CC 2 VRD ANDRA ECOTHEQUE 2011 07 28 · - DTU Travaux de Terrassements pour le bâtiment et mémento DTU N° 12 ... - Fascicules du Ministère de l'Equipement n° 25, ... - Circulaire

AGENCE NATIONALE POUR LA GESTION DES DECHETS RADIOACTIFS

AN

DR

A.0

02

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age 2

/2

Révisions

Ind. Date Modifications

B 28/07/2011 13.2.2.1 : Agrément de la station d’épuration par filtre planté Chapitre 18 : Ouvrages divers en option

Identification A.RP.0GNA.11.0032

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AGENCE NATIONALE POUR LA GESTION DES DECHETS RADIOACTIFS 3/74

SOMMAIRE

Sommaire 3

1. Généralités 9

1.11.11.11.1 Objet 9

1.21.21.21.2 Normes et règlements 9

1.31.31.31.3 Consistance des travaux 10

1.3.1 Travaux dus par l'entreprise 10 1.3.2 Travaux exclus 11

1.41.41.41.4 Connaissance des lieux et conditions des travaux 11

1.51.51.51.5 Prescriptions concernant la période de préparation de chantier 11

1.61.61.61.6 Plan d’Assurance Qualité 12

1.71.71.71.7 Piquetage 15

1.81.81.81.8 Essais 16

1.91.91.91.9 Dossier de récolement 17

1.101.101.101.10 Provenance - qualité et provenances des matériaux 18

1.111.111.111.11 Fourniture des matériaux 18

2. Installations de chantier 19

3. Installations de chantier communes 19

4. Travaux préparatoires 20

4.14.14.14.1 Protection des chantiers - épuisements - nettoyage 20

4.1.1 Protection des chantiers 20 4.1.2 Nettoyage 20

4.24.24.24.2 Ecoulement des eaux et épuisements en phase chantier 20

4.34.34.34.3 Préparation initiale débroussaillage et déboisage 20

5. Terrassements 21

5.15.15.15.1 Spécifications techniques 21

5.1.1 Terrassements en déblais 21 5.1.2 Terrassements en remblais 21 5.1.2.1 Matériaux de remblais 21 5.1.2.2 Réglage et compactage des couches 21 5.1.2.3 Contrôle et réception 22 5.1.3 Réalisation de la plateforme bâtiment 22 5.1.4 Compactage du fond de forme des déblais 23 5.1.5 Prescriptions particulières 23 5.1.5.1 Purges 23 5.1.5.2 Mode d'extraction 23 5.1.5.3 Ouvrages rencontrés dans les fouilles 23

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5.1.6 Contrôles et compactage 23 5.1.7 Les tolérances d'exécution des profils et des talus seront les suivantes : 23

5.25.25.25.2 Description des travaux 23

5.2.1 Décapage de terre végétale 23 5.2.2 Déblais / Remblais 24 5.2.3 Plateforme bâtiment 24 5.2.4 Modelage paysager 24

6. Voiries 25


6.1.1 Liants hydrauliques 25 6.1.2 Grave non traitée 25 6.1.3 Grave traitée aux liants hydrauliques 26 6.1.4 Fabrication et transport 27 6.1.5 Mise en œuvre 27 6.1.6 Enduit de protection 28 6.1.7 Béton bitumineux 29 6.1.8 Dalles engazonnées alvéolaire 31 6.1.9 Pavés 32 6.1.9.1 Demande d’agrément 32 6.1.9.2 Réception 32 6.1.10 Matériaux pour lit de pose 33 6.1.11 Matériaux de jointoiement 33 6.1.11.1 Mortier 33 6.1.11.2 Sable 33


6.2.1 Voirie Lourde 33 6.2.2 Voirie Légère 34 6.2.3 Parking engazonné 34 6.2.4 Allée piétonne accessible aux personnes handicapées 34 6.2.5 Voie d’entretien (Bassins) 34 6.2.6 Chemin de ronde 35 6.2.7 Chemin en pas d’âne 35 6.2.8 Allée piétonne stabilisée 35 6.2.9 Variante : Pavés 35

7. Bordures en béton 36



7.2.1 T2+CS1 36 7.2.2 P1 36 7.2.3 P1 Impluvium 36

8. Tranchée pour réseaux divers 37


8.1.1 Fouilles 37

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8.1.1.1 Contrôle et réception 37 8.1.1.2 Assèchement des fouilles et épuisements 37 8.1.2 Remblaiement des tranchées 37 8.1.2.1 Provenance et spécification des matériaux 37 8.1.2.2 Mise en œuvre et compactage 37 8.1.2.3 Contrôle et réception 38 8.1.3 Fourreaux et grillage avertisseur de protection 38


9. Adduction d'eau 39


9.1.1 Etudes spécifiques 39 9.1.2 Tuyaux et raccords 39 9.1.3 Ventouses 39 9.1.4 Vidanges 40 9.1.5 Pose des canalisations 40 9.1.5.1 Lit de pose 40 9.1.5.2 Pose des canalisations 40 9.1.5.3 Assise et enrobage de la canalisation 41 9.1.5.4 Canalisations 41 9.1.6 Pose de la robinetterie 41 9.1.7 Butées et ancrages 41 9.1.8 Essai hydraulique 42 9.1.9 Mise en service 42


9.2.1 Fonçage sous R227 et raccordement sur existant 43 9.2.2 Regard et comptage 43 9.2.3 Distribution 43

10. Electricité / Eclairage extérieur / Vidéo surveillance 44


10.1.1 Fourreaux 44 10.1.2 Chambres de tirage 44 10.1.3 Massifs de fondation 44


10.2.1 Fourreaux et chambre de tirage 45 10.2.2 Chambre de tirage télécom 46 10.2.3 Passage sous RD960 46 10.2.4 Massifs 46

11. Assainissement EP 47

11.111.111.111.1 Généralités 47


11.2.1 Tuyaux 47 11.2.1.1 Tuyaux en PVC 47 11.2.1.2 Tuyaux en béton 47

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11.2.1.3 Autres matériaux 47 11.2.1.4 Drain 47 11.2.2 Pose de tuyaux 47 11.2.3 Contrôle et réception 48 11.2.4 Regards et avaloirs 48 11.2.5 Regards de visite et de jonction sur réseau 49 11.2.6 Regards à grille et avaloirs 49 11.2.7 Tampons, trappes, grilles et avaloirs 49 11.2.8 Caniveau grille 50 11.2.9 Séparateur à hydrocarbures 50


11.3.1 Tuyau 51 11.3.2 Regards et avaloirs 51 11.3.3 Drain 51 11.3.4 Regards et avaloirs 51 11.3.5 Regards de visite et de jonction 51 11.3.6 Regards à grille et avaloirs 51 11.3.7 Tampons, trappes, grilles et avaloirs 51 11.3.8 Caniveau grille 51 11.3.9 Séparateur à hydrocarbures 52

12. Bassins et noues 53


12.1.1 Bassin et noues 53 12.1.2 Géotextiles et géomembranes 53 12.1.2.1 Géotextiles 53 12.1.2.2 Géomembrane 53 12.1.3 Canal de mesure 53


12.2.1 Noues étanches 54 12.2.2 Bassin tampon étanche 54 12.2.3 Canal de mesure 54 12.2.4 Noue d’infiltration 54 12.2.5 Bassin d’infiltration 54

13. Assainissement Eaux Usées 55


13.1.1 Tuyaux 55 13.1.1.1 Tuyaux en PVC 55 13.1.1.2 Autres matériaux 55 13.1.2 Pose de tuyaux 55 13.1.3 Contrôle et réception 55 13.1.4 Regards 56 13.1.5 Regards de visite et de jonction sur réseau 56 13.1.6 Tampons, trappes 57 13.1.7 Vanne de coupure 57 13.1.8 Canal de mesure 57

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13.213.213.213.2 Traitement des eaux usées 59

13.2.1 Consistance des travaux 59 13.2.2 Contrainte d’environnement 59 13.2.2.1 Démarches administratives 59 13.2.2.2 Qualités de l’air à l’extérieur des installations 60 13.2.2.3 Température de l’air 60 13.2.3 Caractéristiques de l’effluent à traiter 60 13.2.4 Domaine de traitement garanti 61 13.2.5 Conditions d’application des garanties 61 13.2.6 Qualité de l’effluent traité 61

13.313.313.313.3 Conception générale de l’unité de traitement 61

13.3.1 Caractéristiques générales 61 13.3.2 Traitement par filtres plantes de roseaux 61 1.1. Dégrillage 62 1.2. Alimentation du premier étage 62 1.3. La répartition des eaux brutes sur le premier étage 63 1.4. Dimensionnement 63 1.5. Matériaux 63 1.6. Evacuation de l’eau du premier étage 64 1.7. Alimentation et répartition en eau du deuxième étage 64 1.8. Evacuation du deuxième étage 65

14. Protection incendie 66

14.114.114.114.1 Alimentation en eau 66

14.214.214.214.2 Citerne enterrée 66

15. Récupération des eaux pluviales 68

15.115.115.115.1 Alimentation en eau potable 68

15.215.215.215.2 Alimentation en eaux pluviales de toiture 68

15.315.315.315.3 Citerne enterrée 68

15.415.415.415.4 Soutirage 68

15.515.515.515.5 Pompe 69

15.615.615.615.6 Distribution d’eau de récupération 69

15.6.1 Distribution intérieure 69 15.6.2 Distribution extérieure 69

16. Terres végétales 70

17. Signalisation 71

17.117.117.117.1 Signalisation verticale 71

17.217.217.217.2 Signalisation horizontale 71

17.317.317.317.3 Bandes podotactiles 72

18. Ouvrages divers 73

18.118.118.118.1 Gabions 73

18.218.218.218.2 Variante en enrochement 73

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18.318.318.318.3 Enrochement 73

18.418.418.418.4 Lisses en châtaignier 73

18.518.518.518.5 Pont de bois 74

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1. Généralités

1.11.11.11.1 Objet Le présent document constitue le Cahier des Charges (CC) pour le lot n°2 - Voirie et Réseaux Divers (VRD) pour la création d’une écothèque pour le compte de l’Andra site de Bure (55).

1.21.21.21.2 Normes et règlements L'entrepreneur est réputé connaître ces normes et exécuter les travaux dans les règles de l'art. En cas d'absence de normes, d'annulation de celle-ci ou de dérogations justifiées, notamment par des progrès techniques, les propositions de l'entrepreneur sont soumises à l'agrément du Maître d'œuvre. L'entrepreneur doit notamment respecter les documents suivants (liste non exhaustive) : Terrassements généraux :

- Le fascicule n° 2 du CCTG Terrassements généraux - DTU Travaux de Terrassements pour le bâtiment et mémento DTU N° 12 et 13 - DTU Travaux de fondations superficielles et profondes DTU 13.11 et 13.2 - Diverses notes techniques du CSTB sur l'établissement des réseaux (EU, EP, AEP,GAZ)

Voirie :

- Fascicules du CPC interministériel n° 23.24.26.29.31.32 - Fascicules du Ministère de l'Equipement n° 25, 27, 28 - CPS types diffusés par le SETRA

Assainissement :

- Circulaire ministérielle n° 77 28 U du 22 Juin 1977 - Circulaire n° 709 du CPC (fascicule n° 79 11 bis) - Règlement sanitaire départemental - Guide du Syndicat National des Fabricants - DTU N° 60.33 et 60.4 - Normes NFP 16.304 - 16.321 - 16.422 - 16.341 - 16.343 - 16.352 - 98.322 (Mise à jour Novembre

1987) - NF EN 1401 de novembre 98 - NF XP P 16362 d'avril 97 - EN 1610

Adduction d’eau :

- Règlement sanitaire départemental - Fascicule n° 71 du CPC - Circulaire du 15 Mars 1962 ( Désinfection) - DTU N° 60.1 et 60.31 - Règles professionnelles - Guide du Syndicat des Fabricants - Normes séries NFP 41, NFT 54 et NF S

Eclairage public – Electricité :

- Normes NFC 13200 - NFC 15100 - NDF 17200, - Normes UTE (Câbles, boîtes) , - NF 15-150-1 et 15-150-2 de 08/98, - UTEC 18 150 - Recueil de prescriptions de sécurité, - NFC 17 200 - Installation d'éclairage public, - B 36 1 et B 36 2 - Cahiers de prescriptions, - Normes NFC 11 201/14 100, - Arrêté technique C 11 001,

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- Recommandation relatives à l’éclairage extérieur édictées par l’Association Française de l’Eclairage (A.F.E.),

- Cahier des Prescriptions Communes applicables à la réalisation d’un réseau d’éclairage extérieur annexé à la circulaire n° 74-140 en date du 14 mars 1974 de Ministère de l’Intérieur,

- Cahier des Clauses Techniques Particulières Types, applicables à la réalisation d’un réseau d’éclairage public (B.O.S.P. n° 16 du 25 Juillet 1979),

- et d'une façon générale tous les textes auxquels se réfère le Cahier des Clauses Techniques Générales applicable à la réalisation d'un réseau d'éclairage public.

L'entrepreneur devra, en outre, se conformer aux prescriptions techniques et administratives applicables aux entrepreneurs intervenant dans la commune.

1.31.31.31.3 Consistance des travaux 1.3.11.3.11.3.11.3.1 Travaux dus par l'entreprise L'entreprise comprend toutes les fournitures et mises en œuvre nécessaires à la complète réalisation des travaux faisant l'objet du présent contrat : Elle comprend en particulier : − Les installations de chantier, la signalisation et les implantations, conformément au Cahier des

Charges Général et au PGC du CSPS, − les plans et notes d’exécution, − la gestion de chantier suivant les prescriptions environnementales (charte chantier vert), − le décapage des terres végétales avec évacuation ou stockage pour réemploi, − les terrassements en déblais pour la mise à niveau des fonds de forme des bâtiments, poste de

transformation, cuves et des voiries, − les terrassements en tranchées pour les réseaux divers (humides et secs), − les terrassements préparatoires à la pose de clôture, − la réalisation de tous les réseaux secs et humides situés à l’extérieur des bâtiments et en liaison avec

le laboratoire et les attentes des concessionnaires, − la réalisation des réseaux d’eau pluviale y compris les regards, avaloirs et ouvrages de traitements, − la mise en place des fourreaux et chambres de tirages des réseaux électriques, − la mise en place des fourreaux divers, − les massifs pour candélabres, bornes lumineuses, … − les regards de comptage, − les raccordements vers le laboratoire (Sous RD 960) :

fonçage sous RD 960 fourreaux de liaison pour passage de câble d’alimentation HTA enterrée depuis la coupure d’artère jusqu’au poste de transformation privatif fourreaux de liaison pour passage de fibres optiques et câbles télécom depuis une chambre de tirage du laboratoire (en limite de propriété) jusqu’à l’écothèque

− les raccordements vers le poste « archives EDF » (Sous RD 227) : fonçage sous RD 227 liaison vers chambre de tirage liaison pour adduction d’eau

− la réalisation de la borduration, − la construction des chaussées, allées, chemin de ronde et trottoirs, − la gestion des « eaux sur la parcelle » : traitement, épuration et infiltration

la collecte des eaux pluviales de toiture et de voirie la collecte des eaux usées les noues étanches bassins d’orage étanche d’eau pluviale, le traitement des eaux pluviales par séparateur à hydrocarbure le traitement des eaux usées par lagunage bassin d’infiltration des eaux collectées les canaux de mesures les dispositifs d’entretien

− la reprise et mise en œuvre des terres végétales sur les espaces verts, − la récupération des eaux pluviales de toiture :

la cuve de 30m3 les installations techniques et les raccordements

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− la réalisation de la défense incendie : la cuve de 120m3 les points de piquage incendie et les dispositifs d’aspiration les installations techniques et les raccordements

− les dispositions techniques relatives aux cheminements des personnes handicapés : bandes podotactiles, ressauts, paliers, affichage réglementaire,…

− la réalisation de la signalisation horizontale et verticale. Il est précisé que le contrat comprend tout les réseaux à l’extérieur du bâtiment et s’arrête en limite du bâtiment, regard de branchement à charge du présent lot.

1.3.21.3.21.3.21.3.2 Travaux exclus

− Les clôtures, − Les portails, − Les mats, − La mise en place des câbles électriques, − Les appareils d’éclairage, − Le mobilier, − La réalisation des espaces verts et plantations, − Les réseaux sous les bâtiments hormis pour l’adduction d’eau.

1.41.41.41.4 Connaissance des lieux et conditions des travaux Il est dressé contradictoirement, avant tout commencement d'exécution, un état des lieux détaillé des dépendances des domaines publics et privés mis à disposition de l'entreprise. Cet état devra être réalisé par huissier, à la charge de l’entreprise. Les entreprises soumissionnaires devront se rendre sur place pour visiter l’ensemble du site concerné, obtenir les renseignements techniques qui leur seraient nécessaires en vue de remettre une étude complète, intégrant l’ensemble des prestations indispensables à la réalisation du projet. L'entrepreneur est réputé, par le fait même de sa soumission avoir pris connaissance de l'emplacement et de la nature des travaux, des conditions générales, locales et particulières, des conditions relatives aux moyens de communication et de transport, au stockage des matériaux, aux disponibilités en main d'œuvre, en eau, en énergie électrique et de toutes conditions physiques relatives au lieu des travaux, à la topographie et à la nature du terrain, aux caractéristiques de l'équipement et des installations nécessaires au début et pendant l'exécution des travaux et tous les autres éléments pour lesquels des informations peuvent être raisonnablement obtenues et qui pourraient en quelque manière influer sur les travaux et les prix de ceux-ci. Les conséquences des erreurs ou carences des entrepreneurs dans la réunion des renseignements précédents ne pourront que demeurer à leur charge.

1.51.51.51.5 Prescriptions concernant la période de préparation de chantier Pendant cette période de préparation, il sera procédé notamment aux opérations ci-après: − établissement et présentation au visa du maître d'œuvre du programme d'exécution des travaux,

accompagné du projet des installations de chantier. − déclarations d'intention de commencement de travaux auprès des divers concessionnaires, − demande d'arrêté de circulation définissant les restrictions de circulation et des itinéraires de déviation, − organisation des réunions de piquetage en compagnie des concessionnaires, du gestionnaire du

domaine public, − réalisation d’un relevé topographique du terrain avant travaux, C'est par ailleurs, au cours de cette réunion que seront arrêtées les conditions et prescriptions s'attachant aux essais et contrôles tels que définis au présent Cahier des Charges et qui conditionneront la réception des travaux.

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- Programme d’exécution des travaux

Les entrepreneurs établiront, le programme d'exécution de ces travaux dans les quinze (15) jours suivant la notification du contrat. Ce programme sera retourné par le Maître d'œuvre, soit revêtu de son "visa" soit, s'il y a lieu, accompagné de ses observations dans un délai de quinze (15) jours ouvrables, suivant la date de réception. Il sera procédé tous les mois à l'examen et à la mise au point du programme dans les mêmes conditions que celles qui auront présidé à son élaboration. b) Plans d’exécution – Notes de calcul

Avant tout commencement des travaux, les entrepreneurs devront procéder à la vérification des cotes et dessins qui leur seront remis par le Maître d’Œuvre. Ils devront signaler en temps utile, les erreurs et omissions qu'ils auraient pu relever et demander tous renseignements complémentaires pour éclaircissements. Faute de se conformer à ces prescriptions, ils deviendront responsables de toutes erreurs relevées en cours de travaux, ainsi que des conséquences qui en résulteraient.

Les entrepreneurs soumettront au maître d’œuvre pendant la période de préparation et avant tout commencement d’exécution des travaux les notes et plans d’exécution. Ils seront datés et porteront de façon claire, le nom de l'entreprise. Ils comprendront :

� Les plans d’implantation en X, Y, et Z, � Les plans de terrassements, � Les plans des réseaux sur lequel figurera l’implantation, le tracé, la nature et les sections des

canalisations et tous les équipements des réseaux, � Les plans de voiries, � Les notes de calcul de dimensionnement, � Les plans d’implantations de la signalisation horizontale et verticale, c) Coordination des travaux Les entrepreneurs devront se mettre en relation pour régler entre eux en accord avec le Maître d’œuvre, tous les détails concernant l’exécution de son contrat ainsi qu’à l’élaboration du calendrier contractuel d’exécution. Ils devront tous les renseignements concernant leurs propres travaux afin que les autres ouvrages et installations soient étudiés et exécutés en harmonie. Les entrepreneurs demanderont au Maître d’œuvre tous les renseignements et descriptifs concernant les équipements et finitions notamment sur ceux qui peuvent nécessiter soit un traitement spécial, soit une interdiction d’emploi de certains matériaux ou liants.

Parallèlement le maître d’œuvre organisera pendant la période de préparation une réunion de coordination entre les entrepreneurs des divers lots pour leur permettre :

- de définir contradictoirement la liste des renseignements et plans dont ils pourraient avoir besoin pour la mise au point des dessins d’exécution des ouvrages qui leur sont confié ;

- d’établir un programme de remise de ces informations au maître d’œuvre qui les approuvera avant de les transmettre aux intéressés.

Un exemplaire des dessins définitifs d’exécution des autres lots, approuvés par le maître d’œuvre et accompagnés de toutes les indications nécessaires, est remis à l’entrepreneur pour lui permettre de prévoir les trous de scellement et de passage, les socles, les emplacements des portes, les fenêtres, les passages, les paliers et les échelles, etc.

1.61.61.61.6 Plan d’Assurance Qualité La politique qualité de l'entreprise permettra d'assurer un système qualité prenant pour référence les normes ISO 9001

•••• L'entrepreneur est tenu de fournir un plan d'Assurance de la Qualité (P.A.Q.) pour tous les travaux compris dans le présent CAHIER DES CHARGES.

Le PAQ devra se composer des éléments suivants : − une note d'organisation générale,

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− une note relative à la mise en place du PAQ, − des procédures d'exécution définissant les moyens et les conditions de réalisation des travaux, − les documents de suivi d'exécution, − le PAQ de chacun des fournisseurs, bureau d'études ou sous-traitants. •••• Remise des éléments du PAQ Pendant la période de préparation du chantier : − mise au point de la note d'organisation générale, et de la note relative à la mise en place du PAQ, y compris la liste prévisionnelle des plans d'exécution et des documents de suivi, − réalisation des procédures d'exécution et études correspondantes aux premières phases de travaux. En cours de travaux, avant toute phase d'exécution, dans un délai de un mois avant le démarrage des travaux de la phase correspondante : − établissement des plans d'exécution, − établissement des procédures d'exécution, − établissement des documents de suivi d'exécution. •••• Contenu du PAQ Le présent article présente une liste non exhaustive du contenu de chaque constituant du PAQ. Consistance : Ce chapitre a pour objet de définir : − l'encadrement responsable de la direction du chantier, − les sous-traitants qui peuvent figurer au Contrat sur proposition de l'Entreprise, ou être laissés au choix

de l'Entreprise sur une liste établie par elle ou être choisis en cours de travaux, − les Bureaux d'Etudes et les principaux Fournisseurs, − les moyens en personnel de l'Entreprise et des sous-traitants ainsi que les références du personnel

d'encadrement de chantier, − les moyens généraux en matériel, − les Bureaux de Contrôle et Laboratoires externes, − la nature des documents remis au Maître d'Oeuvre ou tenus à sa disposition avec les conditions de

circulation et d'approbation du Dossier des Etudes d'Exécution ainsi que la liste des procédures d'exécution avec leur échéancier d'établissement et la liste des documents de suivi de l'exécution,

− les conditions d'exercice du contrôle extérieur du Maître d'Oeuvre en récapitulant les points d'arrêt et/ou les points clé ainsi que les opérations de contrôle influant sur le déroulement des travaux,

− les interfaces entre les intervenants dans les études et les travaux, − les principes de gestion de non conformité. Identification des travaux : Cette rubrique définira exhaustivement la nature et la consistance de la totalité des travaux objet du présent Contrat, ainsi que les quantités correspondantes. •••• Partis concernés Le PAQ devra préciser : − l'entreprise titulaire du Contrat, − les co-traitants éventuels y compris ceux désignés au courant des travaux, − les fournisseurs des matériaux, la liste correspondante devra être exhaustive, − les bureaux d'étude ou de contrôle chargés du contrôle externe. •••• Moyens mis en œuvre pour la réalisation des travaux Moyens en personnel

Le PAQ devra préciser les éléments suivants :

− L'effectif prévisible présent sur le chantier par phase de travaux, décomposé en personnel de fonctionnement et de travaux.

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− L'organigramme du chantier comprenant : ⋅ liste nominative du personnel d'encadrement, ⋅ références et qualifications, ⋅ l'affectation du personnel, ⋅ description de la mission et des pouvoirs de chacune des personnes.

Cet organigramme sera dressé par l'ensemble du personnel d'encadrement, du directeur du chantier au chef du chantier. Moyens en matériel Le PAQ précisera exhaustivement la totalité du matériel affecté à la réalisation des travaux. Le PAQ indiquera la composition et le nombre de chaque atelier affecté à une tâche spécifique (déblai-remblai, traitement, couches de chaussée, etc.). De surcroît, le PAQ précisera par engin, à l'exception des camions, le nom du conducteur d'engin attitré, et son ancienneté sur l'engin concerné. •••• Moyens de l'entreprise spécifiques au PAQ Moyens en personnel Dans le cadre du contrôle interne Le PAQ définit : − le ou les responsables du contrôle interne ainsi que l'organisme éventuellement interne à l'entreprise à

qui celle-ci confie la réalisation des essais correspondants, − le contenu de la mission de chaque intervenant, ainsi que la délimitation du domaine concerné par la

mission. Moyens matériel Le PAQ fournit sous la forme d'une liste exhaustive la totalité des moyens matériels mis à disposition pour assurer le contrôle intérieur. •••• Interfaces On entend par interfaces, les principales discontinuités contractuelles, techniques et organisationnelles. On distingue quatre types d'interfaces. − avec les co-traitants éventuels, − avec les sous-traitants éventuels, − avec les fournisseurs, − avec les intervenants extérieurs. Le PAQ définit d'une façon exhaustive les interfaces identifiées dans le cadre du présent Contrat. •••• Gestion des documents d'exécution Les documents d'exécution sont de trois types : − les documents en provenance du Maître d’œuvre, − les documents à établir par l'Entrepreneur et à remettre au Maître d’œuvre, selon les procédures et dans

les délais fixés, − les documents tenus à disposition du Maître d’œuvre dont l'établissement ou la mise à jour se font au

fur et à mesure du déroulement des travaux. Documents établis par l'Entrepreneur et remis au Maître d’œuvre Le PAQ précisera le service de l'Entrepreneur chargé de : − leur établissement, − leur diffusion, − leur archivage. Ces documents consistent pour l'essentiel : − mémoire et plans des installations de chantier, − mémoire et plans d'hygiène et sécurité, − programme des travaux, − sous-détail de prix,

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− plans d'assurance qualité général et particulier, − procédures d'exécution, − mémoire concernant la gestion des déchets, − liste des essais à effectuer et diffusion des résultats. Les plans d'exécution et de récolement étant établis sur support informatique compatible avec AUTOCAD. Documents tenus à disposition du Maître d'œuvre : − rapports journaliers d'activités établis par l'encadrement du chantier, − fiches de suivi d'exécution.

L'Entrepreneur devra établir pour chacune des tâches élémentaires, justifiant d'un contrôle de qualité, une fiche particulière dite fiche de suivi d'exécution; associées à une procédure d'exécution, elles permettent de présenter, les résultats des contrôles et des constatations, et de conserver l'historique de l'exécution.

Les fiches de suivi d'exécution sont établies par la personne ou l'organisme, chargée du contrôle externe ; elles sont remplies selon la nature de la tâche, soit par : − le chef d'équipe, − le chef de chantier, − le conducteur des travaux, − le géotechnicien, − le géomètre. La forme et le contenu sont définis au cours de la phase de préparation du chantier. Des adaptations peuvent être faites en cours de travaux. •••• Gestion de la non conformité Une non conformité est une non satisfaction aux exigences spécifiées ; elle exige la mise en œuvre "d'actions qualités" (palliatives, préventives ou correctives). Trois cas sont à distinguer : − détection de la non conformité en cours d'exécution, − détection de la non conformité après exécution, mais avant réception par le Maître d'Oeuvre, − détection de la non conformité, lors des contrôles de réception par le Maître d'Oeuvre. Le PAQ précisera par cas : − les démarches à entreprendre du "détecteur" au Maître d'Oeuvre, − la nécessité d'établissement d'une fiche d'adaptation ou de non conformité. Le PAQ précisera le contenu des fiches d'adaptation et de non conformité. La personne ou l'organisme chargé du contrôle externe, tiendra à jour la liste et le dossier des fiches d'adaptation et de non conformité ; un double de ces fiches sera annexé aux fiches de suivi d’exécution. 1.71.71.71.7 Piquetage Dans un délai de quinze (15) jours à compter de l'ordre de service prescrivant de commencer les travaux, les documents suivants seront notifiés à l'Entrepreneur :

- plan d'implantation des bornes de référence planimétrique et altimétrique,

- listing des bornes d'implantation. A l'ouverture des travaux, il sera procédé à une reconnaissance contradictoire sur le terrain et à la remise à l'Entrepreneur des bornes supports des implantations.

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Protection des bornes Un procès-verbal de remise sera établi. La conservation de ces bornes est à la charge de l'Entrepreneur. Toute disparition ou détérioration du point ou de sa protection sera imputée à l'Entrepreneur. De plus, une pénalité de cinq cent euros (500 €) sera appliquée pour chaque borne ou repère détruit.

En outre, celui-ci devra prendre toutes dispositions pour rattraper, à ses frais, tout retard qui serait la conséquence de cette disparition.

L'Entrepreneur disposera d'un délai de dix (10) jours calendaires à compter de la notification des documents et du premier piquetage sur le terrain, pour vérifier que les documents notifiés représentent bien le terrain, pour effectuer les corrections éventuelles dans les plans et documents d'exécution. Tout commencement d'exécution sans réclamation, équivaut à l'acceptation par l'Entrepreneur des données indiquées dans les documents qui lui ont été notifiés et engage sa responsabilité en cas d'erreur. Aucune réclamation ne pourra être faire suite à la correction de ces erreurs. Le piquetage du tracé des canalisations et de tous ses ouvrages est effectué par l'Entrepreneur et vérifié contradictoirement avec le Maître d’œuvre avant le début des travaux.

1.81.81.81.8 Essais Les essais seront systématiquement réalisés par l'Entrepreneur au fur et à mesure de l'avancement des travaux et avant réception et seront conformes au DTU 13.3. Ils seront effectués par des Organismes agréés par le Maître d'Ouvrage. Ils comprennent : - identification GTR des sols rencontrés pour remblais et couche de forme, - Essai de plaques des fonds de forme :

- un essai de plaque tous les 500 m2 et au minimum 3 essais, - Caractéristique à obtenir : - Ev2 ≥ 50 MPa ou Ev2 ≥ 80 MPa suivant les zones - Ev2/Ev1 < 2

- essais de planimétrie, - essais d'ovalisation des fourreaux courants faibles et contrôle du maquettage des fourreaux dans les

chambres, - essais à la demande du Maître d'Oeuvre sur les matériaux de constitution des chaussées et sur les

remblais. - essais pour vérification du compactage des tranchées, - l'inspection télévisée de l'ensemble des canalisations d’assainissement, - essais d’étanchéité à l'eau de l'ensemble des canalisations d’assainissement, - essais d’étanchéité à l'eau de tous les ouvrages comprenant les regards de visite et regards de

branchement Ces essais et contrôles interviendront obligatoirement en fin de chantier ou de phase et conditionneront la décision du maître d'ouvrage autorisant la programmation des réfections des dallages et chaussées. Leur planification par le maître d'œuvre sera ordonnée dès la réception de la demande de l'entrepreneur en sollicitant leur réalisation. A ce titre, sur la durée qui sera nécessaire à leur déroulement ainsi qu'à l'exploitation des résultats qui en découleront, l'entrepreneur ne pourra en aucun cas formuler d'observations ou encore faire valoir les obligations de son contrat, étant précisé que les délais qui seront impartis pour la bonne exécution de ces prestations de contrôle ne sont pas inclus dans le délai d'exécution propre au contrat. Dans l'éventualité où les résultats de ces contrôles devraient mettre en évidence des insuffisances sur la qualité des travaux ou démontrer un manquement aux règles de l'art, l'entrepreneur sera tenu de se conformer aux directives du maître d'œuvre pour qu'il soit remédié aux malfaçons constatées. Les examens complémentaires qui s'avéreraient nécessaires seront à la charge exclusive de l'entrepreneur.

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COMPACTAGE : La densité contrôlée en place en tous points des matériaux utilisés pour les remblais devra être conforme aux objectifs définis au chapitre 6.2 de la norme NF 98.331 (Tranchées : ouverture, remblayage, réfection) ETANCHEITE :

Toutes les canalisations d’assainissement devront être nettoyées par hydrocurage avant réalisation des essais d’étanchéité et passage caméra.

Les contrôles seront conformes à la norme NF EN610 concernant la mise en œuvre et essais de branchements et collecteurs et seront à l'eau "méthode W" pour toutes les canalisations et tous les regards de visite et regards de branchement.

1.91.91.91.9 Dossier de récolement

Ce dossier comprend entre autres :

- - les plans de récolements, - - les notes de calcul, - - les références des produits mis en oeuvre et avec les coordonnées des fournisseurs ou revendeurs,

Les documents suivants en 3 exemplaires :

- les notices de fonctionnement, - les notices détaillées de mise en service et de maintenance émanant des constructeurs, avec copie des

certificats de garantie et le cas échéant d'épreuves ou essais réglementaires, pour chaque matériel installé,

- les instructions de marche simples, mais précises et détaillées sur la conduite et l'entretien des installations,

- etc..

Ces documents devront permettre la rédaction du D.I.U.O.

L’entrepreneur devra fournir les plans sous forme papier (trois exemplaires) et des fichiers informatiques selon le mode opératoire pour la fourniture des documents techniques QUA.PR.ADQ.01.1152.E joint au dossier de consultation. Ces plans devront être établis en coordonnées LAMBERT 93 et côté NGF. Il devra également transmettre aux entreprises des autres lots le fichier informatique du plan masse pour leur permettre de transcrire leur propre récolement. Les plans de récolement comporteront les informations suivantes : a) Réseaux d'assainissement - réseaux linéaires, nature, type et sections - raccordement sur réseau existant - sens d'écoulement - regards de visite, avaloirs et regards de branchement - altimétrie du fil d'eau ou radier - altimétrie des piquages - coordonnées en X et Y - altimétrie du terrain naturel - repérage avec un minimum de deux côtes à des éléments fixes b) Réseaux électriques - les raccordements sur réseau existant - les réseaux électriques, nature et section - les équipements électriques repérés suivant : - coordonnées en X et Y - altimétrie de pose - altimétrie de la bouche à clé - repérage avec un minimum de deux côtes par rapport à des éléments fixes

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- Les caractéristiques des réseaux : longueur, type, nature et diamètre, nombre de fourreaux avec coupe de positionnement dans la tranchée, nombre de câbles et leurs sections.

- Les plans de câblage des réseaux et des armoires de distribution pour les travaux d'électricité. - Croquis de branchements des ouvrages et pièces spéciales. - Les croquis de détail ou éclatés des réseaux avec coupe de la tranchée si besoin.

c) Voirie - les différentes structures de chaussée et de revêtement repérées avec un type d’hachure différent, - les côtes altimétriques sur les axes et les fils d’eau au niveau des points caractéristiques du profil

(points hauts, points bas, points de changement de pentes, …), - le type de borduration, d) Réserve incendie L'installateur doit remettre à l'exploitant, pour la vérification de conformité et pour une bonne exploitation de l'installation, un dossier technique complet. e) Gestion des eaux L’entreprise doit remettre à l'exploitant, pour une bonne exploitation de l'installation, un dossier technique comportant notamment le plan, les notes de calcul et les notices d’entretien. 1.101.101.101.10 Provenance - qualité et provenances des matériaux Les provenances, la qualité, les caractéristiques, les types, les dimensions et les poids, les procédés de fabrication, les modalités d'essai, de marquage, de contrôle et de réception des matériaux et des produits préfabriqués doivent être conformes aux normes homologuées ou réglementation en vigueur au moment de la signature du Contrat. L'Entrepreneur sera tenu de justifier à tout moment, sur demande du Maître d'Oeuvre, la provenance des matériaux au moyen de lettres de voiture signées du fournisseur ou par toute autre pièce en tenant lieu. Tous les matériaux dont les caractéristiques ne sont pas définies dans le présent CAHIER DES CHARGES, feront l'objet de la part de l'Entrepreneur d'une demande d'agrément de provenance au Maître d'Oeuvre précisant les conditions de préparation par ses soins ou l'achat à un fournisseur. Si cette demande intervient au cours de chantier, elle devra être faite en temps voulu pour respecter les délais d'exécution du Contrat et dans tous les cas au plus tard QUINZE (15) jours avant l'utilisation envisagée des matériaux proposés. Le Maître d’Oeuvre se réserve un délai de QUINZE (15) jours calendaires pour donner sa décision, ce délai courant à partir de la date à laquelle auront été fournis tous les échantillons de fabrication et tous les renseignements propres à justifier les propositions de l'Entrepreneur. Le Maître d’Oeuvre conservera un échantillon conforme au modèle agréé et pourra exiger la remise de plusieurs échantillons en vue d'essais. La fourniture de tous les échantillons est à la charge de l'Entrepreneur. Dans le cas de refus de matériaux sur le chantier, ceux-ci seront transportés hors du chantier par les soins et aux frais de l'Entrepreneur dans le délai qui sera fixé lors de décision de refus. Faute par l'Entrepreneur de se conformer à cette décision, il pourra être procédé d'office par le Maître d'Oeuvre aux frais, risques et périls de l'Entrepreneur, sans qu'aucune mise en demeure préalable soit nécessaire.

1.111.111.111.11 Fourniture des matériaux

Toutes les fournitures de matériaux nécessaires à la construction des ouvrages qui ne sont pas exclues expressément dans le CAHIER DES CHARGES sont dues par l'Entreprise. Les matériaux devront être conformes aux conditions fixées par le Cahier des Charges Général et complétées par les dispositions du présent chapitre du CAHIER DES CHARGES Font partie de l'Entreprise, toutes les fournitures des matériaux nécessaires à la construction des ouvrages qui ne sont pas exclues expressément par le CAHIER DES CHARGES

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2. Installations de chantier Se reporter au document CCG.

3. Installations de chantier communes Se reporter au document CCG.

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4. Travaux préparatoires

4.14.14.14.1 Protection des chantiers - épuisements - nettoyage 4.1.14.1.14.1.14.1.1 Protection des chantiers L'Entrepreneur prendra toutes dispositions nécessaires pour faire respecter les interdictions de circulation qui pourraient être demandées par le Maître d'Oeuvre. 4.1.24.1.24.1.24.1.2 Nettoyage L'Entrepreneur devra veiller en permanence à la propreté du chantier, des abords et des routes utilisées pour les besoins du chantier, et procéder à ses frais, au nettoyage prescrit par le Maître d'Oeuvre.

4.24.24.24.2 Ecoulement des eaux et épuisements en phase chantier

L'Entrepreneur devra, sous sa responsabilité, exécuter si besoin est, l'épuisement des fouilles et assurer la protection de son chantier contre les eaux de toute nature et de toute origine. Il sera responsable des conséquences et des perturbations qu'il apporterait dans le régime de l'écoulement des eaux de surface et des eaux profondes. Il assurera également, sous sa responsabilité, l'évacuation des eaux de toute origine depuis le début du chantier jusqu'aux exutoires où elles pourront être reçues. Ces obligations comprennent la construction et l'entretien des ouvrages (rigoles, drains, puisards) de captage et d'adduction des eaux, la fourniture et l'entretien du matériel de pompage (y compris le matériel de rechange), la fourniture de l'énergie et du combustible, la main-d’œuvre d'exploitation et de surveillance, la remise en état des lieux, etc .... de telle façon que tous les ouvrages décrits dans le présent Contrat soient exécutés à sec. Les projets pour ces aménagements provisoires seront soumis à l’approbation du Maître d’oeuvre;

A la fin des travaux, le terrain sera remis dans son aspect initial. Les ouvrages seront comblés et les équipements démontés et évacués.

4.34.34.34.3 Préparation initiale débroussaillage et déboisage

L’entrepreneur devra le nettoyage du site en prenant en compte l'état du terrain tel qu’il sera au moment de la remise de son offre. L’Entrepreneur devra la mise en état du terrain, apte à l’exécution des prestations du présent Contrat. Il aura à charge le débroussaillage et le nettoyage de toute végétation arbustive et herbacée non conservée dans le projet. Les trous suite à l’arrachage des souches devront être rebouchés en terre végétale du chantier ou grave tout venant. L’entrepreneur devra également évacuer les branches, débiter puis évacuer les bois morts, produits du débroussaillage, du nettoyage, et autres détritus hors du chantier.

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5. Terrassements

5.15.15.15.1 Spécifications techniques

5.1.15.1.15.1.15.1.1 Terrassements en déblais

- Le fascicule n° 2 du CCTG Terrassements généraux - DTU Travaux de Terrassements pour le bâtiment et mémento DTU N° 12 et 13 - DTU Travaux de fondations superficielles et profondes DTU 13.11 et 13.2 - Guide technique pour la réalisation de remblais et couche de forme SETRA-LCPC - Normes NF P 11-301 A l'intérieur des zones de déblai, l'Entrepreneur peut rencontrer des terrains susceptibles de présenter des difficultés d'extraction différentes, qu'il lui appartient d'apprécier. Les matériaux de déblais seront réutilisés en remblais en fonction de leur teneur en eau et des conditions météorologiques au moment de leur extraction et de leur réemploi. Toutes les terres (de toute nature) de déblais provenant des terrassements des plates-formes, des chaussées et des bâtiments en excédent par rapport au volume nécessaire pour la réalisation des mouvements de terrains et aménagements des espaces verts seront évacuées publique au fur et à mesure de l'avancement des travaux. Les éventuels frais de décharge sont à prévoir par l'entreprise

5.1.25.1.25.1.25.1.2 Terrassements en remblais

5.1.2.1 Matériaux de remblais

Les matériaux constituant les remblais proviendront de la réutilisation des matériaux de déblais décidée selon les prescriptions du G.T.R. en fonction de la nature et de l'état hydrique des matériaux comme défini ci-après, après accord du Maître d'Oeuvre. Ils ne devront pas contenir de gazon, racines, souches, débris végétaux, de terres végétales, produits humides, ni de matériaux gelés ou de neige. L'utilisation des vases, terres fluentes et tourbe est interdite. Les matériaux de décapage ne pourront en aucun cas être réutilisés en remblais. L'entrepreneur proposera dans son Plan Qualité, les conditions et les techniques de réemploi de chaque matériau. L'intensité des précipitations sera appréciée en fonction de son incidence sur l'évolution de la teneur en eau des sols, en tenant compte de leur sensibilité à l'eau. L'identification des matériaux, le contrôle de leur qualité (teneur en eau) et du respect des prescriptions définies ci-dessus pour l'utilisation des sols, sera effectué par l'Entrepreneur qui utilisera son propre laboratoire ou fera appel à un laboratoire agréé par le Maître d'Oeuvre. Il en sera de même pour les besoins d'identification de la nature et de l'état des sols à l'extraction et, en tout état de cause, avant la mise en œuvre. Dans le cas où il serait nécessaire de faire venir des remblais d’apport, ceux ci devront être obligatoirement soumis à l’agrément du maître d’œuvre. Le réglage des talus sera effectué par la méthode du remblai excédentaire.

5.1.2.2 Réglage et compactage des couches

Tous les remblais seront méthodiquement compactés dans les conditions définies à l'article 15 du fascicule 2 du C.C.T.G.

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Dans le cadre de son PAQ, l'Entrepreneur devra soumettre à l'accord du Maître d'Oeuvre avant l'exécution des remblais et pour chaque type de matériaux, l'épaisseur maximale des couches élémentaires qu'il se propose d'obtenir après compactage, cette épaisseur étant déterminée en fonction de l'intensité de compactage, des matériels utilisés, de la nature et de l'état des matériaux. L'Entrepreneur devra s'assurer en permanence du bon fonctionnement des engins de compactage, de la bonne répartition de l'effort de compactage à la surface de chaque couche et du respect de l'épaisseur de celle-ci.

5.1.2.3 Contrôle et réception

Sauf dispositions différentes au PAQ, approuvées par le Maître d'Oeuvre, les valeurs de densité sèche en place, les modules de déformation et les valeurs de réflexions qui serviront de base au contrôle du compactage ne devront pas être inférieures à celles qui sont définies dans le tableau ci-après :

Couche Couches inférieures des

remblais Mètre supérieur des

remblais Pourcentage de la densité sèche

correspondant au PROCTOR normal égal ou supérieur à

95 % 98 %

Module de déformation à la plaque

EV2 > 50 Mpa EV2

et --- < 2 EV1

EV2 > 50 Mpa EV2

et --- <2 EV1

Dans le cadre de son PAQ, le contrôle de l'exécution des remblais comportera au minimum les essais suivants à la charge de l'Entrepreneur : − essais PROCTOR normal : 1 pour chaque type de matériau − mesures de la teneur en eau : en moyenne 1 pour 10000 m3 − mesures de la densité sèche en place : 1 pour 15000 m² pour chaque couche élémentaire et 1 par 10000 m² sur la couche supérieure − mesure à la plaque : 1 tous les 2000 m² sur la couche supérieure Sauf dispositions contraires du P.A.Q., approuvées par le Maître d'Ouvrage, le contrôle des densités sèches en place sera fait à l'aide de gammadensimètres. Le contrôle des portances sera fait à l'aide de dynaplaque. Coefficient de restitution supérieur à 50 Mpa. Le Maître d'Ouvrage fera effectuer les essais par un laboratoire dans le cadre du contrôle extérieur. Les tolérances d'exécution des profils et des talus seront les suivantes : − Niveau plateforme : ± 0,02 m − Talus : ± 0,05 m La pente maximum des bassins sera de 3H/2V

5.1.35.1.35.1.35.1.3 Réalisation de la plateforme bâtiment

La portance minimale à atteindre pour la plateforme bâtiment est : − Module EV2 : 50MPa − Rapport EV2/EV1 inférieure à 2 − Module de Westegaard K : 50MPa/m La surlargeur autour du bâtiment devra être de 3m minimum.

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Par ailleurs, l’entrepreneur devra tenir compte dans son prix de réalisation de plateforme, une remise à niveau avant la confection du dallage. Cela comprend aussi la fourniture éventuelle de matériaux d’apport.

5.1.45.1.45.1.45.1.4 Compactage du fond de forme des déblais

Les fonds de plate-forme de déblai doivent faire systématiquement l'objet d'un compactage. Sauf dispositions différentes au PAQ, approuvées par le Maître d'Oeuvre, ce compactage doit être conduit de façon à obtenir en tout point, sur une épaisseur de 0,30 mètres, une densité sèche au moins égale de : quatre vingt quinze pour cent (95 %) de l'Optimum Proctor Normal.

5.1.55.1.55.1.55.1.5 Prescriptions particulières

5.1.5.1 Purges Les purges jugées nécessaires en cours de travaux seront exécutées jusqu'à la cote fixée par le Maître d'Oeuvre, et le rattrapage de niveau se fera dans les conditions fixées au présent CAHIER DES CHARGES par apport de matériaux d'emprunt après acceptation du Maître d'Oeuvre. Le compactage sera exécuté de manière à obtenir une densité sèche du sol compacté au moins égale à quatre vingt quinze pour cent (95 %) du Proctor Normal sur une épaisseur de 0,30 m au moins. 5.1.5.2 Mode d'extraction En cours de déblaiement, l'Entrepreneur maintiendra un dévers transversal supérieur à cinq pour cent (5 %) afin d'éviter la stagnation des eaux ou le ruissellement longitudinal sur le fond de forme. Le réglage de l'arase terrassement sera exécuté juste avant la mise en œuvre de la couche de forme; En cas d'arrêt de chantier d'une durée supérieure à 4 heures, l'Entrepreneur devra prendre ses dispositions pour que la pente transversale de 5 % au niveau de la plate-forme de terrassement soit nivelée puis fermée au moyen d'un compacteur approprié.

5.1.5.3 Ouvrages rencontrés dans les fouilles

L’entrepreneur doit signaler au Maître d’œuvre les canalisations diverses, réseaux électriques, ouvrages de toutes natures rencontrés dans les fouilles. Il prendra les contacts nécessaires avec les propriétaires éventuels de ces ouvrages ou canalisations en vue d’arrêter en accord avec le Maître d’œuvre, les mesures à prendre pour la poursuite des travaux. Les canalisations et ouvrages hors service seront démolies et enlevés par les soins de l’entrepreneur.

5.1.65.1.65.1.65.1.6 Contrôles et compactage

Dans le cadre de son PAQ, le contrôle de l'exécution des remblais comportera au minimum les essais suivants à la charge de l'Entrepreneur : - essais PROCTOR normal : 1 pour chaque type de matériau - mesure à la plaque : 1 pour 500 m² 5.1.75.1.75.1.75.1.7 Les tolérances d'exécution des profils et des talus seront les suivantes : - Profil sous couche de forme : ± 0,02 m - Talus : ± 0,05 m

5.25.25.25.2 Description des travaux

5.2.15.2.15.2.15.2.1 Décapage de terre végétale

Sur terrain préalablement nettoyé, il sera procédé au décapage de la terre végétale sur l’emprise du chantier. Il tient compte du transport et de la mise en dépôt sur le site pour réemploi.

Aucune évacuation de terre végétale ne sera admise.

La zone de dépôt sera à faire valider par le maître d’œuvre.

La terre végétale pourra être criblée et les matériaux directement recyclés sur chantier

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Localisation : pour l’ensemble du projet.

5.2.25.2.25.2.25.2.2 Déblais / Remblais

Les mouvements de déblais / remblais doivent être équilibrés.

- Aucune évacuation de terres du site n’est admise.

- Aucun apport de terres provenant d’un autre site n’est admise

Localisation : pour l’ensemble du projet pour les bâtiments, les voiries, les allées, les merlons, les fossés, les noues, les bassins et les ouvrages spéciaux (cuves, séparateurs…).

5.2.35.2.35.2.35.2.3 Plateforme bâtiment

Dressement des plateformes pour le gros œuvre

Localisation :

- Stockage et zone process N0 : niveau –50cm sous le niveau fini du dallage

- Zone technique N0 : niveau -30cm sous le niveau fini du dallage

- Aire extérieure aéroréfrigérant : niveau -20cm sous le niveau fini du dallage

- Poste de transformation

5.2.45.2.45.2.45.2.4 Modelage paysager

Dressement, reprofilage et modelage des merlons et talus suivant les indications de l’architecte paysagiste.

Localisation : suivant plans, coupes et façades

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6. Voiries

6.16.16.16.1 Spécifications techniques 6.1.16.1.16.1.16.1.1 Liants hydrauliques 6.1.26.1.26.1.26.1.2 Grave non traitée Les dispositions du fascicule 23 du CCTG « Fournitures de Granulats employés à la Construction et à l’entretien des chaussées » sont applicables. Les granulats sont fournis par l’entrepreneur et devront recevoir l’agrément de la Maîtrise d’Oeuvre.

Caractéristiques normalisées

Les caractéristiques des granulats doivent être conformes aux spécifications de la norme NF 18 101 pour les catégories suivantes :

- catégorie D pour les caractéristiques intrinsèques des gravillons, - catégorie III pour les caractéristiques de fabrication des gravillons, - catégorie b pour les caractéristiques de fabrication des sables.

Caractéristiques complémentaires

a) Granularité La grave sera du type 0/31.5 ou 0/60. b) Indice de concassage L’indice de concassage Ic est supérieur ou égal à soixante (Ic ≥ 60) pour toutes les couches. c) Autres caractéristiques La sensibilité au gel devra être inférieure à trente pour cent (< 30%) ; La mise en œuvre de ces graves sera réalisée conformément aux stipulations correspondantes du SETRA et du Laboratoire des Ponts et Chaussées a) Le répandage sera réalisé de manière à limiter au maximum les phénomènes de ségrégation ( niveleuse à joues, matériaux humidifiés convenablement, limitation des passes de l'engin...) b) Les matériaux seront, si nécessaire, arrosés pour obtenir une meilleure maniabilité et permettre un compactage correct. Cet arrosage complémentaire sera réalisé au cours de la mise en œuvre pour obtenir une bonne homogénéité de la teneur en eau du matériau et une teneur en eau voisine de celle correspondant à l'OPM.

c) L'atelier de compactage sera adapté au matériau afin de permettre d'obtenir une compacité supérieure ou égale à 97% de la densité de référence pour au moins 50% des mesures. Le matériel sera choisi en fonction des listes d'aptitude du matériel de compactage (circulaire ME -DECR N° 77-168 du 23/11/77). L'atelier type de compactage étant constitué d'un cylindre vibrant et d'un rouleau à pneus lourds. Dans le cas d'une grave entièrement concassée avec une mise en œuvre en forte épaisseur, c'est le cylindre vibrant qui devra assurer l'essentiel du compactage.)

d) L'entrepreneur prendra toutes dispositions nécessaires pour protéger la surface de la couche mise en œuvre. Pour cela il entretiendra l'humidité de surface, si besoin est, par des arrosages légers mais fréquents ; il évitera toute circulation de véhicule de chantier et interdira la circulation de tout autre véhicule ; et il mettra en œuvre le plus rapidement possible la couche de base.

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e) Mise en œuvre manuelle Au cas où le dimensionnement des ouvrages ne permettrait pas l'emploi de niveleuse, et après accord du Maître d’œuvre, la mise en œuvre pourra être réalisée manuellement. Cependant, l'entrepreneur prendra toutes dispositions pour se rapprocher le plus possible des résultats demandés ci-avant. Le compactage restera mécanique, mais sera réalisé avec des engins adaptés. ( Matériel à faire agréer au maître d’œuvre avant toute exécution). 6.1.36.1.36.1.36.1.3 Grave traitée aux liants hydrauliques Granulats Les dispositions du fascicule 23 du CCTG « Fournitures de Granulats employés à la Construction et à l’entretien des chaussées » sont applicables. Les granulats sont fournis par l’entrepreneur et devront recevoir l’agrément de la Maîtrise d’Oeuvre.

a) Caractéristiques normalisées

Les caractéristiques des granulats doivent être conformes aux spécifications de la norme NF 18 101 pour les catégories suivantes : − catégorie D pour les caractéristiques intrinsèques des gravillons, − catégorie II pour les caractéristiques de fabrication des gravillons, − catégorie b pour les caractéristiques de fabrication des sables. b) Granularité La granularité des coupures utilisées pour les études et pour le chantier devra être soumise à l’agrément du Maître d’Oeuvre. La grave sera du type 0/20. c) Indice de concassage L’indice de concassage Ic est supérieur ou égal à soixante (Ic ≥ 60) pour toutes les couches. d) Autres caractéristiques − La sensibilité au gel devra être inférieure à trente pour cent (< 30%) ; − la friabilité des sables devra être inférieure à quarante (F.S. < 40) ; − les matériaux devront être exempts d’éléments crayeux. Liant routier Le liant routier sera un liant hydraulique spécial à usage routier au sens de la Norme NF P 98.115 et devra avoir reçu un avis technique favorable du SETRA. Le traitement devra faire l’objet d’une étude en laboratoire, de vérification de performances mécaniques et si nécessaire de la non gélivité. La mise en œuvres devra se faire lorsque la température ambiante sera supérieure à 5°C. Dosage et caractéristiques

Dosage : Le dosage pondéral en liant par rapport au mélange sec « grave + liant » est de 3 à 5%.

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Caractéristiques : L’étude de laboratoire à effectuer par l’Entrepreneur doit vérifier que les caractéristiques définies dans le tableau ci-après soit attentes :

FORMULATIONS

GRAVES LAITIER (1)

Laitier granulé 40/60 (a) ou laitier prébroyé (b)

Activant de prise (chaux ou phosphogypse)

8 à 20% (a) (2) 8 à 15% (b) (2)

0,8 à 1,2%

GRAVES CIMENT Ciment CLK 45 (3) 3 à 4% Retardateur de prise (5) si nécessaire pour conférer

GRAVES LIANT SPECIAL ROUTIER

Liants spéciaux routier (4) 3 à 5% un délai de maniabilité suffisant

(1) - Conforme à la norme NF P 98-118 (2) - Selon nature de l’activant de prise et réactivité des laitiers (3) - Conforme à la Norme NF P 15-301 (4) - conforme à la Norme NF P 98-122 (5) - Admis à la marque NF

CARACTERISTIQUES EXIGEES

COMPACITE A L’OPM

Grave laitier - Grave ciment - Grave liant spécial

> 0.80

CARACTERISTIQUES MECANIQUES

Les performances prises en compte sont la résistance à la traction Rt et le module élastique E à 360 jours, et peuvent être appréciées à partir d’essais réalisés à 28, 60 ou 90 jours, à partir des coefficients de correspondance ci-dessous.

(Fonction de la classe de la grave traitée en

Grave laitier Rt 90 j/Rt 360 j 0.70 E 90j/E 360 j 0.70

concordance avec le projet) Grave ciment Rt 28 j/Rt 360 j 0.60 E 28j/E 360 j 0.65

Grave liant spécial routier

Rt 60j/Rt 360 j 0.65 E 60j/E 360 j 0.70

DELAI DE MANIABILITE L’étude en laboratoire définira le délai de maniabilité, l’usage d’un retardateur de prise conforme à la norme NF P 98-115 étant autorisée.

6.1.46.1.46.1.46.1.4 Fabrication et transport La fabrication de grave traitée se fera exclusivement en centrale de malaxage continu. La centrale sera au moins de classe 2 et devra présenter les caractéristiques relatives à cette classe, décidées à l’Article 11.1 du fascicule 25 du C.C.T.G. La capacité de transport devra être adaptée au chantier de façon à assurer la marche continue de la centrale de malaxage et de l’atelier de mise en œuvre. Toute circulation sur la grave traitée sera proscrite jusqu’à l’achèvement de la couche de protection. 6.1.56.1.56.1.56.1.5 Mise en œuvre Les matériaux devront être régalés et compactés dans la limite du délai de maniabilité. Tout dépôt intermédiaire entre la centrale de fabrication et le lieu de mise en œuvre est interdit. La couche de grave traitée sera répandue en une seule fois à l’aide de niveleuse. La régularité de l’alimentation des engins étant un facteur prépondérant sur la qualité de la mise en œuvre, un léger excès de matériau au-dessus de la cote du projet et devant la bande de l’engin de répandage est indispensable. Le réglage sera effectué par rabotage superficiel suivi d’un compactage efficace. En aucune manière, il ne sera accepté d’opérations correctives de réglage, après le passage des engins de compactage.

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Les opérations de rabotage et de compactage devront impérativement être terminées avant la fin du délai de maniabilité du matériau, condition également nécessaire pour la réalisation et la mise en œuvre des matériaux rabotés. L’entrepreneur devra prévoir tous les moyens nécessaires pour obtenir un bon nivellement et assurer une bonne régularité de l’épaisseur. Un contrôle a posteriori devra être réalisé par l’Entrepreneur pour vérifier que les tolérances fixées au fascicule 25 du CCTG ne sont pas dépassées. En nivellement, on acceptera par rapport aux côtes théoriques de la surface une tolérance de ± 2 cm. La vérification de la régularité du surfaçage sera réalisée à l’aide de la règle de 3 mètres. Les flèches devront être inférieures à 1 cm. Une attention particulière devra être apportée par l’Entrepreneur pour la mise en œuvre en cas de forte chaleur. La couche support sera, si nécessaire, arrosée avant le répandage. Pour éviter le risque de dessiccation de la surface, pendant la mise en œuvre, un arrosage modéré mais fréquent et régulier à la rampe pourra être nécessaire. Aussitôt que possible après le compactage de la couche de grave traitée et au plus tard à la fin de chaque journée la surface maintenue humide devra être revêtue par un enduit de protection de type monocouche obtenue par pulvérisation d’une émulsion cationique de bitume (PH ≥ 4), suivi d’un gravillonnage à raison de 7 à 8 1/m² de gravillons 4/6. Du fait de la sensibilité de la grave traitée à un excès d’eau lors de la prise, la fabrication et le répandage devront être suspendus pendant des périodes pluvieuses et sur l’initiative de l’Entrepreneur à l’annonce de fortes pluies. La teneur en eau de fabrication devra régulièrement être ajustée suivant les conditions atmosphériques et les conditions de la mise en œuvre pour qu’au compactage elle soit la plus proche possible de la teneur en eau fixée au démarrage du chantier. L’atelier de compactage devra être composé au minimum d’un rouleau vibrant et d’un compacteur à pneu. Il devra permettre d’obtenir une masse volumique sèche moyenne supérieure ou égale à 98 % de la masse volumique sèche de référence de l’Optimum Proctor Modifié, 100 % des valeurs devront être supérieures à 95 % de la masse volumique sèche de l’OPM.

La fréquence des essais est de 1 essai pour 500 m². 6.1.66.1.66.1.66.1.6 Enduit de protection Liant hydrocarboné Sauf dispositions différentes du PAQ approuvées par le Maître d'Oeuvre, le liant hydrocarboné utilisé pour la réalisation de l'enduit de protection sera une émulsion de bitume cationique à SOIXANTE CINQ POUR CENT (65 %) de bitume, de pH supérieur à QUATRE (4) et à rupture rapide, telle que définie aux articles 1 et 2 de la troisième partie du fascicule 24 du Cahier des Clauses Techniques Générales (C.C.T.G.). L'Entrepreneur assure le contrôle de la fourniture des liants dans les conditions définies à l'article 24 du Cahier des Clauses Techniques Générales. Le Maître d'Oeuvre pourra, dans le cadre du contrôle extérieur, effectuer des essais de conformité aux spécifications demandées. Gravillons pour enduit de protection Les granulats issus d'alluvions calcaires sont interdits. Les gravillons seront de catégorie D II a Ils seront de classe granulaire: 4/10 et 6/10 Los Angeles <= 15 Micro Deval <= 10 Coefficient de Polissage Accéléré (CPA) >= 0.55 Rapport de concassage (RC) >= 2 Position du fuseau :

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Classe granulaire 4/6 : passant au tamis de 5 mm = 30 à 55% Classe granulaire 6.3/10:passant au tamis de 8 mm = 37 à 62% Classe granulaire 6.3/14:passant au tamis de 10 mm = 45 à 70% Classe granulaire 10/14:passant au tamis de 12.5 mm = 52 à 77% Dosage du monocouche

Un monocouche sera réalisé lors de la deuxième phase comme couche d’accrochage avant la réalisation des enrobés. Le dosage est donné à titre indicatif. Il appartient à l’Entrepreneur d’adapter le dosage au support réellement rencontré. Celui-ci est alors proposé à l’agrément du Maître d’œuvre.

Couches Liant kg/m² Granulométrie Dosages

granulométrie l/m²

1 1.500 6/10 9 à 10

6.1.76.1.76.1.76.1.7 Béton bitumineux Granulats a) Spécification Les spécifications des granulats s'appliquent à la technique routière des bétons bitumeux (B.B.) pour couches de roulement et couches de liaison. b) Provenance Les granulats proviendront pour chaque classe granulaire d'un même gisement choisi par l'entrepreneur et accepté par le Maître d'Oeuvre. Les granulats seront issus de roche massive (entièrement concassés). Toutefois, sous réserve de l'accord du Maître d'Oeuvre, l'introduction d'un sable roulé (sable provenant d'un gisement alluvionnaire) sera toléré dans une proportion de l'ordre de 10 % (par rapport au mélange minéral total). c) Caractéristiques Les matériaux définis par des seuils de granularité d/D seront utilisés et, compte tenu des possibilités de l'installation en matière de criblages des sables, l'une ou l'autre des compositions suivantes pourra être adoptée :

- pour le B.B. 0/6 : 0/2 - 2/6 ou 0/4 - 4/6

- pour le BBSG 0/10 : 0/2 - 2/6 - 6/10 ou 0/4 - 4/6 - 6/10

- pour la G.B. 0/20 : 0/2 - 2/6 - 6/10 - 14/20 ou 0/4 - 4/6 - 6/10 - 10/20 Les spécifications et les tolérances devront satisfaire à la norme P.18.101 sur les granulats pour chaussées. Si le sable possède une valeur de propreté inférieure à 60, il sera appliqué l'essai au bleu et la valeur de bleu (VB) devra être inférieure ou égale 1. Fines d'apport Ce matériau devra avoir une granularité telle que 80 % au moins des éléments passent au tamis de 0,08 mm et 100 % au tamis de 0,2 mm. La nature et la provenance de ces fines d'apport seront soumises à l'agrément du Maître d'Oeuvre.

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Liants hydrocarbonés Le liant utilisé pour la fabrication des bétons bitumineux sera un bitume tel qu'il est défini dans la 2ème partie du fascicule 24 du Cahier des Prescriptions Communes "Fournitures de liants hydrocarbonés employés à la construction et à l'entretien des chaussées" et conforme à la norme T65.001. Fabrication et transport La fabrication de béton bitumineux se fera exclusivement en centrale d’enrobage agréée par le Maître d’Oeuvre. La centrale sera au moins de niveau 2, tel que défini à l’Annexe 1 des Clauses Techniques du fascicule 27 du CCTG complété par la circulaire n° 9087 du 19 novembre 1990. Les centrales devront comporter une ou plusieurs trémie(s) de stockage de 100 tonnes de capacité minimale, avec possibilité de chargement direct. La capacité de fabrication qui devra être suffisante pour alimenter l’atelier de répandage retenu, sera soumise à l’acceptation du Maître d’Oeuvre. La précision du dosage des fines d’apport est de ± 5 %. Cette tolérance nécessitera deux silos de stockage des fines d’apport :

- l’une servant à la fabrication

- l’autre servant aux approvisionnements. Les trémies seront à dosage volumétrique pour les gravillons et les sables non filérisés et à dosage volumétrique à contrôle pondéral pour les sables filérisés. Le système d’alarme de tous les prédoseurs doit être tel que l’alarme sera déclenchée si :

- d’une part, le niveau des granulats s’abaisse en dessous du tiers inférieur du volume de la trémie,

- d’autre part, si la veine de matériau s’écoulant de la trémie se trouvait interrompue par quelque phénomène que ce soit (palpeur de veine).

A chaque changement de fabrication, les trémies de stockage des granulats chaudes seront entièrement vidangées. La température des enrobés à la sortie du malaxeur ne dépassera pas 180°C. Le mode de transport à soumettre à l’acceptation du Maître d’Oeuvre doit pouvoir permettre d’assurer la mise en œuvre des bétons bitumineux à une température supérieure à 130°C. En cas de pluie ou de température extérieure inférieure à 0°C, la mise en œuvre sera arrêtée. Mise en œuvre Le matériel de répandage et de compactage sera soumis à l’acceptation du Maître d’Oeuvre. En tout état de cause, les conditions de mise en œuvre seront conformes à la directive du SETRA-LCPC de novembre 1985. L’exécution éventuelle d’un reprofilage de la surface à revêtir et la catégorie utilisée pour ce reprofilage seront soumises à l’acceptation du Maître d’Oeuvre. Les couches d’accrochage seront répandues suivant les modalités soumises à l’acceptation du Maître d’Oeuvre. Comme dit précédemment, la température de répandage des enrobés sera supérieure à 130°C Toute intervention manuelle derrière le finisseur doit être réduite au minimum, en particulier l’apport d’enrobés jetés à la volée, est interdite. Les fins et débuts de chantier et les raccordements à la voirie latérale existante à caractère provisoire, fin de journée par exemple, seront réalisés en sifflet de façon à éviter les changements brusques de niveau. L’exécution de la couche de liaison s’effectuera avec un contrôle permanent en nivellement. Le répandage de la couche de roulement sera exécuté « vis calée ». L’atelier de compactage pour couches de roulement sera prévu « pneus en tête ». La pression de gonflage des pneumatiques sera adaptée cas par cas. L’atelier de compactage pour couche de liaison comprendra l’utilisation de rouleau vibrant. Les rouleaux vibrants utilisés seront du type :

- rouleaux monobilles avec billes motrices,

- rouleaux tandems avec deux billes motrices,

- rouleaux mixtes vibrant-pneus.

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Ils présenteront une masse par cm de génératrice inférieure à 35 kg et un moment des excentriques inférieur à 1 m kg. La largeur des billes sera supérieure à 1.80 m et la fréquence maximale compatible avec un fonctionnement normal de l’engin. La composition et les modalités de travail des ateliers de compactage incluant des rouleaux vibrants seront soumises à l’acceptation du Maître d’Oeuvre. L’atelier proposé sera soumis à une planche de référence permettant de s’assurer que dans les conditions normales d’avancement du chantier ses modalités de fonctionnement font apparaître sur 95 % des essais une compacité en place égale ou supérieure à 100 % de la compacité LCPC de référence. Fréquence : 1 essai pour 500 m². Le matériel de contrôle sera fonction des matériaux et de l’épaisseur des couches concernées. Les carottages, les nucléodensimètres type DR ou PSGM-GDF 30 devront être utilisés. Le matériel de contrôle sera identique au matériel utilisé pour les planches d’essais et de référence.

6.1.86.1.86.1.86.1.8 Dalles engazonnées alvéolaire Etape.1 Oter, transporter et stocker la couche de terre à extraire Caractéristiques du fond de forme : - Plan : Ecart admissible par rapport à la hauteur théorique : +/- 2cm - Portant : Compacter le sol de fondation, degré de compactage : 90% Dpr. Module de déformation Ev2 minimal de 10 MN /m2 Etape. 2 Egalisation et compactage par cylindrage d’une fondation fertile avec un mélange pierres concassées - terre végétale : 70% de pierres concassées d'un grain 2-32mm ou 2-40mm 30% de terre végétale (NF.U.44551) + 50 g /m2 d'engrais organique Epaisseur de couche 15 cm Etape .3 Mise en place du lit de pose constitué d'un mélange substrat : 60% de gravillons d'un grain 2-8 mm 40% de terre végétale (NF.U.44551) + 50 g /m2 d'engrais organique Epaisseur de couche : 3 à 5cm Etape .4 Revêtement à installer : système de dalles massives, 100% en matière plastique recyclée, avec important jointage périphérique Format : 400 mm x 800 mm x 60 mm Poids : env. 8 kg /pièce (env. 25 kg /m2) Résistance à la compression : 10N /mm² Aide à la pose : filet fin (Fournisseur Sol & Aire) Etape .5 Matérialisation des places de stationnement par insertion de pavés béton dans les alvéoles des dalles, minimum deux pavés de large pour une bonne visibilité. Coloris : rouge, gris, anthracite ou jaune pierre, au choix du maitre de l’ouvrage Dimensions : 74 mm x 74 mm x 48 mm 20 pavés par mètre linéaire de marquage. (Pour 2 pavés de large) Etape.6 Remplissage des dalles avec le substrat de composé de : 25% de sable 0-2 mm 25% de graviers ronds et fins 2-4 mm 50% de terre végétale (NF.U.44551) + 50 g /m2 d'engrais organique Etape.7

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Ensemencement de la surface installée en dalles à engazonner avec le mélange de semences prêt à l’emploi ou équivalent de type RSM 5.1 « Gazon pour parking » Etape.8 Arrosage des surfaces ensemencées Quantité pour chaque opération jusqu'à émergence : 7 L/m2 Quantité pour chaque opération après émergence : 15 L/m2 Etape.9 Tondre le gazon des dalles Hauteur de croissance de 6 à 10 cm Hauteur de coupe : 4 cm

6.1.96.1.96.1.96.1.9 Pavés

6.1.9.1 Demande d’agrément L’acceptation de la provenance des pavés aura lieu au vu des échantillons remis lors de la demande d’agrément durant la période de préparation de chantier. Les échantillons deviennent des éléments contractuels auxquels on se référera pour contrôler la continuité de la fourniture. Toute modification des caractéristiques des produits par rapport aux documents du Contrat doit être justifiée et réalisée en accord avec le maître d’œuvre. Chaque pavé soumis à l’agrément du maître d’œuvre devra être accompagnée d’une fiche d’identité engageant le fournisseur comportant les informations suivantes : - Le nom et l’adresse des fournisseurs, - Le nom commercial de la pierre, - La nature pétrographique de la pierre, la pays et la commune d’extraction, - La référence d’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploitation de carrière ou équivalent pour les pays

étrangers, - Les caractéristiques d’aspect et de tolérances dimensionnelles, - Les caractéristiques physiques et mécaniques au travers de rapport d’essais à savoir :

- Un essai de résistance à la compression selon la norme NF B 10-509 - Un essai à la résistance à la rupture par flexion des dalles selon la norme XP B 10601 - un essai de gélivité direct selon la norme NF B 10-513 - un essai de la mesure de la vitesse de propagation du son, - un essai d’usure au disque métallique selon la norme NF B 10-508

6.1.9.2 Réception La livraison des produits doit être accompagnée d'un bon de livraison qui comporte obligatoirement les indications suivantes : - le nom du fournisseur ; - l'adresse de l'usine de transformation; - la nature, le type et la quantité des produits livrés ; - la date d'enlèvement et le lieu de livraison ; - le poids total du chargement ; - le poids des matériaux conditionnés en vrac, en cas de conditionnements variés ; - la référence de la commande (ceci pour faire le lien avec les caractéristiques d'identité). Une fois la totalité des produits livrée sur chantier, il sera procédé au prélèvement aléatoire de trois échantillons sur chaque lot différent en présence du maître d’œuvre. Ces échantillons seront identifiés à l’encre indélébile et inscrit au procès verbal de réception des produits. Un lot correspond obligatoirement à une même fiche d'identité. Ils suivront les contrôles aspect et de dimension normalisés et seront envoyées à un laboratoire indépendant agrée par le maître d’œuvre pour les contrôles des caractéristiques physiques et mécaniques détaillés précédemment.

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Les lots seront acceptés pour la pose une fois les résultats du laboratoire obtenus et positifs. En cas de non-conformité, l’Entrepreneur devra prendre toutes les mesures pour se conformer aux prescriptions techniques du présent cahier des charges. Aucun délai supplémentaire ne sera accorder suite à des refus de lot.

6.1.106.1.106.1.106.1.10 Matériaux pour lit de pose

Les pavés granit seront posés sur un lit de mortier de sable dosé à 350 kg /m3 de ciment additionné d’un adjuvant tel que le SIKALATEX ou équivalent. Les caractéristiques du sable seront conformes à la norme NF P18-101. Leur granularité est comprise entre 0/3,15 et 0/6,3 ; leur teneur maximale en fines est de 15 % et leur propreté est telle que PS > 50. La taille maximale des gravillons entrant dans la confection du béton est de 14 mm. Le mortier est fabriqué par malaxage mécanique et approvisionné au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Tout mortier ayant séché ou ayant commencé à faire prise doit être mis en dépôt et évacué. Les pavés béton seront posés sur un lit de sable conforme à la norme P 18-101. Leur granularité est comprise entre 0/3,15 et 0/6,3 ; leur teneur maximale en fines est de 15 % et leur propreté est telle que PS > 50.

6.1.116.1.116.1.116.1.11 Matériaux de jointoiement

6.1.11.1 Mortier

Les pavés granit seront jointoyé au coulis de mortier 0/2 dosé à 500 kg/m3 de ciment (CPA-CEM I 42.5) additionné d’un adjuvant tel que le sikalatex ou équivalent et d’un adjuvant plastifiant tel que le sikament 90 MF ou équivalent.

Les caractéristiques du sable seront conformes à la norme NF P18-101.

Leur granularité sera de 0/2 et leur teneur maximale en fines est de 10 %.

Le coulis est fabriqué par malaxage mécanique et approvisionné au fur et à mesure de l’avancement des travaux. 6.1.11.2 Sable Les sables seront de type quartz porphyre de granulométrie 0/2. Les sables sont conformes à la norme P 18-101. Le pourcentage de fines est > 10 %. Les sables homométriques (monogranulaires) sont interdits


6.2.16.2.16.2.16.2.1 Voirie Lourde

Le dimensionnement de voirie pour PL devra respecter l’étude de sol jointe au présent dossier : - Géotextile classe 4 150g/m² - 40 cm GNT 0/31.5 ou béton concassé 0/31.5 (dans le cadre du HQE) - 7 cm GB 0/14 Cl 3 R20 (20% otogrégats recyclés) fabrication à basse température - 5 cm BBSG 0/10 Cl 3 R20 (20% otogrégats recyclés) fabrication à basse température Gravillon calcaire pour éviter les ou achements dans les zones de giration.

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Revêtement : Enrobé ou enrobé à liant végétal en option Localisation : Suivant plan masse : circulations principales hors parkings

6.2.26.2.26.2.26.2.2 Voirie Légère

Le dimensionnement de voirie pour PL devra respecter l’étude de sol jointe au présent dossier : - Géotextile classe 4 150g/m² - 40 cm GNT 0/31.5 ou béton concassé 0/31.5 - 5 cm BBSG 0/10 Cl 3 R20 (calcaire)

Revêtement : Enrobé ou enrobé à liant végétal en option Localisation : Suivant plan masse

6.2.36.2.36.2.36.2.3 Parking engazonné

Revêtement : Dalle de gazon alvéolaire. Structure : - Géotextile classe 4 150g/m² - 30 cm de cailloux calcaire 20/40 ou bollost (HQE) - 20 cm de GNT 0/31.5 - Dolle pré engazonnée type EVERGREEN

La matérialisation des places se fera par l’insertion de deux rangs pavés s, coloris au choix du maitre de l’ouvrage. Cela comprend également l’engazonnement, l’arrosage, l’entretien pendant les deux premières tontes. Revêtement : Enrobé à liant végétale pour les places handicapées, délimitation en bordurette P1, comprise Localisation : Suivant plan masse

6.2.46.2.46.2.46.2.4 Allée piétonne accessible aux personnes handicapées

- Géotextile - 30 cm de GNT 0/31.5 ou béton concassé - 4 cm de BBSG 0/6 ou 4 cm d’enrobé de couleur avec liant végétal

Localisation : zone de circulation PMR : parvis de l’écothèque, l’ensemble des allées piétonnes de liaison vers les parkings, les 2 portillons et les bassins

6.2.56.2.56.2.56.2.5 Voie d’entretien (Bassins)

- Géotextile - 30 cm de GNT 0/31.5 ou béton concassé - 7 cm de sable stabilisée traité à 3% de liant hydraulique

Localisation : Suivant plan masse (Sente stabilisée)

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6.2.66.2.66.2.66.2.6 Chemin de ronde


Localisation : Suivant plan masse le long des clôtures

6.2.76.2.76.2.76.2.7 Chemin en pas d’âne

- Géotextile - 30 cm de GNT 0/31.5 ou béton concassé - 7 cm de sable stabilisée traité à 3% de liant hydraulique - Marche en rondin de bois non traité

Localisation : Suivant plan masse à proximité du bassin tampon

6.2.86.2.86.2.86.2.8 Allée piétonne stabilisée


Localisation : Suivant plan masse 6.2.96.2.96.2.96.2.9 Option : Pavés

Pavés : granit de couleur gris clair en finition éclatée toutes faces de dimension 14x14x14.

Localisation : allées piétonnes accessibles aux personnes à mobilité réduite - Option 1 : parvis de l’écothèque - Option 2 : parvis de l’écothèque et les allées piétonnes de liaison vers les parkings et les

2 portillons d’accès au site - Option 3 : zone de circulation PMR : parvis de l’écothèque, l’ensemble des allées

piétonnes de liaison vers les parkings, les 2 portillons et les bassins

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7. Bordures en béton

7.17.17.17.1 Spécifications techniques Les bordures seront constituées par des éléments préfabriqués en béton de ciment de type. Les bordures normalisées devront répondre aux spécifications du fascicule 31 du CCTG ainsi qu’à celles des normes visées par ledit fascicule. Elles devront appartenir à la classe A + R : contrainte de référence à la rupture 10 Ma. Les bordures devront être conformes à la norme P98-340 de mars 2004. Les éléments préfabriqués pour alignement droit ne seront pas inférieurs à 0.75 m de longueur. Ils ne devront pas être employés avant les 28 jours suivant leur fabrication. Le béton de pose sera du B 16. Les bordures et caniveaux seront posées sur une semelle en béton de dix centimètres (10 cm) d’épaisseur et épaulées par un gousset en béton de 10 cm d’épaisseur; Le béton d’épaulement devra être coulé avant prise de la semelle.


7.2.17.2.17.2.17.2.1 T2+CS1

Localisation : le long des voiries et parkings tel qu’indiqué sur le plan masse.

7.2.27.2.27.2.27.2.2 P1

Localisation : le long des trottoirs et chasse-roue tel qu’indiqué sur le plan masse.

7.2.37.2.37.2.37.2.3 P1 Impluvium

Localisation : le long des façades en contact avec les espaces verts tel qu’indiqué sur le plan masse.

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8. Tranchée pour réseaux divers


8.1.18.1.18.1.18.1.1 Fouilles

Les fouilles seront implantées avant exécution et matérialisées sur le terrain : marquage à la chaux, cordeau, chaises... Les terrassements sont effectués soit mécaniquement, soit à la main et auront les dimensions minimales compatibles avec la constitution des ouvrages. La profondeur de la tranchée respecte le profil en long des canalisations en tenant compte du lit de pose de 0.10 m minimum. L'Entrepreneur devra assurer, à ses frais, les blindages nécessaires, le détournement d'eau et les épuisements éventuels, ainsi que leur signalisation et leur protection contre les risques de chutes. La longueur des tranchées pouvant rester ouverte sans remblaiement est fixée à 50 mètres mais devront être impérativement fermées en fin de journée. Les fonds de fouilles seront énergiquement damés et réglés suivant la pente des ouvrages. Des niches seront également aménagées dans le fond de fouille à l'emplacement des joints de manière à ce que les tuyaux portent sur toute la longueur et non sur les joints et aux points singuliers pour emplacement des joints et appareils de robinetterie et autres. Les produits des fouilles devront être évacués en décharge. Les purges jugées nécessaires en cours de travaux seront exécutées jusqu'à la cote fixée par le Maître d'Oeuvre, et le rattrapage de niveau se fera dans les conditions fixées au présent CAHIER DES CHARGES par apport de matériaux d'emprunt après acceptation du Maître d'Oeuvre. 8.1.1.1 Contrôle et réception Les fonds de fouilles seront réceptionnés par le Maître d'Oeuvre. Ils devront vérifier les caractéristiques suivantes : - densité supérieure à 95 % de l'Optimum Proctor Normal. Les niveaux des fonds de forme devront respecter les cotes théoriques avec une tolérance de ± 0,03 m. En plan, la tolérance sera de ± 0,05 m. 8.1.1.2 Assèchement des fouilles et épuisements L'Entrepreneur prendra sous sa responsabilité toutes les précautions nécessaires pour préserver les fouilles contre les eaux de surface et les eaux souterraines et éviter tout danger d'accidents. Si nécessaire à la bonne tenue des fouilles, il réutilisera des matériaux de déblai pour constituer des bourrelets d'arrêt d'eau provisoires de 0,30 mètre de hauteur. L'Entrepreneur sera responsable de tous les dommages pouvant être occasionnés du fait de l'évacuation des eaux; les épuisements éventuellement nécessaires font partie de l'Entreprise et seront à la charge de l'Entrepreneur.

8.1.28.1.28.1.28.1.2 Remblaiement des tranchées

8.1.2.1 Provenance et spécification des matériaux

Les matériaux pour comblement des fouilles et pour remblais contigus aux ouvrages d'écoulement des eaux seront constitués de grave tout venant soumis à l'agrément du Maître d'Oeuvre.

8.1.2.2 Mise en œuvre et compactage Le remblaiement des fouilles sera exécuté par couche de VINGT centimètres (20 cm) d'épaisseur. Chaque couche sera méthodiquement compactée avec un engin mécanique à l'exception de la première couche située au-dessus de la génératrice supérieure des tuyaux.

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8.1.2.3 Contrôle et réception Les remblaiements des fouilles devront répondre aux prescriptions suivantes à tous les niveaux : - densité supérieure à quatre vingt quinze pour cent (98.5 %) de l'Optimum Proctor Modifié.

8.1.38.1.38.1.38.1.3 Fourreaux et grillage avertisseur de protection

Limites de prestation : Tranchées, fourreaux, chambres, etc… depuis la limite de propriété jusqu'à l'intérieur du bâtiment. Les fourreaux mis en place seront conformes à la norme NF P98-332 de février 2005. Ils seront en : - TPC de couleur rouge annelée à l’extérieur, doublés d’un tube lisse à l’intérieur pour les réseaux

électriques, - PVC marqués LST conforme à la norme NF T 54-018 diamètre 42/45 pour réseaux

télécommunications. Le dispositif avertisseur sera constitué par un grillage détectable de couleur normalisée recouvert d’un revêtement plastique. Il pourra éventuellement être en matière synthétique sous réserve d’être semi-rigide et de présenter les mêmes garanties que le grillage défini ci-dessus. Il sera placé à 0,20 m au-dessus des fourreaux et aura la largeur de la tranchée. Tous les fourreaux reçoivent un enrobage béton en traversée de chaussée. Les fourreaux seront rectilignes entre les chambres de tirage. Les fourreaux couvriront 70% des besoins actuels.


Tranchées communes pour :

- Electricité BT

- Electricité TBT

- Vidéo surveillance

- Anti intrusion

- Commande de portails

- Interphonie

- Eclairage extérieur

- Télécom

- Fibre optique

- Adduction d’eau potable

- Adduction d’eau de pluie

Localisation : suivant plans

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9. Adduction d'eau


9.1.19.1.19.1.19.1.1 Etudes spécifiques

L’entreprise a en charge le calcul du coup de bélier dans le réseau de distribution d’eau potable sur la base d’hypothèses qui seront définies en accord avec le Maître d’Oeuvre. Le calcul sera effectué pour chacune des phases intermédiaires du projet, jusqu’à l’extension maximale connue au moment du calcul. Un logiciel de simulation de réseau sera obligatoirement utilisé pour ces calculs.

9.1.29.1.29.1.29.1.2 Tuyaux et raccords

1) Les canalisations enterrées d’eau brute et de distribution d’eau potable sont constituées de tuyaux à emboîture à joint standard.

Les canalisations enterrées d’eau brute et de distribution d’eau potable seront en :

− Fonte ductile à raccords EXPRESS pour les conduites de diamètre 200, − PEHD série Bande Bleue 12.5 Bars pour la conduite de diamètre 160 et 110. En remplacement des joints EXPRESS, les joints à brides ou type EXPRESS Vi ou équivalent, permettant la réalisation de canalisations autobutées ou canalisations à butées béton, seront employés dans les cas suivants : − lorsque l’implantation des butées en béton armé n’est pas possible, − au choix de l’entrepreneur, avec autorisation du Maître d’Oeuvre, − sur imposition du Maître d’Oeuvre, sans limitation des quantités à installer, dans les zones ou la densité des réseaux l’impose. Les joints collés et les joints soudés ne sont pas admis. Toutes les boulonneries seront protégées par une bande grasse type DENSOFLEX. Les plans guides comportent symboliquement des butées béton à tous les changements de direction afin de rappeler la fonction de « reprise des effets de fond » : le choix butée béton ou canalisation autobutée sera effectué au cours de l’étude de détails, avec l’accord du Maître d’Oeuvre dans tous les cas. 2) Les tuyaux de diamètre inférieur ou égal à 40 mm seront en PEHD série Bande Bleue 16 Bars. Les tuyaux répondent aux spécifications suivantes : − revêtement intérieur : mortier de ciment centrifugé, − revêtement extérieur : zinc et époxy, − utilisation de raccords spéciaux dans la même gamme, pour tés à deux emboîtures et tubulure à bride, bride-emboîtement, etc. 3) Les pièces de raccord seront : − En fonte à emboîture express de type SOFO ou similaire pour les conduites en fonte, − En laiton pour les canalisations en PEHD . Seront inclus dans les prix du mètre linéaire de canalisation les différentes butées et cavaliers en béton à réaliser aux coudes, cônes, té et autres pièces de raccordement. Ces butées seront dimensionnées en fonction des calculs du fabricant en tenant compte de la nature du terrain, de la pression dans les tuyaux et autres paramètres intervenant au cours du fonctionnement.

9.1.39.1.39.1.39.1.3 Ventouses

Les canalisations d’eau brute et de distribution d’eau potable et incendie sont protégées par ventouses réalisant :

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− l’évacuation automatique de l’air lors de la mise en eau de la canalisation, − le dégazage permanent, − l’admission d’air à grand débit lors de la vidange de la canalisation pour éviter sa mise en dépression. Les ventouses répondent aux spécifications suivantes : − type ventouse trois fonctions, − DN 100, − PMA 10 bars. Les ventouses sont montées sur tés et sont situées située dans un regard de Ø 1000 mm en béton préfabriqué fermé par un tampon de diamètre 850 mm type PAMREX ou similaires. Chaque point haut des canalisations installées est équipé d’une ventouse.

9.1.49.1.49.1.49.1.4 Vidanges

Chaque point bas des canalisations installées est équipé d’une vidange raccordé à un regard de visite d’eau pluviale constituée par : − un té de vidange à tubulure DN 60 à bride, − un robinet-vanne EURO 20 à bride, − une conduite PEHD DN 80 raccordée au réseau d’eau pluviale, − les raccords intermédiaires nécessaires entre ces éléments, − une butée de reprise des effets de fond, − bouche à clef carré TOTALE en fonte GS de chez Pont à Mousson ou similaire.

9.1.59.1.59.1.59.1.5 Pose des canalisations

La pose des canalisations peut être entreprise qu'après réception du fond de fouille par le Maître d'œuvre ou son représentant. L'entrepreneur est tenu de se conformer aux articles intéressés du fascicule 71 du C.C.T.G. 9.1.5.1 Lit de pose

Les canalisations sont posées sur un lit de pose en fond de fouille d'une épaisseur de 0.10 m.

Le lit de pose est constitué de sable de rivière ou éolien. 9.1.5.2 Pose des canalisations

Les robinets vannes, vannes de branchement, robinets d'arrêt en tranchée sont maintenus par des patins ou berceaux immobilisés par scellement sur un massif de fondation.

Le raccordement à la canalisation est réalisé systématiquement avec un joint de démontage entre bride du robinet vanne et bride de la pièce de raccord. Les bouches à clé sont montées de façon à respecter la verticalité de la tige de manœuvre. Le tube allonge est maintenu pendant les opérations de remblaiement. La tête de bouche à clé est posée au niveau de la couche de surface future avec protection sous accotement et trottoirs non revêtus par un massif en béton (ou collerette préfabriquée). La mise en place des canalisations est réalisée conformément aux préconisations du fabricant.

Les éléments sont descendus sans heurt dans la tranchée et présentés dans l’axe de l’élément précédemment posé. Les extrémités à emboîter sont soigneusement inspectées et nettoyées.

L'entrepreneur prend toutes dispositions pour que les tuyaux soient posés avec une pente régulière et avec un tracé rectiligne. Au niveau des joints, il est procédé à la réalisation d'une niche.

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A chaque arrêt de travail, les extrémités des tuyaux sont obturées pour éviter l'introduction des corps étrangers. 9.1.5.3 Assise et enrobage de la canalisation

Le remblaiement avec le même matériau que le lit de pose est poursuivi jusqu'à hauteur de 0.15 m au-dessous de la génératrice supérieure.

Le matériau est soigneusement poussé sous les flancs de la canalisation et damé de façon à éviter tout mouvement de la canalisation et lui constituer une assise efficace. Au-dessus de l'assise, le remblai et le damage sont poursuivis par couches successives de 0.10 m d'épaisseur symétriquement puis uniformément jusqu'à la hauteur de 0.15 m au-dessus de la génératrice supérieure. Le dispositif avertisseur sera constitué par un grillage détectable de couleur normalisée recouvert d’un revêtement plastique placé à 0,40 m au-dessus de la génératrice. 9.1.5.4 Canalisations 1) Les tuyaux de diamètre strictement 100/110 mm seront en PEHD série Bande Bleue 16 Bars. 2) Les tuyaux de diamètre intérieur inférieur ou égal à 20/25 mm seront en PEHD série Bande Bleue 16 Bars. 3) Les pièces de raccord seront en laiton pour les canalisations en PEHD. 4) Seront inclus dans les prix les différentes butées et cavaliers en béton à réaliser aux coudes, cônes, té et autres pièces de raccordement. Ces butées seront dimensionnées en fonction des calculs du fabricant en tenant compte de la nature du terrain, de la pression dans les tuyaux et autres paramètres intervenant au cours du fonctionnement. Les canalisations seront comptées en mètre linéaire réel. Le prix unitaire tiendra donc compte de l'incidence des pièces de raccordement (té, coudes, raccords, etc..) ainsi que des butées en béton.

9.1.69.1.69.1.69.1.6 Pose de la robinetterie

Les robinets vannes, vannes de branchement, robinets d'arrêt en tranchée sont maintenus par des patins ou berceaux immobilisés par scellement sur un massif de fondation. Le raccordement à la canalisation est réalisé systématiquement avec un joint de démontage entre bride du robinet vanne et bride de la pièce de raccord. Les bouches à clé sont montées de façon à respecter la verticalité de la tige de manœuvre. Le tube allonge est maintenu pendant les opérations de remblaiement. La tête de bouche à clé est posée au niveau de la couche de surface future avec protection sous accotement et trottoirs non revêtus par un massif en béton (ou collerette préfabriquée).

9.1.79.1.79.1.79.1.7 Butées et ancrages

Les butées et ancrages seront calculés par l'entrepreneur en fonction du tracé définitif reconnu des opérations de piquetage et soumis au visa du maître d'œuvre.

Les efforts résultant de la pression du fluide sont repris par des massifs béton ancrés dans le sol. Les butées sont installées:

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• à chaque extrémité de conduite, • à chaque changement de direction ou de diamètre, • à chaque dérivation.

Les réseaux enterrés sont conçus pour une pression maximale en service de 8 bars.

La pression d’épreuve est égale à la pression en service majorée de 50% suivant article 76.5 du Fascicule 71. Le dimensionnement des butées est basé sur la pression d’épreuve des réseaux, éventuellement augmentée de la pression due à la différence d’altitude entre le point de mesure de la pression d’épreuve et la butée considérée.

9.1.89.1.89.1.89.1.8 Essai hydraulique

Ces essais seront réalisés suivant les prescriptions du fascicule 71 traitant de la fourniture et pose des canalisations d'eau dans le cadre des marchés publics. Les extrémités du tronçon à essayer sont équipées de plaques pleines dotées : • à l’extrémité haute, d’un orifice avec robinet, placé vers le haut, pour la purge d’air, • à l’extrémité basse, d’un orifice avec robinet, placé au centre ou en bas, pour le raccordement à la

pompe et le remplissage. Les butées provisoires destinées à tenir la canalisation pendant l’essai, sont calculées, fournies et posées par l’entreprise. La pression d’épreuve est appliquée pendant une durée de 30 minutes sans que la diminution de pression soit supérieure à 0,2 bars. La pression d'essai sera donc de 1,5 fois la pression nominale lorsque celle ci est inférieure à 10 bars et majorée de 5 bars quand la pression de service est supérieure à 10 bars (la pression d'essai ne sera jamais inférieure à 8 bars). Après l’essai hydraulique, l’entreprise vérifie le serrage de tous les boulons des joints et les resserre selon spécifications du fabricant, avec utilisation d’une clé dynamométrique exclusivement. Les essais seront réalisés sur l'ensemble des conduites. Cet essai sera réalisé en présence d'un représentant technique du maître d’ouvrage ou du Maître d’œuvre.

9.1.99.1.99.1.99.1.9 Mise en service

Après essai hydraulique et fin du remblayage, les canalisations sont stérilisées puis rincées et remplies à fort débit. Les raccordements provisoires pour rejet de l’eau de lavage sont fournis et posés par l’entreprise (évacuation vers les eaux pluviales ou le milieu naturel). Avant mise en service, les réseaux de distribution d’eau potable sont stérilisés dans les conditions prévues à l'article 84 du fascicule 71 du C.C.T.G. et des dispositions de la circulaire du 15 mars 1962 modifiée par la circulaire du 8 septembre 1987 intitulée "Eaux alimentaires et glace alimentaire" de Monsieur le Ministre de la Santé Publique. L’entreprise fournit les matériels de préparation et d’injection de réactif stérilisant, ainsi que les produits consommables. La circulation est maintenue dans tous les tronçons de canalisation pendant toute la durée de l’opération. Des échantillons sont prélevés à chaque extrémité de réseau et envoyés en laboratoire pour analyses. Les analyses sont à la charge de l’entreprise. L’opération de stérilisation pourra prendre fin dès que tous les points de prélèvement seront stérilisés et que l’eau livrée sera de qualité « potable ».

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9.2.19.2.19.2.19.2.1 Fonçage sous R227 et raccordement sur existant

Les raccordements sur le réseau existant comprennent toute prestation et fourniture (terrassement, pièces et vanne de sectionnement, tés, tabernacle,…) nécessaire à la réalisation complète et conforme du projet.

L’entrepreneur se rapprochera du service concessionnaire avant toute intervention. Le raccordement devra se faire obligatoirement sans interruption de la distribution d’eau potable et devra donc intégrer tous les dispositifs pour maintenir le réseau en service.

La prestation comprend le fonçage sous la chaussée publique RD 227

Localisation : liaison entre la limite de propriété et la canalisation publique DN 125

9.2.29.2.29.2.29.2.2 Regard et comptage

Fourniture et mise en place d'un regard destiné à recevoir les 2 compteurs d'eau, le disconnecteur et les vannes (les compteurs, les vannes, seront mis en place par le présent lot). Dimensions suivant encombrement du matériel et les exigences du concessionnaire des eaux dont dépend le projet. L'entreprise prendra contact auprès du service concessionnaire pour coordination. Description du regard : - Profondeur 1.50 m minimum. - Couverture par dalles béton avec tampons fonte légère, - Echelons pour accès au fond de regard. - Raccordement du regard sur le réseau EP (pour évacuer les eaux en cas de fuites) Fourniture et pose d'un compteur de DN 100 (Conforme aux exigences du concessionnaire) avec disconnecteur sur la canalisation y compris toutes les pièces et vannes de raccordement, purge pour un parfait fonctionnement pour l’alimentation du bâtiment. Fourniture et pose d'un compteur de vitesse DN 100 (Conforme aux exigences du concessionnaire) avec disconnecteur sur la canalisation y compris toutes les pièces et vannes de raccordement, purge pour un parfait fonctionnement pour l’alimentation de la citerne incendie.

Localisation : en limite de propriété suivant plan

9.2.39.2.39.2.39.2.3 Distribution

Canalisation PEHD DN 100

Tés

Vannes

Regards de visite

Localisation :

depuis le regard compteurs d’eau :

- bâtiment (local N0-23)

- citerne incendie

- citerne eau de récupération de pluie

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10. Electricité / Eclairage extérieur / Vidéo surveillance


10.1.110.1.110.1.110.1.1 Fourreaux

Les fourreaux mis en place seront conformes à la norme NFC 68.171 de février 1988.

Ils seront en :

- TPC de couleur rouge annelée à l’extérieur, doublés d’un tube lisse à l’intérieur de diamètre 160 mm pour les réseaux électriques (alimentation des illuminations pour le réseau d’éclairage public et EDF),

- TPC de couleur jaune de diamètre 200 mm pour le réseau gaz,

- PEHD noirs à bande verte pour le passage des câbles en fibre optique,

- PVC marqués LST conforme à la norme NF T 54-018 diamètre 42/45, 41/45, 56/60 et 75/80 mm pour réseaux télécommunications. Ils sont aiguillés au fur et à mesure des essais de calibrage.

Le dispositif avertisseur sera constitué par un grillage détectable de couleur normalisée en acier recouvert d’un revêtement plastique. Il pourra éventuellement être en matière synthétique sous réserve d’être semi-rigide et de présenter les mêmes garanties que le grillage défini ci-dessus. Il sera placé à 0,20 m au-dessus des fourreaux et aura la largeur de la tranchée.

Tous les fourreaux reçoivent un enrobage béton en traversée de chaussée.

Ils sont aiguillés au fur et à mesure des essais de calibrage.

10.1.210.1.210.1.210.1.2 Chambres de tirage

Les chambres de tirage sont de type normalisé LT, conforme à la norme NF P 98-050 avec couverture par cadre et trappe en fonte ductile de classe 250 kN sous accotement et 400 kN sous chaussée. Elles seront posées sur un lit de béton frais d’assise.

Fourniture de chambres de tirage et pose environ 1 tous les 40 ml, aux changements de direction et chaque fois que nécessaire.

Dans le cas de raccordement sur chambre, prévoir les percements, la mise en place des fourreaux, les calfeutrements, et la réfection de l'enduit extérieur.

Dans le cas de raccordement sur bâtiment, prévoir les attentes (ou percements), la mise en place des fourreaux, les calfeutrements, et la réfection de l'enduit extérieur.

Toutes les chambres sont équipées d’anneaux de tirage des câbles et de consoles de support des câbles.

Le fond de regard devra être drainé pour éviter toute stagnation d’eau.

Aux arrivées dans les chambres, les tubes seront enrobés de béton sur le dernier mètre, écartés de 0.03 m les uns des autres, disposés en nappes horizontales et obturés.

10.1.310.1.310.1.310.1.3 Massifs de fondation

Les massifs de fondation seront construits en béton coulé en place ou préfabriqués. Il est précisé que les massifs doivent être coulés en une seule fois, l'accès des câbles à l'intérieur des fûts étant réalisé par des gaines de 40 mm de diamètre intérieur. Les dimensions des massifs seront soumises au Maître d'Oeuvre.

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Les massifs seront en béton dosé à 400 kg de CPJ. Les candélabres y seront fixés par l'intermédiaire de quatre tiges à scellement qui seront noyées dans les massifs lors de leur confection, leur écartement devra être maintenu en cours de coulée par un gabarit spécial confectionné par l'entrepreneur.


10.2.110.2.110.2.110.2.1 Fourreaux et chambre de tirage

Liaison vers portail et portillon RD 227

- Commande de portail

- Interphonie


- Anti intrusion

- Contrôle d’accès

Liaison vers portillon RD 960

- Interphonie


- Anti intrusion


Liaison vers barrière levante

- Commande de barrière

- Interphonie



Liaison vers laboratoire

- Télécom

- Fibre optique

- Electricité BT

Liaison vers zone humide (bassin)

- Electricité BT

- Télécom

Liaison vers citerne incendie

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- Electricité BT

- Télécom

Liaison vers citerne eaux pluviales

- Electricité BT

- Télécom

Liaison suivant l’éclairage extérieur

- Vidéo surveillance le long des candélabres

- Anti intrusion

- Eclairage extérieur

Liaison borne de recharge voiture


10.2.210.2.210.2.210.2.2 Chambre de tirage télécom

L4T

Localisation : en limite de propriété

10.2.310.2.310.2.310.2.3 Passage sous RD960

Fonçage

Liaison vers le laboratoire

- Télécom

- Fibre optique

- Electricité HTA

Localisation : entre la limite de propriété « écothèque » et une chambre de tirage existante en limite de propriété « laboratoire »

10.2.410.2.410.2.410.2.4 Massifs

Massifs pour drapeaux

Massifs pour candélabres

Massifs pour bornes lumineuses le long des cheminements PMR

Massifs pour encastrés de sol

Massifs borne recharge voiture


A.RP.0GNA.11.0032.B


11. Assainissement EP

11.111.111.111.1 Généralités Les débits d’eau pluviale seront déterminés par les formules de Caquot suivant l’instruction technique relative aux réseaux d’assainissement de 1977 en prenant comme paramètre de calcul :

- Région 1 - Coefficient de ruissellement C= 0.9 - Période de retour de 100 ans

Les sections des canalisations seront déterminées par la formule de Manning Strickler. L’ensemble des ouvrages seront contrôlés suivant les conditions et définis au présent CAHIER DES CHARGES. Il est à noter que l’entrepreneur aura la charge d’assurer tout drainage et en particulier autour du bâtiment dans la zone de remblais.


11.2.111.2.111.2.111.2.1 Tuyaux

11.2.1.1 Tuyaux en PVC

Les tuyaux en PVC seront conformes à la norme NFP 16352 et ont l'agrément SP (Service Public). Ils sont de qualité assainissement composite à joint caoutchouc dont le module de rigidité est supérieur ou égal à 8 KN/m². Ils sont utilisés pour les diamètres inférieurs à 400 mm. Cette marque devra être apparente, même après la pose du tuyau. Tout tuyau qui ne portera pas cette marque sera rejeté. Pour les tranchées profondes ne permettant pas la mise en place de tuyaux PVC, l’entrepreneur devra poser, des tuyaux en fonte de qualité assainissement avec bagues de joint élastomère. Les tuyaux fonte seront conformes à la norme NF A 48-820.

11.2.1.2 Tuyaux en béton

Les tuyaux en béton seront conformes aux spécifications du fascicule 70 du C.C.T.G. Ils seront préfabriqués en usine, à collets et à joints souples incorporés. Les tuyaux seront en béton armé centrifugé ou à compression radiale de la série 135 A définis par la norme NFP 16-341. Ils sont utilisés pour les diamètres supérieurs à 300 mm.

11.2.1.3 Autres matériaux

L’entreprise pourra proposer d’autres matériaux, après avoir demandé l’agrément au maître d’œuvre.

11.2.1.4 Drain

Diamètre 200, enrobage en cailloux drainant et géotextile, raccordement sur le réseau EP à charge de l’entrepreneur. 11.2.211.2.211.2.211.2.2 Pose de tuyaux Les fouilles seront réalisées selon les prescriptions du présent CAHIER DES CHARGES. Les tuyaux seront posés conformément aux prescriptions du Cahier des Ouvrages Types et des plans d’exécution visés par le Maître d’œuvre. Les conduites seront posées sur le lit de sable (0/5) de vingt (10) centimètres d'épaisseur enrobées sur le même matériau jusqu’à 0,10m au-dessus de la génératrice supérieure de la canalisation.

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Le lit de pose sera compacté jusqu'au niveau de la génératrice inférieure du tuyau. Le niveau de pose devra tenir compte d'une contreflèche en prévision des terrassements après remblaiement. La manutention et la pose des tuyaux devront respecter les recommandations du fabricant. Ces tuyaux seront descendus soigneusement dans la tranchée et posés à pente constante d'aval en amont entre les ouvrages d'assainissement, avant de les descendre dans les fouilles, il sera creusé à l'emplacement de chaque collet (ou tulipe) une poche pour faire porter les tuyaux uniquement sur la longueur du fût et permettre la confection du joint. Le premier tuyau sera mis en place, le collet dirigé vers l'amont, la pente sera vérifiée, le tuyau calé. L'extrémité du second tuyau sera engagée à fond dans le collet du précédent. La pente sera à nouveau vérifiée, le tuyau calé. Le procédé sera le même pour les tuyaux suivants. Les joints doivent être exécutés avec le plus grand soin, toutes les précautions devront être prises pour que les tuyaux soient bien centrés. Avant le remblai des tranchées, il sera procédé aux essais du réseau, conformément au Fascicule 70 du CCTG. Les canalisations dont la pente est inférieure à 1 % seront obligatoirement posées avec un niveau laser placé au fil d'eau des regards. 11.2.311.2.311.2.311.2.3 Contrôle et réception Les tolérances suivantes devront être respectées :

Tolérance d'exécution

Implantation en plan ± 5 cm Altitude du fil d'eau ± 0.5 cm Ecart angulaire entre deux éléments successifs Selon norme du fabricant et agrément

Les tuyaux seront réceptionnés après pose, avant remblaiement. Les remblaiements devront satisfaire aux conditions fixées au présent CAHIER DES CHARGES.

11.2.411.2.411.2.411.2.4 Regards et avaloirs

Les regards seront en béton armé et constitués d'éléments préfabriqués. Ils seront posés sur un béton de propreté. Les dimensions des éléments devront être étudiées pour permettre toute adaptation du fil d'eau, du collecteur. L'étanchéité entre les éléments de la cheminée sera réalisée à l'aide de joints glissants, pré-lubrifiés ou joints élastomères TRI 5 résistant à une pression interne de 0,5 bar. Les différents éléments des regards seront scellés entre eux par un joint au mortier de ciment M 500. Les regards visitables de hauteur supérieure à un mètre cinquante (1,50 m) seront munis d'échelons scellés dans les parois verticales lors de la préfabrication et de crosses escamotables. Ces échelons seront en acier galvanisé et proviendront d'usines agréées par le Maître d'Oeuvre. La couverture des regards sera assurée par des grilles et des tampons en fonte ductile. Le scellement du cadre sera réalisé obligatoirement avec un mortier de scellement spécifique du type ERGELIT superfix 35 ou références équivalentes à base de fibres de verre. La tolérance de pose des regards sera : - en plan de ± 0,04 m, - en altimétrie de ± 0,01 m.

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11.2.511.2.511.2.511.2.5 Regards de visite et de jonction sur réseau Les regards de visite et de jonction seront constitués d'éléments préfabriqués en béton armé de section circulaire, de diamètre intérieur 1000 mm, de hauteur variable en fonction de leur implantation. Les regards de visite et de jonction de dimensions hors normalisation ou présentant des sections complexes (plusieurs côtés) devront être réalisés directement sur place. Les regards de visite et de jonction comprennent en règle générale :

- un béton de propreté en béton B16 de 0,10 d'épaisseur,

- un radier formant cunette en béton B25.

- un élément de cheminée en béton B25, incorporant les canalisations débouchant au regard, arasé à au moins dix (10) centimètres au-dessus de la génératrice supérieure de la canalisation. Les raccordements entre canalisations et cheminées devront se faire par des manchettes de raccordement à joints souples multiples.

- la cheminée verticale en béton B25, équipée d'échelons de descente scellés dans la cheminée avec crosse mobile ou dispositif équivalent, Ces éléments métalliques devront être traités de façon à résister à l'oxydation conformément aux stipulations de l'article 28.2 du fascicule 70 du CCTG.

- l'élément terminal de la cheminée constitué suivant avis du Maître d'Oeuvre : .d'une hotte conique en béton B25 centrée ou excentrée, .d'une dalle de couverture ou dalle réductrice en béton B25 avec réservation pour dispositif de fermeture centré ou excentré.

- éventuellement, suivant nécessité des rehausses en béton B25 pourront être utilisées sous réserve que le premier échelon soit à moins de 0 m 35 du sol fini tout en conservant un alignement des échelons.

- le dispositif de fermeture est constitué : .d'un cadre à sceller sur le dernier élément en béton,

.ou d'une couronne avec cadre incorporé, soit en saillie, soit à niveau suivant avis du Maître d'Oeuvre, et d'un tampon. L'assemblage des diverses parties constituant les cheminées devra se faire par emboîtement à mi-épaisseur, l'étanchéité devra être assurée par des joints souples à auto-centrage. Le Maître d'Oeuvre peut demander le rejointoiement au mortier des joints intérieurs et extérieurs. Les qualités de béton indiquées s'appliquent dans le cas d'ouvrages réalisés directement en place. 11.2.611.2.611.2.611.2.6 Regards à grille et avaloirs Suivant implantation sur plans et à chaque fois que nécessaire. Les regards seront constitués d'éléments préfabriqués en béton armé de section intérieure circulaire, carrée ou rectangulaire en fonction des diamètres des tuyaux aboutissants, des dimensions des grilles et des profils des avaloirs. A cet effet, on se reportera à la normalisation fixée au présent CAHIER DES CHARGES relatif aux regards de visite et de jonction. La constitution des regards est identique à celle des regards de visite et de jonction (voir article du présent CAHIER DES CHARGES s’y afférent). Les bouches d'égout auront une profondeur minimum 0.80 m. 11.2.711.2.711.2.711.2.7 Tampons, trappes, grilles et avaloirs Les tampons et avaloirs seront en fonte conformément à la norme NFP 98 311 : - de classe 400 pour les dispositifs de couverture des regards de visite et ouvrages spéciaux sous

chaussée, - de classe 250 pour les dispositifs de couverture des regards de visite et ouvrages spéciaux sous

espaces verts et accotements et des regards à grille et avaloirs.

Les tampons sous chaussée de Ø 850 mm seront du type PAMREX SECURITE ou références équivalentes.

A.RP.0GNA.11.0032.B


Les bouches d’égouts seront recouvertes en caniveau par une grille plate avec cadre 750x300 en fonte ductile et une plaque de recouvrement 800x830de profil T de classe C250 avec tampon. Le dessus des plaques sera réglé exactement au niveau du trottoir ou de la chaussée terminée.

Le scellement du cadre sera réalisé obligatoirement avec un mortier de scellement spécifique du type ERGELIT superfix 35 ou références équivalentes à base de fibres de verre.

IMPORTANT: Tous les regards sous voiries, et toutes zones circulables seront remblayés en grave bitume compactée pour éviter tous tassements en exploitation.

11.2.811.2.811.2.811.2.8 Caniveau grille Couverture en fonte, classe de résistance D400 uniquement conforme à la norme 1433.

11.2.911.2.911.2.911.2.9 Séparateur à hydrocarbures

Le débourbeur séparateur d’hydrocarbures sera de type lamellaire coalesceur avec débourbeur, obturateur automatique. La prestation comprend : - le terrassement - la fourniture, le transport, le levage et la pose - le remblaiement en sablon compacté - les raccordements - les essais (mise en eau) et la mise en service Matériel certifié NF : conformité à la norme XP P 16 441 Description technique : Séparateur à hydrocarbures certifié NF, de type statique en acier S235JR protégé après sablage S.A 2.5 suivant NFA 35511 par un revêtement Epoxy Polyester polymérisé à 200°C, intérieur et extérieur, ouverture totale et cornières hydraulique ; équipé d’une manchette de répartition des flux en entrée, et d’un obturateur automatique en inox avec plombage d’inviolabilité. Le débourbeur sera équipé d’un brise jet et d’un regard de visite avec tampons en fonte ductile classe 400kN.

Le séparateur d’hydrocarbures sera équipé d’une cellule lamellaire à structure croisée constituée de blocs amovibles, d’un regard de visite avec tampons en fonte ductile classe 400kN, d’une échelle aluminium et d’un siphon de sortie avec obturateur automatique.

Equipements : - Pieds d’assise, et anneaux de levage. - Accès régulateur et vanne rectangulaire - Accès débourbeur circulaire diam 960 mm avec profil caoutchouc. - Accès séparateur circulaire diam 960 mm avec profil caoutchouc. - Echelle d’accès en aluminium normalisé. - Cellules nids d’abeille en polypropylène : résistance en compression > 0.4 MPa selon NF T 56101. - Obturateur automatique en acier inoxydable. - Vanne PEHD INOX - Régulateur de débit INOX - sonde de niveau des boues et des hydrocarbures raccordé à une télégestion de type Sofrel S50. - Répartiteur de flux. - Regard de visite avec rehausses et tampon Ø 850 mm classe D400 type PAMREX ou référence

équivalente sur les accès, - Trappes d’accès sous le compartiment de la vanne et du régulateur, - Protection cathodique interne et externe.

Armoire de commande : Fixées sur un massif en béton, l'armoire de commande électrique utilisée devra posséder, par construction, les degrés de protection minimaux IP54 et prendra en compte les liaisons BTA-ACG/armoire, ainsi que le tableau de comptage. Elle devra permettre d’installer les coffrets électriques des sondes de niveau du

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débourbeur séparateur d’hydrocarbures, du coffret de télégestion et de tous les équipements électriques (voltmètre, ampèremètre, voyant, …). Afin de faciliter la maintenance, une prise 200 V 2P+T sera installée dans l'armoire ainsi qu'un éclairage par réglette fluo compact avec interrupteur manuel. Chaque circuit sera protégé par une protection individuelle différentielle. Dans l'armoire, il sera placé un schéma donnant toutes les indications quant à la nature, la fonction, la section et le mode de protection des différents circuits. L’ensemble devra être parfaitement ventilé pour éviter toute surchauffe des équipements. Télégestion, Télésurveillance : Câblage et raccordement sur la GTB (du bâtiment) permettant notamment :

- de transmettre toutes les informations concernant les 2 sondes de niveau du séparateur débourbeur d’hydrocarbures,

- de donner l’alarme du niveau des hydrocarbures et des boues.


11.3.111.3.111.3.111.3.1 Tuyau

Localisation : Suivant plans


Localisation : Suivant plans

11.3.311.3.311.3.311.3.3 Drain

Localisation : zone de remblais autour du bâtiment suivant carnet de détail et coupes


Localisation : Suivant plans 11.3.511.3.511.3.511.3.5 Regards de visite et de jonction Localisation : Suivant plans 11.3.611.3.611.3.611.3.6 Regards à grille et avaloirs Localisation : Suivant plans 11.3.711.3.711.3.711.3.7 Tampons, trappes, grilles et avaloirs Localisation : Suivant plans 11.3.811.3.811.3.811.3.8 Caniveau grille Localisation : devant chaque porte d’accès au bâtiment

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11.3.911.3.911.3.911.3.9 Séparateur à hydrocarbures

- 25 litres par seconde - un rejet inférieure à 1 mg/litre - sans by-pass - armoire électrique - câblage et raccordement

Localisation : Sortie du bassin tampon

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12. Bassins et noues


12.1.112.1.112.1.112.1.1 Bassin et noues

La prestation comprend

- les terrassements,

- le dressement des talus,

- le géotextile et la géomembrane étanche,

- le complément de terres pour les ouvrages étanches (géomembrane invisible),

- les têtes d’aqueduc,

- les trop pleins,

- les enrochements,

- Le canal de mesure.

12.1.212.1.212.1.212.1.2 Géotextiles et géomembranes

Les caractéristiques des géotextiles et géomembrane à utiliser sont conformes aux recommandations établies par le Comité Français des Géotextiles et Géomembranes et certifiés ASQUAL. Les conditions de mise en œuvre précisées dans ces mêmes recommandations devront être respectées.

12.1.2.1 Géotextiles

Les géotextiles seront soumis à l'agrément du Maître d'Oeuvre. Les géotextiles seront du type non-tissés aiguilletés de filaments continus, 100% polypropylène. Les géotextiles devront satisfaire aux exigences minimales suivantes selon leur emploi : − Protection inférieure du complexe d’étanchéité Masse surfacique 300 g/m² − Protection supérieure du complexe d’étanchéité Masse surfacique 500 g/m²

12.1.2.2 Géomembrane

Les géomembranes sont soumises à l'agrément du Maître d'Oeuvre. Elles sont du type polyéthylène PEHD, membrane de 1,5 mm d'épaisseur, avec les caractéristiques avec les caractéristiques suivantes : - résistance à la rupture : 35 N/mm² - allongement à la rupture :> 700% - résistance au poinçonnement : 400 N - densité : 0.940 g/cm3

12.1.312.1.312.1.312.1.3 Canal de mesure

Réalisation du génie civil du canal de mesure au niveau du fil de la canalisation. De dimensions intérieures 50cm de large et 2,50ml de long, de hauteur suivant appareils et fil d’eau de la canalisation, destiné à recevoir des appareils de mesure. La prestation comprend : - Terrassement en excavation, - Evacuation des terres provenant des fouilles,

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- Réalisation d'un radier en béton armé, - Pose de la fosse compris cerclage et ancrage sur le radier, ou la réalisation de celle-ci en BA, - Remblaiement en sable tout-venant soigneusement compacté, - La fermeture sera constituée de plusieurs tampons étanches, Fourniture et mise en place dans le caniveau d’un débitmètre à tube venturi dimensionné pour un débit de 25l/s. il sera réalisé en acier inoxydable.


12.2.112.2.112.2.112.2.1 Noues étanches


12.2.212.2.212.2.212.2.2 Bassin tampon étanche


12.2.312.2.312.2.312.2.3 Canal de mesure

Localisation : sortie du bassin tampon

12.2.412.2.412.2.412.2.4 Noue d’infiltration


12.2.512.2.512.2.512.2.5 Bassin d’infiltration


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13. Assainissement Eaux Usées


13.1.113.1.113.1.113.1.1 Tuyaux

13.1.1.1 Tuyaux en PVC

Les tuyaux en PVC seront conformes à la norme NFP 16352 et ont l'agrément SP (Service Public). Ils sont de qualité assainissement composite à joint caoutchouc dont le module de rigidité est supérieur ou égal à 8 KN/m². Ils sont utilisés pour les diamètres inférieurs à 400 mm. Cette marque devra être apparente, même après la pose du tuyau. Tout tuyau qui ne portera pas cette marque sera rejeté. Pour les tranchées profondes ne permettant pas la mise en place de tuyaux PVC, l’entrepreneur devra poser, des tuyaux en fonte de qualité assainissement avec bagues de joint élastomère. Les tuyaux fonte seront conformes à la norme NF A 48-820.

13.1.1.2 Autres matériaux

L’entreprise pourra proposer d’autres matériaux, après avoir demandé l’agrément au maître d’œuvre.

13.1.213.1.213.1.213.1.2 Pose de tuyaux

Les fouilles seront réalisées selon les prescriptions du présent CAHIER DES CHARGES. Les tuyaux seront posés conformément aux prescriptions du Cahier des Ouvrages Types et des plans d’exécution visés par le Maître d’œuvre. Les conduites seront posées sur le lit de sable (0/5) de vingt (10) centimètres d'épaisseur enrobées sur le même matériau jusqu’à 0,10m au-dessus de la génératrice supérieure de la canalisation. Le lit de pose sera compacté jusqu'au niveau de la génératrice inférieure du tuyau. Le niveau de pose devra tenir compte d'une contreflèche en prévision des terrassements après remblaiement. La manutention et la pose des tuyaux devront respecter les recommandations du fabricant. Ces tuyaux seront descendus soigneusement dans la tranchée et posés à pente constante d'aval en amont entre les ouvrages d'assainissement, avant de les descendre dans les fouilles, il sera creusé à l'emplacement de chaque collet (ou tulipe) une poche pour faire porter les tuyaux uniquement sur la longueur du fût et permettre la confection du joint. Le premier tuyau sera mis en place, le collet dirigé vers l'amont, la pente sera vérifiée, le tuyau calé. L'extrémité du second tuyau sera engagée à fond dans le collet du précédent. La pente sera à nouveau vérifiée, le tuyau calé. Le procédé sera le même pour les tuyaux suivants. Les joints doivent être exécutés avec le plus grand soin, toutes les précautions devront être prises pour que les tuyaux soient bien centrés. Avant le remblai des tranchées, il sera procédé aux essais du réseau, conformément au Fascicule 70 du CCTG. Les canalisations dont la pente est inférieure à 1 % seront obligatoirement posées avec un niveau laser placé au fil d'eau des regards.

13.1.313.1.313.1.313.1.3 Contrôle et réception

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Les tolérances suivantes devront être respectées :

Tolérance d'exécution

Implantation en plan ± 5 cm Altitude du fil d'eau ± 0.5 cm Ecart angulaire entre deux éléments successifs Selon norme du fabricant et agrément

Les tuyaux seront réceptionnés après pose, avant remblaiement. Les remblaiements devront satisfaire aux conditions fixées au présent CAHIER DES CHARGES.

13.1.413.1.413.1.413.1.4 Regards

Les regards seront en béton armé et constitués d'éléments préfabriqués. Ils seront posés sur un béton de propreté. Les dimensions des éléments devront être étudiées pour permettre toute adaptation du fil d'eau, du collecteur. L'étanchéité entre les éléments de la cheminée sera réalisée à l'aide de joints glissants, pré-lubrifiés ou joints élastomères TRI 5 résistant à une pression interne de 0,5 bar. Les différents éléments des regards seront scellés entre eux par un joint au mortier de ciment M 500. Les regards visitables de hauteur supérieure à un mètre cinquante (1,50 m) seront munis d'échelons scellés dans les parois verticales lors de la préfabrication et muni de crosses escamotables. Ces échelons et crosses escamotables seront en acier galvanisé et proviendront d'usines agréées par le Maître d'Oeuvre. La couverture des regards sera assurée par des grilles et des tampons en fonte ductile. Le scellement du cadre sera réalisé obligatoirement avec un mortier de scellement spécifique du type ERGELIT superfix 35 ou références équivalentes à base de fibres de verre. La tolérance de pose des regards sera : - en plan de ± 0,04 m, - en altimétrie de ± 0,01 m.

IMPORTANT : Tous les regards sous voiries, et toutes zones circulables seront remblayés en grave bitume compactée pour éviter tous tassements en exploitation.

13.1.513.1.513.1.513.1.5 Regards de visite et de jonction sur réseau

Les regards de visite et de jonction seront constitués d'éléments préfabriqués en béton armé de section circulaire, de diamètre intérieur 1000 mm, de hauteur variable en fonction de leur implantation. Les regards de visite et de jonction de dimensions hors normalisation ou présentant des sections complexes (plusieurs côtés) devront être réalisés directement sur place. Les regards de visite et de jonction comprennent en règle générale :

- un béton de propreté en béton B16 de 0,10 d'épaisseur,

- un radier formant cunette en béton B25.

- un élément de cheminée en béton B25, incorporant les canalisations débouchant au regard, arasé à au moins dix (10) centimètres au-dessus de la génératrice supérieure de la canalisation. Les raccordements

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entre canalisations et cheminées devront se faire par des manchettes de raccordement à joints souples multiples.

- la cheminée verticale en béton B25, équipée d'échelons de descente scellés dans la cheminée avec crosse mobile ou dispositif équivalent, Ces éléments métalliques devront être traités de façon à résister à l'oxydation conformément aux stipulations de l'article 28.2 du fascicule 70 du CCTG.

- l'élément terminal de la cheminée constitué suivant avis du Maître d'Oeuvre : .d'une hotte conique en béton B25 centrée ou excentrée, .d'une dalle de couverture ou dalle réductrice en béton B25 avec réservation pour dispositif de fermeture centré ou excentré.

- éventuellement, suivant nécessité des rehausses en béton B25 pourront être utilisées sous réserve que le premier échelon soit à moins de 0 m 35 du sol fini tout en conservant un alignement des échelons.

- le dispositif de fermeture est constitué : .d'un cadre à sceller sur le dernier élément en béton,

.ou d'une couronne avec cadre incorporé, soit en saillie, soit à niveau suivant avis du Maître d'Oeuvre, et d'un tampon. L'assemblage des diverses parties constituant les cheminées devra se faire par emboîtement à mi-épaisseur, l'étanchéité devra être assurée par des joints souples à auto-centrage. Le Maître d'Oeuvre peut demander le rejointoiement au mortier des joints intérieurs et extérieurs. Les qualités de béton indiquées s'appliquent dans le cas d'ouvrages réalisés directement en place.

13.1.613.1.613.1.613.1.6 Tampons, trappes

Les tampons et avaloirs seront en fonte conformément à la norme NFP 98 311 : - de classe 400 pour les dispositifs de couverture des regards de visite et ouvrages spéciaux sous

chaussée, - de classe 250 pour les dispositifs de couverture des regards de visite et ouvrages spéciaux sous

espaces verts et accotements et des regards à grille et avaloirs.

Les tampons sous chaussée de Ø 850 mm seront du type PAMREX SECURITE ou références équivalentes.

Le scellement du cadre sera réalisé obligatoirement avec un mortier de scellement spécifique du type ERGELIT superfix 35 ou références équivalentes à base de fibres de verre.

13.1.713.1.713.1.713.1.7 Vanne de coupure

Les vannes seront du type mural tout inox à vis non montante commandé par moteur électrique et par volant de manœuvre en cas de disfonctionnement. Le taux de fuite maxi sera de 0.01 L par seconde par mètre linéaire de joint. Elles seront installées en applique conformément aux prescriptions du fournisseur dans des regards béton avec fermeture en fonte étanche. Le raccordement électrique des vannes de coupures sera à la charge de l’entrepreneur. Pilotage des vannes de coupures : - Fermeture des vannes lors d’une détection d’un PH anormal, automatisme à fournir et à mettre en

service par l’entrepreneur du présent lot.

Fourniture et pose d’un coffret de commande.

13.1.813.1.813.1.813.1.8 Canal de mesure

Réalisation du génie civil du canal de mesure au niveau du fil de la canalisation.

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De dimensions intérieures 50cm de large et 2,50ml de long, de hauteur suivant appareils et fil d’eau de la canalisation, destiné à recevoir des appareils de mesure. La prestation comprend : - Terrassement en excavation, - Evacuation des terres provenant des fouilles, - Réalisation d'un radier en béton armé, - Pose de la fosse compris cerclage et ancrage sur le radier, ou la réalisation de celle-ci en BA, - Remblaiement en sable tout-venant soigneusement compacté, - La fermeture sera constituée de plusieurs tampons étanches,

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13.213.213.213.2 Traitement des eaux usées

13.2.113.2.113.2.113.2.1 Consistance des travaux

L’entreprise comprend l’ensemble des prestations, fournitures et travaux mentionnés dans le fascicule n°81 titres I et II du CCTG applicable à la conception et à l’exécution d’une installation de traitement des eaux usées d’origine domestique et de construction d’installations de pompage pour le relèvement ou le refoulement des eaux usées d’origine domestiques. L’exécution des installations projetées comprend notamment :

- les études de conception et d’exécution et notamment la fourniture de la note de calcul du dimensionnement des ouvrages,

- la production des plans guides et des plans d’exécution de génie civil et d’équipement sans limitation d’indice. Toute modification, même mineure, à l’initiative du maître d’ouvrage, du maître d’œuvre ou de l’entreprise devra faire l’objet d’un nouveau plan,

- la mise en digue de matériaux d’apport,

- les terrassements en tranchées pour réseaux divers,

- la fourniture, le transport et la mise en œuvre de tous les matériaux, matériels et équipements nécessaires ainsi que tous les travaux de fondations, de construction, de mise en œuvre et de montage,

- la plantation des macrophytes,

- la fourniture et la mise en œuvre des équipements hydrauliques et mécaniques de traitement, y compris leurs organes d’entraînement et leur appareillage de commande, de protection, de contrôle, de régulation et de mesures,

- la fourniture et la mise en œuvre des équipements divers nécessaires au bon fonctionnement, à l’entretien et à l’autosurveillance des installations, y compris ceux nécessaires à la prévention et à la réduction des nuisances de toute nature,

- la fourniture et mise en œuvre des dispositifs de sécurité sur l’ensemble des zones accessibles au personnel et aux visiteurs et sur et autour de l’ensemble des équipements sur lesquels le personnel peut être amené à intervenir, même occasionnellement,

- les ouvrages et les équipements d’alimentation en eau potable,

- les ouvrages et les équipements d’alimentation en eaux usées à partir des réseaux extérieurs, au niveau du poste de refoulement,

- les divers travaux de génie civil,

- la construction d’un canal de mesure des débits en entrée de station,

- la construction d’un canal de mesure des débits en sortie de station,

- la mise en œuvre des terres végétales, le régalage sur les zones vertes, l’engazonnement et les plantations,

- la mise en route des installations et l’exécution des essais en cours de travaux et des essais de garantie (contrôle des performances),

- la réalisation du dossier des ouvrages exécutés,

- la formation du personnel d’entretien,

- l’entretien, le contrôle et le suivi des performances pendant 1 année.

13.2.213.2.213.2.213.2.2 Contrainte d’environnement

13.2.2.1 Agrément de la filière de traitement des eaux usées Le procédé de station d’épuration par filtres plantés de roseaux proposé par l’entreprise devra avoir un agrément ministériel de type ATOEPURE® ou équivalent.

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13.2.2.2 Démarches administratives Dossier d’incidence loi sur l’eau joint au dossier Site non soumis à la loi sur l’eau (voir CCG) 13.2.2.3 Qualités de l’air à l’extérieur des installations Les nuisances olfactives liées à l’unité de traitement doivent être réduites au maximum. 13.2.2.4 Température de l’air La température minimale de l’air à prendre en compte est de – 20 °C pour les dispositions à prendre concernant le bon fonctionnement des installations.

13.2.313.2.313.2.313.2.3 Caractéristiques de l’effluent à traiter

Les charges à traiter sur la station proviennent d’usagers domestiques et des laboratoires de préparation cryogénie et pédothèque. La capacité nominale de la station sera de 10 Equivalents Habitants. Elle correspond au traitement des effluents domestiques et process du site Ecothèque. Les seuls produits chimiques utilisés au niveau du laboratoire sont les acides et les bases. L’entreprise devra mentionner clairement dans son offre la liste des produits incompatibles avec le fonctionnement de la step. L'installation aura au moins la capacité nominale ci-après :

Paramètres Valeurs Symbole Valeurs types par défaut

Capacité 10 EH Consommation moyenne quotidienne 180 l/EH/j Taux de dilution 0 % Volume journalier temps sec 1.8 m3/j Vjts Volume maximum eaux claires parasites 0 m3/j Vi Volume journalier jour de pluie 3.6 m3/j 2*Vjts + Vi Débit moyen de temps sec 0.02 l/s,0.075

m3/h Qmts

Coefficient de pointe 8 Débit de pointe horaire de temps sec 0.6 m3/h Qpts Débit horaire de pointe par temps de pluie 1.2 m3/h Qptp

Paramètres Concentrations-(mg/l) Flux-(g/j) DBO5 353 635 DCO 706 1271 MES 529 952 Nkj 88 58

Nota : La capacité mais aussi la conception des installations devront permettre de traiter les débits et les charges ci-avant qui en sont issues, afin de délivrer les qualités de traitement définies à l'article "Qualité des effluents traités".

La charge nominale en DBO5, DCO, MES ou Nkj exprimée en kg/jour est le poids maximal journalier de DBO5, DCO, MES ou Nkj contenu dans les eaux usées, dont les caractéristiques s'inscrivent dans les limites précisées par le domaine de traitement garanti, que l'installation peut recevoir en assurant une qualité de traitement conforme aux prescriptions demandées.

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Le débit journalier nominal exprimé en m3/jour est le débit maximal journalier d'eaux usées, dont les caractéristiques s'inscrivent dans les limites précisées par le domaine de traitement garanti, que l'installation peut recevoir en assurant une qualité de traitement conforme aux prescriptions demandées. Le débit horaire nominal exprimé en m3/h est le débit horaire maximal d'eaux usées, dont les caractéristiques s'inscrivent dans les limites précisées par le domaine de traitement garanti, que l'installation peut recevoir en assurant une qualité de traitement conforme aux prescriptions demandées. Ces dernières restent exigibles par temps sec comme par temps de pluie. Charge nominale (en DBO5, DCO, MES ou N-NTK), débit journalier nominal et débit horaire nominal caractérisent la capacité nominale de l'installation. 13.2.413.2.413.2.413.2.4 Domaine de traitement garanti Pour la vérification des performances de l'installation, les valeurs caractérisant la charge et le débit arrivant à la station sont les moyennes des charges et des débits admis durant la période des essais. 13.2.513.2.513.2.513.2.5 Conditions d’application des garanties Les qualités de traitement définies ci-après sont les qualités minimales exigibles contractuellement. Si des niveaux de qualité supérieurs sont proposés, ces derniers deviendront exigibles contractuellement même s'ils ne sont pas exigibles réglementairement. 13.2.613.2.613.2.613.2.6 Qualité de l’effluent traité En sortie de dernier étage, les eaux traitées seront envoyées directement vers le bassin d’infiltration dont l’objectif de qualité est 1B. A ce titre, l’application de l'arrêté du 21 Juin 1996 et de la circulaire du 17 Février 1997 relative à la loi sur l'eau conduit à retenir le niveau d’exigence D4 sur la présente station d’épuration :

Paramètres Concentration maximale Rendement minimum DBO5 25 mg/l 70 % DCO 125 mg/l 75 %

En outre, un rendement épuratoire en MES supérieur à 90 % ou une concentration en MES inférieure à 35 mg/l est attendue. Pour les paramètres "azote" la valeur attendue sera NTK < 20 mg/l ou un rendement supérieur à 80 %.

13.313.313.313.3 Conception générale de l’unité de traitement

Le dimensionnement et la conception des ouvrages doivent répondre aux conditions ci-après. 13.3.113.3.113.3.113.3.1 Caractéristiques générales

L'unité de traitement des eaux usées comprend les ouvrages suivants : − un dégrilleur manuel, − 2 regards de prélèvement (en amont et en aval), − deux étages de filtration équipés d'ouvrages d'injection et de répartition, − un canal débitmétrique de sortie avec échelle de mesure et canal Venturi.

13.3.213.3.213.3.213.3.2 Traitement par filtres plantes de roseaux

Compte tenu de la pollution à traiter, des exigences épuratoires, des contraintes du site et du devenir des boues, la filière d'épuration par "filtres plantés de macrophytes" a été retenue. La configuration sera de type "filtre à percolation verticale et horizontale à deux étages". Les ouvrages à mettre en œuvre pour le traitement biologique sont a priori les suivants : − un système d'injection par bâchées,

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− un regard avec jeu de vannes pour la répartition des débits, − un 1er étage de filtration vertical, − un 2ème étage de filtration horizontal. 1.1. Dégrillage La vitesse théorique lors du passage à travers le dégrilleur ne doit pas dépasser 1,2 m/s au débit maximal. En outre, il convient que la vitesse dans le canal d'amenée ne soit pas inférieure à 0, 3 m/s au débit minimal pour éviter des dépôts inopinés. L'installation de deux dégrilleurs en série est obligatoire, un premier de 40-50 mm et un second de 20 mm permettent de mieux protéger la station en cas d'arrivée de matières solides plus importante. Les éléments suivants doivent êtres prévus : − Une dérivation en cas de colmatage du dégrilleur. − Un outil de raclage adapté à la largeur et à l'entrefer de la grille. − Un bac d'égouttage et de stockage des déchets. Le concepteur sera attentif aux risques potentiels pour la santé pouvant survenir lors de la manutention et lors de l'évacuation des refus de dégrillage. 1.2. Alimentation du premier étage Afin d'assurer une bonne répartition des eaux brutes avec leurs matières en suspension sur la surface des filtres, l'alimentation doit se faire avec un débit nettement supérieur au débit entrant dans la station. Cela nécessite une alimentation par bâchées et donc des périodes relativement longues de stockage des effluents suivies de périodes courtes d'alimentation à fort débit. Le dispositif d'alimentation par bâchées sera gravitaire et devra produire un débit instantané suffisant afin : − D’assurer une bonne répartition des eaux usées et des matières en suspension sur la surface du lit en fonctionnement, − D’assurer l'autocurage des conduites d'alimentation. A titre indicatif, un débit égal ou supérieur à 0.5 m3/h par m2 de lit en cours d'alimentation peut, si le système de distribution est bien conçu, assurer une bonne répartition. Il n'y a pas de limite supérieure du débit d'alimentation et on peut considérer que la répartition est d'autant mieux assurée que le débit surfacique est élevé. La mise en place de débits surfaciques inférieurs à la vitesse d'infiltration des massifs ne permettra pas une submersion de la surface des lits et donc induira une répartition médiocre de l'effluent. Cette répartition peut être améliorée par un nombre supérieur de diffuseurs (cf. paragraphe I.7.3) mais ceci ne permettra pas la submersion des filtres. L'ordre de grandeur des vitesses d'infiltration se situe autour de 0,4 m/h avec augmentation en été. Quant au volume apporté par chaque bâchée, il doit permettre d'obtenir une lame d'eau de 2 à 5 centimètres de hauteur, répartie le plus équitablement sur toute la surface du lit planté en service. Il est en effet difficile d'obtenir une bonne répartition avec une lame inférieure à 2 cm et, a contrario, une lame d'eau supérieure à 5 cm augmente la vitesse d'infiltration ce qui nuit au rendement. Débit instantané et volume de bâchée sont reliés : plus le volume de la bâchée est réduit, plus le débit instantané doit être élevé pour "mouiller" toute la surface du filtre alimenté en un temps court. Le constructeur devra justifier la pertinence de son alimentation et de sa distribution. Un système de vannage manuel ou automatique doit assurer l'alternance des phases d'alimentation et de repos de chaque lit constituant les filtres du premier étage. Il doit être placé en aval du dispositif d'alimentation par bâchées Des dispositifs de comptage doivent permettre d'évaluer les débits et volumes injectés. En système gravitaire, un compteur de bâchées peut déjà donner une indication. En relèvement, le temps de fonctionnement des pompes est plus fiable lorsqu'elles sont correctement étalonnées dans leurs conditions réelles de fonctionnement. L'alimentation gravitaire avec des eaux brutes implique : − l'absence de conduites et de clapets de petit diamètre qui peuvent être obstrués par les matières solides et les graisses, − la nécessité de pouvoir vider intégralement le réservoir de stockage des bâchées avec une vitesse suffisante pour entraîner les matières en suspension.

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Les dispositifs mécaniques qui existent sont : − le siphon auto-amorçant, − la chasse à clapet, − la chasse pendulaire. Ces dispositifs se distinguent par les débits instantanés qu'ils peuvent délivrer (calculés en fonction des pertes de charges dans le dispositif aval de répartition) et la constance des débits lors de la vidange du réservoir et en particulier en fin de fonctionnement. On veillera à la fiabilité de ces dispositifs. Le débit doit être réellement nul entre 2 bâchées et, lors d'une bâchée, la vidange doit être complète pour éviter l'accumulation des matières en suspension. Parmi ces différents types de dispositif d'alimentation, les siphons auto-amorçant ont prouvé sur le terrain leur bonne capacité à fonctionner avec des eaux usées brutes sans risque de colmatage. 1.3. La répartition des eaux brutes sur le premier étage La répartition de l'effluent doit se faire de telle manière qu'elle intéresse l'ensemble de la surface du lit filtrant pour chaque bâchée et d'une manière homogène. Le réseau alimentant les points de distribution doit être conçu de manière à pouvoir se vider entièrement et exclure ainsi tout risque de stagnatation des eaux (dépôt de MES, développement d'odeurs et possibilité de gel). L'ensemble des dispositifs devra être inspectable et curable. Etant donné qu'il s'agit de la répartition des eaux chargées en matières en suspension, le système de répartition doit fonctionner à tous points avec une vitesse d'auto-curage. L'eau brute doit circuler au minimum à 0,6 m/s. Il faut envisager au minimum un point de répartition pour environ 50 m2 de surface. Des dispositifs anti-affouillement comme des plaques résistant à l'érosion ou des gabions doivent êtres prévus au niveau des diffuseurs ponctuels. Pour faciliter l'enlèvement des dépôts lorsque leur hauteur nuit au fonctionnement des filtres, le démontage temporaire des diffuseurs peut constituer un atout appréciable. 1.4. Dimensionnement La pratique actuelle est de déterminer la surface totale des filtres plantés en fonction du nombre d'habitants raccordés plutôt qu'en fonction de flux de DBO et DCO. Le volume journalier à traiter ne rentre pas en ligne de compte. Le nombre de lits en parallèle est déterminé par le rapport «temps d'alimentation/temps de repos» que l'on gère par la rotation de l'alimentation des lits. Le premier étage est généralement constitué de 3 lits, le deuxième de 2 lits seulement. Les règles de base habituelles du dimensionnement sont ci-dessous : - Surface utile totale 2 à 2,5 m2/habitant - dont premier étage (3 lits en parallèle) 1,2 à 1,5 m2/habitant - dont deuxième étage (2 lits en parallèle) 0,8 à 1,0 m2/habitant Une revanche de 30 cm minimum est à prévoir au premier étage pour tenir compte d'une hauteur de stockage de boue à terme de 20 cm et permettre une mise en charge de la surface du lit sans risque de débordement sur les filtres adjacents. Les cloisons de délimitation des lits au sein d'un même bassin doivent être enfouies sur une profondeur minimum de 30 cm. Elles doivent être en matériaux rigides et résistants aux UV. 1.5. Matériaux Géotextile Géomembrane Couche filtrante :

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- Gravier fin de 2 à 8 mm - Épaisseur 30 cm minimum

Couche de transition :

- Granulométrie adaptée de 3 à 20 mm - Épaisseur de 10 à 20 cm

Couche drainante :

- Granulométrie adaptée de 20 à 60 mm - Épaisseur de 10 à 20 cm

L'épaisseur de la première couche de 30 cm sera à augmenter en fonction des objectifs épuratoires. Les matériaux de la couche supérieure du deuxième étage seront sableux. Elle a comme fonction la rétention des matières en suspension. Lorsqu'il y a un objectif fort de nitrification, une couche supplémentaire de 30 cm de gravier fin (2 à 8 mm) peut être mise en place. La composition du sable doit être essentiellement siliceuse et son origine alluvionnaire. Les risques de colmatage induits par l'utilisation de sables concassés, même débarrassés de leurs fines [D ≤ 80 pm], ne sont pas suffisant pour préconiser leur utilisation. 1.6. Evacuation de l’eau du premier étage Des drains en tubes synthétiques entaillés de fentes (Ø100 mm minimum) seront utilisés pour collecter l'effluent traité sur le fond du filtre. L'utilisation de tubes de classe de résistance élevée limitera les risques de détérioration du système de drainage. L'utilisation de coudes à angle droit devra être éviter. Des pentes doivent être prévues au fond du bassin de part et d'autre des drains de collecte afin d'éviter les zones de stagnation. Les orifices (fentes de 5 mm de largeur sur un tiers de la circonférence, espacées d'environ 15 cm) seront tournés vers le bas. L'utilisation de drains agricoles d'une centaine de mm dont les trous sont trop petits sont interdits. On reliera l'extrémité des drains à l'atmosphère par des tubes étanches et évents couverts de chapeaux pour éviter la chute d'objets dans les conduits d'aération et les drains. Tubes et évents doivent bien sûr avoir des diamètres comparables et compatibles avec ceux des drains. Les drains doivent être inspectables et curables. 1.7. Alimentation et répartition en eau du deuxième étage L'alimentation d'un lit à flux horizontal est continue. L'homogénéité de la couche de matériaux, conditionne pour beaucoup l'écoulement et son équi-répartition. L'ensemble des dispositifs d'alimentation et de répartition devra être inspectable et curable. On peut envisager plusieurs cas : - La tranchée (cas a) est un caniveau légèrement en charge par rapport au niveau - d'eau dans le lit et distribue l'effluent à travers un gabion de répartition. - Une rampe d'alimentation (cas b) placée sur la tranche de bassin avec une multitude de points

d'alimentation afin que la répartition sur l'ensemble de la tranche transversale soit la plus homogène possible. Il faudra cependant éviter d'enterrer les rampes d'alimentation à cause du colmatage possible par les rhizomes.

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1.8. Evacuation du deuxième étage Les dispositifs d'évacuation doivent permettre de caler la ligne d'eau dans le massif filtrant à partir de 5 cm sous le niveau des matériaux de garnissage. Il conviendra d'ajuster le niveau de sortie selon les circonstances (pointes hydrauliques, fort vieillissement de la perméabilité) pour éviter des écoulements superficiels. A l'inverse, on s'assurera que le niveau de l'eau est compatible avec le développement des plantes. Des drains en tubes synthétiques (diamètre 100 mm minimum) seront utilisés pour collecter l'effluent traité dans la gabion d'évacuation ou une tranchée drainante remplie des granulats grossiers (60 à 80 mm) sur toute la largeur du lit. La Figure 8 présente une vue en coupe d'un dispositif de collecte avec manchon sur coude rotatif, un tuyau souple accroché à différentes hauteurs peut le remplacer. Des drains agricoles peuvent être utilisés mais ils doivent êtres curables et inspectables et donc d'un diamètre sensiblement supérieur à 100 mm en raison de leurs parois internes et externes annelées. On évitera donc aussi les coudes à angle droit et on proscrira la mise en place de tout géotextile sur les faces internes des gabions.

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14. Protection incendie

14.114.114.114.1 Alimentation en eau

Canalisation PEHD enterrée incongelable DN100

Compteur de vitesse

Vannes d’entretien cadenassable

Localisation : Depuis de regard de comptage en limite de propriété jusqu’à la citerne enterrée

14.214.214.214.2 Citerne enterrée

La citerne enterrée doit répondre aux exigences des pompiers et correspondre aux matériels de lutte anti incendie. Les pompiers pourront venir puiser l'eau contenue dans le réservoir avec leurs véhicules équipés de motopompes. La réserve est dite inépuisable et alimentée par le réseau d’adduction d’eau. Le débit instantané sera de 2x60m3/h La citerne sera conforme à la norme NFM 88512. La prestation comprend : - le terrassement - la fourniture, le transport, le levage et la pose - le remblaiement en sablon compacté - les raccordements - les essais (mise en eau) et la mise en service Caractéristiques techniques :

- capacité de 120 m3 en eau - citerne en tôle acier S235 JRG2 - épaisseur 5 mm mini - regard de visite et trou d'homme Ø960 mm avec profil caoutchouc. - Protection intérieure : polyuréthane - Protection extérieure : polyuréthane - 1 entrée DN100 avec vanne d’entretien PEHD INOX - 2 soutirages DN100 avec tube plongeur - 2 poteaux de puisage de couleur rouge - 1 panneau réserve incendie - 1 détecteur de niveau - châssis métallique et sangles de maintien, - remplissage automatique par flotteur, - échelle intérieure pour l’entretien, - surverse, - Protection cathodique interne et externe.

Armoire de commande : Fixées sur un massif en béton, l'armoire de commande électrique utilisée devra posséder, par construction, les degrés de protection minimaux IP54 et prendra en compte les liaisons BTA-ACG/armoire, ainsi que le tableau de comptage. Elle devra permettre d’installer les coffrets électriques des sondes de niveau, du coffret de télégestion et de tous les équipements électriques (voltmètre, ampèremètre, voyant, …). Afin de faciliter la maintenance, une prise 200 V 2P+T sera installée dans l'armoire ainsi qu'un éclairage par réglette fluo compact avec interrupteur manuel. Chaque circuit sera protégé par une protection individuelle différentielle. Dans l'armoire, il sera placé un schéma donnant toutes les indications quant à la nature, la fonction, la section et le mode de protection des différents circuits.

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Télégestion, Télésurveillance : Câblage et raccordement sur la GTB (du bâtiment) permettant notamment :

- de transmettre toutes les informations concernant les sondes de niveau - de donner l’alarme du niveau

Localisation : suivant plans à l’entrée du site

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15. Récupération des eaux pluviales

15.115.115.115.1 Alimentation en eau potable

Canalisation PEHD enterrée incongelable DN60

2 Vannes de coupure

1 clapet anti retour

Remplissage manuel de la cuve en cas de manque d’eau

Localisation : entre bâtiment et cuve

15.215.215.215.2 Alimentation en eaux pluviales de toiture

Collecte des eaux pluviales de l’ensemble des toitures de l’écothèque

Regard dégrilleur avec filtre grossier et surverse vers le réseau général EP

Connexion sur la citerne enterrée.

15.315.315.315.3 Citerne enterrée

La citerne enterrée doit répondre aux exigences sanitaires. L’eau de pluie sera utilisée pour l’arrosage, le lavage des véhicules, les sanitaires, le lavage des sols et l’entretien de la step. La citerne sera conforme à la norme NFM 88512. La prestation comprend : - le terrassement - la fourniture, le transport, le levage et la pose - le remblaiement en sablon compacté - les raccordements - les essais (mise en eau) et la mise en service Caractéristiques techniques :

- capacité de 300 m3 en eau - citerne en tôle acier S235 JRG2 - épaisseur 5 mm mini - regard de visite et trou d'homme Ø960 mm avec profil caoutchouc. - Protection intérieure : polyuréthane - Protection extérieure : polyuréthane - 1 entrée DN 60 avec vanne d’entretien PEHD INOX - 1 soutirage DN 60 avec tube plongeur et clapet auto-amorçant - 1 panneau réserve d’eaux pluviales « eau non potable » - 1 détecteur de niveau - châssis métallique et sangles de maintien, - échelle intérieure pour l’entretien, - surverse, - Protection cathodique interne et externe.

Localisation : suivant plans près des aéroréfrigérants

15.415.415.415.4 Soutirage

Canalisation PEHD enterrée incongelable DN 60 2 Vannes de coupure Localisation : entre cuve et pompe de surface

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15.515.515.515.5 Pompe

Pompe de surface : - Débit : 4m3/h - Pression d’aspiration : 1 bar - Pression de service : 3-6 bars - Réserve tampon de 50 litres - Liquide pompé : eau claire - IP44 - Compteur d’eau - Sécurité manque d’eau - Filtre - Clapet anti-retour - Capotage isophonique - Purge - Manomètre Armoire de commande : Fixées sur un massif en béton, l'armoire de commande électrique utilisée devra posséder, par construction, les degrés de protection minimaux IP54 et prendra en compte les liaisons BTA-ACG/armoire, ainsi que le tableau de comptage. Elle devra permettre d’installer les coffrets électriques des sondes de niveau, du coffret de télégestion et de tous les équipements électriques (voltmètre, ampèremètre, voyant, …). Télégestion, Télésurveillance : Câblage et raccordement sur la GTB (du bâtiment) permettant notamment :

- de donner l’alarme du manque d’eau Localisation : local technique N0-23

15.615.615.615.6 Distribution d’eau de récupération

15.6.115.6.115.6.115.6.1 Distribution intérieure

A la charge du lot plomberie

15.6.215.6.215.6.215.6.2 Distribution extérieure

Canalisation PEHD enterrée incongelable DN 50 Borne de puisage incongelable en PVC vert DN 20 Regard de visite avec vanne de coupure et Té Robinet à potence Purge Panneau « eau non potable » Localisation : Liaison local technique N0-23, Aire de lavage véhicule, Parking personnel, Potager (face au parvis), Entretien Step.

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16. Terres végétales La prestation comprend la mise en place de terre végétale (30 cm minimum) - Toutes les zones d’espaces verts remaniée par les travaux, - Complément de terre végétale suite aux travaux. - Dépôts de terres végétales préalablement criblés pour les fosses d’arbres et le potager Nota : Les travaux prévus au lot espaces verts comprennent : - Le hersage du sol en passes perpendiculaires, - Le dressement fin des sols sans flache ni bosse, - La réalisation des fosses d’arbres

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17. Signalisation

17.117.117.117.1 Signalisation verticale Les panneaux seront munis au dos de rails de fixation, soudés assurant un rôle de raidisseurs. Le dos et les bords du panneau seront en acier galvanisé. Le support sera en acier galvanisé de section 80x40mm. Les aciers laminés et tôlés d'acier entrant dans la fabrication de supports de signalisation seront de la nuance E 28, définis par la norme NF 35 501 ou devront répondre aux caractéristiques définies par le titre III fascicule 4 du Cahier des Clauses Techniques Générales (C.C.T.G.). Les boulons d'assemblage devront être en acier forgé galvanisé à chaud (NF E 270.16). Les tiges d'ancrage seront en acier défini par le titre I du fascicule 4 du C.C.T.G. et d'un diamètre minimal de 27 mm. Les tiges filetées sont proscrites. Tous les panneaux seront de la taille normale et de classe 2. L'implantation des panneaux sera réalisée en accord avec le Maître d'Oeuvre. Les matériaux en provenance des fouilles, seront évacués aux décharges de l'entrepreneur à ses frais. L'entrepreneur devra remettre les sols après travaux, dans l'état primitif. Il devra notamment reconstituer les revêtements superficiels antérieurs. La longueur de fiche de chaque support ne sera pas inférieure au tiers de la hauteur du niveau du sol. Chaque support sera noyé dans un plot de béton de type B 20. La hauteur à respecter sous panneau sera de 2 m minimum. Les bords des panneaux étant distants de 1 m minimum du fil d'eau. Localisation : Suivant plan masse conformément aux règles de la signalisation routière - Parking, - Dépotage d’azote, - Réservé aux livraisons des échantillons, - Stationnement Handicapés, - Borne de recharge de batterie, - Sens unique, - Sens interdit, - Parking personnel, - Parking visiteur, - Parking autocar, - Aire réservée aux pompiers, - Stop, - Interdiction de stationner, - Accès réservé au service, - Accès livraison, - Accès visiteurs, - Site sous surveillance électronique, - Cheminement handicapés, - …

17.217.217.217.2 Signalisation horizontale Provenance des matériaux et produits

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Les produits de marquage doivent être obligatoirement homologués par le Ministère de l’Urbanisme, du Logement et des Transports dans la catégorie 2H. Les récipients ou emballages contenant les produits en stock ou prêts à l’emploi doivent obligatoirement porter l’étiquetage prévu au cahier des modalités d’homologation des produits de marquage. Durée de vie homologuée des produits La durée de vie des produits de marquage devra être de quarante huit (48) mois pour l’enduit. Contrôle d’identification des produits Le maître d’œuvre peut prélever pendant toute la durée du chantier, sans avoir à en aviser au préalable l’entrepreneur, un emballage complet et fermé de produits, à défaut des échantillons de quatre fois un (4 x 1) kilogramme de produits, et le cas échéant de diluant correspondant, sans que le nombre total d’échantillons puisse dépasser quatre (4). Ces contrôles sont à la charge du Maître d’œuvre si les produits contrôlés satisfont à l’homologation et à la charge de l’entreprise dans le cas contraire. Si les produits ne répondent pas aux prescriptions d’homologation et après qu’une analyse complète ait révélé l’absence de conformité avec les produits homologués, ils sont refusés et enlevés des chantiers. Les travaux déjà exécutés avec ces produits ne sont pas rémunérés. Le piquetage de positionnement sera effectué par l'entrepreneur et à ses frais et comprendra la matérialisation des débuts et fins de bandes et le positionnement des points singuliers. Le nettoyage initial par décrottage et arrosage, y compris le nettoyage préalable par jets à haute pression, et le maintien en état de propreté de la partie de chaussée à marquer est exécuté par l'entrepreneur et accepté par le représentant du Maître d'Oeuvre avant toute exécution de marquage. Le prémarquage des bandes est effectué par filet continu ou par pointillé. Il présente soit l'axe de la bande, soit l'un des bords, l'entrepreneur ne devant en aucun cas changer la ligne de référence au cours des travaux. La vérification du prémarquage est effectuée par le Maître d'Oeuvre. Les éventuelles modifications demandées à l'entrepreneur doivent être faites dans un délai de quarante huit (48) heures : l'application des produits ne peut intervenir qu'après cette vérification. Le matériel employé pour l'exécution des bandes est soumis à l'agrément du Maître d'Oeuvre. Aucune application de produit n'est tolérée en dehors des conditions limites d'hygrométrie et de température indiquées aux certificats d'homologation (données du fabricant). Localisation : Suivant plan masse Marquage au sol : - pointillé de séparation chaussée, - ligne de séparation parking, - stop, - céder le passage, - passage protégé, - logo PMR, - zébras (aire pompier), - flèches de sens de circulation

17.317.317.317.3 Bandes podotactiles Localisation : Suivant plan masse En travers des trottoirs devant les passages protégés, portillons, ponton…

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18. Ouvrages divers optionnels

18.118.118.118.1 Gabions (en option)

Gabions réalisés en panneaux de treillis électro-soudé et pré-assemblé en usine

Protection contre la corrosion par traitement zincalu (95% zinc et 5% alu)

Fils de 4.55 mm

Remplissage en pierres locales nettoyées et non gélives de granulométrie de 100/200mm

Mise en œuvre parfaitement rectiligne sur fond de forme

Assemblage par spirale multi vrilles en acier inox


Près du parking visiteurs, le long des sentes et allées piétonnes

Près du parvis

Délimite la step de la sente piétonne réservée au public

Délimite la zone humide (bassins) du reste du site

18.218.218.218.2 Option en enrochement

En remplacement des gabions, mise en œuvre en pierres locales nettoyées et non gélives de granulométrie de 50/100cm.



Près du parking visiteurs, le long des sentes et allées piétonnes

Près du parvis

Délimite la step et la sente piétonne réservée au public

18.318.318.318.3 Enrochement (en option)

Mise en œuvre en pierres locales nettoyées et non gélives de granulométrie de 50/100cm.



Epaulement de l’allée piétonne de la zone humide

Epaulement de la noue à proximité du pont de bois

Epaulement du chemin en pas d’âne

Ecran brisant la vitesse d’écoulement d’eau dans les noues

18.418.418.418.4 Lisses en châtaignier (en option)

Lisse en châtaignier de longueur de 2m à 2m50 composée de :

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- lisse ronde diamètre 11/12cm

- lisse demi-ronde diamètre 11/12cm

- Poteaux diamètre 12/14cm

18.518.518.518.5 Pont de bois (en option)

Plancher ajouré, ossature et garde corps latéraux en melèze de classe 3 naturel

Fondations hors gel de part et d’autre de la noue

Localisation : Passage au dessus de la noue paysagère (à proximité du bassin tampon)