture religieuse, mdwpeintres, iconographes,e l’écriture).te favorable à sa lenteUne origine à tout le

tant, un détour fécondligner aujourd’hui deser.évidence par défaut à proposConte du Paysan : mk tw m

une ville sans gouverneur .Le Guilloux, 2002).

Page 7: Alain Anselin Potmarks Studies I II

8/7/2019 Alain Anselin Potmarks Studies I II

http://slidepdf.com/reader/full/alain-anselin-potmarks-studies-i-ii 7/7