Cahier Orientation - Février 2016

Supplément publicitaire au Courrier Picard n°22886 et à l’Aisne Nouvelle n°11485 du 1er mars 2016 Directeur de la publication : Jean-Dominique Lavazais - Imprimerie La Voix du Nord

P.2 Dossier spécial sur les métiers du sport en partenariat avec l’Onisep Picardie

P.12 Dossier spécial sur les métiers du patrimoine en partenariat avec l’Onisep Picardie

P.22 Vivre sa scolarité dans une Maison Familiale et Rurale en partenariat avec la fédération départementale des MFR

DOSSIER SPÉCIAL CAHIER ORIENTATION - MARS 2016Page 2

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Les centres de formation du CHU Amiens-Picardie13 professions pour devenir acteur de santéun espace ouvert de formation tout au long de la vie

INSCRIPTION - CONCOURS D’ADMISSION28

MAI2016

Après le BAC (l’inscription est possible l’année de terminale sous réserve de réussite au BAC)

SITE NORDjusqu’en juin 2016

SITE SUD SITE SUD SITE MÉDECINE UPJVINSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS (IFSI)Tél. 03 22 45 56 09 - 03 22 45 59 88 / Fax : 03 22 45 56 [email protected] LIMITE D’INSCRIPTION : 18 MARS 2016DATE DES ÉPREUVES D’ADMISSIBILITÉ : 20 AVRIL 2016DATE DES RÉSULTATS : 19 MAI 2016 À 10HENTRETIENS DE SÉLECTION : DU 23 MAI AU 15 JUIN 2016RÉSULTAT FINAL : 1ER JUILLET 2016 À 10 HDURÉE DE LA FORMATION : 3 ANS

INSTITUT DE FORMATIONDE MANIPULATEURS D’ÉLECTRORADIOLOGIE MÉDICALE (IFMEM)Tél. 03 22 08 87 10 / [email protected] DES DOSSIERS D’INSCRIPTION :À PARTIR DU JEUDI 7 JANVIER 2016DATE LIMITE D’INSCRIPTION : 25 AVRIL 2016ÉPREUVES ÉCRITES : JEUDI 26 MAI 2016ÉPREUVE ORALE : DE MI-MAI À MI-JUIN 2016DURÉE DE LA FORMATION : 3 ANSPORTES OUVERTES LE MERCREDI 2 MARS 10H-18H

INSTITUT DE FORMATION DE TECHNICIENSDE LABORATOIRE MEDICAL (IFTLM)TÉL. 03 22 66 81 14 - FAX : 03 22 66 82 [email protected] DES DOSSIERS :À PARTIR DU 7 JANVIER 2016DATE LIMITE D’INSCRIPTION : 25 AVRIL 2016DATE DU CONCOURS : 24 MAI 2016DURÉE DE LA FORMATION : 3 ANSA PARTIR DE SEPTEMBRE 2016 : « SITE MÉDECINE UPJV»

INSTITUT DE FORMATION EN ERGOTHÉRAPIETÉL. 03 22 08 87 [email protected] DES DOSSIERS : CALENDRIER EN COURSDATE LIMITE D’INSCRIPTION : VENDREDI 29 AVRIL 2016DATE DU CONCOURS : SAMEDI 28 MAI 2016DURÉE DE LA FORMATION : 3 ANSPORTES OUVERTES LE MERCREDI 2 MARS 2016 DE 14H À 16H DANS LES LOCAUX DE SIMUSANTÉ (CHU AMIENS-PICARDIE SITE SUD -D408 (CÔTÉ ROUTE DE ROUEN).

ÉCOLE DE SAGES-FEMMES MICHEL VITSETél. 03 22 53 36 99 - Fax : 03 22 53 36 03 / [email protected] : FACULTÉ DE MÉDECINE D’AMIENS APRÈS RÉSULTATS DU BACCALAURÉATDURÉE DES ÉTUDES : PACES (PREMIÈRE ANNÉE DE MÉDECINE) + 4 ANS

www.chu-amiens.fr rubrique “Étudiants”Dossiers d’inscriptions à télécharger, détail des formations,descriptions des métiers, les résultats aux concours

+D’INFOSCrédit photo : Denis Wardzala, Nicolas Taillant, Phototèque G4, David Cissello, Agence Luminance, IFMEM Amiens. Conception graphique : Sophie COLLION - Service Communication - Impression : CHU Amiens-Picardie - V2 Février 2016

Suivez-nous sur@CHUAmiens

SITE MÉDECINE UPJV

SITE SUD

Après la PACESou une 1re année de STAPS

INSTITUT DE FORMATION EN MASSO-KINÉSITHERAPIE (IFMK)Tél. 03 22 45 59 92 - Fax : 03 22 45 60 55 / [email protected]ÉDURE DE RECRUTEMENT : 2 ORIGINES POSSIBLES : « ÉTUDES MÉDICALES » AMIENS OU 1RE ANNÉE DE LICENCE STAPS AMIENS OU CUFFIES.

- 35 PLACES POUR LES CANDIDAT(E)S DE L’UFR DE MÉDECINE D’AMIENS- 15 PLACES POUR LES CANDIDAT(E)S VENANT DE 1RE ANNÉE DE LICENCE STAPS

DATE LIMITE D’INSCRIPTION : – 22 AVRIL 2016 POUR LES ÉTUDIANTS INSCRITS EN PACES– 13 MAI 2016 POUR LES ÉTUDIANTS INSCRITS EN STAPS

DURÉE DE LA FORMATION : PACES (1RE ANNÉE DE MÉDECINE) OU STAPS 1 +4 ANS

Vous avez choisi de devenir professionnel de santé ? Le CHU Amiens Picardie vous off re une large palette de formation

� 13 Instituts de formation conduisant à des professions complémentaires par leur contribution aux soins dispen-sés à la personne, et à toutes les étapes de sa prise en charge: du laboratoire à la salle de naissance, du bloc opératoire à l’IRM… de la petite enfance au grand âge…

� 13 Instituts de formation engagés dans l’action soli-daire, conduisant des projets communs et complémen-taires, animés de valeurs partagées de respect, d’écoute et d’empathie, accompagnent près de 1300 étudiants dans leur parcours de formation.

� Une formation nouvelle cette année : Ergothérapeute. (informations sur le site CHU, mises à jour)

Des méthodes et outils actualisés et professionnalisantsLes méthodes pédagogiques qui sont mises en œuvre sont centrées sur les apprentissages pour assurer la réponse aux besoins des personnes et la qualité des soins. Les équipes pédagogiques amènent les étudiants à l’autono-mie et la responsabilité en aiguisant leurs capacités de réfl exion et décision.

Ces 13 instituts de formation sont ouverts sur l’univers professionnel et au-delà du monde hospitalier, l’ensemble des modes d’exercice. Ils sont riches d’une expérience mai-trisée de l’alternance stage/enseignement, qu’ils cultivent pour assurer la construction des compétences des étu-diants.

Ils bénéfi cient d’équipements pédagogiques adaptés et contemporains. Pour faciliter les apprentissages en situa-tions professionnelles, des partenariats sont développés au sein du CHU avec les plateformes médicotechniques, les services cliniques. Par ailleurs, un partenariat privilégié avec le centre de pédagogie active et de simulation en santé SimUSanté® donne un accès à des environnements des soins fi dèlement reconstitués entièrement consacrés aux situations d’apprentissage scénarisées et simulées, et à une plateforme d’apprentissage en ligne.

Une employabilité optimaleDes formations en évolution3 mois après la fi n des études, plus de 90% des diplô-més déclarent un emploi pour la plupart des fi lières. Aujourd’hui, les modalités pédagogiques et les réformes engagées favorisent les évolutions, multipliant les pers-pectives de carrières.

Ainsi, les durées de formation qui sont diverses, de 6 mois à 5 ans … du niveau V au master, permettent d’envisager des parcours accessibles progressivement, les passerelles interdisciplinaires se multiplient.

Parallèlement, la réingénierie des formations et le rappro-chement universitaire, donne une lisibilité plus grande sur les niveaux et équivalence de formation, permettant des reprises ou poursuites d’études universitaires. Aujourd’hui, nombre de formation en santé off rent à l’issue du curri-culum un diplôme d’exercice et un grade universitaire de Licence ou de Master.

Soyez vigilent ! Des modes d’admission diff érents… Pour décupler vos chances, il est capital de veiller au mode d’admission de chaque institut, ils ne sont pas iden-tiques… L’inscription par APB n’est pas la règle absolue, l’étude de dossiers et concours d’admission sont encore nombreux. Dans les instituts de formation en santé, les inscriptions se font directement auprès de l’institut ou sur les sites associés.

DEVENEZ LES SOIGNANTS DE DEMAIN, UNE FORMATION VOUS INTERESSE : www.chu-amiens

13 Instituts au CHU d’Amiens Picardie

DOSSIER SPÉCIALCAHIER ORIENTATION - MARS 2016Page 3

P.4 Intro : Un esprit sain dans un corps sain. Médecin sportif : "On est avant tout sportif militant".

P.6 Handisport : témoignage d’Antoine Masset. Les techniques de revêtements de sols :

"Sous les pieds des sportifs"

P.8 Etre prof de sport : Témoignage de Sophie Brély, professeur de fi tness Témoignage d’Arnaud Jaillet, professeur d’EPS à l’UPSN

P.10 L’importance du sponsoring Témoignage d’Anthony Ferla Témoignage de Baptiste Levasseur

en partenariat avec


Lorsqu’il fut demandé à Winston Churchill son secret de longévité, il répondit cette célèbre phrase « Cigars, whisky and no sport. » Formidable excuse brandie tel un étendard par les non-sportifs. Néanmoins, les études tendent à démontrer que, malheureusement, le prélassement sur sofa de haut niveau avec spécialité tabac et alcool ne peut être considéré comme une activité bénéfi que pour le maintien en bonne santé d’un corps.

Eh oui, il n’y a pas de secret, pour rester en bonne santé, il faut bouger. Jadis, la population française était essentiellement paysanne et exerçait donc une activité très physique. Mais les citadins mécanisés et robotisés que nous sommes devenus ne se dépensent pas assez. Des campagnes de publicité et des actions espèrent inverser cette tendance.

De fait, après débats entre députés et sénateurs au sujet du nouveau Projet de loi Santé, l’amendement sur la prescription médicale du sport a été défi nitivement adopté le 27 novembre 2015. Celui-ci stipule que « dans le cadre du parcours de soins des patients atteints d’une maladie de longue durée, le médecin traitant peut prescrire une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient. » Certaines complémentaires de santé ont déjà annoncé qu’elles iraient dans le sens de cet amendement. Dans ce cadre du sport sur ordonnance, la Mutuelle des sportifs de la Maif propose ainsi une prise en charge d’activités liées au sport. Le symbole est fort. C’est aussi une belle reconnaissance du monde sportif et de ses acteurs nombreux et variés.

Le sport est en eff et porteur de nombreuses carrières. Que l’on soit sportif ou simple amateur, il y a des quantités de métiers liés à ce milieu. Notamment professeur, entraîneur, athlète, journaliste, commercial, secourisme, maître-nageur, chercheur (pour développer les équipements, par exemple), bâtisseur de complexes sportifs, etc, et médecin du travail.

CAHIER ORIENTATIONSupplément du Courrier picard et de l’Aisne Nouvelle du 1er mars 2016

Coordination : PMP régie publicitaire Directeur de la publication : Jean-Dominique Lavazais

Réalisation : Prémédia La Voix du NordRédactionnels : Courrier Picard : Gaëlle Martin

en partenariat avec l’ONISEP PicardiePublicité : Picardie Matin Publicité. Crédits textes et photos : ©ONISEP

Toutefois, selon René Faure, médecin sportif n’est pas un boulot à temps plein. « On fait des vacations, explique-t-il. Il n’y que dans les grandes villes hébergeant des complexes sportifs importants avec de gros moyens que les médecins peuvent se faire embaucher. Les clubs plus modestes ne peuvent pas se le permettre.» D’ailleurs, les médecins sportifs ne sont pas non plus toujours payés lors de leurs interventions. En eff et, dans cette fi lière, il y a une grosse part de bénévolat.

« A côté je suis médecin en santé public, poursuit René Faure. Cela concerne tout ne qui est épidémiologie, environnement. Notre rôle est préventif. Empêcher que les gens soient malades. C’est un travail essentiellement administratif. Voilà pourquoi en 2003, j’ai décidé de me former à la médecine sportive. Pour être en contact direct avec les personnes. Le rôle du médecin sportif est très important. Auprès des amateurs, nous faisons une visite annuelle et auprès des athlètes de haut niveau, c’est un véritable suivi médical, psy, diététique et kiné tout au long de l’année.»

Il faut dire également que René Faure est lui-même sportif et passionné de karaté. Discipline qu’il enseigne au sein de l’association qu’il a créé avec un ami, AKSAM. Il est également médecin de la ligue de judo et fait du kayak à Rivery. Bref, René Faure n’est pas du genre à rester les bras croisés. « Si on fait cela, c’est pour apporter sa contribution au développement sportif, pas pour la

rémunération, car c’est mal payé. On veut que les gens fassent du sport dans de bonnes conditions. On forme aussi les gens, comme par exemple les arbitres lors des tournois pour qu’ils reconnaissent un traumatisme crânien. Cette activité de médecin sportif nous permet aussi de lutter contre le dopage. On est avant tout des sportifs militants. Et je dirais que c’est une condition pour faire cette activité. »

René Faure est plus que convaincu des bienfaits que procure l’activité physique et souhaite apporter la bonne parole au plus grand nombre. Qu’importe leur constitution physique et mentale. En eff et, avec ses collègue de l’Offi ce des Sports d’Amiens Métropole (l’OSAM), depuis 5 ans, il œuvre activement pour que les personnes en situation de handicap mental accèdent au sport. « Une maison spécialisée nous confi ait que les clubs n’accueillaient pas les personnes handicapées mentales, indique René Faure. Il est vrai que ce n’est pas évident pour les clubs car il faut être formé pour recevoir ce public. Nous avons donc mis en place une dynamique de sport adapté pour tous, avec des forums de découverte, des formations, des rencontres et établi une charte de bonne pratique. » Ainsi certains clubs se sont rendus accessibles aux personnes en situation de handicap mental et sont prêtes à faire des démonstrations pour les structures spécialisées.

Un esprit sain dans un corps sain

On est avant tout Sportif MilitantRené Faure, 56 ans, est médecin sportif engagé. Cet originaire de Rennes a longtemps exercé dans la santé publique à Charleville-Mézières où il a suivi une formation de spécialisation pour être médecin du sport. Par la suite, il a emménagé à Amiens.


AVANT LE 18 MARS 2016Date de l’écrit : 20 AVRIL 2016Date des entretiens : DU 23 MAI AU 15 JUIN 2016

Institut de Formation en Soins Infi rmiers - 25, rue Victor Hugo - 80142 ABBEVILLE CédexPour tout renseignement : 03 22 25 64 90

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CÉMÉA Picardie Amiens www.cemea-picardie.fr-BPJEPS Animation Sociale-BPJEPS Loisirs Tous Publics

MFR de Beauquesne www.mfrbeauquesne.com-CAP Petite Enfance

MFR de Songeons www.mfrsongeons.com-BAPAAT Loisirs Pleine Nature, Randonnée Équestre

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MFR de Villers-Bocage www.mfrvillersbocage.com-Dispositif d’Initiation aux Métiers en Alternance-CAP Maintenance des Bâtiments en Collectivité

Portes ouvertes samedi 12 mars 2016

Pour en savoir plus, consulter les sites Internet des établissements ci-dessous

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INDUSTRIETP / BTP - Génie civilRobotique - MécaniqueDomotique - HygièneSécuritéEnvironnement DurableChimie

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OUVERTURE SEPTEMBRE 2016MENTION COMPLÉMENTAIRE ACCUEIL RÉCEPTIONNOUVEAU

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Antoine MassetHANDISPORT

« J’ai suivi un cursus en STAPS, explique-t-il. Au début, c’était uniquement parce que j’aimais le sport. Puis en licence, j’ai choisi l’option Activité physique adapté et santé car ça m’a toujours intéressé. On apprend à travailler avec des pu-blics en situation de handicap. Toutes sortes de handicaps. Que ce soit une personne avec en-torse, une personne âgée, une personne handi-capée suite à un accident ou de naissance. Et lors de mon stage, ça a été le déclic ! »

La mise en pratique de ce qu’il avait appris lors de ses cours fut pour lui révélatrice. C’était bel et bien une vocation. Ce qui avait guidé ses pas jusque là. « Avant, je n’avais pas vraiment été confronté au handicap. C’est un milieu que je ne connaissais pas mais j’avais envie de découvrir. J’ai très vite su que c’est là qu’était ma place et que je donnerai un sens à ma vie. Ça fait un peu grande phrase toute faite que de dire ça mais c’est pourtant exactement ça. » Immédiatement après avoir obtenu son diplôme, Antoine Masset a postuler pour un emploi au sein de Handisport. Choix qu’il n’est pas prêt de regretter.

« Ce qui me plaît est de montrer à des personnes qu’elles peuvent encore faire du sport dans des clubs adaptés. Parce que c’est un cercle vertueux. Un déclic social très bon pour le moral. De plus ça favorise l’autonomie de ces personnes chez elles. En développant leur physique, on leur fait prendre conscience

des possibilités qu’il leur reste. » Ce qui ravit également Antoine Masset c’est la variété des tâches qui lui incombe ainsi que la multiplicité des profi ls rencontrés.

Mais comment savoir si, tenté par une carrière auprès des personnes en situation de handicap, on est fait pour ce métier ? « Je dirais qu’il faut avoir beaucoup de respect pour ces personnes, indique le sportif. Il faut aussi être motivé. Ne surtout pas choisir ce métier par dépit mais par envie. De toute façon, durant le cursus universitaire, on eff ectue des stages pendant lesquels on est amené à rencontrer ce genre de public. Il ne faut pas avoir peur ! »

D’ailleurs pour se faire une idée un peu plus précise, Handisport organise un Grand Prix Régional le 23 mars, dès 9h30 et toute la journée, à la Halle des sports des quatre chênes, 8 rue Lescouvé à Amiens. Plusieurs équipes de quatre personnes s’aff ronteront sur diff érents ateliers. L’équipe ayant marqué le plus grand nombre de points remportera le Grand Prix. « Cet événement est organisé en partenariat avec les étudiants de la fac de sport ayant choisi la mention Activité physique adapté et santé. Ça a des allures de compétition mais ce n’est pas le plus important. Il s’agit surtout de faire découvrir des choses aux personnes en situation de handicap et de montrer aux éducateurs de quoi ces personnes sont capables. »

Antoine Masset travaille depuis deux ans au sein d’Handisport. Une évidence pour ce tout jeune homme fraîchement sorti du nid universitaire.

Il est une chose essentielle aux sportifs : les revêtements de sols. Ces derniers sont bien sûr très spécifi ques et adaptés selon les dis-ciplines. Des revêtements aux techniques sans cesse renouvelées et testées avec la collaboration de sportifs.

C’est dans la vente de ces produits que Laurent Riquier a orienté sa carrière. Choix dont il se félicite chaque jour. « Avant de devenir directeur administratif et fi nancier chez Polytan, j’étais dans la métallurgie. Toujours en tant que commercial, bien sûr. C’est un travail que je respecte énormément mais néanmoins une activité très dure et je voulais changer. » Il y a 3 ans Laurent Riquier a opté pour la prestation de service dans le milieu sportif. « Je trouve cela prestigieux de travailler dans le sport, c’est un produit assez sexy que j’aime bien vendre. » Par « sexy » bien sûr Laurent Riquier n’entend pas que la prochaine mode de maillots de bain sera en pelouse synthétique de stade de foot ou en revêtement de sol indoor. Non point. Cela signifi e pour lui que vendre des revêtements sur lesquels les sportifs sueront et feront rêver les spectateurs est très satisfaisant et valorisant. « Nous avons travaillé sur le Stade de France, Roland Garros, des joueurs prestigieux ont foulé notre sol ! Et on rencontre des sportifs de haut niveau, on est à leur écoute, on côtoie des gens intéressants. »

Basé à Cagny, Polytan déplore pourtant de peu travailler dans la région mais davan-tage dans le reste de la France. « Nos salariés habitent dans le coin, ce serait mieux pour leur vie de famille de travailler dans la région, explique-t-il. Nous sommes aussi prêts à faire du sponsoring et intervenir sur diff érentes actions. » Sans compter la satisfaction de travailler pour un complexe dans sa propre ville.

Sous les piedsdes sportifs

Sous les pieds des sportifs

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Fédération multisport et mouvement éducatif liés à la Ligue de l’Enseignement et de l’Éducation Perma-nente, l’UFOLEP œuvre pour l’éducation sportive en rendant accessible le sport au plus grand nombre dans le « mieux vivre ensemble » du loisir à la compé-tition. Outre le fait de mettre à disposition les sports au service de tout à chacun, l’UFOLEP s’engage aussi dans la formation. Avec entre autres deux diplômes à sa disposition l’association veut permettre à qui l’en-tend de se former dans les métiers du sport.

BP JEPS option APT - Devenez éducateur sportif !C’est le diplôme pluridisciplinaire par excellence, le Brevet Pro-fessionnel Jeunesse Éducation Populaire et Sport option Activité Physique pour Tous, vous permet de devenir Éducateur Sportif. Les titulaires du brevet réalisent pour tous les publics des presta-tions éducatives visant une double fi nalité : le développement et le maintien des capacités physiques individuelles, mais aussi la découverte, la sensibilisation et l’initiation aux activités phy-siques et/ou sportives diversifi ées. Ces différentes compétences du métier d’éducateur pourront être exercées au sein de collectivités locales (fi lière sport de la fonction publique territoriale), d’associations sportives, voire même au sein de structure promouvant les activités physiques et sportives (centre d’accueil collectif pour les mineurs, bases de loisirs, comités d’entreprise, associations diverses…).Le BP JEPS permet de former localement des professionnels ca-pables d’exercer des fonctions d’animateurs sportifs polyvalents, de développer des compétences professionnelles dans le champ de l’animation sportive. Mais aussi de répondre à la demande sociale de nouvelles pratiques d’animation sportive en direction de nouveaux publics. Enfi n l’accession à ce diplôme reconnu par la DRJSCS ouvre la voie à un diplôme d’état de niveau IV. La formation se fait par alternance. Vous effectuerez 1 694 heu-res de formation modulaire répartie en deux : 679 heures en organisme et 1 015 heures en stage. Deux jours par semaine les candidats sont conviés sur leur lieu de formation (Amiens ou Beauvais, selon leur lieu d’habitations). Les candidats désirant accéder à la formation d’éducateur sportif devront néanmoins

DEVENEZ ÉDUCATEUR SPORTIFAVEC L’UFOLEP PICARDIE

avoir 18 ans révolus, satisfaire aux tests d’exigences préalables à leur admission et enfi n être détenteur d’un certifi cat médical de non contre-indication à la pratique et à l’enseignement des activités physiques et sportives.

FORMATIONS 2017 AU BP JEPS APT - Les candidats sont priés de suivre le calendrier suivant :

AMIENS : la formation aura lieu du 12 octobre au 22 no-vembre 2017

Date limite de réception des dossiers : vendredi 27 mai 2016 (dossier complet avec les pièces demandées)

• Sélections JUIN :Test EPEF le jeudi 9 juin 2016 (test de motricité et test de Luc Léger)Test UFOLEP le vendredi 10 juin 2016 - écrit 1 h 15 + entretien 20 mn + deux pratiques sportives (2 h)

Positionnement JUIN : jeudi 23 juin 2016

• Sélections SEPTEMBRE :Test EPEF le jeudi 8 septembre 2016 (test de motricité et test de Luc Léger)Test UFOLEP le vendredi 9 septembre 2016 - écrit 1h15+ entretien 20 mn + deux pratiques sportives (2 h)

Positionnement SEPTEMBRE : jeudi 22 septembre 2016

BEAUVAIS : la formation aura lieu du 12 octobre au 24 no-vembre 2017

Date limite de réception des dossiers : vendredi 27 mai 2016 (dossier complet avec les pièces demandées)

• Sélections JUIN :Test EPEF le jeudi 16 juin 2016 (test de motricité et test de Luc Léger)Test UFOLEP le vendredi 17 juin 2016 - écrit 1 h 15+ entretien 20mn + deux pratiques sportives (2 h)

Positionnement JUIN : vendredi 24 juin 2016

• Sélections SEPTEMBRE :Test EPEF le lundi 5 septembre 2016 (test de motricité et test de Luc Léger)Test UFOLEP le mardi 6 septembre 2016 - écrit 1 h 15+ entretien 20 mn + deux pratiques sportives (2 h)

Positionnement SEPTEMBRE : jeudi 23 septembre 2016

RENSEIGNEMENT : UFOLEP - 51, rue de Sully80000 AMIENS - 03 22 52 49 16 - 06 88 68 14 [email protected] - www.cr.ufolep.org/picardie

Le CQP option ALS - Préparez-vous à deveniranimateur sportifCe Certifi cat de Qualifi cation Professionnelle (CQP) est un di-plôme multisport qui permet d’encadrer contre rémunération des activités et/ou événements sportifs dans le respect de la réglementation en vigueur. Cette certifi cation vous permettra de sensibiliser et initier la pratique d’activités de loisirs sportifs variées, en autonomie et vers tous les publics, et de poursuivre sa formation vers un BP JEPS APT ou AGFF. Ce diplôme est accessible à toute personne voulant exercer le métier d’animateur loisir sportif et remplissant les conditions suivantes :• Être titulaire de l’attestation de formation aux premiers secours

(PSC1), anciennement AFPS ou SST (sauveteur secouriste du travail)

• Être âgé(e) de 18 ans au moment de l’entrée en formation• Présenter une attestation de pratique dans l’activité d’une du-

rée de 140 heures dans les 3 ans avant l’inscriptionSachant que chaque candidat devra satisfaire à un test de sélec-tion théorique et pratiqueLa formation est de 145 heures et 50 heures en structure avec accompagnement par un tuteur diplômé.

RENSEIGNEMENT : UFOLEP - 51, rue de Sully80000 AMIENS - 03 22 52 49 16 - 06 88 68 14 [email protected] - www.cr.ufolep.org/picardie

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Communiqué


Arnaud Jaillet est professeur d’EPS

Arnaud Jaillet est professeur d’EPS depuis 27 ans dont 25 à la faculté UPJV. Ses spécialités ? Le judo et la musculation.

Selon lui, il est devenu prof de sport un peu par hasard. « J’étais athlète de haut niveau, explique-t-il. Je suis rentré à l’UFR de Staps, j’ai passé le concours et je ne le regrette pas. »

En eff et, cet homme n’est pas adepte des babillages superfl us. Paisible et sou-riant, il semble observer attentivement le monde qui l’entoure. Des traits de caractère certainement en adéquation avec sa pratique sportive de prédilection. Une vocation qu’il aime transmettre avec passion. « Ce qui me plait, c’est le face à face pédagogique, poursuit-il. Et malgré mon statut de doyen désormais, je n’ai jamais quitté l’enseignement. »

Arnaud Jaillet ne prend pas à la légère sa responsabilité auprès des jeunes qu’il croise juste à la sortie du bac. Et c’est pour lui une satisfaction importante de voir leur évolution de carrière.

Sophie Brély,prof de fi tness

La danse et le fi tness ont toujours tenu une place très importante dans la vie de Sophie Brély. Elle est offi ciellement professeur de

fi tness depuis 1998. « Avant j’étais danseuse, explique-t-elle. Je pratiquais le Modern Jazz et plus particulièrement la Street dance et aussi le Reggaeton. J’animais des stages dans dif-férentes écoles et structures. J’ai toujours été à mon compte et je voulais garder cette liberté. » D’un autre côté, Sophie Brély souhaitait prati-quer la danse de manière plus intensive sporti-vement. « J’allais dans les salles de sport 10 à 15 heures par semaine. Et comme j’avais une bonne connaissance du milieu, je me suis dit pourquoi ne pas en faire mon métier ? »

A partir de ce moment, Sophie Brély a enseigné dans tous les clubs de la région, voire au delà. « La liste pourrait être longue ! » s’amuse-t-elle. « Mais à un moment, la vie de nomade est usante. On aimerait bien que ça s’arrête. La route en plus de mon activité fatigante... J’ai décidé de relever un véritable challenge : ouvrir ma propre salle de sport. » Il s’agit là en eff et d’un véritable saut dans le vide. Et sans fi let ! Car ce petit bout de femme de 42 ans a tout pris à sa charge et sans aucune aide fi nan-cière. « Je suis la gérante totale de Shape Aca-demy, » ajoute-elle non sans une petite dose de fi erté tout à fait légitime. Néanmoins, ceci ne s’accompagne pas sans une certaine dose de stress permanent. « Mais je voulais absolu-ment essayer. »

Le bonheur pour philosophie

Cette salle, ouverte depuis le 8 janvier 2015, se situe à Saleux, zone Capron, route de Tais-nil. Dès qu’on en franchit la porte, on ressent la délicieuse impression d’entrer dans l’entre-pôt où s’entraînait Jennifer Beals dans le fi lm Flashdance. Ceci n’est bien sûr pas sans don-ner envie de s’activer et de transpirer pour se façonner la même physionomie. Entreprise pour laquelle Sophie Brély se fera un plaisir de donner ses conseils. D’ailleurs, cette salle est une des rares à proposer, en plus de toutes les autres activités, des cours de danse réguliers ainsi que des stages. « Dernièrement, il y a eu

un stage de rock quatre temps qui s’est terminé avec un concert. Mes cours sont toujours inti-mement liés à la musique. Il m’arrive aussi de faire venir un percussionniste pour les cours de Zumba. Ça prend une autre ampleur et c’est un pur bonheur. »

Le sport en pleine expansion

Le bonheur est d’ailleurs au cœur de la philo-sophie de Sophie Brély. « Se faire du bien en se faisant plaisir. Avoir toujours une attitude positive pour motiver les gens à atteindre les objectifs qu’ils se sont fi xés. Que ce soit une perte de poids, une augmentation de la masse musculaire, apprendre à danser. Et ce quel que soit l’âge puisque les cours commencent dès 4 ans. Il faut être altruiste pour faire ce métier, poursuit-elle. Si on n’aime pas donner, même sans recevoir en retour, ça ne sert à rien. Et lorsqu’on voit des personnes prendre confi ance en elles, se sentir mieux dans leur peau, les voir progresser, c’est une réelle satisfaction. » De plus, Sophie Brély a suscité quelques voca-tions parmi ses élèves, ce qui n’est pas sans la réjouir grandement.

Selon elle, la place du sport dans la société actuelle et à venir est et sera de plus en plus importante. Le sport est donc une voie en pleine expansion. « On a enfi n compris que le sport est indispensable au maintien du capital santé. » Toutefois, elle met en garde les jeunes personnes qui pourraient être tentées de pen-ser qu’enseigner la danse et/ou le fi tness est un métier « fun sans aucune préparation. Si on veut durer dans le temps, il faut entretenir la mécanique et il est impossible d’improvi-ser. Je fais 27 heures de sport par semaine, sans compter les heures de préparation et les stages. » Par ailleurs en dehors des activités liées à Shape Academy, Sophie Brély a gardé quelques heures de cours dans d’autres écoles mais est également formatrice de futurs profes-seurs de fi tness. « Pour faire ce métier, il faut aussi avoir du charisme et être à l’écoute pour arriver à amener les gens à suivre les cours. Je mets toujours l’accent sur la santé et le main-tien du potentiel de chacun. »


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Anthony Ferla, responsable de l’Agence CarréVert, et Baptiste Levasseur, responsable commercial et événementiel pour Les Gothiques, adorent tous deux travailler dans le milieu du sport. L’ambiance y est conviviale et le but est de donner du plaisir aux spectateurs. Le rôle d’Anthony Ferla et de Baptiste Levasseur est très important pour la vie de ces clubs. Sans eux, le budget des équipes serait moindre.

Anthony Ferla

Baptiste Levasseur

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Il y a une multitude de métiers autour du sport. Il y a notam-ment l’événementiel et le marketing sportif. Pour ceci, il est préférable d’aimer le sport mais cette activité ne nécessite pas d’être un grand athlète.

C’est le cas d’Anthony Ferla, responsable de l’Agence Car-réVert. « J’ai fait des études de sport mais je me suis aper-çu pendant un stage que j’étais nul, s’amuse celui-ci. J’ai beaucoup d’admiration pour les enseignants. » Par la suite, Anthony Ferla a changé d’orientation sans pour autant quit-ter ce milieu. Choix que ne regrette pas du tout le régisseur commercial. Loin d’être une voie de garage, le marketing sportif est un métier dans lequel Anthony Ferla a trouvé un réel épanouissement. Et ce dans un milieu qu’il aff ectionne énormément.

Il travaille notamment pour Amiens SC Foot. « Mon rôle est d’aller chercher des partenaires pour le club de foot mais aussi de proposer des prestations VIP. » C’est dernières peuvent être des places en loges pour que les entreprises puissent y inviter les clients et/ou organiser des rencontres avec d’autres VIP.

Il s’agit ensuite de mettre à disposition des supports de com-munication autour du stade pendant les matchs. Le stade de la Licorne attire beaucoup de monde venant de divers horizons et milieux socio-culturels et l ‘Agence CarréVert a l’exclusivité avec Amiens SC, un argument de poids auprès de ses clients.

Il ne faut pas hésiter à bougerParallèlement, CarréVert organise toutes sortes d’événe-ments, comme des conventions et des séminaires, et ce tout au long de l’année. « Nous en mettons en place au stade

de la Licorne où nous avons l’exclusivité mais aussi partout ailleurs, précise Anthony Ferla. Pour concevoir et organiser des événements, il ne faut pas hésiter à bouger, comme faire la tournée des plages, par exemple. » Il tourne dans trois départements, la Somme, le Nord et le Pas-de-Calais.

Ce qui lui plaît dans ce métier est notamment cette variété. « Ce n’est vraiment pas routinier. On peut aller loin dans les concepts d’événements. Et si l’interlocuteur est réceptif et a les moyens, on peut faire des choses qui sortent vraiment de l’ordinaire. Par ailleurs, évoluer dans le milieu sportif procure beaucoup de plaisir. »

Baptiste Levasseur, quant à lui, fait le même métier mais pour une autre équipe sportive amiénoise : Les Gothiques. Recherche de fonds privés, vente de publicité sur les pan-neaux cerclant la patinoire, places VIP et partenariat, événe-mentiel, manutention, communication, logistique, Baptiste Levasseur n’a pas le temps de s’ennuyer, ni de se lasser. Les soirs de match, il se transforme en véritable couteau suisse. C’est d’ailleurs ce qui lui plait dans cette activité. « La polyvalence ! Dit-il, tout sourire. Tous les jours, je fais un métier diff érent. On y passe du temps mais on bosse dans un cadre super sympa. On vend du plaisir et du rêve aux gens. »

Avant de travailler pour l’équipe de hockey, Baptiste Levas-seur était déjà sportif mais n’avait jamais pratiqué ce sport. « Je m’y suis mis quand j’ai commencé le boulot, pour sa-voir de quoi je parlais. C’est un sport que je ne connaissais pas du tout avant, même en tant que spectateur. J’aime le côté sport collectif et ça engendre une belle émulation à Amiens. »


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P.14 Intro : Ils préservent et animent le patrimoine. Témoignage de Clémence Decrouy, médiatrice culturelle

au jardin archéologique de Saint-Acheul.

P.16 Témoignage de Sabine Cazenave, conservatrice et médiatrice au Musée de Picardie.

P.18 Témoignage de Pascal Depeape, archéologue. Témoignage d’Aurélie Maguet, responsable du service

publique au musée de Picardie

P.20 Témoignage de Sébastien Sireau, passionné d’histoire.


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SECTEUR CAHIER ORIENTATION - SEPTEMBRE 2015Page 14

La protection du patrimoine est un notion encore récente comparée aux millénaires qu’ont traversé certains objets ou monuments pour venir s’exposer sous nos yeux. Nous devons cette discipline essentiellement à Prosper Mérimée (1803-1870). Connu aujourd’hui comme écrivain, il fut aussi traducteur, critique, historien, archéologue. Libre penseur, amateur éclairé, mondain, travailleur infatigable, Mérimée inventa la doctrine de protection du patrimoine. Il réalisa presque seul l’inventaire des monuments de la France et eut l’idée de lieux d’accueil pour le public.

Aujourd’hui, le patrimoine est un pan incontournable de la culture et off re une multitude d’emplois divers et variés. Archéologue, conservateur, guide conférencier, médiateur culturel, technicien, etc. Pour autant, y accéder ne se fait pas sans un certain nombre d’années d’études. Mais la passion fait endurer avec le sourire bien des eff orts.

Ils préservent et animent le patrimoine

Tout ou presque. Cette toute jeune fi lle a beaucoup de casquettes. Je crée des outils pédagogiques, indique-t-elle, tout sourire. « Mais je sais aussi faire de la taille silex et faire du feu. Je suis multifonction. Je conçois des visites et je forme le guide. Il faut que tout se passe le mieux possible. Je dois déterminer quelle action, quel atelier mettre en place, adapter au public reçu et quand il n’y a pas de guide, je fais les visites moi-même. »

Clémence Decrouy gère aussi la valorisation et la conservation du jardin archéologique. «Pour qu’il soit le plus visible possible, poursuit-elle. Car il est connu de manière internationale mais pas locale. »

Il est vrai que peu d’Amiénois savent que ce site est historique. Classé depuis 1947 au titre des Monuments Historiques et ouvert au public depuis 1998, le site de Saint-Acheul illustre l’histoire de la découverte de la préhistoire en tant que discipline et de sa reconnaissance par la communauté scientifi que. Au milieu du XIXe siècle, des ouvriers participent aux premières découvertes d’outils de pierre taillée et d’ossements d’animaux. Dès 1853, suite à ces découvertes, le géologue Dutilleux recueille des bifaces des dépôts quaternaires de Saint-Acheul. Le site est scientifi quement reconnu et la nouvelle de cette découverte se propage à l’étranger et notamment en Angleterre. J. Prestwitch et J. Evans, archéologues et géologues anglais, visitent en 1859 le site et utilisent pour la première fois la photographie

en archéologie. Gabriel de Mortillet défi nit en 1872 le terme Acheuléen. Le préhistorien désigne ainsi l’outillage de silex taillés découverts à Saint-Acheul. Ce terme appartient désormais au vocabulaire des scientifi ques du monde entier.

Et enfi n, en 1905, Victor Commont, Directeur de l’Ecole Normale d’Amiens, entreprend les premières fouilles rationnelles du site, par observation des coupes stratigraphiques. Une richesse à mettre en valeur et à faire connaître.

Clémence Decrouy travaille aussi sur le site de Renancourt et de Cagny. Au départ, elle se tournait davantage vers des études d’histoire moderne. « Mais je me suis vite rendue compte que ce n’était pas pour moi. Alors je me suis orientée vers le patrimoine. J’ai postulé à Saint-Acheul. J’aime l’histoire à la base. Avec ce site, j’ai découvert la préhistoire et aujourd’hui je suis une véritable passionnée. Je suis complètement dingue de mon site. Et j’aime transmettre mon intérêt pour lui et mes connaissances. Savoir comment un paysage s’est formé, c’est important. Pour capter tous les publics, je dois créer des outils didactiques à la fois créatifs et inventifs. »

Il ne faut donc pas hésiter à aller à sa rencontre pour lui poser des questions et par la même occasion à pousser les portes de ce magnifi que Jardin Archéologique.

Je suis complètement dingue de mon siteClémence Decrouy est médiatrice culturelle au jardin archéologique de Saint-Acheul pour Amiens Métropole. Et concrètement que fait-elle ?

Le berceau de la préhistoire


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Sabine Cazenave a la double casquette de conservatrice et de directrice du Musée de Picardie depuis 2008.

« Mon parcours est particulier. Je n’ai pas toujours pensé être directrice de musée, » s’amuse-t-elle. Néanmoins, son intérêt pour l’art en général lui est venu très tôt. Tout d’abord avec la danse, le théâtre puis les arts plastiques. Elle a assisté à la naissance de la section arts plastiques au lycée de Pau, dès la seconde. « J’ai eu la chance d’avoir un très bon professeur agrégé en arts plastiques, poursuit-elle avec son petit accent chantant. Cette section était rare, il y avait une sélection pour rentrer. Cela a confi rmé mon goût pour l’art en général mais aussi pour l’histoire de l’art. Après le bac, comme j’habitais le Pays-Basque et compte-tenu du niveau socio-culturel de mes parents, il n’y avait pas de fac d’arts plastiques dans les environs. Deux choix s’off raient à moi : Bordeaux ou Paris. »

Ce fut donc Bordeaux. Tout d’abord uniquement en arts plastiques puisque la fi lière histoire de l’art n’existait pas encore. Mais, quand celle-ci fût créée alors que Sabine Cazenave n’avait pas fi ni ses études, celle-ci n’hésita pas à suivre un double cursus. CAPES en poche, elle est devenue professeur au tout jeune âge de 21 ans. « Dans mon idée, c’était un moyen d’être à la fois dans le monde du travail et de continuer les études. Je gagnais ma vie, je n’avais plus à dépendre de mes parents. J’ai tout d’abord été prof stagiaire à Toulouse puis j’ai été mutée dans le nord de la France. En même temps, je poursuivais des études à Paris. »

Être auprès des artistes et de la créationSabine Cazenave a passé l’agrégation et a exercé la beau métier de professeur pendant 18 ans. « J’allais beaucoup dans les musées avec mes élèves, d’autant qu’avec le gouvernement de l’époque, il était possible de fait beaucoup de choses. Parallèlement je continuais à me former à une diff érente forme de médiation

culturelle. J’avais envie de faire autre chose qu’enseigner. La médiation des arts, c’est également être auprès des artistes eux-mêmes et de la création. »

Au cours de sa formation, Sabine Cazenave a suivi un stage dans un musée. Un épisode déterminant pour ses choix futurs. « Jusqu’ici, j’avais été un professeur heureux, que ce soit au collège, au lycée ou à l’université. À la fi n de ma carrière, j’ai été mutée dans ma ville d’origine et je me suis dit que c’était là la fi n d’un cycle. J’avais passé la première partie de ma vie à enseigner et j’avais envie de changer de métier. Pour être plus proche de la création vivante et des artistes. » Sabine Cazenave a à nouveau repris ses études pour passer cette fois une thèse. « Et comme entre temps, les diplômes avait changé, il a fallut que je repasse un DEA à Bordeaux pour pouvoir m’inscrire à la préparation au concours de conservateur du patrimoine. Toujours en travaillant à côté. Je l’ai eu la seconde fois. C’est à ce moment-là que j’ai appris le versant administratif du métier. Puis le poste au Musée de Picardie s’est libéré. Comme je connaissais bien la région et que je m’y étais beaucoup investie, j’ai postulé et j’ai été retenue. »

Un long et studieux « parcours par le détour », selon ses propres termes. Toutefois, toutes ces années pendant lesquelles elle a elle-même pratiqué les arts, même si aujourd’hui elle dit seulement dessiner à l’occasion, lui donnent une sensibilité particulière. « Je me suis rendue compte que j’étais une mauvaise peintre. N’est pas artiste qui veut... Il faut être pugnace et se défi er des modes. Tous les conservateurs ne sont pas des créateurs. C’est vrai que mon cas est particulier puisque j’y suis venue par la pratique. Je mets aujourd’hui ma créativité au service de la scénographie d’une collection. Il faut être créatif pour comprendre les créations d’autrui et avoir pratiqué me simplifi e la tâche. Le fait d’avoir été praticienne, d’avoir enseigné l’art en plus de solides connaissances en histoire de l’art, ça m’aide tous les jours. »

Une vie au service de l’art

Avoir un esprit de synthèse

Pour être conservateur de musée, Sabine Cazenave pense qu’il faut une certaine maturité et aimer les objets. « Avec passion, mais pas trop non plus, précise-t-elle. Pour ne pas tomber dans l’idolâtrie. Ensuite, les garder et les conserver, ce n’est pas la même chose. Il ne suffi t pas de les poser n’importe où dans la poussière. C’est une science complexe. Puis il ne faut pas accumuler mais compléter une collection de manière à ce que ça ait du sens. Heureusement, cette partie est un travail collectif et sur plusieurs générations. Il y a un choix drastique à faire. Au moment de l’acquisition, il y a une commission. Ce n’est jamais une décision individuelle. C’est d’autant plus important qu’il s’agit d’un achat public. »

Autres qualités indispensables pour être conservateur: aimer transmettre et avoir un esprit de synthèse. Qu’est-il bon de conserver pour le futur ? Pour le 21e mais aussi le 22e et 23e siècles. « C’est matière à beaucoup de réfl exion. Car choisir, c’est exclure. Et ce dans un océan de choses que l’on aimerait garder. Somme toute, ce sont des préoccupations assez nouvelles. Nos prédécesseurs ne posaient pas ce genre de questions. Ça a changé il y a environ 200 ans, ça date de Mérimée. Si des choses sont arrivées jusqu’à nous c’est un miracle. Mais depuis 150 ans, on a beaucoup accumulé. Et la question aujourd’hui est : que garde-t-on et comment ? Conserver le temps présent est un vraie question. On essaye de s’imaginer le futur. On ratera certainement beaucoup de choses mais l’important est de ne pas rater ce qui est crucial. »

Il faut également aimer parler et écrire. Parler, c’est transmettre de manière immédiate et écrire de manière pérenne. Pour sa part, Sabine Cazenave travaille beaucoup sur l’obsolescence de l’art-technique depuis les années 50. Et enfi n, il faut aimer le public, être opiniâtre, constant, patient et engagé.


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Pascal Depaepe ARCHÉOLOGUE

« J’avais 14 ans et je me baladais à vélo, se rappelle-t-il. C’était à la campagne et je suis passé devant une parcelle où des gens s’aff ai-raient avec des pioches et des brouettes. J’ai été intrigué et je me suis arrêté pour voir ce qu’ils faisaient. Là, j’ai discuté avec un monsieur du CNRS. J’ai demandé si je pouvais rester une heure ou deux. » Bien sûr, Pascal Depaepe n’a pas vu le temps passer et il n’est parti qu’au bout de quelques heures. Par la suite, une fois le bac en poche, il s’est tout naturellement dirigé vers une faculté d’archéologie et d’his-toire de l’art.

Il faut être passionné !

Cet originaire de Liège a obtenu un master en histoire de l’art ainsi qu’un doctorat en archéolo-gie préhistorique et depuis 1986, il exerce son métier avec passion. « Il faut être passionné ! Tout d’abord parce que ce n’est pas un métier dans lequel on va s’enrichir, c’est mal payé, mais aussi parce que les conditions de travail ne sont pas évidentes. Il faut être patient et avoir une certaine forme de résistance physique. C’est un métier qui allie l’intellectuel et le phy-sique. Il ne faut pas craindre les changements de climat, ni l’humidité. » Les archéologue sont à la tête d’une équipe. Il doit donc savoir mener à bien un projet tout en animant et organisant le travail des diff érents corps de métiers qui tra-vaillent selon ses directives. Sans oublier les règles de sécurité et les contraintes techniques.

Pascal Depaepe précise également qu’il est nécessaire d’avoir un esprit de curiosité toujours aux aguets. « Et être humble face à la décou-verte, à des objets qui ont traversé des milliers d’années pour arriver jusqu’à nous pour que l’on ait la chance de le tenir entre les mains. » Ces objets, ou encore fragments d’os, fossiles etc, doivent ensuite être nettoyés, triés et ana-lysés. Il est important d’être très consciencieux et rigoureux pour ne pas fausser les résultats. Les recherches représentent une bonne partie du travail d’archéologue. Il y a aussi les pu-blications, conférences, expositions. Il ne faut pas s’imaginer une vie d’aventures à la Indiana Jones. « Oh non ! C’est un pilleur de tombe ! »s’indigne-t-il. (NDLR : Certes... Peut-être... Mais il est sexy !)

Par ailleurs les budgets sont de plus en plus resserrés et il est de plus en plus diffi cile de travailler correctement. « À chaque crise, les gouvernements, de droite ou de gauche, font de franches coupes en premier lieu dans le budget alloué à la culture. » Il en va de même pour l’éducation, qu’importe le non-sens. Des restrictions budgétaires d’autant plus incom-préhensibles que la culture rapporte aujourd’hui plus à la France que l’industrie automobile. Il est pourtant indispensable d’élever les consciences, de favoriser l’ouverture, d’inciter à prendre de la hauteur... Et de ne pas omettre que ce nous créons aujourd’hui est ce que les archéologues de demain découvriront. Que diront-ils de nous ?

Pascal Depaepe, 52 ans, est archéologue. Un métier qu’il a découvert « par hasard », selon ses propres termes.

Aurélie Maguet est responsable du service des publics au Musée de Picardie. Pour arriver à ce poste, cette toute jeune femme très dynamique a suivi un double cursus dans les métiers d’art et de la culture et a passé un master 2 EPE (Expert Projet Européen) à Caen.

« Je n’avais pas de prédispositions pour l’art au départ. Ma famille ne s’en préoc-cupait pas et j’étais dans une école rurale. Nous n’allions pas souvent au musée, explique-t-elle. Mais j’ai toujours adoré l’histoire et les langues. Au début, je me tournais davantage vers le tourisme. Les monuments historiques tels que les châ-teaux, aller à la rencontre des gens et voir l’envers du décor. Voir comment c’est arrivé jusqu’à nous. Cette envie d’apprendre m’a toujours animée. Et mon premier stage dans un musée m’a confi rmé que c’était là ce que je voulais faire de ma vie. »

Après un passage remarqué au musée de Saint-Brieux, désormais, à Amiens elle gère une douzaine de personnes. Elle déplore être un peu moins face au public mais se console avec la passion qu’elle éprouve pour ses fonctions : la coordination. « Je travaille en transversalité avec la technique, la sécurité, les conservateurs etc. Aucune journée ne ressemble à une autre. Par exemple, amener une œuvre comme une huile en maison d’arrêt, c’est beaucoup de travail. Mais il faut aussi savoir ce qu’il se dit pendant le visites. C’est un métier qui s’apprend surtout sur le ter-rain. » D’autant que cette profession est relativement récente. Pour l’exercer, Aurélie Maguet estime qu’il faut être curieux, savoir s’adapter, aimer le contact avec le public. « On est garant d’un discours, il ne faut pas raconter n’importe quoi ! J’adore être face au public. Je suis payée pour parler, partager ce que j’aime, rencontrer des gens, échanger, c’est très enrichissant humainement. C’est super d’être payé pour apprendre tout le temps ! »

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Sébastien Sireau a un parcours assez atypique. Comme beaucoup de personnes de sa génération, lorsqu’il avait une dizaine d’années, il a découvert l’archéologie avec Indiana Jones. Ce héros in-carné par Harrison Ford a en eff et suscité un bel engouement pour cette profession, du moins pour la manière dont elle est représentée dans cette trilogie (le 4e volet étant en eff et une hérésie).

En tout état de cause, Sébastien Sireau s’est passionné pour l’histoire. « J’étais fi ls d’ouvrier, précise-t-il. J’ai fait fac d’histoire avec l’envie d’enseigner et de faire de la recherche. Mais je voulais faire les choses autrement. Je ne connaissais pas le métier de guide conférencier à l’époque. J’ai donc passé et obtenu le CAPES. Je suis devenu prof d’histoire et je me suis fi nalement rendu compte de ce que je savais déjà : Je ne pouvais pas rester dans une institution. »

Être sur le terrain

Sébastien Sireau traînait des pieds jusqu’à ce qu’il dé-couvre un autre système d’éducation dans un établis-sement de formation agricole. « L’animation culturelle a monté un projet sur le patrimoine avec les élèves et je me suis dit que c’était là ce que je voulais faire. Monter des projets culturels liés à l’histoire. Être sur le terrain. »

Sébastien Sireau a ensuite trouvé une formation pour as-surer sa reconversion. Ce fut une licence professionnelle spécialité PTE. À savoir Patrimoine, Tourisme et Environ-nement. Ouverte depuis 2002 à l’Université de Picardie Jules Verne, cette formation prépare chaque année 25 étudiants au maximum à la valorisation du patrimoine culturel (monuments civils et religieux, sites industriels,

vestiges archéologiques, archives, livres anciens, œuvres d’art, paysages urbains et ruraux, gastronomie, artisanat, traditions, etc.) et naturel d’une région (littoraux, bois et forêts, paysages agricoles, zones humides, etc.) par le biais d’une mise en tourisme raisonnée, de la médiation culturelle auprès de diff érents publics (scolaires, adultes, seniors, handicapés), de l’organisation d’événementiels ou de l’aménagement du territoire et de la sauvegarde de l’environnement.

Malgré le peu d’élus, Sébastien Sireau a été reçu. « J’ai eu alors un coup de cœur pour le secteur de L’Étoile. Il y a là-bas un ancien monastère en ruines. Je l’ai ouvert au public bénévolement tous les étés pendant 5 ans. Bien sûr, je continuais à bosser en tant que prof à côté. Sinon je n’aurais pas pu me le permettre. »

Car en eff et, Sébastien Sireau n’était pas encore arrivé à son but : guide conférencier. « Le concours n’est organisé qu’une fois tous les trois ans. Je me suis inscrit et je l’ai eu. En 2008, je suis entré dans l’équipe d’Amiens Métropole. » Sébastien Sireau a aujourd’hui 42 ans et vit désormais avec la certitude d’avoir choisi et trouvé sa voie. Il lui aura fallu du courage et de l’opiniâtreté mais son sourire radieux lorsqu’il parle de son travail prouve que tous les sacrifi ces en valaient la peine.

Transmettre l’histoire autrement


PORTES OUVERTESSAMEDI 12 MARS DE 9 H 00 À 17 H 00

1340224900VD

SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOL.• Option EATDDBAC STAV • 2 options : Production et AménagementBAC SCIENTIFIQUES• Ecologie, agronomie et territoiresBAC PROFESSIONNEL (3 ANS)• CGEA (Conduite et gestion de l’exploitation agricole (Productions végétales)BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR• ANABIOTEC (analyses biotechnologiques)• GEMEAU (gestion et maîtrise de l’eau)• TC (technico-co. en produits alimentaires et vins)CLASSE PREPARATOIRE Post-BTS-DUT en 1 anPost BAC Pro en 3 ans

DIMA(Préapprentissage)BREVET PROFESSIONNEL• Responsable d‘exploitation agricole (PV/PA)BAC PROFESSIONNEL (3 ANS)• AE (Agroéquipements)BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR• ACSE (Analyse, conduite et stratégiede l’entreprise agricole)• APV (Agronomie, productions végétales)CERTIFICAT DE SPÉCIALISATION• Machinisme (niveau V)• Restauration collective (niveau V)• Technico-commercial (niveau Ill)

FORMATIONS LONGUES• Certifi cat de qualifi cation Professionnelle (Salariés Agricole Polyculture)• Brevet professionnel (Responsable d’exploitation agricole)• Certifi cat de spécialisation (Machinisme, Technico-commercial, Commercialisation de produits fermiers)FORMATIONS COURTES• Certifi cats individuels Ecophyto• CACES • Sécurité, secourisme • PPP • Soudure • Stage 21 heures • Anglais ...VAEValidation des acquis de l’expérienceFORMATIONS A DISTANCE

1340

2239

00VD

VI DIMA Dispositif d’Initiation aux Métiers de l’Alternance

V CAPA Agriculture : spécialités Grandes Cultures, Ruminants et Production Horticole

V BPA Travaux de Conduite et d’Entretien des Engins Agricoles

V BPA Travaux de Production Animale

V CS Tracteurs et Machines Agricoles

IV BP Responsable d’Exploitation Agricole

IV BAC PRO Agroéquipements

III BTS Analyse, Conduite et Stratégie de l’Entreprise

III BTS Agronomie, Production Végétale

III CS Technico-commercial en Agrofournitures et Agroéquipements

V CAPA Jardinier Paysagiste

V CAPA Entretien de l’Espace Rural

V BPA Travaux d’Aménagements Paysagers

IV BP Aménagements Paysagers

IV CS Construction Paysagères

III BTS Aménagements Paysagers

V CAPA Services aux Personnes et Vente en Espace Rural

V CS Restauration collective

IV BAC PRO Service aux Personnes et Aménagement des Territoires

V CAPA (*) Soigneur d’Équidés

IV BP JEPS Activités Équestres, Mention Équitation

Filière Orientation et Découverte des Métiers

Métiers des secteurs de la Production Agricole et de l’Agroéquipement

Métiers des secteurs Aménagement et Travaux Paysagers

Métiers des secteurs Services aux Personnes et aux Territoires

Métiers du secteur Equin

1 3 5

6

3

3

6

6

6

6

6

6

3

3 5

3

3

43 4

3

6

1

2

2

(*) Diplôme CAPA entrant dans le champ de la rénovation pour cette rentrée scolaire 2016.

Venez découvrir les spécifi cités de l’apprentissage,nos structures, nos formations lors de nos PORTES OUVERTES

organisées notamment le

SAMEDI 12 MARS 2016 de 9h à 17h

Pour tous contacts

1 UFA Haute SommeSite de Péronne : www.haute-somme.fr

03 22 84 01 77

UFA Abbevillewww.lycee-baie-de-somme.fr

03 22 20 77 65

UFA ÉCLUSIER-VAUXwww.mfr.eclusiervaux.com

03 22 76 53 28

3

5

UFA Haute SommeSite de Ribemont sur Ancre : www.haute-somme.fr

03 22 40 56 84

UFA YZENGREMERwww.mfryzengremer.com

03 22 30 01 14

SITE LE PARACLETwww.leparacletamiens.fr

03 22 35 30 20

2

4

6

Production végétale Production animale Production horticole Agroéquipements Commerce / venteAménagement

paysagerTravaux

paysagersCommerce

de proximitéService aux personnes

et aux territoiresRestauration

collective Métiers du cheval

LE PARACLET - 80440 COTTENCHY - 03 22 35 30 11Vous souhaitez vous former par la voie de l’apprentissage, le CFA Agricole de la Somme, vous propose une large gamme de diplômes (du préapprentissage au BTS), répartis dans 6 lieux de formation, couvrant 8 secteurs professionnels.

MAISONS FAMILIALES RURALES CAHIER ORIENTATION - MARS 2016Page 22

Les Maisons Familiales Rurales de la Somme propose une diversité de possibilités de parcours de formation par alternance de la 4ème jusqu’au BTS, en passant par les CAP, les BAC PRO.

Réussir par alternance son diplôme dans les Maisons Familiales Rurales

de la Somme

Former des jeunes et adultes en alternant des temps de cours en centre de formation et des temps de stage c’est avant tout découvrir la richesse des métiers possibles, adap-ter son parcours de formation et acquérir les capacités né-cessaires pour viser à la réussite de son projet personnel et professionnel.

Une diversité de possibilités s’off re aux jeunes et adultes dans une multitude de secteurs professionnels comme l’agriculture, l’aquaculture, le bâtiment, le cheval, le com-merce, l’horticulture, les paysages, la petite enfance et les services aux personnes.

Au-delà de l’obtention d’un diplôme, d’une qualifi cation, les Maisons Familiales Rurales de la Somme s’inscrivent dans la volonté de viser à la réussite professionnelle de chacun des jeunes et adultes.

Se former autrement dans les Maisons Familiales Rurales pour apprendre en situation réelle, pour découvrir son futur

métier, pour acquérir de l’expérience professionnelle.

Les Maisons Familiales Rurales fondent leur enseignement dans l’accompagnement des jeunes et adultes en formation en proposant une diversité de projets en lien avec le terri-toire, des interventions de professionnels, la visite d’entre-prises et une ouverture culturelle.

À travers leurs cursus scolaires, ses jeunes et adultes exercent aujourd’hui les métiers tels qu’aide-soignante, auxiliaire de vie, fl euriste, ATSEM, responsable de rayon……………….

Tous confi rment que la diversité des stages ont été des atouts fondamentaux pour découvrir le métier qu’ils exercent aujourd’hui. L’insertion professionnelle par la voie de l’alter-nance est une réalité dans le contexte de l’employabilité. Être acteur de son parcours de formation, c’est possible alors pourquoi ne pas découvrir cette possibilité en vous rendant le samedi 12 mars de 9h00 à17h00 dans leurs établisse-ments scolaires.

MathildeAide -soignanteBAC PRO SAPAT

ClaireFleuriste

CAP

AudreyAuxiliaire de vie sociale

DEAVS

ChloéCAP Petite EnfanceEmployée en créche

Les coordonnées des MFR de Picardie :

14, rue Roger Salengro - 80140 OISEMONT03 22 25 12 50 - Fax 03 22 25 02 15

[email protected] - www.mfroisemont.com

11, rue du Pont Cheminet - 02290 AMBLENY03 23 74 22 63 - Fax 03 23 74 12 66

[email protected] - www.mframbleny.com

MFR - Oisemont

MFR - Ambleny

4 château de Crécy - 60430 SAINT SULPICE03 44 81 11 22 - Fax 03 44 81 11 20

[email protected] - www.mfrstsulpice.com

9 rue Jeanne d’Arc - 60310 BEAULIEU-LES-FONTAINES03 44 43 40 16 - Fax 03 44 43 35 02

[email protected] - www.mfrbeaulieu.com

MFR - Saint Sulpice

MFR - Beaulieu-les-Fontaines

Beauregard - 02260 CLAIRFONTAINE03 23 97 27 30 - Fax 03 23 97 23 98

[email protected] - www.mfr-beauregard.fr

5 place du Gal de Gaulle - 60380 SONGEONS03 44 82 30 03 - Fax 03 44 82 63 42

[email protected] - www.mfr-songeons.com

28 rue Courbet - 80420 FLIXECOURT03 22 51 64 57 - Fax 03 22 51 17 94

[email protected] - www.mfr-flixecourt.com

MFR - Clairfontaine

MFR - Songeons

MFR - Flixecourt

36, rue du Général Leclerc - 80160 CONTY03 22 412309 - Fax 03 22 41 22 35

[email protected] - www.mfrconty.com

13 rue Alexandre Bouthors - 80600 BEAUQUESNE03 22 32 85 03 - Fax 03 22 32 96 51

[email protected] - www.mfrbeauquesne.com

Rue de la Sablière - 80260 VILLERS-BOCAGE03 22 90 70 04 - Fax 03 22 93 65 80

[email protected] - www.mfrbvillersbocage.com

MFR - Conty

MFR - Beauquesne

MFR - Villers-Bocage

12bis place Demi Lune BP35 - 02260 LA CAPELLE03 23 97 21 33 - Fax 03 23 97 32 71

[email protected] - www.mfrlacapelle.free.fr

1 rond-poind du Bois Fauvel - 80340 ECLUSIER VAUX03 22 76 53 28 - Fax 03 22 76 61 23

[email protected] - www.mfreclusiervaux.com

2 rue du 8 Mai1945 BP60009 - 80520 YZENGREMER03 22 30 01 14 - Fax 03 22 26 53 66

[email protected] - www.mfryzengremer.com

MFR - La Capelle

MFR - Eclusier Vaux

MFR - Yzengremer

MAISONS FAMILIALES RURALESCAHIER ORIENTATION - MARS 2016Page 23

CHOISIR L’ALTERNANCE

S’ORIENTERSE FORMER

CHOISIR SON MÉTIER

Un réseau de 13 établissements en Picardie

de la 4e au BTS

RÉUSSIR autrement

nos atouts➨ Un suivi individualisé avec l’équipe éducative.

➨ Des établissements à taille humaine.Un accueil en petits groupes qui favorise la convivialité.

➨ Une implantation dans le territoire.

➨ Une vie associative favorisant les échanges.

➨ Etablissements privés sous contrat avec le Ministèrede l’Agriculture, diplômes d’état

➨ Partenaires des Collectivités Territoriales, Localeset de Organismes Professionnels et Familiaux.

➨ Possibilité pour les élèves de bénéfi cier des bourses,des diverses aides consenties par les collectivités territoriales.

S’orienter

dès la 5e

c’est possible

Les classes de 4e et de 3e

de l’Enseignement Agricole(avoir 14 ans avant le 31 décembre de l’année d’inscription)

● Trouver une nouvelle motivation grâce aux activités concrètes en stage

● Poursuivre une formation générale à partir du socle commun (Diplôme national du Brevet)

● Réfl échir son orientation et construire son projet

● Découvrir des métiersdans des domaines variés

● Exercer un métier

● Gagner en autonomie, prendre progressivement place au sein de l’entreprise, construire descompétences professionnelles et sociales

● Préparer son projet professionnel et réussirson insertion professionnelle

● Accéder à une qualifi cation professionnelle

● Poursuivre des études

● Entrer dans la vie active

Choisir une formation professionnelle

après la 3e

c’est possible

3 statuts possiblesFormation/entreprise

Le contratd’apprentissage

(apprenti)

Formation scolairepar alternance de la 4e

au BTS (stagiaire)

Contrat deProfessionnalisation avec une entreprise (salarié)

Journées portes ouvertes des MFR de Picardie samedi 12 mars 2016

Un examen et L’expérience en plus

Pour tout renseignement : 03 22 54 61 88www.mfr.asso.frwww.mfr80.comwww.mfroise.com

Les MFR dans l’Aisne Les MFR dans la Somme

Les MFR dans l’Oise

MFR La Capelle 4e, 3e, BAC PROTél. 03.23.97.21.33 Métiers des services aux personnes et aux territoires Métiers de la vente spécialiséeMFR Clairfontaine 4e, 3e, BAC PROTél. 03.23.97.27.30 Métiers de l’agriculture-élevage Métiers du cheval et de la maréchalerieMFR Ambleny 4e, 3e, CAPA, BAC PROTél. 03.23.74.22.63 Métiers des services aux personnes et aux territoires

MFR Beaulieu-les-Fontaines 4e, 3e, CAPATél. 03.44.43.40.16 Métiers de l’agriculture-élevage Métiers des services en milieu rural MFR Saint-Sulpice 4e, 3e, BAC PROTél. 03.44.81.11.22 Métiers de l’agriculture-élevage

MFR Songeons 4e, 3e, BAC PROTél. 03.44.82.30.03 Métiers de l’agriculture-élevage Métiers du tourisme équestre

MFR Beauquesnes 4e, 3e, CAP, BAC PROTél. 03.22.32.86.03 Métiers des services aux personnes et aux territoires Métiers de la petite enfanceMFR Conty 4e, 3e, CAPA, BAC PROTél. 03.22.41.23.09 Métiers des services aux personnes et aux territoiresMFR Eclusier-Vaux 4e, 3e, BAC PROTél. 03.22.76.53.28 Métiers de l’aquaculture, l’entretien de l’espace ruralMFR Flixecourt BAC PRO, BTSTél. 03.22.51.64.57 Métiers de l’agriculture-élevage Métiers des services aux personnes et aux territoires Métiers de la vente, de la gestion, secrétariatMFR Oisemont 4e, 3e, DIMA, BAC PROTél. 03.22.25.12.50 Métiers des services aux personnes et aux territoiresMFR Villers-Bocage 4e, 3e, DIMA, CAPA, BAC PROTél. 03.22.93.70.04 Métiers de l’agriculture-élevage Métiers de la maintenance des bâtimentsMFR Yzengremer 4e, 3e, CAPA, BAC PROTél. 03.22.30.00.60 Métiers de l’horticulture, Métiers de l’aménagement paysager et des espaces verts

Portes ouvertessupplémentaires


Samedi 30 avril 2016

Samedi 26 mars et Samedi 23 avril 2016

Amiens

Beauvais

Laon

La Capelle ●

Clairfontaine ●

● Ambleny

● Saint-Sulpice

● Songeons

● Conty

● Oisemont

● Yzengremer● Flixecourt ● Beauquesne

● Villers-Bocage

● EclusierVaux

●

Beaulieules-Fontaines

1er samedi de chaque mois de février à juin 2016

Samedi 8 avril et Samedi 10 juin 2016


Samedi 6 février 2016Samedi 23 avril 2016

Samedi 30 Janvier 2016

Fête des Fleurs - Dimanche 15 mai 2016

Vendredi 21 mai 2016Samedi 11 juin 2016

Samedi 18 juin 2016 (matin) - Samedi 25 juin 2016 (matin)

Samedi 11juin 2016

Samedi 28 mai 2016



1340223600VD

4e 3e CAPABAC PRO

BTSALICENCE PRO

propose plus de 150 formations en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation.Chaque formation est éligible en Congé Individuel de Formation (CIF) et au Compte Personnel de Formation (CPF).

Préparez le BAC :

En 3 ans après la 3ème

En 2 ans après un CAP ou une Seconde

En 1 an, après une 1ère ou un BAC pour acquérir une double compétence

BTSBACNIVEAU V

CQPM : Certifi cat de Qualifi cation

Paritaire de la MétallurgieTP : Titre Professionnel (Ministère du Travail)

CAP CPC Composites et Plastiques Chaudronnés

MÉAULTE

CQPM CAChaudronnierd'Atelier

SAINT-QUENTIN SENLIS

CQPM ORMOCNOpérateur Régleursur Machines Outils à Commande Numérique

AMIENS BEAUVAISFRIVILLE SAINT-QUENTINSENLIS

CQPM SoudeurAMIENS BEAUVAISSAINT-QUENTIN SENLISSOISSONS

CQPM TI Tuyauteur IndustrielSENLIS

TP Électriciend’ÉquipementCHAUNY

TP CIMAConducteur d’Installations et de MachinesAutomatisées

AMIENS BEAUVAISCOMPIÈGNESAINT-QUENTINSENLIS SOISSONS

TP PCEPréparateur de Commandesen Entrepôt

AMIENS BEAUVAISCOMPIÈGNESAINT-QUENTIN SENLIS SOISSONS

CQPI Agent LogistiqueFRIVILLE

BTS MSMaintenance des SystèmesOption : Systèmes de production

MONTDIDIER

AMIENSBEAUVAIS COMPIÈGNE FRIVILLE SAINT-QUENTINSENLIS SOISSONS

BTS MSMaintenance des SystèmesOption : Maintenance des systèmes éoliens

FRIVILLE

BTS MSMaintenance des SystèmesOption : Maintenance des systèmesénergétiques et fl uidiques

SENLIS

BTS MUCManagement des UnitésCommerciales

SAINT-QUENTIN SENLIS

BTS NRCNégociationet Relation Client

AMIENS BEAUVAISCHAUNY COMPIÈGNE

BTS SIOServices Informatiquesaux OrganisationsOption : Solutions d’Infrastructure,Systèmes et Réseaux

BEAUVAIS SENLIS

Option : Solutions Logicielleset Applications Métiers

COMPIÈGNE

BTS SNSystèmes NumériquesOption : Informatiqueet Réseaux

COMPIÈGNE

BTS TCTechnico-Commercial

SENLIS

TP TMITechnicienen MaintenanceIndustrielle

AMIENS BEAUVAISSAINT-QUENTIN SENLIS

TP TSMELTechnicien Supérieuren Méthodes et Exploitation Logistique

BEAUVAISSAINT-QUENTIN SENLIS

DUT Gestion Logistiqueet TransportSENLIS

BTS AGAssistant(e) de GestionPME-PMI

BEAUVAIS COMPIÈGNEFRIVILLE SOISSONS

BTS AMAssistant(e) de Manager

BEAUVAIS COMPIÈGNESAINT-QUENTIN SENLIS

BTS ATIAssistant(e) Techniqued’Ingénieur

BEAUVAIS

BTS CGComptabilité et Gestion

COMPIÈGNE SENLIS

BTS CICommerce International

BEAUVAIS

BTS CIRAContrôle Industrielet Régulation Automatique

AMIENS

BTS CPIConception de Produits Industriels

AMIENS SENLIS

BTS CPRPConception des Processus de Réalisation de Produits

ex BTS IPM et BTS ERO

AMIENS SENLIS

BTS CRCIConception et Réalisation en Chaudronnerie Industrielle

SENLIS SOISSONS

BTS CRSAConception et Réalisationdes Systèmes Automatiques

AMIENS

BTS ETÉlectrotechnique

AMIENS BEAUVAISCOMPIÈGNE SENLISSOISSONS

BTS FEDFluides, Énergies, DomotiqueOption : Domotiqueet Bâtiments Communicants

BEAUVAIS

LICENCE PROAchats

SENLIS

LICENCE PROVente

BEAUVAIS SENLIS

LICENCE PROVente Appliquée à l’Industrie

AMIENS

LICENCE PROCommunication et Marketing

COMPIÈGNE

LICENCE PROAssistant(e) de Manager

COMPIÈGNE LICENCE PROPaie et Social

COMPIÈGNE

LICENCE PRORessources Humaines

AMIENS BEAUVAISSAINT-QUENTINSENLIS

LICENCE PROHygiène Sécurité Environnement

SENLIS

LICENCE PROQualité Sécurité Environnement

AMIENS SENLIS

LICENCE PROLogistique

SENLIS

LICENCE PROGestion de la ProductionIndustrielle

AMIENSBEAUVAIS

LICENCE PRORéseaux et Génie Informatique

BEAUVAIS

LICENCE PROHydrauliqueIndustrielle

SENLIS

LICENCE PROMaintenance Industrielle

AMIENS SENLISSAINT-QUENTIN

LICENCE PROAutomatismeet Robotique

AMIENS

MASTER 1 & 2 Logistique

SENLIS

MASTER 1 & 2 Lean Management

AMIENS

MASTER 1 & 2 Management IntégréQualité Sécurité Environnement

SENLIS

CYCLE MASTÈRE Management CommercialOption : Manager de la stratégieet de la politique commerciale

SENLIS

CYCLE MASTÈRERessources HumainesOption : Manager de l’organisation des Ressources Humaines et des Relations Sociales

BEAUVAIS

INGÉNIEURMécaniqueOptions : Maintenanceet Production

BEAUVAIS

INGÉNIEURSystèmes Électriques

BEAUVAIS

INGÉNIEURInformatique

BEAUVAIS

SECONDEINDUSTRIELLE(en 1 an après une 3e)

AMIENS BEAUVAISSAINT-QUENTIN SENLISSOISSONS

BAC PRO ELEEC Électrotechnique, Énergie,Équipements Communicants

AMIENS BEAUVAISCOMPIÈGNE SENLIS SOISSONS

BAC PRO LOGLogistique


BAC PRO MEIMaintenancedes Équipements Industriels

AMIENS BEAUVAISCOMPIÈGNE FRIVILLESAINT-QUENTIN SENLIS

BAC PRO PLPPilote de Ligne de Production

AMIENS BEAUVAISCOMPIÈGNE FRIVILLESAINT-QUENTIN

BAC PRO PMDProductique MécaniqueOption Décolletage

FRIVILLE

BAC PRO TATechnicien Aérostructure

MÉAULTE

BAC PRO TCITechnicienen ChaudronnerieIndustrielle


BAC PRO TUTechnicien d’Usinage

ALBERT

AMIENS BEAUVAISFRIVILLE SAINT-QUENTIN SENLIS SOISSONS

LICENCEPROFESSIONNELLE MASTER

INGÉNIEURITII PICARDIE

NEW

NEW

NEW NEW à SAINT-QUENTIN

NEW en projet

NEW à SAINT-QUENTIN

NEW à BEAUVAIS

NEW à SOISSONS

LA GRANDE ÉCOLE DE L’ALTERNANCE

Rejoignez notre communauté !

BEAUVAIS6, avenue Paul-Henri Spaak

03 44 12 37 80

COMPIÈGNE87, avenue de la Mare Gessart

ZAC du Bois de PlaisanceVENETTE

03 33 20 70 10

SENLIS1, avenue Eugène Gazeau

03 44 63 81 63

AMIENS74, rue de PoulainvilleEspace industriel Nord

03 22 54 64 00

FRIVILLERue Émile Zola03 22 60 20 20

SAINT-QUENTIN114, rue de la Chaussée Romaine

ZA la Vallée03 23 06 28 88

SOISSONS161, rue des Grands Près

BILLY SUR AISNE03 23 75 65 75

CHAUNY114, rue André Ternynck

03 23 40 23 30

Vendredi 11 mars11h-19h

FORUMALTERNANCE

250 STANDSENTREPRISES

1 FORMATION ET 1 EMPLOI

Venez avec votre CV !

forum-alternance-picardie.fr

Documents

Cahier Orientation - Février 2016