Bulletin de l’Institution Notre-Dameet des Anciens Elèves

Avril 2011 - N°96 - 134e année

Réunion des Anciens

Samedi 14 mai2011

SommaireLe billet du Président p. 1

Comité de l’association Le mot du trésorier p. 2

LA VIE ASSOCIATIVE p. 5/13

Calme assemblée générale p. 3

Un été pas comme les autres p. 4/7

Anciens Scoutschez les Clarisses à Crest p. 7

Souvenirs… souvenirs… p. 8

Menaces sur l’enseignement catholique p. 8/9

Campagne éclair des anciensen terre arlésienne p. 9

Echos des Anciens p.10/14

Joies et Peines p. 14/15

INSTITUTION NOTRE-DAMEAUJOURD’HUI p. 16

Liste du personnel de l’Institution p. 17

MATERNELLE & PRIMAIRE p. 18/22

COLLÈGE p. 23/26

LYCÉE p. 27/28

Association sportive EPS p. 30/32

AUTOUR DE…Les élèves de CP B nous racontent la fête de Notre DameFête du 8 décembreDes ateliers dans l’après-midi p. 33

Des ateliers dans l’après-midi (suite)La Fête de l’IND p. 34

Lancement de l’année 2011autour des roisRésultats Brevets et Bacs 2010Le personnel de l’Institution p. 35

Lauréats Brevets et Bacs 2010 p. 36

Directeur dePublication :Jean DevisPublicités :

Jean-Philippe Pouzin

Correspondanceet versements :

Anciens Elèves IND 91, rue Montplaisir

26000 Valence

Réalisation :Imprimerie PortoiseTél. 04 75 57 12 60

Le Billet du PrésidentMes chers amis,Rien n’est immuable. Le bulletin des Anciens de l’Institution Notre Dame,

“notre bulletin” a paru pour la première fois dans les années 1880. Sans doute, lespremiers numéros ne ressemblaient-il pas ou très peu au journal actuel. Mais ce dernier étaitgravé sur le papier et n’a fait depuis lors que progresser pour nous faire participer chaque année à lafois aux nouvelles de nos anciens condisciples et à la vie actuelle et combien riche de notre collège.

Il n’est évidemment pas question de renoncer, en tout cas dans l’immédiat, à la conception papier dece journal. Il sera adressé sous cette forme à ceux qui ont quitté l’IND avant 1968.

Mais plusieurs facteurs sont à prendre en considération : le coût (notamment d’impression et de fran-chise postale), la diminution du nombre de nos adhérents et des publicités, l’évolution des moyens decommunication.L’IND dispose d’un site Internet (tout à fait passionnant) et sur lequel, je vous invite àvous précipiter aussitôt terminée cette lecture. Monsieur PUTOUD nous a fort obligeamment proposé demettre en ligne sur ce site notre journal. Ce sera désormais chose faite.

Notre souhait est également d’alimenter sur ce site une page d’information permanente. Cette page,c’est vous qui pouvez la rendre vivante par les nouvelles, pourquoi pas les articles, que vous voudrezbien nous adresser.

Nous nous réunirons cette année le 14 mai à l’IND. Je compte sur vous pour participer nombreux àcette réunion annuelle, ciment indispensable de notre amitié. Venez nombreux. Vous verrez ; vous pas-serez une journée formidable.

Amitiés à tous, J.-M. RIVOIRE

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PRIX : 20 €(mets, vins et café compris)

PROGRAMME :

• 10 h. Messe célébrée par le Père Benoît POUZIN, ancien élève.• 11 h. Assemblée Générale, Rapports divers, Suggestions, projets…)

• 12 h. Apéritif vers le Chemin des Contrebandiers

• 12 h 30 Repas amical.Concours de dégustation du vin mystèreProclamation des résultats et remise des prix.

• 15 h. Dislocation.

Journée des Anciens

Nom & Prénom : .........................................................................................................................................................................

Ma cotisation annuelle (à partir de) 20 €. Etudiants : 6 €.Nombre de personnes au repas : soit €Chèque global à l'ordre de ASSOCIATION DES ANCIENS ELEVESJe souhaite être informé des visites organisées par l’ Association Anciens Elèves ❑ OUI ❑ NON

Institution Notre Dame - 91, Rue Montplaisir. 26000 VALENCE Les chèques seront encaissés après le 16 Mai. - R.S.V.P. avant le 27 avril

A découper suivant le pointillé

Samedi 14 mai 2011

Pour recevoir nos lettres d’information, être référencés dans lefutur annuaire des Anciens et nous donnez de vos nouvelles,

écrivez-nous à anciens.ind@free.fr Le Comité de l’Association des Anciens Elèves.

Pour suivre notre association sur internet et lire desnouvelles d’anciens toute l’année, rendez-vous sur

www.ind-valence.fr rubrique “NOTRE ENVIRONNEMENT”

S. Exc. Mgr. LAGLEIZEEvêque de Valence,Pré sident d’Honneur

Bernard PUTOUDDirecteur,membre de Droit.

Jean ARBOD (1966)Ferme du BréquetRoute de St-Didier84210 VENASQUE

Max DELAROQUE,

Prêtre (1939)47, avenue du 45e parallèle 26600 PONT DE L’ISERE

Jean DEVIS (1983)Président délégué5, rue des Tulipes26500 BOURG LES VALENCE

Laurence

DUCOL-CHUILON (1981)6, route des Baumes26300 CHATEAUNEUF/ISERE

Jérôme FARIGOULE (1983)12, rue V. Hugo 34500 BEZIERS

Jacques GEY (1947)CIDEX 1926800 MONTOISON

Jacques HERVE (1938)479, chemin de Cornas07500GUILHERAND GRANGES

Norbert JOUVE (1973)3, Cité Chabert 26000 VALENCE

Jean LAMOTTE (1945)le Balcon des Cévennes,9, allée G. Seurat26500 BOURG LES VALENCE

J.-Philippe POUZIN (1959)8 allée de Longchamp,26500 BOURG LES VALENCE

Philippe RISPAL (1974)Président de l’OGEC26, rue de l’Ancien Vélodrome26000 VALENCE

Jean-Marie RIVOIRE (1968) Président,147, rue Bartholdi - 07500 GUILHERAND GRANGES

Maxime ROUETPrêtre (1940)Rue Ch. Colomb 26000 VALEN-CE

Georges THIOT (1940)Secrétaire 65, rue de Thibert 26000VALENCE

Etienne THOMASSET (1945)Président d’Honneur17, rue A. Daudet 26000VALENCE

J.-P. TROULLIER (1965)L’Hermitage, rue Paul Cézanne 26500 BOURG LES VALENCEGeorges VERDIER37, Ch. Pascal

26200 MONTELEGER

Louis VIAN (1942)147, Rue Marc Bouvat07500 GUILHERAND GRANGES

Les candidatures pour participerau Comité de l’association serontreçues par courrier ou téléphoneauprès de Georges THIOTSecrétaire 65 rue de Thibert26000 VALENCE (04 75 44 2067).

Nous souhaitons plusieurs can-didatures de jeunes femmes ouanciens dans la vie active, oujeunes retraités ; l’engagementest d’une année seulement,année de découverte, aprèslaquelle vous pourrez choisir derester ou de vous retirer. Les étu-diants sont bienvenus.

Comité de l’association des Anciens Elèves 2009/2010

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Chères Amies, chers Amis, Anciens Elèves de l’Institution Notre Dame de Valence,Un grand merci à nos Anciens et à nos amis Annonceurs, qui par leurs cotisations ou leurs publicités, ont permis au bulletin de paraître en 2011. L’année 2010 a été diffici-

le.2011 verra la mise en ligne de la version électronique du bulletin sur le site de l’IND

à l’adresse suivante : www.ind-valence.frVous y découvrirez des informations sur la vie de l’École et des nouvelles des Anciens Élèves introuvables

même sur Facebook ou Twitter… !N’oublions pas cependant que la meilleure façon de montrer notre attachement à recevoir notre bulletin

“papier” est d’être plus nombreux à régler la cotisation !Amitiés à tous et à toutes.

Le mot du trésorierRestons confiants en 2011 !

COMPTE D”EXPLOITATION - Comparatif 2006/2007/2008/2009 en Euros

RECETTES DEPENSES

2007 2008 2009 2010 2007 2008 2009 2010

Cotisations + repas 5699,00 3129,45 3507,45 2623,45 AG+REPAS 1199,51 1052,10 968,67 597,70PUBLICITE 3767,00 3405,00 4479,00 2194,00 PRIX CARDONEL 0 0 0PRODUITS FINANCIERS 315,06 438,13 230,17 62,65 AIDE IND 900,00 0 0 0VOYAGE 186,00 69,00 0 BULLETINS 4664,40 5377,74 5427,71 4664,40

AFFRANCHISSEMENTS 1264,51 1799,89 1476,51 2602,68DIVERS SECRETARIAT 93,12 2,80 4,99 0DIVERS 114,25 204,00 72,00 37,00

TOTAL ANNÉE 9967,06 7041,58 8216,62 4880,10 8235,79 8436,53 7949,88 7901,78

RÉSULTAT 1731,27 -1394,95 266,74 -3021,68

Ah ! le joli mois de mai ! On s’ensouviendra de cette année 2010où les saints de glace se sont faitun malin plaisir de se rappeler ànotre bon souvenir, juste aumoment où la planète entières’inquiète d’un (prétendu)réchauffement climatique ! Mais ce n’est ni le moment ni lelieu pour ironiser. Tout juste si lechroniqueur a le droit de cher-cher des raisons au petit nombre(une maigre trentaine !) de parti-cipants à notre annuelle journéedes anciens. On est cependantamené à expliquer qu’entreautres caractéristiques, cefameux mois de mai, avec sesjours fériés ne facilite guèrela tache des organisateurs. Ainsivotre Comité, redoutant le week-end prolongé des Fêtes del’Ascension, avait pensé subtile-ment que l’anniversaire de laVictoire du 8 mai 1945 serait unmoindre mal. Le problè-me évidemment c’est que nonseulement il y avait ce jour là laCommémoration de la Victoire,mais également les soixante ansde la déclaration de RobertSchuman lançant l’idée même del’Europe unie, que les diocèses seretrouvaient à Ars autour du sou-venir du Saint Curé Jean-MarieVianney pour réfléchir à la mis-sion du prêtre, qu’il y avait égale-ment un pèlerinage à Lourdes,sans compter les inévitablesoccupations des uns ou desautres… Le handicap était lourd !Toujours est-il qu’en l’absencefinalement du Père BenoÎtPouzin, lui aussi retenu parailleurs, la messe célébrée parnotre ancien Max Rouet put avoirlieu dans le petit oratoire qui ser-vait naguère de sacristie et deve-

nu depuis quelques années unlieu de prière et de méditation.On lira par ailleurs le texte de l’ho-mélie du célébrant, dont on trou-vera également des nouvellesparmi celles des anciens dans lespages suivantes.

Après cette messe de commu-nion particulièrement fervente, onse retrouva pour une partie admi-nistrative au cours de laquelle ontraita de la situation financière denotre Association dont l’essentielavait été publié dans le numéro95 de notre bulletin. Le PrésidentJean-Marie Rivoire évoqua de soncôté les activités de l’Associationet annonça le projet d’uneescapade au Musée d’Arles oùl’on pourrait admirer les vestigesretirés du Rhône du côté deTrinquetaille. Si le projet se réaliseon en trouvera la relation dansune colonne voisine.

Enfin il passa la parole auprésident délégué Jean Devis quiévoqua un autre projet, celui de laconstitution d’un site sur Internetqui, (rassurons tous ceux qui nesont pas équipés d’un ordina-teur), n’empêchera pas la paru-tion du bulletin traditionnel.On trouvera également dans lespages suivantes, le détail duprojet appelé à offrir des nou-

velles de l’Association d’unefaçon plus constante.

Par acclamation, la candidaturede Pierre Piron au Comité futacceptée et l’on put se diriger versla salle du restaurant où l’apéritifétait servi. C’était le moment oùl’on put déguster (en, quantitéévidemment raisonnable) le vinmystère proposé chaque annéeaux participants. La surprisecependant fût grande de consta-ter que personne parmi lesparticipants, ne put identifier lecépage proposé qui était pourtantun sauvignon réputé très recon-naissable puisqu’il est à l’originede vins aussi typés que le sancer-re ou, après assemblage avec lesémillon, toute la gamme dessauternes.

Une fois de plus Jean-PhilippeMeyrieux et son équipe du restau-rant de l’Institution avait mis lespetits plats dans les grands pourfaire apprécier une timbaleforestière puis une cuisse depintade, spécialité drômoise, avecun gratin dauphinois, avant lefromage et un excellent dessert.Après le café, chacun put retrou-ver sa voiture pour regagner sespénates en espérant être de lafête l’an prochain. Witness.

La vie associative

Calme assemblée générale

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Au cours de l’an passé et prin-cipalement au mois de juin (etpour cause) les gazettes ont lar-gement évoqué la terrible année1940 et les drames qui ontaccompagné et suivi l’invasion duterritoire national. Quelques années plus tard lasituation était heureusement ren-versée. Il se trouve que notreamie Catherine Joffre, appelée àtrier les papiers de son oncle lePère Raymond Joffre décédédepuis quelques années déjà, amis la main sur le texte d’unancien de l’institution relatant lesévènements de l’été 1944. Il nousa paru intéressant de publier delarges extraits de cette relationdue à quelqu’un qui a connu sonheure de célébrité pour avoir par-ticipé à la troupe de comédiensissue de l’institution et qu’animaitle Père Béchier. L’auteur n’estautre qu’André Lamotte plusconnu sous le diminutif de“Dédé” qui a effectivementconnu “un été pas comme lesautres” en 1944. André, qui futégalement un coureur de demi-fond de qualité, est aujourd’huigravement atteint dans sa santéet nous lui souhaitons de tenir lecoup le mieux possible.

“Le 6 Juin 1944, je me rendaisde bon matin au Collège NotreDame où j’étais externe. Leslocaux étaient occupés par l’ar-mée allemande, nos classesétaient installées dans les sous-sols du Grand Séminaire, jouxtantle Collège. Nous avions des pro-fesseurs bizarres : un civil ayantgardé les voies ferrées toute lanuit nous demande de le laisserdormir. Plus grave, un professeurd’anglais empruntait le vélo d’unélève en cours pour se rendre à laMilice. Dénoncé, il en mourut…

Dans les classes supérieures,certains élèves assistaient aux

cours en uniforme de milicienalors que d’autres s’absentaientsouvent en raison de leur appar-tenance au maquis.

Avec toute une équipe, notam-ment de scouts, nous faisionspartie des “Equipes Nationales”chargées d’assurer en ville diffé-rentes tâches, car à 14 ans, j’étaispresque l’un des plus âgés, nosainés étant soit au STO, soit aumaquis, soit en “Equipesd’Urgence” chargées des soinsaux blessés au cours des bom-bardements. J’étais muni d’un“Ausweis” et, en cas d’alerte pen-dant les heures de cours, unepartie de la classe partait et …allait se baigner dans les lônessituées sur la rive droite duRhône.

Le 6 juin donc, j’appris par mescamarades que les alliés avaientdébarqué en Normandie, maissans plus de détails. Le complé-ment arriva vite, la Direction nouslâchant en vacances vers 11 h.Distribution de biscuits caséinésqu’il fallait manger à raison d’unpar jour : le solde a été dévoréimmédiatement avec les ennuisstomacaux que l’on peut imagi-ner.

Nous voilà donc réduits à tuer letemps, en baignades principale-ment. De temps à autres nouspassions au QG des “EquipesNationales” situé dans un localneuf où s’est installée par la suitela Librairie Garnier, rue des Alpes.

Soudain, les premières bombestombent sur Portes-lès-Valence.La gare de triage est ravagée.Nous voilà partis en gazogène surPortes où fut mis au pillage undépôt de pelles, pics et casquessitué à gauche de la mairie.Répartition des équipes : je metrouve avec des amis devant uneferme complètement démolie

située au sud de Portes, à la hau-teur de RVI. Nous commençons àdéblayer, en short, torse nu etavec le sacro-saint casque fran-çais. Dégager les ruines n’est paschose facile. Les murs étaient enpisé, d’où poussière incessante.Le toit qui s’effondre sur le restene pose pas de problème : on finitde casser les tuiles et d’enleverpoutres et voliges. On attaque legrenier e l’on met à jour le plan-cher de l’étage reposant en entier.Il était environ 15 heures, nousn‘avions ni mangé ni bu. Nouspartons à deux chercher du vindans les wagons-foudres en garede Portes. Nous voilà sur les voiesau milieu des wagons ouverts etfouillés avec notre seau à lait etessayant de percer un foudre enbois à l’aide d’une percerette.Brusquement un bruit debottes… une sentinelle alleman-de apparait ; elle met la main àson porte-revolver ; nous nousvoyons perdus ! C’était pour sor-tir un engin plus élaboré que lenôtre. La sentinelle nous choisitun foudre constellé de trous bou-chés avec des chevilles et se metà nous le percer avec des “Gut !Gut !” approbateurs. Imaginez lebruit d’une pissarelle de vin vieuxtombant de deux mètres dans unseau de métal pendant que lasentinelle taillait une cheville…

Nous retournons sur le chan-tier ; le parquet était entamé surun mètre carré environ. La fer-mière qui s’était passablement“désaltérée” envoie la main dansle trou et s’écrie “que font mespoules au grenier ?” Nous nousapprochons pour la voir sortir unplumeau à l’ancienne ! Pendantce temps son mari avait sorti unecagette de fromages de chèvre etles essuyait car, en les extirpantdu trou, il avait vomi dessus.Bonne humeur et éclats de rire

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Un été pas comme les autres !

TÉMOIGNAGE D’UN ANCIEN

général, car du vin à jeun, par35°C ne nous permettait que cetravail !

Un peu plus au sud de la mairieet en face, une bombe était tom-bée sur un restaurant célèbre“Chez la mère Yvonne” dont lapatronne avait été tuée. Lesdéblayeurs sont tombés sur unecave pleine de provisions, vins etliqueurs. Il fallait voir le nombrede volontaires voulant rendre ser-vice. La sortie de la cave étaitmoins digne que l’entrée.

Les bombardements de Portesse renouvelant c’était le sifflet deslocomotives à vapeur qui don-naient l’alerte. C’était alors unbranle-bas général pour quitterles lieux. Tout le monde voulaitêtre affecté au camion benned’un nommé Cantelli, dont lechauffeur partait si loin que leretour ne s’effectuait que le soir.

Nous avions pour tâche dedéménager les familles pouvantêtre hébergées aux environs,chez des parents ou amis. Sousl’autorité d’adultes, nous char-gions des véhicules de toutessortes mis à notre disposition.Nous déchargions dans uneferme ou villa et les propriétairesnous offraient le casse-croûte.Les ponts sous les voies étantcoupés ou trop bas, les véhiculespassaient par le Pont des Anglaispour aller à l’Ouest. Une fois,nous chargeons le camion pla-teau de sodas “La Perle”, avecnous par-dessus. Le chauffeurprend trop brutalement un virageet tout le monde se retrouve parterre !

Ce travail s’est poursuivi pen-dant un bon mois. Entre tempsj’ai été requis pour monter lagarde dans un baraquement oùse trouvaient les huit morts dupremier bombardement. Etre seuldevant des morts couverts debleus, gonflés, puants, couchésdans des copeaux, ne peut êtresupporté que par un gamin dontl’indifférence à cet âge est phéno-ménale. En rentrant le soir, mamère me faisait déshabiller sur lepallier à cause de la puanteur. Les

soirées étaient longues car nousétions à l’heure allemande. Nousallions au camp d’entraînementde la Trésorerie. Là nous regar-dions les travaux pour l’agrandis-sement des pistes sous bois, lesplaneurs à l’arrêt que nous avionssouvent aperçus en l’air tirés parun avion pour l’attaque duVercors et de Vassieux. Les pho-tos des maquisards suppliciésétaient affichées dans le hall du“Petit Dauphinois”, place de laRépublique.

Petit à petit le travail s’est ralen-ti et nous étions fins prêts pour le15 août.

Nous apprenons le débarque-ment allié en Provence ; la cha-leur était importante et le vent nul.Vers 13 h, les sirènes mugissentet la “flack” située au Polygone semet en action. Toute la famillesaute dans les tranchées creu-sées en face de la maison, placeLamartine, et là vraiment, noussentions la terre trembler.

Une camionnette de “Gilibert &Tezier” passe me prendre et nousfilons au point de chute le plusimportant : Boulevard Vauban.Imaginez un tremblement deterre : maisons démolies, hurle-ments, poussière pas encoreretombée formant halo. Nouschargeons une jeune fille blesséeà la jambe lorsqu’on entend lebruit d’une deuxième vague.Nous courrons vers le véhicule, jecasse un nu-pied et finis ma cour-se pieds nus dans les décombres.L’hôpital général place Laennecétant touché, nous déposonsnotre blessée à l’hôpital duValentin.

De là, je me suis rendu auFaubourg St Jacques en partiedémoli et incendié par un bom-bardier touché après avoir larguéses bombes. Le restant de l’aprèsmidi est passé à aider les pom-piers à tirer les tuyaux sous pres-sion pour suivre la progressiondes lances, ce qui n’était paschose facile et dépassait souventnos forces. Puis je suis rentré à lamaison après avoir aidé un col-leur d’affiches à placarder des

informations car la ville n’avaitplus ni eau ni gaz ni électricité.

Dans la soirée, le couvre-feuétant levé un collègue passa meprendre pour transporter du ravi-taillement aux malades et per-sonnes âgées encore à l’hôpital.Nous avions un charreton tropgrand pour nous, chargé de deuxcorbeilles à linge, d’œufs durs etde côtes de porc cuites. Nousdescendons l’avenue Gambetta ettournons à droite du pont presqueintact, pour prendre la rue oùpasse maintenant l’autoroute.Impossible de passer en raisondu cratère des bombes. Nousremontons l’avenue pour prendrela rue Mirabel-Chambaud.

Le spectacle à l’hôpital étaitdantesque : une noria de sauve-teurs évacuait les malades à lalumière crue des lampes à acéty-lène. Nous avons rentré le charre-ton sous une voute et nous noussommes presque enfuis…

Dès le 16 août nous aidions audéblaiement et à l’extinction desderniers incendies, notammentcour Saint Ruf. La tranchée duBoulevard Vauban avait étéatteinte de plein fouet et les 550morts étaient alignés pour identifi-cation à la Chambre de Com-merce, face au Palais de justice età côté de l’école du Palais, caser-ne de la Milice qui avait sauté.

Nous aidions aussi au déblaie-ment d’une maison à l’angle desrues Belle Image et Farnerie. Detemps en temps, on faisait fairesilence et on entendait des coupssourds. Les grandes personnesdisaient : “Ce sont les demoisellesPin qui frappent !” Je ne sais sices dernières ont été sauvées ;tout se faisait à la main, sansengin de levage.

Le 18 août, rebelote : le pont estdétruit et seulement huit morts !Bombardement anglais en piqué.Les Enfants du Rhône assuraientla traversée en barque à deux outrois rameurs ; leur techniquepour nous enfants, était superbe :les embarcations remontaient leRhône grâce à un contre-courantet brusquement devant l’hôpital,

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viraient à 45° pour accoster audébarcadère situé vers la CliniquePasteur aux Granges. L’eau était àquinze centimètres du bord de labarque archipleine, avec un trèsfort courant.

Le pont étant coupé nousallions nous baigner à la piscinedu Valentin, dans une eau jauneet tiède. Les allemands accélé-raient leur retraite. La caserneCharreton fut incendiée ; j’étais àl’entrée de Bourg-lès-Valencequand le toit s’est effondré enflammes ; l’avenue Marc Urtins’est trouvée jonchée de papierscarbonisés. Puis les Mongols sontpassés en carriole à cheval avantde laisser un triste souvenir àSaint Donat. Les Allemands s’ap-propriaient des vélos dans leurfuite : tout le monde marchaitdonc à pied, les vélos se trouvantsur les toits à l’abri des rapines.

Le bruit du canon s’entendaitdistinctement et nous faisions desstages de plus en plus fréquentsdans la cave familiale ou danscelle des Ets Vallon & Mayousse,rue Chorier, protégée par destonnes de feuilles de carton. Monpère m’a dit par la suite que le QGallié était installé dans la fermed’un oncle à Allex et qu’à leurdépart notre parent avait descigarettes à fumer jusqu’à la finde ses jours !

Le flot des allemands grossissaitsans cesse. Les boulevardsétaient était pleins de véhiculessurchargés. On volait des draps eton confectionnait des croixrouges placées sur les toits afinde passer pour des ambulances.J’ai vu un cuistot allemand débi-ter le bois, d’un banc public pouralimenter sa cuisine roulante.

Les soldats semblaient harassésbien que de temps à autre unecompagnie de jeunes soldatsremontait les boulevards au pasen sens interdit, en chantant etl’uniforme impeccable. RueChorier prolongée, un allemandnous fait signe et nous remet uncarton de fruits confits. Là encoreune belle indigestion familiale !

Un matin, nous nous trouvionsrue Jonchères, les soldatsdéchargeaient un véhicule pourfaire de la place devant le siègede la Milice : ruée générale, ciga-rettes, boîtes de conserve, armes,munitions, tout a été enlevé àl’instant. Mon père s’est octroyéune cigarette après le repas.

C’est ce jour là, vers 13 heuresqu’une explosion suivie d’unsouffle puissant déferle surValence. Un wagon de nitroglycé-rine venait d’exploser au chantierde la SNCF à la Cécile. Les dégâtsfurent considérables, tout le pour-tour fut détruit. Un essieu et sesroues furent retrouvés sur le toitd’une maison et, dans une gran-de partie de la ville, les toitures etles cloisons furent disloquées.

Plus de courant, un gaz sanspression contraignant à utiliser unappareil appelé “tire-gaz”, uneeau non potable.

La canonnade était terminée ;nous étions à ce moment d’accal-mie où tout est à craindre. J’ai étérequis avec un collègue pourpasser la nuit dans le clocher del’église Notre Dame afin de son-ner les cloches, à la main, en casd’alerte. Nous nous installonsdans la tribune, puis nous déci-dons d’escalader le clocher parl’extérieur, une bougie fixée aucasque ! Nous ne sommes pasallés très haut, ayant entendu lecanon. Ce n’est que le lendemainque nous avons appris qu’unchar allemand, stationné en hautde la côte de Chabeuil, avait prisnos lumières comme repère. Unobus a fracassé le fronton del’école Berthelot et un autre estentré par la fenêtre ouverte de lachambre de Bernard le grainetier,sans exploser heureusement.Enfin au petit jour, nous donnonsl’alerte pour rien.

Avec les scouts, nous commen-çons à nettoyer les bâtimentsabandonnés par les allemands.Peu de gens savent qu’à la poly-clinique d’alors (rue Amblard)pendant que les allemands soi-gnaient leurs blessés au premierétage, au second se trouvaient en

traitement des soldats parachu-tistes américains.

L’inquiétude montait : tout étaitd’un calme anormal. C’était jecrois un samedi. Maman m’en-voie chercher du pain pour deuxjours, le dimanche étant jour defermeture. Je pars vers huitheures par la Rue Chorier pourme rendre avenue de Chabeuil.A l’angle de la rue de l’Isle, je suisarrêté par un homme avec unbrassard rouge, mitraillette aupoing. “Où vas-tu petit ?” “Je vaischercher du pain Monsieur.”“dépêche-toi et ne sors plus çàrisque de barder”. Je vis alors surle trottoir, le long du mur deshommes en civil, armés jusqu’auxdents, qui avançaient en filindienne vers le centre ville. Jeregagnai la maison en courant etracontai tout. La Libération com-mençait.

Après le repas de midi je mehasardai à aller voir un ami habi-tant Boulevard Maurice Clerc etlà, devant la Maison du Tourisme(aujourd’hui disparue), je vis lespremiers américains mâchantleur chewing-gum sous les pla-tanes. Une jeep stationnait devantle Café Donger avec, au milieud’officiers, un français servantl’interprète. Petit à petit lesfenêtres se couvraient de dra-peaux. La foule s’attroupait à cepoint sur la place Madier-Montjauque les soldats durent tirer en l’airpour la contenir.

Une petite troupe de soldatsallemands désarmés est passéevenant de la rue Jonchères et serendant au Faubourg St Jacques.Les soldats ont été en quelquesinstants couverts de crachats.J’en ai regardé un longtemps,d’un certain âge, pas rasé, lesmains croisées sur la nuque. Ilavait un léger sourire indéfinis-sable. Je pensai qu’il était contentque cela finisse si bien pour lui.

On signale que des femmes col-laboratrices se font tondre lescheveux à la prison. On y va, maison arrive trop tard. La foulerefluait de nouveau vers le centreen se garant pour laisser passer

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les tractions-avant archipleinesmême sur les ailes, avec des ins-criptions à la peinture blanche“FFI” ou “PONS”. Devant la pâtis-serie anciennement « Colette »,j’entendis une femme hurler :“Regardez cet homme, il fréquen-tait les allemands !” Une autrevoix répondit “Il n’y a qu’à luiarracher les yeux !” La journées’acheva dans la liesse. Des balspublics se tenaient sur les places.Pour nous, c’était la fin de laguerre.

Puis le calme revint. Les arméesalliées remontaient sans répit lavallée par fer et par la route. Levirage pris par les chars sur l’ave-nue Victor Hugo et les boulevardsavait creusé une ornière de plusd’un mètre de profondeur, sansarrêt comblée.

Un matin des cadavres de colla-borateurs fusillés sans procès

pendaient aux réverbères de laplace Madier-Montjau. Au cinémaLe Provence, on passait “Marius”de Pagnol. Le reste de la trilogieest passé longtemps après l’ava-lanche américaine : “Les Troislanciers du Bengale”, la série“Pourquoi nous combattons” deCapra. Le chewing-gum étaitdans toutes les bouches. Tout lemonde fumait : Camel, Old Gold,Raleigh, Players, Navy Cut etautres “Prince Albert”, y comprisdans les cinémas où l’air étaitirrespirable.

Le ravitaillement aussi s’amélio-rait ; chez les commerçantsd’abord qui préparaient l’aveniren étant plus coulants sur les tic-kets. Les conserves américainesétaient là : qui ne se souvient du“Beans”, du “Meat and vege-tables stew” ou “Pork and soyalinks” ?

Pour traverser le Rhône en avaldu pont, on utilisait “Le Pilotin “remorqueur à vapeur avec à labarre le populaire Pépé Lafont.

Après l’armée allemande, lesaméricains utilisèrent notre collè-ge jusqu’au 15 novembre, datede la rentrée. Beaucoup de pro-fesseurs et d’élèves étaientabsents. On a su longtemps aprèsqu’il y avait un certain nombred’enfants juifs parmi nous etd’adultes recherchés qui avaientpris la soutane comme déguise-ment.

Tout est terminé ! Ma penséed’enfant de 14 ans me revient :“Quel bel été nous avons passé !”.

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Une poignée d’anciens scoutsde la 2° Valence se sont retrouvéscomme tous les deux ans, les 6 et7 octobre 2010, et cette fois chezles Clarisses à Crest. 73 invita-tions avaient été envoyées, maisnous nous sommes retrouvés aumaximum 12 anciens scouts et 4épouses ce qui n’est pas particu-lièrement brillant. Il est vrai queplusieurs parmi les plus anciensavaient eu la gentillesse de s’ex-cuser comme d’autres atteintspar quelque maladie souventcompagne de l’âge avancé.

Etaient présents : Louis DeChalendar, le père MaxDelarocque, Michel Lafont et sonépouse, Maurice Lafuma et sonépouse, le père Pierre Lambert,Bernard Molle, Jean-Régis Molle,Jacques Molle et son épouse,

Jacques Vacquier, Louis Vian etson épouse.

On se doit de féliciter notre amiJacques Vacquier qui a eu le cou-rage de venir de Bordeaux.

Malheureusement depuis notredernière rencontre sont décédés :Jean Molle, Maxime Lambert,Jean Bossan, François Gastoud etJ.C. Chabert.

A la veillée nous avons échan-gé des souvenirs ; Pierre nous abeaucoup parlé des scouts d’au-jourd’hui dont la spiritualité aucamp, dépend de celle du chef,en raison de l’absence générali-sée d’aumônier.Jeudi matin, nous sommes partisfaire une belle balade de 2 heuresautour de Crest pendant qued’autres se promenaient en voiture.

Nous avons été admirable-ment reçus et aurions aiméremercier de vive voix lesClarisses que nous avons seule-ment entraperçues.

Dans deux ans, nous avonsprévu de nous réunir au grandséminaire de Viviers. Il serait sou-haitable de se retrouver plusnombreux pour éviter l’extinctionde notre groupe.

Notre rencontre s’est terminéepar une messe concélébrée parles pères Maxime Delarocque etPierre Lambert ; bien sûr, nousavons eu une pensée pour nosanciens âgés, malades ou mal-heureusement décédés.

Les anciens scouts chez les religieuses Clarisses à Crest

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La journée du 28 Septembre2010 a été marquée par unedéclaration officielle du Secrétairegénéral de l’Enseignement catho-lique, Eric de la Barre, attirant l’at-tention sur la mauvaise situationfinancière d’un certain nombred’établissements.

Dans le même temps leSecrétaire général a soulignéqu’année après année l’enseigne-ment catholique conforte sonattractivité. Ainsi la rentrée 2010

a fait ressortir une augmentationde 0,4 % du nombre d’inscrits,soit exactement 7.165 élèvessupplémentaires principalementdans le secondaire (+ 0,7 %)alors que les effectifs du primairerestent stables (847.183 dans leprimaire, 1.123.109 dans lesecondaire et 49.924 dans l’en-seignement agricole). Cette aug-mentation concerne 22 des trenteacadémies ce qui fait qu’au coursdes 5 dernières années, l’ensei-

gnement catholique sous contrata gagné 24.000 élèves ce quiporte le total de ces derniers à unpeu plus de deux millions d’ins-crits.

Dans le même temps, l’ensei-gnement catholique aura été enquelque sorte victime de son suc-cès puisque le nombre d’inscrip-tions non satisfaites s’élève,pense-t-on, entre 30.000 et40.000 ! Ce phénomène est sur-tout perceptible dans les

Menaces sur l’enseignement catholique

On a pu lire dans notre précédent numéro quelquesvers adressés par un ancien élève relatant quelquesimpressions ressentie en son temps par un pen-sionnaire de l’IND. Cette relation n’a pas été appré-ciée de tout le monde. Loin s’en faut. Un élève d’au-jourd’hui, Noé Michalon, nous a envoyé à son tourquelques vers donnant son avis. Nous ne résistonsévidemment pas au plaisir de les publier ci-dessousen partie seulement, question de place.

Souvenirs… Souvenirs

Bonjour Messieurs les anciens qui fûtes autrefois, lespontes de cet établissement. Je me présente, je m’ap-pelle Noé Michalon et je suis en ce moment, enPremière III ES dans cette sublime enceinte….

A Monsieur Misson, je donne la réplique :

Son poème récent, m’a bien interpellé.En effet, ses rimes étant ma foi fort caustiquesM’ont sur mon lycée, beaucoup de chose révélé !Et j’adhère tout à fait à son divin message,Car si soixante ans peut-être nous séparent,Ce n’est pas pour autant que vous étiez plus sages,Tous deux nous adorons la poésie, cet art !Et l’utilisons pour la dénonciation,Oui, je fais partie de la jeune génération !Alors certes, elles ont bien changé les conditions !Mais la révolte gronde, c’est la sédition….

… sans connaître Yves Misson, son message m’a beau-coup touché et je respecte tous les anciens de l’IND quiont subi pour la plupart, sept années de détention !!

De son côté un ancien élève qui signe modeste-ment “Mirliton”, n’a pas pu s’empêcher derépondre en vers également, aux scripteurs précé-dents. Voici sa réponse :

A MISSON et MICHALON, ces quelques vers de MIR-LITON.

Dans un monde ignorant la versificationVous taquinez la muse, Misson et Michalon.L’un évoque en grognant le temps de sa jeunesse,Le froid et la disette, le matin tôt la messe.C’était après la guerre, dans notre InstitutionDes pions qui se gavaient, ne laissant que croûtonsDans de tristes bouillons aux petits yeux de graisse,A de pauvres garçons assis sur maigres fesses.L’autre surenchérit par juvénile ivresseEt fustige les profs, déplore leurs bassesses,Leurs pratiques barbares puisque de son cerveauIls auraient supprimé l’inutile fardeau.Mais qu’il s’exprime bien pour un anencéphaleTerminant son propos comme un normo-mentalEt trouve le moyen de calmer sa rancœurDe sévère censeur devient même encenseur.L’un s’en va vers la vie et vers la nostalgieL’autre tient son bilan, soulage ses algies.Nos deux faiseurs de rimes pleins d’interrogationsNous disent en finissant : c’était quand même bonD’être beau, d’être jeune, de lire Fénelon,Et de pouvoir user son fond de pantalonSur les augustes bancs de cette InstitutionDont le seul souvenir suscite les passions.

Académies de Nice, Montpellier,Paris et Versailles. Il est essentiel-lement dû au contexte budgétairequi a contraint l’enseignementcatholique a renoncer à 1400postes d’enseignants sur les16000 supprimés dansl’Education nationale.

Du coup le Secrétaire généralprévient que si l’Etat en 2011,2012 et 2013 prive annuellementles écoles catholiques de 1500 à2500 postes, ces écoles ne pour-ront plus assurer le suivi desélèves qui leur sont confiés et laseule solution sera de fermer des

classes. Pire : “Si les réductionsd’effectifs sont mises en placedans les trois prochaines annéessans mesures structurantes, ilfaudra sans doute fermer 1000écoles primaires, 100 collèges et70 lycées.”

Au nombre des remèdes propo-sés, figure une diminution duvolume horaire d’enseignement,ou encore une réduction dunombre d’options au lycée ouenfin enseigner certainesmatières à distance comme le faitdéjà l’enseignement catholiquedans l’académie de Nancy-Metz.

Mais d’ores et déjà, entre 500 et1000 établissements se trouventdans une situation financière diffi-cile parce que les financementspublics provenant de l’Etat et descollectivités territoriales (1,7 mil-liard d’euros) ne correspondentplus à la parité déterminée par laloi Debré de 1959. Le retard parélève et par an est estimé à 205 €dans le primaire et à 345 € dansle second degré.

(D’après le journal La Croix du 29septembre 2010.)

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Campagne éclair des anciens en terre arlésienneVisite à Jules CésarCe devait être une inoubliableexcursion. Tout avait été minu-tieusement préparé. Après étudeà la loupe des devis, un accordavait été signé avec la Société“UNTEL” qui nous faisait un bonprix. Départ prévu de l’IND à8h30. Il fallait être à l’heure : nousavions rendez- vous avec JulesCésar à 10h30 en Arles, ce 11sept.. Peut être eut-il fallu seméfier de cette date. Dans un telcontexte, la prudence aurait exigéavant toute décision, une consul-tation sérieuse des augures et desharuspices. Nous ne le fîmes pas,nous allions le regretter. LeRoubion, à défaut du Rubicon, futfranchi vers les 9 h. Chacun sefaisait une joie de retrouver ceJules que nous avions perdu devue depuis le “De bello gallico”,au cours de notre classe de sixiè-me.

Le début du voyage se déroulasans incident. Nous longions lePays des Voconces, les conversa-tions allaient bon train. Il nous tar-dait de revoir le visage noble etsévère du vainqueur d’Alésiaaprès son long séjour subaqua-tique : une plongée de prés de2000 ans dans le Rhône. M.Putoud, originaire d’Arles, était

avec nous, lui aussi impatient derenouer avec son enfance.

Brusquement le moteur du cardonna des signes de défaillance.Le ronronnement devenait pous-sif. Une brève montée fut incrimi-née. Puis à l’occasion d’un faux-plat descendant, tout rentra dansl’ordre. Fausse alerte ? Nenni…Une nouvelle côte provoqua unenouvelle baisse de régime. Lavitesse tombait. Les poids lourdsparaissaient maintenant nousdoubler à folle allure. L’inquiétudeétait grandissante : nous n’arrive-rions pas à temps. Notre dériveautoroutière devenait un réel dan-ger. Le procédé dit de la tortue(confer Astérix), si efficace autemps des légions romaines,devenait, au XXIème siècle, problé-matique sur la via AgrippA7.Nous risquions la catastrophe.

Le chauffeur dont le visage étaitpassé au rubicond s’entêtait à gar-der le cap sur le sud. Il avait fré-quemment emmené des pèlerinsà Lourdes avec le même véhicu-le : il espérait un nouveau miracle.La sédition s’organisa. Autoritaire,notre Président J.M. Rivoire luienjoignit de battre en retraite. Il fitla sourde oreille. Alors le mêmeprésident demanda un vote. A l’is-sue, il fut décidé de renoncer.

A Bollène, nous fîmes demi-tour. Une voix sépulcrale s’élevadans nos rangs : “Navré César,ceux qui doivent revenir tesaluent !”.

Après le panache blanc de lacentrale du Tricastin, les collinesavinées de St-Restitut défilèrentdevant nos yeux défaits. Nouseûmes une pensée pour lacélèbre marquise au large deGrignan. A Montélimar, embou-teillages et bouchons (Côtes duRhône obligent), nous offrirenttout le loisir de découvrir la zoneindustrielle. Le Roubion fut repas-sé sans tambour ni trompette.

Quelle allait être la réaction deCésar en apprenant notre dérou-te ? On ne se paye pas impuné-ment la tête d’un tel homme,même dans un musée… Il aurait,dit-on, reçu la nouvelle sans sour-ciller : son visage est resté demarbre. Gageons qu’il en a vud’autres et que dans 2000 ans, ilne s’en souviendra plus. Il auraalors passé beaucoup d’eau sousle pont d’Arles et le moteur du carsera peut être réparé ? Mirliton

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Nouvelles des anciensARNOUX Guy (1944) - D’un ancienqui ne s’est manifesté que trop rare-ment, nous avons reçu dès l’envoi dela Revue 2010, la communicationsuivante :“Tout de suite à la réception du bul-letin je vous envoie ces quelqueslignes, sinon cela fera commechaque année, le temps passe et lenouveau bulletin se présente… Ce bulletin m'a apporté biende mauvaises nouvelles, en premierlieu le décès de Jean Molle. J'avaisrepris contact avec lui il y a quelquesannées depuis sa retraite et aprèsdeux ou trois lettres et un coup de filnous n'avons pas repris contact et jesuis très éprouvé par son décès quidate déjà de presque un an ! Toutemon amitié à Jacques et à sa famille.D'autres nouvelles m'ont aussipeiné, le décès de Maxime Lambertet de Jean-Claude Chabert, tous desanciens de la belle époque où j'étaisassistant de troupe à la 2, mon ami-tié à Pierre. Surpris des nouvelles deJacques Semet et des Lamotte enparticulier à Jean que j'avais revuune fois à Genève. Tout cela nouspousse et les rangs s'éclaircissent,enfin c'est la vie.J'en profite pour vous donner de mesnouvelles. Je suis évidemment à laretraite et m'apprête à entrer dansma 84e année. Après l'IND et 2 ansde séminaire, j'ai été frappé detyphoïde et des années de galère etde sana et hospitalisation ont suivijusqu'a une opération de thoraco, 5ans de lit et de soins. Je me suisensuite marié et devenu comptablejusqu'à ma retraite effective en 2000.Actuellement les maux de notre âgesont là : difficultés à se déplacer,conduite auto presque inexistante endehors de quelques courses en villeet beaucoup d'essoufflement dûs àmes opérations et qui me fatiguent.Ma femme va se faire opérer le 30d'un cancer gynécologique et dèsson rétablissement d'une prothèsede la hanche suivi 6 mois plus tardd'une deuxième prothèse.

Voilà brièvement quelques nouvelles,à tout hasard si cela intéresse quel-ques-uns voici mon adresse mailguyarnoux@orange.fr et mon adresseest toujours 5 Avenue de Barral.74600 Seynod.Excellente journée du 8 mai, je pen-serai bien à vous et amitiés à tous.”

Que l’on permette au rédacteur de cebulletin, d’envoyer à Guy le témoi-gnage d’une amitié qui n’a jamais étéoubliée malgré les années.

ROUET Maxime (1940) - Comme ona pu le lire par ailleurs, c’est Maximequi a célébré la messe de la Journéedes Anciens 2010 et c’est lui qui aprononcé cette homélie que nousreproduisons dans une page voisine.Profitons-en pour donner ici de sesnouvelles.Maxime, depuis plusieurs annéesmaintenant est l’Aumônier en titredes Petites Sœurs des Pauvres quitenaient dans le quartier Jappe-renard (vers la Place de la Paix àValence) une Maison de Retraiteouverte a bien des vieillards. Il avaitnotamment succédé à ce poste à unautre prêtre bien connu à Valence, lePère Combel. Or un beau jour, ons’est avisé, non sans raison, quel’établissement n’était plus auxnormes exigées pour cette sorted’établissement. L’ennui c’est que lesPetites Sœurs des Pauvres, portantbien leur nom, n’avaient pas lesmoyens de financer les travauxnécessaires. La sanction est tombée :il fallait fermer la Maison de retraite !Pendant plusieurs mois, on a cher-ché des solutions. Malheureusementen vain. Les Petites Sœurs ont quittéValence au début de l’été mais laMaison de retraite n’a pas fermé sesportes.En effet, un médecin du Sud-ouestde la France, frappé par la catas-trophe qui frappait non seulementValence mais tous les établissementstenus en France par ces religieuses adécidé d’apporter une solution. Il adonc fondé une association appelée“Géron-Vie” qui a pris en main ces

Maisons de retraites vouées à la dis-parition. Les travaux nécessaires sonteffectués grâce à des emprunts rem-boursés progressivement par lespensionnaires. Un directeur a éténommé et ce dernier a demandé àl’ami Maxime de bien vouloir conti-nuer à être l’aumônier de la Maison,ce qu’il a évidemment accepté avecreconnaissance. Maxime Rouet est donc toujours à lamême adresse et il apporte aux pen-sionnaires le secours de son sourireet de sa profondeur de pensée. Onne peut que se féliciter de l’heureuseissue d’une crise qui n’a jamais réus-si à ébranler la confiance en Dieu denotre ami.

DELAROQUE Max (1939) - Commenous l’indiquons par ailleurs, l’amiMax était absent à la dernièreJournée des Anciens, retenu qu’ilétait par d’autres obligations. Il acompensé cette absence par unelongue lettre dont nous nous faisonsun plaisir et un devoir d’en citer delarges extraits : “Puisque c’est l’an-née du Sacerdoce décrétée par notrePape Benoit XVI, à l’occasion du150ème anniversaire de la mort duCuré d’Ars, voici le témoignage detrois jeunes que j’ai rencontrés…Les deux premiers sont deux jeunesde 17 ans originaires de Toulouse.C’était à Taizé. Voici un extrait deleurs lettres.

Echos des Anciens

D’abord celle de Clément : “Commeil avait été promis sur la colline de laSérénité (il appelle ainsi la colline deTaizé) voici quelques mots pour vousremercier… . Je souhaite que malettre vous parvienne aux alentoursdu 1er octobre, fête de Ste Thérèse del’Enfant Jésus, étant donné qu’elle apris une place particulièrementimportante dans votre vie…Le séjour à Taizé fut comme toujoursenrichissant, mais encore plus cettefois-ci, car votre rencontre fut unvéritable cadeau du ciel. Votre témoi-gnage m’a beaucoup marqué. Jecrois pouvoir dire qu’aucun jeunen’aurait été insensible à ce que vousavez partagé avec nous : la manièrede prier, accepter ce que l’on nedésirait pas et qui nous arrive, dis-cerner le chemin de Dieu dans notrevie. Et vous avez si bien illustré votrevision de prêtre : “un homme quidonne sa vie pour aider les autres àréussir la leur.” J’aurais tellementvoulu rester quelque temps de plusmais votre rencontre a été une belleavancée dans ma foi et je vous enremercie de tout cœur… Auriez-vousquelques conseils pour demeurerproche de Dieu dans ma nouvellevie ?… Encore une fois merci pourvotre témoignage si précieux.Voici le témoignage de Bérangère :“Je vous avais déjà préparé une lettremais elle ne reflétait pas ce souffleque vous avez su nous transmettre.J’ai bien apprécié de pouvoir vousquestionner et vous écouter sur votreexpérience avant de repartir dans maGalilée pour y accomplir ma mis-sion… Côtoyer des hommes de foinous aide à avancer dans la nôtre.Des rencontres de ce genre changentnotre vie. De retour dans ma ville jen’oublie pas le Bon Dieu et je rediscette prière que vous nous avezapprise « Seigneur fais-moi bienconnaître ta volonté et donne-moi laforce de l’accomplir.” Merci mon

Père pour tout…Enfin voici ce que j’ai vécu avec unedénommée Karine d’Etoile. Elle étaità cause d’un baptême à une messeque je célébrais à Mercurol. A la finde la Messe elle vient me voir et medit : “J’ai été tellement touchée parvotre homélie qu’il faut absolumentque je vous rencontre.” Je l’ai invitéeà venir prendre un repas chez moi.Elle m’a raconté sa vie et je lui aidonné le Sacrement du pardon.Maintenant elle fait partie d’une équi-pe d’Action Catholique que j’accom-pagne et où elle participe vraiment.Elle a 22 ans et elle est infirmière. Avec moi, rendez grâce à Dieu.Merci. “

DESPESSE Jean (1942) - Nous aadressé un petit mot pour expliquerson absence à la Journée desAnciens, lui qui est un fidèle parmiles fidèles :“Mon cher Président, ayant passésept jours au Centre Hospitalier deValence, il ne me sera pas possibled’être des vôtres le 8 mai. Je leregrette beaucoup et vous prie debien vouloir m’excuser.Appartenant à la Promotion 1942,nous commençons à n’être plus trèsjeunes. Cependant je garde d’excel-lents souvenirs des neuf années pas-sées à l’IND. Je souhaite une bonnejournée à vous tous, avec mesmeilleures amitiés.”

COQUET Jean-Pierre ( ) - Dèsla réception du 95ème numéro denotre bulletin, Jean-Pierre nous pré-vient que malheureusement il seraiten transit professionnel dans le sud-ouest à la date de notre “Journée”. Ilen profite pour souhaiter à tous ettoutes de partager un momentd‘échange de souvenirs du tempspassé et de réflexion sur les temps àvenir, aussi intense et amical que lorsdes rassemblements précédents. Ilajoute : “Quelques précisions sur cequi m’amène à nouveau à être éloi-gné de Valence le 8 mai. Ces préci-sions reprennent les nouvelles que jevous avais transmises dans de précé-dents courriers ; depuis dix ans àprésent, je travaille au sein du mêmecabinet basé sur Lyon avec une acti-vité soutenue tandis que le contexteéconomique global pourrait laissersupposer le contraire.

Je suis amené à sillonner la France,afin d’accompagner des personnesen situation de pilotage d’équipesgrandes ou petites dans différentssecteurs comme l’industrie, labanque, le service ou le médical.Cela représente un volume moyenannuel de 3 à 400 personnes accom-pagnées à qui je dois en retour, dem’apprendre énormément de chosespar leurs réactions, réflexions,convictions et analyses pertinentesdu contexte actuel.Cela m’amène à vous dire que jem’appuie également sur les valeurstransmises par l’ensemble des pro-fesseurs de l’IND dont les enseigne-ments restent toujours ancrés.”

GUERRY Alain ( ). Souhaite àtous de passer une bonne journée enprévenant qu’il ne pourra être pré-sent à la Journée des Anciens car ilétait en séjour à Cannes jusqu’au 30mai cette année. Tout le mondeespère que ce séjour aura étéagréable surtout au moment duFestival…BELIANDO Jean-Pierre ( ) - Enversant sa cotisation s’excuse de nepouvoir être des nôtres pour laJournée des Anciens dont la date luia été heureusement rappelée parClaude Bouthéac qu’il remercie vive-ment de ce rappel. Il souhaite à notreAssociation une parfaite réussitedans l’organisation de cette journée.Merci à lui !

Famille CRAMBERTSuite à une brève diffusée dans unprécédent bulletin, CatherineCrambert, mère de trois de nosanciens élèves - Emmanuelle(1997), Alexandre (2000) etHélène (2004)- et membre actif dela communauté de l’Institution desannées nous a fait parvenir un mes-sage. Toujours fidèlement attachéeà l’Institution malgré l’éloignementet l’installation dans la région deBordeaux, elle rappelle son excel-lent souvenir des professeurs et sonintérêt pour la vie de l’École. Nousla saluons bien amicalement.

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VACQUIER-GUIONNET Jacques ( )Nous avoue qu’il a dévoré le Bulletindés sa réception et précise : “Que desouvenirs, joie pour tous ceux qui sonten vie, tristesse pour ceux qui nousont quittés. Je serai parmi vous le 8mai, mais ce sera par la pensée car àPessac, je suis vraiment trop loin,d’autant que j’ai passé tout le 1er tri-mestre à l’Hôpital pour deux opéra-tions et la rééducation qui doit suivre.Je pense être valide pour le mois d’oc-tobre. Très sincères amitiés à tous.”BOUYON François ( ) - Nous indique succinctement :“Depuis trois ans, je vis une heureuseretraite après une assez longue vieprofessionnelle et je serai heureux departiciper à la Journée du 8 Mai. Je nepense pas être revenu à cette Journéedes Anciens depuis une vingtained’années, mais mon engagementdans l’enseignement catholique de laDrôme m’a quand même souventramené dans ce cher établissement.Bien amicalement à tous.” CHOVET François ( ) - Ne manque pas d’envoyer sa cotisation qu’ilaccompagne d’un petit mot : “Désolépour cet envoi tardif (NDLR. Maisnon, mais non ! )… Cotisation iden-tique à l’an dernier. Mes excuses aucomptable, mais je suis nostalgiquedes francs…”

DESAIGNES Pierre ( ) - A debonnes raisons de ne pouvoir assisterà la Journée des Anciens : “Epousehandicapée, nous dit-il, suite à unAVC. Regrets de ne pouvoir assister àla réunion du 8 mai qui est un vraibain de jeunesse… “

MALLEN Gérard ( ) - A étéretenu le 8 mai par d’autres obliga-tions, comme il le précise dans sacarte de réponse : “En tant quePrésident de la Section de l’Ardèchede l’Ordre National du Mérite, je doisparticiper aux cérémonies commémo-ratives du 8 mai à Privas. Mesexcuses de ne pouvoir assister à cerendez vous annuel des “Anciens” oùj’aurais peut être eu le plaisir de ren-contrer quelques copains des années40-50. Très amicalement.”DUCOL-CHUILON Laurence ( )Ouf ! Enfin une femme !... qui paie sacotisation et s’annonce pour la mati-née seulement de la Journée desAnciens. On l’excuse volontiers, carnous savons tous quelles sont lescharges des mères de famille ! Mercien tout cas de cet effort méritoire.

MARTIN Lazare ( ) - Se fait undevoir de joindre un petit mot au paie-ment de sa cotisation. Il nous précise :“Je suis désolé mais je ne pourrai pascette année assister à la Journée desAnciens. En effet je suis retenu dansma commune pour les manifestationsdu 8 mai en tant que Maire honoraire.Je suis en effet très attaché à ce villa-ge que j’ai administré pendant 28 anssuccédant ainsi à mon père (mairependant 25 ans) et à mon grand-père.Je regrette bien cette absence et jevous prie de bien vouloir saluer de mapart les anciens de 1940 à 1946, pré-sents au rendez-vous. Merci.Je suis toujours en contact permanentavec Jean Courty et Henri Nourrit :nous étions encore ensemble avecnos épouses ce dimanche 25 avril.Amitiés à tous.”

GUINOT Jean-Noël ( ) - EtienneThomasset a fait parvenir à la rédac-tion du Bulletin, une lettre de Jean-Noël, concernant la mort du PèreImbert qu’il venait d’apprendre à lalecture du bulletin de l’an passé. Voicile texte de cette lettre : “J'ai lu avecintérêt et émotion l'évocation qui estfaite de lui (le Père Imbert) et de sa viede prêtre… Je vous ai dit combienj'étais lié au P. Imbert et combien jelui étais redevable, depuis le temps oùil fut mon professeur de grec en clas-se de Seconde (les cours se don-naient à l'IND, bien qu'à cette époqueje fusse interne au Petit Séminairetout à côté). C'est à lui que je dois

d'avoir choisi d'entreprendre desétudes de Lettres classiques - en sor-tant de la classe de philosophie avecle P. Jean Amouroux, un autre ensei-gnant à qui nombreux de ceux de magénération doivent également beau-coup, je voulais choisir la voie de laphilosophie...-, et je suis, par la suite,toujours resté en contact avec lui.Il a béni notre mariage et nous aaccompagnés en plusieurs momentsimportants de notre vie : la mort demon père - c'est lui qui alors a donnél'homélie -, et celles de mes tantesGuinot, jusqu'à celle de la dernière dela fratrie en février 2007, qu'il visitaitfidèlement et qui l'a précédé de peuau même étage de la Maison del'Espérance devenue Olivier.J'aimais chez lui sa liberté de parole,son esprit incisif et volontiers caus-tique, la vivacité et la clarté de sonintelligence. Sans doute l'âge venantet l'accident dont il fut victime en ren-trant de la Cathédrale l'avaientquelque peu diminué, et en lui ren-dant visite, chez les Sacramentines,puis à l'Espérance, j'ai pu voir son uni-vers et ses lectures se rétrécir pro-gressivement. Je ne l'avais pas revudepuis juin ou juillet 2009, et vousm'avez appris que depuis le mois deseptembre et son accident vasculairesa vie était douloureuse et pour lui etpour ceux qui, comme vous, l'accom-pagnaient fidèlement. Je suis heureuxqu'il ait pu, grâce à vous, trouverréconfort et apaisement dans cettemaison de retraite où, comme beau-coup, il n'est pas allé de gaîté de cœuret où il n'a pas été bien accueilli,m'avez-vous dit. En le voyant dans sapetite chambre, dans un dépouille-ment presque total - il n'avait gardéque de rares livres qu'il n'ouvrait plus(?) et quelques dictionnaires de sonpassé d'enseignant (je repensais à sabibliothèque au Séminaire et à la rueFarnerie, bibliothèque dont j'ai égale-ment profité), comment ne pas voirque ce dépouillement avait quelquechose non seulement de nécessaire,vu la configuration des lieux, mais devolontaire. C'était un homme discretet d'une grande humilité et, même s'ilne se privait pas - un peu à la maniè-re de François Mauriac - de lancerquelques piques bien acérées contretel ou tel confrère ou telle décisionépiscopale, ponctuées d'un rire quin'avait rien de blessant pour ces

cibles, il nourrissait secrètement enlui une profonde vie intérieure qui,du confessionnal de la Cathédraleaux multiples rencontres avec sesanciens et anciennes élèves (Saint-Victor où il enseigna aussi, commeauparavant le P. Léopold Jacob, qu'ilimitait fort bien !) ou avec ses nom-breux amis, était la source de toutson ministère de prêtre, d'enseignantet d'accompagnateur. Je regrettedonc grandement de ne pas pouvoirparticiper cette année à la réuniondes Anciens de l'IND et à la messepar laquelle elle s'ouvre traditionnel-lement, où il sera fait mémoire de luiet d'autres anciens défunts. Je seraià cette date à Rome pour un colloqueet une réunion de travail avec unepetite équipe italienne qui prépareavec moi l'édition des Homélies surles psaumes de Saint Basile deCésarée.A vous et à tous ceux qui seront pré-sents - je pense que l'on fêtera toutparticulièrement le vert nonagénaireJacques Hervé -, je redis mon amitiéet je souhaite une belle rencontre. Jevous remercie tout particulièrementde tout ce que vous m'avez faitconnaître de la fin de vie du P.Imbert, de tout ce que vous avez faitpour lui par votre présence attention-née et affectueuse.”

REY Daniel ( ) - “Amitiés à tous !“écrit-il, simplement sur le billet quiaccompagne sa cotisation. On le luirend bien, et merci pour la cotisation.

ROUX Pierre ( ) - Nous deman-de de bien vouloir le rayer de la listedes anciens élèves et de ne plus luienvoyer le Bulletin. Ce sera fait, avecregrets évidemment.

CHAVANNES Georges (1939-40)Comme chaque année, notre“ancien ministre” nous envoie sa

cotisation à laquelle il joint celle deson frère François toujours PèreDominicain à Alger. Il joint quelquesmots à son envoi : “C’est toujoursavec beaucoup de plaisir et d’intérêtque je reçois le Bulletin des anciensélèves. Je l’envoie à mon frèreFrançois à Alger qui est toujours heu-reux de le lire.Deux questions : 1°) La 2ème Valence(scouts) existe-t-elle toujours ? Lescoutisme a beaucoup marqué mavie. 2°) Aujourd’hui combien y-a-tild’élèves à l’IND ? Au début de laguerre 1939-1940, il y avait mesemble-t-il 300 élèves, la moitié étantpensionnaires.Chaque année, je viens deux mois àLa Louvesc où j’ai la joie de revoirMax Delaroque avec lequel je suisresté très ami. Bien amicalement.”

Eh bien non, la 2ème Valence n’existeplus et tous les anciens qui en ont faitpartie s’en désolent. C’est la raisonpour laquelle tous les deux ans lesanciens se retrouvent ici ou là, etcette année c’était début octobrechez les clarisses à Crest.Quant au nombre d’élèves, il estactuellement voisin de 1800.

HERVE Jacques ( ) - Nous avaitprévenus à l’avance dans un brefmessage : “J’assisterai à la messe du8 mai à 10 h mais je ne serai pas desvôtres pour le repas. Une auditiondevenue difficile d’une part : le bruitme fatigue beaucoup. Et d’autre partl’arrivée de tous nos enfants qui vien-nent souhaiter les anniversaires demon épouse et le mien (90 ans)…avec retard ! Mais pour les réunirtous, ce n’est pas simple Avec mesregrets je dis à tous bonne journée !”.Que notre cher Jacques et son épou-se Nicole trouvent ici les vœux quenous formulons de tout cœur pour unbon anniversaire et une encorelongue et heureuse vie.

LAMBERT Pierre ( ) - Nous aurabien manqué cette année lui qui estun fidèle parmi les fidèles. Il s’enexplique dans une lettre qu’il nous afait parvenir :“Cher amis, je suis habituellementfidèle à cette journée des anciens.Hélas, cette année je sois célébrer lemariage d’un petit neveu ! (NDLR. Ilne faut pas se désoler pour cela !). Jesuis toujours à la Chapelle en

Vercors. Je n’ai plus la charge de laparoisse mais je tache de me rendreutile pour les célébrations dans lescinq villages du plateau. N’ayant pasde remplaçant, je demeure toujours àla cure de la Chapelle où je peuxaccueillir les anciens de passagedans le magnifique Vercors. J’en aiété pendant vingt ans le curé, etmaintenant l’évêque a réuni laparoisse du Vercors à celles duRoyans. Le curé, Christian Roche-gude est à St-Jean en Royans.J’ai la chance, à 85 ans, d’avoirencore une santé correcte ce qui mepermet de pouvoir m’adonner à monsport favori : le ski. (ndlr - Signalonsà ce propos qu’il a fait l’objet d’unexcellent reportage dans l’hebdoma-daire Drômois-Ardéchois qui a suc-cédé à Peuple-Libre et à TerreVivaroise.) Je vais fêter en 2011, messoixante ans de sacerdoce. Je suisun prêtre heureux. A tous ma fidèleamitié ! “

Nous espérons bien avoir des nou-velles de l’anniversaire du sacerdocede Pierre et comptons le revoir à laprochaine Journée des Anciens.

MONTEIL André ( ) - Conseillergénéral et maire honoraire deLargentière (Ardèche) nous envoieun petit mot accompagnant sa coti-sation en regrettant vivement de nepouvoir participer à l’AssembléeGénérale et adresse à tous ses vivesamitiés.Merci à lui et à bientôt de le revoir.

AMOUROUX Jean-Marc ( )Adresse à Jean Devis une lettremanuscrite depuis son Abbaye NotreDame de Langonnet en Bretagnepour s’excuser de ne pas être desnôtres à la Journée des Anciens. Il enprofite pour se rappeler au bon sou-venir de tous ceux qui se souvien-nent de lui et mentionne ses souve-nirs personnels de Louis Mottet etsurtout les anciens scouts : JeanLamotte, Jean Bénier, Claude Caron,Michel Testut Papazian, MichelLafont, Pierre Piron, Pierre Lambertet les professeurs dont il a gardé unbon souvenir : le Père Quiot, le PèreBel etc…Tous ceux qui se souviennent de lui,lui adressent le témoignage de leuramitié.

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Bernard EYRAUD, ancien élève etprofesseur à l’IND est décédé le6 novembre 2010, chez lui, auquartier Laprat, à Valence de cequ’on appelle une longue et dou-loureuse maladie à 68 ans. Il étaitné à Voguë (Ardèche) en 1943 etétait ancien élève pensionnaire àl’Institution, il avait tout jeune,selon ses amis d’alors, l’espritd’entreprise et d’équipe. Dès la sortie de l’IND, il prépareSaint-Cyr, oblique vers une licen-ce d’état d’histoire-géo à Lyon etse retrouve à 24 ans professeurà l‘Institution Notre Dame. C’étaitalors le grand chambardement àl’IND : le Père Joffre avaitconstruit le chalet des Névas àFond’Urle, avec une équipe soli-de et surtout dévouée, on y faisaitdes classes de neige et nombrede professeurs comme les PèresPellizzoni et Robert Ferrier, orga-

nisaient des voyages en vélosou à pied.

Même professeur, il rejoint l’équi-pe scoute de l’Institution etdevient chef de troupe. Il y succè-de à Paul Genoud, lui-même pro-fesseur d’Anglais. A cette époque,l’aumônier des scouts était lePère Champel, professeur dePhilo. Il quitte l’enseignement à30 ans, pour se consacrer au lan-cement du centre de l’Epervière,au bord du Rhône, construit parla mairie de Valence et donné engestion à la mutualité drômoise.Beau chantier pour BernardEyraud, qui, s’occupe d’organiseret gérer les nombreux centres devacances, et de voyages de laMutualité drômoise. A partir des années 96, ses res-ponsabilités le conduisaientchaque semaine à Paris, et sur laliste de ses nombreuses fonc-tions, on relève, qu’il était tréso-rier général de la Fédération de laMutualité Française, Président de

la Prévoyance mutualiste et vice-président des mutualistes dumonde. Cette dernière fonctionl’entrainait à de nombreuxvoyages dans les pays du tiersmonde où son charisme volontai-re portait ses fruits.Il n’avait jamais quitté Valence nison quartier de Laprat. Ses 2enfants Jean-François, journalis-te à Marseille et Luc dans le mar-keting à Paris, ont été élèves, àl’IND. Nous avons transmis nossentiments à son épouse, Marie-Aimée, elle aussi originaire deVoguë, et à ses enfants.

In memoriam

SEINCE Madeleine épouse SORIN(1977) - Ne pourra être présente à laJournée des Anciens pour caused’éloignement. Elle envoie son bon-jour à M. Mazade, au Père Rouet et àtous ceux qui se souviennent d’elle.REY Edouard ( ) - A changéd’adresse nous dit son fils. Il estdésormais à la Maison de Retraite deClaire Fontaine, Route du CœurVolant 78430 LOUVECIENNES. Lanouvelle adresse est enregistrée.

PILLON Bernard et Fabien ( )Ont des parents pleins d’attention quirèglent leur cotisation ! Merci poureux et pour l’Association.

MOLINEAU François ( ) - Atteintdepuis plusieurs années d’une gravemaladie, s’excuse de ne pas pouvoirse déplacer pour assister à laJournée des Anciens. Mais il souligneavec quel plaisir il lit le Bulletin del’Institution qui est, dit-il “un excel-lent moyen de garder le contact”.

DESPESSE Michel - Nous signalequ’il a encore de graves problèmesde santé qui l’empêchent d’assister àla Journée des Anciens. Toutefois,cette santé semble s’améliorer petit àpetit et nous souhaitons tous quevienne une guérison complète.Courage !

BILLAUD Jean ( ) - Nous adres-se une missive courte mais très com-plète : “En lisant le bulletin desanciens élèves, j’ai été peiné d’ap-prendre le décès de Jean Molle quiavait été autrefois mon chef depatrouille à la 2ème Valence. Je pré-sente mes condoléances à Jacqueset sa famille qui nous avait si aima-blement accueilli ma femme et moilors d’un passage à Aubenas quandnous allions aux journées desanciens de la troupe du collège. Parcontre j’ai été heureux des nouvellesde Camille Mourgues. Nous avonsfait le service militaire ensemble et ily a quelques années il m’a envoyé

quelques photos de cette époque.Heureux aussi d’entendre parler d’unautre ancien, Pierre Vallernaud. Safamille m’avait gentiment reçuquelques week-ends chez elle à mesdébuts de pensionnaire au collège.Comme quoi ce bulletin m’apportedes satisfactions car, malgré le tempset l’éloignement, je n’ai pas rompu lecordon ombilical avec l’IND.Merci à vous tous qui préparez lebulletin. Avec toute mon amitié.”

Daniel BEAUMONT (1977) nous afait parvenir ses amitiés à l’occasiondu Nouvel An : “L’année 2010 a étéune année bien pleine. Surtout, j’aiété muté avec la FAO d’Ethiopie enTunisie début novembre. La familleest arrivée fin Novembre. Notre filsainé est désormais étudiant à la FACde Sc. Eco & Droit de Montpellier.” Il vit non loin du Lycée Français àTunis - Belvédère.

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NIER Henri (1923- 1927) . Son épouse Yvonne née Dauphin, sessix enfants, ses dix petits enfants et ses arrières petits enfants, nousont fait part du décès de celui qui fut probablement notre doyen,puisqu’il s’est éteint dans sa 101ème année. La cérémonie religieusea eu lieu en l’église Saint Rémy de Vanves (92170) le 6 avril 2010,et l’inhumation au cimetière du Montparnasse.Nous adressons l’expression de notre très vive sympathie à tous lesmembres de sa famille.

Nadine DORNE-VEYRIER, le 9 novembre 2009. Professeur d’éducation physique et sportive. Elle était partie depuispeu à la retraite, laissant à ses élèves et anciens élèves le souvenird’un professeur dynamique, disponible, attentive à chacun. Sonengagement au service de l’Institution ne s’était jamais arrêté àl’exercice de son métier. Elle avait été des années durant membredu Comité des Fêtes de l’Institution, et organisatrice bénévole duspectacle de fin d’année.

Sandrine (Wostrowski) et LaurentSOULIER, demeurant 20 VillaEugène Leblanc, 75019 PARIS,sont heureux de faire connaîtrel’heureuse venue à leur foyer dupetit Antoine le 4 Avril 2010, petit frère de Flavie, Anna etMartin. Tous nos compliments.sandrine.soulier@gmail.com ou laurent.soulier@free.fr).

Joies et peines partagées

Naissances

13 février 2010Décès de la mère de Mme Sylvie BERTRAND, professeur d'Histoire Géographie

19 février 2010Décès de la mère de Mme Catherine JOFFRE,personnel d'éducation

Juin 2010Décès de la grand-mère de Mme Françoise ABRASSART,Adjointe en Pastorale

2 juillet 2010Décès du frère de M. Jean Louis CHOLLET, responsable de niveau 6ème /professeur d'Histoire Géographie.

27 août 2010Décès du père de Mme Christine ROY, secrétaire élèves/familles

Septembre 2010Décès de la mère deM. Claude GRUNEWALD, professeur d'EPS

19 octobre 2010 Décès de la mère de Mme Catherine CHAREYRON,professeur de SVT

Émilien GRANGEAUDné le 9 mai 2010, fils de Mme Stella GRANGEAUD, secrétaire

Gabin MOULSné le 22 octobre 2010, fils de Mme Audrey MOULS, professeur d'anglais

Élie CONTEné le 1er décembre 2010, fils de M. Stéphane CONTE, professeur d'EPS

Stanislas SEGUINné le 26 décembre 2010fils de Mme Virginie SEGUINprofesseur des écoles

Adam BIGACHEné le 11 janvier 2011fils de Virginie BIGACHEprofesseur des écoles

Mme Martine EYNARD(épouse GARNODIER), le 5 juin 2010, professeur d'anglais.

Décès

Mariages

15

16

Conseil de Direction

L’Institution Notre-Dame aujourd’hui

Chef d'établissement du 2nd degréet Directeur de l'Ensemble Scolaire :M. Bernard PUTOUD

Chef d'Établissement du 1er degré :Mme Claudie ROY

Directrice Adjointe 2nd degré : MmeFabienne SOULIER

Directeur Adjoint 2nd degré : M. Franck MAILLE

Prêtre Accompagnateur : Père Bernard HERAUD

Adjointe en Pastorale : Mme Françoise ABRASSART

Attaché de Gestion :M. Vincent REBOUL

Cadre Éducatif Responsable de la Vie Scolaire : Mme Patricia JERRET

Cadre Éducatif du Collège : Mme Lydie GENIN

Cadre Éducatif du Lycée : M. Thierry JAVELAS

Responsable de niveau 6ème : M. Jean Louis CHOLLET

Responsable de niveau 5ème : M. Luc BAUVET

Responsable de niveau 4ème : M. Jérôme BERRUYER

Responsable de niveau 3ème : Mme Cath. de MONTGOLFIER

Responsable de niveau 2nde : Mme Carole LE GRALL

Responsable de niveau 1ère : M. Franck MAILLE

Responsable de niveau Tale : M. Bertrand PELLETIER

Membres du bureau et responsables Commission de l’APEL de l’IND 2010/2011

PrésidentM. Bruno DESAY

Vice-présidenteMme Valérie JUNIQUE

TrésorierM. Jean-François ESPEISSE

Vice trésorièreMme Nathalie ROYEN

SecrétaireMme Isabelle LECOQ

Membres de bureau

Commission parent correspondantMme Christelle ALLAIRE Mme Fabienne FARGIER Mme Isabelle LECOQ

Commission BDI (Bureau deDocumentation et d’Information)Mme Valérie JUNIQUE

Commission des fêtesMme Christine ABELM. Jean-Christophe RAILLON

Commission pastorale

Mme Laure BROCHARD Mme Monique DUCLAUT

Conseil d’établissement

M. Jacques ABEL Mme Marie-José DURAND Mme Isabelle LECOQ Mme Caroline SOULIE M. Jean-Luc VINAY

Responsables commission

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Liste du personnel de l’IND

PROFESSEURSCOLLEGE & LYCEE

ALLEMANDMelle DEGHISLAGEMme KUMALAM. MAZADE

ANGLAISMme BERNABÉMme CONSTANTINMme DURANDMme FAURIEL-

TERRASSEMme FLOURMme GARNODIERMme GENTIALMme LE GRALLMelle MOULSMme NICOLASMme TIMAL

ARTS PLASTIQUESMme FARESSEMme WEIBEL

DOCUMENTATIONCollège : Mme LIECHTILycée : Mme GAMBIER

EDUCATIONMUSICALEM. BERRUYERM. COILLET-

MATILLON

EDUCATIONPHYSIQUEM. BEAUFILSM. CHALENSONMme CHAPELLEM. CHEVALIERM. CONTEM. GRUNEWALDMme PELURSONMme REBOUR

ESPAGNOLMelle CHATTE F.Melle PIRESMme TERZIANMelle VEILLEUXMme ZAPIRAIN

HISTOIREGEOGRAPHIEMme BERTRANDM. BRACHETM. CHOLLETMelle DESCORMESM. DUMONTMme FAUGÈREM. HOURDOUMme MANEVALMme de MONTGOLFIERMme THIERRYMme WEIBEL

ITALIENMelle DESCORMES(européen)Melle VERBICAROMme NATALE

LETTRESMODERNESMme BIOUSSEM. BOURRYMme EYSSÉRICMme LEMPEREURMme LE QUÉRECM. MAILLEMme MAILLYMme MARTINOMme STOLFM. de TARLÉMme VEY

LETTRES CLASSIQUESMme CARBONNELMme DUFRENEMme RAMADIER

MATHEMATIQUESMme BRIONEMme CARNOY-VELUMme COQUETM. CRESSONMme FERRIERMelle HUARDMme JACQM. LEENHARDTMme MARTINM. MOURYM. PELLETIERM. PERMINJATM. PUTOUDMme TARNAUD

PHILOSOPHIEM. BOUQUERELM. KANE

SCIENCES DE LA VIEET DE LA TERREMme ARMANDMme CHAREYRONM. DARNAUDMme LECOANETMelle MOULINMme PIALETMelle POMMARETMme SOULIER

SCIENCES PHYSIQUESMme ALVADOM. BUISSONM. DUCLOSMme GANDONM. GRANJONMelle LARGEOISM. RAMADIER

SCIENCES ECONOMIQUESET SOCIALESMme BONNARDMelle CHATTE M.C.Mme FABRE

TECHNOLOGIEM. BAUVETM. CHANRONM. CORFMAT

THEATREM. MAZADE

PROFESSEURSDES CLASSES PRIMAIRES

MATERNELLESMme CAIZERGUESMme COMBYMme GELLYMme MOURGUESMme SEGUIN

CPMme DESSEMONMme JONCHERAY

CE1Mme DEHAINEMme MAZEROUX

CE2Mme RUAZMelle SAPEDE

CM1Mme BIGACHE/Mme PRZYBYLSKIMme CARPENTIER

CM2Mme CEZILLYMme FEUILLERATMme GAUDEX

Professeur spécialiséMme FAVE

PERSONNEL OGEC

ASEMMme BETBEDERMme PRALMlle SEDATMme TAVAN

AUMONERIE ET ANIMATION PASTORALEPère HERAUDMme ABRASSARTMme CHABERTMme RIAUSSET

PERSONNEL D’EDUCATIONMme ALLAHOUMM. ATALLAHM. BONDU M. CHOLLETMme CLAVIERMme DELHOMMEMme FEUGIERMme HERITIERMme JOFFRE

AIDE DOCUMENTALISTEMme FERLAY

AIDE INTEGRATIONELEVE HANDICAPÉMme DELETTREMme DUPONT

PERSONNELTECHNIQUE DELABORATOIREMme VERNET

SERVICE INFORMATIQUEM. AGRESTIM. CLAIRIS

PERSONNEL ADMINISTRATIFMlle ALVESMlle BATYMme BETTINIMme CHABALMme COLLUSMme GRANGEAUDMme NAYRACMme ROY JOMARD

INFIRMERIEMme HARSCOET

PERSONNEL DE MAINTENANCEM. PLANTIERM. ROBERTM. TOUDJI

AGENTS DEPROPRETÉMme LEVEILLE(Responsable deservice)Mme BATAEVAMme BIDOISM. CLAIRMme CROTEAU M. ELLAYAMme ISAERTMme LEBRATMme MARTINMme MEHDIMme TOUDJI

PERSONNEL DESURVEILLANCE DERESTAURATION1ER DEGRÉMme PALISSEMme PIC

Le sport au CP :En ce début d’année, nousdécouvrons l’accrogym. Aprèsquelques séances, regardez dequoi nous sommes capables !

Les élèves de CP B.

Le sport en CE2 :Nous sommes allés les jeudisaprès-midi faire de l’athlétisme aupolygone. Cela se passait avec unintervenant qui s’appelle Vincent.Il nous apprenait à pratiquer cesport dans 4 ateliers :• le lancer de marteau• le triple saut• le saut en hauteur• la course de vitesse

Nous avons beaucoup aimé cesactivités car elles étaient variéeset distrayantes.

Pour le lancer de marteau, il fallaitêtre concentré et faire attention àla direction pour ne pas blesserquelqu’un.Pour progresser au saut, il fallaitbien écouter les conseils deVincent.Pour la course, il ne fallait pas sedécourager et courir le plus vitepossible. Toutes ces disciplinesdemandaient de l’attention et ducourage. Nous remercionsVincent et les mamans qui nousont accompagnés.

Les classes de CE2 A et CE2 B

Le sport en CE1 :C’était direction la piscine pour lesélèves de CE1. Ces futurs cham-pions olympiques de natation sesont beaucoup amusés en appre-nant de nouvelles nages ainsi quele plongeon !

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Maternelle et Primaire

Le sport à l’école

Ce fut une rentrée ensoleilléeà l’IND et malgré quelquespleurs en maternelle, les sou-rires s’affichaient sur le visagedes enfants dès l’ouverture duportail. Bonne rentrée auxenfants, enseignantes etparents.

C. ROY - Directrice de l’École

La rentrée desclasses à l’École

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L’équipe des rouges épluche lesmandarines et les sépare en quar-tiers.

Les verts détachent tous les grainsdes grappes de raisin.

Les jaunes épluchent les bananeset les coupent en rondelles.

Les bleus épluchent les kiwis et lescoupent en petits morceaux.

Et voilà notre salade de fruits detoutes les couleurs !

Il ne reste qu’à la sucrer et àmélanger un peu. Puis, nous met-tons tout au frais.

Et l’après-midi, les petits chefs cui-siniers ont encore beaucoup detravail.

Il faut servir les copains, distribuerles assiettes bien remplies, lescuillères et ... DEGUSTER !

Manger ce que l’on avait préparéfut un réel plaisir pour tous. Et...tout a été avalé.

La semaine du goût chez les moyennes sections

Courir sans se dépasser etmarcher avec un anneau posésur la tête et en serpentantentre les plots, ce n’est pas sifacile !

Sport au terrainpour les élèves deMoyenne Section

• En motricité : apprendre à sedéplacer (à 4 pattes, en courant,en sautant, en avant, en arriè-re...).

• A la découverte de la couleurrouge grâce aux différents objets,matières et nuances de rouge queles enfants ont apportés, nousavons rempli une grosse tomate.

• La bibliothèque de la classe.

• L’automne : châtaignes, glands,feuilles, mousse...

• Coin jeux : le garage et les voi-tures

• En motricité : je conduis ma voi-ture.

• En récréation : le toboggan et lacabane

Les activités des élèvesde Petite Section

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Après avoir confectionné un livrecollectif rassemblant les diffé-rentes représentations desnombres rencontrés par la classedepuis le début de l’année, lesenfants fabriquent leur proprelivre en reproduisant les pagesdu livre collectif.

Ils doivent découper et coller enrespectant l’organisation d’unensemble d’éléments dans l’es-pace d’une page.

Quand les élèves degrande section créentleur propre livre

L’escalade est un sport trèsdynamique, nous montons,nous descendons et nousdevons assurer nos cama-rades. Nous avons fait plu-sieurs jeux.Nous avons appris à nousservir du matériel, parexemple, nous utilisons lemousqueton que nousaccrochons au pontet sur lebaudrier pour pouvoir grim-per.Nous avons aussi appris lestrois disciplines de l’escala-de :Le bloc : c’est de l’escaladesans cordeLa difficulté : c’est lorsqu’onmonte haut avec les cordes

La vitesse : c’est lorsqu’ongrimpe le plus rapidementpossible.

Les élèves de CM2 C

L’escalade à l’école

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Janvier est un mois propice pourmettre en avant nos talents d’ar-tistes et de cuisiniers en herbe.Au programme : galettes et cou-ronnes pour fêter comme il se doitl’Épiphanie.

Tout d’abord, nous avons fabriquéchacun notre mini-galette. Nousallons vous expliquer le déroule-ment. Pour cela, il nous faut deuxpetits ronds de pâte feuilletée, dela frangipane et un jaune d’oeuf.

Dans un premier temps, nousavons mis de la frangipane sur le1er rond et nous avons recouvertavec le 2ème. Il fallait bien appuyersur les bords pour fermer la galet-te.

Ensuite, nous avons fait des petitsdessins dessus avec un bâtonnet.

Pour finir, nous avons ajouté le

jaune d’œuf avec un pinceaupour qu’elle soit bien dorée.Après 20 minutes au four, nosmini-galettes étaient prêtes.

Les couronnes, elles aussi,étaient bientôt prêtes : papierargenté, papier doré, gommettes,un peu d’imagination et de créa-tion !

Couronnes sur la tête et mini-galette en main, c’est fièrementque nous sommes repartis à lamaison tels de vrais rois et reines

Galettes et couronnes en Mat A

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A défaut de pouvoir chausserles raquettes du fait de l’ab-sence de neige, les élèves deCM1 ont pu découvrir le ParcNaturel du Vercors d’uneautre manière.Encadrés par une équipe derandonneurs bénévoles et desparents accompagnateurs, ilsont parcouru la forêt deComblezine et ont pu obser-

ver la flore locale : les diffé-rents types d’arbres, leurscaractéristiques.Sur leur parcours, les élèvesdevaient également répondreà des questions sur la faunede la forêt. Ils ont pu voirquelques traces laissées parles animaux de la forêt.Après avoir déjeuné au chaudà l’auberge du GrandÉchaillon, les classes sontreparties pour une balade à lalisière de la forêt. Le sentieremprunté débouchait sur leversant d’une montagnerecouvert par la neige. Là, lesenfants ont pu s’adonner auxjoies de la glisse ; une bellerécréation qui a clos cette sor-tie sur les hauteurs duVercors.

Audrey PRZYBYLSKI

Enseignante de CM1

Randonnée pédestre au Grand Échaillon des classes de CE1 – CM1

Mardi 23 novembre, la classede CM2 avait rendez-vous avecCaroline, bibliothécaire du pôlejeunesse. Elle a proposé etanimé des jeux pour découvrirdifférents romans.

Par exemple les élèves devaientretrouver le titre d’un roman àpartir de l’observation de la cou-verture ou suite à la lecture dutexte de la quatrième page decouverture.

Ensuite, les élèves ont pudécouvrir librement l’espacejeunesse et parcourir quelqueslivres.

La classe est repartie avec unesélection de romans faite par lesélèves ; ces livres seront renduslors de notre prochain rendez-vous, début janvier.

Caroline CEZILLYProfesseur des écoles

Les CM2 à laMédiathèque deValence

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Collège

La rentrée des classes du collègeet du lycée a eu lieu le jeudi 2 etle vendredi 3 septembre dans lasérénité et la convivialité.Chaque professeur principal aaccueilli les élèves de sa classe eta permis à chacun de trouver saplace dans la classe et dans l’éta-blissement.L’accueil des lycéens, en particu-lier des nouveaux élèves de 2nde,s’est fait dans une ambianceconviviale et sereine sous leregard bienveillant des membresde notre communauté éducativeet pédagogique.Comme chaque année, lesparents de 6ème ont été accueillisavec leurs enfants. Les famillesont pu assister à la premièredemi-journée de classe et ainsidécouvrir l’établissement et ledéroulement de l’année de 6ème.L’IND, l’APEL et AVENANCE, lasociété de restauration, leur ont

offert le repas. Ils ont pu appré-cier la qualité des repas ainsi quel’espace de restauration agréabledu collège. Ce moment a permisun réel échange entre lesfamilles, les enseignants et le per-sonnel de l’établissement.

L’après-midi, un temps ludiquede découverte de l’établissementétait organisé, pour prendrequelques repères et mieux débu-ter l’année.Cette année encore, le projetd’établissement "Accompagnerles élèves dans un parcours deréussite" se décline en trois axes :

Vivre ensembleÉduquer à l’ouverture universel

Favoriser la construction personnelle

Bonne année scolaire à tous !Mme GENIN Lydie,

Cadre Éducatif Collège et M. JAVELAS Thierry, Cadre Éducatif Lycée

La rentrée des classes du collège et du lycée

8h15 :Départ en car pour Montmeyranaux Chênes de Mamré où nousexpliquons le contenu de la jour-née.De 9h à 12h :Les élèves participent à 3 ateliers :• Conférence sur l’handi-sports• La projection de trois films sur

l’autisme, l’handicap physiquemoteur et l’handicap visuel

• Activités intellectuelles sur ladifférence, ils réalisent des des-sins de leur représentation per-sonnelle du handicap mental etcréent des affiches en rapportavec la vente des brioches del’ADAPEI (pour venir en aide

aux handicapés mentaux), afind’inciter les autres élèves del’établissement à en acheter.

12 h : Moment de détente autourd’un repas tiré du sac.

De 13h à 16h30 :Les élèves participent à 3 nou-velles activités :• Un parcours à pied avec des

activités • Des jeux physiques liés au han-

dicap• La réalisation de panneaux sur

la différence

A 16h30 :Goûter, composé de brioches del’ADAPEI.

J’espère qu’après ce temps fort,les élèves réaliseront la chancequ’ils ont de pouvoir réfléchir,trouver des solutions, se repérerdans l’espace, créer, se déplaceraisément comparativement àceux qui ont de grandes difficul-tés…

Luc BAUVETResponsable du niveau 5ème

Temps fort des cinquièmes

La formation des délégués s’estdéroulée le 10 novembre 2010.

Les élèves délégués (deux parclasse), réunis autour des res-ponsables de niveau et descadres éducatifs, ont pu mesu-rer les enjeux de leur fonction.Ils ont pu aussi formuler un cer-tain nombre de remarques quiont été entendues des adultes.

Puis, après une intervention deM. PUTOUD, Chef d’Établisse-ment, a eu lieu l’élection desdélégués au Conseil d’établisse-ment : deux pour le niveau ter-minale, deux pour le niveau 1ère,deux pour le niveau 2nde et deuxpour le niveau 3ème.

La ½ journée s’est terminéeautour d’un repas convivial,offert par l’établissement.

P. JERRET Cadre éducatif,

responsable Vie Scolaire

Les délégués de l’IND

24

Lundi 22 novembre 2010à 13 h, les professeurs d’artsplastiques (Mme FARESSE etMme WEIBEL) ainsi que le pro-fesseur d’éducation musicale(Mr BERRUYER) ont présenté enprésence de nombreux élèves de6ème et 5ème le projet "ECHO".Les élèves de 6ème ont chanté uncanon (écho sonore) et les élèvesde 5ème ont présenté des œuvresqu’ils avaient réalisées en artsplastiques à base de photo (échode leur propre image).Nous remercions les personnesqui sont venues nous voir et nousentendre ainsi que les élèves pourleur investissement.

Les réalisations d’arts plastiquesseront visibles pendant un moisenviron en salle d’éducationmusicale n’hésitez pas à passer !!

J. BERRUYERProfesseur d’Education Musicale

Projet interdisciplinaire "ECHO" pour le collège

Grâce au savoir-faire de noshommes d’entretien et de notregestionnaire, les élèves de 4°3bénéficient d’une nouvelle sallede classe entièrement rénovée.Cette réfection a pu être réaliséeen cours d’année, sans pertur-ber le travail.Aujourd’hui, ces collégiens seréjouissent d’emménager dansce lieu flambant neuf !Toujours soucieux de notre éco-responsabilité, nous sélection-nons tous les matériaux dans unesprit de respect de l’environne-ment et de la santé.

F. MAILLEDirecteur Adjoint

Rénovation des locaux : une nouvelle sallepour la 4ème 3

Vous êtes témoins d’un accident.Savez-vous quels gestes adopteralors que la victime est en trainde s’étouffer, est inconscientemais respire encore ou a unehémorragie externe ?Lors de cette formationPrévention Secours Civiques(P.S.C.1) les élèves apprennentles gestes des premiers secoursavec Gérard et Philippe de laCroix Blanche.

Dans une ambiance studieuse,les formateurs ont évalué la préci-sion de nos gestes sur des man-nequins. Cette formation nous afait comprendre ce que respon-sable signifie en nous apprenantà sauver des vies humaines.Par exemple, une personne esten train de manger et elle s’étouf-fe ! Levez la et donnez lui cinqgrandes claques dans le dosentre les omoplates. Si cela nesuffit pas, des gestes plus com-plexes sont à effectuer.Les élèves ont également apprisdans quelles situations utiliser undéfibrillateur.Après 12 heures de formation lesélèves obtiennent un certificat decompétences de secours civiquesniveau 1.

Une élève de 3e1.

Formation PSC1

Dans le cadre du cours de français et du programme d’Histoire desarts, les élèves de 3e1 ont travaillé l’autoportrait dans la littératureet la peinture. Ils ont pu faire le lien entre ces différentes formesd’expression de soi.Recherches personnelles, passage à l’oral, ou simple commentaire,la parole leur appartient.

F. MAILLE

Histoire des arts en 3e1

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Le contrat rivière :M. BUZZARELLO

M. BUZZARELLO, animateurnature (organisme Zimeline) dansle cadre du contrat de rivièreVéore-Barberolle, est venu enclasse pour présenter le fonction-nement d’une rivière et l’impactde nos pratiques sur les eaux.Quatre interventions sont pro-grammées dans le volet sensibili-sation scolaire et financées par lesyndicat mixte des communesdes cours d’eau indiqués (Véore-Barberolle).Il s’agit de deux cours d’eaus’écoulant d’est en ouest depuisle Vercors jusqu’au Rhône. Aprèsnous avoir présenté les

objectifs du syndicat : • Assurer la qualité des eaux

superficielles et souterraines. • Protéger face aux risques

hydrauliques (crues) • Assurer ou restaurer le bon état

écologique des cours d’eaux• Sensibiliser, informer

Cette première séance a été l’oc-casion de découvrir l’importancede l’eau pour nous et en particu-lier l’eau potable, l’incidence denos activités sur la qualité de l’eauainsi que les actions de restaura-tion entreprises.

Réalisation d’une maquetteAprès une présentation à l’aide dediapositives, les élèves ont réaliséune maquette évolutive retraçantl’évolution d’une rivière, SPECTA-CULAIRE et très parlant.

Tous nos remerciements àM. BUZZARELLO pour nous avoirtransmis ces notions avec pas-sion ; ainsi qu’aux organismes

gestionnaires nous permettant de

bénéficier de ces sensibilisations.Vivement les prochaines séances.

S. DARNAUDProfesseur de SVT

SVT en 4ème

Les élèves de l’option deDécouverte professionnelle 3h(DP3) de l’Institution NotreDame ont eu la chance de visi-ter les travaux du futur muséede Valence.Nous avons quitté l’IND à 8h30pour nous rendre à pied sur lechantier. Une fois équipés decasque, nous voici partis à larencontre de la conservatricedu musée, du contre maître etde l’archéologue ; 3 métiersprésentés par des passionnés !

Les élèves ont pu apprécier lesimages de synthèse du futurmusée ainsi qu’une grue deplus de 60 mètres de haut ! Lesmoyens sont impressionnants.La sortie était encadrée par M.BERRUYER et M. CORFMATdans le cadre des "coulisses dubâtiment".

Jérôme BERRUYERResponsable de niveau 4ème

Visite du futur musée de Valence pour les élèves de DP3 : "Les coulisses du bâtiment"

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L’intervention de la FRAPNA aeu lieu mercredi 12 janvier2011 de 9h à 12h. Les élèvesont travaillé sur les troisthèmes suivants après avoirdéfini le développementdurable :

Les énergies renouvelables :Les élèves ont étudié les diffé-rents types d’énergies et ontfabriqué d’une petite maisonbioclimatique.

L’eau : Les délégués ont tra-vaillé sur le cycle de l’eau, lesstations d’épuration, les châ-teaux d’eau et l’aménagementdu territoire. Atelier pratique"Le pays de l’eau".

La biodiversité : Les élèvesont réfléchi sur la notion debiodiversité et sont allés enobservation dans le bosquetde l’IND (oiseaux, plantes,insectes, traces…)Les élèves devront choisir undes 3 thèmes ci-dessus et pro-poser une action à réaliseravec leur classe.Une deuxième intervention dela FRAPNA (pour préciser lethème choisi par les élèves etélaborer le projet de classe)aura lieu en classe au mois defévrier.

L. GENIN Cadre éducatif Collège

Développementdurable pour les 6èmes

avec la FRAPNALes différents produits proposésprovenaient d’associations : UNICEF, Chiens Guides,Opération Mali, Flor’à Vie ou decommerçants labellisés "Bio".A tour de rôle des équipes dejeunes se sont relayées pour tenirles stands aidées par des ensei-gnants et des parents d’élèves.

C’est avec efficacité et enthou-siasme que chacun a œuvrémême jusqu’en soirée.

Nous remercions chacune et cha-cun d’entre vous pour ce magni-fique élan de solidarité et degénérosité.1700 euros seront intégralementremis aux différentes associa-tions.

Pour les foyers, Isabelle DELHOMME

Le marché de Noël

Les jeudi 27 janvier et 3 février2011, les élèves de toutes lesclasses de 4ème ont rencontréMmes ROUDIERE et GERARD.Elles interviennent dans le cadredu CLER (association qui traitede "l’affectif et de la sexualité").Les élèves avaient préparé avecleurs professeurs principaux en

vie de classe des questions ano-nymes sur ces sujets.L’intervention a duré 1h30 divi-sée en 2 parties : la classe entiè-re puis garçons et filles séparés.Les 4èmes ont apprécié de parta-ger sur ces sujets parfois diffi-ciles à aborder en famille.

Je remercie Mme ROUDIERE etMme GERARD pour leur travailet leur venue, les professeursprincipaux pour la préparation etles enseignants qui ont vu leursprogressions modifiées.

Jérôme BERRUYER

Responsable de niveau 4ème

Intervention du CLER en classe de 4ème

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Le Lycée

L’amour est l’expression d’un ins-tant de bonheur parfait, mais ilpeut aussi devenir cauchemar :désir de possession, violence,emprise psychologique… Et toutceci n’est pas chose normale…Les élèves de 2nde de l’Institutionont rencontré (novembre 2010)ou vont rencontrer (décembre2010 – janvier 2011) desmembres de l’associationARCADES par demi classes deuxheures durant et sans ensei-gnant, afin d’avoir la liberté depouvoir s’exprimer ou poser desquestions sans crainte.L’objectif étant de sensibiliser lesélèves notamment à la notion derespect dans ses relations auxautres et dans ses relationsamoureuses.Durant l’intervention, les agres-sions sexuelles vont égalementêtre évoquées. Il s’agit d’ap-prendre ce qu’il faut faire si l’onest confronté de près ou de loinà cela, savoir comment réagir etvers qui se tourner.Les premiers retours des élèvessont extrêmement positifs car ilsdisent se sentir tous concernésde près ou de loin par l’un despoints évoqués.C’est la 3ème année que cetteintervention a lieu en seconde etnous nous réjouissons de pou-voir apporter à nos jeunes l’expé-rience des intervenants de l’as-sociation.Cette intervention s’adresse àtous les élèves de ce niveauconformément aux directivesministérielles et dans le respectdu caractère propre del’Enseignement Catholique.

Carole LE GRALL,Responsable du niveau de seconde

Intervention del’association ARCADES en 2nde

Dans le cadre de l’enseignementde l’Histoire des Arts au lycée eten interdisciplinarité (culturescientifique et culture artistique),deux vidéo conférences ont eulieu mardi 11 Janvier à laChapelle :• Sur la question du mouvement

de 10h à 12h• Sur la question de la lumière de

14h à 16h.Tous les niveaux du Lycée sontconcernés. Les secondes, les pre-mières et les terminales et notam-ment les élèves inscrits auxoptions Arts plastiquesComme chaque année, c’est unhistorien de l’Art des Amis du

Musée de Valence qui intervient .L’objectif de ces rencontres est desensibiliser un jeune public avecdes œuvres d’art mais aussi, fairedialoguer les disciplines entreelles, créer du lien entre lesapprentissages des lycéens pourqu’ils soient capables de mettreen cohérence à la fois expériencesensible et expérience réfléchie."L’Histoire des Arts est l’occasion,pour tous, de goûter le plaisir et lebonheur que procure la rencontreavec l’art" (BO n° 32 du28.08.08).

P. FARESSE - Professeur d’ArtsPlastiques

Intervention des amisdu musée de Valence

Le foyer du lycée reprend du service.

Les membres du bureau se sont retrouvés une première fois pour élireleur bureau :

Président : Kévin JULLIEN / Vice-présidente : Angélique RIBESSecrétaires : Marie MOUSSEEFF et Élise AUBERTTrésorière : Bénédicte GEORGES

Ce vendredi 24 septembre, autour d’un repas, nous avons débattu aveceux sur les différentes animations qui pourraient être proposées en cedébut d’année :

Semaine du Goût en partenariat avec AVENANCE (service de restaura-tion) et le foyer du collège sur le thème des DOM TOM + dégustationsde compotes avec la participation de la société Héro.Repas à thème (Japon “Manga”…)Tournoi de Foot, de Hand, Belote, Poker, Tarot…Création d’un Club : Jeu de Go.

Nous avons également abordé les opérations caritatives en partenariatavec l’équipe de la pastorale : ADAPEI vente de brioche pour les handi-capés, Marché de Noël et réception de Jouets pour les enfants duLiban…

Il reste de la place pour des lycéens qui souhaiteraient rejoindre lebureau. Des boîtes à idées sont également disposées au foyer….

T. JAVELAS - Cadre Éducatif Lycée

Le Foyer du Lycée

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Les 1ères 4S racontent leurtemps fort - Temps Fort 1ère

du lundi 20 septembre 2010

Les classes de premières toutesséries confondues, se sont dépla-cées à Die ce lundi 20 septembre.S’est alors déroulée la journéed’intégration annuelle, basée surles thèmes de justice, loi et évan-giles. Dans l’objectif aussi, decréer des liens entre nos cama-rades en ce début d’année.

Dans un premier temps nousavons visité la sous-préfecture oùnous avons rencontré le sous-pré-fet, un homme dont le parcoursprofessionnel est tout à fait aty-pique. Il nous a expliqué ses fonc-tions et son rôle. Nous avons trou-vé son discours passionnant bienqu’il parlât vite et qu’il utilisât unlangage parfois technique. Il a faitle lien entre l’Histoire et le droit.Par la suite, nous avons entreprisla découverte de la cathédrale deDie. Spacieuse, nous y avons étéreçus par une dame, intéresséeparticulièrement par l’architectureet qui nous a fait part de sesconnaissances en la matière.Pour finir notre matinée, nousavons été invités à écouter un dis-cours prononcé par un retraitéprotestant de Die, dans le temple.Il nous y a exposé de façon tout afait attractive les différences quisubsistent entre la cathédrale etle temple et donc entre les reli-gions catholiques et protestantes.Nous avons particulièrementapprécié sa vivacité.Enfin, avant de manger, le père

HÉRAUD, prêtre accompagna-teur de l’institution Notre Dame, aprononcé un discours sur lesdroits et les devoirs, grâce auquelil a fait le lien entre les activités dela matinée et le thème : “Loi,Justice, Évangile”.Durant l’après-midi du temps fort,nous avons visité le centreArdouvain. Le directeur de cetétablissement nous a présentéson objectif, l’organisation et sonfonctionnement ; son interventiona été complétée par les témoi-gnages d’employés qui répon-daient à nos questions. Cette ren-contre présentation s’est dérouléeen présence du maire de la com-mune, M. MONGE et deM. PEGON, conseiller général,afin de souligner l’importance durôle et des missions de cettestructure ainsi que les coopéra-tions entre la localité et le dépar-tement.

Cette fondation est née après laseconde guerre mondiale et étaitdédiée, au départ, aux enfantsvenant de Paris, ayant perdu leurfamille. Aujourd’hui 55 enfants yvivent, repartis en groupe de 5 à 8enfants dans des familles en plusdes enfants naturels des couples.Les familles sont constituées d’uncouple d’accompagnateurs fami-liaux qui vit sur le terrain et lesmaisons de l’association avec lesenfants. Le but de cela est deposer un cadre familial stablepour améliorer l’épanouissementde l’enfant en espérant le voirretrouver sa famille si cela estpossible. Dans ce centre, desenfants entre 0 et 18 ans sont

accueillis, pour des périodes detemps très variées. Il s’agit d’undes très rares cadres ou les fra-tries peuvent être accueillies etcela même avec des écartsd’âges importants.

On a appris beaucoup de chosesintéressantes au cours de cetaprès-midi, mais malheureuse-ment nous n’avons pas pu visitertous les bâtiments du site, carnous ne voulions pas perturberles jeunes.Au retour nous avons pu écouterdans la chapelle quelques typesd’accueils locaux pour la jeunes-se présentés par les différentesclasses avant de rentrer cheznous.

La classe de 1ère 4S

Le temps fort 1ère vu par les élèves de 1ère 1L UN TEMPS FORTDANS LE DIOIS.

Le matin, nous avons visité lasous-préfecture, ensuite unecathédrale puis un temple. Larencontre avec M. le Sous-préfetà Die a été enrichissante. Il nousa présenté sa fonction, son métieret ses diplômes ainsi que son par-cours personnel.

Temps fort 1ère

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Il a souligné la différence entrel’ambition et le carriérisme. Il atenu à nous dire qu’en France, ona la possibilité de gravir les éche-lons sociaux contrairement à cer-tains pays. Il était convaincantdans son discours. Il était jeune,dynamique, heureux de partagerun moment avec nous. Nousavons pu poser quelques ques-tions auxquelles il répondait avecdiplomatie. Il nous a donnéquelques définitions pour expli-quer les termes de son discours.Après cette rencontre, nousavons visité la cathédrale de Dieoù une guide nous a accueillispour nous décrire l’architecturedu monument (différents types devoûtes, de croix, etc.). Nousn’avons pas pu tout retenir car lesexplications étaient très tech-niques.

Après la visite, nous noussommes rendus au temple. Nousavons trouvé le responsable decet édifice très agréable, très cha-leureux, passionné et ouvert. Ilnous a exposé les différencesavec l’église, l’absence d’orne-ments, l’absence du Christ sur lacroix…).Vers 12h, nous avons pique niquésous un soleil radieux. Le parcétait spacieux et agréable, nousaurions aimé prolonger le repas.L’après-midi avec les 1ères 4S,nous avons découvert la maisond’accueil pour enfants, située àVercheny dans un cadre magni-fique, entourée de montagnes etde vignes. Ce bâtiment estmoderne et fait penser à unmusée (vitrines, photos en noir etblanc, métier à tisser, fossiles,statuettes…).Les éducateurs accueillent desenfants de 0 à 21 ans en les inté-grant dans leur propre famille.Ces jeunes peuvent être victimesde maltraitance, d’abus sexuels,les parents peuvent être incarcé-rés ou gravement malades. Ils

vivent làparce que les parents ne sont pas en mesure de les élever.Ils sont là pour se reconstruire,retrouver un équilibre familial,tout en gardant un lien avec leurpropre famille. Ils sont scolarisésà Crest dans le public commedans le privé.Au sein de cet établissement, ilspeuvent choisir différents ateliers.Les parents peuvent leur rendrevisite. Nous aurions aimé écouterdes témoignages d’enfants oud’anciens hôtes qui ont vécu danscette maison d’accueil. Nousretenons que "pour être éduca-teur, il faut avoir envie de donner,de partager" et "en donnant auxautres, on apprend beaucoup".Nous sommes rentrés vers 17h àl’IND où toutes les classes se sontretrouvées à la Chapelle pourdécrire brièvement leur expérien-ce de l’après-midi.

La classe de 1ère 1L

Cette année, le temps fort dessecondes de l’Institution s’estdéroulé en deux temps :

Le lundi 4 octobre 2010pour les secondes 1, 2, 3 et 4

Le mardi 5 octobre 2010pour les secondes 5,6 et 7

Le beau temps n’ayant pas été aurendez-vous le lundi, nous avonsdû réajuster notre programme del’après-midi et nous réfugier bienà l’abri et au sec dans la salle desfêtes de Saillans. Le bilan s’estnéanmoins avéré plutôt positif.Le matin, des visites de lieux cul-tuels ou culturels étaient enca-drées par des guides de l’officedu tourisme et des intervenantsextérieurs (Cathédrale et temple

protestant).L’après-midi était réservé à ladétente et au jeu : au programme,course à l’œuf (sauf le lundi), jeude la pelote de laine, tir à lacorde, jeu du ballon, course àpieds à deux ou à trois.Ce temps de partage en dehorsde l’établissement est toujours unmoment précieux car il aide àapprendre un peu mieux à "vivreensemble" (thème de notre jour-née) pour mieux rappeler l’unitéque devrait constituer un groupeclasse.Je souhaite une très belle annéede seconde à tous.

Carole LE GRALLresponsable du niveau 2nde

Temps fort des secondes à Die

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Association sportive EPS

L’ESCALADE à l’IND ?Pas que du sport…

Pour ceux et celles qui ne le sau-raient pas, l’IND propose à tousses élèves de grimper tous lesmercredis après-midi tantôt ensalle, tantôt à l’extérieur. Celapeut être juste pour le plaisir des’ouvrir à “un autre monde”… ouplus sérieusement pour se prépa-rer à une épreuve optionnelle dubac dès la classe de seconde.Mais qu’est-ce que grimper exac-tement… ? Ne serait-ce pas avanttout une épreuve de vérité avecsoi-même ? Une semaine decours à l’IND suffirait-elle à éluci-der ce mystère ?Disserter avec l’à-pic des falaises

est par exemple un exercice destyle assez rugueux… Ceci dit,c’est avant tout un pur cours dephysique sur la loi de Newton. Legrimpeur devient très vite unlaboratoire vivant de gravité uni-verselle ! Petite pause avec descalculs de probabilité sur la possi-bilité déstabilisatrice de se rece-voir sur la tête un excrément detichodrome (oiseau des falaisesvirgulant au dessus de nos têtespour nous observer). Après undébat d’Arts Plastiques sur lemélange des couleurs des som-mets avoisinants, il nous arriveégalement de parler philo encomprenant que l’escalade scelleles noces de l’appel du vide et del’attirance vers les sommets !

Grimper est finalement quelquechose de très cérébral, un peucomme une partie d’échecs, letout ponctué par le cliquetis vitaldes mousquetons, une doucesymphonie contemporaine assezmal structurée. La concentrationy est toujours vitale… la verticalitéreste un milieu hostile… Jamaisnous ne regardons autant nosmains… Si vous ne connaissezpas vos mains, si vous les avezperdues de vue, mettez vous àl’escalade ! Alors si cela vous dit,venez vous aussi grimper chaquemercredi, pour vous décrocherdu monde, le temps que çadure… Claude GRUNEWALD

Professeur d'EPS

Plaidoyer pour l’escalade : une activité pluridisciplinaire...

C’est la 2ème année consécutiveque l’IND réussit à s’engouffrerdans la “brèche” de l’activitékayak… L’initiative vient duComité Drôme de Canoë Kayak.Au bout de 2 ans d’efforts pourmonter le dossier, cette structurefédérale a fini par trouver les par-tenaires financiers, afin de faireprofiter aux établissements sco-laires de cette activité. La ville deValence et le Conseil Général dela Drôme ont accepté de financerà 100% l’opération pour cetteannée encore !Tous les collèges publics ou pri-vés de Valence se sont vus propo-ser cette activité, encadrée par unmoniteur breveté d’État, en plusdu professeur d’EPS. Mais tousces établissements ne feront pasde kayak pour autant cetteannée…

Ainsi, les élèves de 6e3 et de 5e4auront la chance de faire dukayak ! Chaque semaine jus-qu’aux vacances de la Toussaint,ce sont eux qui font de la concur-rence aux canards du plan d’eaude Fontbarlettes pour forcer l’ad-miration des badauds, lorsqu’ils’agit de manœuvrer efficace-ment sur l’eau… et parfois dansl’eau bien sûr…Les conditions de travail sontexcellentes, puisque nos élèvesont un kayak chacun et qu’ils sontconduits en car sur place.Nos élèves, conscients de lachance qu’ils ont de pratiquercette activité en plein Valence,montrent chaque semaine beau-coup d’entrain et de bonnehumeur pour leur séance… Qu’ilest bon de saisir et de profiter desoccasions qui enrichissent !

Claude GRUNEWALDProfesseur d'EPS

Du kayak pour nos élèves… au coeur de Valence ! Cross IND :

une course collective ?

Expérimenter la solidarité dansune classe au travers d’uncross…Comprendre que devenir lameilleure classe dépendra des 10élèves les moins sportifs dechaque classe… Saisir l’impor-tance de ne pas se laisser empor-ter par le flot des meilleurs encourant trop vite, pour apprendreà se connaître et réussir à ne pasmarcher sur le plat et les des-centes…

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Le cross vu comme ça n’est plusseulement une course dontl’unique enjeu pour nos 400élèves de 6e et de 5e se limite àbriguer une place sur le podium.Voilà pourquoi nous avons mis enplace le challenge de la meilleureclasse de 6e et de 5e depuisquelques années. Concrètementdonc le jour de la course, chaqueélève terminant la course ramènedes points à la classe en fonctionde son classement individuel.Bien souvent, la classe rempor-tant ce challenge ne dispose pasforcément de champions dansson groupe, mais d’élèves sefixant pour objectifs de ne mar-cher que dans les montées et detrottiner à son rythme en zone deplat et en descente.C’est donc souvent une classe quia pris conscience de l’intérêtd’une bonne dynamique de grou-pe, avec des élèves courant à lafois pour réussir à ne pas mar-cher, mais aussi pour que la clas-se entière gagne quelque chose !

Ainsi, gagner une place lorsqu’onest avant dernier ramène autantde points à la classe que le 2ème

qui réussit à doubler le 1er !Une forme de nouvelle journéed’intégration pour nos élèves enquelque sorte…Jeudi 21 octobre : les courses sesont enchaînées toute la matinéeau rythme des bravos du public,des goûters bio offerts par l’APEL,des encouragements des profes-seurs et parents d’élèves présentspour l’occasion.L’ambiance a une fois de plus étésympathique. Les élèves ont glo-balement semblé heureux decette demi-journée consacrée àdes enjeux éducatifs centrés surl’EPS, mais dont le rayonnementdépasse ce cadre.

La Croix Rouge était là pour l’oc-casion. Les élèves ayant terminésur le podium ont tous eu unemédaille et un lot offert par GOSPORT (partenaire de l’événe-ment). Les meilleurs de chaquecourse sont qualifiés pour le crossdépartemental de l’UGSEL ayantlieu le 10/11 à Montélimar. Et lameilleure classe de 6e et de 5e

s’est vue remettre une coupe etun lot pour chacun !

Le millésime 2010 aura laissébeaucoup de suspense pour lespremières classes en 6e et en 5e.Les écarts auront été particulière-ment serrés cette année entre la6e4 (vainqueur en 6e) et la 6e1.

En 5e, la palme revient à la 5e6,mais de très peu car les 5e3 (3èmes)et surtout les 5e5 (2èmes) auraientvraiment eux aussi mérité degagner…

A l’année prochaine et vive lacourse à pied !

Claude GRUNEWALDpour l’équipe EPS de l’IND

Cet hiver, la neige est arrivée debonne heure et en grande quanti-té dans la Drôme. Paradoxale-ment, les stations ont du mal àconserver cet or blanc du faitd’épisodes de redoux importantsentre chaque chute de neige.La météo est toujours finalementle facteur le plus complexe à maî-triser pour organiser des sortiesski, car les élèves de l’IND eux,ont massivement répondu à l’ap-pel de la neige, comme chaqueannée depuis 4 ans !... 3 sortiesprogrammées, une compétition et50 inscrits à chaque séance pour2011 ! La 1ère des trois séancesvient d’avoir lieu le mercredi 5janvier.L’objectif est toujours de per-mettre au plus grand nombre dedécouvrir cette activité, tout enpermettant aux plus capés de sequalifier aux championnats deFrance se déroulant cette année àGresse en Vercors début février.

Les élèves participant à ces sortiessont tous volontaires puisqu’ils fontpartie de l’Association Sportive del’IND. Certains pratiquent habituel-lement l’escalade, d’autres le défiNature ou le foot en salle…Chaque année, je suis agréable-ment surpris de constater que leski de fond bénéficie d’une mau-vaise image chez les adultes, etd’une belle aura chez nos jeunes,vu le nombre d’inscrits !Alors bien sûr, les chutes sonttout de même au rendez vous.Les batailles de boules de neigeaussi. C’est que notre âme d’en-fant n’est jamais loin lorsqu’onprofite de la neige… Mais que cesoit en skating ou en alternatif,nos élèves se sont rendus compteque les progrès étaient trèsrapides d’une séance à une autre.Et puis le cadre paisible de Fontd’Urle y est aussi pour quelquechose. Car même lorsque le ventsouffle, la dense forêt nous abrite

et c’est à chaque fois un bonheurde pouvoir profiter des largespistes damées du domaine.Après chaque séance, les minesde nos collégiens et lycéens sontréjouies, détendues et fati-guées… C’est à partir de cettesatisfaction essentielle là qu’il estfort à parier que tant que la neigecôtoiera encore notre Vercors voi-sin, l’IND saura se mobiliser pouren profiter…

Claude GRUNEWALDProfesseur d'EPS

PS : merci aussi aux accompagnateurs, sans quirien n’aurait pu se faire : M. CHANRON (prof. deTechno.), M. LEENHARDT et Mme BRIONE (prof.de Math.), Mme REBOUR (prof. d’EPS) et son mari,M. CONTE (prof. d’EPS), Mme COUTURE (prof. à laretraite…) ainsi que les 2 parents deM. LEENHARDT, fraîchement retraités !

Ski de fond à l’IND

Vu les conditions météorolo-giques, nous avons longtempscru à l’annulation de ces cham-pionnats… Nos 3 élèves qualifiésauraient été très déçus ! Mais lacompétition a bien eu lieu, àGresse en Vercors, durant 2 jourset demi au pied du GrandVeymont, à 1200 m. d’altitude,comme prévu, pour le plus grandbonheur de tous.Quelle expérience à chaque foisde côtoyer autant de sportifs dehaut niveau, qui parfois devien-nent plus tard des référencesdans le milieu (2 anciennesélèves de Haute Savoie passéspar ces championnats il y a 5 ou6 ans ont participé aux JO l’annéedernière !).

Et même si nos élèves sont àchaque fois loin des meilleurstemps, la volonté qu’ils mettenten œuvre pour gagner une place,réussir leur course, ne pas tom-ber dans les zones difficiles…sont des performances compa-rables aux efforts de volontédéployés par les meilleurs lors-qu’ils se battent pour les placesdu podium ! Il n’y a que lesannées de pratique qui les diffé-rencient. Encore une fois, je tiremon chapeau à nos élèves del’IND qui se surpassent autantque les meilleurs de chaque cour-se, avec des objectifs qui leursont propres !Bravo à Enzo BONADÉÏ 2e1 (qui aréussi l’incroyable performance

de se hisser à la 6ème place enindividuel !), Sandy CONVENANT1e4S et Florian CHANRON 1e4S.

Et que dire de l’épreuve promo-tionnelle de biathlon, qui a permisà l’équipe de l’IND de terminer13ème sur 33 équipes grâce à saconcentration au tir, ce qui leur avalu de passer devant bien deséquipes plus fortes qu’elle en ski !

Cela pourrait être une orientationintéressante pour nos prochainescampagnes de ski de fond en2012 ! A suivre donc !

Claude GRUNEWALD

Professeur d'EPS

L’IND aux Championnats de France de ski de fond 2011 !

L’AS badminton compte 40 licen-ciés pour cette année 2010/2011répartis en deux groupes les mer-credis après-midi.Le groupe 1 est composé desélèves de 3ème et des lycéens de13h à 14h30 et le groupe 2 (6ème,5ème, 4ème) de 14h30 à 16h.Comme chaque année, deuxélèves volontaires sont respon-sables de la commissionBadminton. Il s’agit de Julia PHI-LIBER (1e2ES) et Antoine VALAN-CE (1e3ES).

Objectif de cette commission :Rendre les élèves acteurs de leurassociation sportive. Les responsabiliser et les impli-quer dans "la vie de l’association". Exemples : Diffusion des résul-tats, comptes-rendus de matchs,photos, commentaires, contrôledes numéros de licences et ins-criptions via Internet des élèvesqualifiés aux différentes compéti-tions.Cette année l’accent est mis surl’arbitrage car nous accueillonsles championnats de France de

Badminton UGSEL en 2012 àValence. Afin de mieux formernos élèves, l’UGSEL a signé uneconvention avec le ComitéDrôme/Ardèche de Badminton.Une première formation pratiqueet théorique s’est déroulée le 6janvier 2011 à Tournon, suivied’une deuxième dans le gymnasede l’IND le 19 janvier 2011. Cesformations sont encadrées pas lesprofesseurs d’EPS de l’UGSELainsi que d’un cadre techniquede badminton détaché par lecomité Drôme/Ardèche (SylvainSPEL). Une validation des com-pétences aura lieu lors des pro-chaines compétitions UGSEL.

Calendrier des compétitions :Mercredi 16/03 : Pré départe-mental benjamins et minimesgarçons à Valence (ce jour-là, lesfilles ainsi que les cadets etjuniors garçons valideront leurscompétences sur l’arbitrage).Mercredi 30/03 : Départementaltoutes catégories à Valence (suiteet fin des validations sur l’arbitra-ge).Mercredi 13/04 : académiquetoutes catégories à Grenoble.Vendredi 13, samedi 14 etdimanche 15 mai 2011 :Championnat de France àPloermel (56–Morbihan)Bonne chance et bonne prépara-tion aux élèves de l’IND !

J. PHILIBER - A. VALANCEL. CHALENSON

AS Badminton

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Nous avons fabriqué un ange etdécoré une bougie. Nous avonsaussi regardé un film à la chapelle.Nous avons écouté une histoire unpeu triste mais jolie. Toute la jour-née, nous avons parlé du bonheur.Pour finir, nous avons chanté.Quelle belle fête !

Les enfants de CP B

Les élèves de CP Bnous racontent lafête de Notre Dame

Un fil rouge…Le thème choisi cette annéeétait LE BONHEUR … Commenty accéder, comment l’obtenir,comment l’inventer, qui nous lefera voir ? Des questions aussibrûlantes que délicates pourune école et pour nos chèrestêtes blondes.Pour y répondre, des momentsforts… des moments de bon-heur encadrés par des hommeset des femmes que nous remer-cions très chaleureusement.

Un temps de prièrePour tous, qui a eu lieu entre9h45 et 10h15 en l’honneur denotre Dame. Ce fut l’occasionpour Notre prêtre d’évoquerquelques célèbres représenta-tions de Marie.

Le repasA Midi, notre société de restau-ration nous a confectionné unrepas convivial et festif.

Le concert de nos jeunestalents…Un concert sur la cour organisépar des élèves du bureau dufoyer avec la participation d’ar-tistes en herbe collégiens etlycéens accompagnés par leurprofesseur de Musique,M. BERRUYER et M. JAVELAS.

Des animations…Les élèves de 5ème, 4ème, 3ème et2nde ont participé à des séancesde contes animées par uneconteuse professionnelle sur lethème du bonheur et à desdébats en classe.

Un “café philosophique”…Les élèves de terminale ont par-ticipé à des groupes de discus-sion–débat sur le thème du bon-heur, avec leur professeur dephilosophie mais aussi avecd’autres intervenants.Mme ABRASSART, Adjointe enpastorale, est heureuse de par-tager ce moment avec desélèves qui se révèlent sous unjour différent.

Atelier Chant :Atelier Chant : Cet atelier était animépar M. BERRUYER, professeur d’édu-cation musicale. "Un vrai moment debonheur" selon les élèves et leur pro-fesseur qui ont inventé une chansonsur l’air de "Heal the world" de MichaëlJackson en changeant les couplets.

Atelier théâtre :Mme FAIBIE, intervenante en théâtre,pense que cet atelier demande auxélèves beaucoup de créativité. Lesélèves ont trouvé cet atelier "divertis-sant et amusant". Mme OVANESSIAN,bénévole encadrant l’atelier théâtre, apartagé un vrai moment de plaisir avecles élèves que l’on apprécie de "maniè-re différente".

DES ATELIERS DANS L’APRÈS-MIDI...

La Fête de l’Institution Notre Dame

Autour de…FÊTE DU 8 DÉCEMBRE

FÊTE DE L'IMMACULÉE CONCEPTION

Le jeudi 9 décembre nous avonshonoré Marie, ImmaculéeConception.Notre lien pour cette journée, etpour cette année, est le bon-heur. Les élèves de maternelleset de primaire en participant àdivers ateliers créatifs, religieuxet de réflexion, ont découvertque ce bonheur se trouvait dansnotre quotidien, dans les gestesde tous les jours.Et comment ne pas terminerainsi :

Jésus vient sur terrepour dire aux hommes

Dieu vous aime ! Vous aussi, aimez-vous !

Et ça, c’est le secret du bon-heur.

La fête de Marie à l’école

Atelier Billes :L’association "les billes du Val de Drôme"est venue animer un moment avec lesélèves inscrits à cet atelier. Les élèves ontété séduits et ont apprécié la découvertede ces jeux. C’est "rare" de jouer auxbilles a précisé un élève.

Atelier jeux sportifs :Des activités sportives ludiques étaientproposées aux élèves de 6ème sur la couranimées par les professeurs d’EPS.

Atelier pétanque :Cet atelier était animé par M. CHOLLET,responsable de niveau 6ème etM. CORFMAT, professeur de technologie.Adultes et jeunes ont passé un excellentmoment.

Ateliers Bougies/Décoration : Les professeurs ont accompagné lesélèves dans "une démarche de créationartistique". Ces élèves ont confectionnédes bougies. "C’est bien parce qu’il n’y apas cours et cela change. J’appréciecette fête" précise une élève de 6ème. "Onse retrouve à plusieurs et c’est agréable"dit un autre élève de 6ème.

Ateliers Réalisation de panneaux :C’est un atelier créatif qui permet de"libérer l’imagination" disent certainsélèves. D’autres trouvent que "cela faitplaisir de voir tout le monde s’amuser etpartager quelque chose avec leur profes-seur".

Atelier Écriture sur ballons :Les élèves qui se sont inscrit à cet atelieravaient pour travail de récolter les mes-sages de bonheur des classes et de lesaccrocher aux ballons. Ces ballons ontété lâchés à 16h lors du goûter.

Les élèves se sont ensuite rassemblésautour du podium sur la cour. Ils ont pré-senté le travail effectué dans l’après midi."Un très bon moment de partage etd’écoute" précise un professeur. Puis, il ya eu le lâcher de ballons avec de mul-tiples messages de bonheur.

Les parents d'élèvesCet après-midi s’est terminé autour d’ungoûter offert par l’APEL. Les parentsd’élèves avaient, pour l’occasion, préparéun goûter délicieux avec cinq énormespognes.

"Je suis content que cette année des ani-mations soient proposées à tous. C’estune belle occasion d’ouvrir d’autresfenêtres" précise M. PUTOUD, Chef d’É-tablissement. "Une bonne journée avec beaucoup debonne humeur. Des professeurs et desbénévoles heureux d’avoir accompagnésles élèves". Tous nos remerciements aux personnesqui ont permis la réussite de cette fête,qui a pris tout son sens.Cet article a été rédigé dans le cadre d’unreportage effectué par 2 élèves de 6ème,Aasaf AVEARD et Mélina TEBIB.

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Après une messe célébrée par lepère Héraud dans notre chapelle,les parents d’élèves, les person-nels et les collaborateurs de l’ins-titution étaient invités à prolongerla soirée autour d’un quartette deJazz, venu spécialement pourl’occasion.Les échanges furent simples etchaleureux, autour de quelquesdélices sucrés et salés.Article écrit sur la base des docu-ments fournis par Mme Lydie GENIN,Cadre éducatif collège.

LA SOIRÉE…

Quelle Belle fête ! Quel Bonheur !Comme chaque année le foyer col-lège n’a pas failli à la tradition.Chants, danses, rires et bonnehumeur étaient au rendez-vousdans un esprit de joie et de partage."Partageons nos talents pour leplus grand bonheur de tous" telétait le thème proposé aux élèvesdu foyer.A tour de rôle, nos jeunes artistesse sont présentés devant un publicimpatient et enthousiaste. RaïianeFORGET 4e7 au chant, a lancél’ambiance portée par des fansconquis par avance.La surprise est venue de ShihangCHEN 6e3 à la flûte chinoise :découverte d’un instrument, d’unson nouveau. Shihang, très genti-ment et modestement s’est mêmeexécuté à plusieurs reprises devantles regards étonnés de ses cama-rades.L’ambiance était au maximumquand sur une musique deMickaël Jackson timidementAndréa POLIDORI 6e6 s’est élancésur la piste pour une démonstra-tion de Hip-hop suivi de près parMathis TEBIB 3e1 et AmauryCURIOT 6e7.Les connaisseurs étaient ravis. Lesadultes présents aussi.Il flottait comme un petit air debonheur …

I. DELHOMME

La Fête de l’IND

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Vendredi 14 janvier, les per-sonnels, les enseignants et lesparents se sont tous retrouvéspour partager ensemble la tra-ditionnelle galette des rois.Ce fut l’occasion pour l’équipede direction et pour l’associa-tion des parents d’élèves, quico-invitait, de présenter leursvœux à toute la communautéde l’IND. La soirée futagréable et les rois nom-breux...

F. MAILLE - Directeur Adjoint

Lancement de l’année 2011, autour des rois

BACCALAUREAT GENERAL - SESSION 201096,05% de réussite dont 53% de mention (38 élèves ont bien ou très bien) soit 146 élèves reçus sur 152 présents.

BREVET DES COLLEGES - SESSION 201093,09% de réussite dont 64% de mention (41 élèves ont bien ou très bien) soit 168 élèves reçus sur 188 présents.

Félicitations à tous les élèves reçus et un grand merci à l’ensemble de la communauté éducative de l’Institution NotreDame pour ces excellents résultats et pour avoir accompagné les élèves tout au long de cette année scolaire.

Les résultats du Bac et du Brevet 2010

Autour de…

Le personnel de l’IND, rentrée de septembre 2010

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ABRY Chloé AAJOUAOUI Saïda AALLAIRE Florian ABACHELIN Marine ABBALAYN Benjamin ABANCEL Romain ABATENT Flavien BBEAU Emmanuel ABECHIER Gabriel ABENARD Théo BBERNARD Justine ABBEVENGUT Jéremy ABBEZZEROUKI Sofiane ABIOUSSE Laura ABBLARD Maxime BBOISSY Manon ABONNET Alexandra ABONNET Sophie BBOTELLA Ugo ABBOTTET Guillaume ABBOUILLANNE Méganne ABOUJEDO Kimberly ABBOUVIER Amélie TBBOZAGAC Cubra ABRAUN Nora BBUIT Cassandra ABBUNOS Marine ABCARRE Paul ABCARTAL Alexis ABCASO Hippolyte ACASTEL Alexian BCATTIN Juliette BCAVAGNAC Cécile BCHABANIS Inès ACHAN Ariane B

CHAPELLE Ludovic ABCHAPIGNAC Valentin ACHASSON Julie ACOCHET Gabriel BCOMBET Jean ABCONVENANT Kévin ACOQUERY Solène ABCOQUILLAT Inès ABCORDA Benjamin ABDA SILVA Camille ABDARDIGNAC Léo ADESAY Fanny ADESPORTES François ADIEVAL Blandine ABDJEBABLA Yassmine ABDREVON Quentin ADUCOL Rachel BDUPIN Amandine ADUPIN Andréa ADURAND Yoann TBECHAHED Inès BENEE Clara TBENEMAN Donatien BESPEISSE Robin BESSIZ Ibrahim AFAA Luana AFARGEAU Elodie AFARNIER Anouk BFETICK Romain ABFIARD DUBOST Morgan AFLORENT Kelly ABFOURNIER Charlène BFRICAUD Charles TBFUENTES Manon AGALAND Armony B

GAMBIER Philippine ABGANDON Noëmie ABGENSANNE Damien AGERVASI Laurélène ABGHADBAN Camille BGHIAT Ymène ABGIROUX Thomas TBGOURDON Sarah ABGRANSARD Claire ABGRATESSOLLE Rémi ABGRENIER Anaïde AGRIMAUD Valentin ABGUITHON Matthieu ABGURBUZ Adem ABGUYON SANGNIER Alexis AHAMEIDIA Kamélia ABHAMROUNI Ines AHELLE Lorane AHELLMANN Lucas BHENNEBERT Inès ABHENRIO Jade ABHOUARI Célia AHUREAU Adeline ABJACONELLI Nolwenn BJALOSKY Thomas ABKESER Duygu ABKORIBA Hana AKRAFFT Marion ABLAFOND Juliette ALAIDAOUI Rizlane ALANDI Alexandra BLARROQUE Alexandre TBLE Brandon ABLEFRANCOIS Sandra ABLEJEUNE Charlotte AB

LEMAIRE Coralie ALEMOINE Camille ABLEMPEREUR-RODET Sébastien ABLESIEUR Pierrick ABLUYTON Eléonore AMAITRE Dorine ABMALEAPPANE Sylvie ABMALMAISON Adeline AMANCHART Agathe BMANOUKIAN Anaïs AMARCE Kelly AMARTIN Clément ABMASSE Valentine ABMEKRAZ Eddy BMELLINA Margaux AMENDES FERNANDESMélanie AMICHELON Florian ABMILLETO Simon ABMINEIRO Jérémie AMITTOUX Hadrien BMONESTIER Rémi ABMOREAU Terry TBMORIN Yannis ABOUECHTATI Amir APAOLINI Matthieu ABPAPAZIAN Eric BPASQUINELLI Victoria APEREIRA David APETRO Margot ABPOLLA Lucie APONCET Romane ABPRAL Quentin APRUNIERES Camille AB

PUGLISI Margaux ABRAMIREZ Rafael ARAVENAUX Emma BREBOUL Théo ABREMONE Eveline ABRIEU Lucile BROCHAS Benoit ABROCHAS Cyril ABROIG Alexandra BROIGT Michaël ABROLLAND Julien ABROMAZINI Pauline BROUBAUD Gaëtan ARUF Mélaine BSASSI Hadi ASCHMITT Laura ASEGUI DE CARRERASSarah BSERRADJ Lydia BSILVESTRE Elodie BSLIMANI Ali ASOUADIA Célia ASTOKLET Manon ABTALLERICO Paul ATANCHON Ludovic ATESSA Anne -Charlotte ABTONYE Odilia ATOURAILLE Romain ATURKMENIAN Gaëlle BVALLA Océane AZAMITH Pierre-Antoine AB

Liste des lauréats au Brevet 2009

ANGULO Raphaelle T*1L BBRUYERE Lise T*1LCROIDIEU Mathilde T*1LDELOOT Loren T*1LFRONTCZAK Anouchka T*1LJAROUSSIE Alia T*1L BLAVILLE Micaël T*1LLEVASSEUR Marion T*1L ABLOPES Inès T*1L ABMELLOT Isabelle T*1L TBMORIN-COMON Laura T*1LMOUAISSI Assya T*1LMOUVEROUX Morgane T*1LPAYSSERAND Amand. T*1LPICCATO Vincent T*1LRACHEL Mathilde T*1LROUSSEL Juliette T*1L ABRYNKIEWICZ Kévin T*1LTENNERONI Maëva T*1L ABAOUISSI Sébastien T*2ESBEAU Benoit T*2ESBOGELMANN Lisa T*2ESBOIRON Julie T*2ESCATALON J.-Christophe T*2ES ABCLEMENT Manon T*2ES ABCOILLET-MATILLON P; T*2ES TBDE GUIRAN Jérémy T*2ESDELEMPS Margaux T*2ES ABDUCOL Josépha T*2ES BFENG Lu Di T*2ESGACHET Juliette T*2ESGAILLARD Christopher T*2ESGELAS-DORE Chloé T*2ESGIRAUD Rachel T*2ES ABGOUNON Christophe T*2ES ABMARCY Arthur T*2ES ABMELLOT Diane T*2ES B

MOTTET Adélaïde T*2ES ABMOTTET Noëmie T*2ESNEVEU Thomas T*2ES ABPIQUE Marie T*2ESPUGLISI Luana T*2ESANTOULY Ophélie T*3ESBELKHEIR Sabah T*3ESBESSON Julie T*3ESBOASSO Quentin T*3ESCHABANAL Valentin T*3ESCHAMBRON Mathilde T*3ES BCHIFFLET Marine T*3ESDE ROUBIN Alix T*3ES BDELAMONTAGNE M. T*3ESDEYRE Alexis T*3ES BDIRATZOUIAN Maïlys T*3ESDOREE Maryne T*3ESEUSTACHE Annabelle T*3ES BFELDMAN Boris T*3ES ABHILAIRE Marie T*3ESJAMMONET Caroline T*3ESLEMESLE Melissa T*3ES ABMONTCHAUD Anaïs T*3ESPARRET Laurine T*3ES BRIGOULET Clémentine T*3ES ABROBERT Alice T*3ES BRONDOT Cassandre T*3ESROUX Tiffanie T*3ESSEAUVE Mickaël T*3ES ABSELLOUK Ilan T*3ES ABVALLET Justine T*3ESWENDT Alizée T*3ESAKBARALY Mylène T*4S ABATALLAH Paul T*4SAVAKIAN Anais T*4S ABBEAUGRAND Caroline T*4S BBENSOUSSAN Leslie T*4S

BONADEI Quentin T*4SBOTELLA Chloé T*4SBOUCHARD Marlène T*4S BCOMAJUAN Marion T*4S BCROZET Alexandre T*4S BESTAVOYER Jérémy T*4SFAURE Elodie T*4S ABFISNOT Claire T*4S TBFONDRAZ Gaëlle T*4SJONDON Laura T*4S BLAUTRIDOU Audrey T*4SLEFEBVRE Romain T*4S ABLOUIS Tiphaine T*4SMARLHENS Rudy T*4SMARQUET Audrey T*4S ABMOKHBI Nassim T*4S BREYNAUD Jason T*4S ABRIPERT Manon T*4S ABROCHE Mathilde T*4S BSERRIERE Anaïs T*4SSIMONIAN Thomas T*4S ABAIMASSO Florian T*5SARI Orhan T*5S ABBERTHIER Baptiste T*5S TBBETTINI Sixtine T*5S TBBOEHLER Abraham T*5SBRUNO Anaïs T*5S TBCANET Guénaëlle T*5S ABCHAN Barbara T*5S TBCHANTEUR Julien T*5SCHAREYRON Mathilde T*5S BCOTE Priscille T*5S TBDUBOIS DE FRESNOY F.T*5S BENEE Maud T*5S TBESMENJAUD Marine T*5S BFERRIER Manon T*5S ABHELLMANN Ophélie T*5S AB

LACOUR Martin T*5SLACROIX Mathieu T*5S ABLEFEBVRE Blaise T*5S TBMAROLLEAU Julie T*5S BMOISSENOT Laurent T*5SMORENO Elodie T*5S BPONSARD Thibaut T*5S BRIOU Maëliss T*5SVANDERMOERE MyriamT*5S TBVIAL Marina T*5S ABBARBIER Jérôme T*6S ABBELMAS Marie T*6S ABCARROT Morgane T*6SCARVIN Vincent T*6SCHAZAL Marie T*6SDESPERT Benjamin T*6SDUCROS Lorène T*6S ABDUPUIS Jérémy T*6S ABGENIN Juliette T*6S BGORCE Jean-Baptiste T*6S BGOUE-CORREGE Alexis T*6S ABGRANIER-GARCIA MarcT*6S ABMAISONNEUVE Manon T*6SMAITRE Océane T*6SMALEVAL Anaïs T*6S ABMETIFIOT Guillaume T*6S BMORIEUX Elie T*6SPENEL Vivien T*6SPETIT Edouard T*6SPEYRON Kévin T*6SPHENIEUX Vincent T*6S TBROUBAIX Justine T*6SSALANON Maryne T*6SSALINA Amandine T*6S ABTEYSSOT Magali T*6S

Liste des lauréats au Baccalauréat 2009

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ATELIERS : MÉCANIQUE - FLEXIBLES-CARDANSTACHYGRAPHE-ELECTRICITÉ

INTERVENTIONS FREINAGE SUR VÉHICULES

Z . I . d e s A u r é a t s - 12 , a l l é e D e c a u v i l l e 2 6 0 0 0 VA L E N C ET é l . 0 4 75 4 4 17 4 4 - F a x : 0 4 75 4 4 5 6 0 8E m a i l : v p l @ d i a l . o l e a n e . c o m

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