AVANT LE VENDREDI 26 MARS• Vendre son ‘Hametz (par l’acte de vente)

——————————————————————————JEUDI 25 MARS• Jeûne des premiers-nés (début 5h07)

• Recherche du ‘Hametz, récitation de l’annulation du ‘Hametz – 19h50

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VENDREDI 26 MARS• On brûle le ‘Hametz avant 11h45• ATTENTION ! On s’assure avant Chabbat (18h54) qu’il

ne reste que le pain nécessaire au Motsi des 2 repas

• PREVOIR : Bougie de 48h

• Allumer les bougies avant 18H54

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SAMEDI 27 MARS • CHABBAT HAGADOL • On arrête de manger du ‘Hamets à 10h45

• On élimine le ‘Hamets restant et on récite le second Kol ‘Hamira avant 11h45

• Allumages après 20h02 – On allume les bougies de Yom Tov, uniquement à partir d’une flamme déjà existante et l’on dit les bénédictions 2 et 3

• On commence le premier Sédère

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DIMANCHE 28 MARSPREMIER JOUR DE PESSA’H• Tefilat Tal (prière pour la rosée)

• Allumages Après 21h01 (heure d’été), On allume les bougies de Yom Tov, uniquement à partir d’une flamme déjà existante et l’on dit les bénédictions 2 et 3

• On commence à compter le Omer

• On commence le deuxième Sédère

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LUNDI 29 MARS • SECOND JOUR DE PESSA’H• Fin des premières fêtes à 21h05 (heure d’été)

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DU MARDI 30 MARS AUVENDREDI 2 AVRIL • DEMI-FÊTES• Fin des premières fêtes à 21h05 (heure d’été)

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VENDREDI 2 AVRIL • VEILLE DE YOM TOV• Allumages Avant 20h05* On allume les bougies de Chabbat et de Yom Tov et l’on dit la bénédiction 4

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SAMEDI 3 AVRIL • 7ÈME JOUR DE PESSA’H• Allumages Après 21h13 – On allume uniquement

à partir d’une flamme déjà existante les bougies de Yom Tov et l’on dit la bénédiction 2

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DIMANCHE 4 AVRIL • 8ÈME JOUR DE PESSA’H• On dit le Yzkor (prière commémorant la mémoire des défunts)

• Dans l’après-midi: Séoudat Machia’h• Fin de Pessa’h à 21h15

* N’allumez pas après l’heure indiquée les bénédictions

Le ‘Hamets vendu pourra être consomméune heure après la sortie de la fête.

Barou’h Ata Ado-Naï Elo-Hénou Mélè’h Haolame Achère Kidechanou Bémitsvotav Vétsivanou Lehadlik Nère Chel Chabbat Kodech

—————————————————————————————————Barou’h Ata Ado-Naï Elo-Hénou Mélè’h Haolame Achère Kidechanou Bémitsvotav Vétsivanou Lehadlik Nère Chel Yom Tov

—————————————————————————————————Barou’h Ata Ado-Naï Elo-Hénou Mélè’h HaolameChéhé’héyanou Vékiyemanou Véhiguianou Lizmane Hazé

—————————————————————————————————Barou’h Ata Ado-Naï Elo-Hénou Mélè’h Haolam Achèr Kidechanou Bemitsvotav Vetsivanou Lehadlik Nèr Chèl Chabbat Vechèl Yom Tov

1

2

3

4

L E S B É N É D I C T I O N S

Pour le seder, la table est dressée avec de la Matsa, une coupe pour le vin, et une Kéarah (plateau) qui contient les six éléments. La disposition de ces six éléments varie selon les traditions ; la coutume ‘Habad est illustrée ci-dessous, avec des éclaircissements sur chaque élément et des informations supplémentaires.

SAVOURER ET SERVIR

Le vin est une boisson riche en saveurs et facile à apprécier. Les quatre coupes de vin délicieuses du Seder sont donc associées à notre intériorisation et à notre appréciation des brillantes idées et observances du Judaïsme. Contrairement à la Matsa qui est sans saveur, simple et fade. Historiquement, cette nourriture était le lot des plus démunis et des esclaves.

La Matsa est associée aux éléments de notre relation avec D.ieu que nous ne pouvons ni savourer ni comprendre rationnellement. Pour ceux-ci, nous invoquons notre Matsa intérieure - le noyau dur de la foi que D.ieu implante dans nos âmes, cette connexion innée qui est plus profonde que la logique et surpasse les saveurs familières de la logique.

Le vin et la Matsa se combinent dans un seder, car les deux sont essentiels au judaïsme. La foi et l’appréciation doivent se fondre dans le Seder de la vie juive quotidienne.

A - MATSA La Torah nous ordonne de manger de la Matsa le soir de Pessah pour nous rappeler la vitesse incroyable avec laquelle D.ieu a fait sortir les Juifs d’Egypte.Nos ancêtres n’avaient pas le temps pour que la pâte qu’ils avaient préparée puisse lever, et lors de leur premier arrêt en dehors de l’Égypte, ils l’ont cuite à la hâte en Matsa. Nous utilisons trois Matsot pour le Seder.Il est particulièrement préférable d’utiliser de la Matsa Chemoura: elle est circulaire, sans début ni fin, symbolisant l’infini de D.ieu; son grain est protégé du contact avec l’eau depuis sa récolte, et faite à la main, reproduisant la Matsa cuite en Egypte et depuis lors.

B - VIN Pour le seder, les sages ont ordonné que chaque personne boive un total de quatre coupes au cours du Seder. Si le vin est déconseillé en raison du jeune âge, de la santé ou d’autres facteurs, du jus de raisin peut être utilisé.

C - ZEROAL’agneau que chaque famille offrait au Temple pour Pessah est représenté par le Zeroa. La tradition mystique le remplace par un cou de poulet grillé. Cela nous rappelle que, même si la liberté nous accompagne pendant le Seder, elle ne sera complète qu’avec l’avènement prochain de Machia’h. Cet élément ne sera alors plus consommé au Seder.

D - BEITSAHUn œuf cuit, pour rappeler la ‘Hagigah - offrande festive personnelle apportée à toutes les fêtes, y compris Pessah. L’absence du Temple évoque un sentiment de deuil. D’où l’œuf, aliment traditionnel de la personne en

deuil (sa forme ovale symbolise le cycle de vie). Il est courant de le tremper dans de l’eau salée et de le manger au début du repas du seder.

E - MARORLes «herbes amères», évoquent l’agonie amère de la servitude. L’identification précise du Maror est débattue ; généralement de la laitue romaine ou du raifort, ou les deux. Notez que la romaine n’est pas amère à moins qu’elle ne soit

AMERTUME CANALISEE Notre passion à réaliser des actes de bonté est symbolisée par la Matsa, alors que notre inclination vers les mauvais choix est représentée par le Maror, car leurs effets sont amers. Pendant le Seder, nous passons par l’étape de Kore’h combinant Matsa et Maror. Cela représente notre objectif : unir notre passion au service de D.ieu en inspirant notre mauvaise inclination à embrasser la direction de notre bonne inclinaison. C’est ainsi que nous formons une force améliorée pour la bonté.

DE LA TERRE À L’ÂME Une réflexion honnête sur notre humilité spirituelle pourrait nous amener à nous considérer nous-mêmes indignes de l’amour de D.ieu. Mais

regardez ce légume ! Il a été enterré dans la terre laissant seulement ses feuilles percer le sol et il orne désormais notre table du Seder dans le service de D.ieu. D.ieu a fait de même avec nos

ancêtres, et Il le fera aussi pour nous. Nous pouvons sortir d’un état végétatif spirituel : sortez de la terre, rejoignez la table du roi, et atteignez les sommets.

pas récoltée trop tard. De même, nos ancêtres sont arrivés en Égypte en tant qu’invités royaux de leur parent (Joseph, le vice-roi), mais au fur et à mesure que leur séjour se prolongeait, leur sort est devenu de plus en plus amer.

F - MAROR Une seconde fois, car le Maror est utilisé 2

fois pendant le Seder.

G - ‘HAROSSET «Argile comestible» ; un

mélange de fruits crus moulus et de noix avec une

peu de vin pour rappeler l’épais mortier avec lequel nos ancêtres

LA GRAINE DE LA REDEMPTION Un œuf fraichement pondu apparaît au spectateur non informé comme un produit pondu. En vérité, il s’agit simplement d’une préparation à l’émergence ultérieure d’une créature entière - un poussin vivant. De même, l’Exode apparaît comme un accomplissement, mais en vérité, il a simplement mis en mouvement les préparatifs de notre Rédemption finale.

asservis ont construit des villes pour Pharaon. (Le Maror est trempé dans du ‘Harosset avant d’être mangé.)

H - KARPAS Un légume. Les options courantes comprennent le céleri, le panais, le radis,

le chou, l’oignon cru ou pomme de terre cuite. Il est plongé dans l’eau salée pendant le seder pour attiser la curiosité des enfants (de tous les âges !). Nous

sentons ainsi le goût des larmes que nos ancêtres versèrent.

S O U R C E S :SAVOURER ET SERVIRLe Rabbi, Likoutei Si’hot 26, P.44

LA GRAINE DE LA REDEMPTION Rabbi Yaacov Leiner de Izhbitz (1814–1878) Seder Haggada

AMERTUME CANALISEERabbi Moshé Alchi’h (1508–1593)Shemot 13.11

DE LA TERRE À L’ÂME Rabbi Y.Danziger(1853–1910) Ysma’h Israel

1

Animez votre seder en posant des questions et en discutant de ce qui suit avec la famille et les amis. Attribuer à chaque participant une question de chacune

des deux sections (Qu’en pensez-vous ? et quelle est la bonne réponse ?).

• Chacun partagera ses idées & impressions. •

REPONSES1. Les historiens supposent que la première Hagada fut imprimée en 1482, à Guadalajara, Espagne (dix ans avant l’expulsion). La seule copie connue de cette édition se trouve à la Bibliothèque nationale de Jérusalem. La première Hagada illustrée qui ait survécu dans son intégralité, a été produite à Prague en 1526. Elle est la propriété du collectionneur suisse René Braginsky.

2. Issu du Grec, l’épikomen ou l’épikomion, ce qui signifie ”ce qui vient après” (c’est-

à-dire, le dessert). Alternativement, il vient de l’araméen “afi ku man”, qui signifie “faire sortir la nourriture”.

3. Le nom de la mère de Moise est Yo’heved, celui de sa sœur, Myriam.

4. Dans certaines versions de la Hagada, son nom n’est pas du tout mentionné. Quelques versions le mentionnent en citant le verset : “Ils croyaient en D.ieu et en Moïse, son serviteur”.

5. Cette fête a plusieurs noms. Dans la Tora, elle est connue sous le nom de

”‘Hag Hamatsot”, la fête des galettes. Dans les prières, elle est appelée “Zeman ‘Heirouteinou” (le temps de notre libération). Son nom le plus courant est, bien entendu, Pessah.

6. Seder est le mot hébreu pour “ordre”. Ce soir, tout se fait dans un ordre particulier, suivant une séquence exacte.

7. En 1973, l’astronaute d’Apollo 17, Gene Cernan cria: “Oh, Manischewitz!” (slogan de la société de Matsa de ce nom) au milieu de sa marche.

I N T E R A C T I O N S E D E R

Quelle tradition dePessah déclenche les plus puissantes émotions ?

Avez-vous déjàvécuun moment personnel“d’exode“, de liberté ?

Quel est votre message à chacun des “quatre enfants” ?

Si vous pouviez voyager dans le temps à une autre période

de l’histoire juive, quel Seder visiteriez-vous ?

Y a-t-il plus d’une façon de définir l’esclavage / la

liberté ? Comment ?

Pourquoi les Juifs ont-ils été victimes de persécution et de haine à travers l’histoire ?

Quelle est la valeurdu récit de la sortie d’Egypt

si nous le connaissons déjà ?

Que devrions-nous faire aujourd’hui pour assurer la continuité du peuple juif ?

Y a-t-il un élément du plateau du Seder que vous pouvez lier à une personne assise autour de la table ?

Qu’enpensez-vous?

Quand la première Hagada fut

elle imprimée ?

Qu’ellessont les bonnesréponses ?

Que veutdire le mot

Hafikoman ?

2 5

3 6Quels sontles noms de la

mère et de la sœurde Moise ?

Que signifiele mot Seder ?

4Combien de fois le nom de Moise est

mentionné dans la Hagada ?

7Quel slogan, lié à Pessah, un astronaute utilisa lors de ses pas sur la lune ?

Quels sontles autres noms de la fête de Pessah ?

Si le fait de s’engager dans des actions positives est une souffrance pour certains, en agissant ainsi, leurs traits négatifs finiront par

s’estomper. Inversement, si des individus parfaitement justes sont constamment obligés de faire le mal, ils finiront par devenir mauvais. Car nous sommes très influencés par nos propres actions : nos émotions et nos pensées suivent nos actions.

Cette affirmation explique pourquoi la Torah prescrit plusieurs commandements pour célébrer Pessah. L’exode est plus qu’une mémoire nationale ; il célèbre le jour où D.ieu nous a choisi pour jouer un rôle important dans le plan divin de l’humanité. Plus nous agissons pour reconstituer les événements de Pessah, plus cette réalité et cette mission s’enracinent en nous et nous influencent.

Sefer Ha’hinou’h Mitsva 16

La nuit avant Pessah, nous recherchons dans nos maisons le ‘Hamets (tout levain ou produit levé) pour en être débarrassé avant la fête. Nos sages ont apparemment dénaturé cette obligation en prescrivant de “Rechercher le ‘Hamets” comme si l’examen concernait le ‘Hamets même plutôt que nos maisons. Ce n’est pas une erreur de langage, mais une leçon profonde :

Les mauvais penchants sont le levain en nous ; ils aigrissent nos caractères. Il existe néanmoins des cas dans lesquels nous pouvons utiliser ce ‘Hamets interne pour un objectif noble. Si la jalousie est interdite, il n’est pas interdit d’envier les bonnes actions de l’autre pour nous pousser à agir de même.

Le ‘Hamets nécessite une “recherche”, une introspection attentive, pour limiter les traits négatifs afin d’atteindre de nobles objectifs, et rejeter fermement tout ce qui n’est pas louable.

Ben Ich ‘Hay, Chabbat Hagadol 1

L E Ç O N S D E V I E S DE PESSA’HRENFORT RITUELAuteur anonyme (13e siècle)

RECHERCHE D’IDENTITE PROGRAMMEERabbi Yosef ‘Haim de Bagdad (1835-1909)

La Torah exige des parents qu’ils enseignent le récit de la sortie d’Egypte le jour même de l’anniversaire de l’évènement. Plus précisément, ce récit doit être délivré le soir, pendant le seder au moment où la Matsa et les herbes amères sont disposées sur la table. C’est là que réside le secret de l’éducation

PLACEZ VOTRE BOUCHE LAOU LA MATSA SE TROUVESarah Schenirer (1883-1935)

juive: ne pas offrir d’idées abstraites distinctes de la réalité. Même le jour de la cérémonie, il ne suffit pas d’expliquer l’événement. Posez d’abord la Matsa sur votre table, puis parlez !

Vous pouvez transmettre à vos enfants une appréciation encore plus profonde de la Mitsva, s’ils vous voient l’observer activement.

Em BeIsrael P.74

La Hagada décrit quatre types différents de jeunes ayant tous un point commun : tous, même

les plus rebelles, sont présents au Seder. Ils se

rencontrent, leurs vies se croisent et ils partagent divers degrés d’association, avec la Torah et les Mitsvot.

Par conséquent, il y a un fort espoir que même l’enfant le plus rebelle finira par voir la beauté d’une vie de Torah. Malheureusement, l’ère actuelle de confusion spirituelle a produit une cinquième catégorie non mentionnée: l’enfant absent.

Celui-ci ne sait rien du Seder, de Pessah, de la Torah ou du judaïsme. Notre attention envers les enfants absents doit commencer bien avant Pessah. Avec amour et sacrifice, nous devons tendre la main aux Juifs qui ne savent pas ce que signifie être juif. Aucun enfant n’est remplaçable. Toutes les énergies doivent être dirigées vers l’introduction des juifs absents au «Seder» de la vie juive.

Lettre 1957,

Igrot Kodech 15, P.33

La Torah dit : «Afin que vous puissiez

raconter à l’oreille de votre enfant et de

votre petit-enfant les choses que j’ai faites

en Egypte, et les merveilles que j’ai

accomplies parmi eux, afin que vous sachiez

que je suis D.ieu» (Shemot 10: 2).

Quand nous lisons ce verset en hébreu, nous remarquons

que le premier «vous» est écrit au singulier (tessaper), tandis

que le second «vous» est écrit au pluriel (vidaatem).

Pourquoi ce changement ? Une réponse possible est qu’un

véritable dialogue éducatif permet à celui qui transmet des

connaissances non seulement d’apprendre mais aussi de

grandir également.

Studies on the Haggadah: From the Teachings of Nechama

Leibowitz (New York: Urim Publications, 2002)

Apprendre aux jeunes à poser des

questions est une caractéristique

essentielle de Pessah, à tel point que la

Hagada – la narration – doit être en réponse à

une question d’un enfant. S’il n’y a pas d’enfant, les adultes

doivent se poser la question, et si l’on mange seul, il faut

poser la question à soi-même. Dans le judaïsme, être sans

question est un signe non pas de foi, mais de manque de

profondeur. «Et [l’enfant] qui ne sait pas demander», vous

devez commencer à lui apprendre à demander.

Poser une question est en soi une expression profonde de la

foi en l’intelligibilité de l’univers et la signification de la vie

humaine. Loin de la foi excluant les questions, les questions

témoignent de la foi – que l’histoire n’est pas aléatoire, que

l’univers n’est pas imperméable à notre compréhension, que

ce qui nous arrive n’est pas un hasard aveugle. Nous

demandons, non pas parce que nous doutons, mais parce

que nous croyons.

Rabbi Jonathan Sacks’s Haggadah: Hebrew and English Text with New

Essays and Commentary (New York: Continuum, 2006), pp. 105–106

TROUVER LE 5EME LE RABBI,Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson

LE BENEFICE D’UN ÉDUCATEURNechama Leibowitz (1905-1997)

LA SAINTETE D’UNE QUESTIONRabbin Jonathan Sacks (1948-2020)

L’après-midi du dernier jour de Pessa’h, il est de coutume de prendre un 3ème repas appelé Séoudat Machia’h : le «Repas du Machia’h». Cette tradition fut instaurée par le Baal Chem Tov, le fondateur du mouvement ‘hassidique, et s’est répan¬due dans toutes les communautés juives.

Cette année, nous aurons l’occasion de parler, débattre, échanger, expliquer le sujet de la venue de Machia’’h.

Dans une discussion informelle, dans la convivialité et la chaleur, unique à Loubavitch, les Rabbins présents exploreront quelques textes de base sur Machia’h.

Ce moment nous permettra d’intérioriser cette idée d’une manière bien plus profonde qu’intellectuelle ou émotionnelle. Ce moment sera l’occasion d’exprimer notre foi en la délivrance messianique.

Dû au couvre-feu, les offices du soir n’aurontpas lieu, sauf changement de directives.

DIMANCHE 4 AVRIL • 16H30• P U B L I C M I X T E •

SÉOUDATMACHIA’H

SAMEDI 27 MARS • CHABBAT HAGADOL

Cha’harit & Drasha 7h00 à 9h00

Min’ha 15h00

DIM. 28 MARS • 1ér JOUR DE PESSA’H

Cha’harit 10h30

Drasha 12h15

Min’ha 13h30

LUNDI 29 MARS • 2ème JOUR DE PESSA’H

Cha’harit 10h30

Drasha 12h15

Min’ha 13h30

DU MARDI 30 MARS AUVENDREDI 2 AVRIL • ‘HOL AMOED

Cha’harit 8h00

SAMEDI 3 AVRIL • 7ème JOUR DE PESSA’H

Cours“La traversée de la mer”

9h00

Cha’harit 10h00

Min’ha 17h00

DIM. 4 AVRIL • 8ème JOUR DE PESSA’H

Cours 9h00“Le message des derniers jours de Pessa’h”

Cha’harit 10h00

Yzkor 11h45“Prière de souvenirs pour nos défunts”

Min’ha 16h00Suivi d’un Cours sur Séoudat Machia’h

VENTE DU ‘HAMETZ

Je soussigné(e) .............................................................................................................demeurant ................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

Code postal : Ville : ........................................................................

Donne le plein pouvoir au Rabbin L. I. Kahn pour procéder à la vente avant Pessa’h de toutes sortes de ‘Hamets et de la vaisselle ‘Hamets non nettoyée m’appartenant, de même qu’à la location des lieux suivants où ils seront entreposés : .........................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................et partout où il se trouve et j’accepte toutes les modalités et les conditions énoncées dans l’acte général de procuration pour la vente du ‘Hamets, établi par le Rabbin L.I. Kahn.

Date : ...........................................................

• A déposer au plus tard, le Jeudi 25 Mars au Beth ‘Habad, 2, rue d’Arsonval Paris Xv• Par la poste au plus tard le Lundi 22 Mars

LADESTRUCTION

Avant de commencer la recherche du ’Hamets, on dit la bénédiction suivante :

BAROU’H ATA ADO-NAÏ ELO-HÉNOU MÉLÈ’HHAOLAME ACHÈRE KIDECHANOU BÉMITSVOTAV

VÉTSIVANOU AL BIOUR ‘HAMETS.Béni sois-Tu Eternel notre D.ieu, Roi de l’univers

qui nous a sanctifiés par Ses Commandements et nousa ordonné de détruire le ‘Hamets.

•Après avoir terminé la recherche, déposez le sac en papier contenant le ‘Hamets

dans un endroit à part jusqu’au matin et dites le PREMIER KOL ‘HAMIRA :

“Que tout ‘Hamets, qui se trouve en ma possession, que je n’ai pas vu ou que je n’ai pas détruit, dont je n’ai pas connaissance, soit considéré

comme inexistant et sans valeur, comme la poussière de la terre.”

On brûlera le sac et son contenu (cette année, sans dire la formule “Kol Hamira” qui sera prononcée Chabbat matin). On lira, par contre, le texte du “Yehi Ratson” qui se

trouve dans la Haggada de Pessa’h.

Le SECOND KOL ‘HAMIRA ne sera récité que le lendemain après que les miettes de pain restantes auront été soigneusement balayées, rassemblées puis jetées aux

toilettes.

JEUDI 25 MARS

VENDREDI MATIN 26 MARS

SIGNATURE :

A C T E D E

D U ‘ H A M E T S

2, rue d’Arsonval - 75015 Paris • Tél. : 09 53 49 99 62 - 06 15 15 01 02 Mail : bl15nord@gmail.com • Beth Loubavitch 15ème Nord

www.habad15nord.com

BETH LOUBAVITCH • PARIS - XV NORD