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DISCUSSION GENERALE: IMAGERIE DE L'AORTE THORACIQUE: ASPECTS NORMAUX ET PATHOLOGIQUES ET SUIVI POST-THERAPEUTIQUES Durée: 20 minutes 16 h 20 Objectifs: Connaître les éléments de sécurité de base d'un réseau de télétransmission d'images radiologiques. Connaître les éléments d'interopérabilité des solutions. Points clés: La sécurité d'une solution ne repose pas uniquement sur des éléments techniques. L'interopérabilité et le respect des standards est indispensable. Résumé: La transmission d'images à travers un réseau informatique peut se faire à différentes échelles: réseau local, réseau élargi (grou- pements d'hôpitaux en réseau privé), VPN, Internet. Toutes ces com- munications s'apparentent à de la téléradiologie. Les applications sont variées, mais doivent toutes répondre à des impératifs de sécurité, dont le but est de préserver la confidentialité des données dans l'inté- rêt des patients. Pour que ceci soit respecté mais ne gêne pas la pro- ductivité, des impératifs techniques, logiciels et fonctionnels doivent être respectés (authentification des acteurs, chiffrement des tramis- sions, charte, respect des normes OICOM et IHE). Mots clés: Réseaux d'images - Responsabilité SECURITE DES TELETRANSMISSIONS D'IMAGE PPuech (1), JP Mosson (2) (1) Lille - Fronce, (2) Carcassonne - Fronce Correspondance: puech@dicomworks,com Il s'agit en effet d'informations numériques nominatives, et de sur- croît, considérées comme particulièrement sensibles, puisqu'el1es ont trait à des données de santé. Des précautions sont dont impérativement à respecter, au plan tech- nique comme au plan juridico-adminitratif. Et il s'agira ensuite de veil1er à respecter les règles de prudence lors de l'utilisation quoti- dienne par chacun des acteurs, ce qui suppose une bonne formation! information de tous. Résumé: Les PACS sont des éléments essentiels de communication pour une pratique moderne de l'imagerie. Leur déploiement doit se faire dans le respect de la législation et de la réglementation. Le ven- deur de solutions intégrées peut y aider grandement; il convient cependant de ne pas lui faire trop aveuglément confiance puisque la responsabilité finale reviendra à l'utilisateur et au responsable de l'installation. Mots clés: Archivage - Communication - Réglementation Durée: 10 minutes Durée: 20 minutes 17 h 20 17 h 00 SUIVI POST-THERAPEUTIQUE DE L'ARCHE AORTIQUE JV Gaubert A Jacquier, V Vidal, FCohen, FCasalonga, G Moulin, JM Bartoli Marseille - France Correspondance: jean-yves,gaubert@ap-hm,fr Objectifs: Connaitre les principales pathologies de l'arche aortique. Savoir explorer un patient opéré pour dissection aortique de type A. Connaitre les complications à rechercher chez un patient porteur d'une endoprothèse de l'aorte thoracique. Points clés: Le suivi post-thérapeutique de l'arche aortique doit tou- jours être poursuivi à long terme. Il suppose que soit bien connu le protocole du traitement qui a été mis en oeuvre. Les complications diagnostiquées par l'imagerie mettent souvent en jeu le pronostic vital même si el1es sont asymptomatiques. La TDM et J'IRM doivent comporter des protocoles dédiés adaptés à chaque contexte particulier. Résumé: Les pathologies de l'arche aortique bénéficient de répara- tions chirurgicales ou de traitements endovasculaires. Les protocoles thérapeutiques doivent être précisément connus pour que l'imagerie détecte les nombreuses complications qui peuvent survenir au cours du suivi à long terme toujours requis. Les dissections peuvent se compliquer au niveau du site réparé (faux anévrysme) ou de l'aorte native: évolution anévrysmale, thrombose du faux chenal, troubles perfusionnels d'aval. Le développement des endoprothèses requiert des examens performants pour le diagnostic des fuites directes ou indirectes et l'optimisation de leur traitement. La TDM et l'IRM sont les principales méthodes d'imagerie utilisées, avec des protocoles dédiés. Mots clés: Aorte, prothèse 16 h 40 Durée: 20 minutes Archivage de l'imagerie médicale: archives et PACS communicants Séance OIganisée par le groupe de travail SFR-4i Responsable: Elisabeth Schouman-Claeys L'IMAGERIE ELECTRONIQUE A L'AP-HP D Reizine (1), H Ducou Le Pointe (1), ESchouman-C1aeys (1), P Grenier (1), D Musset (2), E Lepage (1) (1) Paris - Fronce, (2) Clamart - Fronce Correspondance: [email protected],fr Modérateurs: Robert Lavayssière, Laurent Tréluyer Objectifs pédagogiques Montrer comment rendre accessibles, à tous les professionnels autorisés, les examens d'imagerie médicale archivés. PACS PARTAGES: QUE DIT LE DROIT? V Hazebroucq Paris - Fronce Correspondance: [email protected] Objectifs: Connaître les grands principes législatifs et réglementai- res qui s'appliquent aux PACS. Savoir les mettre en oeuvre en pratique courante. Être attentif aux évolutions possibles de la réglementation. Points clés: Les PACS entrent pleinement dans le champs d'appli- cation de la Loi informatique et liberté (révisée). Objectifs: Connaître le projet de l'imagerie electronique de l'AP-HP. Points clés: La réalisation d'un PACS 'partagé' au sein de l'assis- tance publique des hôpitaux de paris. La base centrale des index images permettant de synchroniser les sys- tèmes « indépendants» sans réplication des données. Résumé: Le projet « imagerie électronique» de l'Assistance Publi- que - Hôpitaux de Paris se déroule depuis 2005 en plusieurs phases successives« transversales» à l'ensemble des hôpitaux de l'AP-HP. Vingt solutions identiques de stockage des images médicales (une par hôpital MCO) ont été instal1ées pendant la première phase. La deuxième phase comprend simultanément la connexion des hôpi- taux SSR et la réalisation d'une interface avec le dossier clinique per- mettant aux cliniciens d'accéder aux images stockées. Enfin la création d'une base centrale d'index synchronisée de toutes les zones de stockage (sans aucune réplication des données images) a été réa- lisée. Le système en place permet en 2008 le stockage « en ligne» en format DICOM lossless de toute la production d'imagerie de l'AP-HP pendant une période minimale de 5 ans et l'accès pour un Durée: 20 minutes 16 h 00 1391

Archivage de l’imagerie médicale : archives et PACS communicants

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DISCUSSION GENERALE: IMAGERIE DE L'AORTETHORACIQUE: ASPECTS NORMAUXET PATHOLOGIQUES ET SUIVI POST-THERAPEUTIQUES

Durée: 20 minutes16 h 20

Objectifs: Connaître les éléments de sécurité de base d'un réseau detélétransmission d'images radiologiques.Connaître les éléments d'interopérabilité des solutions.

Points clés: La sécurité d'une solution ne repose pas uniquement surdes éléments techniques.L'interopérabilité et le respect des standards est indispensable.

Résumé: La transmission d'images à travers un réseau informatiquepeut se faire à différentes échelles: réseau local, réseau élargi (grou­pements d'hôpitaux en réseau privé), VPN, Internet. Toutes ces com­munications s'apparentent à de la téléradiologie. Les applications sontvariées, mais doivent toutes répondre à des impératifs de sécurité,dont le but est de préserver la confidentialité des données dans l'inté­rêt des patients. Pour que ceci soit respecté mais ne gêne pas la pro­ductivité, des impératifs techniques, logiciels et fonctionnels doiventêtre respectés (authentification des acteurs, chiffrement des tramis­sions, charte, respect des normes OICOM et IHE).

Mots clés: Réseaux d'images - Responsabilité

SECURITE DES TELETRANSMISSIONS D'IMAGEPPuech (1), JP Mosson (2)(1) Lille - Fronce, (2) Carcassonne - FronceCorrespondance: puech@dicomworks,com

Il s'agit en effet d'informations numériques nominatives, et de sur­croît, considérées comme particulièrement sensibles, puisqu'el1es onttrait à des données de santé.Des précautions sont dont impérativement à respecter, au plan tech­nique comme au plan juridico-adminitratif. Et il s'agira ensuite deveil1er à respecter les règles de prudence lors de l'utilisation quoti­dienne par chacun des acteurs, ce qui suppose une bonne formation!information de tous.Résumé: Les PACS sont des éléments essentiels de communicationpour une pratique moderne de l'imagerie. Leur déploiement doit sefaire dans le respect de la législation et de la réglementation. Le ven­deur de solutions intégrées peut y aider grandement; il convientcependant de ne pas lui faire trop aveuglément confiance puisque laresponsabilité finale reviendra à l'utilisateur et au responsable del'installation.

Mots clés: Archivage - Communication - Réglementation

Durée: 10 minutes

Durée: 20 minutes

17 h 20

17 h 00

SUIVI POST-THERAPEUTIQUE DE L'ARCHE AORTIQUEJV Gaubert A Jacquier, V Vidal, FCohen, FCasalonga,G Moulin, JM BartoliMarseille - FranceCorrespondance: jean-yves,gaubert@ap-hm,fr

Objectifs: Connaitre les principales pathologies de l'arche aortique.Savoir explorer un patient opéré pour dissection aortique de type A.Connaitre les complications à rechercher chez un patient porteurd'une endoprothèse de l'aorte thoracique.Points clés: Le suivi post-thérapeutique de l'arche aortique doit tou­jours être poursuivi à long terme.Il suppose que soit bien connu le protocole du traitement qui a étémis en oeuvre.Les complications diagnostiquées par l'imagerie mettent souvent enjeu le pronostic vital même si el1es sont asymptomatiques.La TDM et J'IRM doivent comporter des protocoles dédiés adaptésà chaque contexte particulier.Résumé: Les pathologies de l'arche aortique bénéficient de répara­tions chirurgicales ou de traitements endovasculaires. Les protocolesthérapeutiques doivent être précisément connus pour que l'imageriedétecte les nombreuses complications qui peuvent survenir au coursdu suivi à long terme toujours requis. Les dissections peuvent secompliquer au niveau du site réparé (faux anévrysme) ou de l'aortenative: évolution anévrysmale, thrombose du faux chenal, troublesperfusionnels d'aval. Le développement des endoprothèses requiertdes examens performants pour le diagnostic des fuites directes ouindirectes et l'optimisation de leur traitement. La TDM et l'IRM sontles principales méthodes d'imagerie utilisées, avec des protocolesdédiés.

Mots clés: Aorte, prothèse

16 h 40 Durée: 20 minutes

Archivage de l'imagerie médicale:archives et PACS communicants

Séance OIganisée par le groupe de travail SFR-4i

Responsable: Elisabeth Schouman-Claeys

L'IMAGERIE ELECTRONIQUE A L'AP-HPD Reizine (1), H Ducou Le Pointe (1),ESchouman-C1aeys (1), P Grenier (1), D Musset (2),ELepage (1)(1) Paris - Fronce, (2) Clamart - FronceCorrespondance: [email protected],fr

Modérateurs: Robert Lavayssière, Laurent Tréluyer

Objectifs pédagogiquesMontrer comment rendre accessibles, à tous les professionnelsautorisés, les examens d'imagerie médicale archivés.

PACS PARTAGES: QUE DIT LE DROIT?V HazebroucqParis - FronceCorrespondance: [email protected]

Objectifs: Connaître les grands principes législatifs et réglementai­res qui s'appliquent aux PACS.Savoir les mettre en oeuvre en pratique courante.Être attentif aux évolutions possibles de la réglementation.Points clés: Les PACS entrent pleinement dans le champs d'appli­cation de la Loi informatique et liberté (révisée).

Objectifs: Connaître le projet de l'imagerie electronique del'AP-HP.Points clés: La réalisation d'un PACS 'partagé' au sein de l'assis­tance publique des hôpitaux de paris.La base centrale des index images permettant de synchroniser les sys­tèmes « indépendants» sans réplication des données.Résumé: Le projet « imagerie électronique» de l'Assistance Publi­que - Hôpitaux de Paris se déroule depuis 2005 en plusieurs phasessuccessives« transversales» à l'ensemble des hôpitaux de l'AP-HP.Vingt solutions identiques de stockage des images médicales (une parhôpital MCO) ont été instal1ées pendant la première phase.La deuxième phase comprend simultanément la connexion des hôpi­taux SSR et la réalisation d'une interface avec le dossier clinique per­mettant aux cliniciens d'accéder aux images stockées. Enfin lacréation d'une base centrale d'index synchronisée de toutes les zonesde stockage (sans aucune réplication des données images) a été réa­lisée. Le système en place permet en 2008 le stockage « en ligne»en format DICOM lossless de toute la production d'imagerie del'AP-HP pendant une période minimale de 5 ans et l'accès pour un

Durée: 20 minutes16 h 00

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