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Avec le concours de

CAISSE DES DÉPOTS ET CONSIGNATIONS

couverture el il lustrations intérieures : Loustal

car te IGN au 1/250 000, n° 104 (extraits) © IGN-Paris 1986, autorisation n° 88-0034

© Autrement 1988

ISBN 2- 86260- 261- 2

Page 3: Avec le concours de

é c h a p p é e s b e l l e s e n / r a n c e

L ' A L S A C E - N O R D

avec Al f red Kern

et Pierre Fougeyrol las

Dessins de Lous ta l

caisse nationale des monuments historiques

cl des sites

Édi t ions Autrement

4, rue d ' E n g h i e n , 75010 P a r i s Tél. : 47.70.12.50

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NOTES DE VOY AGE

UN ÉCRIVAIN R E G A R D E . . .

À la confluence des sources par Alfred Kern.

15

UN H I S T O R I E N R A C O N T E . . .

Au cœur de l'Europe par Pierre Fougeyrollas.

2 9

UNE J O U R N A L I S T E VOY A G E . . .

Description d'un itinéraire principal et propositions de déviations

par Myriam Niss.

De Strasbourg à La-Petite-Pierre avec déviations dans les villages pittoresques (p. 84), les châteaux forts (p. 87), et les églises

baroques (p. 89) par Roger Lehni.

95

U N NATURALISTE D É C O U V R E . . .

Faune, flore et balades par Alain Bernard, Jean-Claude Génot et François Steimer.

A VEC LES CROQUIS DE VOYA GE DE LOUSTAL ET LES CARTES EN COULEURS DE L'IGN (1/250 000) : PP. 32-33, 36-37.

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GUIDE P R A T I Q U E -

102

I N F O R M A T I O N S GÉNÉRALES

Avion, train, auto, vélo, météo, tourisme, Jétes et journaux...

106

LIEUX À VISITER

Monuments, musées, jardins, ouvrages d'art, usines... (lieux commentés et soulignés dans l'itinéraire de la journaliste).

110 HÔTELS

Un choix personnel et commenté de l'équipe de rédaction.

112

RESTAURANTS ET CAFÉS

Un choix personnel et commenté de l'équipe de rédaction.

116

ACHETER

Produits du terroir.

1 1 7

VIN

Les adresses de Chantal Lecouty.

118

B I B L I O G R A P H I E

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Alfred Kern a publié : Romans : Le Jardin perdu, Ed. de Minuit, Paris, 1950 (Prix Fénéon) ; Les Voleurs de

cendres, Ed. de Minuit, Paris 1951 ; Le Mystère de sainte Dorothée, Ed. Gallimard, Paris, 1952; Le

Clown, Ed. Gallimard, Paris, 1957 (Prix international du roman Charles Veillon; ; L'Amour profane, Ed.

Gallimard, Paris, 1959 (Prix Maurice Betz) ; Le Bonheur fragile, Ed. Gallimard, 1960 (Prix

Théophraste Renaudot) ; Le viol, Ed. Gallimard, Paris, 1964. Photos-textes : Expositions à Strasbourg, Sélestat,

Colmar, Mulhouse, Venise, Québec, Paris, Centre Georges-Pompidou, 1985 - 1988.

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A la confluence des sources Alfred Kern

Strasbourg, capitale européenne, Strasbourg-Entzheim, une piste, la cathédrale prise dans le ballet des nuages, le port autonome avec ses embarcadères et ses bassins, une vue prenante, dans le rayonnement des arbres, des avenues, l'émoi d'être tout à la fois aux limites et au cœur d'un pays.

Milieu de labours, de gravières, de bosquets, géométrie terres- tre, limite de la vigne et du houblon, des lignes droites, des angles, des figures aériennes. Le parallèle vient du site, d'un bord qui se relève entre de lointains bleus et les poudreux. Une anfractuosité lumineuse, Saint-Nabor, la mire du carrier, la barre de mine et le ciseau, le regard lent d'un temps, le regard éprouvé de l'homme qui sculptent ensemble le paysage.

Le mont Sainte-Odile, l'épopée géologique et religieuse. De hautes terrasses et ce merveilleux tablier de grès qui s'étend loin au nord et qu'un jour tardif resserre, chapelle ou rosace, mur païen ou sablier, le bénitier d'une cathédrale. C'est la rose de Strasbourg et l'indigène, Rosheim ou la frise lombarde, l'art roman des longues suites enroulées dans un chapiteau, le défi à reprendre et qui se livre, abside et flèche, ligne d'horizon. Dans la tournure des heures,

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le livre de paix, la clef, une croix, le tourment pacifié des nuits guerrières tandis que, dehors, passion humaine, un campement brûle, sans le droit d'asile, avec ses femmes, ses enfants, ses bêtes, le carnassier qui hurle ou, matin froid, le goût, le dépôt des cendres.

C'est aussi la vie plane du pays rhénan, le champ de blé, le lin, l'orge, la géométrie d 'un arpent, son esprit, sa beauté. Benfeld, Sélestat, Obernai, un jardin de fleurs, le parfum des mets, des épices, délices à promener comme la sève au printemps, le miel à l 'automne, le bruissement des mots, le lever également des formes que le regard surprend. Noël, des petits fours en forme de cœur, de trèfle, de croissant lunaire et le grand cône, l 'arbre, le sapin ou l'épicéa. Toute blanche l'inscription, la place poudreuse, sucre ou neige, le fondant dans la bouche et sur la joue de l 'enfant qui s'échauffe à battre joie, à se frotter les mains, bonhomme et cri, air frais et chapeau de neige.

Sur la carte murale, parmi les départements, le Bas-Rhin, limitrophe du vermillon et du bleu, le secret et le fleuve, la voyance des retours. La source, mémoire océanique dès le roulement de l'eau dans la marmite d 'un torrent, couvée mauve dans la balance du

crépuscule et de l 'aube. À nouveau océan, caresse des chaumes, des pins qu 'un miracle va décoiffer, subtiliser, répandre.

a

érosol du magicien, alambic du poète, essence, semence, philtre d'amour, gorge

chaude de moines et sirop des Vosges, ils son t les h e u r e s fas tes d u n a r r a t e u r , les ind i sc rè t e s d u fabu l i s te -

p h a r m a c i e n r a m a s s a n t l ' h e r b i e r s u r la c a r t e d u T e n d r e . Il va t i r e r

d u puzz le des bois un r e n a r d , u n e m è c h e g o t h i q u e , u n c h â t e a u en ru ine , u n ossua i re , un vi t ra i l , une nef. U n a u t o m n e r o u x d a n s la

b e a u t é des v ignes .

Scherwi l l e r , D a m b a c h - l a - V i l l e , ses crus , ses c o t e a u x , Sa in t -

S é b a s t i e n , le s a n c t u a i r e d ' u n e ba t a i l l e p e r d u e , d ' u n vi l lage d i s p a r u

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après le massacre. Une guerre de trente ans. Une guerre de paysans. Elle laissera des traces, un appel et rappel des noms. D'anciens, de nouveaux : Steige, Neubois, le témoin germanique; français, Ran- rupt, Blancherupt, torrent rude, fierté ancienne, un début, un vieil homme et l'arbre.

Un même trait relie flèche et cible. Qu'il s'agisse du peintre Mantegna ou de Grünewald, Sébastien, le soldat d 'Empire survit à son exécution mais il ne cessera de guetter, de viser sa propre mort comme nombre d'artistes. Un même bois tors exprime la douleur et la joie intense, la clarté savante qui donne au martyr la double voyance du désir et de l'ironie. Elle articule une leçon que n'ont point dédaignée les jésuites, Vierzehnheiligen ou le nôjaponais, les repreneurs d 'un ordre, la lumière et la règle de saint Benoît.

Pays prodigue, vision captivante, un saint, Sébastien, va nous entourer d'images et de reliques, mais, privé de pouvoir, il sera condamné à revivre un commencement, une parole inachevée, une mort douteuse. Vision captive, il s'étonne encore du penchant de la plaine, des routes, des légendes à courir un massif, à mordre sur les vallées, les défilés, à s'insinuer crypte minérale ou crypte guerrière.

Fortin primitif, meurtrière et socle, voie impériale et romaine, château d 'art et livre, campement de César, Cité de Dieu, citadelle de Vauban, la stratégie d 'un Clausewitz sera à jamais présente: mouvement rapide, raccourci d 'un rapport financier, sobriété d 'un mur retenant tel nom, telle date, une échéance, la peur même d'exister.

Au carrefour des flèches, des regrets, ce regard encore nous touche, doublé par le parfum de l 'aube, d 'un grès qu'elle retouche à la hauteur du couvent. Sainte Odile sublime la rose d 'un buisson,

d 'un livre, nocturne, épineux comme le testament du peintre. Grünewald, le testament d 'une misère, d 'un éclat qui la couronne, lumineux.

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c

'est un pays ordonné au cadran des gloires qui refait surface : éventail de routes, appui

solaire, longévité d 'un fleuve, éloge d 'un vignoble et du Rhin. Un même lacet renoue et relâche l'ivresse du jour. Erstein, la route du sucre, Fégersheim, la route du tabac, Krautergersheim, celle du chou. La choucroute, elle aussi, se cuve, bain acide dans un grès feldgrau rendu lumineux par une jetée de sel dans la fournaise, ce beau bleu et gris. Après la cuisson il permettra à la ménagère de soulever la choucroute comme une chevelure, de glisser éthersels et motifs de joie sous la broderie et le tricot, de briquer le laiton, la bassine de cuivre, de se déposer enfin elle- même, molle, forte, sur un édredon de bonheur, forte de l'aisance et du regard des dieux tapissant le foudre à vin, le merveilleux dépôt, le merveilleux exemple d'élévation, et d'alchimie que le mari, ami, amant sont invités à suivre.

Un corps glorieux, un corso fleuri Sélestat, le relais de Saint-Dié, de Conques, et qui se double: Sainte-Foy! Saint-Georges! Le rappel roman, l'ogive, le casque des Goths conviennent à la charge pathétique de l'archange. Fichant sa lance au coeur du patrimoine, l'école de latin, une bibliothèque humaniste, une renaissance toujours possible. Ces livres et ces tracts s'impriment au fiel ou à l'encre dans le fil parfois embrouillé des libertés et des récrimina- tions allemandes : ils iront par le col du Brenner et du Saint- Gothard contre de coûteuses indulgences, contre un pape qui les met en coupe et soucoupe pour retourner son denier en coupole de Saint-Pierre. La coiffe des fugues païennes et d'une fougue; elle défie le sens profond du Livre. Et ce Livre, bien lu, crée le malaise, le doute. Espoir brisé en pays rhénan, un semblant de vie, la somnolence même, la ville ayant congédié ses érudits.

Ainsi Sélestat veille et dort, un peu comme le département, un œil fermé sur une belle vue, l'autre ouvert aux résédas, aux résines, aux dahlias. Avance reportée sur un char, c'est en fin de parcours la

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triangulation possible du château d'eau, en brique jaune, près de la gare, du Hohkoenigsbourg, des hauts murs de grès et du pentagone de l'Ortenbourg. Granit et ruine, donjon et grès, c'est aussi le rappel de La Grande Illusion, Pierre Fresnay en sa parole distinguée, Eric von Stroheim en sa minerve, tous deux, château ou cinéma, patronnant une montagne de singes, une volerie d'aigles, une garderie de cigognes. À l'ombre d'un gigantesque King-Kong, les échassiers migrateurs ne se doutent point qu'ils sont, à présent, les nouveaux indigènes, les gadgets, les figures totémiques de l'ancien et du nouveau monde, à l'entrée d'un tunnel — celui de Sainte- Marie-aux-Mines — le sens attribué à l'au-delà : western métaphysi- que, il se peut, ou laser, ruban magnétique, ruban d'asphalte, rail, escalier mécanique.

Sélestat, Ratsamhausen, Rhinau, un pays plat, presque nordi- que, entre 1' Ill et le fleuve, les bras, les canaux des eaux vives, des eaux dormantes. Génie du sol, de l'air ambiant, automne lourd, printemps brumeux, le génie nous pèse et rôde, la nappe phréati- que, la discrète réserve du Ried doublée par cette humidité qui stagne, insolite, une eau claire qui surgit. Le Bruch après quelque Giessen. C'est la mystérieuse présence et résurgence du delta souterrain qui a rendu possible la compénétration des plans et des idiomes, la jonction d'un Rhin détourné de son Midi et d'un autre, renvoyé pressé vers le nord. Sa trouée héroïque sous la lumière d'un massif schisteux, en suite du nôtre décapé de ses grès, rehaussé, écartelé qui nous redonne latitude et plaine, sur le pli des Vosges moyennes qui continuent de sculpter leurs grès, sur la fracture de Sainte-Marie, une mine d'arsenic et d'argent. Métal précieux, il fera la fortune des Fugger de la Confession d'Augsbourg, des patriciens bâlois, d'une Renaissance qui continue de hanter les esprits : épisode industriel, polar sentimental et géologique, nous nous trouvons suspendus aux gradins d'une longue faille qui nous redonne assise au bord des lacs glaciaires, qui nous redonne terrain,

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latitude d 'un étrange valoir. Notre faculté d 'éponger des dettes en les récitant, en résumant une gloire bien coûteuse, un ciel gratuit et indifférent dès que le temps se remet au beau, visage tempéré comme la reine de beauté au matin des chars.

a

n défilé, un restaurant à plusieurs étoiles : tout espace est aventureux, bouffon, sau- vage, dès le premier appétit qui envoie le

copeau dans l'œil du voyeur au premier coup de hache, sans la distinction d'un langage bien ramifié et recouvrant. Étrange parole, étrange vérité qu'il faut chercher en deçà de la belle langue, en deçà du latin de cuisine. Elle est geste du sens, parler d'images, proverbe, enseigne lumineuse, fourchette de prix et plaisirs de la table. Les piques et pointes du goût se retrouveront dans le palais même des langues.

Quel bonheur et défi ! Il se pèse à la bascule des noms indigènes, des propres et des communs. Du celto-rhéno au rhino-pharingien, du verset biblique au guttural suisse :« Schangelé ! d'Schangi ! », du royal allemand au bleu roi, ciel de lit, ciel profond, tous deux confondus, la main sur le cœur, la main sur le corsage. La parole osée ne viendra bien souvent qu'après le geste. Ou à défaut. Dommage ! Mais c'est un bonheur également : le silence, pouvoir ruser à égalité avec trois langues : le français, l'allemand, l'alsacien notre idiome local. C'est là, dans la faille, que se découvre la perle du sens, l'ivoire du sourire. De saintes femmes, les Marie, Odile, Herrad ou Jeanne, nous apprennent à sublimer la peau du cou avant de nous attaquer à la cheville, ou à caresser la reliure du livre à défaut de peau de serpent. Le tissu conjonctif s'étend ainsi de la couche aux carreaux de faïence, du tapis de sol à la garniture du lavabo. Intérieur de tradition, assiettes peintes, pendules, paysages marquetés, lampes soyeuses, d'une intimité désarmante qui vous rend muet devant les beautés froides et le silence des anciens. Un

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grand-père mort en 14, décoré à titre posthume, un beau-père élu au conseil des prud'hommes.

Ce sont les clubs sportifs, le disco, la moto, la place forte du métèque heureux, le rock, le brouhaha des gares qui finissent par crever le tissu des convenances, une urbanité déjà somnolente. La pétarade d 'une mobylette remplace le chapeau à plumes, le sifflet à roulette, l'insigne du conscrit fort du bon à tirer qui ne sait si on l'envoie au champ d'honneur, à la casse ou au foyer des jeunes.

Ce ne sont point les mots seuls qui occupent le terrain. L'Alsace est le merveilleux livre que nous avons fréquenté à travers les calendriers et l'imagerie populaire, que nous avons découvert à pied, à bicyclette, en voiture, sur les sentiers des Vosges, de la forêt du Rhin, d'est en ouest sur les chemins de halage, le long des canaux ou, nord-sud, sur la grande digue du Rhin. Paysage faulknérien, de hautes herbes et des joncs, les mosquitos, un marais verdoyant derrière une bordure d'arbres, quelques iris jaunes, le silence traqué qui ne se résout qu 'à l'envol d 'une poule d'eau, d 'un canard sauvage.

La carte muette du Bas-Rhin comporte cinq cent dix-neuf hameaux et villages répartis autour d 'un blanc domanial : la forêt de Haguenau avec ses chênes mythiques. Le refuge de Saint- Hubert , l 'ermitage de Saint-Arbogast et, un peu plus loin, quelque lac ou étang auprès duquel un François d'Assise, le franciscain ou capucin met un genou à terre pour jouer sur deux branches, la fine ramure blanche et le rameau de noisetier, ces airs qui ne s 'entendent et ne se comprennent que mentalement.

C'est aussi le souvenir des Hohenstaufen si étrangement dis- persés que de la mafia des Guelfes, des châteaux siciliens aux chevaliers teutoniques, il nous faut suivre un chapelet de ruines et de forteresses, revenir par l 'Ortenberg au Bernstein, aux châteaux d'Andlau, d 'Ot t rot t pour contourner le rocher de Dabo et repren- dre pied sur le Haut-Barr dominant Saverne, y saluer la tour du

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A t r a v e r s v i l l a g e s , f o r ê t s , c h â t e a u x ,

m u s é e s , s i t e s e t o u v r a g e s d ' a r t ,

d e s i t i né ra i r e s p a s s i o n n é s , s a v a n t s

e t l u d i q u e s à la f o i s , p r o v o q u e n t

l a m é m o i r e e t la c u r i o s i t é d u

v o y a g e u r e t d u l e c t e u r , l ' i n c i t e n t

à s a v o u r e r les r i c h e s s e s e t g o u r -

m a n d i s e s d e n o s p r o v i n c e s , à r e n -

c o n t r e r d e s g e n s d ' a u j o u r d ' h u i , à

f l â n e r d a n s t o u s c e s " p a y s " à f o r t e

i d e n t i t é .

p é r i p l e

l e n t e s

p a r

u n

Avec des cartes IGN en couleurs, des croquis d'itinéraires,

d e s h ô t e l s e t r e s t a u r a n t s d e

c h a r m e , des ad re s se s de bons vins

e t p r o d u i t s locaux.

Une série sur les "pays" de France.

Premiers titres disponibles : L'Alsace

N o r d , L 'Anjou , Le Beaujolais - Le

Mâconnais - La Bresse , Les Céven-

nes , La C h a m p a g n e , Le Pér igord

Noir , Le Roussi l lon, Le Trégor .

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sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l’exploitation des Livres Indisponibles du XXe siècle.

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