Apometria Esprit Matière 1 José Lacerda de Azévédo

8/14/2019 Apometria Esprit Matire 1 Jos Lacerda de Azvdo

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Jos Lacerda de Azevedo

ESPRITMATIRE

=NOUVEAUX HORIZONS POUR

LA MDECINE

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Ce livre est la consquence naturelle de la silencieuse activit de La Casa do Jardim de PortoAlegre , ville du sud du Brsil , tout au long dune vingtaine dannes. Il ne sagit pas du livredun individu , mais de tout un groupe de personnes de conditions sociales et culturelles les

plus varies(mdecins,avocats, ingnieurs, militaires, techniciens, mres de famille , ouvriers,tudiants etcunifis dans lidal de soulager non seulement les souffrances psychiques mais

aussi les maladies qui touchent tous les registres de la pathologie mdicale . Dans la base decet idal, lintrieur de nous lamour est incandescent. Et il est bien possible que ayonsrussi pratiquer la charit, bien que nous soyons de simples instruments dune Ralit dontles fibres nous ont peine touch.

Tout au long de ces nombreuses annes de persvrants efforts, la volont de servir nous misen contact avec de varis et incontestables phnomnes psychiques nous donnantlopportunit deffectuer des recherches des causes et volutions, comme du comportementdes malades. De part la rptition des phnomnes ont surgi des hypothses dquations quise sont transformes en solution et en lois.

Cest exactement ceci que le lecteur rencontrera. Il verra certains mystres se condenser enhypothses qui ensuite se cristalliseront en Lois tout au long de labondant flux de faits etdhistoires cliniques, de phnomnes et de formulations.

Si notre longue germination a besoin de silence , il est dj attest que La Casa do Jardim neprtend pas tre un paradigme ni de former des matres ; la meilleure leon que nous avonsapprise est que de Matre il nen existe quUn . Notre continuelle activit consiste toujours conserver les yeux et les horizons ouverts. Pour cette raison, ce livre seulement prsente nosralisations avec le but de les transformer en invitations tous ceux qui se ddient laMdecine de lme .Nous invitons lexprience et la vrification des techniques dcrites.Invitation linvestigation.

Comme illustration, le lecteur rencontrera des narrations de cas qui seront ; nombreuses,relles, objectives, mais qui reprsentent la portion infime dune casuistique qui ne pourraittre contenue dans des dizaines de livres comme celui ci par sa taille et son volume.

Si rapide a t la progression de nos recherches quune bonne partie de ESPRIT/MATIRE= Nouveaux Horizons pour la Mdecine tait dj dpasse , peinequand le livre a t crit. Dautres hypothses seront confirmes et se transformeront en Lois.Dans ce travail dAmour, la Connaissance est arrive pour nous de faon inespre naturelleet quelques fois impressionnante.

Pour tout ceci , nous prvenons le lecteur par une ide-force qui imprgne tout le livre , aussi profonde et omniprsente quelle parat tre son esprit ; IL NEST PAS POSSIBLEDAIMER SANS LIBERT . LAMOUR A UNE VRIT AUSSI.

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A

MARIA EVANGELINA LACERDA DE AZEVEDO,ma mre(qui cra mon corps physique) ;

ARZELINDA DE BARROS LACERDA, ma tante maternelle(qui forma mon esprit),et

YOLANDA LACERDA DE AZEVEDO mon pouse( qui je dois toutes les ralisations matrielles et spirituelles )

HOMMAGE DAMOUR .

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Remerciement

Dans cet hommage de gratitude aux illustres prsidents de lHpital Spirite de Porto Alegre,*

Dc CONRADO FERRARIetMr JOAO AMADO VENANCIO,

ces deux derniers dcds . Le premier fondateur des travaux spirituels de La Casa doJardim, avec la technique dApometria . Le second son continuateur .Aujourdhui dlis de lHpital Spirite , nous pouvons bien valus le merveilleux et lintgrecaractre de ces dirigeants. Avec une srnit fraternelle ils nous donnrent un appui illimit

depuis les moments initiaux, permettant que se manifestent les premires semences detechniques plus avances, dans le champs du mdiumnisme .

Ps : Porto Alegre ; ville du sud du Brsil

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CE LIVRE EST DDI A TOUS CEUX

QUI TRAVAILLENT DANS LE CHAMP DU PSYCHISME ,

DES MEDIUMS AUX MEDECINS .

Traducteur : [email protected]

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mailto:[email protected]:[email protected]


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UNE FLEUR

a a t un matin froid de mai 1985 que jai connu le Dr.Jos Lacerda de Azevedo. La Casado Jardim de lHpital Spirite de Porto Alegre rgurgitait de gens dans lesprance dunattendement , personnes de toutes les clases sociales, qui ici arrivaient sur le signe duneesprance de cure .

Comme tous les autres jesprais.

Quand mon nom a t annonc, jentrai dans un couloir rempli de personnes en blouse bleue.Je me rappelle que je mtais dirig un des plus tranquilles messieurs grisonnants , pensantque lun deux tait le Dr Lacerda .

Je finis par le rencontrer et je fus surpris.

Lhomme me paraissais humble jusque dans la stature , regard suave , mais passionnmentvivant . Il irradiait la foi, une lumineuse dtermination quvoquait chaque geste agrable,dans la douceur de sa voix, dans les contractions de ses fortes lvres . Durant ce premiermoment je ne maperus pas de son age avoisinant la soixantaine , sa veste blanche, lescheveux blancs avec une discrte calvitie. Je me rjouis de cette silencieuse compassioncache dans un sourire qui paraissait toujours prt spanouir et qui moffusquait cettesincrit douce , ouverte de toutes parts .

Je ne savais pas . A partir de ce moment tait en train de natre , accompagne duneindfinissable vnration , peut tre la plus profonde amiti que la vie pourrait m offrir .Lentement , en contacts qui devinrent de plus en plus frquents , a t connu en dtail untravail spirituel dnormes importances , ralis avec une admirable persistance durant unquart de sicles . Patiemment et silencieusement le groupe dirig par le Dr Lacerda tait entrain dexplorer les dimensions de lesprit , osant pntrer dans des Univers cachs par leslimites des perceptions de nos sens . Hypothses taient en train de se cristalliser en Lois ,Lois qui transformrent en choses simples et naturelles de nombreux mystres anciens , Loisconfirmes et reconfirmes durant de nombreuses et successives annes .

Pour la discussion des phnomnes (aussi vieux et classiques que neufs) , la formulation

dhypothses sur les causes, les interrelations ( rsultats des effets et possibles Lois ), les permanentes dcodifications, tait ncessaire une tude permanente (attention dumicroscopiste et en mme temps de lastronome), un regard sur les principes de la Physique

Nuclaire ou Quantique ou dautres dans des plus amples horizons de la pensephilosophique , dans son envol par lesprit pour le Cosmos .

Un objectif formidable sans aucun doute . Mais qui dune certaine faon naurait pu treralis avec autant de succs, dcouvertes et cures , sil navait pas t centralis par lesenseignements du Divin Matre et sil navait pas mrit la couverture et protection desMentors spirituels dun trs lev degr volutif.

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Devant les horizons que le travail en permanence ouvrait, jai vu chez le Dr Lacerda et sescompagnons la sagesse de ceux qui se considrent comme dternels apprentis. Ctaitcomme ci les gigantesques surprises que lon affronte maintenant les dchiffrant- ntaient

pas diffrentes de ces phnomnes que lon traitaient dans les premires runions du Groupepionner, quand le travail se restreignait quasiment peine aux rflexions sur lEvangile et la

donation de fluides nergtiques pour lusage des Bons Esprits, dans leur travail desamaritains.

Recherches, recherches permanentes. Prudente vigilance, contre les prconcepts, fanatismes,fantaisies, et principalement contre les vanits. Oser , exprimenter ; mettre en pratique , adnauseam , la connaissance rcemment acquise , de faon lui donner une consistance dediamant . Apercevoir lInconnu non comme quelque chose de terrorisant, mais simplement denouveau dans lesprance de dompter ce qui devra devenir un jour vieux. .Avoir lesprit trsouvert, toujours immerg dans lEternit .Cependant poussant lesprit aux limites du quasiimpensable, ouvrir en mme temps le cur ; aimer avec Amour que tout treint, sentir en soiimpulsionner lhumanit de tous les temps sur tous les plans de la vie , est le rsum

incomplet des facettes que jai aperu de ceux qui laborieusement travaillaient la Casa doJardim . Dans la base de tout ; la charit . Non pas lonctueuse, celle tant sublime etcalculatrice consciente qui arrive se contaminer son oppos mais la Charit limpide,lumineuse. Naturelle. Et pour ceci mme humble, comme la violette .

Jai connu des groupes identiques Brasilia , indpendants , mais utilisant les techniques etconnaissances de La Casa do Jardim. L les mdecins Victor Ronaldo et Edson Veiga il y aquelques annes travaillaient en silence et gale constance, avec dincroyables rsultats . Il yavait de nombreux autres groupes. Santa Maria . Rio do Janeiro .

Mais puisquil y avait tant de rsultats probants, de succs de ces groupes , pour quoi nedivulguaient ils pas les connaissances ardment accumuls , de faon ce quils brillent sousle feu des lumires , pour que ces lumires descendent vers tous ?. Vous savez ; il y avait unlivre en phase finale de prparation , livre qui devra tre dit aussitt que conclut .

Jai cherch lauteur , Dr Lacerda . Il me donna les originaux du livre encore inachevs , deuxgros carnets trs pais rdigs en fin de semaine et durant le peu dheures de libert de sontravail de mdecin et celui de La Casa do Jardim .

Jai lu ;Jai beaucoup aim .

Mon enthousiasme a t spontan , comme limpulsion doffrir mes services pour aider danssa rvision finale . Dans ceci je pourrais collaborer . Mme aussi petit que soit mon service ,mal ou bien jaimerais collaborer.

Pour ma grande joie , le Dr Lacerda accepta .

Jai donc commenc mon travail dcrivain , audacieusement je me suis mis perfectionnerdes textes trangers .

Au dbut la responsabilit meffraya et quasiment je men repentis . Je me sentaisresponsabilis par des mots beaucoup trop importants .

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Si je commettais une involontaire falsification de concept basique , il serait difficile detrouver la faon ou lopportunit de me racheter de lerreur , que ce soit devant lauteur , quece soit devant ses lecteurs .De nombreuses fois jai parl de ceci avec le Dr Lacerda . Jai prsent dexhaustivesversions de texte , craintif jusque mme des virgules , me jugeant tmraire pour avoir oser

chang de position , coup dans une ou autre synthse .Il souriait des doutes quimincommodaient .Presque toujours il acquiesait , mais il rprouvait aussi , sans aucunecrmonie ni spontanit . Un vrai pre. Nous discutions certaines fois . Et dans le trajet pourle texte dfinitif , jai eu des leons de Physique,Chimie, Botanique, Histoire, Philosophie,Mdecine ,Pharmacologie, Spiritisme etcet sur des sujets quaucun livre enseigne . Encherchant donner , je me suis vu enrichi .

Certain jour ,en parlant du livre toujours sans titre , ni diteur , jai demand au Dr Lacerda leprivilge dcrire une ou deux pages dintroduction du livre . Il accepta de suite , irradiant dejoie . Mais il y a un dtail ais-je ajout , Mon nom ne doit pas apparatre . Le texte aura

comme auteur un crivain anonyme.

Le Dr Lacerda protesta . Mais je savais que cela tait certain. Une certitude immense , sachantque devant les dimensions de construction , quil tait larchitecte visible, aider par dautresconstructeurs de chair et da sang , mdecins, avocats, ingnieurs, officiers des Forces Armes, techniciens, femmes au foyer ,etc Il y avait aussi la cause et le soutien de tout le travail,les constructeurs invisibles ,Esprits Suprieurs qui orientent et assistent lactivit delensemble des groupes et chacun deux isolment.

En effet , je nai rien construit. Jai pu seulement polir quelques mots , crivain que je suis .Et si je suis all dans la bonne direction dans mon travail , ni pour ceci je ne dois marrogerquelque mrite. Tout a t fait par amour . Amour que les travailleurs de La Casa do Jardimmont communiquer , me faisant penser au bonheur que vous , frre lecteur, aurez la chancede percevoir en lisant ce livre .

Maintenant que ces pages sont ouvertes , vous tes donc prt en bnficier , je confesse quela finalit unique de ma dposition est le plaisir de vous loffrir comme si ctait une fleur.Simple fleur que je dpose sur notre cur linstant ou vous entrez dans cette phase deLumire .

Un crivain anonyme .

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NOTRE PRISME

Nombreux sont les spirites qui ne sintressent pas aux phnomnes de lme . Ils arriventmme les mpriser , soit parce quils ne les comprennent pas, soit par commodit

immobilise . Ils prfrent un spiritisme qui pouse plus une religion . Une religion dans desmoules dj ultra dpasss ; un nid de certitude transcendantales , ou les personnessaccommodent, fabriquent des dogmes, ,intouchables orthodoxies, charismes, mythes ,et deslimites bien traces linvestigation , pour plus saine et plus ncessaire que ce soit.

En respect ces personnes , nous croyons tre convenable de proclamer , dj depuis le portique dentre de ce livre , notre position en face dun thme aussi important quecomplexe, de faon que lon puisse entrevoir le contenu de ces pages .

Nous croyons que la finalit basique de la Doctrine Spirite est de racheter les hommes . Et deles racheter en pratiquant lEvangile , levant leurs sentiments et leurs penses, en les

perfectionnant de faon les mettre en conditions vibratoires qui leur permettent unevolution spirituelle rapide et sre . Lon ne doit pas dsirer de la Doctrine quelle transformetous les hommes en scientistes , car la Science nest pas synonyme dlvation spirituelle ; aucontraire cest peine un de ses instruments . Lon sait , que la satit par les effortsintellectuels, purement et simplement , narrivent pas au but ; arides , dpeupls de vcus , ilsdeviennent , fconds lorsquils sont submergs dans la pratique de la charit de lEvangile .

Nous jugeons de fondamentale importance , pour ceci de dvelopper la facette religieuse duSpiritisme par tous les modes et moyens notre porte ,parce quelle constitue un butindestructible pour llvation spirituelle des cratures et de lHumanit comme un tout .

Nous croyons aussi que la religion , unissant la crature au Crateur, doit tre entendue et vue

dans sa naturelle amplitude , ceci est , dans un contexte cosmique . Cela doit tre vcu demanire close , chaque crature se sentant immerger dans sa propre ternit ouverte auxhorizons infinis ,et rempli de foi inbranlable, parce que toujours prte lillumination , larecherche et lapprentissage. Une fois que la crature entrevoit le Christ Cosmique en ellemme , le but devient proche et lattire .

Nous croyons que la Doctrine Spirite , en respect ses propres formulations et lamplevision de son Fondateur ,ne doit pas cheminer vers le sentier facile et descendant desdcadents . Nous serions encore ainsi dans lantre dune nouvelle religion statique ,limite pardes dogmatismes sectaires et infeste de particularismes et personnalismes rampants.Malheureusement cette dgradation , s est dj bauche dans le spiritisme. Au prjudice de

lEsprit .

Nous croyons que lintolrance religieuse et le culte artificiel de la puret doctrinaire sontincompatibles avec les horizons de la Doctrine des Esprits ,dynamique et toujours actuellepar sa propre nature , dsirant progrs et apprentissage continus . Se limiter au pass aunom de la puret et des canons orthodoxes , est tomber de nouveau dans le puits ou KARDECet les Esprits voulaient tirer lHumanit .Nous ne pouvons pas oublier ;cela a t prcisment, en invoquant la puret de la Loi Mosaque , que Jsus a t crucifi .Lintolrance mdivaleaussi invoqua la puret des enseignements du Christ pour emmener des milliers de cratures la mort , dans des bchers infmes et des oubliettes infectes .

Nest pas possible lAmour sans Libert . LAmour , la Vrit , aussi .Ceci est notre prisme.

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PREMIRE PARTIE

SCIENCE DE LESPRIT

1. Gnralits

Science* en sens restreint est la connaissance que lon a dune chose . Dans un sens pluslarge ,elle dsigne le savoir qui sacquire par la lecture , ltude et la mditation ; ou aussi,lensemble de connaissances restreintes que lon a des choses et des faits en relation avec undtermin objet , ou lensemble des objets. La connaissance de tous les phnomnesobservs sappelle gnriquement, Science. Cest la connaissance systmatise.

La science peut tre divise en branches , conformment son objectif . Nous avons dessciences physiques, conomiques, humaines, morales et psychiques celles ci du plus rcenthorizon des connaissances sur lHomme .Les mthodes et normes spcifiques orientent lesinvestigations de chacune de sciences exprimentales . Et exprimentales sont aussi lessciences psychiques qui se valent de mthodes que lon pourrait appele , avec une certaine

proprit, desprit exprimental.

2. Sciences psychiques, un dfit.

Dans toutes les sciences, quelles soient physiques, chimiques ou segments des biologiques , ily a des postulats (et des paramtres qui en drivent) sans lesquels ont ne peut pas construire

des quations ou des solutions , ni conclure des rsultats mesurables des expriences .Quant il sagit dinvestigations dans des plans transcendantaux (comme ceux qui englobentlexistence de lme , par exemple) , le scientiste est interdit daccepter des conclusions

priori , car il se voit explorant des terrais nouveaux et changeants , ou linvestigation devientcomplexe.Une telle perplexit est comprhensible , car le champs chappe au prosaque domaine descinq sens .Tout parat vague, impalpable, volatile, en excs , quand ce nest pas fantastique .

Souffrant la crainte de confondre Science et Religion, lacceptation de cette invisible Ralitse porte prjudice par les explications controverses que leur donnent les diverses confessionsreligieuses , conflictuelles dans de nombreux aspects . Pour augmenter les difficults , il faut

considrer que la Religion et la Mtaphysique abondent de morts, fantmes etc mettant entendance une atmosphre des lgendes et de mythes.Devant ces obstacle , la science se montre confuse . Inscurit peut tre . Mais cette attitude ades racines dans le Pass.

3.Les racines de linscurit

Subordonne durant des sicles aux dogmes de la Scolastique mdivale , mal libre pendantla Renaissance , des grilles statiques et anti-exprimentales , cest avec une vritable voluptque la Science sest lance dans une recherche objective , dans la jouissance dune libert

ardemment conquise.

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Cette posture dextase juvnile vient elle mme anachroniquement maintenue , aveclaggravant dtre porteuse de prconcepts si visqueux comme les dogmes quelle affrontait .Elle ne croyait pas dans les dmons , cest bien vrai . Mais elle repousse avec le mme mprisidentique aux antiques inquisiteurs et la m^me fausse supriorit , tous ceux qui informent dequelque chose de nouveau sur lunivers inconnu qui existe en dehors du notre ,

tridimensionnel . Phnomnes qui ne font pas osciller les aiguilles nont aucune preuvephysique ; donc sont interdits dexister.

Quelle est la face de la peur aujourdhui ?

Juvniles encore les rides de nombreux sicles ; juvniles parce quelles nont pas encore vule filon dlimit des recherches se vider , la Science insiste dans la distorsion de seulementconsidrer possible de faire des recherches dans les solides qui font partie des troisdimensions cartsiennes . Les sciences psychiques par exemple , restreignent leur objectifexclusivement aux cratures vivantes ; quelques autres ralits ontologiques tant mises dect par les scientistes , qui les considrent irrelles ou improbables parce quils ne les

distinguent pas ou ne les sentent pas . Tous ces phnomnes que ces ralits ontologiquesprovoquent chez les tres humains ont t tudis uniquement comme produit du cerveauvivant et toujours vhiculs lactivit mentale .

Cest avec cette attitude que la Science est arrive jusqu notre poque , avanant toujours ,mais souffrant solutionner tout ce qui la dfie dans le filon par elle mme dlimit . LaPhysique et la Chimie par exemple , se sont lances dans de trs nombreuses recherches ,avec un volume de rsultats et dinformations qui , dans un laps de temps trs court de 80annes ont dpass tout lamas scientifique de lHistoire de lHumanit , dans ces domainesl. Avec ceci , cela a t possible de poser le pied sur la Lune et mieux sonder le Cosmos , endehors du dveloppement dune technologie dont lindustrie s est avidement appropprie(pour crer des armes mortifres et produirent des commodits )

Absorbe , encore et toujours par des intrts matrialistes et immdiats (ce qui la met dansune disposition ou ses effusions adolescentes sont endurcies ) , il est normal que la Sciencenest pas dintrts dans ltude des phnomnes dont les racines descendent dans les champstant immatriels , de dimensions dEspace diffrente de la notre ; phnomnesdindiscutable ralit , mais quelle ne veut pas reconnatre simplement parce quelle ne peut

pas les percevoir, mesurer , peser. (Ces dimensions pour se trouver dans un autre lieu endehors du plan physique , pourraient tre appeles de mtaphysique . Cest avec ce termedans son sens le plus simple , que nous nous rfrons ces phnomnes . Que lon ne voit pas

dans ce mot quelque indice dlucubration abstraite ; meta signifie en dehors de , au del ;mtaphysique , portant , inique simplement ce qui se trouve en dehors du champ physique ).

4.Eppur si Muove !*

Eppur si Muove .Phnomne inexplicables et de croissante intensit viennent intriguer lesscientifiques depuis la moiti du 19 sicle . Ils se manifestent chez des cratures spcialementdotes , connues comme mdiums, sensitifs , prophtes ,soigneurs, voyants etc.

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Chez quelques uns dentre eux lon parle de phnomnes de prmonition . ; il y en a quiprsentent des phnomnes de tlkinsie ; beaucoup de psychographie, ou psychophonie etautres phnomnes tous dj prouvs scientifiquement et , beaucoup , jusqu incorpors auquotidien de personnes et communauts . Il faut penser que , malgr son indniable videnceil existe toujours ceux , qui au nom dune attitude scientifique adolescente , sengagent les

nier dans un ddain fanatique .

Ceci ne pourra pas durer indfiniment . Accule par une vritable avalanches de faits ,pousse confirmerquelque chose qui devrait tre appele dme, esprit, ou source devie(avec survivance aprs la mort) , la Science est actuellement contrainte ouvrir quelquessoupapes de scurit. Il faudra quelle satisfasse , de quelque faon que ce soit , les pressionsquelles souffrent depuis le sicle pass ; ou elle investie et donne des explications dfinitives

pour lavalanche de ces trs importants phnomnes , ou confesse cette fois de sondogmatisme aveugle, son immaturit et sa criante des manifestations des morts .Cest le problme, le Grand Dfit de notre poque .E une impasse aussi .

Dans le Pass , malgr les dsastreuses et sans appel dcisions des tribunaux scientifiques ,des pionniers hardiment , ralisrent des travaux dimmenses valeurs . A la fin du 18 sicle,MESMER, traita un grand nombre de patients avec cette mthode nouvelle , base sur lemagntisme animal .Il provoqua un grand tumulte en France Aprs lui , vinrent (entre autres)LIEBEAULT et BERNHEIM ,qui fondrent lcole de Nancy ; CHARCOT , la Salpetrire, et dautres coles . En 1872 , RICHET, baptisa de mtaphysique la nouvelle science , quisoccupait des phnomnes en dehors du psychisme . Etait ouverte la porte pour unesystmatique investigation de la ralit de lesprit .

Le nologisme cre traitait de faits lpoque inexpliqus , tous vhiculs au psychismehumain . Etudiant de nombreuses annes , quelques sensitifs de pouvoirs mentaux reconnus ,RICHET dfinit la mtaphysique , comme une science qui a pour objectif ltude desphnomnes mcaniques ou psychologiques du des forces qui paraissent intelligentes ,ou des pouvoirs inconnus , latents dans lintelligence humaine, qui englobe les

phnomnes de cryptesthsie . cest dire la facult de connaissance de quelque chosedocculte (par procd encore que nous ignorons) ; la tlkinsie, ou plutt lactionmcanique pondrable distance , dplaant des objets lourds sans un contact humain ; et lamatrialisation des morts , exhaustivement tudie par WILLIAM CROOKES .(Avec le nomdectoplasme, terme cre par RICHET , nous dsignons actuellement, lantique etimproprement nomme matrialisation ; apparition sous des conditions spciales , dobjetset jusqu dtres humains complets, vivants et intelligents, ayant quitt lunivers parallle ,

auquel nous nous rfrons ).Rcemment , a surgit avec RHINE la parapsychologie. Avec de nouvelles mthodesdinvestigation ,statistiques, surtout , visant obtenir des preuves mathmatiques desmanifestations psychiques qui chappent u domaine de la psychologie .Cependant sans la

profondeur de RICHET , RHINE, a dvelopp un gigantesque travail de recherches delaboratoires en relation aux phnomnes comme la tlpathie , la prcognition, laclairvoyance etc. En expriences qui se sont prolonges durant plus de vingt ans , observant

patiemment une grande quantit de personnes , arrivant des rsultats mathmatiques quelon peut considrer comme irrfutables .

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Une des raisons , cependant pour laquelle , le travail de Rhine acquit le statut de science , at prcisment pour ne pas stre aventur toucher aux faits lis aux esprits (ainsi commeles modelages ectoplasmiques, apparitions, psychophonie, psychographie etc )Pourquelque raison spciale, mais surtout significatives , le chercheur na pas voulu sengouffrerdans quelque phnomne dont la cause pouvait tre attribue aux morts ,ni dvelopper un

quelconque effort pour pntrer dans lunivers dimensionnel quils habitent .Il respecta un tabou scientifique , bien que vieillerie mdivale . Et il a t respect .

Tel fait exsude une vidente ironie . Et lve senqurir ; pourquoi la science a-t-elle peurde la religion ?

Il parat dramatiquement ncessaire et urgent , que les scientistes daujourdhui allgent deleurs paules le fardeau des prconcepts obsoltes , afin quun univers fabuleux(entrevucependant par une minorit) acquire un dcret de ralit et voit reconnue sa citoyennetscientifique . Seulement ainsi , librs des concepts et ides qui entravent, nos investigateurs

pourront se transformer en Copernic et Galile dont nous avons besoin.

Nous savons que des psychistes aujourdhui , dans cet exact moment ou nous crivons ,semploient dcouvrir des chemins pour dvoiler les mondes . Ces dvoilants peuventsextasier avec la vision du nouveau qui stend dans lespace qui entoure la Terre , paysagesinvisibles pour les yeux charnels, monde inobservable pour le commun des mortels etcependant , palpables pour les personnes qui ,dotes de sens plus aigus , peuvent capter etenregistrer les radiations lectromagntiques non communes .

(*) Exclamation de Galile , quil aurait susurr pour lui mme devant le Tribunal delInquisition. Condamn renier ses ides sur le mouvement de la Terre , il se soumit sesJuges , mais il dit ;cependant elle se dplace !

5. Ladmirable ancien nouveau monde.

Peu sont ainsi les cratures capables de percevoir les dimensions diffrentes de la notre, endehors de ltroite fentre qui va de 4000 8000 angstrms * de spectre visible ;pour cetterduite fente vibratoire , et seulement par elle , arrive la perception de tout ce qui nousentoure pour les personnes communes . Pour les sensitifs la fentre souvre de part en part ,et ils se transforment en rgions voisines notre plante (cependant intgrantes delle )

espaces remplis de vies et dactivits . Ils peuvent visiter les cieux dont parlent les religions ,ou il y a des habitations , difices, temples similaires ceux de la Terre , vhicules et les plusdivers appareils , tout avec une apparence et un usage semblable aux ntres . Ce sont destres comme nous , les habitants de ce monde. Ce sont des humains , oui. (il y en a mme quise refusent les imaginer) ;Mais ils nont dj plus de corps , abandonn au cimetire par le

phnomne de la mort . Libres de lenveloppe charnelle , ces cratures sont hors de porte denotre vision , qui seulement capte les formes denses des corps matriaux .La dans leur universelles conservent leur couleur, vtements, objets, comme si elles taient sur Terre. Tout , la-basest aussi solide que dans notre monde , et donc il ne faut pas seffrayer ; la perception desformes est relative ; en fonction du milieu spatial .

* Angstrms, mesure de distance . Equivaut 0,1 x 10(-8) cm,

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6. Le pourquoi de ce livre

Cest prcisment ici , dans cet univers parallle, que nous sommes en train doprer depuisdeux dcades , osant dfricher aussi. Nous dsirons y conduire les investigateurs quidmasqueront les Lois , dcouvrant les tres qui y habitent et les influences, salutaires ou

terriblement malfiques, quil peut y avoir sur nous . (A peine pour illustration , nouspouvons montrer , parmi les malfiques , de nombreuses maladies psychiques dj identifiespar les mdecins , mais dtiologie inconnue pour la Mdecine) .

Notre objectif dans ce livre , est de montrer un monde nouveau et de pointer les moyens dyarriver . Il ny a rien de nouveau , cest vrai , car ancien comme la plante . Cest darriver,peut tre nest-ce pas le terme exact , car il sagit peine de le percevoir . De quelque faon,nous pouvons garantir que son exploration quivaut un voyage .

Un voyage dans cette mare tenebrosum, cependant cela exige un certain conditionnementmental , avec acceptation de prmisses insolites , hypothses de travail . Ces prmisses , que

nous touchons , sont formules scientifiquement . Nous ne les considrons pas dogmes de foiou postulats religieux , car notre investigation exclue quelque proslytisme . Notre objectifsoriente dans la rencontre dapplications pratiques et universelles au bnfice de toutelhumanit et non pas de factions. De nouveau , nous aurons lespace dimensionnel , sourcedes causes . Et aussi lobjet de recherche ; lHomme qui existe en dehors de lHomme .

Comme nous lavons dj expos ,la Science tablit des paramtres et procdsfondamentaux , afin darmer des quations qui correspondent aux facteurs observs et

promeuvent la relation analytique des lois en jeu . Ainsi comme il se produit enmathmatique , nous appelons facteurs dquation les lments qui y participent .

Quelque soit le niveau dans lequel nous oprons , physique ou mtaphysique , le droulementdu procd suit des normes identiques la mthode oprationnelle et de laboratoire quiorientent les recherches physiques , de faon que tous les rsultats convergent pour un mondede phnomne (ceci est , pour un monde visible ), par la prsence , dans celui ci , de faitobserv.

Comme le propre nom lindique , phnomne est ce qui apparat , car le mot en grec, unerelation avec le verbe apparatre . Tout ce qui apparat dans le monde visible est

phnomne ; il se manifeste et devient objectif . Quand nous bataillons sur des phnomnesmtaphysiques , alors , lapparition et linvestigation deviennent plus complexes. Nous

sommes donc en train doprer dans une autre dimension , abordable seulement travers desprocds analytiques de raisonnement . Si le monde physique , peru directement par les sens,est dj difficile didentification de ses lois , il faut alors imaginer comment sera difficile larecherche des horizons de lesprit . A part cela et de tous les obstacles, , la systmatiqueobservation de fines manifestations de phnomnes (filtres pour notre dimension) a la

possibilit de dcouvrir des lments prcieux et de trs inestimables informations sur cetunivers parallle .Il est donc possible dtablir de manire solide, des normes dinvestigationsqui nous permettent dexplorer et de prouver lexistence de cet univers avec les moyens delatteindre .

Ce champ ou univers une identit propre et des proprits diverses des ntres . Quant aux

forme il ny a pas de diffrences rellement apprciables , en relation notre monde .

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Dans les rgions plus volues , lon observe une norme avance technologique , trssuprieure la notre . ( nous pouvons dire sans avoir peur de nous tromper, que tout notredveloppement scientifique vient de l). Mais dans les zones infrieures , ses habitants dans ladouleur et la souffrance , car les lois morales rgissent toujours le comportement de lHommeet dterminent son destin , comme dailleurs garantissent les religions .

Bien que cela puisse surprendre , ce monde se subordonne aux mmes lis qui nous rgissent .Nous avons observ que la Loi de Gravitation , de la Chute des corps et toutes les autresconnues de la Physique et de la Chimie y agissent aussi, dfiant largutie des savants.

Nous prtendons offrir aux studieux des mthodes et techniques pour entrer dans cesfrontires . Comme notre travail utilise des normes mthodologiques utilises par les sciencesexprimentales , nous esprons que cela ne causera pas de surprise du fait de nous valoir dumme systme dinvestigation , et dune faon gnrale, didentiques mthodes dabordage .

7.Connaissance de lesprit, Science exprimentale

Pour quaucun doute plane sur notre rsolution , nous expliquerons quelques concepts etdfinitions.

Par mthode nous entendons lensemble des rgles tablies pour quun sujet donn atteigne laconnaissance dun objectifdonn .

Sous le point de vue du sujet , il y a la mthode dductive (appele aussi danalytique oudivergente) qui part des principes gnraux pour en extraire des faits particuliers . (Cest lamthode par excellence de la philosophie et des Mathmatiques ). Dj linductif ( aussiappel analytique ou divergent ) prend comme point de dpart le fait ou lensemble des faits

pour progressivement , en comparaison , arriver des lois ou des principes gnraux .

Quant lobjet , les mthodes sont spcifiques . Il y en a autant que dobjets que lon investit.Et dans notre travail de plus de deux dcades , chaque fois que nous nous affrontons avec un

phnomne qui se rpte , nous cherchons lobserver avec attention un certain temps afinde le mesurer dans ses proportions , valuant sa dure , intensit constances, variationssubtiles, ,contenu spatial, rptitivit etc. Une fois mis en ordre toutes ces donnes , nouscherchons trouver la Loi qui le dtermine , car il ny a pas de phnomne sans Loi . Ainsi

donc , nous tablissons une hypothse de travail. ; nous cherchons savoir comment seprocde le phnomne , crant une formule qui quoique arbitraire au plus se rapproche de laralit observe .

Nous commenons nouvellement observer maintenant avec une meilleure attention , ledroulement du phnomne et lexactitude de la Loi hypothtique . Si le phnomne secomporte en troite concordance avec la Loi imagine , elle sera donc confirme . Et lgitime.

Armer de la connaissance de la Loi , nous rptons le phnomne autant de fois que possiblepour confirmer lexactitude de la dcouverte .Claude BERNARD , disait ;le fait suggre

lide, lide dirige lexprience et lexprience contrle lhypothse .

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Etablie la Loi la plus importante , nous partons pour lobservation des petites variations duphnomne , de faon que les minimes variations sont sujettes aussi aux lois mineures quiagissent ensemble la Loi principale mais indpendamment de celle ci . Si toutes lesvariations mineures sont dtermines et leurs causes connues , le phnomne est pleinementlucid, avec son cortge de lois . Nous formulons alors seulement , la thorie principale du

fait tudi .

Nous partons pourtant dun phnomne isol , ou plutt, du particulier au gnral ; du faitunique pour la Loi gnrale qui rgit les faits ( ou phnomnes) similaires . Dans ceci consistela mthode classique de la science exprimentale , ou inductive , aussi bien utilis par lesactuels chercheurs et leurs prdcesseurs du 19 sicle. Pour lillustration , nous prsentons un

petit exemple ;

Premire exprience

Si un objet lger (une boule de papier par exemple) est lance dune petite distance du sol ,elle tombera dans une aire dtermine du sol,perpendiculaire au point ou elle a t lance . Etmme si lexprience est rpte plusieurs fois , le point de chute sera toujours le mme .

Nous sommes devant la Loi de la Chute des Corps , prcisment Loi de la Chute Libre, dontlorigine est dans la grande Loi de Gravitation Universelle .

Seconde exprience

Dans une des expriences , nous vrifions que lobjets a souffert une dviation de chute ,atteignant un autre point du sol . Rptant lexprience , nous pouvons jusqu' calculer langlede dviation . Investissant nous dcouvrons la prsence un lger petit vent soufflantlatralement , cause de la dviation .Dans ce cas une nouvelle Loi agit avec la premire , indpendamment mais suffisammentforte pour modifier le rsultat de lexprience initiale . A cette autre Loi nous appelons Loisecondaire . (Les phnomnes naturels viennent toujours accompagns dune srie de Loissecondaires.)

Lobservation constante et la longue exprience acquise sont les lments qui nous ont

permit didentifier diverses lois qui rgissent les phnomnes et leurs interactions .Avec de telles explications introductrices , il est possible de passer labordage de lasystmatique du travail ,qui nous donne lopportunit de dcouvrir les horizons parallles les

plus proches de notre .Horizons dailleurs, et surtout importants , car de l est influence lamajorit des tres humains , bien que leur ignorance quasi absolue quant la question detelle magnitude .

Nous avertissons de suite , quil sera ncessaire daccepter des prmisses nouvelles. Sanselles ils ny a pas de possibilit de comprendre comment tout se procde . Il ny a aucundanger les accueillir . Aucune dentre elles ne constitura des dogmes de Foi , mme en

apparence .

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Ces sont peine des lments mathmatiques qui prpars avec mthode , conduiront desquations et rsultats surprenants .

Comme premire et irrfutable hypothse de travail il sera ncessaire dadmettre la ralit dumonde spirituel , lexistence des esprits et la possibilit dtre rels et, pourtant, lgitimes

phnomnes , bien quils chappent nos sens . Si prouve cette ralit parlexprimentation , nous arriverons des Lois , ces ponts pour linconnu ou locculte.

Que les mentalits se dsarment . Laissons tomber les barrires des prconcepts scientifiqueset religieux et avanons ensemble vers les horizons nouveaux. Dans ce voyage il est possibleque lon comprenne encore mieux la raison et les objectifs de e livre .

Mme parce quil ny a pas de raison pour les prconcepts scientifiques , car la science nedfend pas les privilges ; la Science est neutre et accepte quelque fait prouv . Les

prconcepts stagnants sont des entraves cultives par les scientifiques qui ont lhabitude deparler au nom de la Science ou de dfendre leurs positionnements.

Sils taient rellement des scientifiques , ils seraient en train dinvestir quelque phnomnephysique ou mtaphysique , avec une gale absence de courage .

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LHOMME ESPRIT

Depuis la plus lointaine Antiquit , lensemble Homme-Esprit a t lobjet dtudes et despculations .La connaissance de notre essence tait une constante proccupation des peuplesanciens, qui de leur importance avaient plus conscience que nous , spars deux par des

millnaires de culture , , rcentes conqutes scientifiques et retombantes avancstechnologiques .

Par ce que lon peut conclure des pages de notre Histoire cette conscience effectivementdiminue au lieu de sintensifier, peut tre parce que nous nous sommes distraits , aux longsdes millnaires , avec les jeux dangereux des fanatismes religieux et des jeux mathmatiquesde construire et de dtruire ce qui nest pas essentiel . Distraits , mais aussi notre Sciencesest distraite ; par manque dattitude scientifique , hurlant au paradoxe, elle a hsit explorer et connatre la vive ralit de notre essence ( ou esprit) .

1. La sagesse des Anciens

Les Sages de lAntiquit sont arrivs connatre lHomme-Esprit bien mieux de que peutconcevoir toute notre pense moderne .Dj nous sommes en train de nous dplacer encercles autour de lexistence ou non de lme. Eux acceptant la ralit de l esprit , se

proccupaient de donner le pas suivant ; investir , le mode ou procd de liaison des deux.

Cette recherche a donn de nombreux fruits , dont ils restent quelques semences.

Ltude comparative des conceptions varies sur la composition de lHomme , au long desantiques collges initiatiques , coles philosophiques et diverses confessions religieuses ,

prsente de notoires difficults parce que complexe et , dans les dtails confuse . Au long desres et des langues, cependant subjacente dans les nombreuses terminologie une certitudecommune brille et apparat comme fondamentale ; les Sages et les coles disent exactement lamme chose quand ils font allusion aux tapes vibratoires dont se compose lHomme .

Lexistence dun systme intermdiaire entre essence ou esprit pur, dun ct, et corpsphysique de lautre , tait thoriquement dductible par la Logique et aussi un impratifdordre technique , une fois seulement que ce vhicule peut rendre possible le fait de lEspritdans la Matire , lorganisant .En dautres mots la fixation de lesprit sur le corps auraitdimpliquer lexistence dun organe quelconque , trs spcial, avec une plasticit suffisante

pour sajuster aux frquences vibratoires des deux les accouplant .

Cet organe ( en vrit un corps) a t dtect par les sensitifs de lAntiquit , tel point quiltait considr matire du curriculum dans les coles initiatiques .

A travers les poques et les peuples , les dnominations et dtails variaient . Dans lIndevdique ce mdiateur tait Mana Maya Kosha ; chez les anciens gyptiens ,Kha, chez les

perses , dans le Zend Avesta,Boadhas, chez les grecs Eidolon ; pour Aristote , ctait LeCorps Subtil ; dans lcole platonique dAlexandrie il tait connu comme Astroiede, cest dire similaire aux astres, du la couleur ; ctait le Corps Fluidique chez Leibniz ; ou lePriesprit chez Allan Kardec ou Ame chez Paul de Tarse.

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Pour laptre Paul ,lHome est un complexe intgr en trois parties distinctes, corps me,esprit(*) , dans laquelle lme avait une nette fonction de mdiateur plastique ;

Le Dieu de la paix vous concde une saintet parfaite et que votre esprit , votre me etvotre corps soient gards de faon irrprhensible pour le jour de la venue de Notre

Seigneur .

Tessaloniques 6 ;23

Dans la Patrologie Latine , nous notons des penseurs du christianisme primitif, surtout ceuxde l Ecole dAlexandrie , qui pousrent la thse de lorgane intermdiaire entre lesprit et lecorps , parmi eux ; Athanase, Fulgence, Arnobe, Basilien, Origne Justin, Minucien ,Ambroise, Cyril dAlexandrie et Saint Augustin . Dj les religions comme lIslam, le

judasme, et celles qui intgrent le christianisme actuel , toutes ont donn lHomme commebinaire ; compos dune me ou dun esprit et le corps physique .

(*) Paul distingue lme de lesprit, chose que les descendants, non pas seulement dans lareligion catholique mais mme dans le spiritisme ,ne font pas ; ils confondent lme aveclesprit en synonyme inacceptable . Pour les spirites , lme et lesprit est la mme chose ,ayant le priesprit comme intermdiaire entre les deux plans ; physique et spirituel . Lecontenu du concept le rend diffus et excessivement gnrique , mais il ne sapplique pas la

physiologie de ce priesprit ni aux particularits de lunion entre lui et lesprit ou entre lui etle corps physique .

2. Le septnaire. Origine et importance .

Quelques occidentaux et la grande majorit des religions orientales ont enseign uneconstitution plus complexe de lHomme-Esprit ; sept composants interpntrs , les plusdiaphanes occupant la mme portion spatiale que les plus denses , parfaitement dfinis maisvibrant dans des dimension spatiales diffrentes , ou les proprits, fonctions etmanifestations sont distinctes .Trs ancienne , cette conception pour berceau lInde , des sages qui rigrent la philosophieVdanta . Les anciens gyptiens , dans les mystres de Thbes ou de Memphis lont aussi

enseign . Dans des centres initiatiques, grco-romains le septnaire tait un fondementsotrique de cultes mdiumniques. Thosophistes, Rose croix, Antroposophistes, sotriqueset tous les courants no-spiritualistes lon adopt aussi, le considrant la vritablecomposition structurel de ltre humain.

Ltudiant ,les anciens magiciens utilisrent ses connaissances dans lobtention de rsultatspratiques ; traitements des malades , investigations psychiques, manipulation des forces de laNature . Appliquant des forces mentales magntiques des candidats linitiation , ils sontarrivs sparer et dtacher les composants du septnaire (corps invisibles) pour dvelopperdes pouvoirs latents (clairvoyance par exemple) et dominer les forces de la Nature (Magienaturelle) .

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Quelques unes de ces techniques, dapplications et de rsultats trs restreints , ont t rptavec dextraordinaire succs par les investigateurs du sicle pass Ils ont pu dcomposerlHomme-Esprit dans ses divers corps , travers des passes magntiques intensmentappliques sur des sensitifs trs vibratiles .LANCELIN , H.P.BLAVATSKY, A.DE.ROCHASet BARADUC, ont confirm avec leurs expriences ce que les anciens savaient dj ,

obligeant les sciences psychiques considrer la ralit de multiple composition structurellede lHomme .

Ces trs importantes recherches ( qui cependant , nont pas t acceptes par la Science)peuvent tre divise en deux groupes , conformment ce qui a t fond dans le Ternaire ouseptnaire.

Le Ternaire est facile dtre compris , parce que simple. Mais nexplique pas la majorit desphnomnes psychiques du mdiumnisme. Dj le septnaire , bien que plus complexe parceque ddoublement du Ternaire (esprit me corps) et ses lments fondamentaux , permet decomprendre les phnomnes psychiques avec plus de nettet . A part ceci , il ouvre des

hypothses varies de travail , parmi dautres champs dinvestigations ;

-La recherche des causes des cures considres miraculeuses ou impossibles-La connaissance des faits survenus dans des vies antrieure et des rminiscences gravesdans la conscience actuelle.-Leffacement des souvenirs incommodes de faits dysharmoniques de vies antrieures .

3.Le blocage spirite

Il est lamentable que les spirites soient empchs de contribuer aux progrs de cesinvestigations , parce que bloqus par le concept kardcistes du priesprit . Il sera ncessairequils largissent leurs connaissances autour et en dehors de ce concept pour quils puissentcommencer comprendre les fonctions de tous les mdiateurs plastiques qui existent entrelesprit pur et le corps physique .

Comme la thosophie a dj identifi et donn des noms aux tapes de la srie structurelle , ilsuffirait peine aux spirites dincorporer cette antique connaissance leur merveilleuseDoctrine admettant le septnaire . Dans ceci il ny aura rien dabsurde mais cependant unenouveaut ; ANDRE LUIZ a commenc la distinction des sept corps , de faon nette , danslextraordinaire uvre que Francisco Xavier a psychographi . En dehors de ceci , par la

psychographie dErcilio MAES ,RAMATIS suit la tradition orientale et adopte aussi leseptnaire .

4.Les sept corps, ou champs ou dimensions.

En accord avec la conception septnaire , lHomme esprit se compose de deux couchesdistinctes ;LA TRIADE DIVINE , constitue du Je Christique, et LE QUATERNAIREINFRIEUR , li la personnalit et muable comme elle . Dans ces couches chaque Srieou chaque Corps a des dnominations et caractristiques distinctes , fonctions spcifiques etmanifestations limites au champ ou dimension auquel il est astreint , car chacun de ces

corps vibre dans un univers dimensionnel distinct.

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De forme schmatique , voici , la srie ; de lEsprit la Matire ;

Corps spirituels ; Atmique, Bouddhique, Mental Suprieur, Mental Infrieur, Astral .

Corps matriels ; Etherique, Somatique.

Triade Divine , le Je Christique, Individualit (Ternaire Suprieur); Atmique, Bouddhique, Mental Suprieur.

Quaternaire Infrieur , ego,Personnalit; Mental Infrieur, Astral , Etherique, Somatique.

1. LE CORPS PHYSIQUE

Le corps physique est notre charpente charnelle dans laquelle nous vivons , quelque chose desimilaire un scaphandre , lourd et quasi incommode , que nous utilisons pour nos faits dansle milieu physique . Il est constitu de composs chimiques habilement manipuls par le

phnomne de la Vie .

En vrit , il y a la vie dans chaque lment de ces composs chimiques et tout est vie lintrieur de nous . Nous existons dans notre Vie plus grande dont la source vitale estcompose de myriades de vies plus petites lorganisant .

Parce que constitu de matire , notre corps opre dans le milieu physique avec facilit , car lecorps et le milieu physique appartiennent la mme dimension lectromagntique .

2. LE CORPS ETHERIQUE

Comme son nom lindique , ce corps a une structure extrmement fine , invisible, parce quediaphane , de nature lectromagntique dense mais de longueur donde suprieure celle dela lumire ultra violette , raison pour laquelle il est facilement dissoci par cette celle ci quandexsud du corps physique . Lon peut dire quil sagit de matire quintessencielle, poussant du

ct de limmatrialit .

Lquilibre physiologique reflte lharmonie qui rgne dans le cosmos , et le corps theriquea pour fonction dtablir la sant automatiquement , sans interfrence de conscience .Distribuant les nergies vitalisantes pour le corps physique , il prend soin que les fonctionsvitales restent quilibres et que lensemble corporel conserve son quilibre harmonique . Il a

pour fonction de promouvoir ainsi , la cicatrisation des blessures ,la cure des maladieslocalises etc

Rflchissons, pourtant sur limportance de cette structure nergtique , qui cependant nestpas connue par la mdecine , Eppur si muove.

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Il fonctionne comme le mdiateur plastique entre le corps astral (corps le plus grossier delesprit) et le physique , le corps ou double therique est de nature matrielle ; il appartientaux domaines de lhomme chair. Il y en a mme qui finissent par le confondre avec le corpsastral , lappelant simplement de double. Pour bien tablir les diffrences et prvenir contreles confusions , nous ajouterons toujours la spcificit de therique quand nous traiterons

du double

1. Constitution et proprits. Lectoplasme

Dans les situations normales , le corps therique ne se spare pas du corps somatique de lacrature vivante , au contraire des corps astral et mental ;il est physique ,tant li , ensembleavec la chair . Quand spar par de lnergie venant de lextrieur du corps , ceci arrivecertaines fois par moment, en distance aussi rduite . Malgr cette difficult , le ColonelAIGLUN DE ROCHAS , chercheur franais de la fin du sicle pass , a russi le sparer

pour la premire fois du corps physique du mdium , par le moyen dexhaustives passes

magntiques . Par cette exprience historique , le corps therique peut tre identifi.

Nous savons aujourdhui que ce corps est constitu de matire dont RICHET a donn le nomdectoplasma . Il sagit en effet de substance ressemblante au plasma , fluide fin qui a la

proprit de se condenser aussitt quexsud du corps du donneur. Il sort par les pores et lescavits naturelles et est utilis dans les sessions spirites deffets physiques (improprementappel de matrialisation parce quen elles il y a habitude de voir apparatre des espritsmatrialiss avec cette substance , quun ou plusieurs donneurs exsudent . Le corps theriqueecxerce aussi une fonction importante dans les phnomnes de tltransport , de dissolutiondobjets , et dans tous les autres qui exigent des nergies plus lourdes .Invisible ltatnaturel , il possde une individualit propre , mais na pas de conscience , malgr treintimement accoupl au corps physique .

Quant au corps somatique il est compos de solides , liquides et gaz qui forment cellules,tissus, organes, et appareils . Le corps therique est constitu par les mmes lments etminraux , structurs , donc en tat si fin quil chappe en entier au criblage du laboratoire , moins que ce corps ne soit extrioris et condens suffisamment , de faon devenir visible et

palpable ; dans ces conditions anormales des fragments ont t analyss en laboratoire ,constatant la dominance des lments protiniques , similaires ceux des organes charnels .

Ltat dextrme fluidit est prouv par laction des rayons lumineux . Lectoplasma exsud ,

une fois expos la lumire , souffre une immdiate dispersion ; ceci se produit parce quelnergie radiante de la lumires est plus intense que lnergie de cohsion molculaire delectoplasma , principalement lnergie lumineuse plus intense , de longueur donde pluscourte , spectres violets et ultra violets . Pour cette raison les travaux deffets physiquesdoivent commencer dans une parfaite obscurit , jusqu ce que la masse exsude se condensesuffisamment pour acqurir une cohsion qui devienne possible la rsistance du

bombardement photonique . Atteignant une certaine adhrence , de masse ectoplasmique ,lesprit qui se manifeste peut se soumettre la lumire normale , volont .

Bien quil paraisse fantme, le corps therique nest pas spirituel et se dissout la mort , aubout de quelques heures . Certaines fois il est vu dans les cimetires , sous forme de nuages

lgers qui se dissout sous peu .

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Comme nos lavons dj affirm, il ne possde pas de conscience,. Il peut servir dalimentvital pour les esprits humains infrieurs et limmense varit des tres habitants lastral ,

principalement ceux zoologiquement infrieurs et ceux qui ont lhabitude de frquenter lescimetires . Il nest pas rare de voir les clairvoyants sans exprience confondre ces doublestheriques dsactivs (enveloppe) avec le fantme des morts .

Il parat que le corps astral des dsincarns , ceci est , le corps spirituel le plus infrieur, pourtre plus dense, porte avec lui les masses plus importantes ou moindres de corps therique .En conformit avec le degr volutif de son possesseur , ce corps astral se prsente plus oumoins dense (ou soit ; plus ou moins lourd ) et va lentement perdant ses rsidus matriels .

Nous savons que lvolution de lesprit est caractrise, par la dmatrialisation progressivedes enveloppes plus denses de lesprit . ,

2.Maladies thriques.

Une grande quantit des maladies qui sont considres enracines dans le corps physique ontcomme source en ralit , le substratum anatomique de lorganisation therique . De l elles

passent pour le corps somatique , ou elles apparaissent comme dysfonction vitale . Un tel fait,(un parmi beaucoup dautres) devrait mriter des scientifiques mdecins une attentionattentive , car elle ouvre des champs dinvestigation pas encore dcouverts par les loupes etles scalpels .

Ces recherches cependant , ni mme les spirites ny prtent attention , amarrs , quasimenttous , lexcessive amplitude du concept du priesprit . Donc , ils ne savent rien (bien quilscherchent savoir) autour de la physiologie du corps therique . Cela devient surprenant devoir comme ils sont proches , en particulier des matrialistes et autres( incluant , parmi eux ,quelques scientifiques ).

3.Les connaissances des thosophistes.

En dehors dtre identifi satit par de nombreux chercheurs , le double therique a djreu des dfinitions et des descriptions bien objectives dans le livre Etudes sur la consciencede la thosophiste ANNIE BESSANT :

Cest la vitalit, lnergie constructrice qui coordonne les molcules physiques et les runitdans un organisme , ou plutt, cette Force de Souffle de Vie Universelle dont un organismesapproprie durant une brve priode de temps, laquelle nous donnons le nom de vie .

La dsignation du double therique exprime la nature et la constitution de la partie la plussubtile de notre corps physique ; cette dsignation est , donc, significative et facile de retenir .Cet lment , le double therique est form par des thers varis , et double parce quilconstitue un duplicata de notre corps physique, son ombre pour ainsi dire .

Le double therique est parfaitement visible un il entran du clairvoyant ; sa couleurest dun gris violac et sa contexture est grossire ou fine suivant la qualit de la nature

correspondante au corps physique .

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Cest grce au double therique que la force vitale, ou prana, circule le long des nerfs et leurs

permet de fonctionner comme des transmetteurs de la motricit et de la sensibilit auximpressions externes . Les facults, les pouvoirs de la pense , du mouvement, de lasensibilit , ne rsident pas dans la substance nerveuse , quelle soit physique, quelle soit

therique . Ce sont des modes dactivit de lego ,(1)oprant dans ses corps ou vhicules plusinternes ; mais son expression sur le plan physique est rendue possible par le Souffle de Viequi circule le long des filets nerveux et autour des cellules nerveuses .

Durant le sommeil naturel , lego (2) lme sextriorise en dehors du corps physique ,laissant conjointement les deux parties ; grossire et therique( corps physique et doubletherique ). A la mort , lme sextriorise aussi , mais cette fois dfinitivement entranantavec elle le double therique quelle abandonne , compltement et dfinitivement comme lecorps physique .

Ce double therique apparat, certaines fois , dans la chambre mortuaire, immdiatement

aprs la mort , mais toujours petite distance du cadavre. Cest donc le double therique , lacause dterminante des nombreuses apparitions de fantmes, errant autour des tumulus ou gtle corps physique quil vitalisa durant la vie .

(1) Par ego lauteur veut se rfrer lEsprit immortel . Nos prfrons pour plus dedidactique ,la dnomination de Rohden ; JE pour dsigner lEsprit ternel et ego quand ilsagit de personnalit .(N.A.)(2) Lauteur nouvellement se rfre lEsprit et confond me avec esprit.(N.A.)

4.Un pont entre le physique et lAstral.

Par lintermdiaire de la structure therique tous les actes volitifs ,les dsirs, les motions etquelques manifestations de conscience suprieure vont agir sur le corps physique ou , plus

prcisment , sur le cerveau charnel.

Il promeut la ncessaire dgradation de frquence entre le champ spirituel de lastral et duchamp physique .

Le fait le plus spectaculaire du double therique survient dans les sessions deffets physiques.Ce sont des travaux assez rares qui dpendent de la prparation et des soins spciaux de lapart des assistants et des oprateurs.

Pour quun esprit se matrialise jusquau point dtre touch , palp, pes etc il estncessaire que sa forme spirituelle soit revtue de substance matrielle . Cette substance ,lectoplasma provient du double therique dun mdium donneur . Exsud par les pores etcavits naturelles , elle apparat , au commencement sous la forme dune espce de gaz lourd ,dense, qui peu peu va se condenser ; prend une forme pteuse, plastique, et avec laquellelesprit communiquant va se revtir , jusqu' se montrer avec le corps quil possdait quand iltait incarn . Avec ce nouveau corps qui est une contre partie de son corps astral , le

dsincarn peut rester entre les vivants pour quelque moment , compt en minutes ; il entend,parle, touche, et est touch, en tout tat de cause , semblable un homme commun , vivant.

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Au sicle pass , le fameux scientifique William CROOKES investit durant deux ansconscutifs la matrialisation de lesprit de Katie King. Le cas classique , a eu unerpercussion justifie pour deux motifs ; lindiscutable crdibilit de CROOKES et

lassentiment de lesprit servir de recherches scientifiques .

Dans les phnomnes mdiumniques communs , bien moins spectaculaires , limportance dece mdiateur quasi napparat pas ; il nest pas palpable .Sans lui, cependant, lacommunication entre les champs astral et physique serait impossible par manque du pont ;tout esprit communiquant , qui de fait li au mdium doit utiliser ce stade intermdiaire defrquence qui permet laccouplement rsonnant avec le systme nerveux du mdium , jusqula modulation de la pense de lesprit et son expression par la psychographie ,psychophonie etautres moyens .

5.Leffet Kirlian.

Pour qui prfre des preuves obtenues en laboratoire , leffet Kirlian est intressant.Une irradiation lumineuse , phnomne lectromagntique connu comme effet Corona,apparat autour des objets sur lequel est appliqu un courant lectrique de tension etfrquences hautes. Dans la production de ce courant, nous avons lhabitude dutiliser une

bobine dinduction de TESLA.

Des choses inanimes (par exemple ; les mtaux ) ont une manation lumineuse rgulire unhalo avec dimension , de forme et de luminosit uniformes . Chez les tres vivants le halo semodifie conformment aux conditions de la crature qui est soumise au courant lectrique .Ces altrations dans la forme et lintensit du halo refltent le dynamisme vibratoire duchamp ou (Corps) therique .En aucune faon cela constitue un portrait de laura et bienmoins le corps astral , comme le croient certains spirites . Ce sont des manifestations

physiques , parce que du corps therique .

Des tats pathologiques peuvent modifier le patron de leffluve lectrique et leffet Kirlianindiquera que quelque chose danormal est en train de se produire avec cet organisme. Laraison de ceci est que les maladies affectent toujours et en premier lieu lquilibre nergtiquedu champ (ou corps) dynamique (therique) , altrant sa forme et aussi leffet .

3. LE CORPS ASTRAL

Au second sicle de notre re , Origne, philosophe de lcole no platonique , enseignait quelesprit avait un corps vaporeux , une aura. Au 4e sicle , Saint Cyril de Jrusalem dit ; lesmes des dfunts ont des corps plus subtils que les corps terrestres . Le nom d esprit estgnrique et commun ; il se dsigne par esprit tout ce qui n a pas de corps pais et lourd . Ala mme poque , Saint Hilaire de Poitiers affirme ; Il ny a aucune chose dans la Nature etdans la cration , soit dans le Ciel, soit sur la Terre, soit entre les choses visibles , soit entreles choses invisibles , qui ne soit pas corporel . Mme les mes , soit durant la vie , soit durant

la mort , conservent quelque substance corporelle , parce quil est ncessaire que tout ce quiest cre , soit dans quelque chose .

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Tous les penseurs de lEglise primitive faisaient distinction, comme Paul de Tarse , entrelesprit (pneuma) et lme intermdiaire (psych) et le corps physique , grossier(soma). Jeande Thessalonique , au 2e concile de Nice , a dclar ;Les anges, les archanges et aussi les

mes sont , en vrit spirituels mais non pas privs de corps . Ils sont dots dun corps mince, arien , de feu . *

Cette me dont de nombreux anciens auteurs ont dmontr avoir une surprenanteconnaissance , reut de Kardec le nom gnrique de priesprit. Dans cette dnomination ontt runis les divers corps subtils , jusqu mme le corps therique , qui cependant estphysique . Pour Kardec ils sont synonymes ;me et esprit . Pour nous ;me etpriesprit est ce qui devrait tre synonyme , car les deux expression dsignent lensembledes enveloppes de lesprit , depuis le corps astral aux autres , plus subtils (avec videnteexception de ltherique) . Il convient davoir toujours prsent cette diffrenceconceptuelle , pour viter les futures distorsions dans lentendement de la matire de ce

livre .Tout indique que lme laquelle se rfrent tous ces autres sages est en vrit le corpsastral .

* Citations du livre de Antonio FREIRE . DA ALMA HUMANA Ed . FEB

1.Importance et densit

Lon donne le nom de corps astral lenveloppe spirituelle la plus proche de la matire ,sans oublier quelle peut tre vue par les clairvoyants facilement . Tous les esprits quiincorporent dans des mdiums possdent cette structure corporelle subtile . Elle est ncessaire

pour la manifestation de lesprit , dans la dimension dans laquelle il se trouve (astral) commele corps pour les humains .

Cest avec ce corps que les esprits vivent dans la dimension astrale ;ceux qui secommuniquent habituellement dans les sessions spirites possdent ce vhicule plus ou moinsdense, en conformit avec le degr dvolution de son possesseur . Ceux qui ne le possdent

pas , parce que plus volus , se communiquent avec les mdiums par syntonie mentale ,sansincorporation .Le corps astral na pas la mme densit chez toutes les cratures humaines . Il varie

grandement de masse , de telle faon que lhomme dsincarn possde un vritable poidsspcifique qui en Physique , est le rsultat de la masse dun corps divise par son volume ;Pe=M/v. Cet tat de plus ou moins grande densit est ce qui diffrencie les esprits ; lorsquenous sommes dsincarns , nous sommes quasi automatiquement localiss dans la rgion oula frquence vibratoire du monde spirituel qui est la plus compatible avec notre poidsspcifique .

2.Lerraticit.

Les esprits trs matrialiss vivent dans lerraticit , prs des cratures incarnes .

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Lon appelle erraticit ltat dexistence sans finalit objective et utile , dans lequel serencontrent les esprits dsincarns .Cependant cet tat a comme cause primordiale la mconnaissance de lvolution et du rle delesprit dans le contexte cosmique. Cette angoissante perplexit existentielle saggrave

mesure que concourent dautres facteurs ;ignorance et dsespoir quant aux possibilitsdvolution , par exemple ; attachement aux biens matriels , personnes etc Lentitdsincarne continue rvolte pour se juger impotente pour agir directement sur la nature ,comme les incarns ; et de la naturelle difficult dadaptation au nouvel environnement ,toutes les distorsions dvaluations (dans lesquelles sont incluses les siennes) , bien commedinnombrables autres facteurs dordre personnel , moral et matriel qui perturbent lenouveau dsincarn .

Sils ne sont pas essentiellement pervers ces esprits errants seront facilement achemins dansdes stations dapprentissage et de rcupration existantes de lastral ; il suffira donc ensuite deles orienter avec assurance .

Ensemble en orientation , nous pouvons utiliser un moyen plus rapide de les convaincre . Siavant tout , ils sont traits, sils sont lavs , si leurs vestes sont changes , si leurs maladiessont soignes ainsi que leurs blessures et douleurs, mme les plus ignorants et endurcis semettront dans lesprance et se dcideront voluer , travaillant et apprenant . Ce changementdattitude est bien comprhensible . Les esprits sans volution ont lhabitude de conserverleurs tats de souffrance qui les ont amens la mort , vivant certaines fois, des souffrancesintenses durant des annes la file . Quand il se voient libres , en quelques minutes, de cethorrible prolongement dagonie ( travers lutilisation de trs fortes cascades dnergiescuratives , comme nous verront ci devant) , ces pauvres cratures spanouissent pour lamourdu prochain .

3.Le Purgatoire

Les zones de lastral infrieur sont habites par des esprits coupables de constants dtoursdHarmonie Cosmique . Ils doivent puiser ici, de denses masses de magntisme infrieur,(cest dire de basse frquence vibratoire) adhres leur corps astral par le dsquilibredans lequel ils ont vcu . Beaucoup transportent des masses magntiques trangresconsquence de blessures physiques infliges leurs victimes , dont le sang , dans cettedimension , se comporte comme un lment vivant . Vhicule de vie , notre sang est imprgn

de magntisme animal. Ce magntisme adhre et reste pesant lourd sur lorganisme astral ducriminel (en obdience la Loi du Karma) . Dsincarn , le coupable souffre normmentavec ceci ; il devra purger de telles nergies ngatives dans des locaux destins cesexpiations dont il samarre frquemment pour de longues annes . Cest le Purgatoire dont

parle lglise catholique, bien dploy et dcrit par les Pres de lEglise .

A mesure quils voluent les esprits sont en train de perdre le corps astral , devenant chaquefois plus diaphane la vision des clairvoyants, et au point de ne plus tre possible de

perception . Avec le temps et lvolution , ils perdent totalement ce corps , restant en possession dautres enveloppes spirituelles beaucoup plus subtiles . Mais toutes cesenveloppes priespirituelles sont, avec le temps , aussi abandonnes , jusqu ce quil reste

uniquement lesprit pur, dans sa plnitude Christique . A cet tat les esprits jouissent de lavision de Dieu, comme lon affirm les tres christiques de toutes les poques .

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4.Les mdiums astrauxANDRE LUIZ et autres messagers nous parlent dun fait apparemment trange ; La ncessitdes mdiums entre les habitants dsincarns de lastral pour quils puisent recevoir descommunication desprits suprieurs (qui par volution ont perdu les enveloppes plus denses ).

avec claircissements et orientations pour tous ceux qui vivent dans les communautsastrales dapprentissage et de travaux . Ces entits suprieures normalement ne sont pas vuespar les esprits vtus de corps astral de la mme manire que les tres humains nont paslhabitude de voir des esprits.

Les rvlations dANDRE LUIZ choqurent beaucoup de spirites orthodoxes , ignorants decette ralit et de la physiologie de lme , amenant beaucoup dentre eux rpudier commefantaisie , tout un trsor dinformations . Cependant le phnomne est logique et laconsquence naturelle du procd dincarnation . En effet ,incarn implique de plonger dansla Matire , avec une concentration chaque fois plus importante des enveloppes ou descorps.

Ramatis affirme que la plus grande et innarrable souffrance de JSUS na pas t cause parles douleurs physiques ou la crucifixion ; la vritable Passion a t le procd deconcentration dun esprit qui tait Lumire Absolue , jusqu se manifester dans le planmatriel . Le Christ le supporta durant 1000 annes , pendant lesquelles il reprit trs lentementtous ses corps spirituels , quil avait abandonn il y a des millnaires . Ceci explique peut tre

pourquoi le prophte Isae parla du Divin Matre toujours au prsent , et cependant , septcents ans avant la venue du CHRIST :

parce que un enfant nous est n,un fils nous a t donn ;la souverainet repose sur ses pauleset il sappelleConseiller Admirable,Dieu Fort,Pre Eternel , Prince de la Paix.Is. 9 :5

5.Phnomnes de ddoublement.

Sous de dtermines circonstances , artificielles ou naturelles , le corps astral peut se sparer

du corps physique , emportant avec lui toutes les autres enveloppes et le propre esprit .Normalement ceci arrive pendant le sommeil , quand lindividu perd conscience et que lesfonctions vitales sont diminues au minimum indispensable aux changes mtaboliques .

De nombreux sensitifs peuvent sabsenter du corps avec une certaine facilit, en transespontane. Mais ceci peut aussi arriver aux personnes communes, en circonstances

pathologiques ou exceptionnelles, comme un choque motif fort, une faiblesse par maladies prolonges , des hmorragies volumineuses , des choques chirurgicales et autres tatsanormaux . Les personnes vont des lieux distincts, peuvent les dcrire, valuer leurs faits etgestes, avoir des sensations physiques, tout ceci sur le plan de la batitude de la conscience,grce la liaison avec le cerveau physique, travers le cordon dargent .

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6.Le Cordon dargent

Quelle que soit la distance laquelle se trouve le corps , lesprit reste li lui par ce cordondont parlent les initis de toutes les poques et jusqu mme dans la Bible .

Avant que se rompe le cordon dargent,que se brise la lampe dor ;avant que se casse la cruche la fontaineet que se fende la poulie sur le citerne

Ecclsiastes, 12.6

Sil se rompt , donc, la mort arrive. Irrversible .Selon les rcits des esprits , quand les entits suprieures rompent ce cordon , par loccasionde la mort , il se produit un clair de lumire intense , par la libration dnergie .

Constitu dune certaine faon dnergie de haute intensit , ce fil lumineux et brillant se lieau corps physique travers du double therique , dans lequel il senracine travers de la tteet des myriades de connexions filiformes qui recouvrent toute la structure therique . Il auraitla ressemblance dun cble de haute tension sil ntait pas inconcevablement ductile ; il peutsaffiner jusqu une minceur des plus extrmes, permettant que lesprit dune personne vivese distancie du corps physique (et de ltherique) sur des milliers de kilomtres, en voyagesastraux . Il ne se rompt pas et maintient lesprit comme propritaire et directeur du corps ; travers le procd merveilleux (mais pas encore clairci) de toutes les fonctions vitales denotre organisme qui sont prserves .

7.Le ddoublement apometrique

Jusqu mme avec efficacit lesprit peut sloigner du corps physique par imposition denature magntique , command par une personne entrane . Dans ceci rside lApometria ,matire principale de ce livre , technique de large usage pour le traitement des esprits incarnset dsincarns. Ce phnomne , que nous appelons ddoublement apometrique, nous ouvreles portes pour linvestigation systmatique de dimension astrale , vritable univers parallleau notre .

Nous constatons quavec le temps , des sensitifs entrans dans le ddoublement apometriqueacquirent une telle conscience de leurs potentialits et limitations quils se dlocalisent dans

cette dimension comme sils taient sur le plan physique. Ils vont dans dautres endroitscertaines fois ,si loin , y travaillent, aident, traitent les malades spirituels incarns oudsincarns cte cte avec les esprits dsincarns secouristes auxquels il prtent une aideinestimable .

8.Proprits et fonctions du corps astral

Cette facilit de se sparer du corps physique est caractristique du corps astral. Immatriel etde nature magntique, il na pas de constitution fluidique comme le double therique ; il nese condense pas et pourtant il forme des objets matrialiss , car de nature compltement

diverse de la matire. Cependant il peut tre model par laction de la force mentale , avecune facilit relative .

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De cette proprit nous nous en servons en technique de traitement des esprits malades,estropis, mutils ou blesss, qui encore sentent les souffrances des infirmits qui ont

provoqu leur mort . Mais dj nous pouvons avancer que tous, ils sont recomposs dans leurforme physique et tat physiologique salutaire , par la projection dnergie curative

mentalement mise par loprateur (pulsions nergtiques) commands par comptage paus ,en gnral jusqu sept ou dix .

Une des plus importantes fonctions du corps astral est celle de la sensibilit . Nous savonsquelle rside dans ce champ ou cette dimension ;le corps physique peine transmet lesstimuli reus , entrant la structure, le registre de la sensation douloureuse ou de plaisir . Lesvices sont de nature psychique uniquement pour cause de cela ; son origine est dans lastral ;cest lastral qui sent . Pour cette raison , nous emmenons avec nous nos vices et passions , enmourrant ; si ctait dune faon diffrente ,il ny aurait pas de motif pour que les dsincarnscontinuent souffrant les douleurs de nature physique , ni dtre porteurs de dformationsdouloureuses comme lon constate en runions spirites .

La sensation est la plus grossire forme de sentiment. Primaire, instinctive. Dj lmotion estbeaucoup plus complexe, se liant au dsir , elle peut tre exacerbe jusqu atteindre lapassion . Mais noublions pas que les sensations comme les motions sont des tats trsimportants de conscience , car elles donnent du coloris et de la force nos actes .

La lutte majeure que nous menons , contre nous mmes , en faveur de notre volutionconsiste prcisment rfrner, policier, dominer nos dsirs et sentiments , principalement les

passions . Depuis les impulsions instinctives et animales comme la faim , la soif , le dsirsexuel ,jusquau sentiments levs comme lamour du prochain , solidarit, amiti, affection ,douceur , ou les passions effrnes de possession , pouvoir, concupiscence, toutes lesmotions et les dsirs qui se manifestent dans le monde astral .De ce corps et par volution ,les sentiments slvent et passent dautre niveaux de conscience , propres des espritssuprieurs

9. Aliments et mort du corps astral

Notre corps astral perd de lnergie constamment, ncessitant de supplment nergtique poursa maintenance, comme son corps physique. Mais la nature de cet aliment varie beaucoup ;cela va du bouillon protinique ncessaire aux esprits trs matrialiss , fournies par les

maisons de secours dans lastral , jusquaux quintessencielles nergies qui aliment les espritssuprieurs ,recueillies ( travers la prire) directement de linfini rservoir dnergie cosmique.

Esprits habitants de lastral infrieur, suffisamment matrialiss , ont lhabitude de mangermme des aliments humains,. Sil y a perte dnergies sans la ncessaire reposition ,

principalement en raison des passions , lesprit peut perdre le corps astral ; tant rduit enovode inactif, conforme ce que nous relate ANDR LUIZ .La manire normale de perdre ce corps est donc, par volution ; ainsi comme de perdre lecorps physique par la mort, lon perd aussi lastral. Les esprits qui dj ne le possdent plus ,

parce que beaucoup plus volus , ne peuvent pas tre vus par les habitants plus grossiers de

ce plan , comme nous lavons dj vu .

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En synthse ; lvolution fait que nos nous loignons chaque fois plus des organisationsdenses, propre de la matire, jusqu les abandonner compltement.Linvolution, dun autre ct, peut aussi nous enlever ce corps, exactement comme lon perdle corps physique en consquence des vices et passions.

4 .LE CORPS MENTAL

Cest le vhicule que le Je cosmique utilise pour se manifester comme intellect concret etabstrait ; dans son intrieur la volont se transforme en action , aprs le choix subjacent lacte volitif .Cest le champ de raisonnement labor et qui de lui naissent les pouvoirs de lesprit ,les

phnomnes de cognition, mmoire et de lvaluation de nos actes , car il est la source de laconscience active,manifeste . Quand du corps astral fluent les sensibilits physiques et les

motions , le vhicule mental peut tre considr source de lintellectualit .

Dune certaine faon , le corps mental constitue une enveloppe infrieure , car il souffre delhorizontalit de ces phnomnes ou fonctions quil serait convenable dappeler intellect.Seulement dans des niveaux suprieurs de conscience ( dans lesquels sont prsents , undegr plus haut,les vertus qui rsultent de lamour affectif pour tous les tres) , il peut semanifester une spiritualit plus leve , notre essence.

1. Mental concret et Mental abstrait

Ce champ ,corps, ou dimension de lHomme Esprit lhabitude dtre divis en deux , pourune meilleure comprhension ;

Le Corps mental concret , appel aussi de mental infrieur ; traite de perceptions simpleset bien objectives comme par exemple celles des ; objets matriels, personnes , maisons,vhicules , etc

Le corps mental abstrait , corps causal, ou mental suprieur ,labore et structure lesprincipes et ides abstraites , cherchant les synthses ou conclusions qui cette fois, sont

productrices de nouvelles ides (et ainsi ad infinitum) . Procd responsable de lavancscientifique et technologique , en dehors de tout notre bagage philosophique .EXEMPLES ;

La perception dun cube travers les sens(connaissant sa taille, couleur, artes, poids ,odeur,got et le bruit qui puisse le faire tomber ou toucher un autre objet ) constituent des fonctionstypiques du corps mental concret ou infrieur. Il enregistre ce qui , extrieur notre peau ,impressionne notre systme nerveux .

Evaluer le volume, laire, le poids et les proprits de ce mme cube , en comparaison avecdautres objets similaires , ou travers de mthodes plus sophistiques ; formuler des thories

gomtriques , mettant en relation des symboles et des lois .Celles ci sont quelque unes desfonctions typiques du corps mental suprieur.

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2. Aura . Projection mentales

Le corps mental une forme approximativement ovode, enveloppant le corps physique. Sesportions priphriques constituent une aura, qui a une taille et des couleurs varies en accord

avec la frquence des champs vibratoires gnrs par les penses Pour les clairvoyants il estpossible de percevoir ce qui se passe dans lesprit des cratures ; les bonnes penses , lescouleurs claires , cristallines brillantes ; les infrieures(, haine, envie, mchancet, vengeance,etc) prsentent des couleurs obscures, denses dsagrables. Laura cependant rvle unenote tonique du champ mental des personnes .Lnergie de lesprit peut tre projete danslespace travers des structures connues comme les formes penses. Constitues dunnoyau dnergie avec une forme modele par lesprit de celui qui la projette, elles peuvent

porter prjudice ou bnficier les personnes qui sont vises, conformment la volont decelui qui les cres , consciemment ou inconsciemment . Ngatives elles assument la forme dedards, traits, projectiles ou champ trouble, par exemple. Positives, avec plus defficacit ,elles prennent les formes que loprateur dsire ; nous pouvons par exemple, utiliser aussi

lnergie de lesprit pour bnficier les esprits dsincarns , les nettoyant, les habillant, lesalimentant , dans lobjectif damliorer leurs conditions spirituelles .

Le champ naturel de cette nergie est le mental . Projete , elle agit normalement etpremirement sur le champ ou le corps mental des autres tres , passant par les corps ou leschamps astral therique , pour enfin agir sur le physique , dj convertie en action

psychomotrice . Si lance avec motions , elle pourra donc se revtir de masses magntiquesaussi bien denses et troubles que basses et ngatives auront t les frquences vibratoires desmotions . Cest dans ces cas que sinclue la cration de formes penss , lnergie mentalemise atteindra premirement et directement le corps astral de la crature vise , dou elle

passera par ltherique et ensuite le physique .

La pense est force vive , ne loublions jamais . Lnergie qui est projete est proportionnelle la puissance de lesprit et la force de volont de lmetteur .

3. Autres proprits

On ne connat pas dans lintimit, la physiologie de ce champ, structure, dimension oucorps que lon appelle mental. Tout indique quil soit de nature magntique, de frquencevibratoire trs suprieure celui du corps astral .Que lnergie mentale soit de nature

magntique parat indiquer des expriences que nous sommes en train de faire depuis unedouzaine dannes et auxquelles donna naissance une de nos plus intressantes techniques entraitements de dsobsession ; la dpolarisation des stimuli de mmoire, que nous traiterons

plus en avant.

Pour appartenir lunivers dimensionnel propre , le corps mental prsente des proprits etdes fonctions spcifiques , en dehors daction plus puissante et pntrante que celle du corpsastral . En effet considrant que lnergie dun champs radiant , de quelques longueursdondes ,est gale la Constance de Planck multiplie par la frquence de londe ,ceci est,W=h.n ou W =nergie ,h =constante de Planck( 6,6128273 x 10 -27 erg /s)et n=frquence ,ilse conclue que le Corps Mental doit ncessairement avoir une plus grande nergie de

propagation que les champs plus denses comme le physique ,ltherique et lastral.

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Cette nergie qui sirradie nest pas uniforme . Elle varie normment de frquence suivant laqualit ou nature de la pense ; si grossire , si elle vhicule des intrts infrieurs ou simalfique (revtue dmotions de haine, dagression ou denvie, par exemple ), elle aura unefrquence trs basse . Lnergie sera de rare pntration , mais la pense aura une masse . Et

cette masse mauvaise atteindra la structure astrale de la victime , pourra sy adhrer(principalement sil y a concidence avec quelque baisse du tonique de la frquence de lapersonne . )lui portant prjudice surtout . Cest le cas des pratiques de Magie Noire ,qui onttendance abaisser chaque fois plus les vibrations basses des personnes vises , leur causantdes souffrances et angoisses indfinissables , mal tre , sensations dtouffement etc Au contraire , si la pense est imprgne de bont , compassion, amour, solidarit( tout enfinqui tend lharmonie ), la crature se sentira bien , plein desprance , heureuse, avec unesensation dindfinissable de lgret . Ceci sexplique par la frquence de lmission ,car lesvibrations suprieures la tonique de la personne lui donne un bien tre ; si infrieur , leffetsera oppos.

La pense comme on le voit peut tre ; cratrice ou destructrice .

Si la crature possde une frquence leve avec une note tonique de sa personnalit , lesformes penses ngatives nont aucune condition dadhrer son corps astral ; elles sontautomatiquement repousses . Rien ne senglue la structure corporelle spirituelle descratures dans lesquelles la bont et la puret sont des caractristiques dominantes ;les formes

penses malfiques seulement peuvent agir sur les personnes qui sont dans une tranchevibratoire compatible .

(*)Equation de la Constance de Planck en physique quantique :W =nergieh =constante de Planck( 6,6128273 x 10 -27 erg /s)n=frquence

4.Ressoance mentale

Le corps mental est plus ou moins raffin dans la mesure du degr de dveloppementintellectuel et ou moral . Cependant , le Je imprime une vibration spcifique dans le champou structure mental ,comme ltat vibratoire se propage dans toutes les directions , comme il

arrive donc ,avec les phnomnes dont soccupe la Physique . En recevant cette nergie aveconde de longueur fixe tous les champs ou structures (corps) mentaux qui taient dans lamme frquence , ou en harmonie avec elle entrent en rsonance vibratoire .

Si la pense est de nature leve , les tres affins vibrent dans cette note tonique , renforantlonde initiale . Avec les penses malfiques ou de bas niveaux moraux il arrive la mmechose . Il est possible donc,de comprendre limportance de se maintenir dans une hyginementale telle quelle soit dcante et de bons sentiments comme, la puret du currecommande par les matres initis et esprits volus de toutes les res . Nous vivonsembourbs dans une ambiance de bas niveau vibratoire , ou prdominent manations

passionnelles et intrts matriels serviles, immdiats ; un ocan de basses frquences . Si

nous cultivons des penses et attitudes de patron moral lev , ces manifestations infrieuresne nous atteindront pas .

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Mais si nous procdons de faon inverse , nous serons en train de syntoniser ces tranchesngatives , rebaissant notre tonus vibratoire mental , et en consquence , nous enfonant dansun procd dinfriorisation qui implique douleurs , conflits et maladies .

5. Les Noures

PIETRO UBALDI , appellent ces ondes de penses des noures , courants de penses.Delles , les suprieures ont des aspects crateurs car en touchant dj les tres harmonieux etrceptifs , elles peuvent rveiller en eux les mmes penses dont elles sont porteuses .Ellesagissent de faon fcond

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Apometria Esprit Matière 1 José Lacerda de Azévédo