ARTICLES DE PRESSE 2019 - Actia - Asso › wp-content › uploads › Actia... · 2020-02-04 · Actia . articles de presse Actia . 16 rue Claude-Bernard . 75231 Paris Cedex 05

ARTICLES DE PRESSE 2019

ARTICLES RÉSEAU ACTIA ALIM’AGRI RMT-UMTJANVIER

LES RÉSEAUX MIXTES TECHNOLOGIQUES (RMT)Les Réseaux mixtes technologiques (RMT) sont des outils de partenariat scientifique et technique originaux, créés et soutenus par le ministère en charge de l’agriculture, sous la coordination de l’Acta et de l’APCA pour le secteur agricole et de l’Actia pour le secteur agroalimentaire. Ils ont vocation à favoriser la collaboration entre les équipes issues de la recherche, de l’enseignement technique agricole et du développement agricole autour de thématiques à forts enjeux socio-éco-nomiques et environnementaux.

Sans personnalité juridique, un RMT est constitué d’au moins :- trois instituts techniques qualifiés ou chambres d’agriculture ;- un établissement d’enseignement technique agricole ;- un établissement d’enseignement supérieur ou un organisme de recherche public ;- d’autres organismes exerçant des missions de développement agricole et rural peuvent également être membres d’un RMT, tels que des Organismes nationaux à vocation agricole et rurale (ONVAR) ou des entreprises.

Depuis 2006, les RMT émanent d’appels à propositions successifs. Un répertoire présente l’ensemble des RMT agréés par le ministère en charge de l’agriculture depuis 2006 (PDF, 47.17 Ko). En 2019, on dénombre 22 RMT pour le secteur agricole et 10 RMT pour le secteur agro-alimentaire.

Nouvel appel à propositions pour l’agrément de RMT : Lancement d’un appel à propositions en vue de l’agrément de RMT du 21 décembre 2018 (PDF, 269,92 Ko)Date limite de dépôt des projets : 10 mai 2019.

LES UNITÉS MIXTES TECHNOLOGIQUES (UMT)Tout comme les RMT, les Unités mixtes technologiques (UMT) sont des outils de partenariat scientifique et technique, créés et soutenus par le ministère en charge de l’agriculture, pour conduire en commun, sur un site géographique déterminé, un programme de recherche et développement à vocation natio-nale, dont les résultats sont opérationnels et généralisables à court et moyen terme.

Les UMT favorisent les synergies entre chercheurs et ingénieurs par les spécificités de leur fonctionne-ment : unité de lieu et de direction, co-construction du programme scientifique à vocation nationale, mutualisation des moyens techniques et humains, mixité et complémentarité des compétences. Sur sa thématique, chaque UMT permet de proposer une entrée unique et reconnue en recherche et développe-ment pour ses différents interlocuteurs des secteurs public et privé.

Sans personnalité juridique, une UMT est constituée d’au moins :- un institut technique qualifié ;- un organisme de recherche public ou un établissement d’enseignement supérieur.

Les UMT, tout comme les RMT, émanent d’appels à propositions. Un répertoire présente l’ensemble des UMT agréées par le ministère en charge de l’agriculture depuis 2006. En 2019, on dénombre 17 UMT pour le secteur agricole et 12 UMT pour le secteur agro-alimentaire.

Dernier appel à propositions d’unités mixtes technologiques : Lancement de l’appel à propositions d’UMT pour l’année 2018 (PDF, 213,23 Ko)

Bases juridiques :

Articles L. 800-1 et D. 800-1 à D. 800-5 du Code rural et de la pêche maritimeDécret N° 2006-1 154 du 15 septembre 2006 (PDF, 174.92 Ko)

Actia . articles de presse 2019

Actia . 16 rue Claude-Bernard . 75231 Paris Cedex 05 . téléphone : 01 44 08 86 20 . www.actia-asso.eu

Le 19 mars 2019JOURNÉE « SÉCURITÉ MICROBIOLOGIQUE DES ALIMENTS » - PARIS

Le RMT ACTIA QUALIMA organise une journée sur la validation des mesures de maîtrise par les entre-prises de l’agro-alimentaire et les démarches basées sur les risques microbiologiques sanitaires.Au programme : un point sur la réglementation, des exemples d’application de terrain, des témoignages de professionnels, un panorama complet sur les méthodologies disponibles, la présentation des nou-veaux outils basés sur les statistiques et la modélisation ainsi que des perspectives de recherche.

Contacts (animation du RMT Actia Qualima) :Valérie Stahl : [email protected] Denis : [email protected]

ARTICLES RÉSEAU ACTIA CARNISSIME RMT QUALIMAFÉVRIER

Q U A L I M A

Q U A L I M A A C T I A



Les troubles musculo-squelettiques (TMS) sont la première cause de maladies pro-fessionnelles dans l’industrie des viandes. Les opérations de découpe et de désos-sage, qui obligent à effectuer un nombre important de gestes physiques et répétitifs y contribuent. 85, 7 % des TMS liés de la filière viande concernent le poignet, la main, les doigts, l’épaule, et le coude.

C’est pourquoi il a été décidé de développer un exosquelette permettant de compenser les efforts du poignet lors des tâches de désossage et de découpe soulageant ainsi les efforts de l’opérateur etréduisant la pénibilité de ces postes de travail.« Notre objectif est d’assister des efforts dans n’importe quelle direction de l’espace » indique Matthieu Alric, docteur et ingénieur en Génie Mécanique et chargé d’études au sein de la SRC ADIV.Pour cela, « l’appareil associe une orthèse d’avant-bras et de poignet actionnée pneumatiquement et pilotée par capteurs de pression. Grâce aux collaborations avec des prothésistes, nous avons apporté des améliorations ergonomiques en matière d’adaptation à la morphologie du bras de l’opérateuret nous avons aussi travaillé à la réactivité de la commande avec notre partenaire CIP Automation ».Breveté début 2019, l’exosquelette a été présenté en avant-première au CFIA 2019 à Rennes et sera testé sur site industriel.Ce travail collaboratif est le fruit de 18 mois de recherche en partenariat avec les UMT Actia Mécarnéo et Agrobergo, l’Institut Pascal et l’intégrateur industriel CIP Automation (groupe Altenov) dans le cadre du projet Exoscarne, labellisé par le pôle de compétitivité ViaMéca et financé par le Programme d’Investis-sements d’Avenir à hauteur de 200 K€ (pour un montant du projet de 456 K€).

ARTICLES RÉSEAU ACTIAFRANCE

INNOVATIONUMT MECARNEO

MARS

UMTMÉCARNÉO

MÉCATRONIQUE & ROBOTIQUEDANS LES FILIÈRES VIANDE

UMTAGROBERGO

DÉVELOPPEMENT DE SOLUTIONSROBOTIQUES & ERGONOMIQUES





ARTICLES RÉSEAU ACTIA RIAPLATE-FORME

BLÉ DUR

MARS

En 2017, la production française de blé dur s’est élevée à 2,1 Mt, pour une surface de 370 000 ha.Sur le territoire, on compte sept entreprises industrielles regroupant 1 500 personnes, avec cinqsemouleries (464 560 t en 2017), 7 usines de pâtes (230 651 t) et 4 usines de couscous (91 998 t).

La filière française doit faire face à plusieurs défis : une mondialisation des productions de blé dur avec une forte concentration des consommations autour du bassin méditerranéen, des aléas clima-tiques et spéculatifs sur les cours. La France se caractérise par une production de grains de qualité qui s’exporte à 60 %, mais elle connaît un déclin de la production. Les produits finis (pâtes et cous-cous) sontdes aliments de consommation courante soumis à la concurrence étrangère (importations : 60 %des pâtes et 27 % du couscous consommés). La situation de la filière blé dur française a généréun plan de relance en dix points de l’amont à l’aval, dont l’action de recherche et développement

qui se concrétise par le projet collaboratif DÉFI Blé dur.Créée en 2013, la plate-forme Blé Dur rassemble les parties prenantes de la filière française :les sélectionneurs (UFS, GIE Blé Dur), les producteurs (AGPB), la recherche et l’enseignement pu-blics (Inra, Supragro, la recherche appliquée (Arvalis, Acta, Actia), les industriels de la semoule, des pâtes et du couscous (Comité Français de la Semoulerie Industrielle - CFSI, Syndicat des industriels fabricants de pâtes alimentaires de France - SIFPAF), les organismes stockeurs, ainsi que le minis-tèrede l’Agriculture (FranceAgrimer, DGPE), le GNIS et les pôles de compétitivité.« L’objectif est d’échanger, de créer des synergies et de donner une cohérence à la recherche »,explique Christine Petit, secrétaire générale du SIFPAF - CFSI.



ARTICLES RÉSEAU ACTIA RIAGUIDE RISQUES

TECHNOLOGIQUES

AVRIL





ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESS UMT AGROBERGOAVRIL

ACTIA NON CITÉE

UMTAGROBERGO




ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESS UMT AGROBERGOMAI

UMTAGROBERGO




ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESSMALLETTE

PÉDAGOGIQUE

MAI





ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESS UMT ALTER’IXMAI

L’Adria est en forme ! L’institut technique au service des entreprises et des industries agroalimen-taires, à Quimper (Finistère), revendique en effet des résultats en hausse.En 2018, la direction annonce un chiffre d’affaires en progression de 5,4 % à hauteur de 5,6 millions d’euros. « Le résultat net est de 96 000 euros. Sur les dix dernières années, la croissance a été de 57 % », précise Jean-Robert Geoffroy.

Les comptes de l’Adria doivent être approuvés lors de son assemblée générale, le 14 juin 2019. Ce laboratoire propose son expertise en qualité et en sécurité des aliments mais aussi en innovation pour façonner de nouveaux produits et emballages.L’Adria a par ailleurs accentué ses prestations de formation notamment sur le support numérique. L’an dernier, sa plateforme Digital Learning a séduit plusieurs entreprises pour la formation de son personnel à distance.

Plus globalement, l’année passée a été marquée par plusieurs prix. L’équipe Foodpack a gagné un projet labellisé par le pôle de compétitivité Valorial sur l’optimisation des atmosphères modifiées dans les emballages.L’Adria avec l’UBO a également reçu du ministère de l’Agriculture et de l’alimentation la labellisation de l’UMT Actia Alter’ix pour des travaux de recherche sur les germes d’altération ayant pour but de limiter le gaspillage alimentaire.Dans son communiqué, la direction de l’Adria confirme aussi la construction d’un nouveau labora-toire de recherche en microbiologie moléculaire. « Il sera équipé de technologies de pointe. » Cette annonce avait été faite fin 2017. Le lancement du projet est prévu en 2020.

UMTALTER’IX

ALTÉRATION DES ALIMENTSPAR DES BACTÉRIES SPORULÉES

& DES MOISISSURES



ARTICLES RÉSEAU ACTIAINTERBIO

NELLE AQUITAINERMT TRANSFOBIO

MAI

Transformation de produits biologiquesoutil de formulation en ligne le 14 mai 2019

La fabrication des produits biologiques est régie par un règlement européen qui vise à garantir la traça-bilité des ingrédients Bio mais aussi la qualité des produits finis et la préservation des intérêts nutrition-nels des matières premières.Les collaborateurs chargés de formuler de nouveaux produits Bio ont parfois des difficultés à identifier les ingrédients autorisés et à adapter à leurs recettes.

Cette formation permet aux participants de se familiariser avec la réglementation appliquéeà la transformation de produits biologiques balayant la formulation et l’étiquetage, notions indisso-ciables. Puis un outil d’aide à la formulation de produits biologiques en ligne développé par le Réseau Mixte Technologique (RMT) Transfobio sera présenté par les intervenants, directement impliquésdans sa conception. Une demi-journée sera consacrée à la prise en main de l’outil sur des cas concretsde difficulté progressive.

ObjectifsRappel de la réglementation biologique : transformation, formulation, étiquetageDécouverte d’un outil d’aide à la transformation de produits biologiquesTravail sur des cas pratiques de formulation en groupe et à l’aide du logiciel

ContenuApprovisionnement des ingrédients biologiquesRéglementation bio en formulation : ingrédients, additifs, auxiliaires technologiquesréglementation bio en matière d’étiquetagePrésentation de l’outil de formulation en ligne réalisé par le RMT transfo bioRéalisation de cas pratiques de formulation en groupe : cas d’un produit simple, cas d’un produit cuisiné plus complexe, cas concret sur la base des demandes des participants.Pour plus d’informations sur cette formation : cliquer iciPour vous inscrire : cliquer ici

T R A N S F O B I O



ARTICLES RÉSEAU ACTIA UGNIC - BNICGUIDE RISQUES

TECHNOLOGIQUES

MAI



ARTICLES RÉSEAU ACTIASOMMET

AGRI INNOVATIONRMT TRANSFOBIO

JUIN

T R A N S F O B I O



ARTICLES RÉSEAU ACTIA RIA RMT TRANSFOBIOJUIN

Bio : une liste positive dès 2021 ?14.06.19« Il n’existe actuellement aucune liste de matières actives biocides autorisées dans les usines de transformation de produits biologiques. Seules des listes de produits de nettoyage-désinfection utilisables dans les bâtiments d’élevage ainsi qu’un guide de lecture de l’INAO pour les produits uti-lisables en production végétale ont été élaborés », explique Rodolphe Vidal, de l’Itab, coanimateur du RMT Actia TransfoBio. Les industriels s’en remettent donc actuellement à l’appréciation de leur organisme certificateur.

« C’est pourquoi la Commission travaille à l’élaboration d’une liste positive, harmonisée au niveau européen. Celle-ci devrait voir le jour, au plus tard en janvier 2021. Les États membres se posi-tionnent en ce moment sur les matières actives qu’ils souhaitent soutenir », annonce-t-il.



ARTICLES RÉSEAU ACTIA RIA MINIMEAUJUIN

M I N I M E A U

ACTIA NON CITÉE













ARTICLES RÉSEAU ACTIAJOURNAL OF FOOD

PROTECTIONUMT ALTER’IX

JUILLET

UMTALTER’IX


& DES MOISISSURES

S46 Is Bacillus cereus the Next Big Thing to Worry about in the Food In-dustry?

FLORENCE POSTOLLEC: ADRIA - UMT ACTIA19 .03 ALTER’iX, Quimper, France JASNA KOVAC: The Penn-sylvania State University, University Park, PA, USA SANDRA TALLENT: U .S . Food and Drug Adminis-tration, College Park, MD, USA

Bacillus cereus sensu lato, also known as the B . cereus group, includes closely related Gram-po-sitive, spore-forming and aerobic bacilli, widely distrib- uted in the environment and food matrices . Besides characteristic colonies on Mossel agar, these species exhibit highly divergent properties and their distinction remains challenging. Presently their classification relies mainly on distinctive phenotypic traits, such as pathogenic potential to mammals (B . anthracis, B .cytotoxicus, emetic/diarrheic strains of B . cereus) and insects (B . thuringiensis), enzymatic ability causing food spoi-lage (B . weihenstephanesis, B . wiedmannii), thermotypes, as well as colony morphology (B . (pseu-do)mycoides). Recently, Bacillus toyonensis, Bacillus manliponensis, Bacillus gaemokensis and Bacillus bingmayongensis have been recognized as plausible members of this group .While food and raw material generally show low spore contamination, food poisoning outbreaks are mainly due to improper conditions of use and storage of food after cooking . Careless food handling, especially time and temperature abuse, of products such as cooked rice, sauces, soups, and ready-to-eat products allows production of bacterial toxins associated with B . cereus foodborne illnesses .The issue that continuously exasperates the food industry and food safety officials is how to sepa-rate the bacteria that can cause food spoilage from the strains that can cause human illness .This is a complete nightmare for food business operators and public health agencies . This session will give an update on available knowledge and tools related to B cereus issue .

SF1 Predictive Microbiology and Risk Assessment Software Fair: Spotlight on Case Studies

YUHUAN CHEN: U .S . Food and Drug Administration – CFSAN, College Park, MD, USAMARK TAMPLIN: Centre for Food Safety & Innovation, Tasmanian Institute of Agriculture, University of Tasmania, Hobart, TAS, Australia FERNANDO PEREZ-RODRIGUEZ: University of Cordoba, Cordoba, SpainPANAGIOTIS SKANDAMIS: Agricultural University of Athens, Athens, GreeceMARK TAMPLIN: Centre for Food Safety & Innovation, Tasmanian Institute of Agriculture, University of Tasmania, Hobart, TAS, Australia FLORENCE POSTOLLEC: ADRIA - UMT ACTIA19 .03 ALTER’iX, Quimper,

FrancePredictive microbiology and risk assessment tools are useful to accelerate and enhance microbial food safety assessments . The application of predictive models have been scientifically validated as rapid response tools and the approach is recognized by the Codex alimentarius, national and international regulations to assess the exposure to microbiological contaminants and support management decisions .The International Committee on Predictive Modelling in Foods (ICPMF) with the support of the MMRA PDG is delighted to organize a Software Fair at the IAFP Annual Meeting in 2019 to ensure the disse-mination and the use of predictive microbiology and risk assessment tools by the food industry. The top six software currently available to perform these assessments will be presented at the sympo-sium . These are ComBase, CB Premium, FDA-iRisk, MicroHibro, GroPin and Sym’Previus.The symposium will be divided into two parts. In the first part (1.5h), the six software will be briefly presented focusing each on a specific examplebased on real industrial case studies including shelf-life determination, thermal processing, HACCP and formulation, sampling and full exposure or risk assessments. Then, in the second part of the symposium (1.5h), the participants will get the chance to practice using the software of their choice and their preferred case study. This live demo will ideally take place in a dedicated and equipped space with 6 different areas: one for each software (tables for small groups and screens) . Each developer will have a small group and will perform the demo on the previously presented software tool and interested participants could also try on their own laptops .Attendance audience: Food Laboratories, food consultants, food safety authorities, researchers with interest in microbial food quality and safety, food quality and safety departments from food compa-nies.

P3-41 Prevalence and Characterization of Thermophilic Sporeformersin French Dairy Powders

Louis Delaunay1, Sabrina Mace2, Emeline Cozien2, Florence Postollec3, Ivan Leguerinel1 and Anne-Gabrielle Mathot11LUBEM UBO university - UMT14 .01SPORE RISK, Quimper, France, 2ADRIA Food Technology Institute - UMT14 .01 SPORE RISK, Quimper, France, 3ADRIA - UMT ACTIA19 .03 ALTER’iX, Quimper, France

Introduction: In the processing of dairy powders, pasteurization is the only heat treatment applied for the destruction of microorganisms . However, bacterial spores present in raw milk remain alive. Biofilm could also be formed in factories, especially in heat exchangers and vacuum concentrators. The temperature conditions in those promote the growth of thermophilic species . These spore-for-ming bacteria can alter the quality during the process or when the final product is rehydrated for use.Purpose: The aim of this project is to detect, identify and characterize thermophilic spores in French dairy powders .Methods: Sixty-two dairy powders samples were treated at 80°C for 10 min and 106°C for 30 min. For each sample, total thermophilic spores population was enumerated (or isolated after enrichment) on MPCA+BCP+PS (ISO/TS 27265:2009) and 313 bacteria were isolated. DNA of all of these bacterial isolates was extracted and amplified with a M13-RAPD PCR method. PCR products were separated by gel electrophoresis. Fingerprints have been analysed using Bionumerics Sofware (version 7.6) and

clusters were formed with UPGMA analysis. The 16S RNA gene was sequence for 61 DNA samples regarding their clusters .Results: Enumeration results show that the higher a powder is processed, the lower the contamina-tion will be. Using UPGMA analysis, the 313 fingerprints obtained were separated into 23 clusters. Species identification of the isolates belonging to these clusters highlighted the spore diversity : 43% were identify as Geobacillus stearothermophilus species, 33% from Bacillus (29% B . licheni-formis, one percent each B . thermoamylovorans, B . coagulans, B . ginseng- humi, and B . smithii), 20% from Anoxybacillus flavithermus, and one percent each Aneurinibacillus thermoaerophilus, Brevibacillus group, Paenibacillus naphtha- lenovorans, and undetermined bacteria .260 Journal of Food Protection SupplementSignificance: Those results show the prevalence of some genii in milk powder . They are correlated with worldwide studies . Bacterial isolates will next be characterized by a phenotypic approach (enzymatic activities, heat resistance, and ability to form biofilms).

P3-42 Strains Used as Biopesticides from Foodborne Contaminants

Emeline Cozien1, Pierre Gehannin1, Nassim Mouhali1, Nadine Henaff1, Sabrina Mace1, Anne-Ga-brielle Mathot2 and Florence Postollec3 1ADRIA Food Technology Institute - UMT14 .01 SPORE RISK, Quimper, France, 2LUBEM UBO university - UMT14 .01SPORE RISK, Quimper, France, 3ADRIA - UMT ACTIA19 .03 ALTER’iX, Quimper, France

Introduction: Bacillus thuringiensis (Bt) is a widespread spore-forming bacteria with a complex life cycle, which is commonly found in soil, water, plants, stored cereals or dead insects . Due to its abi-lity to produce parasporal crystalline inclusions that show insecticidal properties, it has become the main microorganism used for pest control in organic farming since the 1950s. Today it is successfully used against caterpillars, beetles, and flies, including mosquitoes and blackflies. Bt-based products containing crystal proteins and spores are applied to foliage, soil, water environments or even food storage facilities .Yet from a farm to fork prospective, the major issue is the lack of tools to distinguish and track Bt-based bioinsecticide isolates from other closely related strains also belonging to the Bacillus cereus group that may be involved in food poisoning or food spoilage .Purpose: The aim of this work is to distinguish strains used as biopesticide using pulsed-field gel electrophoresis to track presumptive B . cereus contamination .Methods: A collection of 90 strains, representing the phylogenetic diversity encountered, was cha-racterized for the presence of toxin-encoding genes, Guinebretiere et al . phylogenetic classification, as well as the observation of parasporal crystalline inclusions using a phase contrast microscope. The PFGE protocol has been adapted from Liu et al . (1997) and from Zhong et al . (2006) .Results: For most prevalent Bt strains used in Europe, all tested isolates show huge parasporal crystals and belong to group IV according to phylogenetic classification. The adapted PFGE protocol clearly enable the clustering of strains belonging to the subspecies Bacillus thuringiensis aizawai, kurstaki and israelensis .Significance: PFGE is a robust and reliable tool used by the Centers for Disease Control and Preven-tion and European public health laboratory network for foodborne disease surveillance . This study enables the distinction of strains used as bioinsecticide from foodborne contaminants . This study is part of BtID project, supported by the French ministry CASDAR program.

P3-43 ISO 16140-2 (2016) Validation of RAPID’B. Cereus Method for the Enu-meration of Presumptive Bacil- lus cereus group in Dairy Products, Ready to Eat and Ready to Reheat Products and Cereals, Spices, Dehy- drated Fruits and Vegetables

Lila Lefebvre1, Nicolas Nguyen Van Long1, Sarah Peron1, Florence Postollec2 and Maryse Rannou11ADRIA Food Technology Institute, Quimper, France, 2ADRIA - UMT ACTIA19 .03 ALTER’iX, Quimper, France

Introduction: Bacillus cereus group includes gram positive spore-forming rod-shaped bacteria, highly dispersed in the food production environment and potentially responsible for food poisoning. The RAPID’B . cereus plate allows specific enumeration of B . cereus group from food products wit-hin one day . Purpose: An independent study compared this new alternative method to the EN ISO 7932:2005 (reference method) according to the ISO 16140-2:2016for NF-Validation (Afnor) .Methods: Different matrices were tested: dairy products, ready-to-eat and ready-to-reheat products, cereals, spices, dehydrated fruits and vegetables.Two inoculation procedures were tested: spreading of 0.1 ml of initial suspension or decimal dilu-tions onto the plate (or one ml onto three plates), or pouring the medium on one ml of initial suspen-sion or decimal dilutions. The plates were incubated 21 h at 30°C±1°C. Characteristic colonies (red colonies most often surrounded by an opaque halo) were enumerated. The possibility to store the plates for 72 h at 5°C ± 1°C was evaluated for spreading inoculation. The relative trueness, accuracy profile, inclusivity and exclusivity were investigated prior to the interlaboratory study.Results: Overall, 73 and 66 samples were analysed by spreading and pour plate techniques respec-tively, providing 51 interpretable results each. Among these samples, 23.5% (spreading) and 27.5% (pour plate) were naturally contaminated. The mean difference between alternative method and reference method counts ranged between -0.06 and -0.14 log CFU/g. For spreading procedure, these performances remained unchanged after 72 h storage at 5°C. The lower and upper β-ETI were com-prised within the acceptability limits fixed at +/- 0.5 log. The inclusivity/exclusivity study showed satisfying result, high- lighting that the alternative plate allows the enumeration of colonies from the seven different phylogenetic groups within B . cereus group . Interlaboratory study results were satis-fying .Significance: The alternative method is a reliable method for the enumeration of B . cereus group and offers more practicability to the user than the reference method .

P3-44 Development of Standards for Conducting Microbiological Challenge Tests for Food and Feed Products (ISO 20976)

Hélène Bergis1, Gail Betts2, Rachel Binet3, Patrick Bird4, Sara Bover-Cid5, Frederique Cantergiani6, Louis Coroller7, Heidy Den Besten8, Mariem Ellouze9, Elisa Goffredo10, Gretchen Gutierrez11, Véro-nique Huchet12, Paul in ‘t Veld13, Luigi Lanni14, Yvan Le Marc12, Jeanne-Ma- rie Membre15, Elisa-beth Payeux16, Stella Planchon16, Florence Postollec17, Valérie Stahl18, Agnes Tan19, Stéphanie Tiprez20 and Pamela Wilger21

1ANSES, Maisons-Alfort, France, 2Campden BRI, Chipping Campden, United Kingdom, 3U .S . Food and Drug Administration, College Park, MD, 4Q Laboratories, Inc ., Cincinnati, OH, 5IRTA . Food Safety Programme, Monells, Spain, 6Nestlé Research Center, Lausanne, Switzerland, 7University of Brest- UMT 14 .01 SPORE RISK, Brest, France, 8Wageningen University, Wageningen, Netherlands, 9Nestlé Research Centre, Lausanne, Switzerland, 10Istituto Zooprofilattico Sperimentale della Puglia e Basilicata, Foggia, Italy, 11Northland Laboratories, Mount Prospect, IL, 12ADRIA Food Technology Institute - UMT14 .01 SPORE RISK, Quimper, France, 13NVWA, Utrecht, Netherlands, 14Istituto Zoo-profilattico Sperimentale del Lazio e della Toscana, Roma, Italy, 15Secalim, INRA / ONIRIS, Nantes, France, 16CTCPA, Avignon, France, 17ADRIA - UMT ACTIA19 .03 ALTER’iX, Quimper, France, 18AERIAL, Illkirch, France, 19Consultant, Donvale, Australia, 20AFNOR, Paris, France, 21Cargill, Inc ., Wayzata, MN

Introduction: Under the general principles of the Codex Alimentarius on food hygiene, it is the responsibility of Food Business Operators to control microbiological hazards in foods and feed to manage microbial risks . Challenge test is one of the recognized approaches used to validate control measures within the HACCP system, as well as to assess microbiological safety and quality of food, food production processes, food storage conditions and food preparation recommendations for consumers .

Purpose: The aim of ISO 20976 is to provide general requirements and guidelines for conducting challenge tests on food and feed products, while con- forming to existing guidance documents inclu-ding the one written by NACMCF in 2009. Studies dealing with growth of a specific microorganism in a specific food product relate to ISO20976-1 while ISO20976-2 is for inactivation studies.Methods: Within the frame of the International Organization for Standardization (ISO), members from all over the world collaborate to create interna- tionally recognized documents providing requi-rements, specifications, guidelines or characteristics that can be used consistently to ensure that products, processes and services are fit for their purpose.Results: ISO/TC34/SC09/WG19 working group gathers international experts from food industry, food technology institutes, food testing laboratories, research centers and regulatory bodies. WG19 fina-lized in 2019 a standardized protocol to conduct challenge tests to study growth potential, lag time and max- imum growth rate (ISO 20976-1:2019). This standard has a link with European legislation (Regulation 2073/2005) on microbiological criteria for foodstuffs. This is leading to the development of a new standard on the determination of cardinal values and their use in predictive microbiology (project ISO 23691), in parallel to working towards consensus for ISO 20976-2 describing challenge tests to study inactivation potential and kinetics parameters.Significance: General and consensus documents on best practice for conducting challenge tests will ensure harmonization and efficiency between all stakeholders





ARTICLES RÉSEAU ACTIALAMY DROIT

ALIMENTAIRERMT QUALIMA

SEPTEMBRE

Q U A L I M A




ARTICLES RÉSEAU ACTIA RIALIVRE ALIMENTATION

ACADÉMIE AGRICULTURE

OCTOBRE



ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESS UMT ALTER’IXOCTOBRE

UMTALTER’IX


& DES MOISISSURES





ARTICLES RÉSEAU ACTIA RIA LSTERIA/SYM’PREVIUSOCTOBRE



ARTICLES RÉSEAU ACTIA 360 R&D PATHOFOODOCTOBRE

Q U A L I M A


F LO R E P R O



ARTICLES RÉSEAU ACTIA GFSI RÉFÉRENTIELSOCTOBRE



ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESSRÉSEAU

ÉCOFLUIDES

NOVEMBRE

ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESS RÉFÉRENTIELSNOVEMBRE



ARTICLES RÉSEAU ACTIA RIA RMT NUTRIPREVIUSNOVEMBRE

18.11.19L’UMR Génie et microbiologie des procédés alimentaires (GMPA) de l’Inra et d’AgroParisTechont développé un indicateur de processing (IDP) dans le cadre du projet « Mieux connaîtrela transformation industrielle et la diversité de nos aliments pour une alimentation plus saine et durable : exemple d’une cartographie multicritère du marché français des pizzas ». Les chercheurs ont choisi les pizzas industrielles comme support de l’étude en se basant sur la consommationélevée de ces produits en France, et sur le fait que les pizzas sont classées dans la catégoriedes produits dits « ultra-transformés » selon la classification NOVA**. Par ailleurs, les pizzas offrent des leviers importants de reformulation qu’il est possible de mettre en œuvre pour tendre vers une alimentation plus saine sur le plan nutritionnel, plus durable et appréciée. La première étape du travail a été de mettre en place un indicateur de « processing » (IDP) à partir de la connaissancedes itinéraires technologiques de chacun des ingrédients. Cet indicateur a permis de montrerdes différences significatives entre les familles de pizzas ainsi qu’entre les secteurs frais etsurgelés. Les indicateurs nutritionnels (5C, SENS) ainsi que le nombre d’additifs et d’ingrédients étaient également très variables entre les pizzas.

Plusieurs projets, dont un de thèse, sont en préparation dans le cadre du RMT Nutripreviuset de Carnot Qualiment, mobilisant notamment le CTCPA, afin de contribuer à un indicateurde transformation des aliments.

Actuellement, il existe aussi l’indice Siga, inspiré de la classification NOVA. Il tient compte du degré de transformation des ingrédients ainsi que de l’évaluation du niveau de risque des additifs et ingrédients présents dans un aliment. L’indice Siga s’appuie également sur des seuils nutritionnels concernant les taux de matières grasses, sucres ou sels détectés.

ACTIA NON CITÉE



ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESSRÉSEAU

RÉFÉRENTIELS

DÉCEMBRE



ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESS RMT QUALIMADÉCEMBRE



ARTICLES RÉSEAU ACTIA ALINARÉSEAU ACTIA

NOUVELLE-AQUITAINE

DÉCEMBRE

N O U V E L L EA Q U I T A I N E



ARTICLES RÉSEAU ACTIA AGRI MUTUELRMT ACTIA

TRANSFOBIO

DÉCEMBRE

T R A N S F O B I O



ARTICLES RÉSEAU ACTIARMT ALIMENTA-

TION LOCALERMT ACTIA

TRANSFOBIO

DÉCEMBRE

T R A N S F O B I O



ARTICLES RÉSEAU ACTIA INGREBIORMT ACTIA

TRANSFOBIO

DÉCEMBRE

T R A N S F O B I O



ARTICLES RÉSEAU ACTIA PROCESSRMT ACTIA

TRANSFOBIO

DÉCEMBRE

T R A N S F O B I O





ARTICLES RÉSEAU ACTIA AAFD. MAJOU

PERTURBATEURSENDOCRINIENS

DÉCEMBRE

Deux nouvelles auditions, hier après-midi, à l’Assemblée Nationale, dans le cadre de la mission d’infor-mation sur les perturbateurs endocriniens présents dans les contenants en plastique alimentaires, cos-métiques, et pharmaceutiques:

La première audition rassemblait Didier Majou, Directeur Général de l’Association de coordination tech-nique pour l’industrie agroalimentaire (ACTIA), le Professeur Marie-Christine Chagnon (European Registe-red Toxicologist), chercheure (équipe Nutox, Inserm U1231, Agrosupdijon), et Philippe Saillard, Expert en alimentarité des emballages, au Centre technique de la conservation des produits alimentaires (CTCPA).

Suivi d’Alexandra Lange, Directrice des Affaires Publiques Europe de Tomra, société spécialisée dans le recyclage et la récupération des déchets.





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PERTURBATEURSENDOCRINIENS

DÉCEMBRE

L’Académicien, membre de la section « Alimentation humaine » de l’Académie d’agriculture de France a été entendu en septembre dernier par cette Mission, créé le 1er février 2019, présidée par Michel Vialay (député des Yvelines) et dont les rapporteurs sont Claire Pitollat (députée des Bouches-du-Rhône) et Lau-rianne Rossi (députée des Hauts-de-Seine).

Didier Majou l’a été en qualité de Directeur de l’Association de coordination technique pour l’industrie agro-alimentaires (ACTIA).

Il était accompagné du professeur Marie-Christine Chagnon (toxicologue, Inserm, AgroSupDijon) et de Philippe Saillard (expert alimentarité des emballages).

Son audition a porté sur les quatre points suivants :

les transferts de perturbateurs endocriniens présents dans les contenants en plastique vers le contenu et l’organisme humain ;leurs effets sur la santé et les différentes pathologies qui en découlent ;les techniques de substitution ;les transferts des perturbateurs endocriniens, issus des déchets en plastique disséminés dans la nature et les eaux usées, ainsi que leurs effets lorsqu’ils réintègrent la chaîne alimentaire.Le rapport de la Mission vient d’être rendu. Didier Majou précise « qu’il contient un grand nombre de recommandations tout à fait pertinentes et importantes à différents niveaux ».

Pour prendre connaissance du rapport de la Mission de l’Assemblée Nationale sur « les perturbateurs endocriniens dans les contenants plastique alimentaires, cosmétiques et pharmaceutiques », télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur l’ACTIA que dirige l’Académicien Didier Majou, cilquer sur le lien Internet ci-des-sous :

Site Internet : http://www.actia-asso.eu/accueil/index.htmlassembleenationalerapportsurlesperturbateursendocrinienspresentsdanslescontenantsenplastique.pdf













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