Automedia août 2012

Témoin de l’industrie automobile

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SMART ÉLECTRIQUE 2013

LA PUCE BRANCHÉE

Juillet – Août 2012 – 3,95 $

Steve Kelleher baigne dans la culture Hyundai depuis 26 ans. « Chez Hyundai, il n’y a aucune complaisance. Jamais. Alors nous n’avons jamais le temps d’avoir peur. Nous sommes toujours en train de nous améliorer, d’amener quelque chose de nouveau sur le marché.»

À LA VITESSE « HYUNDAI »!

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STEVE KELLEHER PRÉSIDENT HYUNDAI CANADA

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10 ● AutoMédia ● Mai 2012

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EN PASSANT...

LE TEMPS DES VACANCES !

Volume 1, no 3, juillet-août 2012

SOM

MA

IRE

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Prendre des vacances, c’est sain, c’est nécessaire, c’est obligatoire ! Autant pour les dirigeants que pour les employés. Ce temps béni, parfois le seul où nous avons la chance de recharger notre batterie, nous permet de bien fonctionner le reste de l’an-née. Mais encore faut-il savoir gérer cette période…

Un peu de cocologieRègle numéro un, les personnes clés de chaque département ne peuvent pas quitter en même temps. Souvent, une personne clé d’un autre département doit rester sur place peut aider le numéro deux d’un autre dépar-tement. De plus, avant de partir en vacances, un cadre respon-sable devrait transférer les dos-siers qui ont besoin d’être com-plétés durant son absence.

Aujourd’hui, dans notre monde de communications où tout va très vite et où on s’attend malgré tout à ce que notre effi-cacité n’en souffre pas, il n’est pas rare que ceux et celles qui endossent de très grandes res-ponsabilités dans une conces-sion demeurent en contact avec leur département et ce, même en vacances…

ATTENTION ! Je n’ai pas dit « disponible », j’ai dit « en contact ». Ce qui veut dire que cette personne utilise l’un ou l’autre de nos moyens de com-

munication modernes pour véri-fier, en passant, que tout est cor-rect dans son département. Et si jamais une urgence émerge, il y a fort à parier qu’il sera possible de la régler à distance.

Voilà une bonne solution dans la mesure où on ne laisse pas traîner un problème qui pourrait s’envenimer et avoir des consé-quences désastreuses. Prendre deux minutes au bord de la mer pour régler une situation est souvent plus avantageux que d’attendre de régler le problème à son retour.

D’autres solutionsOn peut aussi choisir de rem-placer du personnel pour seule-ment quelques jours ou quelques semaines. Oui, c’est un défi de taille mais, heureusement, des compagnies se spécialisent à vous offrir du personnel très qualifié pour des remplacements temporaires. Pensons au direc-teur commercial, par exemple. Il est probable qu’un de vos four-nisseurs pourra vous dépanner.

Pour des postes moins spécia-lisés, il y a la possibilité d’enga-ger des étudiants. En cherchant un peu et en passant le mot, il est même souvent possible de dénicher cette main-d’œuvre dans votre entourage immédiat, celui de votre famille ou de votre personnel. Bon été et… bonnes vacances ! •••

[email protected].

ACTION/RÉACTION

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DERNIÈRE HEURE


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LEADER DE L’INDUSTRIE

À LA VITESSE « HYUNDAI » ! STEVE KELLEHERPrésident Hyundai Canada

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CHRONIQUES 4 UN PEU D’HISTOIRE

6 SUR LA ROUTE AVEC DAN

17 AVANT-PREMIÈRE

SMART ÉLECTRIQUE 2013

18 LE MONDE DE L’AMVOQ

19 CHIFFRES DÉFRICHÉS

22 VITRINE

Daniel Lafrance, rédacteur en chef

Témoin de l’industrie automobile

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LE SERVICE BMO

Suivez-nous sur Facebook et Twitter !

www.automedia.ca

SYLVIE BRUNELLEDirectrice aux ventes

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4 ● AutoMédia ● Juillet - Août 2012

Dans notre chronique Avant-première (page 17), nous vous présentons la smart électrique. Quand elle se pointera au prin-temps prochain, le marché comptera combien de véhi-cules 100 % électriques ? Quatre ? Nissan Leaf, Mitsubishi i-MiEV, Ford Focus EV et smart ED.

Peut-être bien cinq d’ici là… Bref, les fabricants ne se bousculent pas encore et les ventes sont timides. Prenez la i-MiEV : les 81 concession-naires Mitsubishi du pays en ont vendu 21 en juin dernier, pour un total à date de 138 unités. De son côté, Denis Leclerc, d’Albi Mazda, a dépassé le cap des 2 500 ventes en six mois. Mais, c’est vrai,

je compare des puces avec un géant ! Cela dit, je ne ridiculise pas les performances du tout électri-que. Au contraire, j’en suis un fervent parti-san. Je voyage assez dans le monde pour me rendre compte que le fléau du trafic automo-bile existe à la grandeur de planète. Que vous soyez à Los Angeles, à Francfort ou au Caire, si vous êtes à 17 h derrière un volant, vous êtes fait comme un rat. L’heure de pointe met votre patience à rude épreuve. Je ne dis pas non plus que les VE feront disparaître nos embouteil-lages. Qu’on soit des milliers à se déplacer en même temps, que ce soit en consommant du pétrole ou des kilowatts, on se retrouvera quand même coincé entre deux pare-chocs. Mais, au moins, on pourra baisser notre fenêtre et respirer de l’air pur ! Essayez ça tantôt sur la Métropolitaine, vos poumons m’en diront des nouvelles… •••

LE MOT DE L’ÉDITEUR

UN PEU D’HISTOIRE

L’ÉLECTRIQUE VOUS BRANCHE ?

BUICK VERANO

BENOIT CHARETTE \ MICHEL CRÉPAULT \ PHILIPPE LAGUË \ TOUTE L’ÉQUIPE

NOUVEAU

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RÉDACTIONRédacteur en chefDaniel Lafrance [email protected] 514 213-6279CollaborateursJacques Arteau, Yves Cadieux, Benoit Charette, Frédéric Masse et Daniel Rufiange

GRAPHISMEMagdeleine [email protected] 448-0858

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VENTES ET FACTURATIONL’équipe d’AutoMédiaMichel au 450 308-0740Daniel au 514 [email protected]

ABONNEMENTGhislaine [email protected] annuel (10 numéros) : 33 $ (taxes incluses)Prix par numéro : 3,95 $Nouvelle adresse ou changement : envoyez vos anciennes et nouvelles coordonnées au courriel de Ghislaine ou par téléphone au 514-213-6279

DIRECTIONÉditeurMichel Cré[email protected] 308-0740

AutoMédia, publié 10 fois par année, est distribué à 2 500 exemplaires aux membres et aux non membres de la Corporation des concessionnaires automobiles du Québec (CCAQ), aux membres de l’Association des marchands de véhicules d’occasion du Québec (AMVOQ), ainsi qu’aux personnes et entreprises ayant des liens avec l’industrie automobile.

Pour citer ou reproduire le contenu d’AutoMédia, prière d’en obtenir l’autorisation auprès de l’éditeur.

Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Québec et du Canada, 2012, ISSN 1929-3623

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C’est l’été, amusons-nous ! Pouvez-nous nommer trois produits parmi ceux qui se sont vendus le plus dans le monde ? Ok, reposez-vous, le site d’affaires Business Insider a travaillé pour vous. Il a même trouvé les 10 produits les plus populaires de tous les temps.1. Le cube Rubik : le jouet a été vendu à 250 millions d’exemplaires, et un gars à la télé l’a solutionné en moins de deux minutes… avec ses orteils !2. Le iPhone : plus de 250 millions de téléphones vendus et ça continue ! Quelqu’un a le numéro pour téléphoner (ou texter) la bonne nouvelle à Steve Jobs ?3. Harry Potter : l’écrivaine J.K. Rowling a réussi un tour de magie encore plus fumant que ceux du jeune sorcier de

Poudlard en vendant 450 millions de livres !4. Thriller : Michael Jackson a vendu 110 millions de copies de son album. Mieux : en se « pognant le paquet » !5. Super Mario : 262 millions de jeux vidéo de cette série ont été écoulés… et à peu près autant d’ostéopathes soignent des douleurs aux pouces !6. iPad : Apple a vendu 67 millions de tablettes informatiques. Cette fois, pas d’erreur, il faut absolument prévenir Steve, où qu’il soit…7. Star Wars : les films ont engrangé des recettes de 4,5 milliards de dol-lars, et la caisse enregistreuse continue de tinter grâce à Star Wars Identités, l’exposition au Centre des sciences de Montréal jusqu’au 16 septembre.

8. Toyota Corolla : 39 millions d’unités vendues à travers le monde. Notre indus-trie aussi sait fabriquer des best-sellers !9. Lipitor : des ventes à date de 125 mil-liards pour ce médicament contre le cho-lestérol. On joue, on visionne, on conduit mais on ne mange pas toujours santé…10. PlayStation : 300 millions de consoles de jeux en circulation… et un excellent lecteur de Blu-ray en bonus ! •••

LES GROS SUCCÈS !

MICHEL CRÉPAULT

ÉditeurMichel Crépault

d’unités

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AutoMédia ● Juillet - Août 2012 ● 5

En fait, le titre de Sylvie Brunelle est pas mal plus long : directrice principale aux Ventes Financement aux concessionnaires-Particuliers pour le Québec et l’Atlantique BMO Banque de Montréal. Ouf ! Sa mission est aussi concise : obtenir des contrats de fi nancement à tempérament auprès de concessionnaires d’automobiles, de bateaux et de véhicules motorisés.

ACTION RÉACTION I PAR YVES CADIEUX

S ylvie Brunelle couvre le Québec et l’Atlantique, alors que des collègues s’occupent de l’Ontario et de l’Ouest du pays. Elle prend

soin de presque 1 300 marchands. Et elle s’exprime avec la confi ance en ses moyens que confèrent plus de 30 ans d’expérience dans le monde bancaire.

Ses 10 représentants sillonnent les routes afi n de rencontrer les personnes-clefs de la concession : le directeur commercial, le directeur des ventes, le propriétaire.

« Nous avons de bonnes pratiques à partager pour essayer de maximiser leurs

3

SYLVIE BRUNELLE DIRECTRICE AUX VENTES

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Pour se démarquerSelon Sylvie, la force de son équipe réside dans le service à la clientèle. « Mon service se distingue de celui des autres grâce à une approche personnalisée. Oui, nous avons un système informatique qui approuve des prêts mais nous avons aussi une approche très ouverte. Si le prêt est décliné, le concessionnaire peut nous demander

LE SERVICE BMOLE GROS BON SENS !

Réaction

« La Banque Scotia poursuit son expansion. Depuis le début de juillet, elle est devenue le partenaire fi nancier de GM Canada pour les programmes de fi nancement aux particuliers. Avec maintenant neuf constructeurs partenaires, la Banque Scotia gère désormais le plus de partenariats et de programmes de fi nancement automobile au pays. De plus, suite aux résultats de JD Power 2012, nous constatons que la Banque Scotia a encore une fois obtenu le score le plus élevé de toutes les banques canadiennes en ce qui à trait à la satisfaction globale relative au fi nancement commercial des concessionnaires. Nous demeurons un incontournable lorsqu’il s’agit de fi nancement automobile ! »Jacques ParentPremier directeur ventes - entreprises et particuliers, Banque Scotia

Ernest Berger, directeur régional aux ventes de la BMO

revenus. Nous connaissons le marché. Ça fait plus de 27 ans que la BMO est dans le domaine de l’auto. »

Sylvie Brunelle n’est pas peu fi ère d’un récent sondage JD Power qui, pour une nouvelle fois en quatre ans, place la BMO au Top 3 des institutions fi nancières.

« Devant nous, on retrouve les bras fi nanciers de BMW et Mercedes-Benz. Or, en aucun temps je ne voudrais diminuer leurs performances, mais ils ont 100 concessionnaires, alors que nous, nous avons été évalués par plus de 1 000 concessionnaires ! »

pourquoi. Et s’il existe d’autres options pour valider le prêt, nous les cherchons ensemble. Là-dessus, on se démarque beaucoup de la compétition.

« Je regarde toujours si le prêt fait du sens… Je ne base pas uniquement l’acceptation sur la cote de crédit du client (le Beacon Score d’Equifax, par exemple). Un pointage élevé garantit presque une acceptation mais, pourtant, si le prêt ne fait pas de sens ? ! Si le client n’a pas la capacité de payer cette dette-là ? Voilà pourquoi, pour nous, le Beacon Score n’est qu’un un indice parmi tant d’autres.

« Toute notre publicité d’ailleurs tourne autour de cet axe : la BMO veut faire de la business qui fait du sens. » •••

« Nous connaissons le marché. Ça fait plus de 27 ans

que la BMO est dans le domaine de l’auto.»

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CENTRE DE FORMATION AUTOMOBILE DU QUÉBEC

SUR LA ROUTE AVEC DAN I PAR DANIEL LAFRANCE

UNE FOURNÉE DE FINISSANTSComme son nom l’indique, le Centre de Formation Automobile du Québec (1991), une entreprise familiale qui transige avec plus de 450 concessionnaires au Québec, forme des gens. En fait, depuis 20 ans, le CFAQ a fait graduer quelque 10 320 diplômés dans les domaines de conseiller en vente et/ou de service, directeur fi nancier, directeur de renouvellement et réceptionniste. Voici d’ailleurs sa plus récente fournée de nouveaux fi nissants. •••

CAMPUS DE BLAINVILLE Robert-Guy Déry, Philippe Gendron, Josée Gagné, Vicky Roy, Denis Pion, Renaud Demers-Lizotte et Steve Antonopoulos.

CAMPUS DE ST-CONSTANTJonathan Morel, Martine Filion-Paquette, Martine Beauregard et Marc-Antoine Quesnel.

CAMPUS DE SAINTE-ANNE-DE-LA-PÉRADEKeven St-Ours, Luc Lampron, Sandra Tessier-Daigle, Jean-Sébastien Lalonde et Lynda Bergeron.

UN GUICHET VIRTUEL POUR L’EMPLOI

www.emploiauto.ca

Le Centre de Formation Automobile du Québec (CFAQ) a mis en ligne le site www.emploiauto.ca. Les ambitions de Jean-Robert St-Georges, président/fondateur du CFAQ, sont nettes : que le site devienne numéro un dans la recherche d’emploi dans le secteur au-tomobile de la Belle Province. Pour y arriver, M. St-Georges compte sur les atouts suivants :• les dirigeants du domaine automobile ne

recevront des curriculums vitae que dans le secteur d’emploi qu’ils cherchent à com-bler (administration, service et vente, etc.) ;

• de plus, comme aucun candidat ne pourra postuler en ligne pour un emploi situé à plus de 75 km de sa demeure, les dirigeants sont assurés d’étudier des CV se trouvant uniquement dans la bonne région !Fonctionnel depuis déjà plus de deux

mois, le site inclut maintenant une cinquan-taine de concessionnaires/clients et une banque de plus de 80 candidat(e)s en attente de l’off re qui changera leur vie. •••

CAMPUS DE BLAINVILLE Robert-Guy Déry, Philippe Gendron, Josée

CAMPUS DE SAINTE-CAMPUS DE SAINTE-ANNE-DE-LA-PÉRADEKeven St-Ours, Luc Lampron, Sandra Tessier-Daigle, Jean-Sébastien Lalonde et Lynda Bergeron.

Premièrement, vous pouvez affi cher l’inven-taire complet de vos véhicules gratuitement sur le site, pour maximiser votre visibilité.

Ensuite, voici une mise en situation que vous allez tout de suite reconnaître : après avoir évalué l’automobile d’un client dans le but de conclure une transaction pour un véhi-cule neuf, combien de fois ledit client a-t-il trouvé l’évaluation trop basse et a-t-il décidé fi nalement de vendre son auto lui-même ? Oui, souvent ! Mais au lieu de le laisser partir, of-frez-lui plutôt de l’aider en ajoutant sans frais

le véhicule d’échange sur le site DuPropriAuto avec un code promo qui relie le client à vous, le marchand. Dès que le véhicule se vendra, votre représentera le saura puisqu’il recevra automatiquement un courriel pour l’en avertir. Puisque le client a vendu son auto, vous pou-vez désormais lui fi xer un rendez-vous pour lui vendre son nouveau véhicule.

Pour plus d’informations, contactez un membre de l’équipe du site à

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Simon Brassard a fondé DuPropriAuto en juin 2011 et vise rien de moins qu’une expansion nord-américaine pour son site.

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AutoMédia ● Juillet - Août 2012 ● 7AutoMédia ● Juillet - Août 2012 ● 7

CCAMHONDA

NISSAN

La Corporation des concessionnaires d’automobiles de Montréal (CCAM), fondée en 1913 et qui regroupe 226 concessionnaires de véhicules et camions lourds neufs de la grande région montréalaise, a un nouveau président : Stéphane Guilbault, d’Action Chevrolet Buick. « Mon objectif est d’off rir les meilleurs services à nos membres et de faire rayonner l’image de la CCAM, qui fêtera ses 100 ans d’existence en 2013 », a mentionné en lever de rideau le nouveau boss.

La vice-présidence sera assurée par monsieur Joël Levac, de BMW Canbec, tandis que Jacques Tardif, de Suzuki Longueuil et président sortant de la CCAM, assurera la présidence du prochain Salon International de l’Auto de Montréal, selon la coutume.

Le conseil d’administration de la CCAM et du SIAM pourra également compter sur une fl opée d’administra-teurs dévoués : Jimmy Azouz (Nissan Prestige-Iberville), Pierre Bélair (Honda de Laval), Roger Desautels III (Saint-Laurent Hyundai), Sonia Drolet (Vaudreuil Volkswagen), Benoît Fichault (Fichault Kia), Michel Gaudette (Lasalle Ford), Bernard Gravel (Centre du Camion UTR/Hino), Bernard Leclerc (Automobiles Fairview inc. - Volvo), Dany Lemelin (Boucherville Mitsubishi), Jim Turnbull (Mazda Président), David Webber (Park Avenue Audi), alors que Carmine D’Argenio (BMW & MINI de Laval) agira en tant qu’administrateur ex-offi cio et que Denis Dessureault occupera le rôle de vice-président exécu-tif CCAM et SIAM. •••

MONSIEUR LE PRÉSIDENT !

Assises : Maki Inoue et Laura Heasman, respectivement superviseure et coordinatrice des relations publiques chez Honda Canada ; debout : Darryl Matsushita, planifi cateur des produits chez Honda Canada, Kiichi Kinbara et Ichiro Sasaki, respectivement l’assistant du leader et le leader sur le projet RDX pour Honda Motor.

Quand Honda présente un nouveau véhicule à la presse automobile canadienne, elle n’hésite pas à demander aux cerveaux derrière le projet de traverser le Pacifi que pour venir expliquer en détails les vertus du nouveau produit. Vous avez ici une partie de l’équipe des relations publiques qui a attiré à San Diego les responsables du Acura RDX 2013. •••

Le lancement de la nouvelle Altima 2013 revêt une importance capitale pour Nissan parce que la catégorie des intermédiaires connaît une lutte sans merci entre les diff érentes rivales qui, en l’espace d’un an, auront pour la plupart été renouvelées. •••

Photographiés avec la nouvelle berline Altima de 5e génération devant l’usine de Smyrna, au Tennessee, vous voyez ici Tim Franklin (à gauche), gérant sénior du planning des produits, et Nicolas Verneuil, responsable du marketing, tous les deux à l’emploi de Nissan Canada. Ce duo-là a la ferme intention de voir leur nouveau bébé récolter sa part du gâteau. Une grosse part !

STÉPHANE GUILBAULT



SUR LA ROUTE AVEC DAN I PAR DANIEL LAFRANCE

Le 20 juin dernier, Ventes de vé hicules Mit-subishi du Canada (VVMC) a remis un montant de 173 520 $ à l’organisme humanitaire international Right To Play.

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UN GESTE EN OR

Une impréssionnante déléga-tion de la famille Volkswagen Canada était présente lors de la cérémonie touchante célé-brant les 40 ans de Valleyfi eld Volkswagen : Hugues Gagnier, Patrick Côté, Bruce Rosen, Pierre Caron, Darren Maloney, Gordon Schieven, Henri Cassius de Linval (propriétaire), John White (président Volkswagen Canada), Nadine Cassius de Linval (directrice géné-rale), Luc Bellefl eur, Richard Martel,Benoit Laplante et Martin Frappier.

VALLEYFIELD VOLKSWAGEN FÊTE SES 40 ANS

Aux cô té s de Shin Fujioka, pré sident et chef de la direction de VVMC, et de Robert Witchel, directeur national de Right To Play, la hockeyeuse olympique Caroline Ouellette.

CCARQ

Quoi de mieux que de s’amuser tout en aidant les autres ! Le 28 mai dernier, mal-gré une météo incertaine, 144 golfeurs ont répondu à l’appel de la Corporation des concessionnaires d’automobiles de la régio-nale de Québec (CCARQ) pour transformer le tournoi de golf annuel en une autre fête caritative.

Bernard Ferland (à gauche), vice-président exécutif de la CCARQ et directeur de la Fondation Mobilis, et Benoit Theetge, président de la CCARQ et des concessions Circuit Acura et Auto Frank & Michel.

Après avoir parcouru les 18 trous du club de golf Royal Québec, à Boischatel, les par-ticipants avaient réussi à amasser l’impres-sionnante somme de 40 000 $, montant qui a aussitôt été remis à la fondation Mobilis de la CCARQ. Créée en octobre 2009, cette fondation intervient dans la communauté en aidant les individus (familles, groupes sociaux, athlètes, associations, etc.) qui ont des besoins de mobilité à combler. Jusqu’à

DU GOLF CHARITABLE

Caroline Ouellette, qui a marqué le but dé cisif en prolongation pour mener l’é quipe fé minine canadienne de hockey vers la mé daille d’or, a reçu le chèque des mains de Shin Fujioka, président et chef de la direction de VVMC. Trois fois mé daillé e d’or et cinq fois championne du monde, la Montré alaise fait partie du groupe d’athlè tes de tous les pays qui soutient Right To Play. •••

maintenant, plus de 240 000 $ ont été versés à quelque 45 personnes et organismes. •••

Il s’agit d’une organisation qui utilise les programmes de sport et de jeux dans 20 pays du monde pour amé liorer la santé , dé velopper des talents et favoriser la paix parmi des enfants aff ecté s par la guerre, la pauvreté et la maladie.La hockeyeuse

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10 l AutoMédia l Juillet - Août 2012

MAZDA CANADA


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DERNIÈRE HEURE I PAR MICHEL CRÉPAULT

Rania Guirguis, la directrice des rela-tions publiques et du marketing de Mazda au Québec, qui a relayé le communiqué en fin de journée, n’en

savait pas plus. Elle avait appris la nouvelle le matin même par vidéo-conférence, à son re-tour du long week-end de la fête du Canada.

« J’ai tellement été surprise ! En fait, tu ne t’attends jamais à ça ! » a dit Mme Guirguis au téléphone.

Bien qu’elle disait tout ignorer des motifs du départ de son ancien patron, elle n’était pas surprise du caractère succinct du com-muniqué de presse officiel. « Ça avait été le même traitement quand Michel Benchimol est parti, lui qui était pourtant resté en poste plus longtemps que Don Romano », s’est-elle souvenue.

Rappelons que Michel Benchimol a été président de Mazda Canada à partir de 1997 avant d’être remplacé par Don Romano en avril 2006.

Rejointe au siège social de Mazda à Rich-mond Hill, en Ontario, Sandra Lemaitre, di-rectrice nationale des relations publiques, n’a pas pu non plus nous éclairer davantage.Rejoint chez lui, en Californie, Jeremy Barnes, directeur des communications et des évène-

accumuler ! Et comme je ne vais pas à Toron-to, j’en ai assez avec ma « petite » affaire au Québec. Et puis, Alain (Desrochers, directeur régional) et Rania me traitent comme un roi », nous a raconté Denis Leclerc entre deux tran-sactions.À croire finalement qu’un président de com-pagnie peut quitter après six années de loyaux services sans laisser de traces ? Que s’est-il réellement passé ?

Démission évoquéePour le moment, on peut seulement se perdre en conjonctures. Il a fallu attendre jusqu’au

La nouvelle ne pouvait pas être plus laconique : « M. Koreeda succède à Don Romano, qui a choisi de quitter la société aujourd’hui. »Nous étions le 3 juillet et rien d’autre n’a transpiré sur les raisons qui auraient incité M. Romano, 51 ans, à poser ce geste pour le moins surprenant, ni sur sa nouvelle orientation professionnelle.

ments nationaux pour Mazda aux États-Unis, s’est déclaré lui aussi dans le noir le plus total.

Même Denis Leclerc, patron notamment d’Albi Mazda, la plus importante concession Mazda au monde entier, a avoué n’avoir au-cune idée des motifs de l’homme pour qui il n’a toujours eu que des bons mots.

« Au cours de la dernière année, nous nous sommes vus peut-être deux fois. Depuis qu’il s’occupait en plus du marketing (ndlr : depuis 2010, Don Romano cumulait la présidence canadienne et la direction du marketing pour l’Amérique du Nord !), il était toujours dans un avion. Le millage que cet homme-là a dû

Don Romano et sa famille sont tombés en amour avec le Canada : pas question de le quitter !

romano.indd 10 12-07-11 10:47

AutoMédia l Juillet - Août 2012 l 11

9 juillet pour qu’ Automotive News se risque à publier un article dont le titre suggérait que Don Romano, selon Mazda, aurait démission-né. L’hebdomadaire américain a tenté un rap-prochement entre le départ de M. Romano et l’offre de Mazda faite à ses 701 employés amé-ricains d’accepter des départs volontaires, mais la direction a nié la chose, sans toutefois élaborer davantage.

Or, dans un échange de courriels avec l’au-teur de ces lignes, Don Romano parle de cette rumeur (voir l’encadré).

C’est un fait, toutefois, que Mazda cherche à restructurer ses opérations aux États-Unis depuis mars dernier pour tenter de mettre fin à sa série de quatre bilans annuels consécutifs dans le rouge. Le 2 juillet, 107 employés ont accepté volontairement de quitter le construc-teur moyennant compensations.

Ce qu’on sait aussi avec certitude, c’est que Mazda Motor Corporation (MC) a nommé Shusuke « Kory » Koreeda président intéri-maire de Mazda Canada Inc. (MCI) dès le départ de M. Romano.

Shusuke « Kory » Koreeda est à l’emploi de Mazda depuis 32 ans. Il a butiné d’un poste de haute direction à un autre, autant chez MC au Japon que chez Mazda North American Operations (MNAO), notamment de 2003 à 2009. Avant son arrivée au Canada à la fin de 2011, il était directeur général, Division du marketing mondial. Sous Romano, il agissait en tant que vice-président directeur

« Il m’a impressionné depuis son arrivée au Canada, dit Denis Leclerc au sujet de M. Koreeda. C’est une bonne tête automobile. Il prend le temps de connaître le marché cana-dien. »

Le communiqué ajoutait que MCI devrait confirmer la nomination de M. Koreeda à la

MAZDA CANADA


présidence de sa filiale canadienne. Ce qui soulève un autre point : et pourquoi pas Da-vid Klan, l’actuel directeur sénior des ventes, du marketing et des opérations régionales chez Mazda Canada ?

M. Romano ne se gênait d’ailleurs pas pour dire que M. Klan était le choix logique pour lui succéder.

Un avis que partage Denis Leclerc : « De-puis un an et demi, je traitais surtout avec David, avec qui j’ai développé une belle complicité. Mais je crois que c’est ce qui va se produire, et vous pouvez l’écrire : David Klan comme président, ce sera la prochaine étape. Je crois que M. Koreeda va paver la voie à David. Il restera à ses côtés le temps de lui expliquer la vision japonaise de la business. »

Épris du CanadaLe mandat original de M. Romano prévoyait un séjour de trois ans mais le principal inté-ressé avait été ravi de le prolonger. Ce n’est pas exagéré de dire que le Californien, grand amateur de surf, s’était pris d’affection pour son pays d’adoption. Il mettait autant d’en-thousiasme à nous entretenir de son métier que de son petit coin de paradis déniché en banlieue de Toronto, où sa femme Marilyn et lui élèvent toujours leurs quatre enfants (Alex, Christina, Amanda et Alison).

Dès sa nomination à Mazda Canada, Don Romano avait entrepris de suivre des cours de français. À chaque mois qui passait, son vocabulaire et son assurance augmen-taient. Il se faisait un devoir et une fierté de parler en français à ses concessionnaires du Québec. •••

➔CONFIDENCES EXCLUSIVES

MERCIBLACKBERRY !J’ai eu la chance de réaliser la toute première entrevue avec Don Romano alors qu’il entrait tout juste en fonction comme président de Mazda Canada. Depuis, nous nous sommes toujours côtoyés avec un plaisir réciproque. Or, Don a honoré AutoMédia de sa confiance en répondant à quatre ques-tions relayées par son mobile.

Pourquoi êtes-vous parti?Pour poursuivre une nouvelle opportu-nité.

Étant donné que Mazda cherche présen-tement à faire des coupures, la compa-gnie a-t-elle vu cette « nouvelle oppor-tunité » comme un moyen de sauver des sous ?Non.

Croyez-vous que David Klan sera éven-tuellement le nouveau président de Ma-zda Canada, après M. Koreeda ?Je ne sais pas. Kory est relativement nouveau au Canada et il devrait norma-lement être ici pour quelque temps.

Peu importe la nature de cette «nou-velle opportunité », est-ce que votre famille et vous avez l’intention de rester au Canada ?Nous venons tout juste de nous acheter une nouvelle maison en Ontario et, sans égard à ma future occupation ou à la lo-calisation de son siège social, ma famille vivra au Canada.

Sur ce dernier échange, Don Ro-mano a pris l’avion. Vers son nouvel employeur ? Les paris sont ouverts. Mais AutoMédia vous donne rendez-vous dans son numéro de septembre. Comme ils disent à la télé : ne manquez pas la suite !

Ni Denis Leclerc, patron d’Albi Mazda, ni Rania Guirguis, directrice des relations publiques et du marketing de Mazda au Québec, ont eu vent des raisons du départ de Don Romano.

Shusuke « Kory » Koreeda a été nommé président intérimaire de Mazda Canada dès le départ de M. Romano.

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À LA VITESSE « HYUNDAI » !STEVE KELLEHER

PRÉSIDENT

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LEADER DE L’INDUSTRIE I PAR MICHEL CRÉPAULT

Le mois de mai a marqué votre 41e mois consé-cutif de croissance des ventes. Vous carburez à quoi chez Hyundai Canada ?Aux bons produits ! Il faut en avoir pour ar-river à 41 mois de croissance continue. Nous avons mis un certain temps à convaincre le public que la qualité était au rendez-vous. Je crois que l’élément déclencheur a été le design que nous avons développé à partir du Tucson, il y a trois ans. Notre langage visuel « fluidic sculpture » a été déterminant. Nous ne som-mes plus seulement la compagnie que les gens regardent rationnellement pour régler leurs problèmes de transport. Les gens veu-lent maintenant conduire nos produits.

Comment décrivez-vous le produit Hyundai?Nous aimons qualifier notre marque de mo-dern premium (« haut de gamme moderne »). Ça ne signifie pas que vous devez avoir une voiture de luxe pour en faire partie. En fait, c’est exactement le contraire. Dans n’impor-te lequel de nos véhicules, nous offrons aux consommateurs des choses qu’ils s’atten-draient à trouver dans une auto plus coûteu-se. En même temps, nous nous assurons qu’il s’agit d’accessoires que le client souhaite vrai-ment. Il y en a présentement beaucoup sur le marché que le consommateur n’utilisera ja-mais. Nous, par exemple, nous avons décidé que les sièges chauffants sont un item très

HYUNDAI CANADAapprécié. Nous sommes donc l’une des rares compagnies à offrir des sièges chauffants de série dans nos sous-compactes. Parfois même les sièges arrière !

Donnez-nous un exemple de quelque chose de moins utile ?Hum, je ne suis pas sûr de l’utilité du Park As-sist (ndlr : qui stationne en parallèle automati-quement). Plusieurs dispositifs de connexion ne devraient pas non plus faire partie de l’équation : trop compliqués ou trop impar-faits.

Est-ce exact de dire que Hyundai ne tient plus à offrir le plus bas prix en ville ?Oui. Ce fut une stratégie de nos débuts. Plus maintenant.

Quel pourcentage de vos ventes provient du Québec ?Actuellement, 35%. L’an dernier, c’était 36%. Règle générale, c’est 25 % pour l’industrie. Nous sommes donc bien au-dessus de la moyenne. Il y a 5 ou 6 ans, presque la moi-tié de nos ventes provenait du Québec. Elles n’ont pas diminué, ce sont celles dans les autres provinces qui ont progressé.

Si vos prix augmentent, allez-vous perdre des clients au Québec ?Nous ne le croyons pas. Nous avons adopté une stratégie du « bon prix », sans abuser des incitatifs parce qu’ils font mal à tout le mon-de. Nos prix sont compétitifs. Ce ne sont plus les plus bas mais les gens nous choisissent désormais pour d’autres raisons que juste le prix. Nous réussissons à enlever des clients à Honda et à Toyota, nos deux principales ci-bles. Du jamais vu auparavant ! Hyundai Canada va si bien… Craignez-vous le ressac, la chute ?Ça fait maintenant 26 ans que je baigne dans

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AutoMédia ● Juin 2012 ● 13

«Quand nous atteignons un objectif, nous en pourchassons immédiatement un autre. »

la culture Hyundai. Il n’y a ici aucune com-plaisance. Jamais. Alors nous n’avons jamais le temps d’avoir peur. Nous sommes toujours en train de nous améliorer, d’amener quelque chose de nouveau sur le marché. Selon moi, nous menons l’industrie sur le plan des inno-vations technologiques. Ce que nous avons fait avec le moteur à essence pour améliorer la consommation de notre fl otte de véhicules, c’est ahurissant ! Quand nous atteignons un objectif, nous en pourchassons immédiate-ment un autre.

Est-ce une attitude propre à la mentalité co-réenne de faire des affaires ?Absolument. Quand j’ai commencé chez Hyundai, en 1986, lors de ma première visite en Corée, j’ai appris qu’il y avait là-bas trois priorités : le pays, les compagnies et la famille. C’est encore vrai aujourd’hui. Nous avons donc aff aire à une nation très motivée et à des gens d’aff aires très ambitieux. J’ai passé 10 ans auparavant chez Ford, je peux donc comparer. Ce fut un bel apprentissage mais jamais aussi motivant que chez Hyundai.

Les Coréens veulent donc prouver quelque chose, à eux-mêmes et au monde entier ?Oui. Il y a une expression populaire dans nos bureaux : la « vitesse Hyundai ». Il y a la vi-tesse normale et il y a la « vitesse Hyundai » !

À LA VITESSE « HYUNDAI » !Quand on nous fi xe un objectif, on se dit souvent qu’on devra passer à la « vitesse Hyundai » pour l’atteindre.

L’acteur Guillaume Lemay-Thivierge est votre porte-parole. au Québec. Ça rapporte ?Nos études démontrent que GLT – c’est son surnom chez nous ! – nous rapporte, en eff et.

GLT doit être le genre de gars à fonctionner à la « vitesse Hyundai »…Absolument, il est un match parfait pour no-tre marque. J’ai personnellement une bonne relation avec lui.

Jusqu’à sauter en parachute avec lui ?Ça, je lui laisse.

Vous avez vendu 129 240 véhicules en 2011. Quel est votre objectif 2012 ?Nous croyons que nous pouvons atteindre 140 000. Je dis « nous croyons » parce que la marque Hyundai est en forte demande à tra-vers le monde entier. Au départ, on nous a al-loué assez de véhicules pour atteindre 133 000 ventes. En nous mettant à genoux, nous avons été en mesure d’aller en chercher un peu plus pour nous permettre d’atteindre 135 ou 136 000. Nous « mendions » encore autour de nous pour atteindre 140 000. À la « vitesse Hyundai » bien sûr… •••

STEVE KELLEHER a étudié à l’Université Cornell grâce à une bourse reconnaissant ses talents de hockeyeur. Joue-t-il encore ? « Non ! J’aurais besoin d’une ambulance à côté de l’aréna. Mais je jogge. J’ai délaissé l’asphalte pour le tapis roulant. Environ sept kilomètres trois fois par semaine. Ça me donne de l’énergie. »

STEVE KELLEHER

LA RANÇON DE LA GLOIRESteve Kelleher manque de véhicules ! « Boy ! Si nous pouvions avoir plus d’Elantra… La demande est si forte pour ce véhicule ! On ne peut pas en recevoir assez. Et maintenant, avec l’arrivée du coupé et de la GT… Cette dernière est excitante. Je crois même qu’elle est supérieure à la berline. Or, je croyais que la berline était la meilleure voiture que nous avions jamais produite. Même la nouvelle Accent se fait rare. On nous a alloué ce qu’il fallait pour atteindre notre objectif mais nous pourrions tellement faire mieux. Le « problème », c’est que l’Accent est devenue plus spacieuse. Devinez qui l’a remarqué ? Nos amis du Sud ! Ces Américains qui ne s’intéressaient pas à l’Accent avant en redemandent maintenant. C’est une bonne chose pour eux mais une moins bonne pour moi puisque ça affecte mes allocations. »

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Michael (16 ans), Steve et Ursula, mariés

depuis 22 ans, et Erin (18 ans)

posent dans la bonne humeur devant le

Hoover Dam, au Nevada, durant des

vacances familiales.

AutoMédia ● Juillet - Août 2012 ● 13

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Le 13 juin dernier, à l’hôtel Delta de Trois-Rivières, le Comité sectoriel de Main-d’œuvre des services auto-mobiles (CSMO-Auto) a convié les intervenants de l’industrie de la carrosserie du Québec à venir entendre les résultats d’une étude ayant analysé leur secteur d’activités. La présentation a essentiellement porté sur les besoins en main-d’œuvre actuels et futurs du domaine de la carrosserie au Québec, qui souffrira du départ à la retraite de nombreux boomers. En deux mots, le portrait n’est pas parfaitement rose et le CSMO-Auto ressent l’obli-gation de tirer la sonnette d’alarme.

RADIOGRAPHIE ET DIAGNOSTIC

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LA CAROSSERIE AU QUÉBEC PAR LOUIS HAMELIN

LA CARROSSERIE AU QUÉBEC C’EST...

1 820 entreprises

679 regroupées sous des bannières • 1 141 indépendantes

68 % comptent moins de 5 employés

36 et + Âge de la majorité des employés (surtout dans les petites entreprises où il y a peu de relève)

6 644 travailleurs

31 % réparateurs de carrosserie • 17 % peintres • 51 % employés multitâches

Hommes 90 % à 99 %

17 $ - 24 $ Salaire horaire moyen des carrossiers et peintres

C’est à la suggestion de la Corpora-tion des carrossiers professionnels du Québec (CCPQ), dirigé par Mi-chel Bourbeau, que le CSMO-Auto a

mis en branle la réalisation de l’étude. Le gou-vernement québécois, via la Commission des partenaires du marché du travail, a accepté d’en commanditer les frais (environ 45 000 $). Tout le processus a été réalisé très rapidement et, dès avril dernier, le tout était complété.

Le sondage a été mené auprès de 296 diri-geants, dont 20 entrevues en profondeur.

Les joueursL’étude fait la distinction très nette entre les petites entreprises non « banniérées » et les plus grosses liées à CarrXpert (une division de la CCAQ), Carstar, ProColor, Fix Auto, Napa Autopro Collision, Tech-Net. Leurs besoins, le nombre d’employés, la formation et les condi-tions de travail y sont très diff érents.

Le nombre d’entreprises automobiles est en baisse au Québec. En carrosserie, il a chuté de 6 % de 2005 à 2008. Pourtant, le parc auto-mobile québécois augmente de 2 % par année (et d’un gigantesque 96 % entre 1978 et 2009 !). Mais, toutefois, le nombre d’accidents (donc de véhicules à réparer) a diminué de 35 % de

14 ● AutoMédia ● Juillet-Août 2012

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3

1978 à 2009 à cause du vieillissement de la population, des amendes et peines prévues en cas d’infraction, de la qualité croissante des véhicules, de la formation des conduc-teurs, etc.

La formationOn forme davantage dans les ateliers qui opè-rent sous une bannière.

On accuse de façon généralisée un retard à s’adapter aux nouvelles technologies : souda-ge des nouveaux aciers, hybride/électricité, peinture à base d’eau, colorimétrie, soudage de l’aluminium, etc.

On ne parle pas pour l’instant que le CSMO en vienne à fournir des cours, des formations en parallèle aux écoles existantes. Par ailleurs, les fournisseurs prodiguent déjà des forma-tions sur les produits et les équipements qu’ils

LES RECOMMANDATIONS

1 Adapter la formation pour préparer les diplômés à la réalité du marché du travail

2 Améliorer les conditions de travail

3 Assurer la relève

4 Aider les entreprises à conserver leur personnel

5 Aider les entreprises à embaucher

6 Former les employés et les dirigeants

La chargée de projet Sophie Hallée et l’associé Alexandre Meunier, de la firme Extract recherche marketing, sont les auteurs du Diagnostic sous-sectoriel Secteur de la carrosserie.

Magella Boutin, président du CSMO-Auto, mentionne tout ce que cette étude portant sur le domaine de la carrosserie permet dorénavant de quantifier avec précision.

proposent aux carrossiers. Cela dit, on s’ac-corde pour dire que la formation des jeunes sortant des écoles doit être améliorée de façon importante.

On pense que l’on aura besoin d’environ 2 000 nouveaux employés d’ici cinq ans pour subvenir aux besoins du secteur de la carros-serie. ➞

UNE PARTIE DU CSMO-AUTO, QUI A PARTICIPÉ À L’ÉLABORATION DU DIAGNOSTIC SOUS-SECTORIEL SECTEUR DE LA CARROSSERIEPremière rangée : Michel Bourbeau, directeur CCPQ, Magella Boutin, président CSMO-Auto, Sophie Hallée, chargée de projets et Alexandre Meunier, associé d’Extract recherche marketing, Roger Goudreau, directeur général CPA Montréal, Lise Roy, vice-présidente à l’administration CCAQ.Deuxième rangée : Gilles Lemay, représentant CPMT, Johanne Dubé, chargée de projet – Communication et Danielle Le Chasseur, directrice générale au CSMO-Auto, Réal Arcand, directeur des opérations Fix Auto, Sylvain Lamer, propriétaire carrossier Pro Color, Maurice Roy, vice-président au développement des produits et services CCAQ.

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Danielle Le Chasseur, directrice générale du CSMO-Auto, explique à quel point la réalisation de cette im-portante étude s’est effectuée dans un court délai.

Alain Couture, directeur de la Commission des partenaires du marché du travail, Direction du soutien au développement de la main-d’oeuvre, est venu souligner l’importance de la formation continue, mais également le retard qu’accuse le Québec par rapport à l’Ontario voisine, malgré la loi du 1 % sur la formation...

On peine à recevoir les nouveaux diplô-més, que l’on accueille peu et mal, que l’on ne paye pas suffi samment...

80 % des entreprises avouent avoir eu des diffi cultés au cours des trois dernières années à recruter du personnel qualifi é.

L’expérience professionnelle est le critère le plus important lors de l’embauche. D’ailleurs, certains dirigeants mentionnent qu’ils valori-sent l’expérience par rapport à la formation, qui serait défi citaire au niveau du diplôme d’études professionnelles.

Sinon…Beaucoup de jeunes diplômés de la carrosse-rie quittent pour aller travailler dans un autre domaine plus payant, moins salissant, moins diffi cile et où l’on ne doit pas acheter de coff re d’outils.

Les assureursLe domaine se plaint du dirigisme pratiqué par les assureurs, qui envoient les véhicules accidentés de leurs clients chez un carrossier plutôt qu’un autre.

On se plait également de la trop grande puissance des assureurs, qui dominent le secteur et imposent des conditions, dont un taux horaire insuffi sant, etc. Cela varie d’une région du Québec à l’autre. •••

Georges Bouchard, vice-président pour le volet syndical du CSMO, qu’on a gentiment qualifi é de « dessert » pour cet événement, félicite tous ceux qui y ont assisté, et qui ont maintenant comme mission d’en faire connaître les résultats.

LA CAROSSERIE AU QUÉBEC

Line Vaillancourt, adjointe administrative au CSMO-Auto, considère que ces nouvelles données mises en lumière par l’étude sont de la plus grande importance.

Les réactions

« Le message des entreprises du secteur de la carrosserie est clair : misons sur la main-d’œuvre ! »Danielle Le ChasseurDirectrice du CSMO-Auto

« Ce diagnostic est le refl et actualisé d’une réalité avec laquelle tous les acteurs de l’industrie doivent composer. Pour ma part, je considère qu’il s’agit d’un outil qui nous servira à mieux cerner nos besoins, à mieux préciser nos champs d’interventions et à mieux établir tant nos plans d’orientation stratégique que nos plans d’action. Il ressort qu’il nous appartient à tous de redoubler d’efforts et de poursuivre nos travaux à partir des axes de solutions qui y ont été identifi és. »Michel BourbeauPrésident directeur de la Corporation des carrossiers professionnels du QuébecCPQ

« La main-d’œuvre spécialisée active dans l’industrie est passionnée par le domaine automobile. »Alexandre MeunierAssocié à la fi rme Extract recherche Marketing

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AutoMédia ● Juillet-Août 2012 ● 17

Berlin, Allemagne – Il y a de ces voitures à qui l’électricité va com-me un gant. En fait, la smart avait été imaginée dès le départ pour être un véhicule électrique. On connaît la suite : les moteurs à es-sence et diesel ont pris le dessus. Ce qu’on sait moins, c’est que Mercedes-Benz, l’unique proprié-taire de la marque depuis 1998, a travaillé fort pour électrifi er sa puce.

Les premiers essais au grand jour se sont déroulés en 2007 à Londres : 100 chanceux ont cha-cun obtenu un exemplaire élec-

trique. Le test devait durer quatre ans, sauf que Daimler lança la 2e

génération dès 2009.Tous les testeurs londoniens

échangèrent leur smart, pendant que les citoyens de 17 autres pays (dont 15 au Canada) acceptèrent de louer (545 $/mois pendant 4 ans) l’un des quelque 2 000 exem-plaires mis en circulation.

La 3e génération est mainte-nant prête et c’est celle-là que Mercedes-Benz vendra à qui en voudra. À compter du printemps 2013 chez nous.

Subvention provincialeLes deux modèles usuels seront électrifi és, soit le coupé et le ca-briolet. Les prix de base sont déjà connus : 26 990 $ pour le toit dur, 29 990 $ pour le toit mou. Moins la subvention provinciale de 8 000 $.

Entre 2007 et 2012, l’auto a pro-gressé. Désormais, Benz contrôle les deux principales composan-tes de son véhicule ED (Electric Drive), i.e. le moteur électrique et la batterie.

louer la batterie de leur smart pour 65 euros par mois, pendant que Benz la garantira 10 ans.

Ce programme, baptisé Sale&Care, rencontre des obstacles lé-gaux en Amérique du Nord, mais on espère pour Benz qu’il fonc-tionnera chez nous.

Une fois chargée, la smart ED devrait avoir une autonomie de 140-145 km, atteindre 100 km/h en 11,5 secondes (au lieu de 26,7 secondes pour la précédente gé-nération) et fi ler à une vitesse maxi de 125 km/h. •••

Le premier est issu d’un par-tenariat entre le constructeur et Bosch. Il développe 55 kW (ou 75 chevaux).

La batterie au lithium-ion, dont la capacité est passée de 16,5 à 17,6 kWh, ne sera plus fournie par la Californienne Tesla puis-que Benz a conclu une entente avec Evonik.

Cette batterie, c’est le nerf de la guerre. Sur une prise normale de 110V, il faudrait attendre 16-17 heures pour une charge pleine. Comme personne n’est aussi pa-tient, Benz proposera le WallBox (prix estimé à 1 000 $) qui, avec le 220V, ramènera le temps d’attente à 6-7 heures. Le tout se contrôlera à distance grâce à une application sur son téléphone intelligent.

Stratégie à revoirPour le moment, Benz dit vou-loir garantir cette batterie 2 ans en Amérique du Nord. C’est peu compte tenu que Nissan propose 8 ans pour la batterie de sa Leaf. En plus, les Européens pourront

POUR QUI?Revenu individuel : + 90 000 $Hommes/femmes : 50 %-50 % / 30 à 60 ansMajorité : mariés et diplômes universitaires43 % : 2e ou 3e véhicule

POURQUOI?Voiture urbaine cool, respect de l’environnement, faire des pieds de nez aux pétrolières

LA PUCE BRANCHÉE

SMART ÉLECTRIQUE

Trois versionsCoupé, Cabriolet et Brabus

Roues motrices arrière

Nombre de passagers 2

Autonomie 145 km

0-100 km/h 11,5 secondes

Vitesse maximale 125 km/h

Construction Hambach (France)

Concurrence Nissan Leaf, Mitsubishi i-MiEV, Ford Focus EV

Coupé 26 990 $

Cabriolet 29 990$

Brabus à être déterminé

Subvention provinciale 8 000 $

Chargeur WallBox 240V 1 000 $ (estimation)Mise en vente printemps 2013

FICHE

PRIX

CONCESSIONNAIRES AU QUÉBEC : 12

AVANT-PREMIÈRE I PAR MICHEL CRÉPAULT

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DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE

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LE MONDE DE L’AMVOQ I PAR L’ÉQUIPE D’AUTOMÉDIA

P our France Valiquette, d’Automo-bile Nascar, à Drummondville, la simplicité du programme en fait son atout majeur. « Quand le client

arrive dans mon bureau, je lui fait signer le contrat. Je l’envoie en ligne directement à l’AMVOQ. La caméra s’allume et j’ai un di-recteur commercial qui est prêt à s’entretenir avec le client.

« Le directeur commercial me répond tou-jours tout de suite, en direct Ils sont trois à notre disposition, de 10 h à 20 h (et jusqu’à 18 h le vendredi).

« Je le laisse en tête-à-tête avec mon client, dans mon bureau. Le directeur prend tous les détails de la demande de crédit et pro-pose les produits PPP. Il vérifie rapidement la cote de crédit du client et il sait si c’est une première (avec Desjardins) ou une seconde chance (avec Scotia).

« Dans la première heure, j’ai des ré-ponses. Le client attend sur place. En deu-xième chance, c’est un peu plus long, le temps par exemple que le client nous amène deux talons de chèques de paye (qui seront faxés à l’AMVOQ).

« Une fois que tout est accepté, l’AMVOQ nous envoie les documents à signer par Di-com. Ça prend 24 heures. Quand on a reçu

la Caisse. C’est extrêmement simple, c’est ça qui est la beauté de la chose.

« Pour la majorité des clients, la réponse a été le lendemain. Que ce soit avec Desjardins ou avec Scotia. Oui, évidemment, j’ai eu des clients qui ont été refusés mais les raisons étaient bonnes, on ne peut pas blâmer per-sonne. »

À améliorer ?Pour France Valiquette : « De notre côté, on l’a demandé et on l’a eu, c’est-à-dire qu’avant, il fallait attendre que les papiers soient signés et reçus avant de livrer le véhicule. Mainte-nant, je peux les faxer devant le client et faire la livraison immédiatement. Ça ne peut pas être plus efficace. »

Pour Sylvain Tremblay : « À date, pour le service, aucun reproche. La seule chose, peut-être, serait d’améliorer les délais. Ce n’est pas encore optimal. Je comprends qu’il y ait de la paperasse. Si mon client pouvait obtenir sa réponse ici même, dans ma salle de montre, et que le contrat à signer nous parvienne le lendemain, ça serait un plus. »

La conclusion appartient à France : « Ce sont des nouveautés et les clients adorent ça ! En plus, avec toutes les garanties offertes, ils se sentent bien protégés. » •••

toute la paperasse, on prend rendez-vous avec le client et, dès qu’on a faxé tous les do-cuments signés, on peut procéder à la livrai-son du véhicule. Tout le monde est content. »

Rapide et sécuritaireMême son de cloche chez Manon et Sylvain Tremblay, de Gaz Max, à Hérouxville.

« Ça va très bien avec ce système-là, com-mence Sylvain. Je n’ai que des bons com-mentaires. Les clients aiment beaucoup. C’est quand même assez rapide.

« Les gens de PPP n’exercent aucune pres-sion. J’ai des clients qui n’ont pas été tentés par les garanties proposées. De mon côté, la paperasse se fait juste quand on reçoit le contrat. Et, non, ça ne me rend pas triste du tout !

« Les clients sont heureux. Ça leur sauve un déplacement, ils n’ont pas besoin d’aller à

Dans son numéro de mai dernier, AutoMédia vous a présenté un programme où des partenaires comme Desjardins, la Banque Scotia et le Groupe PPP se sont alliés à l’AMVOQ pour faciliter l’accès au financement aux marchands qui n’ont pas de convention avec une institution financière (bien sûr, ceux qui ont une ou plusieurs conventions peuvent aussi participer). Nous vous présentons cette fois le témoignage de deux marchandsqui utilisent le fameux programme. Les deux s’en sont servis pour plusieurs transactions et ils ont enregistré un profit moyen de 500 $ par véhicule vendu, selon Catherine Langlois, directrice du développement des affaires et des projets spéciaux à l’AMVOQ.

France Valiquette, d’Automobile Nascar, à Drummondville, félicite la simplicité du programme.

Manon et Sylvain Tremblay, de Gaz Max, à Hérouxville, rencontrent des clients rassurés.

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VENTE DES AUTOMOBILES AU QUÉBEC 26 733 PAR CATÉGORIE

53,919,6

15,3

n Compacte 53,9 %n Sous-compacte 19,6 %n Intermédiaire 15,3 %n Luxe 5,4 %

Mai Mai Total Total 2012 2011 2012 2011

SOUS-COMPACTEHyundai Accent 1 807 1 142 5 434 4 776Toyota Yaris 650 400 2 688 1 935Nissan Versa 631 780 2 581 2 783Kia Rio 522 303 2 182 1 218Ford Fiesta 484 340 1 686 1 467Chevrolet Sonic 362 0 1 278 0Fiat Fiat 500 258 131 845 562Fiat Fiat 500 Cabrio 133 19 504 19Honda Fit 107 121 531 491Mazda 2 93 414 1 419 1 981Toyota Prius C 87 0 380 0Scion iQ 40 0 202 0smart fortwo 23 65 95 212Scion xD 18 46 114 137Mitsubishi i-MiEV 16 0 54 0Chevrolet Aveo 0 297 36 986Total 5 231 4 073 20 029 16 583

Part de marché 19,60 % 17,70 % 19,50 % 17,20 %

COMPACTE Honda Civic 2 232 1 408 9 220 7 711Hyundai Elantra 1 870 1 954 8 150 8 339Toyota Corolla 1 721 1 147 6 914 6 603Mazda 3 1 656 1 411 5 855 5 575Volkswagen Jetta 1 036 1 084 3 691 4 085Chevrolet Cruze 1 001 942 3 612 4 051Kia Forte 888 757 3 001 2 502Ford Focus 781 613 2 892 2 327Toyota Matrix 534 380 2 217 2 744Nissan Sentra 516 539 1 735 2 833Volkswagen Golf/Rabbit 433 433 1 592 1 496Subaru Impreza 423 249 1 893 1 268Mitsubishi Lancer Sportback 292 263 1 093 915Kia Soul 267 344 966 1 218Buick Verano 174 0 623 0Mazda 5 162 225 815 1 242Chevrolet Volt 120 0 205 0Volkswagen New Beetle 84 6 323 89Scion tC 51 83 247 262Scion xB 36 55 148 200Nissan Leaf 8 0 48 0Acura ILX 3 0 3 0Honda Insight 2 2 10 23Chrysler Caliber 1 205 21 474Acura CSX 0 51 2 202Total 14 419 12 269 55 837 54 833

Part de marché 53,90 % 53,20 % 54,50 % 57,00 %

INTERMÉDIAIRE Toyota Camry 502 195 2 082 920Kia Optima 482 38 1 911 71Hyundai Sonata 396 595 1 863 2 437Nissan Altima 396 224 1 071 917Volkswagen Passat 283 44 928 226Ford Fusion 260 251 1 107 1 249Mazda 6 217 183 471 681Chrysler 200 199 342 752 618Kia Rondo 192 355 811 1 176Honda Accord 161 126 592 537Toyota Prius 151 36 430 231Chevrolet Malibu 141 267 494 1 128Chrysler Avenger 130 282 280 632Subaru Legacy 122 192 487 671Toyota Prius V 116 0 489 0Chevrolet Impala 84 231 571 716Nissan Maxima 82 29 225 127Buick Regal 68 69 175 267Buick Allure/LaCrosse 48 68 207 267Chrysler Charger 35 71 246 207Suzuki Kizashi 28 25 82 131Buick Lucerne 1 21 24 100Ford Crown Victoria 0 17 3 192Total 4 094 3 671 15 301 13 540

Part de marché 15,30 % 15,90 % 14,90 % 14,10 %

SPORT Mini Cooper/Cooper S 238 167 660 525Hyundai Veloster 216 0 689 0Ford Mustang 195 179 479 365Subaru Impreza WRX/STI 66 83 330 398Chevrolet Camaro 49 76 185 230Volkswagen GTI 48 54 159 198Volkswagen Eos 46 73 165 182Mazda MX-5 38 20 141 99Chrysler Challenger 22 66 95 162Volvo C30 20 11 66 67Mitsubishi Lancer Evolution/Ralliart 18 19 54 65Chrysler 200 Décapotable 16 81 92 81Honda CR-Z 13 25 47 115Mitsubishi Eclipse/Eclipse Spyder 9 40 49 113Total 1 060 1 008 3 409 2 911

Part de marché 4,00 % 4,40 % 3,30 % 3,00 %

CHIFFRES DÉFRICHÉS


n Sport 4 %n Très luxueux 1,2 %n Sport de luxe 0,6 %

CUMULATIF DES VENTES DE VÉHICULES DE MI-ANNÉE DE MITSUBISHI (GRÂCE À UN MOIS DE JUIN RECORD (2 089) EN 10 ANS DE PRÉSENCE AU CANADA.

10310

24 252UNITÉS VENDUES

Le meilleur trimestre

de vente dans l’histoire de Kia Canada.

Le meilleur mois de juin de tous les temps avec

quelque

7 782 UNITÉS VENDUES,

soit une augmentation de

10 % par rapport à

2011.

845,5 %HAUSSE DES VENTES DE TOYOTA CAMRY HYBRIDES

stats_aout_2012.indd 19 12-07-11 12:08


VENTE DE CAMIONS LÉGERS AU QUÉBEC 18 290PAR CATÉGORIEn Sport compact utilitaire 37,1 % n Sport intermédiaire utilitaire 14,9% n Camionnette 21,5 %n Fourgonnette 8,6 %n Sport intermédiaire utilitaire de luxe 3,8 %

LUXE Mercedes-Benz Classe C 341 323 1 423 1 190BMW Série 3 245 317 902 1 236Ford Taurus 87 32 187 151Acura TL 77 50 374 268Audi A4 74 95 806 773BMW Série 1 65 90 186 290Volvo S60 57 68 202 210Lexus IS 54 30 211 186Infiniti G35/37 52 61 320 323Audi A3 52 48 236 171Cadillac CTS 50 74 222 308Cadillac CTS 50 74 222 308Lexus CT 49 16 177 121Audi A5 45 80 229 279Hyundai Genesis 38 23 122 62Lexus ES 32 28 111 141Acura TSX 22 24 99 111Ford MKZ 22 35 81 113Volvo C70 11 8 33 27BMW Z4 8 16 31 38Lexus HS 6 0 20 30Toyota Avalon 5 9 31 33Saab 9-3 0 6 9 17Total 1 442 1 656 6 244 6 904

Part de marché 5,40 % 7,20 % 6,10 % 7,20 %

TRÈS LUXUEUX Mercedes-Benz Classe E 125 82 408 344BMW Série 5 68 71 270 286Audi A7 23 19 101 48Audi A6 19 6 100 37Mercedes-Benz Classe C 14 15 45 50Ford MKS 10 7 38 30Audi A8 10 3 23 24

Volvo S80 10 1 12 8Lexus GS 9 1 60 12BMW Série 7 8 6 47 33Porsche Panamera 8 10 39 39Infiniti M35/45 7 5 26 42Jaguar XF 5 7 22 27Jaguar XJ 5 4 22 19Hyundai Equus 5 3 7 7Lexus LS 2 2 3 8Acura RL 1 2 2 8Cadillac STS 0 1 1 1Saab 9-5 0 0 2 6Mercedes-Benz Maybach 0 0 0 0Total 329 260 1 228 1 073

Part de marché 1,20 % 1,10 % 1,20 % 1,10 %

SPORT DE LUXE Porsche 911 31 23 82 61Audi TT 28 23 80 53Nissan 370Z 25 18 91 54Mercedes-Benz SLK 20 10 72 21Mercedes-Benz SL 14 6 23 14BMW Série 6 13 6 51 8Audi R8 9 7 22 24Chevrolet Corvette 5 8 19 21Porsche Cayman 4 4 15 9Nissan GTR 4 1 13 4Mercedes-Benz SLS 2 1 10 12Mazda RX-8 1 4 4 15Jaguar XK Sports 1 1 3 6Lexus LFA 1 0 1 0Porsche Boxster 0 14 1 28Chrysler Viper 0 1 1 5Total 158 127 488 335

Part de marché 0,60 % 0,60 % 0,50 % 0,30 %TOTAL AUTO 26 733 23 064 102 536 96 179

SPORT COMPACTE UTILITAIRE Honda CR-V 784 465 3 874 2 904Toyota RAV4 629 310 2 394 2 416Hyundai Santa Fe 526 672 2 224 2 420Mazda CX5 519 0 2 064 0Chrysler Wrangler 491 485 1 873 1 396Ford Escape 482 507 2 123 2 563Nissan Rogue 391 392 1 953 1 604Kia Sportage 383 291 1 320 1 083Chevrolet Equinox 363 455 1 550 2 028Kia Sorento 362 421 1 912 2 211Hyundai Tucson 349 444 1 517 1 986

Mitsubishi RVR 202 264 881 1 067Mitsubishi Outlander 190 135 751 758Subaru Forester 181 186 734 891Volkswagen Tiguan 177 193 703 742Nissan Juke 161 48 563 414Chrysler Compass 156 344 817 1 042Mazda CX7 144 145 727 853Chrysler Patriot 134 232 954 1 077Suzuki Grand Vitara 60 23 309 241Mini Countryman 54 67 144 140Chrysler Liberty 20 13 82 88Chevrolet HHR 16 19 58 104Nissan Cube 11 5 42 62Mazda Tribute 0 152 267 634Total 6 785 6 272 29 836 28 753

Part de marché 37,10 % 36,60 % 40,20 % 38,40 %





CHIFFRES DÉFRICHÉS

41

17,2

15,4

n Sport compact utilitaire de luxe 5,2 %n Petite camionnette 2,1 %n Fourgon 5,4 %n Sport utilitaire 0,6% n Sport utilitaire de luxe 0,9%

BMW a fait état de 15 339

unités vendues en cumul annuel,

soit une hausse de 6,1 %

par rapport à l’an dernier.

Le mois de juin a été marqué par

de solides ventes des modèles de

Série 5, ainsi que des véhicules

d’activités sportives X1 et X3.

h VENTES RECORD DU HONDA CRV h

+ 228 %

stats_aout_2012.indd 20 12-07-11 12:41


Sport intermédiaire utilitaire Chrysler Journey 690 673 2 448 3 367Ford Edge 400 211 1 291 1 005Toyota Venza 262 208 1 052 1 177Subaru Outback 255 324 1 168 1 303Chevrolet Orlando 158 0 788 0Ford Explorer 158 132 589 553Chrysler Grand Cherokee 145 209 698 851GMC Terrain 137 190 674 819Nissan Murano 126 113 486 508Honda Pilot 78 69 287 254Toyota Highlander 66 85 300 359GMC Acadia 42 74 172 248Buick Enclave 40 41 128 156Chevrolet Traverse 32 73 124 254Toyota 4Runner 30 29 169 173Nissan Pathfinder 25 29 183 162Mazda CX9 20 26 131 134Hyundai Veracruz 17 22 126 82Honda Accord Crosstour 16 17 68 73Toyota FJ Cruiser 14 13 75 71Nissan Xterra 14 19 62 92Mitsubishi Endeavor 3 1 34 16Chrysler Nitro 0 10 5 18Kia Borrego 0 6 1 13total 2 728 2 574 11 059 11 688

part de marché 14,90 % 15,00 % 14,90 % 15,60 %

Sport utilitaire Chrysler Durango 49 45 191 132Chevrolet Suburban 15 24 47 94GMC Yukon XL 11 6 35 49Ford Expedition 9 12 38 59Toyota Sequoia 6 9 40 41Nissan Armada 6 2 18 20GMC Yukon 4 2 34 32Chevrolet Tahoe 3 1 13 42total 103 101 416 469

part de marché 0,60 % 0,60 % 0,60 % 0,60 %

Sport compact utilitaire de luxe BMW X1 273 99 763 141Audi Q5 141 78 681 544Mercedes-Benz GLK 141 161 538 424Acura RDX 141 39 324 182BMW X3 139 144 357 469Volvo XC60 68 48 218 220Infiniti EX35 27 28 122 138Land Rover Range Rover Evoque 24 0 139 0Land Rover LR2 3 7 22 36total 957 604 3 164 2 154

part de marché 5,20 % 3,50 % 4,30 % 2,90 %

Sport intermédiaire utilitaire de luxe Acura MDX 104 75 333 328Lexus RX 102 84 349 469Mercedes-Benz Classe M 83 57 514 273Cadillac SRX 74 86 320 324BMW X5 64 48 252 238Ford MKX 61 42 226 256Volkswagen Touareg 36 33 169 178Land Rover Range Rover Sport 35 23 125 103Porsche Cayenne 29 32 142 140BMW X6 29 17 83 94Volvo XC70 22 31 117 105Infiniti FX35/45/50 12 13 74 77Volvo XC90 10 20 50 57

mai mai total total 2012 2011 2012 2011

mai mai total total 2012 2011 2012 2011

Vente de camions légers au québec 18 290 par catégorie

Subaru B9 Tribeca 9 16 56 60Land Rover LR3/LR4 7 7 31 40Lexus LX 7 1 17 7Acura ZDX 3 1 21 9Land Rover Range Rover 1 3 12 15Lexus GX 1 1 10 14total 689 590 2 901 2 787

part de marché 3,80 % 3,40 % 3,90 % 3,70 %

Sport utilitaire de luxeInfiniti JX 82 0 99 0Audi Q7 34 28 153 124Mercedes-Benz Classe G/GL 17 21 114 93Mercedes-Benz Classe R 8 7 23 30Ford MKT 7 12 21 34Cadillac Escalade 6 8 26 33Cadillac Escalade ESV 3 2 9 9Ford Navigator 1 3 12 15Infiniti QX56 0 4 10 31total 158 85 467 369

part de marché 0,90 % 0,50 % 0,60 % 0,50 %

petite camionnette Toyota Tacoma 4x4 150 94 633 517Ford Ranger 66 259 563 1 251Nissan Frontier 4RM 48 27 171 130GMC Canyon 40 57 187 218Chevrolet Colorado 32 60 181 264Honda Ridgeline 31 25 143 89Toyota Tacoma 4x2 8 19 37 56Nissan Frontier 2RM 5 8 25 27Suzuki Equator 0 0 0 0total 380 822 1 940 2 965

part de marché 2,10 % 4,80 % 2,60 % 4,00 %

camionnette Ford F-Series 1 827 1 354 6 585 6 763Chrysler Ram Pickup 901 811 3 452 3 273GMC Sierra 681 606 2 314 2 359Chevrolet Silverado 325 294 1 320 1 396Toyota Tundra 4x4 96 93 599 594Nissan Titan 4RM 53 20 142 82Chevrolet Avalanche 36 20 100 117Toyota Tundra 4x2 4 5 27 27Cadillac Escalade EXT 3 1 6 11Nissan Titan 2RM 2 2 4 3Chrysler Dakota 0 12 10 78total 3 928 3 218 14 559 14 703

part de marché 21,50% 18,80% 19,60% 19,60%

mini-fourgonnette Chrysler Grand Caravan 991 1 366 4 419 5 590Toyota Sienna 238 199 887 807Honda Odyssey 165 136 608 681Ford Flex 87 56 169 161Chrysler Ram Cargo Van 27 0 325 0Chrysler Town & Country 27 96 140 299Kia Sedona 18 22 51 105Nissan Quest 17 25 55 80Volkswagen Routan 9 18 41 84total 1 579 1 918 6 695 7 813

part de marché 8,60 % 11,20 % 9,00 % 10,40 %

fourgon Ford Econoline 375 268 985 922GMC Savana 316 343 853 924Chevrolet Express 137 146 549 596Ford Transit Connect 90 140 362 542Mercedes-Benz Sprinter 42 59 246 259Nissan NV 23 10 103 12total 983 966 3 098 3 255

part de marché 5,40 % 5,60 % 4,20 % 4,30 %total camion léger 18 290 17 150 74 135 74 956

Sprinter Mercedes-BenzÀ ce jour en 2012, 1372 unités venduesUne croissance de 11,4 % comparativement au premier semestre de 2011.

Jetta et passat en tête Volkswagen Canada, qui célèbre cette année son 60e anniversaire, a enregistré des ventes de 5 500 au mois de juin. Il s’agit du meilleur résultat de l’histoire de l’entreprise pour le mois de juin et une amélioration de 10 % par rapport au record précédent. Depuis le début de l’année, les 135 concessionnaires Volkswagen ont livré 28 862 véhicules neufs, une hausse de 7 % par rapport au record établi l’an dernier.

« La Jetta, notre véhicule le plus populaire, et la Passat nouvellement redessinée restent en tête des ventes, affirme Notre produit redessiné, qui offre davantage de style et d’espace en plus d’un excellent rapport qualité-prix, s’est avéré très populaire. »

John White, Président et chef de la direction du Groupe Volkswagen Canada.

stats_aout_2012.indd 21 12-07-11 12:07

22 l AutoMédia l Juillet-Août 2012

VITRINE

La compagnie PPG, qui opère dans plus de 60 pays, se spécialise entre autres dans les apprêts de peinture pour l’automobile. Elle offre maintenant en Amérique du Nord son produit Envirobase®

High Performance. Il s’agit de la 3e génération d’une techno-logie à l’eau lancée en 1999. La couche de base Envirobase HP plaira aux ateliers qui profiteront à la fois d’un système simple et convivial, d’un produit à débit maximal accepté par les équi-pementiers du monde entier et qui s’intègre au système de sous-couches et de couches transparentes Global Refinish System.• Toners sans brassage, stables, opaques et dotés d’une excel-

lente longévité• Facile à mélanger et à pulvériser• Excellent appariement des couleurs• Recommandé pour les ateliers désireux de contrôler leurs

composés organiques volatils et qui travaillent à grande échel-le, bien équipés, disposant de cabines de peinture et/ou de postes de préparation gérés par des peintres très compétents

La compagnie SKF, fondée en 1907 et présente dans plus de 130 pays, a mis au point un appareil photo thermo-numérique, le TKTI 20, pour inspecter vos équipements. Grâce à un détecteur thermique d’une résolution de 19 200 pixels et un large écran de visualisation de 3½ pouces rétro-éclairé, les images infrarouges facilitent les inspections de maintenance des applications électriques et mécaniques, par exemple en détectant les différences de température (points chauds ou froids).• Plages de température de -10 à +250 °C • Dictaphone écrit et oral pour intégrer les notes• Jusqu’à 1000 images numériques et thermiques stockées sur la mini carte SD fournie• Résultats en temps réel• Pointeur laser• Conception compacte, ergonomique et robuste• Batterie rechargeable, remplaçable et autonomie de cinq heures

Michelin a mis au point un système qui diminue le temps nécessaire pour la maintenance des pneus au cœur d’une flotte de véhicules. Premier essai dans le vrai monde : les autobus londoniens mis en service au cours des prochains Jeux olympiques. L’astuce : intégrer au pneu lui-même une puce RFID de 512 bits qui communique instantanément au technicien les informations sur la pression et la température du pneu. Aujourd’hui les bus, demain les voitures de tourisme !• Innovation combinant le Système TPMS

(Tire Pressure Monitoring System) et les puces RFID (Radio Frequency Identification)

• Améliore la simplicité et la sécurité des opérations de maintenance

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Les produits Bio-Circle ont une mission : développer des nettoyants éco-responsables. Ils veulent protéger la santé des travailleurs et aussi celle de l’environnement. C’est dans cet esprit qu’est né le nettoyant AF-Clean dont la première caractéristique est de remplacer les solvants toxiques. Parmi ses autres qualités, on note :• Alternative idéale pour l’acétone

ou le toluène• Nettoie et prépare tous les métaux ainsi

que le caoutchouc et le plastique• Ininflammable et biodégradable• Moins volatile• Les bouteilles en aluminium

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Automedia août 2012