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Bulletin n°35 du 15 février 2004 F8KGK F8KGK Association pour le Développement des Techniques Radioamateurs (QSO de F8KGK le mercredi à 18h loc. sur 145,575MHz) Siège social : 2 rue de Verdun 76420 BIHOREL 6 e partie E n septembre 1939, Radio Normandie est réquisitionnée et cesse donc d’exister. Les programmes sont désormais ceux de la radiodiffusion Nationale. Tout se fait à Paris et les programmes arrivent par câbles souterrains, un pour la modulation et un câble téléphonique en cas de panne de la modulation. On émettait sur un réseau synchronisé, c’est-à-dire sur la même longueur d’onde, sur les émetteurs de Rennes, de Montpellier, pour empêcher les avions enne- mis de repérer les émetteurs. La station émet pour la Radiodiffusion du 1 er septembre 1939 jus- qu’à l’arrivée des Allemands en juin 1940, qui occupent la station comme prise de guerre. On reçoit toujours la modulation de Paris mais ce sont les programmes de Radio-Paris. Le person- nel réquisitionné sur place n’a plus aucun contrô- le. Ce sont les Allemands qui se chargent d’aler- ter Paris en cas de panne. Les employés assu- rent la marche de l’émetteur. Mais, fait curieux, les Allemands qui occupent le poste ne sont pas des spécialistes en radio, mais de simples militai- res, une douzaine, des soldats, un lieutenant et un Feldwebel. De là, vient la difficulté des rap- ports entre eux. Ils sont très méfiants et voient du sabotage partout. Les entrées et les sorties sont sévèrement réglementées. Le personnel est muni d’un sauf-conduit et ne peut recevoir de visites sans autorisation. La vie à Louvetot était loin d’être agréable. Le pylône était camouflé en vert et jaune parce que c’était un point de repère. D’autre part, comme il n’était pas balisé, il pouvait être accroché par les avions. La station a subi des bombardements et des mitraillages surtout de novembre 1941 à août 1944. Pendant la bataille de Normandie, au début du lancement des V2 sur l’Angleterre, un avion alle- mand s’est pris dans le pylône et l’a coupé en deux. Les Allemands croyant que c’était un Anglais ont fêté l’événement pour s’apercevoir le lendemain que c’était un des leurs.. Le jour de leur départ, le 1 er septembre 1944, ils on fait sauter les moteurs, le transformateur de 15 000 volts. Quand les Alliés arrivèrent, tout était détruit. Dès le début de la guerre, l’État et la censure contrôlent les radios publiques et privées. Dès juin 1940, les Allemands imposent en zone occu- DE RADIO-FECAMP A RADIO NORMANDIE A l'approche de l'armée allemande, les forces françaises met- tent hors service le lundi 10 juin 1940 à 18h, l'émetteur de Fécamp, et coupent les câbles de départ vers les antennes. Dès leur arrivée, les Allemands vont occuper la "Maison de la radio" rue de Boulogne et en faire la Standortkommandantur de Fécamp.

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Page 1: Bulletin n°35 du 15 février 2004 F8KGK

Bulletin n°35 du 15 février 2004

F8KGKF8KGKAssociation pour le Développement

des Techniques Radioamateurs(QSO de F8KGK le mercredi à 18h loc. sur 145,575MHz)

Siège social : 2 rue de Verdun 76420 BIHOREL

6e partie

En septembre 1939, Radio Normandie estréquisitionnée et cesse donc d’exister. Lesprogrammes sont désormais ceux de la

radiodiffusion Nationale. Tout se fait à Paris et lesprogrammes arrivent par câbles souterrains, unpour la modulation et un câble téléphonique encas de panne de la modulation. On émettait surun réseau synchronisé, c’est-à-dire sur la mêmelongueur d’onde, sur les émetteurs de Rennes,de Montpellier, pour empêcher les avions enne-mis de repérer les émetteurs. La station émetpour la Radiodiffusion du 1er septembre 1939 jus-qu’à l’arrivée des Allemands en juin 1940, quioccupent la station comme prise de guerre.

On reçoit toujours la modulation de Paris mais cesont les programmes de Radio-Paris. Le person-nel réquisitionné sur place n’a plus aucun contrô-le. Ce sont les Allemands qui se chargent d’aler-ter Paris en cas de panne. Les employés assu-rent la marche de l’émetteur. Mais, fait curieux,les Allemands qui occupent le poste ne sont pasdes spécialistes en radio, mais de simples militai-

res, une douzaine, des soldats, un lieutenant etun Feldwebel. De là, vient la difficulté des rap-ports entre eux. Ils sont très méfiants et voient dusabotage partout. Les entrées et les sorties sontsévèrement réglementées. Le personnel est munid’un sauf-conduit et ne peut recevoir de visitessans autorisation.

La vie à Louvetot était loin d’être agréable. Lepylône était camouflé en vert et jaune parce quec’était un point de repère. D’autre part, comme iln’était pas balisé, il pouvait être accroché par lesavions. La station a subi des bombardements etdes mitraillages surtout de novembre 1941 àaoût 1944.

Pendant la bataille de Normandie, au début dulancement des V2 sur l’Angleterre, un avion alle-mand s’est pris dans le pylône et l’a coupé endeux. Les Allemands croyant que c’était unAnglais ont fêté l’événement pour s’apercevoir lelendemain que c’était un des leurs..

Le jour de leur départ, le 1er septembre 1944,ils on fait sauter les moteurs, le transformateur de15 000 volts. Quand les Alliés arrivèrent, tout étaitdétruit.

Dès le début de la guerre, l’État et la censurecontrôlent les radios publiques et privées. Dèsjuin 1940, les Allemands imposent en zone occu-

DE RADIO-FECAMP A RADIO NORMANDIE

A l'approche de l'armée allemande, les forces françaises met-tent hors service le lundi 10 juin 1940 à 18h, l'émetteur deFécamp, et coupent les câbles de départ vers les antennes.

Dès leur arrivée, les Allemands vont occuper la "Maison de laradio" rue de Boulogne et en faire la Standortkommandanturde Fécamp.

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pée une seule radio, Radio Paris qu’ils contrôlentétroitement : “Radio Paris ment, Radio Paris estallemand !” répétait la BBC que beaucoup écou-taient clandestinement. En mars 1944, les récep-teurs doivent être déposés dans les mairies.Certains disparaîtront dans les incendies des

b o m b a r -dements,au Havren o t a m -ment.

Vendred i12 novem-bre 1943,le pylôner e s t a n t(côté Est)sera dyna-mité parl e sAllemandscar il pour-rait servirde pointde repèreaux alliés.

Trois ans auparavant, le 7/11/40 vers 2h15 du

matin, au cours d’une violente tempête, le pylôneouest se tord sur sa base comme pris de convul-sions puis s’effondre dans les jardins jouxtantl’Orphelinat St Michel, dans un fracas épouvanta-ble de ferraille, arrachant de terre son énormeassise de béton.

Sources : Histoire de

« Radio-Normandie »par J GOUBE – 1980

Site Internet :offshoreechos.com

F6CNZEn août 1944, les Allemands, qui avaient muré les fenêtres du bâtiment central à cause desmitraillages de l’aviation anglaise, ont incendié ce bâtiment et la toiture a complètement brûlé.Notez le feeder débouchant dans les décombres...

Le pylône à terre : on aperçoit la base de porcelaine qui ser-vait d’isolant. Pour l’abattre, les Allemands ont simplementposé une mine sur l’un des trois haubans.

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L’été dernier (au frais dans la station !), je fai-sais un tour d’écoute plus fouillé qu’à l’habi-tude sur mon FT817 et je suis arrivé aux

environs de 137MHz. J’avais oublié que cettebande de fréquence était utilisée par les satellitesmétéo à orbite polaire.

Les sons dans le haut-parleur réveillèrent enmoi un vieux souvenir, celui des signaux enten-dus à la station de Jean-Louis F9EA à Mont-Saint-Aignan à l’époque où j’étais son voisin rueAuguste Borgnet.

Comment traduire les sons entendus ? Je n’a-vais pas installé de logiciel particulier sur mon PC.Je me suis alors mis à la recherche sur le Net desinformations sur les satellites météo. Choseaisée, on y trouve de tout. J’avais déjà un certainnombre de renseignements, passionné d‘écouteen général et en l’occurrence des cartes météoretransmises sur le déca.

Les satellites météorologiques à orbite polairesont exploités par divers pays. Gérés par lesEtats-Unis NOAA 12,15 et 17 et sont sur 137.500et 137.620. Les signaux sont forts, la réceptionest confortable. Les émissions sont du type ana-logique, la transmission s’effectue en FM avecune excursion en fréquence d’environ 25 à 40KHz, avec une sous-porteuse à 2400Hz moduléeen amplitude qui définira la luminosité de l’image.La réception se fait en position FM sur le récep-teur.

La durée des passages est variable, de l’ordrede 10 à 20 minutes. L’altitude du satellite est del’ordre de 650 à 900 km.

L’ÉQUIPEMENT DE MA STATION

Après quelques essais avec ma 9 éléments144 puis une 5/8 144, j’ai finalement opté pourune antenne constituée d’un double trombone enV opposés sur un double réflecteur en V opposés(origine Comelec).Elle est située dans le greniermais donne de bons résultats, les passages desatellites bas sur l’horizon sont très correctementreçus (bien que je sois en ville avec une colline etdes immeubles côtés sud et est.

Le récepteur est donc le FT817. La bande pas-sante n’est sans doute pas assez grande, il fau-drait construire un récepteur ayant une de 30KHz. Mes premières réceptions avant d’enregist-rer la version du logiciel en ma possession sefirent en compensant manuellement la dérive enfréquence.

Le logiciel de poursuite (voir plus loin) indique,compte tenu de l’effet Doppler, la dérive en fré-quence. A l’heure dite j’étais à l’écoute, la mainsur le vernier afin de « suivre » en fréquence ettout au long de la réception je faisais ainsi varier

RÉCEPTION DES SATELLITES MÉTÉO SUR 137 MHZ

Réception du satellite NOAA-1, réalisée par Jean-Louis ArnalF9EA et Philippe F6BTP, fin juin 1971

l’antenne est placée (provisoirement) dans le grenier

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la fréquence d’environ – 3,5 KHz à + 3,5 khz.Manœuvre peu pratique et m’obligeant à être pré-sent au QRA pour recevoir les photos. De mêmeil était impossible de recevoir sans être présent,ou alors sans assurer le suivi en fréquence, lelogiciel surveillant seul l’arrivée du signal (voirplus loin) et passant en enregistrement automa-tique.

J’ai rapidement versé les quelques dizainesd’euros afin d’enregistrer le logiciel qui mainte-nant fait seul le suivi en fréquence ( y comprisbien entendu le changement de fréquence entreles satellites ) puisqu’il peut piloter mon FT817comme un très grand nombre de transceivers.

le FT-817 utilisé en réception

Une des premières réceptions avec le logiciel non enregistré. Cette fois ci avec le logiciel enregistré

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La BF alimente directement la carte son duPC. Le logiciel se nomme WxToImg (versionenregistrée 2.5.9 ). Ce logiciel vient de NouvelleZélande ([email protected]) et fonctionneparfaitement à mon goût. Si vous comptez l’utili-ser et si vous avez quelques soucis envoyez unmail à Craig qui vous répondra très aimablement.

D’autres logiciels existent, j’en ai essayé, je mesuis arrêté à celui-ci. Ce logiciel permet, entreautres de surveiller l’acquisition en direct survotre écran puis, après traitement des signaux, ilprésente les cartes avec ajout possible de «fausses couleurs » pour mettre en évidence lesnuages, la mer, le sol etc. Les cartes visualiséespeuvent comporter un détourage des continentsou non, suivant des projections diverses(Mercator, Lambert, orthographique etc).

On peut aussi (petit gadget) avec des lunettesrouge/bleu de visualiser en relief, ou (et ce n’estpas un gadget) composer une image de plus

photo de l’Espagne et de laFrance

la méditerranéeimage polar

séréographic

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grande couverture spatiale en juxtaposant plu-sieurs images réceptionnées lors de passagesconsécutifs (et cela de manière automatique)

Pour suivre le défilement des satellites, j’utiliseWXTRACK qui matérialise sur l’écran la coursedu(des) satellite(s), la position du Soleil, de laLune et la zone jour/nuit.

Chacun de ces logiciels a besoin d’un raccor-dement (environ tous les deux ou trois jours) surle net pour une mise à jour des coordonnéesKlépériennes (c’est automatique pour WxToImg).

La première fois où j’ai réussi à copier correc-tement des signaux au niveau de l’Egypte c’étaitle matin du crash de l’avion avec nos compatrio-tes.

A partir de deux images consécutives j’airecomposé une image de Brest au Caire.

Craig, l’auteur de WxToImg, m’a passé uneimage de la Nouvelle Zélande reçue avec uneantenne un peu identique à la mienne et unrécepteur dédié au 137MHz dénommé R139 quia été décrit dans la revue américaine “QST” de1999.

Je vous adresserai des images de la NouvelleZélande à l’occasion et d’autres photos météosuivront.

73’s Daniel F1BIB

image recomposée à partir de deux images consécutives, allant de Brest au Caire

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F in de 34e mission annuelle pour Présenceradioamateurs, une association d’une quin-zaine de membres, remarquable pour sa

constance et son goût du grand large.Ils sont sept à revenir d’une « campagne » d’un

mois au Mexique : des Niçois, des Franciliens etles trois Normands Alain et Danielle Duchauchoy,de Bihorel-lès-Rouen, et Yves Delaforge, deRouen. Dans le groupe, Bernard, de Monthléry,et André, de Nice, qui, avec Alain Duchauchoy,appartenaient à l’historique expédition de 1978sur l’îlot Clipperton, que le magazine téléviséThalassa a encore évoqué le 16 janvier dernier…« Le but est d’établir des contacts avec des radio-amateurs du monde entier à partir d’îles ; pour leplaisir, et la beauté du geste technique… »,explique en souriant Alain Duchauchoy.

ESCALADE EN PLEINE MER

Au Mexique, cette année, l’aide des radioama-teurs locaux permet aux équipiers d’obtenir lesindispensables licences radio du pays. Cap alorssur la côte Pacifique, et un premier objectif, à1 h 30 de bateau : l’archipel des Marietas, troisrécifs de corail mort, face à Puerto Valarta.

Zone de reproduction des baleines àbosse, les Marietas sont protégées, etles radioamateurs n’ont le droit d’yséjourner que du lever au coucher dusoleil. Abordage délicat, réussi grâceaux hommes de la coopérative depêche. Alain, Yves et leurs équipiersprennent pied et, environnés de fous,

frégates et autres grands oiseaux marins, mon-tent les mats et installent les stations d’émission.« En phonie et en morse, environ 2.500 contactsradio, avec notamment quelques Normandscomme le Rouennais Philippe Caron… » résume

A l a i nDuchauchoy.

L e samis quittentles Marietas àbout d’essen-ce de groupeélectrogène etde batteries.Aucune émis-sion n’avaitété réaliséedepuis vingtans depuisl ’ a r c h i p e lperdu…

LES RADIOAMATEURS À L’ASSAUT DES ÎLES MEXICAINES

Débarquement du FT897 à Marietas....risqué !tout comme celui de l’IC 706 (photo ci-contre)

Marietas Redonda Island

Marietas Redonda Island par N 20°42’03,5’’ et W 105°33’57,4’’comme le prouve ce point GPS

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Yves F5TTY

Bernard F9IE

André F6AOI

Alain F6BFH

la “station radioamateur” de Marietas et ses antennes les deux stations radios à Marietas

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Toujours côté Pacifique, au tour de PenaBlanca, dans un ensemble volcanique, face àManzanillo. Les radioamateurs mexicainsconseillent fortement d’éviter deux îles réputéesservir de dépôts aux trafiquants de drogue.

Mais la troisième île, Pena Blanca, c’est unhaut mur recouvert d’excréments d’oiseaux… Dubateau, les radioamateurs repèrent finalement uncourt promontoire.

Débarquement en voltige, puis escalade, avec17 kg de matériel radio sur le dos. Plus de trentemètres à 60/70 degrés, puis une plate-forme exi-guë. Au terme de sept heures sous tension, prèsde 2.500 contacts avec le monde. « Du jamais faitdepuis Pena Blanca », note Alain.La suite, côté Est, sera plus « cool » pour ces rou-tards (sacs à dos, bus locaux) de pas loin de 60ans en moyenne, opérant toujours avec leurscompagnes : trois jours et 5.000 contacts (24heures sur 24 !) depuis les îles Carmen, puis qua-tre jours dans l’île Mujeres, face à Cancun.

A Présence radioamateurs, on pense désormaisà un archipel chilien au delà du cap Horn. Unesacrée 35e en perspective !

FRANÇOIS HENRIOT

Article publié dans les colonnes du journal “Paris-Normandie” du samedi 28 février. Reproduit avec l’aimableautorisation de son auteur.

Photos d’Alain F6BFH ( à suivre)

ET MAINTENANT “PENA BLANCA” !

une ile, entre le ciel et l’eau.. !

“un petit pas pour l’homme”... André F6AOI met le pied dansla... pardon sur l’ile “Pena Blanca”, ainsi nommée car recou-verte d’excréments d’oiseaux !

F5TYY, F9IE et Micheline débarquent à leur tour

Alain F6BFH escalade le rocher, à la recherche d’un site pro-pice à l’installation des équipements radios

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HORIZONTALEMENT :

1) Admiratif - Touchées.2) Il semblerait.3) Pied de vigne - Mesure agraire - Pratiques

anciennes.4) Mélange de monnaie nordique - Voyagent

économiquement.5) Oublies.6) Sortie théatrale - Pour le pêne.7) Ressorts - Choisi.8) Prépara - Passe à Carcassonne - Rapproche.9) Assemblage - Fleur odorante.10) Se présenter en justice - Ville bourguignonne

- Peu respectable.11) Belle vache - Tassement hivernal.12) A son panneau - Premier en tout.

VERTICALEMENT :

A) Pour le breakfast - Assaisonnera.B) Arme blanche - Amoureux.C) A peu près.D) Possessif - Illusion. E) Unique en son genre - Prénom masculin.F) Petit mammifère dormeur - A lui - Cri de surprise.G) Bouges - Ville suisse.H) Début d’embêtement - Transmis.I) Décorations - Négation.J) Chiffre premier - Ville de la comtesse de

Paris - Notre mère.K) Ouvrage savant - Gourmand du pied à la tête.L) Police allemande - Parures florales.

NICOLE

LES MOTS CROISÉS DE L’A.D.T.R

SOLUTION DE LA GRILLE N°25

grille N°26

A B C D E F G H I J K L123456789

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