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Journal municipal de la ville de Malakoff N° 206 Déc. 2006/Janv. 2007 p. 8 p. 18 p. 26 Bonne fin d’année

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Journal municipal de la ville de MalakoffN°206 – Déc. 2006/Janv. 2007

p. 8

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Bonne find’année

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Une étude de l’INSEE sur lesrevenus et le patrimoine desménages montre que plus

d’un Français sur cinq, soit près de10 millions sont touchés par la pau-vreté et que la majorité des ménagesvit de revenus modestes. Cette situa-tion est liée aux conséquences des politiques libérales quiorganisent la flexibilité, la précarité, le démantèlement desservices publics et de la protection sociale. Plus que jamais, ilest nécessaire qu’un vent de solidarité souffle sur notre payset qu’une meilleure répartition des richesses, portée par unevolonté politique forte, intervienne enfin.Pour notre part, à Malakoff, nous nous attachons à ce que lasolidarité ne soit pas un vain mot et qu’elle s’applique toutau long de l’année. A titre d’exemples, je citerai : l’applica-tion du quotient familial à de nombreux services aux usa-gers, les soins de qualité accessibles à tous au centre de santé,le taux de 40 % de logements sociaux sur la ville, les activitésdiverses offertes aux seniors, le soutien financier et logistiqueaux associations, notre participation aux grandes actions telle téléthon…Bien entendu, nous souhaiterions pouvoir faire encore plus etmieux,mais nous sommes limités par le problème des finan-ces locales. Elles nécessitent une réforme ambitieuse, allantdans le sens d’une plus grande justice, enmettant à contributionla sphère financière aujourd’hui sous-fiscalisée, afin de répon-dre aux besoins de la population, de maintenir et développerles services publics locaux.Cependant, nous sommes déterminés à poursuivre une poli-tique de solidarité, de justice et d’égalité qui permette au plusgrand nombre d’habitants de toujours mieux vivre ensem-ble à Malakoff.Je veux remercier ici chaleureusement tous les partenairesque sont les agents des services municipaux et de tous les ser-vices publics, les responsables d’associations locales qui nousaccompagnent, au quotidien, dans cette volonté de rendreeffective la solidarité.Enfin, en cette période, je souhaite à l’ensemble des habitantsdeMalakoff un joyeux Noël et d’excellentes fêtes de fin d’an-née.

Catherine Margaté,Maire, Conseillère générale des Hauts-de-Seine

« Solidairesensemble »

Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 3

MOTDU

MAIRE

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Anciens Combattants :une mémoire en éveilA l’entrée de la Maison de lavie associative, un espace demémoire dédié aux victimesdes guerres. Tout un symboleaux yeux des AnciensCombattants pour qui ledevoir de mémoire est uncombat essentiel.

Sud-de-Seine :deux ans déjà !La communautéd’agglomération se met peuà peu en place. 2007 verra lamise en œuvre de diversprojets.

Malakoff infos e-mail : [email protected] - Tél. : 01 47 46 75 00.

Journal municipal de la Ville de Malakoff. Directrice de publication : Josette Pappo – Directeur de la com-munication, rédacteur en chef : Pierre Veillé – Rédaction : Anne Bléger, Marie-Renée Lestoquoy, LaurianeServat, Céline Roulland – Photos : Séverine, Antoine Bertaud – Conception graphique : 21x29,7 –Maquette : Jacques Colon – Photocomposition, photogravure, montage et impression : LNI – Publicité :HSP 01 55 69 31 00, Chantal Gaudart.

Le numéro 207 paraîtra à partir du 23 janvier 2007

4 > TRANSPORTSNouveau rythme pour le 323.Top départ pour le T3.Métrophérique.

18

Santé scolaire : mieuxvaut prévenir.Malgré des conditionsdifficiles, infirmières,médecins et secrétairemédicale scolaires assumentun rôle décisif deprévention au service desélèves.

8Une opération bénéfique pour laville.

6 > ÉQUIPEMEMENT

12Malakoff-Village.L’Uni-Vers.Jingdan : une société qui semuscle.

> ÉCONOMIE

7Une ville universitaire.

> ENSEIGNEMENT

Tribune des groupes représentés auConseil municipal.

22 > OPINIONS

Internet : du nouveau en ligne.Sécurité routière.

10 > À TRAVERS LA VILLE

Noël pour tous.Voter nous concerne.

15 > À TRAVERS LA VILLE

Le recensement, utile et obligatoire.28 > À TRAVERS LA VILLE

29Vie pratique et associative.

> INFOS

23Etienne Dolet : de la rue au timbre.

> HISTOIRE

25Du sucre dans la machine…Claude Viallat.

> CULTURE

27Amitié-Nature :60 ans que ça dure !

> LOISIRS

16 > IMAGES

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4> Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007

TRANSPORT

Nouveau rythmepour le 323Fin octobre, les riverains du boulevard de Stalingrad étaient conviés à une réuniond’information. L’objet : les transformations de voirie visant à fluidifier et amélio-rer la desserte du bus 323.>Avec sept kilomètres de trajet, le 323est une ligne de bus à la régularité toutealéatoire. S’étant vue conférer l’appella-tion de“transilien’’, elle faisait, depuis unan, l’objet d’une étude attentive de la partd’un comité d’axe, qui réunit la RATP, lesconseils généraux et des élus des commu-nes traversées. Cet examen débouche surdes solutions d’ensemble, avec commebut avéré de faire sauter, tout au long dutrajet, les obstacles préjudiciables à uneprogression régulière des bus. Pour ce quiest de la traversée deMalakoff, les problè-mes relevés concernent un stationnementanarchique et de mauvaises conditions detraversée pour les piétons. Les voiesempruntées appartenant auDépartement, c’est au Conseil général querevenait l’honneur de présenter les tra-vaux programmés. Ces derniers se décli-nent autour de l’idée maîtresse de partagede l’espace.

Un nouveau partage de l’espaceLe projet, désormais complètement finali-sé, prévoit, sur toute la traversée deMalakoff, le dispositif suivant : une file decirculation, doublée d’une piste cyclablematérialisée, dans chaque sens, des places

> À PROPOSPDUPartie intégrante du schéma direc-teur de l’Ile-de-France, le Plan deDéplacement Urbain prévoit unebaisse de 3 % des déplacementsautomobiles et une augmentation de2 % des transports en commun.

POUR QUAND ?Compte tenu des délais légaux pourle passage des marchés publicset des travaux, les aménagementsprévus devraient être terminésavant fin 2007, pour un coût estiméde 1 million d’euros.

Espoir pour la ligne 13Après des années de mobilisa-tion, le projet de dédoublement de laligne 13 semble enfin prendre de lavitesse. Le 20 septembre dernier, unvœu en faveur de cet aménagement aété voté par le conseil d’administrationdu STIF (Syndicats des Transports d’Ile-de-France). Le 30 novembre, le finan-cement d’une étude pour le dédouble-ment de la partie nord de cette ligne aété soumis au vote du Conseil régional.Le maire de Malakoff se réjouit qu’onprenne enfin en compte la souffrancedes usagers de la ligne 13, en s’orien-tant vers des solutions à long terme aupoint noir du réseau de métro.

de parking enclavées, des refuges poursécuriser les passages piétons et la réfec-tion des trottoirs. Les bus, pour ne pasperdre de temps, s’arrêteront en pleinevoie et seront accessibles aux personneshandicapées en fauteuil. Une fois les tra-vaux réalisés, les concepteurs de ce planescomptent une vitesse plus rapide desbus et, par conséquent, la possibilité, pourla RATP, d’augmenter les services et les

fréquences. Progrès que les usagers serontà même d’apprécier : un système leurdonnera, en temps réel, le délai d’attentepour le prochain bus. Par ses questions, lepublic a confirmé son intérêt pour lesprogrès attendus.Deux associationsreprésentant les cyclistes se sont félicitésde l’élément demaillage supplémentairequi sera apporté à la circulation des vélosdans la traversée deMalakoff.

Trajet du 323dans la traverséede Malakoff.

PrésentationauxMalakoffiotsdesaménagementssur le trajetdu 323.

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Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 5

TRANSPORT

> Enfin, il roule ! A partir du 16 décem-bre, le tramway desMaréchaux accueille àson bord les usagers, sur un parcours deprès de 8 kilomètres entre le pont deGarigliano et la porte d’Ivry.Après destravaux de grande ampleur, qui ont mobi-lisé près de 2000 hommes et 300 entrepri-ses, les boulevards desMaréchaux offrentunmoyen de transport plus rapide et éco-logique et un cadre de vie plus agréablepour tous.Moins de pollution,moins debruit, l’ancienne autoroute urbainedevient un espace de promenade, avecpistes cyclables et espaces verts. Tous lesjours, de 5 h à 0 h 30, le tramway desservi-ra 17 stations et devrait permettre ledéplacement de 100 000 voyageurs, soitdeux fois plus que les anciens bus.Malakoff fait partie des sept communeslimitrophes de Paris qui bénéficieront decette amélioration de la desserte.

La station Porte de Vanves :Cette station du tramway permet derejoindre la ligne 13 dumétro et les lignes

Un projet de rocade de métro autour de Paris,rebaptisé métrophérique, est lancé par laRégion Ile-de-France et la RATP.

Métrophérique, tel est le nouveau nomd’un ancien projet de rocade demétroautour de Paris, aujourd’hui remis sur lesrails. Le 9 novembre dernier, à l’issue de ladeuxième réunion de la Conférencemétropolitaine, le président de la RégionIle-de-France a expliqué qu’un consensuss'était dégagé pour inscrire le métrophé-rique au contrat de projet Etat-région2007-2013.Devant les élus des collectivi-tés d'Ile-de-France venus débattre de l'a-venir des transports dans la région, Jean-Paul Huchon a précisé que les premièresétudes devraient s’intéresser au tracé duparcours dans les Hauts-de-Seine et dansleVal-de-Marne.

Désengorger le traficLe nouveau PDG de la RATP, Pierre

Métrophérique

Mongin, avait relancé début octo-bre l’idée de cette rocade demétroautour de Paris, anciennement baptiséeOrbitale. En reliant entre elles différentescommunes de banlieue, à deux ou troiskilomètres du périphérique, cette quinziè-me ligne demétro permettrait de sortirdu système actuel obligeant les voyageursà passer par la capitale pour aller de ban-lieue à banlieue. Longue d’environ 40kilomètres, la rocade souterraine desservi-rait La Défense, Saint-Denis,Montreuil,Bagneux, Issy-les-Moulineaux, etc. Lesdéplacements mécanisés dans la petitecouronne se font aujourd’hui à plus de75% par automobile et une étude del’APUR (Atelier Parisien d’Urbanisme)prévoit une forte augmentation desdéplacements à l’horizon 2020. Ce futur

Question de financementReste à présent à remporter la bataille dufinancement. Lors de la Conférence métropolitainedu 9 novembre, le maire de Paris dénonçait ledésengagement "absolument scandaleux" del'Etat sur les transports franciliens. «Pour réaliserle métrophérique, nous avons besoin de finance-ments nouveaux.», a renchéri Jean-Paul Huchon.Évalués aujourd’hui à 4 milliards d’euros par laRATP, les travaux du métrophérique pourraientêtre lancés en 2010-2012 pour s’achever dans20 ans.

transport collectif permettrait d’éviter unengorgement du trafic dans la petite cou-ronne et dans Paris intramuros.

de bus 58, 95 et 191. Les voyageurs sont à8minutes du terminus du Pont duGarigliano, à 16minutes du terminus de

la Porte d’Ivry, à 4 minutes du Parc desExpositions, à 8 minutes du ParcMontsouris, etc.

Un tramway très urbain : accès libre et gratuit du samedi 16 décembre (14 heures) au dimanche 17 décembre (19 heures).

Top départpour le T3 !

Le T3, du pont duGarigliano à la porte

d’Ivry.

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6> Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007

ÉQUIPEMENT

Une opération bénéfiquepour les habitantsUn beau projet va voir le jour sur le terrain du centre de santé Marie-Thérèse. Ilcomporte, outre la reconstruction du centre très apprécié des familles de notreville, la création d’une structure pour handicapés mentaux adultes par laFondation Michelle Darty.

> REPERESLe centre Marie-Thérèse, avant sa fermeture,employait 45 personnes et accueillait34000 patients. Son projet est d’en accueillir45000, après reconstruction. Les emplois créés parl’ouverture des foyers pour personnes handicapées,fin 2008, sont estimés entre 40 et 50 personnes,composées principalement d’éducateurs.

> Le centreMarie-Thérèse, parce qu’ilne répondait plus aux normes, a ferméprovisoirement ses portes, rue Gambetta.Ses activités se poursuivent temporaire-ment de l’autre côté du périphérique, rueRaymond-Losserand. Le temps d’unereconstruction rendue possible au terme

d’un processus long et complexe, démarréen 2003.Décider la reconstruction ne suf-fisait pas ; encore fallait-il rendre la déci-sion réalisable, car l’associationMarie-Thérèse ne disposait pas des moyensfinanciers pour mener en solo cette opé-ration lourde. Seul un partenariat pouvaitlui permettre de rentabiliser aumieux leterrain dont elle est propriétaire ; terrainqui, pour mémoire, accueillait le centre desanté et la ProtectionMaternelle etInfantile. C’est alors qu’elle trouve sur sonchemin la FondationMichelle Darty, dontl’essentiel de l’activité concerne la défi-cience mentale et le handicap. Cette der-nière cherchant un site dansle sud des Hauts-de-Seinepour y réaliser des lieux devie pour handicapésmen-taux adultes, le montagepouvait, théoriquement,voir le jour.Au détail prèsque la surface du terrain nepermettait pas de tout réali-ser. Pour passer à la pra-tique, il fallait le sérieuxcoup de pouce de laVille,mettant à la disposition duprojet le terrain sur lequelétait construit le centre deloisirs desMarronniers.

Le rôle décisif de la VilleLa vente de ce terrain à la FondationMichelle Darty permettait au projet deprendre une dimension définitive,concrètement et financièrement viable.D’une part, l’intervention rend définitive-ment possible la reconstruction du centrede santé auquel laVille est très attachée.Avec sa surface de 1 000m2,Marie-Thérèse va pouvoir améliorer considéra-blement l’accueil des patients, les condi-tions de travail du personnel. Le centre vapouvoir donner corps à son objectifd’augmenter d’aumoins30% ses activités médicales et d’élargirl’offre de ses spécialités. Par ailleurs, sur5 200m2, la FondationMichelle Darty varéaliser deux foyers de 30 chambres cha-cun, l’un pour jeunes adultes handicapés,l’autre pour handicapés adultes vieillis-sants. La reconstruction de l’équipementenfance jeunesse desMarronniers, nepouvant se faire in situ, continue à fairel’objet d’études qui déboucheront sur uneproposition concrète dans les prochainsmois.

Mise en perspective des foyers Michelle Darty,à l’angle des rues Gambettaet Maréchal-Leclerc.

Le projet de reconstructiondu centre de santé Marie-Thérèse.

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Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 7

ENSEIGNEMENT

Malakoff,une villeuniversitaireEntre la station de métro Plateau-de-Vanves et l’avenue Pierre-Larousse, le chassé-croisé de centaines de jeunes gens prend, aux heures de pointe, des alluresde chenille processionnaire. Les gentils envahisseurs sont les pensionnaires de lafaculté de Malakoff.

> La Faculté deMalakoff est l’une descomposantes de l'université RenéDescartes Paris 5. Cette énorme entité,comprenant 10 Unités de Formation et deRecherche (UFR), couvre l'ensemble desconnaissances en sciences de l'homme etde la santé. Seule université francilienneréunissant médecine, pharmacie et den-taire, son pôle santé est reconnu enEurope et dans le monde. La Faculté deDroit de Paris V, créée en 1976, est venueformer, au sein de l’Université, un qua-trième groupe de disciplines, à côté de lamédecine, de la pharmacie et des scienceshumaines. La faculté deMalakoff attire,chaque année, plus de 3 700 étudiantspour suivre des études de droit ou d’éco-nomie et de gestion.

De nouveaux contenusDepuis 2004, elle est engagée dans laréforme commune à l’Union européennedite LMD (Licence,Master, Doctorat). Lalicence demande trois ans ; le master pro-fessionnel ou de recherche se déroule endeux années, avec sélection à l’entrée de laseconde ; le doctorat, enfin, aboutit entrois ans à la soutenance d’une thèse.Acette occasion, la Faculté a amélioré sesprogrammes et sa pédagogie. Une placeimportante est consacrée à la méthode etaux langues. La filière "économie-ges-tion", qui débouche sur des licences géné-rales ou professionnelles, fait l’objet d’uneattention renouvelée : accompagnementde l’étudiant tout au long du cursus,apports de la pluridisciplinarité et obliga-tion de deux langues vivantes.Au-delà de l’acquisition des connaissancestechniques nécessaires aux "métiers du

droit", les programmes prévoient la priseen compte, dans la notation, des activitésdites “d’ouverture” : sports, vie associative,activités culturelles ou actions de solidari-té sociale.

Entre droit, économie et gestionPour Jean-PierreMachelon, doyen de laFaculté, «Il s’agit d’objectifs ambitieux.Dans cet établissement à taille humaine,

les études, conduites parun corps enseignant dontla qualité est reconnue,sont caractérisées par uneffort spécial d’encadre-ment et un souci d’ou-verture vers les questionseuropéennes et interna-tionales, inscrit dans leprojet d’établissement deParis V.Après deuxannées d’études, une par-

tie du cursus peut être accomplie àl’étranger.»

Dès la licence, le cursus peut débouchersur des emplois potentiels grâce à des for-mations professionnelles. En premièreannée demaster, des stages peuvent, danscertaines conditions, remplacer des exa-mens. L’année suivante, une formationouvre les portes des principales carrières

du droit, tels avocats etavoués,magistrats, juristesd’entreprises, notaires, huis-siers, etc., et celles desmétiers de la finance et dumanagement, de la compta-bilité et des ressourceshumaines. Enfin, d’autresvoies, comme la préparationaux principaux concoursadministratifs, l’accès à l’en-seignement supérieur et à larecherche, sont égalementouvertes.

En chiffres96 enseignantsstatutaires,28 ATER-moniteurs400 intervenantsextérieurs,50 personnelsIATOS (person-nels non ensei-gnants),45 partenariatsavec l’étranger.

Jean-Pierre Machelon, Doyen de lafaculté, lors de la rentrée solennelle.

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8> Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007

SANTÉ

Infirmières, médecins et secrétaire médicale scolaires, elles ont pour mis-sion de suivre la santé des élèves de tous les établissements de la ville.Malgré le manque de temps et de personnel, grâce à un travail en parte-nariat, elles assurent un décisif travail de prévention.

Santé scolaire

Mieux vaut prévenirLa préventionest le premier

objectif de lamédecine scolaire,qui n’est ni unemédecine de soins niune médecined’urgence.»

« «Je travaille dans unevingtaine d’établissements scolaires : lecollège Henri-Wallon et les écoles s’y rat-tachant, le lycée Louis-Girard et une par-tie du secteur de Vanves.», explique leDocteur Le Guyadec, l’un des deuxméde-cins scolaires de Malakoff. Présente unedemi-journée par semaine au collège, ellepasse environ une journée par mois danschacun de ses autres établissements, assu-rant consultations, bilans de santé etactions informatives. L’infirmière scolai-re, Cécile Lablée, doit elle aussi relever ledéfi de ce travail de prévention à grande

Une pratique difficile

C écile Lablée et le Docteur Le Guyadec sont unanimes :elles sont de plus en plus sollicitées, et les bilans desanté, qui se sont approfondis (avec par exemple la

détection des troubles du langage, de la dyslexie ),représentent un très lourd investissement. «On a de plus enplus de missions pour de moins en moins de moyens et depersonnel. Cela ne nous laisse pas assez de temps pour lesuivi des élèves et l’éducation à la santé. Le risque est dene plus répondre qu’à des problèmes ponctuels, dansl’urgence.», regrette le Docteur Le Guyadec. Avant, lemédecin pouvait recevoir tous les enfants de 3ème ;aujourd’hui, il ne voit que ceux ayant des soucisparticuliers. Les difficultés d’organisation sont parfoisaccrues par des problèmes de recrutement, liés auxconditions de travail plutôt difficiles et aux salaires peuélevés. Ainsi, l’infirmière du secteur du collège Paul-Bertn’a été recrutée qu’en novembre. Dans le même temps, oncompte de plus en plus de vacataires et, en l’absence decréation de postes de titulaires, certains secteurs sontprivés de médecin scolaire.

*

échelle. Travaillant sur un secteur géogra-phique plus restreint, c’est elle qui fait lelien entre les élèves, les enseignants et lemédecin.

Mission préventionLa prévention est le premier objectif de lamédecine scolaire, qui n’est ni une méde-cine de soins ni une médecine d’urgence.«L’accueil des élèves est notre premièremission. On a un rôle relationnel et édu-catif avant tout.», explique Cécile Lablée.Un bilan est fait pour tous les élèves degrandes sections maternelles, afin dedépister toute anomalie pouvant gênerl’apprentissage de lalecture et de l’écri-ture. Les élèves deCE2 et de 5ème ontégalement droit àun bilan infirmier,avec dépistage visuelet auditif, contrôledu poids, entretiensur le bien-être à l’é-cole et à la maison.Quant au médecinscolaire, elle rencon-tre les élèves qui luiont été signalés parl’infirmière ou l’é-quipe éducative. Elle effectue un bilanpour les élèves de troisième s’orientantvers des formations techniques et lesmineurs du lycée professionnel quimanient des machines dangereuses.Surtout basée sur des relations indivi-duelles, la prévention passe parfois pardes actions collectives. «L’infirmière sco-laire impulse des actions de santé selonses propres constats, les demandes desenseignants, les circulaires ministérielles,etc.», note Cécile Lablée. «En ce moment,on travaille sur la vie relationnelle, lanutrition et les conduites à risque.», pré-

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Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 9

SANTÉ

cise-t-elle. «Dans l’ensemble, notre travailest cohérent si l’équipe est au complet :infirmière et médecin scolaires, secrétairemédicale et assistante sociale.», conclue-t-elle.

Un étroit partenariatLe travail en partenariat est au cœur duréseau de prévention. L’infirmière et lemédecin font pleinement partie de l’équi-pe éducative : elles participent, avec lesenseignants, la direction des établisse-ments, les parents, la commission hygièneet sécurité, le comité d’éducation à lasanté et à la citoyenneté etc., au suivi des

élèves, de leurséventuelles difficul-tés, de l’absentéis-me. L’infirmière tra-

vaille sous l’autoritéde la direction del’établissement. «La

direction a un rôle d’alerte quand les pro-fesseurs principaux ou le conseiller prin-cipal d’éducation soupçonnent des diffi-cultés particulières ou des problèmes demaltraitance.», explique Gilbert Crépin,principal du collège Paul-Bert. C’est à lademande des enseignants ou de l’admi-nistration que l’équipe médicale reçoitcertains élèves, qu’ils pourront ensuiteorienter vers la psychologue ou l’assistan-te sociale.Les enseignants, quant à eux, ont un rôleéducatif de plus en plus important à jouerpour la prévention, même en matière de

santé. Cécile Lablée se réjouit de ce travailen réseau au sein des établissements sco-laires, mais aussi avec des services exté-rieurs comme la PMI (ProtectionMaternelle Infantile), le Planning familial,le CMPP (Centre médico-psycho-péda-gogique), etc. En matière d’actions deprévention collective, les intervenantsextérieurs, comme le centre Chimène(pour la toxicomanie) ou la Croix rouge,se font les relais de l’équipe médicaleauprès des classes. Car les médecins etinfirmiers scolaires ont de moins enmoins de temps pour organiser ce typed’interventions.

Les nouvelles prioritésMalgré le manque de temps et de person-nel, l’équipe médicale doit faire face auxbesoins toujours importants en matièrede prévention. «Face à des problèmes desanté liés au changement de mode de vie,tels les déséquilibres alimentaires et lamontée de l’obésité, nous devons réfléchirà de nouvelles actions.», observe le princi-pal du collège Paul-Bert. Le Docteur LeGuyadec constate, elle aussi, une progres-sion des troubles et allergies alimentaires,ainsi qu’une augmentation des demandesd’examens médicaux pour des difficultésde comportement chez les plus jeunes(agitation, manque de concentration),des cas de dépression chez les adolescents.«Les enfants sont les premiers à pâtir desproblèmes familiaux, du contexte écono-mique et social. Ils vivent mal les sépara-tions, les conflits, le manque de place, etc.Ces problèmes sont aujourd’hui plusaccentués qu’auparavant. Et puis, il y atoujours la question de la violence, dumanque de respect de l’autre et de la dif-férence.», note-t-elle. La prise de risque enmatière de sexualité et la consommationd’alcool et de cannabis sont d’autresdomaines à ne pas négliger.

Un rôle décisifSur ces différentes questions, les jeunesont parfois l’impression de tout savoir,remarque l’équipe médicale. D’où l’im-portance de parler avec eux de certainssujets, de répéter et répéter quelquesinformations claires et concrètes. Pourl’infirmière Cécile Lablée, plutôt que de seconsacrer à des soins dépassant le cadredes établissements, la médecine scolairedevrait revenir à plus de prévention etd’éducation. «Les jeunes ont d’avantagebesoin d’écoute aujourd’hui. C’est bienqu’ils aient un autre référent adulte qu’à lamaison pour suivre ensuite leur proprechemin.», observe-t-elle. Comme elle, leDocteur Le Guyadec se réjouit de labonne écoute des élèves et de leursparents et croit en cette mission éducativecar, «s’il reste toujours beaucoup à faire,ce travail avec les enfants est porteurd’espoir.»

{ JOURNEE SIDAForum santé jeunesseLes 30 novembre et 1er décembrederniers, à l’occasion de la Journéemondiale contre le Sida, le servicemunicipal d’hygiène et santé organi-sait un forum santé pour les jeunes,en partenariat avec l’Éducationnationale et la médecine scolaire.Chaque année, les professionnels desanté rencontrent les élèves de 3ème

pour parler avec eux de prévention,d’Infections SexuellementTransmissibles (IST), de sexualité etde contraception. Le Docteur Cœur-Joly, du Centre Municipal de Santé,insiste sur l’importance dece rendez-vous annuel,tout en regrettant lemanque d’actions deplus longue durée.«Chez de nombreuxjeunes, il y a uneméconnaissance dela sexualité, une dif-ficulté à en parler.Ces dix dernièresannées, je consta-te un recul de l’in-formation sur leSida ; depuis ledéveloppementdes traitements,les jeunes sontmoins sensibili-sés à ces ques-tions.»,remarque-t-il.

Grâce àdifférents testsd’acuité visuelle,le médecin scolairedétecte des troubleséventuelschez les élèves.

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10> Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007

ÀTRAVERSLA VILLE

Site Internet

Du nouveauen ligneEn un clic, vous y

êtes. Le site

Internet de la ville

vous permet

d’être au courant

de tout ce qui se

passe à Malakoff,

à toute heure, de

n’importe où.

O util de commu-nication indis-pensable au-jourd’hui, Inter-net fait partie

de notre quotidien. Créé fin2002, le site www.ville-mal-akoff.fr a connu quelques évo-lutions.De nouvelles rubriques sontapparues. De nouveaux servi-ces ont été mis en ligne.

L’histoire sur la toileLa rubrique“Au fil des rues”quifigurait dans le Malakoff Infosest maintenant accessible surInternet sous le nom “Histoiredes rues”. Cette rubrique, trèsappréciée, a été enrichie, com-plétée et agrémentée de photos.Une autre nouveauté est aussiapparue sur le site de la ville : ils’agit du téléchargement desMalakoff Infos. De nombreusesvilles du département propo-sent la consultation en ligne deleur magazine municipal.Malakoff a repris l’idée et, dé-sormais, l’ensemble des habi-tants et des non Malakoffiotspeuvent consulter et téléchar-ger des articles desMalakoff Infosantérieurs.Cette initiative répon-dait à une attente des utilisa-teurs. «Pour les ex-Malakoffiots,qui ne reçoivent plus le journald’informationmunicipal, c’estun moyen de garder le contactavec la ville, de toujours être aucourant de ce qui s’y passe»,nous confie Anne, la webmas-trice. Par ailleurs, la numérisa-tion des anciens numéros dumagazine participe à l’archiva-ge et à la conservation de l’his-toire de Malakoff.

«Régulièrement, des gens vien-nent nous voir pour récupérerun article ou un ancien numé-ro. Maintenant, ils peuvent lestélécharger depuis chez eux».Ce travail demise en ligne prenddu temps.Pour l’instant, seuls lesexemplaires de 2005 et 2006 sontconsultables.

Le développement desservicesDepuis un an,de nouveaux ser-vices se sont développés sur lesite. Vous pouvez dorénavanttélécharger certains formulai-res administratifs. Par exemple,votre demande d’acte civil peut

se faire directementpar Internet.D’autresformulaires nepeuventêtremis en ligne pourdes raisons techniques.Cepen-dant, la liste despièces à fournir estmise à disposition.Ainsi, vous ne vousdéplacerez plus inuti-lement !Autre rubrique récen-te, l’espace presse s’a-dresse plus particuliè-rement aux profes-sionnels des médias.

Néanmoins, elle est en accèslibre et tous les Malakoffiotspeuvent prendre connaissancedes communiqués de presse etdes dossiers de presse envoyésaux journalistes. Pour la web-mastrice «cette nouvellerubrique facilitera les relationsavec lesmédias.C’est unmoyensimple et rapide deconnaître les prin-cipaux évènementsqui ont lieu àMalakoff».Enfin, l’annuairedes entreprises esten cours de réno-vation. En partena-riat avec lamissionéconomique, unenouvelle présenta-tion des entrepriseset des commercesimplantés sur laville va être créée.

Vous trouverez également surle site de la ville toutes les infor-mations relatives aux horaireset permanences des servicespublics, lesmenus des cantinesscolaires, le programme cultu-rel, l’ordre du jour du conseilmunicipal et bien d’autreschoses.

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ÀTRAVERSLA VILLE

La prévention,c’est malin !� Le 28 octobre, sur la place du 11-Novembre, près de 200 personnes*ont participé aux animations de“Sécurité routière” organisées par leservice Jeunesse et laMissionPrévention, en partenariat avec lecommissariat de Vanves et La CroixRouge.

� La prévention est d’autant plusefficace que les jeunes sontsensibilisés tôt aux dangers couruset aux règles de conduite. Lesanimations étaient adaptées auxtranches d’âge, pour fairecomprendre les risques aux uns etaux autres etmotiver chacun àrespecter le code de la route. Pourles plus petits, quiz photos, livretsjeux, dessins à colorier et le parcoursjalonné de signalisations du “villageroutier”. Pour les 7 à 15 ans, lapratique des rollers, skates et BMX.A partir de 12 ans, des simulationssur ordinateurs commedans lesauto-écoles. Des adultes ont ainsidécouvert qu’ils feraient bien deréviser leur code !Au stand de la police, les visiteurspouvaient tester le fonctionnementdes radars et se déplacer avec deslunettes de simulation de l’étatd’ivresse. Avec la Croix Rouge, ilsapprenaient comment interveniraprès un accident et donner lespremiers soins : 26 personnes, dont21 jeunes, ont reçu leur attestationInitiation Premiers Secours.

� Cette journée fructueuse s’inscritdans un projet global de préventionqui inclut l’activité régulière del’atelier-vélos (ci-contre), desinterventions dans les centres deloisirs, des projets de balades, etc.A suivre !

* 170 enfants et jeunes (entre 3 et 18 ans)et une trentaine d’adultes.

* SÉCURITÉROUTIÈRE

> Simulation de conduite autoet test du code de la route.

> Prêts à se lancer dans l’inititiation au BMX.> Avec les lunettes de simulation d’ébriété,pas évident d’éviter les obstacles.

*Tout, tout,

tout surle vélo

>Pour rouler en sécurité, la pre-mière règle est de bien entretenirson engin.C’est ce que les jeunes de6 à 18 ans peuvent apprendre, àl’atelier-vélosmis en place par leservice Jeunesse et laMissionPrévention. Sous la direction desanimateurs, avec un stock de vieuxvélos et de pièces à leur disposition,ils s’exercent à changer eux-mêmesles roues, à resserrer les freins, à hui-ler les chaînes. Ils deviennent ainsicapables de réparer eux-mêmes leurbécane et comprennent la nécessitéde l’entretenir régulièrement.L’atelier est aussi un lieu d’appren-tissage d’une bonne conduite rou-tière. Les jeunes peuvent ensuitepartir en balade avec une bicycletteen bon état, une bonnemaîtrise decelle-ci et du code de la route.

Atelier vélos> 65, rueHoche.Ouvert le vendredi de 14 h à 18 h.Pour tout renseignement :01 47 46 77 57ou 06 03 21 70 64.

ATELIER

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12> Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007

ÉCONOMIE

{ En brefRésultats du jeu concours• 1er prix : écran plasma 42 poucesgagné par Jennifer Ayachi• 2ème prix : Home cinéma, gagné parSylvie Lefebvre

• 3ème prix : Appareil photonumérique gagné par IsabelleHenvebauve

Le tirage au sort a eu lieu le 24octobre.Nombre de participants : 20000.Nombre de commerçants adhérentsà Malakoff Village : 96.

Des commerces récompensésBoulangerie LyczacAprès avoir reçu le prix du meilleurcroissant au beurre AOC, la boulan-gerie Lyczac vient d’être classée 6ème

au Concours du Meilleur ArtisanBoulanger Pâtissier des Hauts-de-Seine. La boulangerie Lyczac n’arrê-te pas de nous faire saliver…

Médailles de la Chambre deMétiers et de l’Artisanat desHauts-de-SeineLa Chambre de Métiers et del’Artisanat a décerné des récompen-ses aux artisans suivants :Maître d’apprentissage :Henri VedeauGarage Raspail – Carrossier répara-teur à MalakoffMédaille de bronze de la FormationProfessionnelle.Apprenti : Ludovic CutinoCAP Carrossier réparateur 2006Trophée de la Chambre des Métiers.

Pour uncommerce

de proximité

D u 1er au 30 septembre, vous avez eu l’occasion deprofiter du jeu conçu par l’association MalakoffVillage, et, peut-être, de gagner de superbes

cadeaux. C’était la première fois que l’association descommerçants de Malakoff organisait une telle opération. Leprincipe était simple : chaque commerçant donnait unticket à gratter à ses clients. Ceux-ci avaient une premièrechance de gagner un sac ou un stylo si le grattage étaitfructueux, et une deuxième chance de gagner un plus groslot, si leur ticket, avec nom et adresse, était tiré au sort.Pour Miloud Sebaa, Président de Malakoff Village, et gérantdu restaurant Chez Ginna, cette opération avait pourobjectif de relancer le commerce local. C’est pourquoi, leslogan du jeu était « Faites vos courses avec Malakoff-village ». « A travers cette initiative, nous, commerçantsmalakoffiots, voulions redonner l’envie aux gens de faireleurs courses près de chez eux, souligne Miloud Sebaa. Notresouci était de les sensibiliser sur le fait que, faire sescourses ailleurs, paupérise la ville. Faire ses courses àMalakoff est un acte civique de soutien au commerce deproximité. »

* MALAKOFFVILLAGE

* L’UNI-VERS

mais non… Cette gammede produits bio et d’éco-nomie d’énergie est ven-due par le magasin l’Uni-Vers, soucieux et derespecter la santé et pré-server l’environnement.L’Uni-Vers a ouvert sesportes en décembre 2003.Il propose à ses clients despaniers, composés defruits et légumes biolo-giques de saison. Le prin-cipe est simple : vouscommandez votre panier

fruits ou légumes le mer-credi après-midi, pour lerecevoir au magasin lasemaine suivante.Des fiches recettes sontoffertes pour le plus grandplaisir des aficionados.

L’Uni-Vers21 ter, boulevardStalingrad92240 MalakoffTél. : 01 46 55 49 23www.uni-vers.net

Il protègel’environnement

L e miroir chauffantrayonnant, la brosseà dents à ions néga-

tifs, le diffuseur ioniseur,l’harmonisateur dechamps électromagné-tiques, le diffuseur d’hui-les essentielles, les ampou-les à spectre solaire,…tous ces ustensiles ont uneconsonance bien scienti-fique… Il pourrait s’agirdes accessoires du dernierépisode de La Guerre desEtoiles de George Lucas,

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Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 13

ECONOMIE

Créée en mai 2006, Jingdan Europe est une jeune start-up, implantée àMalakoff. Elle développe en France les Body-Boomers, appareils de fitnessde plein air.

Jingdan

Une sociétéqui se muscle

Depuis le 25 octobre,le parc Larousse a changé. Son sol herbacéest parsemé d’appareils colorés. Il ne s’agitpourtant pas des machines objets dusculpteur RichardDi Rosa... Il ne s’agit pasnon plus de jeux pour enfants. Ces appa-reils ressemblent étrangement à ceux quel’on voit au Gymnase club, sur lesquels lessportifs en sueur sculptent leurs biceps.Bingo ! Les machines en question sont desBody-Boomers, appareils de fitness deplein air fabriqués en Chine. La jeunesociété Jingdan Europe se lance sur lemarché pour implanter le concept enFrance et en Europe. «J’ai découvert lesBody-Boomers dans les parcs et jardins enChine, précise Adrien Dequaire, gérant deJingdan Europe. J’ai aussitôt eu l’idée dedévelopper le projet en France.» L’objectifde Jingdan Europe est de permettre auplus grand nombre de pratiquer le fitnessde plein air.

Des Body-Boomers pour tousLes Boody-Boomers ont l’avantage d’êtregratuits. Les personnes qui ne peuvent pas

s’inscrire dans les Gymnasesclubs à cause des prix élevésont donc la possibilité des’exercer dans les parcs. Lavariété des exercices permet àtoutes les générations de pra-tiquer ce sport. Il existe desBody détente, et des Bodycardio, plus adaptés auxseniors ; mais aussi des Bodymuscu, idéaux pour les spor-tifs motivés qui veulentregonfler un peu leurs bisco-tos. La pratique des BodyBoomers est conviviale, puis-qu’elle peut se faire entre

amis, ou en famille. On peut discuter touten s’entraînant, le cadre d’un parc s’y prêtebien. Enfin, le fitness de plein air répond àun problème de santé publique, comme lesouligne Adrien Dequaire : «La mise àdisposition de Body Boomers dans lesparcs publics permet à tous de pratiquerun sport de manière régulière, et ainsi, delutter contre l’augmentation du nombrede personnes en surpoids.»

Une implantation qui s’étireL’histoire de Jingdan Europe commenceen Chine, bien sûr, mais surtout àMalakoff, où la jeune société s’est créée. Lastart-up a l’ambition de proposer auxcampings, aux parcs de loisirs, mais aussiaux collectivités territoriales, de doterleurs espaces verts de Body Boomers. Ellepense également étendre son marché auxaires d’autoroute. Le Parc Larousse àMalakoff est donc un site pilote. Des pro-jets d’avenir ? Jingdan Europe n’enmanque pas. L’objectif est de concevoir eninterne de nouvellesmachines.Adrien a sus’entourer de jeunes diplômés d’écoles decommerce et d’ingénieurs, afin d’étudier

les rouages techniques de ces joujous dufitness, pour les perfectionner et les adap-ter aux différents utilisateurs (seniors, jeu-nes, sportifs confirmés, etc.).

Jingdan Europe37, rue Chauvelot92240 MalakoffTél. : 01 57 19 52 77Mail : [email protected]

Le spectacle du Nouvel an «Audaceet séduction» est offert par laMunicipalité aux seniors-retraités.

Pour vous inscrire, rendez-vous le lundi11 décembre 2006 de 9 h à 11 h 30 et de 14 hà 16 h 30, salle des conférences en Mairie et auCentre administratif et Médical Henri-Barbusse.

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CITOYENNETÉ

Voter nousconcerne

Les élections présidentielles : c’est l’annéeprochaine. N’oubliez pas de vous inscrire surles listes électorales si vous ne l’avez pasencore fait. La dernière limite pour être enre-gistré, c’est le samedi 30 décembre 2006, jus-qu’à 17 h.

V oter n’est pas un geste anodin, ni un luxe dont on peutse passer. Trop de peuples souffrent parce qu’ils nepeuvent user librement de ce droit. Voter, c’est le pou-voir de choisir ceux qui nous représentent et prendrontdes décisions qui nous regardent, car elles auront des

conséquences sur notre vie quotidienne. Qu’il s’agisse du logement,de l’emploi, de l’école, de la santé,de la sécurité sociale, des impôtsque nous payons, de la paix dansle monde… Des décisions quipeuvent engager l’avenir de notreville, de notre pays, de l’Europe,voire de notre planète. Peut-ons’en désintéresser ? Peut-on laisserà d’autres le pouvoir de choisir cetavenir, de décider à sa place ?Ce n’est pas une leçon de morale,c’est une question vitale pourtous. S’abstenir, c’est risquer quela démocratie devienne une coquille vide. Faute d’exercer notre droitet notre responsabilité de citoyen, nous risquons tous de nous réveilleravec de mauvaises surprises.

N’oubliez pas de vous inscrirePour pouvoir voter en 2007, il ne suffit pas d’avoir la nationalité fran-çaise et d’être majeur. Il faut aussi être inscrit sur la liste électorale dela commune où vous vivez. Si certains ont négligé de le faire, il estgrand temps de s’en occuper.Attention : en cas de changement de commune, il n’y a pas de trans-fert automatique d’une liste à l’autre. De même, l’inscription des jeu-nes qui viennent d’avoir 18 ans n’est pas automatique. Il faut se pré-senter en personne au service Elections, en mairie, avec une pièce d’i-dentité et un justificatif de domicile récent. Pour les jeunes qui viventchez leurs parents, en plus de ces documents, il faut une attestationd’hébergement et une copie de la pièce d’identité de la personne quia signé l’attestation.

DERNIERE LIMITEpour s’inscrire

Samedi 30 décembre, 17 h.

NOUVELLE CARTETous les électeurs recevrontleur nouvelle carte en mars,

avant les élections. Ilspourront alors détruire leur

ancienne carte.

Pour en savoir plus

www.voteoupleure.org créé par Nordine Fayek et Sinbad Ioulalen àl’intention des jeunes. Vous y trouverez musiques, clips, vidéos etforums sur le droit de vote.

*Noël

pourtous

> Partager, échanger, se rencon-trer, c’est dans un esprit convivialqueMalakoff célèbre Noël, la fêtedes petits et grands enfants. Le19 décembre, à partir de 18 h, sur laplace du 11-Novembre, unmarchésolidaire, regroupant les stands denombreuses associations de la ville,régale vos yeux et vos papilles.Spécialités culinaires, objets artisa-naux, etc. sont vendus au profit desassociations. Pour elles, c’est aussil’occasion de présenter leurs activi-tés et de faire des rencontres. Côtéambiance, des troupes de théâtre derue font la joie des plus et desmoins jeunes, avant le spectaclepyrotechnique, qui commenceà 19 h 15.Le 21 décembre aumatin, le PèreNoël en personne passera dans tou-tes les écoles maternelles. Goûterset portes ouvertes pour les parentssont au programme.Quant auxélèves des écoles élémentaires, laCaisse des écoles leur offre, les 21 et22 décembre, un spectable auThéâtre 71.Autre rendez-vous de Noël : le 6décembre, un après-midi festif étaitproposé aux chercheurs d’emploi etrmistes de plus de 25 ans et à leursenfants par le CCAS (CentreCommunal d’Action Sociale) etl’AMIRE (Accueil Municipal etInformation pour la Recherched’Emploi). Le 1er décembre, ce sontles jeunes demandeurs d’emploiqui étaient conviés à une soiréefestive par laMission localeet le CCAS.

FÊTES

ÀTRAVERSLA VILLE

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9 1. Le capitaine Pierre Dominiak prendofficiellement ses fonctions à la tête dufort de Vanves.

2. Perspective bien dégagée sur la cou-lée verte remise à neuf.

3. Du haut de la nouvelle structure de jeux, les jeu-nes dominent le square près de la station “Plateaude Vanves”.

4. 5. Le 11 novembre, les “slameurs” donnaient lecoup d’envoi de l’espace Jours de fête, installé dansl’ancien cinéma. Prochaine “scène slam” le 13 jan-vier à 20 h 30.

6. 7. Lors de la journée des Droits de l’Enfant, lespetits des centres de loisirs maternels s’embarquentpour un voyage imaginaire, à la rencontre desenfants du monde. Dans le hall de la mairie, tête-à-tête entre les enfants et les œuvres exposées par lescentres de loisirs.

8. 9. Non ce n’est pas un remake des Misérables,mais les aventures de Bouille et les Taréfoufous. Les23 et 24 novembre, à la salle des fêtes, Sud-de-Seineinvitait les CM1 et CM2 à découvrir ce spectacleinteractif pour leur apprendre comment défendrel’environnement contre l’invasion des déchets etpratiquer le tri.

IMAGES

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ASSOCIATION

Les Anciens Combattants :La Ville vient d’inaugurer la Maison de la Vie associative, des Syndicats et de laBourse du Travail. Pour les Associations d’Anciens Combattants, cet espace estsymbolique et rend hommage aux victimes de guerre.

Lamémoire est là, àl’entrée de la Maisonde la Vie associative,des Syndicats et de laBourse du Travail,incrustée dans lapierre. Quand onpénètre dans

l’enceinte du bâtiment, le regard estimmédiatement attiré par l’œuvre deVirginie Mounicot : un ensemble deplaques de marbre et de grandes lamesd’aluminiummulticolores. Il s’agit d’unmémorial dédié aux victimes de guerre etmorts au combat de Malakoff. Plus de1 100 noms figurent sur le monument. Lamémoire est aussi bien vivante, portée parles témoignages des anciens combattantseux-mêmes, qui livrent encoreaujourd’hui leurs souvenirs, pour luttercontre l’oubli. Les anciens combattantsont mille visages, car chacun d’eux a unpassé et une expérience qui lui sontpropres. Toute guerre est un traumatisme.Mais chaque conflit a provoqué sespropres plaies, ses tabous. Il y a desguerres dont on parle, et d’autres dont onne parle pas.

Les enfants du groupe scolaire Guy-Môquet rendent hommage au jeune étudiant, qui a laissé son nom à l’école. Fusillé àl’âge de 17 ans, GuyMôquet fait partie des 27 martyrs du camp de Chateaubriant, tout commeMaurice Ténine.

Associations pluriellesAMalakoff, les associations d’AnciensCombattants sont nombreuses. Ellestravaillent en étroite collaboration avec laMunicipalité pour entretenir le souvenir.On distingue l’Union locale des ACVG(Anciens Combattants et Victimes deGuerre), qui regroupe l’ensemble desassociations d’Anciens Combattants deMalakoff ; l’ARAC (AssociationRépublicaine des Anciens Combattants) ;l’ANACR (Association Nationale desAnciens Combattants de la Résistance) ;la FNDIRP (Fédération Nationale desDéportés, Internés, Résistants etPatriotes), le Souvenir Français, laFNACA (Fédération Nationale desAnciens Combattants en Algérie,Marocet Tunisie), etc. Aucune ne se ressemble,même si elles défendent toutes, plus oumoins, la même cause : celle des hommesqui ont sacrifié leur jeunesse pour allersur le front. Chacune parle d’une guerredifférente (14-18, 39-45, Algérie, etc.).Leur point commun est leur plaidoyer enfaveur de la paix, de la mémoire et de lareconnaissance de leurs droits.

Le rôle de laMaison du

combattant, au seinde la Maison de la VieAssociative, desSyndicats et de laBourse du Travail,serait d’assumer ceDevoir de Mémoire »Jean Delorme, Président de l’Union localedes ACVG

«

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Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 19

ASSOCIATION

une mémoire en éveil> QUI SONT-ILS ?L’UNION LOCALE DES ACVG (ANCIENSCOMBATTANTS ET VICTIMES DE GUERRE)Le but de l’Union locale, créée à la fin de laSeconde Guerre Mondiale, est de regrouper l’en-semble des associations d’Anciens Combattants dela ville, pour discuter, mettre en commun des idées,des projets, comme le souligne Jean Delorme,Président de l’Union : «Ce regroupement a pourvocation de créer une amitié entre toutes les asso-ciations, pour mieux défendre les droits desAnciens Combattants et des veuves. Il s’agit decoordonner les actions, par exemple les cérémoniescommémoratives, entre l’ensemble des associa-tions, la Municipalité et l’Eglise.» Pour SimoneGoffard, ancienne élue, lien incontournable entre laMunicipalité et le Monde Combattant, le fait queles associations soient soudées est une très bonnechose : «On peut se féliciter de cette ambiance, dece désir de travailler ensemble pour la mémoire etpour la paix ». Les présidents de toutes les asso-ciations d’Anciens Combattants de Malakoff sontvice-présidents de droit de l’Union locale.

Un statut, des droitsLe statut d’Ancien Combattant confèredes droits, que les associations sont làpour défendre. La carte permet debénéficier d’une retraite d’AncienCombattant, de l’accès aux maisons deretraite d’Anciens Combattants, de l’accèsaux hôpitaux militaires, d’une pension encas d’invalidité, des colis douceurs deNoël du Conseil général des Hauts-de-Seine, etc. Il n’y a pas un anciencombattant, mais des anciens

combattants, tous issus de milieuxdifférents. Bourgeois, ouvriers,catholiques, athées, de droite, de gauche,français, marocains, tunisiens, algériens,sénégalais, etc. Tous «étaient dans lemême bain de sang», pour reprendre lafameuse phrase d’Alioume Camara,directeur de l’Office national des AnciensCombattants du Sénégal. A ce titre, ilsdevraient percevoir les mêmes pensions,comme le souligne Jean Delorme,président de l’Union locale des ACVG : «Il

LA FNDIRPNée en 1945, cette association regroupe les victi-mes du nazisme. Elle publie de nombreux ouvrageshistoriques, comme par exemple le dernier en date,Les Combats de la mémoire, la FNDIRP de 1945 ànos jours de Serge Wolikow, historien.http://www.fndirp.asso.fr

LE SOUVENIR FRAN²AISCette association est de loin la plus ancienne, fon-dée en 1887. Sa vocation se résume en trois mots :transmission, conservation, entretien.Transmission des valeurs de la République, conser-vation de la mémoire des combattants qui ontsacrifié leur vie pour la patrie, et enfin entretiendes stèles funéraires des morts au combat. Ladélégation de Malakoff existe depuis 1984. Elle estaujourd’hui présidée par William Roux.http://www.souvenir-francais.com

Mme Goffard est le lien incontournable entre laMunicipalité et le Monde Combattant représenté parl’Union Locale.

Les défilés commémoratifssont des moments de mémoireauxquels les jeunes sont sensibles.

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ASSOCIATION

y a longtemps qu’on demande ladécristallisation (dégel) des pensions,pour que les anciens combattantsmarocains, tunisiens, algériens, sénégalais,africains, touchent les mêmes sommesque les français. Cette différence detraitement est effroyablement injuste.»Suite au film de Rachid Bouchareb,Indigènes, la récente décision de l’Etatfrançais, de revaloriser les pensions desanciens combattants issus de l’Empirecolonial, est donc très bien reçue par lesassociations d’Anciens Combattants, quien font la demande depuis longtemps.

Guerre à la guerreL’ensemble des associations d’Anciens

Combattants prêche lapaix. L’ARAC, parexemple, se félicite queMalakoff adhère àl’AFCDRP(Association Françaisedes Communes,Départements etRégions pour la Paix).«Nous faisons la guerreà la guerre, insisteAndré Espi, trésorierde l’ARAC.A chaqueconflit dans le monde,nous réagissons, nousmanifestons notredésapprobation. Lorsde la guerre au Liban,par exemple, nousavons crié haut et fortArrêtez le massacre !C’est une bonne choseque notre Villes’inscrive dans ceMouvement de laPaix.» Pour concrétiserson engagementpacifiste, l’ARAC amême son hymne,Guerre à la guerre, écritpar Noëlla, une

adhérente. Les débats, les écrits divers et variés, les hymnes à la paix, sont autant defaçons de dire : plus jamais ça.

Devoir de mémoireLes Anciens Combattants ont vécu la guerre et ses atrocités. Ils ont conscience del’importance du devoir de mémoire. Pour Claude Papon et Jacques Coupard, de laFNACA, «il est essentiel de ne pas oublier les barbaries de la guerre.» Les souvenirsdoivent être inscrits sur les murs. Les plaques commémoratives, comme celles apposéesdans le hall de la Maison de la vie associative et des syndicats, ont la vocation de garderles souvenirs incrustés sur la pierre. La salle du souvenir, elle, est un espace enmouvement, où les hommes pourront déposer leurs archives photographiques oudocumentaires, où chacun pourra prendre la parole pour témoigner, encore et toujours.William Roux, président du Souvenir Français, espère enrichir cette salle de sesinnombrables documents d’archives personnels : monnaie d’époque, photos duGénéral De Gaulle, d’Anne Franck, Traité de Versailles, Appel du 18 juin, exemplaires

> QUI SONT-ILS ?L’ARAC (ASSOCIATION REPUBLICAINE DESANCIENS COMBATTANTS)Association créée en 1917, par Henri Barbusse,Paul Vaillant-Couturier et Raymond Lefebvre, toustrois enterrés au Père-Lachaise. Ses objectifs sontla guerre à la guerre, le droit à réparation pour lesAnciens Combattants, la défense des idéaux répu-blicains de liberté, égalité, fraternité, la lutte contrele colonialisme et le fascisme. Cette association nefait pas de distinction entre les conflits. Elleaccueille tout le monde : les anciens de 14-18, ceuxde 39-45, ceux d’Algérie, d’Indochine ou d’Irak, etc.Tous les deux mois, l’association publie un bulletind’information, Le Réveil des combattants, destinéaux adhérents. http://www.arac-et-mutuelle.com/Arac/

L’ANACR (ASSOCIATION DES ANCIENSCOMBATTANTS DE LA RESISTANCE)Créée en 1945, l’ANACR réunit tous les AnciensCombattants, engagés dans la Résistance sousl’Occupation, pendant la Seconde Guerre Mondiale.Elle concentre ses efforts dans la lutte contre lesrésurgences des idées fascistes, contre le néga-tionnisme ; pour la défense de la Paix ; pour ladéfense des droits matériels et moraux desRésistants. http://www.anacr.com/index.htm

LA FNACA (FEDERATION NATIONALE DES ANCIENSCOMBATTANTS EN ALGERIE, MAROC, ET TUNISIE)Créée pendant la guerre d’Algérie, en 1958, laFNACA rassemble les Anciens Combattants enAfrique du Nord. L’association défend les droitsmoraux et matériels de ses adhérents, et agit enfaveur de la Paix, en commémorant la date du 19mars 1962**11, du cessez-le-feu, symbolisant la finde la Guerre d’Algérie. L’association a bataillé pourobtenir la reconnaissance officielle de la Guerred’Algérie, en 1999. Le comité local de Malakoff,fondé en 1969, a, quant à lui, demandé à la mairie,en 1974, d’obtenir une rue du 19-mars-1962. Cequi lui a été immédiatement accordé.http://www.fnaca.org

André Espi et Antoine Fauque de l’ARAC.

Les stèles funéraires sont aussi des lieux de mémoire et decommémoration.

La mémoire est inscrite dans la géographie urbaine et dans le temps. Le 19 mars1987, on célébrait déjà la commémoration de la fin de la guerre d’Algérie.

La Municipalité soutient depuis longtemps les associations pour la reconnaissance deleurs droits.

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ASSOCIATION

> *1Le 19mars 1962 :Cessez-le-feuayant mis fin à laguerre d’Algérie,après les Accordsd’Evian, le 18mars. Le 19 marsmarque la fin dela guerred’Algérie, et l’in-dépendance dupays, qui étaitjusqu’alors undépartementfrançais.

> *2Lesdatescommémo-rativesLes datesnationales• 19 mars : Finde la Guerred’Algérie• 25 avril :JournéeNationale de ladéportation• 8 mai : Fin de laDeuxième GuerreMondiale• 18 juin : Appeldu général DeGaulle• 11 novembre :Armistice 1918Les dates locales• 25 août :Libération deMalakoff, en1945• Commémora-tions exception-nelles : décèsd’AnciensCombattants• Châteaubriant :le 24 ou 25 octo-bre• Barbusse : le 10novembre• Jean Moulin : le27 mai

{*}RENDEZ-VOUS

> MATCHSFOOTBALLStade Marcel-Cerdan. Les dimanches.• Seniors masculins PH17 décembre : Malakoff/L’Isle Adam• Seniors masculins 1ère division 10 décembre : Malakoff/Colombes

HANDBALLGymnase René-Rousseau. Les samedissoir.• Seniors féminines Nationale 39 décembre : Malakoff/Blanc-Mesnil13 janvier : Malakoff/ACBB• Seniors féminines Départementale9 décembre : Malakoff/Vanves13 janvier : Malakoff/Rennes• Seniors masculins Excellence régio-nale9 décembre : Malakoff/Clamart6 janvier : Malakoff/Verrières

• Seniors masculins Excellence dépar-tementale6 janvier : Malakoff/Courbevoie20 janvier : Malakoff/Issy

BASKET BALLGymnase René-Rousseau. Les samedissoir.• Seniors masculins Nationale 313 janvier : Malakoff/Caen27 janvier : Malakoff/Chartres• Seniors féminines Excellence dépar-tementale 13 janvier : Malakoff/Antony27 janvier : Malakoff/Bourg-la-Reine

VOLLEY BALLGymnase René-Rousseau. Les diman-ches.Seniors féminines Nationale 314 janvier : Malakoff/ACBB28 janvier : Malakoff/Velizy

En novembre 2006, pour la première fois à Malakoff,l’écrivain et combattant de la paix, Henri Barbusse, faitl’objet d’une commémoration.

du journal Le Miroir, édité pendant laguerre 14-18, l’ordre de mobilisationgénérale pour la guerre de 39-45, masquesà gaz, cartes d’alimentation, lettres d’unprisonnier de guerre à son épouse,médailles de combattants, etc. Lamémoire parle à travers tous ces objets,mais aussi à travers les noms. Les nomsdes disparus au combat figurentégalement sur le Monument aux mortsdu cimetière communal, où chaqueconflit armé a son carré commémoratif.

Chaque espace public, chaque rue,peut donc devenir un lieu de mémoire,tout comme les cérémonies sont desmoments de mémoire. La cérémoniecommémore, rend hommage. L’unionlocale des ACVG, qui regroupe toutes lesassociations des Anciens Combattants deMalakoff, sort ses drapeaux à chaque dateimportante*2. Les cérémonies sontponctuées d’un dépôt de gerbes, deminutes de silence, et d’un cortège vers leslieux de mémoire. Pour ne pas oublier, lesAnciens Combattants se tournent aussivers les jeunes, dans une démarchehistorique, pour les sensibiliser. LaFNACA, par exemple, a créé le GAJE(Guerre d’Algérie, Jeunesse,Enseignement), une commissionmémoire, pour relater le déroulementhistorique de la guerre d’Algérie auxjeunes. La FNDIRP et l’ANACR sontégalement soucieuses, comme la majoritédes associations d’Anciens Combattants,de donner sens au devoir de mémoire, enintervenant dans les établissementsscolaires. Les Anciens Combattants sontconscients de leur responsabilité, celled’être les derniers témoins vivants desdrames engendrés par les guerres. Lamémoire se transmet d’une génération àl’autre. La nouvelle bataille menée par lesAnciens Combattants est donc une guerrecontre la guerre et contre l’oubli.

FÉLICITATIONS

Maisonset balcons fleuris84 personnes ont participé au concours. Ont obtenu le premier prixdans leur catégorie : Maison avec jardin visible de la rue : Idalina Ferreira.Balcon ou terrasse visible de la rue : Sophie Suire-Laguillaumie.Fenêtre ou mur visible de la rue : Rosalina Ribeiro.Immeuble collectif comportant au moins quatre fenêtres ou balconsfleuris : Bernard Piat (résidence Salagnac).Décor floral en bordure de la voie publique : Véronique Leymarie(pour le privé) et la cité Maurice-Thorez (pour les cités HLM) Commerce avec fleurissement visible ou non de la rue : RestaurantLe Jardin d’Asie. Prix spécial du jury : Thérèse Saloppé, clinique Laennec, qui repré-sentera notre commune au concours départemental.

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OPINIONS

Les Français veulent une réellealternative à la politique de droiteque nous subissons. Ils ont expri-

mé des attentes et des exigences. Il faut que laconfiance renaisse pour une France forte etjuste, où l’économie serait au service du social,capable de remettre l’Europe en marche et derepositionner la France au centre des enjeuxinternationaux.La droite est divisée, la lutte entre les sarkozis-tes et les chiraquiens ne cesse de s’amplifier àtravers des phrases jetées en pâture aux jour-nalistes. Les désaccords au sein même du gou-vernement sont visibles. Et je ne détaillerai pasle projet de loi Sarkozy soi-disant dédié à laprévention de la délinquance et qui a commeseul objectif que de stigmatiser un peu plus la

jeunesse. C’est un texte d’opportunité électo-rale qui porte atteinte à la fonction de l’élu, auxlibertés publiques et encourage le désengage-ment de l’Etat. Nous, élus socialistes et républi-cains, nous sommes convaincus que seule lamise en œuvre d’une politique globale et dura-ble dans les quartiers peut changer la donne.Cela suppose le rétablissement de la police deproximité en y mettant les moyens humains etles investissements nécessaires ; cela supposeaussi des moyens substantiels pour la justiceafin de renforcer la prise en charge des mineursdélinquants. Face à l’insécurité sociale, il y aurgence sociale ! Les réponses s ‘appellent l’em-ploi, l’éducation, le logement, l’accès aux servi-ces publics, la défense de la laïcité et la luttecontre les discriminations.

Quelques notes plus souriantes en cette find’année à Malakoff.Pour la troisième année, le marché des créa-teurs s’est déroulé début décembre à la plusgrande joie des Malakoffiots. Annick LeGuillou qui anime et coordonne les artisansavait tant de demandes que nous avons dûinstaller le marché dans les deux salles de l’éco-le Jean Jaurès, la salle des fêtes et le préau. Ainsi,les 50 participants nous ont offert un choixencore plus grand et plus varié de créations etnous ont fait partager leur savoir-faire. Bonnesfêtes à tous !

> Jean SeignollesMaire adjoint chargé de la voirie,de la circulation et du stationnement

“Majorité municipale, élus socialistes

Face à l’insécurité sociale, il y a urgence sociale !

PAGE OUVERTE A L’EXPRESSION DES GROUPES DU CONSEIL MUNICIPALLes textes publiés dans cette page Opinions engagent la seule responsabilité de leurs auteurs

En novembre 1989, les Nations Unies adoptaient la ConventionInternationale des droits de l’enfant.

Les pays signataires s’engageaient à respecter l’en-fant et ses droits selon trois grands principes :Protection, Prestations, Participation. 192 pays,dont la France, l’ont ratifiée. Sauf la Somalie et lesEtats-Unis. Or, la situation de l’enfance dans notre pays estalarmante : 1 million d’enfants vivent dans la pau-vreté, 20 000 sont sans domicile fixe, 30 000 sontdans l’errance et la précarité, 3 000 à 8 000, selonles estimations, sont soumis à la prostitution, enfin10 000 sont menacés d’expulsion selon le RéseauEducation Sans Frontière. La réalité de la politique ultra-libérale menée par laDroite est accablante et conduit la France au non-respect des conventions internationales. Ainsi, le

très contesté projet de loi de “prévention de ladélinquance” met en cause des devoirs fondamen-taux de la Nation envers sa jeunesse, l’éducation etla prévention. Il justifie la réduction des politiquesde la famille, de l’éducation, de la santé et dévelop-pe une conception répressive et sécuritaire de l’é-ducation et de l’accompagnement social.Stigmatisation des chômeurs et des pauvres, culpa-bilisation des bénéficiaires d’aides sociales, décloi-sonnement dangereux des informations, c’est lamise en œuvre d’une société de surveillance géné-ralisée et de contrôle social. Elus communistes etrépublicains, nous refusons et agissons contre cettesociété d’exclusion, comme le démontrent lesmoyens accordés à Malakoff aux services sociaux,aux écoles, à la restauration scolaire, aux centres deloisirs, de vacances, à la jeunesse. Comme chaqueannée, la journée des droits de l’enfant a été célé-

brée par les centres de loisirs et centres sociaux :initiatives sur le marché au bénéfice de l’UNICEF,exposition en mairie de bustes et de dessins d’en-fants aux messages très forts qui, à eux seuls, résu-maient, bien mieux que de longs discours, les souf-frances vécues par certains enfants. D’autre part,grâce à la mobilisation et à l’action des Parents d’é-lèves, de RESF, des enseignants, soutenue parMadame le Maire, quatre familles menacées d’ex-pulsion ont pu rester dans notre ville. Tous ensem-ble, nous pouvons contrer cette politique ultra-libérale, inhumaine, et agir pour qu’une vraie poli-tique de gauche, respectueuse des conventionsinternationales soit mise en œuvre. Les échéancesélectorales prochaines en seront aussi l’occasion.

> Joëlle AguerriMaire adjointe à l’Enfance, la Jeunesse, la Prévention

“Majorité municipale, élus communistes et républicains

Droits de l’enfant : une exigence humaine à respecter aussi en France

Face à l’augmentation des risquesd’accidents à la sortie des écoles,nous demandons à la municipalité

de prévoir du personnel pour assurer la sécuri-té des enfants comme cela se pratique dans lesvilles voisines comme Châtillon. L’absence d’i-nitiative de la mairie dans ce domaine noussemble peu responsable, nous, nous prendrionsl’engagement de le faire dès notre élection.Quant à l’aménagement de la rue PV Couturier,il était temps, et ce n’est pas sans poser quelquesproblèmes. En effet, il est particulièrement dif-ficile d’entrer et de sortir de l’immeuble situéau N° 91 à cause de la mauvaise disposition desjardinières en béton. Même si rien n’est faitpour les automobilistes, il nous paraît nécessai-re de repenser leur positionnement. Une étudepréalable minutieuse aurait pu éviter des dés-

agréments et des dépenses superflues.Parking du centre ville : les odeurs d’urine et lespapiers ont refait leur apparition après 15 joursd’amélioration ; pis, le soir il est fréquent queles automobilistes croisent au fond du parkingdes personnes en difficulté (jusqu’à 8) attabléesautour de bouteilles d’alcool. L’image du centreville sinistré ne va pas s’améliorer.Il est fréquent qu’un véhicule coûte fort cher àson propriétaire et lorsqu’il est nécessaire del’assurer ; on essaie de toujours trouver lemeilleur compromis entre garantie et dépense.Il est particulièrement excessif de faire assurerune twingo pour le compte de l’intercommuna-lité “Sud de Seine” pour un montant de 2226 Q !Une Rolls n’aurait pas coûté moins.L’intercommunalité fut créée, en théorie, pourpermettre aux communes qui s’associent de

faire des économies. Dans les faits, depuis 1 an,nous voyons peu de choses aller dans ce sens. Ladiffusion d’un nouveau magazine de propagan-de concourt à dépenser de l’argent alors qu’ilsuffisait de relayer les informations dans lejournal de nos villes respectives. Il est peu pro-bable que le contribuable fasse des économies sil’on en juge par les augmentations d’impôtsdéjà réalisées.Joyeux Noël et bonnes fêtes de fin d’année àtoutes et tous

> Thierry GuilmartConseiller Municipal UMPTel 06.86.26.04.11109 rue Guy Moquet les jeudis 18h30/20hEmail : [email protected] ; thierryguilmart.blogspirit.com

“Opposition municipale, groupe des élus soutenus par l’UDF, UMP, RPF, MPF

Toujours en direct du terrain

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Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 23

HISTOIRE

Malakoff, qui a toujours défendu avec ardeur lesvaleurs de la République, soutient la demandedéposée à l’initiative de l’Association LaïqueLyonnaise des Amis d’Etienne Dolet, pour l’émis-sion d’un timbre postal à l’occasion du 500ème anni-versaire de la naissance de l’humaniste en 2009.

Etienne Dolet

De la rue au timbreA Malakoff, le nomd’Etienne Dolet résonne dès la sortie dumétro. La rue du même nom trace uneligne qui coupe pratiquement en deux lacommune, sur sa longueur. Tel un fleuve,la voie prend sa source avenue Pierre-Brossolette pour se prolonger jusqu’à larue Paul-Bert. Entre deux grands hom-mes, l’un journaliste résistant (mort en1944), et l’autre politique, défenseur de lagratuité et de l’obligation de l’instructionpublique sous le gouvernement Gambetta(1881-1882), la rue Etienne-Dolet siègedans le quartier des penseurs. Etienne-Dolet était un humaniste, undéfenseur de la liberté de penser. Soncombat pour la tolérance est porté aujour-d’hui par l’Association Laïque Lyonnaisedes Amis d’Etienne Dolet. Cette associa-tion sollicite les communes, dontMalakoff, qui ont donné le nom d’EtienneDolet à une voie, pour demander l’émis-sion d’un timbre postal, pour célébrer, en2009, le 500ème anniversaire de la naissancede l’humaniste.

Un imprimeur humanisteLa mémoire d’Etienne Dolet est en trainde renaître, à travers les dénominations derues, d’avenues et de places. Etienne Doletest un érudit. Ses voyages en Italie lui ontpermis de développer une pensée cicéro-nienne d’orateur. De retour en France, ils’installe à Toulouse, alors frappée parl’Inquisition. Ses discours sur la liberté depenser, sur les persécutions religieuses,dérangent et lui valent la prison. Il fuit àLyon et devient imprimeur. Il obtient deFrançois Ier le Privilège d’imprimer pourdix ans. Il publie alors des ouvrages deRabelais, Clément Marot, La Borderie, desessais d’histoire, des pamphlets, des sati-

res. Accusé d’hérésie, condamné à mort, ilest pendu avant d’être brûlé, en 1546,place Maubert.

Une mémoire en éveilLe souvenir d’Etienne Dolet est ravivé surles places publiques pour célébrer lesvaleurs républicaines dont il est le précur-seur. La Troisième République est la pre-mière à l’avoir mis à l’honneur en élevantune statue à son effigie, à Paris, en 1889(statue détruite sous l’occupation alle-mande). En 1908, la ville de Lyon, où avécu l’humaniste, fait de même, endemandant à Auguste Rodin de réaliser lasculpture (le projet d'un monument Doletne put aboutir en raison de la guerre 1914-18). Malakoff rend aussi hommage auprécurseur, en lui dédiant une rue et unestation de métro. En apportant, aujour -d’hui, son soutien à la démarche del’Association Laïque Lyonnaise des Amisd’Etienne Dolet, la Ville réaffirme sonattachement aux valeurs que représente ce« martyr de l’indépendance de la pensée ».

* Gravure d’Etienne Dolet.© Bibliothèque publique et universitaire, Neuchâtel.

« Ceux qui s'adonnent àl'oisiveté et à la paresse,en quoi diffèrent-ils desbêtes ? Ayant passé leurvie dans le silence, ilsmeurent comme desbêtes, ils sont vouéscomme les bêtes à l'éter-nelle obscurité ; à peineentrés dans la vie, lesvoici bientôt privés devie. Mais ceux que lagloire accordée par lapostérité a conduits àl'amour de la vertu, nedoivent-ils pas être esti-més plus semblables àdes dieux qu'à des hom-mes ? » Etienne Dolet -Commentaires sur laLangue Latine

QuelqueschiffresNombre de villesayant donné lenom d’EtienneDolet à une rue,avenue ouplace : unecentaine

Quelquesdates1509 : Naissanced’Etienne Dolet1533 : EtienneDolet défend lalibertéd’association1534 : Arrivée àLyon. Il devientimprimeur1538 : François Ierlui octroie lePrivilèged’imprimer pour10 ans1542 : Cetteannée-là, ilimprime 42ouvrages. Il estarrêté pour êtrejugé devant letribunalecclésiastiquequi condamneson “hérésie”,mais est graciépar le RoiFrançois Ier.1546 :Condamnation àmort d’EtienneDolet

Gravure tirée dela Plaisante etJoyeuse histeoyredu Grand géantGargantua deRabelais, publiéepar Etienne Doleten 1542.

*

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CULTURE

{ Rendez-vous• Du sucre dans la machine…Photos, dessins et vidéos deCaroline Audebert.Pour tout public.> Jusqu’au 24 décembre.Bibliothèque, 24, rue Béranger.

• Les inconnus de MalakoffUn concert mêlant musique clas-sique et variétés, pour découvrir lestalents de jeunes guitaristesmalakoffiots, tous élèves de CharlesEwangé. D’origine camerounaise,installé à Malakoff depuis 1980, ilcompose des musiques qui marienttradition africaine, classicisme etjazz. Sa dernière prestation àMalakoff remonte à octobre 2002,où il partageait la scène avec leSarah Holtrop Trio. Il présenteracette fois des extraits de son dernieralbum qui paraîtra dans quelquesmois. > Samedi 16 décembre, 18 h.Salle des fêtes, 53, bd Gabriel-Péri.

• Peintures de Claude Viallat> Du 20 janvier au 11 mars.Maison des Arts,105, avenue du 12-Février-1934.

• La Science se livre Cette manifestation départementalen’aura pas lieu en janvier-février,mais en mars-avril. Thème de cetteannée : “Explorations et explora-teurs”. La bibliothèque a choisicomme invités Jean-ChristopheVictor et Dominique Raynaud. A sui-vre.

* CAROLINEAUDEBERT

E n alternant macro-photos de bonbonset de jouets et des-

sins sur supports photos,Caroline Audebert nousraconte une histoire descience-fiction, celle d’unepetite fille perdue dansune cité informatique, à larecherche d’un robot.Tout en nous plongeantdans un monde enfantin,ce conte dénonce l’asser-vissement humain à lamachine et aux excès de laconsommation et exprimel’espoir d’un monde plusharmonieux. Deux vidéos

complètent cette exposi-tion. L’une, passé en bou-cle, est un feu d’artifice decouleurs et d’objets ani-més : bonbons, jouets,évocations de l’oppositionentre nature et industrie,le tout encadré d’imagesenfantines. L’autre, où lespectateur pourra choisirentre plusieurs clips, viaun lecteur DVD :Visyogurth (une famille deyaourths regardant les

humains à la télé), LaPlanète des marionnettes(sur l’asservissement del’homme à la machine) etquelques autres surprises.Pour petits et grands, àdéguster assis, dans uncadre évoquant la nature. Pour en savoir plus surl’univers de CarolineAudebert, vous pouvezconsulter le site :www.myspace.com/sweetycandies.

Du sucre dansla machine…

Claude Viallat

«L ’objet de la peinture, c’est la peinture elle-mêmeet les tableaux exposés ne se rapportent qu’à eux-mêmes. Ils ne font point appel à un “ailleurs”

(personnalité de l’artiste, biographie, histoire de l’art, parexemple)… La surface, par les ruptures de formes et decouleurs qui y sont opérées, interdit les projectionsmentales ou les divagations oniriques du spectateur. Lapeinture est un fait en soi et c’est sur son terrain que l’ondoit poser les problèmes… D’où la neutralité des œuvresprésentées, leur absence de lyrisme et de profondeurexcessive. » C’est en ces termes que Claude Viallat, LouisCane, Daniel Dezeuze et Patrick Saytour mettent la peintureen question en 1969. Autour de ces orientations, ilsfonderont le groupe Supports/Surfaces qui réunit, de 1969 à1972, une douzaine d’artistes (peintres et sculpteurs). Cescréateurs, pour qui le sujet est secondaire, utilisentsupports et matériaux variés, sans souci de la tradition.C’est ainsi que Claude Viallat travaille sur toile libre, sanschâssis, et utilise volontiers des matériaux de récupération(bâches, parasols, tissus divers, cordes nouées outressées). Dans ses œuvres récentes, il met l’accent sur lesrapports de densité et d’intensité entre des surfacescolorées. A découvrir prochainement à la Maison des Arts.

* SUPPORTS-SURFACES

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TERRITOIRE

Intercommunalité

Sud-de-SeineDeux ans déjà !Créée le

1er janvier 2005,

la communauté

d’agglomération

Sud-de-Seine

fêtera, le 1er

janvier prochain,

ses deux ans

d’existence. Son

organisation

étant maintenant

bien établie, elle

s’apprête à

prendre une

nouvelle

dimension en

2007.

M a l a k o f f ,Bagneux,Clamart etFontenay-aux-Roses

se sont regroupées au sein deSud-de-Seine en janvier 2005pour mettre en commun leursmoyens afin d’optimiser la ges-tion de compétences commu-nes. Philippe Kaltenbach, mairede Clamart, actuel président dela communauté d’aggloméra-tion, nous rappelle que «l’ob-jectif fixé lors de la création deSud-de-Seine était de construi-re une éco-intercommunalité,en donnant la priorité auxtransports en commun et audéveloppement durable». Le conseil de Sud-de-Seine secompose de 46 conseillers com-munautaires, choisis parmi lesconseils municipaux des diffé-rentes villes. Ils participent tousà l’une des trois commissionsintercommunales chargées d’é-tudier les projets dans desdomaines particuliers. CatherineMargaté, maire de Malakoff,vice-présidente de la commu-nauté d’agglomération, préside,par exemple, la commissionchargée de la culture et dessports. Il est important de souligner quetoutes les décisions sont prisesà l’unanimité. Aucune ville nepeut se voir imposer un projetdont elle ne veut pas. Cette spé-cificité dans le fonctionnementde Sud-de-Seine était vivementsouhaitée par les élus.

Une mise en route pro-gressive«Afin de bâtir notre commu-

nauté d’agglomération sur desfondations solides, les transfertsde compétences se font pro-gressivement», explique PhilippeKaltenbach. Pour Yves Penverne,directeur général des services dela communauté d’aggloméra-tion, «la mise en route de l’in-tercommunalité a pris plusieursmois, car il a fallu tout cons-truire, étudier les besoins, éla-borer les projets et rechercherles financements.» L’assainis -sement et le ramassage des ordu-res ménagères ont été les pre-mières compétences transférées,en janvier 2005. Le passage à l’in-tercommunalité permet de

mutualiser les équipements etde mieux négocier les contrats defournitures et de travaux.L’intercommunalité permet aussiaux villes d’attirer plus facile-ment les entreprises et de mieuxrépondre à leurs besoins. Le ser-vice du développement écono-mique de Sud-de-Seine, mis enplace en avril 2006, gère le dispo-sitif d’appui à la création d’en-treprises, la bourse des locauxintercommunaux et organisedes rencontres régulières pourles chefs d’entreprise. En 2007,un complément d’étude seraréalisé, concernant la faisabilité

musicales et artistiques. Celapermettra aussi d’harmoniserles horaires des différents éta-blissements. Les élèves conti-nueront de s’inscrire dans lesétablissements de leur commu-ne, sauf pour participer à uneclasse d’orchestre ou pourapprendre un instrument rare.Les tarifs pratiqués resterontceux en vigueur.Le stade nautique deChâtillon–Malakoff n’est pasconcerné par ce transfert decompétences, Châtillon ne fai-sant pas partie de la commu-nauté d’agglomération.

Ramassage des ordures ménagères par Sud-de-Seine pour Malakoff.

de la pépinière d’entreprises. Dans le domaine culturel, à par-tir du 1er janvier prochain, lesconservatoires, les écoles demusique, de danse et d’art dra-matique, ainsi que les piscines,seront gérés par la communau-té d’agglomération. Pour les usa-gers, cela signifie l’accès à unchoix plus large de disciplines

Les projets à l’étudeLa communauté d’aggloméra-tion a lancé, en novembre 2005,un Programme Local del’Habitat (PLH) qui devrait êtreopérationnel, mi-2007. Unbureau d’études travaille en col-laboration avec les bailleurs, lesassociations et les villes pourréaliser un diagnostic de l’habi-

«Les transferts de compétences se fontprogressivement»

Le conservatoire municipal bientôt gérépar Sud-de-Seine.

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LOISIRS

tat présent sur l’agglomération.A l’issue de cette étude, diffé-rentes orientations seront défi-nies et déclinées en actions, com-mune par commune. L’objectifde ce programme est de rendrecohérente l’offre de logementssur l’ensemble des quatre villes.La communauté d’agglomé -

ration envisageégalement lacréation de deuxdéchetteries, unesur Bagneux,l’autre sur Cla-mart. Le tri sélec-tif sera facilité.De même, leséconomies d’é-nergie seront en-couragées avecl’ouverture pro-chaine d’un Re-lais Info Energie.Toujours dans le

domaine de l’environnement,et pour construire une vérita-ble éco-intercommunalité, lesélus ont décidé de mettre enœuvre un Agenda 21. «C’est unedémarche volontaire d’actionen faveur du développementdurable. Il s’agit d’élaborer unprogramme intégrant les modesde consommation et de pro-duction durables, ainsi que lalutte contre le changement cli-matique. Nous voulons partici-per à la préservation de la bio-diversité», nous dit-on à Sud-de-Seine. Enfin, une réflexion sur lestransports est en cours pouraméliorer la fréquence et les iti-néraires des bus de la RATP,coordonner les navettes com-munales ou même créer unenouvelle navette intercommu-nale.

Aides aux communesEn plus de ses compétences pro -pres, Sud-de-Seine accorde dessubventions aux communes mem-bres pour les aider à financer cer-tains projets. Malakoff a bénéficiéde 240 000 Q pour l’agrandisse-ment et la restructuration du cen-tre municipal de santé en 2005 ;de 207 000 Q pour la rénovationde la dalle Védrines en 2006.

QuelqueschiffresSud-de-Seine c’est :• 141 000habitants répartissur 4 communes• 1 734 hectares desuperficie• 6 209 entrepriseset commerces• 1 300associations• 2 stations de RER• 2 stations demétro• 37 lignes de bus• Budget 2006 :69 384 391 Q

Union Sportive Municipale Malakoff

Amitié Nature :60 ans que ça dure !Cet automne, Amitié Nature fête ses 60 ans. Pour l’occasion,plus de 150 personnes se sont réunies le 18 novembre dernierpour une soirée festive, pleine de souvenirs, à la salle desfêtes Jean-Jaurès.

E n 1946, le groupe des Amis de la Nature rejoint l’USMM pour former AmitiéNature, la section des sports de plein air. A l’époque, l’association militait pour lesvacances collectives, dans la continuité du FrontPopulaire, et défendait des valeurs de solidarité,d’entraide et de camaraderie. Les week-ends,

les adhérents partaient faire du camping autour de Paris, caril existait encore des terrains disponibles. Puis, l’urbanisations’est développée, les villes ont pris de plus en plus d’ampleur,et l’association a acquis un car (Albert 2) pour transporter lesadhérents un peu plus loin, dans la campagne. En 1970, la Ville de Malakoff achète le Potager, une ancien-ne ferme, à Condé-sur-Iton, à 110 Km de Paris. La gestion dela structure est confiée à Amitié Nature, qui y pratique bonnombre d’activités. Aujourd’hui encore, à Condé, les adhé-rents partagent leur temps entre le tennis, le volley, la pétanque, la pêche, le football ou le jardi-nage. «C’est un mélange entre le camping, le village vacances et l’auberge de jeunesse.», nousconfie Jean-Marie Bossennec, le président d’Amitié Nature. «Les gens viennent pour passer unbon moment ensemble. Nous organisons des tournois sportifs, des marches, des repas.»L’hiver, l’association propose des activités sur Malakoff. Ainsi, les adhérents participent à des sor-ties théâtre ou cinéma et à des rallyes culturels.

Des bénévoles actifsL’association fonctionne sur le principe de l’autogestion. Jean-Marie Bossennec nous expliqueque «tout est basé sur le volontariat. Les adhérents font eux-mêmes les courses pour les repas

que nous organisons, les grillades et les barbecues par exemple.Mais aussi, nous entretenons nous-mêmes la propriété duPotager». Un bureau permanent gère le quotidien de l’association. Pourles évènements particuliers et les temps forts de la vie d’AmitiéNature, comme l’anniversaire, le réveillon ou la soirée retrou -vaille à la rentrée, des commissions se forment avec les adhé-rents qui souhaitent prendre part à l’organisation. Aujourd’hui,”A.N.“ compte

environ 70 adhérents, âgés de 10 à 84 ans. «Lenombre de membres a chuté ces dernièresannées pour plusieurs raisons», explique leprésident. «La vie sociale et familiale s’esttransformée. La pratique du sport s’est modi-fiée. L’accès aux loisirs est plus difficile pourcertaines personnes. Le bénévolat est en pertede vitesse et les contraintes professionnellessont plus fortes.» Cependant, le président del’association rappelle que «le Potager estouvert à tous les Malakoffiots. Il suffit justed’adhérer à Amitié Nature pour pouvoir enprofiter.».

Albert 2 de Malakoff : plusieurs annéesde service à son actif. Les enfants des «A.N.»

à Condé en 1975.

Soirée d’anniversaire, les élus et les Présidents d’AmitiéNature célèbrent les 60 ans de l’association.

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28> Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007

ÀTRAVERSLA VILLE

Le recensement,utile etobligatoireDu 18 janvier au 24 février prochains, six agents sillonneront le territoire de

Malakoff pour effectuer le recensement auprès de quelques 1 200 foyers, soit

environ 8 % de la population.

D epuis 2004, lerecensement dela populationse dérouleannuellement,

et non plus tous les 8 ou 10 ans,comme autrefois. Cette nouvel-le métho de aura une consé-quence en matière de statistiqueslocales : les chiffres qui serontrecueillis ne seront pas exhaus-tifs. «L’INSEE, explique

B e n j a m i nChautard (duService muni-cipal de l’ur-b a n i sm e ) ,avec lequel lac ommu n etravaille enpartenariatpour cetteopér a t ion ,

réalisera au bout de cinq annéesde collecte des estimations sta-tistiques à partir d’un échan-tillon de 40 % de la population.Les statistiques seront actuali-sées chaque année à partir de2009.» Pour les communes, lerecensement rénové représenteune charge de travail accrue, quin’est pas compensée par desmoyens financiers à la hauteur.Pour les habitants, il est moinsvisible. «Avant, le recensementétait perçu comme une grandemesse, constate BenjaminChautard. Il y avait une datenationale, connue de tous, grâceà une communication à gran-

QuelqueschiffresPopulation deMalakoff en1975 :34 121 habitantsEn 1999 : 29 402habitantsMénages : 2,16personnes parménage

de échelle. Aujourd’hui, le recen-sement ne concerne qu’unéchantillon réduit de la popu-lation (8 % chaque année), etsoulève davantage d’incompré-hensions.» Les habitants s’in-terrogent : «Pourquoi suis-jerecensé, et pas mon voisin del’immeuble à côté ?» Cetteincompréhension débouche par-fois sur des refus de répondre.

Le recensement, un de -voir civique et une obli-gationLa loi fait obligation à chaquecitoyen de répondre à l’enquêtede recensement. Il s’agit avanttout d’une action civique, quicontribue à améliorer la vie dansla commune. En effet, commele souligne Benjamin Chautard,«le recensement de la popula-tion produit des informationsimportantes qui permettentnotamment à la commune et à

ments publics (crèches, écoles,équipements culturels et spor-tifs, …), de logement, d’emploi,de transport, etc.» Chacun adonc le devoir de répondre àl’enquête. Il n’y a pas de crain-te à avoir concernant laconfidentialité des infor-mations divulguées. Lesagents recenseurs, identi-fiables grâce à une carte

officielle tricolore avec unephoto de l’agent et la signature duMaire, sont tenus au strict respectdu secret professionnel.Pour tout renseignement com-plémentaire ou pour savoir sivous allez être recensé cetteannée, vous pouvez contacterBenjamin Chautard au serviceurbanisme de la Mairie deMalakoff au 01 47 46 77 25.

l’ensemble desacteurs publics de mieuxappréhender les caractéris-tiques de la population et deslogements et ainsi d’agir plusefficacement pour améliorer lequotidien des habitants. Parexemple, ces informations per-mettent d’adapter aux besoinsréels de la population les poli-tiques en matière d’é-q u i p e -

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Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 > 29

Garde médicale Du lundi au samedi : 20 h-

24 h.

Dimanches et jours fériés :

9 h-13 h et 16 h-24 h.

> 10, bd des Frères-Vigouroux, à Clamart.

Indispensable de prendre

rendez-vous au 15.

Pharmacies17 décembre : Pen.

> 242, av. Pierre-Brossolette, Malakoff.

24 décembre : Treussard et

Hernandez.

> 20, av.Pierre-Brossolette, Malakoff.

25 décembre : Chuop.

> 1, place du Président-Kennedy, Vanves.

31 décembre : Guez.

> 8, place de laRépublique, Vanves.

1er janvier : Tran Seng,

> 10, rue Béranger,Malakoff.

7 janvier : Hromis,

> 51, av. Pierre-Brossolette, Malakoff.

14 janvier : Weck

> 2, bd du Colonel-Fabien, Malakofff.

21 janvier : Razafindratsita

> 24, rue Hoche, Malakoff.

InfirmièresMlles Lefaure, Raffanel et

M. Poupeau :

> 01 46 54 25 47.Marie Minasi et Elise

Dupuis

> 01 46 55 82 05.Judith Stoop-Devesa

> 01 42 53 42 69ou 06 61 91 61 77.

Marie-Dominique Barbier

> 06 62 83 88 46.

Urgences dentairesDimanches et jours fériés :

9 h à 12 h et 15 h à 17 h.

> 01 47 78 78 34.

Urgences vétérinairesToutes les nuits (20 h-8 h).

Dimanches et jours fériés.

> 01 43 96 23 23

> Services de gardeSERVICES

Méfiez-vous !Devant la recrudescence

des démarchages fraudu-

leux, la Caisse d’Assurance

Maladie des Hauts-de-

Seine met en garde les assu-

rés et les employeurs contre

les faux agents se présen-

tant comme médecins-

conseils, assistantes sociales

ou agents de la CPAM.

Avant de répondre aux

questions posées, nous

conseillons d’exiger une

carte professionnelle, ainsi

que les coordonnées du

centre ou du service qui

diligente l’agent. Quant aux

demandes faites par télé-

phone, il faut refuser de

communiquer toute infor-

mation confidentielle sur

les membres de la famille

(numéro de Sécurité socia-

le, coordonnées bancaires,

adresse…) En cas de doute,

contactez votre caisse

d’Assurance Maladie :

> 0 820 904 192 (0,118 Q

TTC/mn depuis un poste

fixe).

> Communiqué CPAM

Vaccination contre lagrippeLa caisse de maladie envoie

un bon de vaccination gra-

tuite aux assurés sociaux à

partir de 65 ans, ainsi

qu’aux assurés atteints de

certaines affections de lon-

gue durée, quel que soit

leur âge. Après avoir fait

compléter le bon par leur

médecin, ils doivent le

remettre à leur pharmacien

pour obtenir le vaccin gra-

tuit. Attention : la date

limite est le 31 décembre.

L’injection réalisée par le

médecin ou une infirmière

sera remboursée dans les

conditions habituelles.

> Prévention

NocturneCompte tenu que la fin et le

début de l’année sont des

périodes chargées en trafic

colis et courriers, La Poste

des Hauts-de-Seine modifie

ses horaires d’ouverture le

vendredi soir dans 14

bureaux importants, afin

que les usagers puissent

retirer, entre 19 h et 20 h,

les colis et lettres recom-

mandés ou ayant fait l’objet

d’un avis de passage. Pour

raisons de sécurité, cette

ouverture ne concerne pas

les opérations financières.

Ce dispositif est appliqué à

Malakoff principal, 32, rue

Gabriel-Crié. Commencé le

17 novembre, il se termine-

ra le 19 janvier 2007.

> La Poste

Familles d’accueilLe service de placement

familial de la Protection

Judiciaire de la Jeunesse des

Hauts-de- Seine recherche

des familles d’accueil pour

adolescent(e)s. Contact :

> 01 47 39 02 35.

> Protection Judiciairede la Jeunesse

Journées d’informationDepuis le mois d’octobre,

les lundis et mercredis, de

10 h à 16 h, dans les

Maisons de l’environne-

ment des aéroports de

Paris, à Orly et Roissy, des

contrôleurs aériens sont à la

disposition du public. Ils

répondent aux questions

sur les techniques de

contrôle aérien, les caracté-

ristiques du survol de la

région parisienne, la prise

en compte de l’environne-

ment, les procédures d’at-

terrissage et décollage, les

trajectoires de vol et le bruit

généré par les avions.

> Aviation etenvironnement

URBANISME> PermisPermisS.C.I. SNKM, 18, rue Gambetta, démolition partielle d’un

logement et de remises, pour l’extension et la surélévation

d’un immeuble à usage de logements et commerce •

SARL SINA, 13, rue Etienne-Dolet, démolition partielle

pour la surélévation d’une habitation •

PINEDJIAN, 39, rue Eugène-Varlin, percement d’une tré-

mie pour la création d’un escalier intérieur et remplace-

ment d’une fenêtre sur cour par des pavés de verre •

BARIN-BASQUIN, 47, rue Louis-Girard et 32, rue André-

Sabatier, construction d’une maison individuelle, modifica-

tion de la clôture •

PESEY, 113, bd Gabriel-Péri, construction d'un immeuble à

usage de logements et local d'activité •

SCI DU LAVOIR, 7 à 11, rue du Lavoir, démolition de

locaux à usage d'activité •

COPROPRIETE DU 12/16, rue Emile-Zola, modification

de la hauteur, des matériaux et couleurs de façade •

BRUNEL et BRUSTON, 8, bd Camélinat, construction

d’une maison individuelle •

S.C.I. VAILLANT-BROSSOLETTE, 240/242 av. Pierre-

Brossolette, construction d’un immeuble de bureaux •

SALZE, 58, bd du Colonel-Fabien et 1 rue des Roissys,

rénovation d'un garage et création d'un bâteau pavé •

THOUVENEL, 9, rue Germaine, réfection de la toiture

d'une maison individuelle •

GICQUEL, 14 bis, rue Louis-Blanc, ravalement de la façade

d’une maison •

SILAHLI, 11, rue Mathilde, démolition d’une annexe pour

l’extension d'un pavillon •

WEISBUCH, 26, rue Savier, pose de 3 vélux en toiture d’un

local d’activité •

?

INFO

S

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30> Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007

Tim Wagener • Noah Cazal

• Wyatt Papin • Moez

Lachheb • Aboubacar

Camara • Clément Cloupet

• Inès Ambrono • Kélina

Gomez • Aymen Elaiyssy •

Emma Proa • Théo Bui

Quoc - - Nicolas • Jahmy

Santana • Maïssa Khajjou •

Tania Augenstein • Layla

Dos Santos Teixeira •

Coline Maugard • Dylan

Guily - - Plaza • Paul

Retière • Planchon - - Perret

Chloé • Adèle Wantelet •

Mathias Morat • Valentine

Mesnard • Selma Haddad •

Alexandre Renouvin - -

Mahot • Léonie Dock •

Adrien Gruel • Milena

Lebaïr • Enzo Andjelkovic •

Mattéo Gutierrez • Zoé

Imjahad • Guillaume

Vidalot • Tom Riviere •

Zahra Boufoulous • Rayan

Boudouasal • Sélim Michel

• Raphaël Provenchere •

Siobane Cousin • Anouk

Anicet • Inès Osmani •

Roméo Crosnier • Frédéric

Cordier - - Santin • Mai-

Lan Tandavarayen • Yann

Negaa • Anaïs Benoit •

Daniel Sorochynskyy •

Louane Maëlys Clavier •

Corentin Chivé • Zoé

Larosa • Faustine Watremez

• Martin Cheula • Rifka

Chouaref • Emmanuel

Mayindu •

ÉTAT CIVILDU 12 OCT AU 18 NOV 06

> Bienvenue > Vœux de bonheurMichel Harrisson et

Adeline Humbert • Kamal

Baileche et Zineb

Harfouche • Jean-Claude

Cassard et Najate Houd •

Charles Pham Dang Cao et

Elodie Gosselin • Eric

Nathan et Bintou Diallo •

Faly Rajoela et Fanfanirima

Rakotoarison •

> CondoléancesYann Troudet, 19 ans • Lou

Luton, 22 ans • Renée

Pasquier veuve Médal, 93

ans • André Noël, 76 ans •

Odette Bonhome veuve

Blouin, 87 ans • Albert

Maubert, 77 ans • Eliane

Guéricolas, 63 ans • Paulette

Palut veuve Lepeltier, 91 ans

• Roland Mailhes, 61 ans •

Sylvie Martinet épouse

Reolid Sanchez, 49 ans •

Jean-Claude Lavoine, 59

ans • Claude Chaudet, 78

ans • Adama Cissé, 41 ans •

Léon Reuzeau, 86 ans •

Victor David, 72 ans •

Claude Sellier, 61 ans •

Yvette Longuépée épouse

Ghigliazza, 64 ans • Nicole

Lebeau, 66 ans •

> RemerciementsClaude Puyoo, qui a parti-

cipé pendant 33 ans au

développement du quartier

Barbusse, a été inhumé à

Malakoff le 2 novembre. Sa

famille remercie toutes les

personnes qui ont manifes-

té leur sympathie à leur

ancien pharmacien.

> Aide aux devoirsLa MJQ a un besoin urgent

de bénévoles pour aider les

collégiens les mardi et jeudi

de 16h30 à 18h30.

> Prendre contact au :

01 46 44 28 39

ASSOCIATIONS

Repas annuelLes Bretons de Malakoff

organisent leur repas

annuel, le 27 janvier 2007, à

partir de 20 h, salle des fêtes

Jean-Jaurès (53, bd Gabriel-

Péri). Bretons et amis,

venez nombreux.

Renseignements et réserva-

tion auprès de Gisèle

Gautier

> 01 46 57 04 01.

> Amicale des Bretonsde Malakoff

Création d’un spectacleLa délégation des Hauts-

de-Seine de l’Association

des Paralysés de France met

en place un projet de spec-

tacle intégrant personnes

valides et personnes en

situation de handicap.

L’atelier de création aura

lieu à Nanterre et sera

animé par une comédienne

et une danseuse profession-

nelles. Pour plus d’infor-

mations, contactez

Débora Gilio

(01 45 23 11 08).

Ou Marianne Bretteville

(01 41 91 74 00).

> APF 92

Prochain rendez-vousLe Commerce équitable

tiendra son stand au village

des associations, le 19

décembre à l’occasion du

Noël pour tous, place du

11-Novembre. Vous pour-

rez y acheter des cadeaux

“équitables”.

> Commerce équitable

RemerciementsGrâce à la participation

généreuse des commerçants

de Malakoff à la tombola de

juin, l’association a fêté

Noël, avec les enfants

accueillis par les assistantes

maternelles des deux PMI,

autour d’un spectacle : La

Maison bonhomme, suivi

d’une distribution de frian-

dises et d’un buffet, le 7

décembre, salle Léo-Ferré.

Baby Bouge participera à la

fête des enfants, le 19

décembre, où elle propose-

ra recettes artisanales et

modèles originaux fabri-

qués par les assistantes

maternelles. Contact :

Françoise Ricard.

> 01 47 35 44 56.

> Baby BougeMeilleurs vœuxEn cette fin d’année, le

Bureau vous souhaite à

vous et à vos familles, ses

meilleurs vœux : une excel-

lente santé et que tous vos

souhaits se réalisent. Nous

vous invitons à vous inscri-

re à la permanence, 22, pas-

sage du Nord, afin de rete-

nir votre soirée dansante du

samedi 17 février 2007.

Courant janvier, notre pro-

chaine adresse sera :

Maison de la vie associative

(Anciens combattants),

FNACA, 26, rue Victor-

Hugo.

> FNACA

Déjeuner de NoëlLe Secours catholique, en

partenariat avec les Petits

frères des pauvres, invite les

amis du “p’tit déj” et les

personnes âgées isolées à un

déjeuner de fête. Il aura lieu

le mercredi 27 décem bre, à

12 h 30, 9 bis, rue

Danicourt, et sera suivi

d’un après-midi détente.

> Secours catholique

USMMEtes-vous intéressé par des activités telles que :

Encadrement : oui � non �

Aquarelle : oui � non �

Jeux de carte : oui � non �

Précisez le jeu souhaité : ........................................................

Peinture sur soie : oui � non �

Scrapbooking* : oui � non �

*(manière amusante de décorer vos albums photos)

Autres : ...................................................................................................

Vous souhaitez être contacté si ces activités se mettent en place.

Alors, laissez vos coordonnées :

NOM : ....................................................................................... Prénom : ..................................................................................

Age : .............................................................................................Sexe : ..........................................................................................

Adresse : .............................................................................................................................................................................................................

................................................................................................................... Téléphones : Domicile .....................................................

Portable ................................................

Déposez ou envoyez votre bulletin à : l’USMM, 37, rue E.-Varlin, 92240 Malakoff.

> C’est pour un sondage !

Quel est le moment le plus adéquat

de la journée ?

(Entourez l’horaire choisi )

9 h/10 h 30 10 h 30/12 h.

14 h/15 h 30 15 h 30/17 h.

heure du déjeuner (précisez) :

...........................................................................................

?

INFO

S

Page 31: Bonne fin d’année...Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 >5 TRANS PORT > Enfin,ilroule!Apartirdu16décem - bre,letramwaydesMaréchauxaccueilleà sonbordlesusagers,surunparcoursde
Page 32: Bonne fin d’année...Malakoff infos – Déc. 2006/Janv. 2007 >5 TRANS PORT > Enfin,ilroule!Apartirdu16décem - bre,letramwaydesMaréchauxaccueilleà sonbordlesusagers,surunparcoursde

Coups de � de l’ACLAM> Cycle Art contemporain : (inspiré de L’Art contemporain–mode d’emploid’Elisabeth Couturier – Ed. Filipachi, avec l’association Connaissance de l’Artcontemporain, soutenue par le ministère de la Culture – DRAC Ile-de-France).Conférence : « Ne dites plus…L’art, c’est du travail, c’est du fait main», 25 janvier,19 h, Maison des Art.> Café littéraire : A la découverte de l’Art contemporain avec Elisabeth Couturier,vendredi 12 janvier, 18 h 30, restaurant Santa Maria, 9, rue Paul-Bert. > Visites guidées : Balanciaga-Paris, Musée mode et textile, en janvier (date àconfirmer) – Yves Klein, Centre Pompidou, 4 février. > Billetterie : Cyrano de Bergerac à la Comédie française, 26 janvier – Les Contesd’Hoffman à l’Opéra Bastille, 28 janvier…> Carnets tickets théâtre : 4 tickets pour 44 5, à échanger contre 4 places, pour desspectacles au choix, dans 18 théâtres de Paris et d’Ile-de-France.> Adhésions ACLAM, informations et inscriptions :Service culturel : 01 47 46 76 30 ou 01 47 46 75 78.

> Les films de déc/janv> Cinéma Marcel-Pagnol,17, rue Béranger. Tél. 01 46 54 21 32

>Le Dahlia noirde Brian de Palma (V.O.).

>Une vérité quidérange de DavisGuggenheim (V.O.).

>Azur et Asmar de Michel Ocelot.

>Babel d’AlejandroGonzález Inárritu.

>Cœurs d’AlainResnais.

>Red Road d’AndreaArnold.

>10 canoés, 150lances et 3 épousesde Rolf De Heer.

>Arthur et lesMinimoys de Luc Besson.

AGENDA

SPECTACLE DE NOËLAvec le conservatoire> mercredi, 19 h 30, Théâtre 71.Et dimanche, 17 h, à l’église.

> 13 ET 17 DÉCEMBRE

NOËL POUR TOUS Village desassociations, animations diverses, concertpyrotechnique.> 18 h 30,place du 11-Novembre.

> 19 DÉCEMBRE

EXPOSITIONDu sucre dans lamachine…de Caroline Audebert> Bibliothèque, 24, rue Béranger.Jusqu’au 24 décembre.

> DÉCEMBRE

JEUNE PUBLICY’a pas de quoi rire !Par Les Cousins.En partenariat avec la caisse desécoles.> 19 h 30, Théâtre 71.

> 20 DÉCEMBRE

CLÔTUREdes listes électorales> 17 heures.service élections, hôtel-de-ville.

> 30 DÉCEMBRE

RETRAITÉSSpectacle nouvelleannée“Audace et Séduction”> 14 h 30, Théâtre 71(Inscription indispensable, en mairie, permanence Vacances LoisirsRetraités.)

> 10/11 JANVIER

THÉÂTRELe Misanthrope deMolièrePar le Théâtre de la Tentative.Mise en scène Benoît Lambert.> Théâtre 71.Jusqu’au 11 février.

> 16 JANVIER

EXPOSITIONDe Claude Viallat> Maison des Arts,105, av. du 12-Février-1934.Jusqu’au 11 mars.

> 20 JANVIER

EXPOSITIONPaysages péruviensPhotos d’Amélie Ketoff> MJQ, 4, bd H. Barbusse.Jusqu’au 19 janvier.

> 9 JANVIER