Royaume du MarocMinistère de la Culture

Galerie Bab Rouah - RabatDécembre 2010

ATAALLAH Retrospective Permutation / Création

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Portrait de Romain Ataallah par Jaime Abecasis.

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Qui pourrait résumer la peinture d’Ataallah ?

Peinture et vie sont intimement liées dans l’œuvre de cet artiste, culture

nomade, peintre nomade. Là ou l’on croyait l’attendre, le retrouver, Ataallah a

déjà repris son chemin en quête de son « graal » !

Peintre itinérant, il l’est aussi dans le temps… Depuis sa découverte du Zen

et du Tao, sa mobilité est devenu une priorité, il vit en permanence une sorte

de permutation !

Cet engagement transparait évidemment dans sa peinture, ses dernières toiles

reprennent les grands thèmes de l’Epoque Rome ( 1960 ) mais désormais

retravaillée à l’aune d’une autre dimension , d’un autre statut … Il recompose

son oeuvre continuellement ...

L’exposition à Bab Rouah retrace un parcours libre et indépendant pleinement

ouvert à l’abstraction depuis Rome.

Ataallah le peintre de l’anti immobilisme …

D. Lemaire

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Autoportrait-H/P, 0,50 x 0,32 - 1954-58

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Sortie du Khalifa - H/T, 0,53 x 0,75 - 1954-58

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Fondouk à Tétouan - H/T, 0,55 x 0,75 - 1954-58

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Petit Soco à Ksar Kébir - H/T, 0,52 x 0,75 - 1954-58

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Ataallah

Naît au nord du Maroc où il étudie à l’Ecole des Beaux Arts de Tétouan, l’Espagne, l’Italie et la France par la suite.

Après avoir crée des paysages inspirés du travail de son Maître au Maroc Espagnol Bertuchi, il évolue vers des styles post-impressionnistes et expressionnistes par la suite tout au début de son séjour en Espagne.

En Italie il découvre le Zen et le Tao.Il s’interroge sur le Sujet / Motif et Expression / Technique. 1960 - 65. Une période de recherche sur la liaison Sujet - Technique.

La toile devienne une grille, qui au bout de quelque temps et par un effet de Plein / Vide, cette grille, latente, donne naissance aux carreaux. Madrid 1965.

Les arts traditionnels marocains l’inspirent, songe à en faire un langage contemporain et universel.

1968 Enseigne à l’Ecole des Beaux- Arts de Casablanca, il est l’un des promoteurs de l’exposition à la place Djemaa el F’na à Marrakech.

En 1970, pour remplacer le tableau classique - élaboré sur chevalet et encadré par la suite- met à jour le concept du « MODULE », œuvre individuelle constituée d’un « carré » contenant un signe. Le Module dont les paramètres sont enregistrés est une ouvre impérissable et indestructible.

Le Module, inspiré de l’art islamique, est une œuvre visuelle et un maillon incontournable de l’architecture.

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Accolé, combiné, jumelé, juxtaposé à d’autres Modules, répétés jusqu’à l’infini, ils forment une œuvre « Multiple ».Ce concept s’apparente aux courants naissants alors, de l’« Art Systématique » et à une variante de l’ « Art Conceptuel » dans son expression la plus large et la plus basique, toutefois sans renier la référence à des impressions sensibles et des représentations particulières destinées à engager le spectateur dans une prise de conscience.

1972 s’installe en France, fonde l’ATELIER de RECHERCHE ESTHETIQUE. Espace dédié à la promotion de l’art contemporain, d’où organise des événements culturels : Cercle, Carré et Triangle, Triennale de l’Abstraction, (Durant 4mois, 16 expositions dans 10 lieux, 69 créateurs / participants).Ecriture / Lecture…( manifestation englobant 10 expositions et interventions dans le domaine de Peinture, Sculpture, Performance, Art Corporel, Art et Ordinateur, Photographie, Cinéma Expérimental, Vidéo, Typographie, Poésie sonore, Musique… 117 participants).Une « Journée de rencontres, CREATEURS - INDUSTRIELS » (17 Chefs d’entreprise, 20 Créateurs, 17 Personnalités du monde de l’art, de l’industrie et de la politique). Enseigne à l’Ecole des Beaux Arts de Caen, travaille sur divers systèmes de codage, crée à l’aide de l’ordinateur et produit une revue d’art en vidéo ( ARE Vidéo ).

Après un séjour à Grenade (Espagne) il conçoit « ARABESQUE » œuvre composée de 300 Modules, ensuite « VENTO », 400 Modules, « CONTINUELS », 137 Modules et « INCLINAISONS », - encore inachevée-, séries d’œuvres issues de différentes méthodes de superpositions et permutations. 1974-2005.

De retour au Maroc, à Marrakech il s’emploi à réunir et à terminer de reconstituer tout ce qui subsistait de son œuvre avant son départ pour la France.

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La Grille Noire - Glycéro /Toile de jute, 0,64 x 0,90 - 1958-60

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Horizons Blanc - Pigments/Toile, 0,40 x 0,66 - 1958-60

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« Modules » d’Ataallah Entretien

En 1962, lors de l’exposition « PEINTRES CONTEMPORAINS DE PARIS ET PEINTRES MAROCAINS», Ataallah livrait au public sous la forme d’un tableau que l’on qualifierait de la ligne « Op Art », le résultat de ses investigations : carrefour d’un enseignement occidental et d’une prise de conscience de ses origines maghrébines.

En 1972, après une période de recherche rompue par des manifestations de groupes telles :

Rencontre Internationale des ArtsPrésence plastique Place Djemaa El Fna Marrakech Présence Plastique Place du 11 Novembre Casablanca,

Il tient à exposer ce que dix ans d’analyses lui ont révélé.

Fort de ce qu’il pense, convaincu que son idéologie doit drainer une jeunesse et surtout stimuler le sérieux, Ataallah définit la création artistique telle qu’il la conçoit au Maghreb.

«En tant qu’individu conscient, je me sens concerné par l’environnement, en tant qu’artiste créateur, je me sens le droit d’influencer mon époque et mon milieu.

Si je dis influencer c’est que je pense qu’il est nécessaire d’organiser l’avenir et non de prendre çà et là les miettes d’un monde moderne qui pourraient nous tomber sous la main ; c’est que je pense qu’il ne faut pas connaître obligatoirement les mêmes problèmes que l’Europe.

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Heureusement, grâce aux échanges, aux moyens de communications, nous bénéficions de l’expérience des pays nantis et grâce à cette expérience nous connaissons aussi les effets positifs et négatifs coordonnés au progrès dans divers secteurs.

Pour ce qui est de l’art, peut-être a-t-il fallu pour sa régénérescence, qu’il passe dans les pays, alors en voie de développement, à la faveur du colonialisme, par le tableau encadré (anachronisme dans un monde musulman où par tradition l’art est intégré. ( Ataallah Bab Rouah 1972) RC - Parlons un peu de votre travail, comment vous procédez ? Quelle place, ou quelle signification a le temps dans vos créations ? Nous avons vu que vous reprenez - sous un autre angle - des travaux des années 50 et 60.

- En 1971, j’ai conçu une grille de signes et élaboré un espace codifié basé sur le principe du Carré Magique conduisant à des séries de permutations. Cette méthode de travail m’amène à toucher d’autres disciplines, par exemple : le cinéma expérimental, la poésie sonore, la photographie, que je n’ai cessé d’exploiter jusqu’à présent.

Mon processus de travail a été conditionné par mon expérience en archéologie où les références historiques, scientifiques sont toujours exigées, l’investigation est lente, expérimentale et fait appel à de constantes vérifications.

La base de mon travail c’est la forme, le tracé le délimité, le sujet. Ma démarche s’appuie sur l’introduction de graphismes de parties anatomiques comme transgression à la tradition prohibitive islamique posant l’interdit de reproduction de l’image humaine.

Je ne conçois pas un « tableau » comme œuvre finie, mais un « tableau » - que j’appelle MODULE - comme élément d’un ensemble à continuer, cela me permet d’introduire la notion d’œuvre ouverte, appelant à la participation du spectateur, à son imaginaire, à sa propre création. A partir de là, je considère que l’accrochage conditionne la lecture de l’œuvre comme la syntaxe celle du mot.

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Construction - Papier/Toile, reconstitution. 100 x 200

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Madrid 2 - Acry/Toile, (reconstitution), 0,54 x 0,75 - 1964

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Grille Jaune - Acry/Toile, 0,85 x 100 - 1964

>Femme Flamme - Acry/Toile, 100 x 0,80 - 1969

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Cette conception de l’œuvre, comme partie d’un ensemble, permutable, libre dans l’espace, donc libre dans le temps, un éternel aller et venu, je l’applique à la totalité de mon œuvre. Je l’applique souvent dans ma vie propre. RC. - Un peu plus de précision sur le MODULE, que autrefois vous l’appeliez « Multiple/Module ».

- Le « Multiple/Module » est une œuvre complète en elle-même, mais son rôle se parfait grâce à l’assemblage, ainsi ils sont conçus pour couvrir des surfaces jusqu’à l’infini, et partant adaptables à l’architecture.

le « Multiple-Module » est aussi un système dont chaque thème peut être développé grâce à l’emploi de concepts cybernétiques qui exploiteraient toutes les possibilités (compositions des lignes, des formes volumes et matières, couleurs et lumières) afin de déterminer les plus souples et les plus adaptées à l’environnement social.

RC. - Et le carré magique, pourquoi ? - Les musulmans ont utilisé généralement des motifs géométriques pour s’exprimer, pour illustrer leurs motifs ou leurs sujets d’inspiration ils avaient recours aux nombres à partir du carré védique.Ils inventèrent des tables de multiplication pour atteindre par des calculs, les formes qu’ils désiraient. Moi je l’applique à mes permutations.

RC. - Comment est intervenu le choix de la forme, pourquoi un certain nombre de lignes? Le choix des lignes sinueuses courant sur un plan vertical est-ce un choix ou bien pouvez vous envisager les lignes courant horizontalement ?

La création de une forme, issue de courbes, est une forme élaborée à partir de travaux

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photographiques sur le corps humain, forme non réductible à une simple composition géométrique. Cette forme est ensuite mise dans un carré et visualisée par des lignes dans le sens vertical si c’est l’élément « Feu » qui conditionne le travail, ou horizontal si c’est l’élément « Eau ». RC - Que pensez vous de l’art contemporain marocain ?

- En ce qui concerne l’art au Maroc, les étapes ont été très vite franchies qui menaient de l’art académique et naïf à l’art abstrait, car l’artiste marocain plus au moins persuadé de l’évolution de l’art, est influencé par l’existence réelle du monde et ne peut dans un environnement en mutation refaire ce qui à déjà été fait des siècles avant lui sans nier sa propre existence.

Nous assistons donc actuellement à une sorte de crise des peintres marocains, ceux-ci se trouvent dans une impasse et vont sûrement essayer de « contester » comme ce fut le cas en 1969 avec l’exposition/manifeste de la Place D’jemaa el Fena à Marrakech.Malheureusement ce mouvement fut récupéré, transformé en un art nain et canalisé vers un une Impasse depuis quarante ans.

Le problème cependant est que le Maghreb n’a rien à offrir, il est condamné à être un éternel consommateur.

RC - Quelle solution préconisez vous?

Méditer sur les racines, sur ce qui a forgé notre culture, à partir de là on peut trouver notre place dans cette globalisation qui nous envahie.

Romain Chateaulegrand

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Multiple - Acry/Carton, 0,52 x 0,52 - 1968-72

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Mono Bleu - Acry/Bois, 100 x 100 - 19

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Griffes - serigraphie sur papier, 0.25 x 0.25 - 1974

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Intérieur - Acry/Toile, 0,78 x 0,98 - 1995

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Composition visions - collage, Acry/Toile, 0,94 x 0,30 - 1985

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Composition numérique

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Le Carré de Séville - Acry/Toile, 100 x 100 - 1992

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Installation à la Faculté des Beaux Arts de Séville 1992

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Mannequin

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Aluza - Collage, acry/toile, 0,70 x 0,52 - 1985

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Marrakech 1 - Acry/Toile, 100 x 100 - 2004

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Asilah 3 variation 1- Acry/Toile, 2005

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Concret 1- Toile & Bois, 0,88 x 0,80 - 2008

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Concret 2 - Toile & Bois, 0,86 x 0,66 - 2008

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M. Ataallah

1939 : Né à Ksar El Kébir, Maroc

Formation

Ecole Nationale des Beaux - Arts de Tétouan (Maroc).Ecole Supérieure des Beaux - Arts de Séville (Espagne).Académie des Beaux- Arts de Rome (Italie).Instituto statale Rome (Italie).Instituto central de Conservacion et de Restauracion Madrid (Espagne).Techniques de l’Image Paris VII Jussieu (France).Images et Nouvelles Technologies, Ecole Nationale des Arts Décoratifs Paris.

Experiences

Expériences Professionnelles au Maroc 1962 Conseiller artistique et collaborateur au Bureau d’architecture du Ministère de la Jeunesse et Sports à Rabat. Chargé de la revue « La Voix de la Jeunesse », conception et illustration de brochures pour l’alpha-bétisation, campagne publicitaire pour les troisièmes jeux panarabes, participation à la conception de « Centres de la Jeunesse ».

Expériences Professionnelles en France1973 Création de « Bus Stop » pour Charleville- Mézières. Guides Gastronomiques pour la DIP. Création de Mobilier en tube d’acier chromé. Maquettes de papier peint. Archéologie1963 - 1968 Chargé de fouilles de la province de Tanger et Région et Nord du Maroc.

Enseignement1968 - 1972 Professeur à l’Ecole des Beaux Arts de Casablanca, (Maroc).1977 - 2004 Professeur à l’Ecole Régionale des Beaux Arts de Caen, (France).

Activités Culturelles1974 - 1983 Promotion et diffusion d’activités et expositions d’Art Contemporain à partir de l’Atelier de Recherche Esthétique. Caen. 1994 - 2001 Promotion et diffusion d’art contemporain à partir Point, espace culturel. Caen.

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Expositions

2009 - Représenté dans la collection privée de S.M. Mohammed VI, Roi du Maroc. - Rétrospective d’Ataallah, Galerie Dar D’Art, Tanger.

2008 - Peintres Arabes et Italiens, Bab Rouah, Rabat.

2007 - Ataallah « Epoque Tétouan » The Lawrence-Arnott Gallery, - Tanger. - Marrakech. - Ecole de Tétouan « 50ans de réflexion », Musée de Ceuta. 2006 - Rétrospective Ataallah 1956 – 2006, Royale Nautique Club, Salé. - « Expressions du Nord », Linéart Galerie, Tanger. 2005 - Rétrospective Ataallah 1956 – 2005, La Galerie Bleue, Marrakech. Artistes Contemporain en Basse Normandie 1945-2005 », Caen. « Un aperçu sur l’Art Contemporain au Maroc », Palais de la BAHIA de Marrakech.

1996 - « Art et Science », Exposition collective, Sépulcre, Caen.

1995 - « Polyptyque », Exposition collective, Au Domaine, Caen. - Exposition individuelle rétrospective, Point7, Caen. - « Rencontre des Arts Plastiques », Exposition collective, Sépulcre, Caen.

1994 - CARRE D’ATALA, installation à l’occasion du 50

ème anniversaire du débarquement allié en Normandie,

Ecole régionale des Beaux- Arts de Caen, La Ferronière, Saint Aubin- sur- Mer et Plage de Ouistreham.. 1993 - Exposition individuelle de photographie « Portraits », de Brion Gysin, Librairie Hémisphère, Caen.

1992 - CARRE D’ATALA, installation à l’occasion du 500

ème Anniversaire de la découverte d’Amérique, Faculté

des Beaux- Arts de Séville.

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1983 - Exposition individuelle, Faculté des Beaux- Arts de Madrid.

1982 - « Champs des Possibilités », Exposition de groupe, Hôtel d’Escoville, Caen. - « Ecriture/Lecture », Salon, Caen.

1981 - « Triennale de l’Abstraction », Salon, Caen.

1980 - « Art Systématique », Exposition collective, Projection, Caen. - Exposition individuelle « Arabesques », Hôtel d’Escoville, Caen.

1979 - Exposition « Cercle, Carré et Triangle », Salon, Hôtel d’Escoville, Caen.

1978 - Exposition individuelle, Comédie de Caen, Caen. - « Génération », Exposition collective, Théâtre de Caen.

1977 - Exposition individuelle, Bibliothèque Municipale, Caen.1976 - Exposition individuelle, ARE, Caen.

1974 - Salon de Mai, Musée d’Art Moderne, Paris.

1973 - « Grands et jeunes d’Aujourd’hui », Salon, Grand Palais, Paris.

1972 - Exposition individuelle, Galerie Nationale, Bab Rouah, Rabat. - Exposition individuelle, Café Théâtre, Casablanca. - Exposition individuelle, Galerie 77, Marrakech.

1969 - « Présence Plastique », Exposition de groupe, Place Djemaa El F’na, Marrakech. - « Présence Plastique », Exposition de groupe, Place du 16 Novembre, Casablanca. - « Présence Plastique », Exposition de groupe dans les lycées, Casablanca.

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1967 - 5

ème « Biennale de Paris ».

1966 - « Peintres de Tétouan », Exposition à la Bibliothèque Espagnole, Tétouan (Maroc).

1965 - « Peinture Actuelle Marocaine », Exposition au Palacio de Cristal, Madrid.

1963 - « Rencontre Internationale des Peintres et sculpteurs », Exposition, Rabat, (Maroc). - Exposition individuelle permanente, Hôtel Djénina, Tanger.

1962 - Exposition individuelle, Galerie Venise Cadre, Casablanca (Maroc). - « Peintres contemporains de l’Ecole de Paris et Peintres Marocains », Exposition, Rabat (Maroc).

1959 - 3

ème « Foire d’Alexandrie », Egypte.

1957 - Exposition au Palais Mudéjar, Séville. - « Artistes Marocains » Exposition Itinérante, Maroc. - Exposition individuelle, Librairie des colonnes Tanger. - « Artistes Marocains », Exposition, Musée des Arts, San Francisco.

Texte en français :D. LemaireRomain Chateaulegrand

Conception et réalisation :Direction des Arts

Imprimerie :Napoli

Mes remerciements à tous ceux qui ont participé à la réalisation de ce catalogue