2
Amour, Ton nom est si bref mais d’une profondeur émerveillée diversifiée. Il me semble connaître ton nom autrefois, autrefois véhiculait par un train qui ne cessait de donner naissance a des wagons mensongers, garni d'étoiles venimeuse. Ton nom qui se fait écho en moi, cet écho qui ne cesse de s’étendre des quatre coins de l’horizon. Cet horizon a perte de vue qui s’étend à nouveau devant moi avec une inspiration de crainte et de fascination. Une interpellation de ta part ? Sous une autre présentation ? ! Je ne te connais pas, mais je pars à ta recherche à la recherche de ton énigme dans tes lettres avec une vision plus mûre. A ta première lettre : un pilier pour le monde. A ta première lettre : une déesse qui trône l’univers enchanté des lettres. Veux-tu me dévoiler les secrets du reste de tes soldats ? Ah! Je vois déjà que t’as choisi tes fidèles trois voyelles dont tu es la première comme pour voir, explorer ton monde accompagné de deux consonnes chantantes. Ce «M» qui t’enchaîne, une chaîne de montagnes qui remontent qui descend qui se croisent. Heureux sont ceux qui se croisent et qui demeurent. Ce «M» qui se transforme à la fois en une paire d’ailes afin qu’ils puissent voler encore plus haut. Ah! Je vois quelques-uns uns qui ne se sont pas heureux, vêtu de courage, repartent vers d’autres horizons de ton monde, vers une autre quête de bonheur. Mais cela disent qu’ils n’ont pas de courage, disent qu’ils ont fait naufrage !!!! Un naufrage sur ta terre ? Mais ça n’existe pas, elle si solide si veille si expérimentée qui connaît le monde a sa naissance. Tu les envois vers ce «O» rouler en eux même comme font les pigeons rouleurs, ils roulent, roulent sur eux même avant de plonger en profondeur. Se chercher en eux même ? Revoir leurs erreurs, sans doute pour éviter de tomber dans ton trou, ce trou dont l’ombre se fait tapis aux illusions et aux déchirements. Ce cercle qui rime à la fois à la forme d’une graine qu’on la semant quelque part dans ta terre fait pousser des portes vers de nouveaux espoirs. Ce cercle qui rime à la fois à ce donneur universel sans analyse ce qu’il est généreux. Quelle dure tâche d’en arriver jusqu'à la ! Un moment de répit s’impose sur la terre de «U», une consonne une note de musique, une belle rive rafraîchissante apaisante qui redonne souffle et renaissance à une vie nouvelle, accompagné d’une très belle récompense dans les deux extrémités un guidon de fidélité et de sincérité. Véhiculé par ce «R» comme des rois qui nous met en route, qui nous guide vers ce champ afin de cultiver ton NOM. Amour ton énigme n’est pas résolue.

Amour

Embed Size (px)

DESCRIPTION

texte fait dans un atelier d'écriture

Citation preview

Page 1: Amour

Amour,

Ton nom est si bref mais d’une profondeur émerveillée diversifiée.Il me semble connaître ton nom autrefois, autrefois véhiculait par un train qui ne cessait de donner naissance a des wagons mensongers, garni d'étoiles venimeuse.Ton nom qui se fait écho en moi, cet écho qui ne cesse de s’étendre des quatre coins de l’horizon.Cet horizon a perte de vue qui s’étend à nouveau devant moi avec une inspiration de crainte et de fascination.Une interpellation de ta part ? Sous une autre présentation ? !Je ne te connais pas, mais je pars à ta recherche à la recherche de ton énigme dans tes lettres avec une vision plus mûre.A ta première lettre : un pilier pour le monde.A ta première lettre : une déesse qui trône l’univers enchanté des lettres.Veux-tu me dévoiler les secrets du reste de tes soldats ?Ah! Je vois déjà que t’as choisi tes fidèles trois voyelles dont tu es la première comme pour voir, explorer ton monde accompagné de deux consonnes chantantes.Ce «M» qui t’enchaîne, une chaîne de montagnes qui remontent qui descend qui se croisent.Heureux sont ceux qui se croisent et qui demeurent.Ce «M» qui se transforme à la fois en une paire d’ailes afin qu’ils puissent voler encore plus haut.Ah! Je vois quelques-uns uns qui ne se sont pas heureux, vêtu de courage, repartent vers d’autres horizons de ton monde, vers une autre quête de bonheur.Mais cela disent qu’ils n’ont pas de courage, disent qu’ils ont fait naufrage !!!!Un naufrage sur ta terre ? Mais ça n’existe pas, elle si solide si veille si expérimentée qui connaît le monde a sa naissance.Tu les envois vers ce «O» rouler en eux même comme font les pigeons rouleurs, ils roulent, roulent sur eux même avant de plonger en profondeur. Se chercher en eux même ? Revoir leurs erreurs, sans doute pour éviter de tomber dans ton trou, ce trou dont l’ombre se fait tapis aux illusions et aux déchirements.Ce cercle qui rime à la fois à la forme d’une graine qu’on la semant quelque part dans ta terre fait pousser des portes vers de nouveaux espoirs.Ce cercle qui rime à la fois à ce donneur universel sans analyse ce qu’il est généreux.Quelle dure tâche d’en arriver jusqu'à la !Un moment de répit s’impose sur la terre de «U», une consonne une note de musique, une belle rive rafraîchissante apaisante qui redonne souffle et renaissance à une vie nouvelle, accompagné d’une très belle récompense dans les deux extrémités un guidon de fidélité et de sincérité. Véhiculé par ce «R» comme des rois qui nous met en route, qui nous guide vers ce champ afin de cultiver ton NOM.Amour ton énigme n’est pas résolue.

Page 2: Amour

Belles seront les paroles pour t’exprimer, elles resteront muettes car tu es la source, une source mesurée dans chaque potentiel d’un être. Ces êtres qui restent muet semble te voir, intimider par présence, veux-tu t’exprimer à leur place ?Belles seront les plumes, les encres qui te sillonneront à travers des feuilles, des livres, des romans se ternissent face à ta grandeur car tu l’œuvre du papier lui-même qui à l’origine pousse sur ta terre.Belles seront les chefs d'oeuvres te représentant ne rempliront pas ton monde, car la terre est tienne.Tout semble se prosterner devant toi !!!!!! En souvenir d'une lueur, je t'invoque.Oh ! Toi déesse ton pouvoir de créativité qui s’allume en moi comme flambeau même aux jours obscurs égarés sa lueur ne me laisse guerre place aux aventures délirante. Quel BEL ANGE gardien es-tu !!!!!!!Oh ! Toi déesse donne-moi ton pouvoir de délivrance afin que je puisse délivrer ton bonheur qui me déchire. Ce bonheur déchirant enfoui prisonnier inclinant ses yeux de tout mirage de toute blessure. Ce bonheur déchirant qui se fait fièvre, timide me rendant visite que dans l’anonymat repoussant les blessures déchirantes, Ce croisement un impact de chaud et de froid qui se conjugue en plusieurs goûtes d’eau.Oh ! Toi déesse donne-moi ton pouvoir de renaissance afin que je puisse te faire renaître à travers mes sentiments ne laissant trace à aucune des conséquences d’une grande partie brisée emporter par cet inconscient pour l’être que le destin me réservera et envers chacun des êtres. Mais devant ta grandeur je reste toujours muette. Me feras-tu signe un jour, puisque je t'ai vue Comment puis-je te reconnaître à travers ces Multitudes façades ? (Une lumière ne voit qu’une lumière) ?