Cas de Wells

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  • 8/9/2019 Cas de Wells

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    Le cas de WELLS C. POHER Page 1

    LE CAS INTRESSANT DE WELLSOu comment un tmoignage peut parler au physicien .

    Cette observation a eu lieu dansles limites de la municipalit deWELLS, faisant partie du cantonde BRADDORD, dans ltat dePENNSYLVANIE, aux USA. Elle

    est rsume sur le site internet du CUFOS.(www.cufos.org/).Les faits se droulent le 27 Dcembre 1967,vers 21 heures locales. A ce moment l, les deuxtmoins qui ont rapport ces faits sont bord duncamion qui suit une route secondaire.

    Ils observent trois lumires lhorizon.

    Celles-ci semblent sapprocher.Ils arrtent leur vhicule et en sortent, pourobserver, tandis que les lumires continuent sapprocher, parce quils constatent que lobjet

    portant ces lumires est un disque surmont dundme , comme le montre le dessin ci-dessous.

    Ils observent que lobjet suit la route surlaquelle ils se trouvent, en la survolant unealtitude quils valuent entre 90 et 120 mtres.

    Au moment o lobjet sest rapproch unedistance de lordre de 1000 mtres des tmoins,il sincline fortement, ce qui permet aux deuxobservateurs de voir le dessous de cet objet.

    Ils constatent alors quil y a trois panneaux

    carrs uorescents sur la face infrieure delobjet, comme indiqu sur le dessin ci-dessous.

    En outre, au moment o lobjet sest inclin,le plafonnier de la cabine de leur vhicule sest

    illumin simultanment.Puis, linclinaison de lobjet augmentant,

    son dessous tout entier sillumine en un flash delumire puissante. Mais cette illumination brve

    provient dau moins une centaine de panneauxlumineux identiques aux trois prcdents,occupant tout le dessous de lobjet, comme sur ledessin ci-dessous.

    Lobjet a, au cours de cette inclinaison, brusquement stopp en plein vol 1000 mtres

    des tmoins environ. Toute lobservation sedroule dans un silence total. Les deux tmoins

    prennent peur, remontent dans le camion, etpartent aussitt.

    Lobjet semble suivre le camion distanceconstante pendant un certain temps, puis ilsincline et part dans la direction dELMIRA, villesitue dans ltat de NEW YORK.

    Environ vingt minutes plus tard, les parentsde lun des deux tmoins, qui habitent dans lesud dELMIRA, constatent une coupure gnraledlectricit dans leur domicile et dans le quartier.

    COMMENTAIRES

    Cette observation prsente un certain intrt sur leplan de la dynamique du vol de lobjet, mme si elleest insufsamment documente pour en tirer toutes lesconsquences possibles.

    Au dbut de lobservation, lobjet semble suivreune trajectoire horizontale, au-dessus dune route,avec une assiette horizontale. Le mot assiette est utilis ici dans son sens du jargon aronautique,cest--dire quil sagit de lorientation de lobjet parrapport au plan horizontal local. En jargon spatial, ondirait aussi attitude de lobjet.

    La vitesse horizontale de lobjet tait probablementassez modeste au dbut de lobservation. On peut supposer en effet quil faut un temps de plusieursdizaines de secondes aux tmoins pour agir comme ilsle dcrivent :

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    Constater la prsence des trois lumires dans leciel, au dessus de lhorizon, en face deux;

    Laisser lobjet sapprocher assez pour que sa forme gnrale soit perue, en contraste sur le fonddu ciel;

    Constater lanomalie apparente de cette formeet de ses trois lumires;

    Dcider de stopper le camion; Procder aux manoeuvres darrt du vhicule,

    probablement sur le bas ct de la route, selon lerexe dun conducteur expriment ; Sortir de la cabine pour continuer observer.

    Cette srie de faits ne saurait se produire en moinsde 10 20 secondes, probablement plus encore.

    Or, au moment o les tmoins observent troislumires, il est indispensable que la sparationangulaire de ces lumires soit suprieure au pouvoir

    sparateur de loeil humain, qui est de lordre duneminute darc.

    Supposons provisoirement que cet objet ait eu undiamtre de lordre de 10 mtres.

    A la distance la plus rapproche de lobservation,qui est rapporte tre de lordre du kilomtre, sondiamtre apparent aurait alors t de lordre de 0,6degrs, soit 36 minutes darc.

    Mais dix vingt secondes plus tt, cet objetdevait obligatoirement avoir un diamtre apparent de

    plusieurs minutes darc pour tre observ. Adoptons,pour simplier le raisonnement, un diamtre apparentde 3,6 minutes darc, et cela 20 secondes avant quelobjet parvienne la distance de 1000 mtres.

    Son diamtre apparent aurait donc t multiplipar dix en vingt secondes environ.

    Cela signie videmment que la distance sparantlobjet des tmoins aurait t divise par dix pendant

    ces vingt secondes.Dans cette hypothse lobjet aurait parcouru 9000

    mtres en 20 secondes, donc la vitesse moyenne de1620 km / heure.

    Cest l une valuation maximum de la vitesse quiressort du tmoignage, avec lhypothse dun diamtrede lobjet gal 10 mtres.

    Mais si, en revanche, le diamtre de lobjet avaitt de lordre du mtre, sa vitesse horizontale auraitt dix fois plus faible que prcdemment, soit 160km/h.

    Il est donc possible que la vitesse relle de lobjetait t comprise entre ces deux extrmes, ce quicorrespondrait une vitesse aronautique classique,

    sans tranget particulire.Nous navons pas la possibilit de procder une

    meilleure valuation de la vitesse de lobjet, faute deconnatre des paramtres clef.

    Ceux-ci pourraient cependant tre valus aumoyen dune enqute sur place, en reconstituantles faits et gestes des deux tmoins dans les mmesconditions denvironnement.

    Par une interrogation soigneuse, nous pourrionspar exemple connatre le diamtre apparent de lobjetau dbut de lobservation et au moment o lobjet a

    stopp en plein vol. Le chronomtrage des faits et gestes pendant la

    reconstitution complterait les donnes utiles parleurs dures.

    Cela montre quel point la mthode dinvestigationest importante dans lanalyse qui peut tre faite

    posteriori. Dans les annes 1977-78, le CNES-GEPAN avait

    mis au point ces mthodes dinvestigation la suite depatientes expriences de terrain, il est regrettable que,faute dune publication sufsante, plus de 25 ans plustard, celles-ci ne se soient pas gnralises.

    Nanmoins, il est utile de constater ici que lestmoins ont t capables dobserver, sous lobjet, aucours du bref ash de lumire, la prsence dun grandnombre de panneaux lumineux carrs. Ils parlent

    dune centaine au moins .Or, pour quune telle observation soit possible, ilfaut que chaque panneau lumineux ait une dimensionapparente suprieure la rsolution de loeil. Parconsquent, une distance de lordre de 1000 mtres,cela implique ncessairement un objet de plusieursmtres de diamtre.

    Sa vitesse de vol horizontal basse altitude, dansle silence total, tait donc probablement de lordre de100 500 km/h environ.

    Cet objet a donc brusquement stopp en vol partir dune vitesse de cet ordre de grandeur, ensinclinant fortement et en augmentant simultanmentet brivement la surface et la luminosit des panneaux

    lumineux situs sur sa surface infrieure.

    Ces constatations ne sont pas certaines,videmment, mais elles apparaissent tre le meilleur

    scnario compatible avec la description donne parles tmoins.

    Examinons les faits du point de vue du physicien.

    Pour stopper en un temps trs bref une masse sedplaant en vol horizontal une vitesse de cet ordrede grandeur, il faut videmment appliquer cettemasse une force trs importante, dans la directionoppose la vitesse.

    Auparavant, lobjet est en vol horizontal, il est

    indispensable que cet objet soit alors maintenu parune force compensant exactement la gravit terrestre.

    En dautres termes, avant larrt, il existe une forceverticale, dirige de bas en haut, qui maintient lobjeten vol horizontal.

    Puis, au moment du freinage, il existe une forcecapable de vaincre la vitesse de lobjet, oriente en

    sens inverse de la vitesse. Evidemment, la force desustentation doit continuer exister pendant la phasede freinage brutal. Mais une inclinaison adapte delobjet permet dobtenir cette portance.

    Nous sommes absolument certains que le maintiendu vol horizontal ncessite une force telle quelacclration de lobjet, dans le vide spatial, seraitalors exactement de 1 g.

    Si la vitesse horizontale de lobjet tait par exemplede 360 km/h, soit 100 mtres par seconde, une forcede freinage horizontale trente fois suprieure cellede sustentation procurerait donc une dclration de30 g. Dans ces conditions, la vitesse sannulerait enmoins de 340 millisecondes.

    Or, prcisment, les tmoins nous disent que lobjeta bascul de faon leur prsenter le dessous dudisque, et qu ce moment l, il y avait trois panneauxlumineux. Puis, un trs bref instant plus tard, ilsont observ au moins une centaine de panneaux

    silluminer. Cela signie tout simplement que lenombre de panneaux lumineux a brusquement tmultipli par un grand nombre, trente environ.

    On est donc lgitimement en droit de penser que laforce de sustentation et de freinage tait produite parles panneaux uorescents.

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    En effet, pendant le vol horizontal, une acclrationde 1 g est obtenue grce trois panneaux fonctionnant

    simultanment.Ensuite, pour sarrter, lobjet oriente tout dabord

    son dessous dans la direction oppose la vitesse,en sinclinant fortement. La force manant des trois

    panneaux lumineux est alors presque horizontale.Mais, immdiatement, ce ne sont plus trois, mais

    plus de cent panneaux lumineux qui produisent une

    force horizontale. Celle-ci est donc multiplie partrente au minimum. Peut-tre beaucoup plus de trente,mme, car les tmoins disent que la luminosit des aumoins cent panneaux lumineux ntait plus seulementuorescente, mais quil sagissait en ralit dun

    ash intense. Effectivement, si trente fois plus de panneaux

    lumineux gnrent ncessairement une dclrationde 300 millisecondes capable dannuler la vitesse,une augmentation importante de leur pousse unitaire

    peut gnrer une dclration considrablement plusgrande, par exemple 100 500 g.

    Evidemment, avec une telle dclration, la vitessede lobjet sannule en une dure proportionnellement

    plus faible, mais ds que cette dure devient infrieure

    100 millisecondes, loeil des observateurs laconsidre comme un ash de lumire.

    Cest exactement ce quils nous disent avoirobserv.

    En outre, la succession des faits est trs importante pour conrmer la dynamique de vol : basculement,avec 3 panneaux allums, puis, seulement aprs lebasculement, le ash de plus de cent panneaux. Cestexactement ce quil faut faire pour provoquer un arrtbrutal sans changement daltitude. Cette squenceest ncessairement trs rapide, et elle ne correspond aucun phnomne connu se droulant danslatmosphre. Sa brivet et la prcision indispensablervlent une complexit vidente en amont.

    Les consquences de cette analyse trs simplesont importantes examiner de plus prs.

    CONSQUENCES

    Lanalyse des faits nous apprend plusieurschoses :

    Lobjet se maintenait manifestementen vol horizontal laide de trois panneauxlumineux produisant ncessairement chacun uneacclration de 3,27 m/s2.

    Le freinage brutal de lobjet correspondait une dclration minimale de 30g pendant 300millisecondes, et probablement beaucoup plusencore, compte tenu de laccroissement de laluminosit des panneaux dcrite.

    Une telle acclration, maintenue, donnerait, cet objet, une capacit de voyage interstellaire.

    La forte dclration, lie la multiplicationdes panneaux propulseurs actifs, et laccroissement de leur luminosit, tait orientevers les tmoins.

    Or, pendant cette manoeuvre de lobjet, detrs brve dure, le plafonnier du camion sest

    allum.Cela suppose un effet lectromagntique

    puissant, compte tenu de la distance, (de lordrede 1000 mtres). Ou bien trs directif.

    On voudrait bien savoir quelle tait la naturede la lampe dclairage qui sest allume, pour entirer des enseignements.

    Par exemple, sagissait-il dun tube uorescent,susceptible de sclairer sous laction dun champlectromagntique similaire aux ondes radio,ou bien sous laction de la lumire ultraviolette,comme la plupart des tubes de ce genre ? Parcontre, sil sagissait dune lampe incandescence,lexplication serait autrement plus difcile.

    Trois panneaux de sustentation distants,et situs sous lobjet, cest l exactement lesconditions requises au minimum pour obtenir unvhicule pilotable, stable, et performant. Mais ilsagit l dun savoir complexe dingnieur que lestmoins ont peu de chance de partager, ce qui rendleur rcit dautant plus crdible.

    Mais cest aussi la signature dune technologiebase sur un savoir scientique.

    La propulsion permettant de raliser ces

    prouesses semble pouvoir tre miniaturise. Eneffet, les tmoins disent avoir observ un grandnombre de panneaux propulsifs de forme carre,ayant chacun une surface probablement infrieureau mtre carr. Ceux-ci sont cependant capablesde procurer, chacun, une acclration dau moins1/3 de g. Mais un vhicule de cette taille aurait

    probablement une masse suprieure la tonne.Cela implique des panneaux, de moins dun

    mtre carr, produisant une force de pousse delordre de 3200 Newton au minimum. On aimeraitsavoir faire cela !

    La dynamique du vol, rvle parlinclinaison de lobjet, et la variation de savitesse, sont typiques de ce genre dobservation.Mais il sagit l dune dynamique de vol demachine pilote, qui doit donc possder certainescaractristiques de stabilit.

    Le fait, par exemple, que la pousse proviennedu dessous de la machine, dont le plan dapplicationest situ en dessous du centre de masse, nest

    pas anodin. Cest en effet une conditionindispensable lobtention dune trajectoirestable et un pilotage stable en attitude.

    Un hlicoptre, qui ne peut pas respecter cesconditions, est notoirement instable, cest bienconnu, mais nous ne savons pas faire mieux.

    La pousse applique lobjet est sans douteproportionnelle la supercie de ses panneauxlumineux, et son acclration est inversement

    proportionnelle sa masse. Mais commentminimiser la dure du voyage ? En maximisantlacclration, bien videmment. Commentmaximiser lacclration?

    En adoptant une gomtrie qui minimise lamasse pour une supercie xe. Cela sappelle undisque. Tout est trs logique, nalement.

    Alors, le physicien commence comprendre beaucoup plus de choses que ce que disent lestmoins ...

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    UNE OBSERVATION ANALOGUE EN FRANCE

    Dans la nuit du 29 au 30 Aot 1975, circulant en voiture, sur la D10 qui part de Longages et rejointla RN125, prs de NOE, en haute Garonne, Monsieur Rmi CYRUS, qui habite Muret, aperoit unengin dans un champ, il lestime 7 mtres de longueur pour 3 mtres de hauteur. Le temps de seretourner pour mieux voir et lengin dcolle, dcouvrant une partie infrieure lumineuse. Sans aucun

    bruit, il tourne cette face trs brillante, comme le Soleil, vers la voiture de Mr Cyrus, en sapprochant,avant de ler droit, la verticale, vers le ciel. Tout cela une vitesse foudroyante. Mr Cyrus na que letemps de se protger les yeux, avec les bras, tout en bloquant les freins de la voiture, qui sarrte dansle foss.

    Un autre automobiliste Mr A. , rsidant Longages, identi par les gendarmes de Carbone, vient porter secours Mr Cyrus, dcompos par la frayeur, et tous deux peuvent voir alors cette boulelumineuse immobile dans le ciel, au dessus des coteaux de la Garonne, la verticale de Saint Sulpice.A partir de ce moment, et pendant prs de deux heures, jusqu minuit, plusieurs tmoins pourrontobserver lovni quasi immobile, dans le ciel, puis, vers minuit et demi, il sest teint. Mr A. avait observles phares de la voiture de Monsieur Cyrus arrivant en face, puis tout coup, un clair formidable, cequi lui a fait croire que la voiture explosait.

    La gendarmerie a rvl dautres tmoins : Mr Louis Gouin, et Mme Odette Tgdor, qui ont observlovni dans le ciel. Au total, la Gendarmerie aurait trouv 30 tmoins. Mr Fournous aurait pris un clichde lOvni, dans le ciel, au tlobjectif vers 21 heures entre Muret et Labarthe sur Lze. La photo montreun objet ou allong (L/D = 5 6) trs lumineux et entour dun halo lumineux de 2 fois la plus petitelargeur.