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- .- - L'HOMME ET SES POUVOIRS c c
King, raconta au Sunday News de Nouvelle- Zélande (en date du 3
aoOt 1980) qu'au mo- ment où il toucha la base de son cou, elle
avait eu la sensation qu'on extirpait quelque chose
d'elle-même.
Un autre patient nbzélandais qui souf- frait d'anosmie berte de
l'odorat) depuis deux ans, après un grave accident, kprouva de
légers chocs 8 I'intkrieur de son na pen- dant l a cure. Après
imposition des mains, il percevait A nouveau normalement les
odeurs.
Au cours d'un voyage en Allemagne de l'ouest, Manning obtint le
concours de deux médeclps pour contrôler ses patients avant et
après ses interventions. Ils reconnurent avec grand étonnement
qu'il obtenait des résultats satisfaisants dans 95 % des cas, A
Fribourg, par exemple, il soigna devant eux un certain Friedrich
Landenberger d'une ostbartiuite qui l'empêchait de mouvoir les
bras. Après quelques minutes de cure, il était tellement soulagé
... qu'il leva ces derniers au ciel en signe de joie intense! Or,
les médecins avaient assuré qu'aucune thérapeutique clas- sique
n'aurait pu obtenir ni même permettre d'espérer pareil
résultat.
, . II n'est pas facile de mesurer les effets . objectifs d'une
guérison psi. Parfois elle
' :est totale. D'autres fois on constate sim- plement un mieux.
II arrive aussi que
, rien ne se produise. a Dans le cas de cette mystérieuse ma-
ladie qu'est la sclérose multiple, le pro- blème est encore plus
complexe. En effet, la progression du mal est imprévi- sible. II
peut se produire des périodes de rémission absolument « naturelles
n, qu'un optimiste considérera comme une guérison, alors que le
processus des- tructif se remettra en œuvre quelques
' 'mois ou quelques années plus tard. Si l'un de ces repits
correspond au traite- ment paranormal, on pourra penser que '
,c'est une preuve de l'efficacité de ce .dernier, alors que ce
n'est qu'une étape insolite dans l'évolution erratique de la
maladie.
. Un certain contrôle peut cependant être exercé. La sclérose
multiple détruit irréversiblement le système nerveux cen- tral. En
comparant l'état physiologique de celui-ci avant et après la cure,
on peut déterminer quels en ont été les effets véritables.
Cette maladie, qui peut causer la cé- cité, l'incontinence et
certaines formes
,',-de paralysie, a souvent fait l'objet d'ef- forts
particuliers de la part des gu6ris- seurs dits u parallèles S. De
fait, si Mat- ,thew Manning, ou un autre, pouvait
Dans la même viiie, Matthew Manning traita Frau Ripprich,
l'épouse d'un des ob- servateurs. EUe ne croyait pas en une possi-
bilité de guérison psi. Pourtant, après inter- vention du médium,
elle put facilement mouvoir son avant-bras, qu'elle était incapa-
ble d'étirer depuis plus d'un an.
Combien de cas jugés incurables par la médecine officielle le
guérisseur paranormal n'a-t-il pas résolus !
Voilil qui ouvre de vastes perspectives B de nouvelles formes de
soins dont on a déjA lar- gement soupçonné l'intéret, tant aux
fitats- Unis qu'en Union soviétique.
Pour lui, d'ailleurs, le problème est beau- coup plus vaste :
les m m physiques ou mentaux qui s'abattent sur nos contempo- rains
malgré les immenses progrès de la science médicale procèdent
directement du fait que l'homme a perdu le contact avec les grandes
énergies du Cosmos, et qu'il est ailé jusqu'8 provoquer la nature
et son équilibre. Aucune solution matérialiste ne saurait être
apportée 8 cela.
Le rôle du guérisseur psi est, à tous les ni- veaux, de rétablir
l'harmonie perdue.
obtenir des rbsultats objectifs dans le , i traitement de la
sclérose multiple, cela constituerait une preuve solide de la réa-
lité des pouvoirs psi appliqués à la gué- ' - 4 rison.
Étant donné 1'évolution particulière de , ,:< ce mal, il
faudrait évidemment que le test , s'étale sur une longue période de
temps, plusieurs mois, ou plusieurs annees ...
Lors d'une émission télévisée an- . , glaise, intitulee Les
GuBrisseurs, qui fut diffusée en janvier 1982, Matthew Man- ning
soigna en public deux personnes [, atteintes d'affections
chroniques très douloureuses. Ni l'une ni l'autre ne croyaient en
l'efficacité du traitement psi. ' :
La première, un éditeur américain qui :, souffrait d'un genou,
ne ressentit au- ! cune amélioration après l'intervention de
Manning. La seconde, une femme dont , le nom n'a pas 6th divulgué,
était at- , teinte d'une infection avancée de la han- 1 che. Son
médecin, qui fut interviewé pendant l'émission, assura que le mal j
était irréversible et que l'on pouvait atté- , nuer la douleur avec
des médicaments.
Après une vingtaine de minutes de 1, traitement par Manning, la
malade admit, malgré son scepticisme, qu'elle souffrait ,
sensiblement moins, alors qu'elle n'avait connu aucun répit pendant
près de deux ' ' ans. L'amélioration fut durable, et d'ail- leurs
la souffrance disparut compldte- ment. u Cela ne peut pas être,
avoua- t-elle, mais pourtant c'est ainsi ! »
