Cheval dÕattaque, 1974

lkpojh

INTRODE

Cequeuj vadire au l�dans, c� lÕ�pope dÕun macro-zoandre nautilant aux embasses des sombrezondes.O ! Lector cardiami ! Vi�nalici danlamienne lyrole cantafa-bule. E fluxons en libr�lan battifol jusque zo nymoder coro-nopus. Cepadans, entention ! Encette fure imagicienne,zondic : Rienensur ! Toutensoute

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LÕAMONTE DES INF�ERIES

Ol bel momencap ! quanla doul�orore apparille �sÕemp�n�tre aux sousaygades de Limensamar !A peutipas fr�lafeutres, arprochons des borda-b�mes. Les Marinalgues en imergerie verdor�ennese d�sesommillent.

Maiqu�squispas ?�a ; �a ; �a.

Qu�quoi troublionne le calmintime de lÕaqualine en r�veureuse ?Qu�qui transpare � trave les go�mes aux bleuisses voluvelouses.Quisglis � sÕanguilise � sinsinue aux m�lim�les ?

Oualala !�a ; �a ; �a.

Trondezis ! Ece lÕamonte des Inf��ries myst�roma-louches ? �a birille, �a bifixe, �a minace, �a tigron-ne !

Kek cek �ak ?�� ; �� ; �� ?

C� Gor, C� Gogor, C�Gorgomar !

LA LANGOUSSE

Quanti se raveille, au primatin, Gorgomar,porse d�gordiller les muscules,�volue en vastaronds dans la pla-naliquide dudessur les fondalgues.

Cecouci, par lÕacuicit� de sa cherche dans les ver-v�g�tes prairiantes, son zeuildelinsque visa unelangousse qui gambait � r�trop�de com�lana lastupabitude. Avanqueu elsessoye encach�e, iplon-gea en surelle.

Levoil� sula b�tapatte. Ilac�vre. Vec ses tataculesilimoblise complatament. C�leu momembon por-lui. Paporelle, zozh�las ! Carvec deucoussecs enpliplof cracrac, le b�cabref de Gorgomar ifrappo-dos la crustacelle. Ec�, dans la carapa�adure, lad�coupe dÕun troub�at dÕo� apparitionne la car-nablanche dela proua. Un chirurge vecson tr�pa-nacier ifaipamieus.

Maivoicilinstant d�licillous. Nostre torcionaresubitimet sa bocam�me en collotrou surla crapaceenlucarn�e �, zen gourmiant, i t�tine la substan-cie de sa victimavive � teulavide juscala dergoul�edÕintramater langousteuse.

Ce succule galadegueule �assappelle : d�moualerune langousse � la pompaspire. C� de la raffinedanlÕattrapenigode !

O Machiav�lisque langouleur !

LES GIOLIGIRELLES

AI les gioligirelles !Celcic� des petipes�ons en colorchatoyes, to-tenray�s de rutivivif, de bleuc�rule, de doraline.C� jojol � ravire.

Ces moiselles elzont la gentilesse de joher �giregire toltemps du jormarin. Fovoir�a. El-font des rondomiris si juvenciels queu-c�tune v�rijoaille en movance danleuclarcristal des matutines.Unafois, parun zazard chanceureuxpor Gorgomar, des gioligirelles zon-pass� assa proxime. Il�tait darri�reune rochacreuse. Il�zavist�es � lÕaigud�zilles.El�onpavu quelz�taivues. Els sessont misagi-rer vec tandentrain queleu Gorgomar il�zapaquitt�es du rigard. Ifodir le �aqui� : ilanat�t�t�-pat�. Sitant, quil�rest�l� en extasie.Ce�apass�, Gorgomar, dolcement dun gestenpavu, leurlan�asanbrusque, des minibrins de ses festailles gastronomiales delas�raveille. Cit�t, les gioligirelles stoppirent leur virvire � sapres-s�rent surla pite app�tisante.E vossavaipas leu �aquilafait Gorgomar ? Tandiqueu ces ten-drapopettes sagourmandaient � saisire les boudeci boude��, Gor-gomar ibondit danleur bandajole � senglouta les plusses agui-cheuses. �aful�, par nostre lougaroule, une d�guste de mouni-nes � la croquessaigne.Les louangiers protendent queu Gorgomar il�tÕun pou�te sub-tilis. Vouir. Maizun pou�te �la modan�ron.Ol saligogre !

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CHASSALESPERE

Gorgomar c�tun appassionn� de chassa-lesp�re dans les hu�streries � grandaco-ques des Allalou�es. Qualabilesse !Commifait ? Vonvavoir.Dab, i nautile danleu haudeleau, c�m sil porme-nait �la distraite du pensarien. Todm�m, ensad�ambule, ilaissechoire, � lÕimprovis dans leau-dembas, des marinerbes en brindines menum�-ch�es qui engoustillent les lamellib�tes.Suitiva au paloin danzune caverni�re do� zil sur-voye les isseules quissont les maxibelles. Noton-queu dans sonsien cachaguet, Gorgomar ila tou-tunstock de bocayoutes.Puisilattend. Vec pachience. T�vientojor quipas-s�nerve. Zaneffet. Peutapeu les zuistrelles bada-ba�llent dleur valvaconques sous lapluye alimen-teuse des mietterbilles quissendescendent, �lalente,surelles. D�quelles gustent du �aqu�bon, els ba-b�illent corplus dela valvi�re.C�tici queul Gorgomar issenr�v�le dune rusamaqui-ne du spiridia. E leuvoil�qui sefaufiline en procha-cune, au pititapitit du pardarri�re. L� vitiposendou-ce un cailloul en pleinintimiti�re badab�illante. Cel-cicit�t quelsent leucayour, elveut reucl�ter ses vol�-valves. Trotarde majolite ! leu cayouc ilembarre lafarmature. Ela damazu�stre elpeuplu se d�b�iller lad�coque.Gorgomaralore, sanbouscul, issinstal am�me surlaportoverte dela bellapoupue � isselengorge.Dans les cancani�res des Bar�cifes zondic cecoul� c�-tune avalhu�stre �la volcayoute escarteleuse.

LE SQUAL

Caquil� gormand leu Gorgomar !Quantilia du p�tabaroul � la surfoc�ane, nostre M�-gapolype il�tun zeureux. Carissait qualorse, les Tripar-ques, suretout lÕAtroposseuse, op�rationnent porsa ravitaille.Maizilivapas toudsuit. Ilattend. Iluifoq la trag�de des comba-naviaux elsoye en d�noue. Ilarriveupas tanqueu les naufragiers� les naufragi�res, les naufrageons � les naufragines isses-sonpas descalad�s dans les fossanaves. M�m c�queuquandles immergeants issesont b�n�marin�s dans lÕaquassal�eau natur�l, queul Gorgomar ilentre en app�tise.C�quil� un vicilieux de la d�guste. Les carnamollet-tes tendries � la souhaite par putridie macabodore,c�du surnannan porlui. Ifodir queul Gorgomarila un flairalalointe du trondebrest ! Il�tun su-perchanu dans la d�piste des noyavaques gon-flabulles quizonfait le bocabade goulougouloudes mortochand�zeaux. H�zaimeutant quife-rait des foolies por�a.Un�semple sioupla�t ? Voileuci :

Maginez-vous cunjor �afut justalinstat zo�Gorgomar ilavait trov� un cadavr� putrid� aucommifo, �dunfum si bonnexcite queunostrezom�ric Gorgomar ilnavait leu clacalangue.C�tace momam�m queussurgit hun Squal.D�qui d�covrit son concurrencier, Gorgomari caculapas. Envibr� de crolire, ifon�a en fl�-chaig�e. Subi, le squalagil viradebord. Gorgo-mar lavairat�.

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Cepadans, ravenu de sa surpre, le squal seritorna soupleste � se-lan�a � granvitesse torpillalisse. Gorgomar nuq leutemps deprojectionner un giclafort dÕ�paiss�pial de sa pochanoir. �afu-cit�t la t�n�bre. C�ceuqui salvata Gorgomar. La trajactoire duSqual d�viationna. Gorgomar porfita porsengarer �la soudaineparun plongeofond. E tadiqueu leu Squal issavaiplu zouzil�t�Gorgomar senarprocha par lÕendessous, �zan cinsec lui d�co-thetit �lavol�e, un coubrus de son b�cadague danla ventraille.Du m�mcoup ilui jacula un pirsan giscle de son salivapoisonsurleuvif de la poignardure. Puisicourut danzun cacharoc,pendanqueu le squal sÕargitaitencor dans lÕexasp�re.Au fur de la bagarrice, leu Squal ilavaipassenti leu fatacoupdla dagapoisonne. Mai�afupalong porquil� les primassignes delÕh�b�tude stuporique dela morbilesse. Le veninviolent gorgo-martique ilargissait. Leu Squal battaileu parinstants vec unevigordudiaz, en tragiquirrite de son ailacodale. Gorgomar enpostass�cure, issuivait lÕagone de son adversier.Par intermittes leu Squal iboujaiplu. Seulun frissolong leuparcorait de t�taqueue. Puisi rebondit dÕun courdarein en d�s-esp�re de voulimpuisse. E�afit dela bouillonne alentourlui.Mait�tapr�s i rovenait dans lÕimmobilie dune fige pr�mortu-aire, �chacafois en plusplus. Zenfin, aboud�nerge, issecouchasuleuflaque, en bateaumort, � tr�passa, lent�pave dans les ma-rinf�res des Lugubres.E Gorgomar rotorna asson macabon mollitapoint, obje del�duelle singule.Maintanant pupersonne ipeut leului disputailler.I lemporta dans ses tentaculs por ses triomphlantesfestivances.�afut leusoir m�m. Issen d�lectisa � boca-bave.Ooh ! squifutexquis ce mortochan-d�zeaux...Des zoo � des zoosses !

LE FANTAMANGE

Le Gorgomar, assa d�bute, �an�t�cun piovre-poulpis, zun petipolyp. Un sanconsid�re, par-cequeuzun qualconque anonymanimal delazootie aquatile. N�taitipas, en vrit�, riencundes miniminimes miliarmiliardi�mesmorcels de la massapopue desSounautes ?Maizilavaitunmais, ce Gorgomar !Cemais c�t�tun zapp�tis extraordinare. I pitan�ait chacouqui-povait � nÕimportaquoi. Ah ! Santad�bine ! il�t�padif porlaboustiffe ! Ilavait la contenti�re accomodeuse � ce momal�.Voras, imiangeait sansinterrompre. Plusigouffrait, plusisse d�-voloppait. Epluis�l�phantait, plusilavait de lÕapp�tille. Oci enpeutemps ifutun polyfort, un polygrand, un polydur. Pui�afutun podoph�nome, podozonorme, podogigant. Ilutalore de laprisance sur lessiens plypotes. Toten masticotant, isse subtilaiten rusassassine.Quantifut un prodigios nautileur, zonlevit dovenir zunagr�zif �zun jalous ! Iveillaita cequeu pazunzun, despolypogres aussien serfice, idovienne unpluforqueu-lui. Si�a harrivait, leu Gorgomar, icit�t, provocataitleupluprosper, �teuleu trucidait subitu. C� v�cettenergie quiputassir sandiscusse son autoritalit�. Parcette r�pute, bonombre de polypozogres lÕensui-virent. Carveclui, yavaitojor daquoi mandibu-ler � fatiguem�choir. Ed ca�ducoin, Gorgomarifut reconnu capdeclan, puiz masterban, puirpolypodorostre de Polypon�se.Portojoravoir daquoi ropondre assaracit� progressinante, ifallubien quil exten-sionnasse les vitozespaces de ses pattarrasses.

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Supersup danleu granbagar, iconquit empromierles soumares de lÕHom�r�g�e. Puisi lattaqua lesbofonds dela charmuse Adriate. E dÕ�gorgeriesen massacrouilles, itablit sa souvorainet� au da-partout danla blue M�diterrane. Del�, vec sespolypozogres, ilinvasionna lÕaqualongue de lÕOc�at-lante. C�t� hun gromor�odonde. Ilfallut coualqueu-temps porla pieuvrer enla pacificotant. Quan�afufaitilyut n�cesse de cadoter, � ses polypogres, la permis-sionne de roprendre de la ravitaille dans les banda-morues de lÕIsolande, edseu ravitaminer dans les her-beries des Marassargas.Maizi sarr�tapal�, idobla la Caporne par lÕendessou-te, � semp�n�tra danleuPancifique. �a c�t�pludurhahavaler .Issoufla unzinstant, � rofl�chit. Puisiposta ses m�-lieurs Potogres audavant des rivagi�res de la Mari-coueste � rotorna en M�diterrane. L� zil morbilisa-tencor des Polypop�des, les discipla, les mitencadres,�leurfit soupasser la Capesp�re. Zarriv� danla fabuleOc�linde, itardapas �la dominanter. Puisi conquistala Chinamare �la Marajapane. E dÕ�lan�les dÕatolan-atolls, par du fossafosse �du gouffragouffre danlat�n�brure, � �orfebrasses �za durdures m�choiries,Gorgomar rahussit, vec ses Marcenaires, � rajoindreles polypogres dela Maricoueste envenus assa ras-couce.

E voil�leu porcoicomme, Gorgomar iputdeviendre zalafois leu Nabol�one �leuZal�cendres de la Poissonnit�, Crusta-cion � Molluscorie Universales.Cons�ca�a, les trompistes dela Ronomo-te zidirent en �blou�se queul Gorgomaril� :Leu Magnifique,Leu Surblime,Leu Fantarastique,Leu GorilleuxDa�a zonenparlora � roparlora au Tem-pespace juscozozo Quiquinenfifinini-plus !Maiqual gueuldevach ila Gorgomach !

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Por sup�rer un badingoFotavoir leureugarapaceDun purpil en facinacioSul popers�on conemproisse.Puifo t�n�brer le zespaceVecdu s�pial paupi�rapoisse,E saliver poisonmortauxFindamoller leu coll�goConagraff� tÕau badingo.

Por�trundur du badingoFo ventouser ses partanairesPar collapeau de bralasso,E zavoir un b�cacalcaireQuipeul�tiendre en f�roc�rePorfair de heus �aconveufaire,E les maner mollomolloZofondeleau, zofondelo,Au finfinal du badingo.

Orce, le Gorgomar ilaUn settier de tortentaculesQuissontoci des braboasA ventouserie empustule.Ila durbec crocacrotule,Du noirempoch por blacoustat,Du salivapoise injectule.E, zidente aux zomadaproia,Ila des zeuils en pharocules.

C�por�aq sansaltar�goGorgomar leu gobegogoIl� tun zas du badingo.

LE BADINGO

Quoic�queuc� le badingo ?C� ladanse des Maramares.Dapuis lÕaularge de RioJusco lÕ�troit du Gibraltare,Dapuir leucap Bonesp�rareJusca lÕHawahi guinguitare,M�m � lÕhorzon fa�a Cisco,Par tr�mousse � par boul�go,Zon ball�tine en badingo.

Dans la risque du badingoFodufur dÕacrobatabeste ;Stadir z�trun polypodoQuiza l�pieds � lÕentorteste.Fo sÕagiler en tourloupestesPar giclavifs d�clanchalestesC�padutouducommodo !Maic� possib quandandeleauZon ballimballe un badingo.

Por rahussir leu badingoFotestre umbon molluscovisqueConpeupas saisire au ligot.Glyc�ris g�latinolisque,Elastiquis cavalcalisque,Ol movacorpus diabolisque !De zotembas � batenzo,De gochadroit � droitago,C� timpharnal le badingo !

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NO�ACARNA

QUANTE Gorgomar iprit fumelle, il�t� dj� unc�l�bre. Oci i choisilla une polypieuse de gran-gueul d�nomin�e :Polypia, Cobrasie, Ventouselle de Lanc�phaldu Bombec de Lumor de la Pamarante. C�t�tun peulongcomeunom, carc�t� une mamoiselle dun tr�zohaut lignache.La c�r�mogne du conjigo zulieu, en grandÕpompe, au Rocastelsoumarique des Bar�cifes Gorgomaresques.Ilyut un no�a�arna du tron dedia, connanna tencore la trem-blute danla Pisciconie.Sanconsid�re des hordovres, poitici les principlats du fanta-bouf vueu les participagapes issenvoy�rent dans les mastiqueu-ses :Echarplures de loumarin �la purpur�e dÕanchoyes au natural.Prisofif dÕ�lorons de b�b�roquins � la rubisance de zourcin-pleins.Graquettes de crovettes � la picorl�picorci. Saladine dÕalgavertes� la printani�re des grandfonds.Daub�e de tripanse de mamouthe des r�serveries frigobor�alede Banquise, � la telquel.Bianquette de marlans engav�s de moilafr�ches de de Tolomoque en Maramistrale.Sardinagrasses nutrit�es de poussanovelles de varache.G�latis de raitigres �froid.

Tondodus du Golfogasco sur canape de Roquinroc.Pilougris dÕescavanes ed moradules dela Anse de Magocie.Roug�deroche � la queulibouge.Rissoleill�e de m�roules � la calorsabule des tropicaplages.Omolette de zÏuffes de harengues � la battabrasse.Bouchet�es de carnach�e �la saut�torpille.Doradarose �la fr�tille.Galimabafre de morutes ed concop�des �la lipp�lamp.Broyadice de macabates au retiro de Marabasse.M�lim�lotte de menufrottin au noirs�pian de Polypon�se.Macabrure de Bombassoumare �la bludelune.Zeuils de chamarin � la settengueule.N�zatruffes de minophoques �la croqueucru.Epuisencor, rencorencor, corcorencor...Le zonzi�me jor la gaverie �lavait pazu decesse. Maila bo-namoiti� des invitiaux izavaient cr�v� dÕindigestio paresclatement dela ventrie. Ces mortatables zon les utilaporla continue des f�taripailles. E�adura sitamplus con-saiplu �aque�adura. Gorgomar essa Gorgomarde Polypiaitinrent leucoup v�caisance � satisfe. Clar, au furamusucun invital iclaquait dela boyaute, zonleu d�vorassionnaitau surplace.E, davant Gorgomar essa Polypia quizanavaient juscal�, le ropacessa queuquand irestaplus de convivants.

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POLYPIA

ALAPRES coualquezans dÕemm�nagerie con-jigouale, Gorgomar iromarquaqueu Poly-pia el semprofondait en sibas dans laroupille nocturale queuc�t� du supradifporla roviller. Chacamatin, porla sortirede son dormire au narcoplombe, les poly-pogrones de serfice z�taient dans lÕoblige dÕarpeler �leur secoureGorgomar luim�m. �uici, parla d�morph�ser, iluitractait unmordocol en incise sanguinavive vecson b�cac�r�.

C� suita�a queu Gorgomar iprigouste � vampirer Polypia.Suretout queuc�t� sans dangit� : Gorgomar issavait se tiendredeneupas lÕ�gorgir. Dautamieuqueu, cette su�ote, c�t�pas pord�plaire � Polypia. M�m�lan magrissaipas porcequeu el goin-frait bocopluqueului : c�papeudir ! ilavoyait an effet prograsserchacajor. Elseu boudinait sÕendouillait, se saucissonait. Ilui-vintun settuple mentonier, � bourbourlaids �la sougorge, auxz�cels, aux entrecuis, �dans les soufesses.

��qui ensouciait Gorgomar c�t�pas cette cellulitose, c�t�-queu Polypia acquisitionnait une musculance quidonnait � sestentaculs leu stylenglouteur du boab costritor. Elpovait main-tanant, vecunseul braboa, estouffoner un cachalogro enleuceinturoulant �zenleu ventousant. Au constata�a, Gorgo-mar rassentit de lÕangore. Clar en simultane, Polypiadovenait acrimogne, acariatride, autoritare, tracassine. Puiselse d�covrit bourrute, brutotte, crol�rique, dangireuse. Gorgo-mar il�tun quislaiss pafair. Orse Polypia zumem la fantaisede commandaturer les polypogres, gardachoc de Gorgomar.�ac�t� crave. C�t�t�cher aux pr�rogates supr�mes du Panta-master des Mar�zoc�anes.C�talore quisse repensaqueu Polypia �lavait la sommeille

lourdi�re �la souprenfonce. Ezunanocte queuzelle pillon�aitendurdur, Gorgomar issaprocha en catamine sourdanage. D�-quifut en c�tac�te vec Polypia, vlan ! ilui translarda lecardiabatte vecson b�cassaignar. �afut sivitfait qu�peine elfi-houf ! Eziladonna emp�tur � ses polypogrons. Ceuci itrov�-rent queu Polypia �l�t� textur�e dandu corias. Maic�t� le hordredu Masterm�ch.Les polypogrons ila d�glut�rent, par ob�isse samproteste.Maizavant izav�zu la pr�caucie de proparer le m�choirage de ladamamorte parune misamollire de trentajors dans lÕaquasal�e.Kam�m alapr�s lÕabsorbe, les polypogrons izurent des coliraf-fres � torboyaute. Izenfaillirent morire, les p�vres ! C�t� dusimoovais !

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�PH�M�RIL

DU

PEUTIPES�ON

Es Bojors :

Le Jor MLonsehaime.

Le Jor PC�lapaix.

Le Jor IJolonrit

Les maujors :

Le Jor NC�lahy�ne.

Le Jor HC�conzhache.

Le Jor JC�cong�t.

ALGA

�tait alhoradorDes clartes m�ridies.

Danleu calmerespirDe la vaguenti�die,

Gorgomar ilallait,En lÕazurel ondul,

Verlaplage alanguineAu cald�blond sabul.

A coualcabrasse � lÕavanfinal delamar, Gorgomar istatitl�, danlaberce du vi�n�va de lÕondaleine, enflotter isselaissa,ensurplace �lasurfe. La capoche �leu hordeleau, ilogardait duc�t�c�te, la dolcine de la sable � lÕensoleille, Gorgomar il atten-dait � ses zeuils izavaient une fixie estrange.

Les zeuils de GorgomarIssont des zeuils de zhomE des zeuils de bestiame.

Zondiqueu c� des zeuilsDe zoandre imagic,Des zeuils de dioz�dias,Des zeuils de ciel�mar.

Les zeuils de GorgomarIssont des emprofondsQuantil sepenseAssa destine.

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Senzattente, Gorgomar ilui proposationna de venire dansson Rocastel des Bar�cifes. Ilavait, quidit, dans son donjon-deau, au plusenhaut de la toravigie, une vastaloge, ensurg�,dÕ�merge sulamar, enplein dans lÕa�rapur envenu dugranlarge.Padh�site, Alga divoui.

Quantellyfut qualbon respiralaise ilavait !

Les petipes�ons zifirent bonaccueille � Alga, car toussuite elleu-leur t�moignit de la pitoye enleur cadotant de la pitance.

Gorgomar ig�tait � lÕendessoute dans lÕondacalme dune cham-brabasse en acouacoure. A lÕaubal�ve, issascenssionnait paruneescali�re alad�robe quileu conductait dans lÕapparte dÕAlga.Iluiportait des crucoquils quellengobait �lafra�che vec d�licie.Puil Gorgomar iprenait leucordÕAlga dans ses tataculs. El,totheureuse, porse tiendre, embouclait ses bobras altourdu-cou de sonamant. C�t� safa�on �lui dÕempromener sa charmuse�lasurfe delamar, aupaloin du Rocastel. C�la quiliufit saisirelart du natacio. Qual bonprof queuc�t� Gorgomar ! �qualebon�l�ve quell�t� Alga ! Ilui monstra comonfait la brassa-lente, la brassaleste, la brassalagodille. Elsut leufair � la perfecte.�afutoci la passassous, la passassus, leu surleudos, leu plata-ventre, lÕenfilarri�re, lÕenfilavant. Elsutoci leu t�tequeue, leufr�til, leu t�til. Zonlavit m�m se hardiller � la candellaplonge�z�la remontecandelle, �lalamproie, �laraie, �lasourich�ve. As-quelle senr�gala, Aga ! � Gorgomar oci b�n�s�r.

Quantelsubien tocequifo, Gorgomar luifit jouiller vec lui lasupranage du diabladeux. �� ��du tonner por assoplir la mus-culance de la carnatisse. C� des entrebi�ses, des enroul�s, destortilles, des fr�misses, des tr�mousses, des titilles, appoitelconsaiplu �quic� ce tatencul zou cette gambagile, nizousqui-l�lui, nizousqu�l�zelle. Ec�plu niluinizelle. C�tune furajouil-le dun bic�phal polypogambe.

Les zeuils de GorgomarIssont du terroribleQuantissontEn ruticol�re.

Mail�zeuils de GorgomarIssont des sidouxQuantissonge � lÕamoure.

Equand Alga lÕhumaneSurlaplage ellavanceVerlamarLes zeuils mirabilis de GorgomarIssilumillent de diames en scintilles,

Ce midil�, commeu les altrafois, Alga l�l�venue en toutanu�laplage ratrouver Gorgomar qui lattend danleaubleue.

Alga c�celle queu Gorgomar ilavait, au b�navant son moriagevec Polypia. ícepeuqueu silse d�brasse de celci, c�poravoir lalibroverte dela fr�quente vec c�l�. Alga c�tune splendiosehumanafille de ra�arousse.Ella une vigor du feudedioz. V��a�l� dunegrazialeste carnadive. Gorgomar ilavaitrov�e fa�a lÕoc�-anile de Touhavahiti danleu Archipial des Honolulutes. Ilana-vaifait la d�couvre un soirqueu la Bellaravis touhavahiciennenautilaitolarge de la Maralune. Une tempeste du tr�nerde�ortzavait ensaisi la nageuzandrine. Gorgomar lapritencharge dansses robustus tentaculos. Ila ramana surlarive, en s�rt� danzuneconcaroche. El�t� en mimorte.

Gorgomar sempressa � laupr�delle au lÕo�zifo �zo comifo. A�orfapplique, Elrovintalavie. Cette soigne futantaugo�t dÕAlga,quelleupria Gorgomar de rocommencer ses atouchs de caressa-douces. Ellelui domandam�m de rovenire. I rovint. Irovinto-l�jors. De roviendre en roviendre, Gorgomar idovint leu

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O ! feudedioz ! ceuq �apeufair un zamourfou !

Cettapr�mel�, Gorgomar il�t� ensieste. Alga luivoulut unebonnasurpre.

Et sortisseule � s�lan�a �lapr�s un marou en superbo. ElvoulaitlÕattraper par la codale porleporter �sson Gorgomar alm�.Ellavaitacqui du soufflelong. �a luidonnait la posse de staterplus dun zinstant en soumare. Kanm�m ilyfallait patrop quel-tard�t poramonter �la surfe delamar, findyprendre un bolbondÕa�re, puisel rocommen�ait sa plonge.

Cepadant, lÕoffusque de sensairie du marou laficorire trovite� trologuetemps aufondelonde. E elvipas un fil�chalut qui-passanproche lemproissa. Quantelle sanaper�ut c�t�trotareDans la chassacoure ellavait toutus� sassoufl�e. Eltomba danslÕ�vanouille.

Gorgomar quiss�t� roviller, vivite qu�l�t�partie. A lodordelleilacercha, la rip�ra �lavit en allonge enchalut�e zofondeleau.A granvitesse, Gorgomar filaverzelle. Icomprit toussuit. Agrancoups de sonfort b�carageur, irrompit les chalutamailles �envola Alga. A grandbrassalarge de ses vigoropodos ila romor-qua jusco Rocastel �la d�posit au plusenhaut dans lÕappartea�rer. L� icit�t i sactionna au tanquiput parla rin�mer, commil-avaifait la primafois quilavait salvat�e.

Le pouvre ! Gorgomar ipassa lÕentotal delanuit �voloir rap-poler Alga �lavie. Rienyfit. Ellavait pertu la respire.

Icompri�a cormieux, � lÕaubal�ve, quantivit leu virsage dÕAlgadÕun blaanc sigriis, sipa�le queu c�t�bien la coloor funa�bre delaamoort. E les zeuils de Gorgomar issegofl�rent jusqueuheuzooh boords. Les petipes�ons izanurent la queueba�sse, cari-zaimaibien Alga.

D�q le chauleil emparut en iradies dans les transpares soumari-nondes, Gorgomar sacouant sa chagrine, issortit. Icerchazofondeleau un coffracier longu�fort quilavaivu au patr�loindu Rocastel. Ileutrova. C�taient des pirathommes quilavaientj�t� �lamar, �pr�lavoir envid�. Gorgomar lÕenserrura dansses tentaculs �leu nautila jusco Rocastel. L�, ileumit danslaplubassencave du Donjondeau � lydescendit leucordÕAlga.Cari volupas con touchasse azelle.

Soigueusamant, Gorgomar fitofond, du coffracier quilavait-overt, un doulit dÕalgueufine, � d�licatamant ilyposa la mort-aim�e. Ilaborda vec amoure dapuis sa bellat�te cheveuleusejusc� ses pi�miris. Puizipris, dans ses rocachettes, des materjolesau natural quilgardait por Alga : fragmes dÕambrador, coquilsarcenci�l�s de Cal�done, grossaperles du Soujava aux lactancesde lunelles. Vecqueu�a iremplit au rasabord le macacoffre.

Zavant de recl�ter labo�te, Gorgomar, caressa longuamant,Alga lamorte, vec ses tentaculs en ralente ali�ge. E pavite,ilabassa la couverclure �la regrette.

Zonleuvitencore rouliner des rocablocs poremplire la cavabas-se zo� roposait lÕAlga ch�rille. Ibouchonna lÕouverte vecunerochonorme quipoussa en difficulte jusc�l�.

Quantou�afufait, GorgomarsÕamonta dadans lÕapparta�redÕAlga sansAlga, au plusenhaut du Donjondeau, �zylyrestasambouge en proua � la malengogne de la souvienne.

Ce tabloc dela cig�te dÕAlga fudune imposance si inacoutumequeu dapartout, �du plusalenfonce de la Gorgomie, zonvintleu virziter. Jamaiso navaivu un monome zoci titanolithe.Zonlappela le Botombo dla Grandamoure.

Zondim�m queudans ce lieuhaut lÕ�mabelle dÕAlga y lifait

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LÕIRRICT�.

Alga vivante, Gorgomar il�t� en deviendred�tun moinmichant, m�mun pludoux. Algamorte, Gor-gomar ilempira dans la maluse. Ifodir quelamort dÕAlga,�afut uncoup tarrible por Gorgomar. Ipuplu selÕentirer de la rem�more. El�t�la tojor en �voque aumitamplein de sa m�ningi�re, m�m la nouille. Le jor isse fadi-guait � longueuzheures cerchant lÕ�puise, finde dormire � brut�-paice, zentombant danla n�ante de lÕoubliance reposale du Pen-seupas. Maiquand isse rivillait, satrorture ricommen�ait en plus-�ffre. Irrict� queuceu cafanoir ipuisseupas le d�griffer dudedansde sa bo�tapense, idovint cro�l en plusplus. De vister queulavie,apr�s la mordÕAlga, continuyait cam�m vec ses agr�mes �ses joyances, issemit � hy�ner tocequivit. Ezilentra dans desfr�n�sailles de d�vorasie apocalypolypes.

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des marmirales. E les petipes�ons, quisont des b�tapab�tes, izi-viennent luidomander, en secr�te, de racup�rer son Gorgormarporleumener v�quelle dans les paysanges o�squiaplu de laretourne.

Vorer lororeVorer leu souarVorer leu bl�mVorer leu nouar,Vorer leu drurVorer leu molVorer leupurVorer leu fol,Vorel polypEl papolyp,Vorer leugrosVorer leumagreVorer leudouxE Vorer lagre,

COLLOC EN GORGOMIE

En Gorgomie, maintanant, ya deuclans en concur-re : �alui des Antigorgos � �alui des Pourgorgos.Les Antigorgos izestiment queuleu Gorgomar il� :

tun quitrichtun hypogonfletun passympatun lithocardecun gobu�strecun mascafacecun canc�rongetun m�namis�recun videviviertun tentacul�run traquenardierrun catastropheur

cun criminomanetun pomperochetun donnedachetun patipatapattuhun z�coutmoi queujtegraffehun zapprochtoi queujteumordehun jeutaimtant queujtemangehun bougedompas queujteudig�refinquoi :cun �on�upi�ant.

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Vorer leuvieu�leu PavieuVorer leumortEleu pamortVorer rocfort,Vorer leu pifVorer laqueue,Vorer leugourdVorer lamour,Vorer lheureuxVorer leubleu,Vorer leuvertVorer lamerVorer leuventVorer lÕespasVorer leutemps ;Puivor� quoua ?Piquoi, piquo� ?Porquoi, porquo� ?Porunsoir estre vor� soua !So� ! so� ! sou� ! sou� !Cro� crou� ! crou�h crou�� !...

VORASIE

tun quissaitou t�conna�touttun quipeutou t�quifaitoutfinquoi :un niapadeucomlui.Zinci, de part�daltre, izaffirmotaient,l�zuns, queu �aquidisait c�duvrai ; �l�zoultres, queu �aquidisait c�dupa-vrai.T�ssuite les c�vrais � lec�pavrais issentrecoisirent.De controverses en inter-pelles, de contrecarres enchamailles, de provocati-ces en movifs, les fa�afa-ces izenvenurent auxapostrons inflammotoi-res :

Ñ Cr�nafendusÑ T�tatrous !

Ñ Sorpiono�des !Ñ Patatamorphes !

Ñ Ichticuls !Ñ Piscikons !

Ñ Bousophores !Ñ Scatophages !

Ñ Coyoflasques !Ñ Bitamolles !

Ecc�terras... Ecc�t�ros...

Danleu surexit des opines viceversales, cafupalong porqueules vivagorgos � les nopapgorgos isse colloquintent dans lesembrouillaminillaises des soumaragrouilles en effervesce.

Ifordirqueu les pes�ons issonsensibles aux zultrassongues desagites aquatiles. Dassorteuqueu izont la possiblit� dÕestremi-sen surfurie par les myst�rozondes r�ciprocites �missionnaires� r�c�piscibles. E �afuvitfait por la d�clanche dune fantabataille� m�choiraiguise.

Cecisepassait aux entoures du Rocastel r�sidencial du Gorgomar.Luic, impassibe dans sa virgie dussien dudonjondeau, issuivaitles p�ripiscies des �chafoures. L�zuns icrillayaient : Abagorgo !Gorgo au zame�on ! L�zautruis izultaient : Vivagorgo ! Gorgoau Rocapitol !

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tun perno�tun salvatordun flairang�lictun bonsens�enzun caducratertun toutarrangistetun quipla�atouszun quadelalanguetun penseprofondzun lasticoportousrun cocoricoristezun zomoin�abouilletun leuparadiportoustun quimarche sulamartun qual�bralongszun touvabien madamarquisetun quissentou t�pigetouttun quivoitou t�zou�tout

Les Pourgorgos issoustiennent queuleuGorgomar il� :

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Maiporla r�tablisse dubon hordre, les Polypogrons de SaMajestique Gorgomarciale urgirent dans les massenfures descombataillants. Les Polypogrons izillall�rent en sanpitoye.Zifirent aux colloqu�s leucoup de lÕestouffette � leucoup ducr�vebide. Incisipurent disloqueter les attroupes � les dispersonner. Les mortibus � les bless�tabas ifurent m�choir�s.

M�m, dans le nar de la bouscule, un polypogron m�choira,sanfairexpr�s, unsien copolype. Mai�a c� de lad�taille. Lesaltres colloquet�s issenfuirent porpaz�tre d�voracionn�s, nides veaurazzionn�s.

�orfedonque restatalaloi gorgomarale.

Alapr��a quicarason ? quicatort ?

C�tavoir �akiora au finfinal.

Kilira�aura.

ILARI

Voye ! Ce virsage de Gorgomar !

Ce matinci, Nostre Empeureure avaiti du t�n�bral�-me ? Se doutaiti cun quekchoz tornait parond en quelqueparsede Gorgomie.

A lÕOriente, le jorapeine isse d�shuissait. Dj� Gorgomar l�taiten apparige danl entrefente lucarnique du Donjondeau de sonRocastel des Bar�cifes.

Vist�leul� ! Il� danla majestique de son Accouaponte Tr�-nit�. Quale prasance crave de ceste physiono-mute dominantesque !

C� queul Gorgomar iripas !

A lÕentor, cepadant, du pluporche au plu-zalenfonce, dans le fluidicristal du jar-dindondalui, les floravives en pleineau-pure.

acqui mieumieusse, aqui pluplusse, �qui mieuss�plusse, acquirepluss�remieusse... Aquabon ? C�dupacompte.

Gorgomar iripas.

se rubilisent,sÕargentilentse zinzolent,se brunifient,

se violettinentse c�ladonnissent

se verjadentsÕazurellent

Les peutipes�ons, en distancie resspectuose, fr�tilent en signa-canis amicalin davant Sa Malengogne Saignarie.En flottali�ge, les M�duselles, balan�alalentes verleur ombel-licienne robatutulle, se chor�graphilent en graciolines entre-chattes.

Dans les fonsabules, les salinestelles elzombo entapissiller lÕor-clar des grandall�es.Sans lassude, des mignotipocampes se mouvancent dans descaracoles � dans des carrouss�lies de bonordonne. Zieuteul� !Issont charmiants ! A cardiajoye issenforcent dela colli�re �dla muselle v�cune g�nieuse amusance.Gorgomar ziripas, ziripas, ziripas cheuteudis !Yayail ! Subitu, le corpattu de Gorgomar issemettentrances.Chacareptilabras de sa t�tagorgone fr�mige.Le Gorgomar ilavu, au l�balabas, un vastaban de sardinableues� ray�vert.Yoyoy ! Elsont en d�pla�amasse, blocunanime, danleu directiodes Bar�cifes.Youyouy ! Elsont des milmilionnes en toutchetouches nageoi-relles : t�taqueue, dosaventure � lÕesquichade, � la poussepoussemarchoucr�ve. Elsont affarm�es. Maizelsompas sardinophages.Elsaiment. Elsavent queul Gorgomar iladutrop. C�verlui quel-vont poravoir de la pite. Elnautilent � bocavide, � platatripe, �c�tamagre.Sardins et sardanes issonvenus des acouacaldes � des acouafriges,du ponantalesp�re edu levantamis�re. Issonvenus � marcha�or-fes, enjor�noctes, danl enfi�vre des sombrassourdes racunes,alcontre Gorgomar le Ravagien, le Teuheur raclarase de laMaramondiale.

Zalorse, Gorgomar ilafait ploufemplonge dans les abyssi�res.Ses gigants tentaculs issessont mitabattreleau en moulinavance,ensuivis des cohortogres dessiens podoc�phals : d�chiqueutiers,broyadeurs � crazarones, porla rencontrochoc des sardin�mies.Aal ! cecouci Gorgomar ilari !Ilari � bocalarge. Ilari � plissepaupi�res. Ilari � froncenazole.Issaiq les insurrect�s sardinains issessont allianc�s vec les Popu-lourcines. Maiqueupeutun zoursin, m�m une myriadoursins,m�m zun triliondoursins ! Issont des trolents dans leur cami-nance. C� des rampistes, des gendambas. Quanta Massassardinesc�du frotin incoh�se, du pagros, dela possi�re de popertypes.E Gorgomar le Zonorme, lÕOgromonstre,Zilarizilarizilari !

D�q le Bandassard ifutenvue, le Gorgomar i lembraya le diclicde lÕattac de ses Polypogres.Cudedia ! �afut dla carnagerie !Les Gorgomariens, furibondants, izurent pabosoin de se ser-vire de leur pochanoir ni dejacter leur poisonnasalive. Leursbramatraques en cognalourd, leurs b�cad�chires en aiguise, leursventouzaligotes en nÏud�trangle issuffissirent.Ohsquizen coutel�rent de queuedeussardis ! Squizen rompu-rent dÕ�pinadorses sardininques ! Squizen tranchirent de t�-tazou�lles ! Squizen d�trip�rent de ventr�cailles ! Le bo-bleu delamar en rosilla. E�afit du violessangui vinaigri.Danleufur du massacra, les Poulpistes izen porfit�-rent por sengaver, �lafra�che, de carnassar-dines. T�t�queues, ventr�flancs, totipassadanla gueulerie des Polyporribles.

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�afut si gouloument, queu chacavallant iper�upas quil engor-geait, � chacacoup, zun irritoursin queu chacassardin ilavaitenu� lÕentredentis juscas sonengloute danl ograventre. Zinci lesceusses de lÕOurcini�re isse sacrificataient en h�rosto�cs porla li-b�rance sardinale.

B�n�tot, les polypleins dÕ�pinourcines ireussentirent des dolo-ratroces danleur abdominable. Peutemps fun�cesse por queu lesGorgomariens, oursin�r�s � lÕentotal, vec leu Gorgomar, r�las-sent en colicaffres dans les �parpilles des fondabysses. �avoyant,les sardinapopules qui zarrivaient en tojorplus du dapartout,iroprirent corage. Zalinstantam�m ifurent si ren�orf�s en trou-pafra�ches quizurent t�tfait de m�choirer � pitibouts les Gorgo-mariens eleur Capamosstre r�ductionn�s � la n�ante du mor-tamar.

Cifinirent leu Gorgomar vec lessiens polypogres !Queuleudiaz il� sa H�me !

�PITAPHOS

CORONNOPUS

Gorgomar avait m�choir� les petipes�ons :Les petipes�ons lÕont m�choir�.

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