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C HLORO VILLE Magazine d’information de la ville de Meudon Avril 2013 N°104 meudon.fr Espaces verts : une démarche éco responsable SCOLARITÉ Réforme des rythmes scolaires : priorité au bien-être de l'enfant SÉCURITÉ Bilan 2012 RENCONTRE Le médecin Éric Bouhier : de l'humanitaire à l'écriture

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CHLOROVILLEMagazine d’information de la ville de Meudon

Avril 2013N°104

meudon.fr

Espaces verts:une démarche éco responsable

SCOLARITÉRéforme des rythmes scolaires :priorité au bien-être de l'enfant

SÉCURITÉBilan2012

RENCONTRELe médecin Éric Bouhier: de l'humanitaire à l'écriture

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ÉDITO 02/03CHLOROVILLE / N° 104 / AVRIL 2013

Hervé MARSEILLESénateur-Maire de Meudon

os collectivités locales subissent de plein fouet les contraintes budgétaires que traversela France: en effet, l’État diminue fortement ses dotations financières, tandis que les entreprises qui alimentent une grande partie de l’ancienne taxe professionnelle, la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises), éprouvent également desdifficultés économiques. En outre, certaines réformes occasionnent malheureusement

des charges supplémentaires: la réforme des rythmes scolaires en fait partie.

Lors de sa séance du 18mars dernier, le Conseil municipal a approuvé le principe du report decette réforme à la rentrée scolaire de septembre2014, comme la loi le permet. En effet, la miseen œuvre de la semaine des quatre jours et demi nécessite une réorganisation profonde, entraînant des conséquences importantes sur les activités proposées aux familles par les servicesde la Ville, les associations ou les clubs sportifs.

Il apparaissait important, à nos yeux, de consulter au préalable l’ensemble des acteurs concernés(directeurs d’écoles, communauté éducative, parents d’élèves, responsables associatifs…), d’unepart pour exposer les tenants et aboutissants de cette réforme et d’autre part pour analyser les contraintes en termes d’organisation et de coût. Cette réflexion était menée en parallèle d’uneconsultation à l’attention des Meudonnais. Je saisis cette occasion pour remercier tous celles et ceux qui ont répondu à ce questionnaire et qui nous ont également fait part de leurs interrogations.

Lors de la conférence sur les rythmes scolaires organisée par la Ville en présence du directeuracadémique des Hauts-de-Seine, qui clôturait en quelque sorte cette période de réflexion, les personnes présentes ont pu exprimer leurs observations -nombreuses au demeurant- etaussi, pour certains, leurs inquiétudes légitimes.

Meudon appliquera bien sûr cette réforme: mais la municipalité a pris le parti de ne le faire qu’en 2014 en concertation avec la communauté scolaire, comme la quasi-totalité des villes du département.

C’est un travail de longue haleine tant pour les services municipaux que pour les écoles et les enseignants. Nous préférons ne pas agir dans la précipitation, dans l’intérêt des enfants et des familles de Meudon.

N

SOMMAIRE

4 10 15 18 26 30

4 Arrêts sur image

6 Ils font l’actualité

7 Actualité

8 Vie municipale

9 TravauxL’avenue de Verdun enchantier

10 ScolaritéL’heure est à la concertation

12 SécuritéDélinquance : bilan 2012

14 JeunesseÉté : partir en vacances ou travailler?

17 CultureJournées des métiersd’art : les artisans du Potager du Dauphinvous accueillent

18 DossierEspaces verts : la Ville ne se repose pas sur ses lauriers

25 Associations

26 Rencontreavec Éric Bouhier,médecin et écrivain

28 Entreprendre

30 SportsCourse à pied : des entraînements gratuits

32 Tribunes

34 Pratique

34 Carnet

PRÉCISIONNous présentons nos

excuses à la photographe

forestoise Céline Benoît,

dont la photo parue dans

notre dernière édition

était destinée à illustrer

l'annonce de son

exposition, et non notre

article sur les violences

conjugales. Ainsi qu’à

son modèle, dont l'image

a été utilisée hors de

son contexte.

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ARRÊTS SUR IMAGE

Une nuit pour traquerles déperditions de chaleurComment réaliser des économies de chauffage? La question est d'actualité en hiver. Lors de la nuit de la thermographie, organisée par l’agence locale de l’énergie, lesparticipants munis d’une caméra thermique infrarouge ont mesuré un phénomène invisible à l'œil nu: la déperdition thermique. Les particuliers sont repartis avec de précieux conseils pour mieux isoleret chauffer leur habitation.

Aimez-vous les mathématiques ?«La Science se livre» les a mises à l’honneur du 2 au 22février, dans les Hauts-de-Seine, pour le rendez-vous annuel de la culture scientifique.Près de 130 animations gratuites ont été proposées dans une trentaine de lieuxculturels, dont le CNRS de Meudon, où s’est tenue la soirée d’ouverture sous la houlette de Claudie Haigneré, Présidente d’Universcience et spationaute.

Un air deNouvel an chinoisL’école Paul Bert a fêté Carnaval, samedi 16février, avecdes déguisements sur le thème du Nouvel An chinois. Dragonscolorés, samouraïs… les enfantss'étaient tous grimés et déguiséspour la parade dans le quartier. Et même si la température était plutôt fraîche, l’ambianceétait chaleureuse du côté des parents.

Les salariés distinguésAccueillis par la Municipalité au Potager du Dauphin, les 76 récipien daires de la promotion de janvier2013 des médaillés du travail se sont vu remettre leur diplôme d’honneur par Hervé Marseille, samedi 16février. Des distinctions venues saluer 20 ans (médaille d’argent), 30 ans (médaille de vermeil), 35 ans (médaille d’or) et 40 ans (grand or) qui récompensent les efforts consentis dans l'exercice de leur profession dans le secteur privé.

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04/05CHLOROVILLE / N° 104 / AVRIL 2013

Théodore Rousseau, le renouveau de la peinture de paysage

ous avez jusqu’au 28 avril pour découvrirl’exposition consacrée par le Musée d’artet d’histoire à celui que Théophile Gautier

appelait le « Delacroix du paysage. » Mort à Barbizon en 1867, Théodore Rousseau est re-connu par les historiens d’art comme l’un desprincipaux paysagistes du XIXesiècle, au mêmetitre que Millet, Corot ou Monet, même s’il a parfois été injustement critiqué par le mondede l’art. L’exposition rassemble une trentained’œuvres, huiles et œuvres graphiques, prêtéespar le Petit Palais, les musées d’Orsay et des Beaux-Arts de Reims, de Nantes, etc. ainsique par des collectionneurs privés. Elle est co-organisée avec l’association les Amis du paysage français. l

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Meudonnais à l’honneurJehan Moreau, directeur de la fédération nationale de l'industrie laitière, a été nommé chevalier dans l'ordrenational de la Légion d'honneur, le 1er janvier 2013.

Trois Meudonnais se sont vu décerner en début d’année la médaille de bronze de la Jeunesse et des sports. Cette médaille récompense l’engagement bénévole de cespersonnes au service du sport et d’activités socio-éducatives:

• Paulette Bru est la trésorière de l’ententerugbystique Plessis-Meudon.

• Salvador Guerrero est le président de l’US Meudon,club de football fondé en 1979. Les « bleu et blanc»jouent à domicile au stade de la pointe de Trivaux..

• Guy Martagex avait fondé et présidé l’association La Tribu, aujourd’hui dissoute. Champion de karaté(médaille de bronze), il a formé un grand nombre de professeurs du club .

ILS FONT L’ACTUALITÉ

Le Guide du Routard a 40 ansLe Meudonnais PhilippeGloaguen a lancé le premierGuide du Routard auprintemps 1973, quelquesannées après les premiersvols charters. Sonpositionnement est à contre-pied des autres références du voyage et met en avantles bons plans, pas chers et typiques. Quarante ansplus tard et 40millionsd’exemplaires vendus, le Routard est le premierd’entre tous.

Bien vieillir à Meudon‘est ce que Suzanne Dubois,adhérente au club de laBonne humeur, doit se dire

depuis qu’elle a fêté ses 100 ans, le 27 février. Originaire de la Haute-Marne et d’une famille de vignerons,elle est venue habiter à Meudon en1941. Elle entre dans la vie active à 46 ans dans une caisse de pré-voyance, avant de prendre sa retraite.Randonnées et scrabble sont ses activités préférées toujours dans la Bonne humeur! l

Hervé Marseille, Anne-SophieCompagnon, fondatriceet professeur de Danse et Compagnieet Georges Koch,premier Maire adjointdélégué aux Sports,entourent Léa, Sally et Gwenaëlle.

Suzanne Dubois et son fils.

Un club en or

’association Danse et Cie en-grange médailles après mé-dailles, titres après titres,pour devenir le premier clubde France aux derniers cham-

pionnats nationaux. Sally Troussiere (10 ans) est championnede France en danse jazz et deux de ses acolytes, Gwenaëlle Gauthier (10 ans)et Léa Castagnetti (12 ans), terminentdeuxièmes. Deux autres élèves du club

ont raté de peu le podium et se sont classées à la quatrième place. En 2012,Gwenaëlle Gauthier avait déjà remportéce titre comme son camarade, AlexandreLapierre. Les années se suivent et se ressemblent pour Danse et Cie… unecontinuité dans le talent. Avant de rejoindre Danse et Cie, ces jeunes avaientaccompli leurs premiers pas de danse à l’École municipale des sports avecAnne-Sophie Compagnon. l

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Anniversaire

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Extinction des feux la nuit

Bureaux, magasins ou encore gares,façades de monuments et mairie,devront être plongés dans le noir, la nuit, à partir du 1er juillet, une mesure de sobriété à laquelleéchappe l’éclairage public. L’arrêtépublié au Journal officiel stipule que les vitrines devront être éteintes entre 1h et 7h du matin.Lorsque l’activité se poursuit après1h du matin, elles peuvent êtreéteintes une heure après la ferme-

ture et allumées une heure avant ledébut de l’activité, si celle-ci débuteavant 7h. Des dérogations pourrontêtre accordées par le préfet, lesveilles de jours fériés et à Noël.Selon l’agence de l’environnementet de la maîtrise de l’énergie (Ademe),cette mesure devrait permettre de réduire les émissions de CO2 de250000 tonnes et d’économiserl’équivalent de la consommation de 750000 foyers par an. l

ACTUALITÉ 06/07CHLOROVILLE / N° 104 / AVRIL 2013

La saison des mariages

Acheter votre place en lignePour les derniers spectacles de la saison 2012-2013, il vous est possible depuis le 11marsd’acheter vos places surMEUDON.fr. Ce service d’e-billetsera étendu aux abonnements fin mai et totalementopérationnel en mai pour lesspectacles de la prochaine saison

du centre d’art et de culture et de l’espace culturel de Meudon-la-Forêt. Autreavantage, les billets peuvent être imprimés chez vous (en noir et blanc ou en couleur) et un contrôle à l’entrée de la salle à l’aide d’un lecteur code-barressera effectué. Pour sortir àMeudon, commandez de chezvous, c’est plus simple encore!

Centre d’art et de cultureAutolib’, une affaire qui roule

rès loin de faire du surplace,les Autolib’ roulent bien, voiretrès bien. C’est ce qui ressort

de la première année d’exploitationde ce service de location en libre service avec, dès janvier 2013, labarre du million d’emprunts fran- chie. Un service que la directiond’Autolib’ se verrait bien multiplierpar trois d’ici la fin de l’année.

Ce succès est loin de se démentir àMeudon, où 5778 emprunts et 5741dépôts ont été effectués depuis lelancement de la première station, en mars 2012. La Ville en comptedésormais huit. Trois d’entre elles,rue de Paris, avenue du Général deGaulle et rue Terre Neuve génèrentplus des deux tiers du trafic Autolib’ sur la commune. l

T

e sont 159 mariages qui ont été célébrés en 2012 àMeudon, un record sur les

4 dernières années. On se marieplus souvent au printemps et c’estjustement cette période qu’a choisil’association des Familles de Meudonpour organiser sa 4e conférence autour du mariage civil en présenced’experts. Les bénévoles de l’asso-

ciation, des officiers d’état civil et unnotaire répondront aux questionsdes futurs époux, auxquels un guidedu mariage sera remis. lSamedi 6 avril, 10h

Potager du Dauphin

Salle de conférences

15 rue de Porto-Riche

01 46 26 63 10

familles-meudon.fr

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Avec près de 6000 emprunts et autant de dépôts effectués à Meudon depuismars2012, Autolib' n'a pas mis longtempspour prouver son efficacité.

53,7%Avec plus de 13000 visiteurs en 2012, le musée Rodin de Meudon a vu sa fréquentation augmenter de 53,7%. Désormais ouverte au publictoute l’année, l’ancienne demeure du sculpteur respire encore sa présence. À découvrir ou redécouvrir, tous les vendredis, samedis et dimanches de 13h à 18h. www.musee-rodin.fr

Le chiffre

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VIE MUNICIPALE

u cours de cette séance, les élusont décidé le report à septem-bre 2014 de la réforme sur lesrythmes scolaires. C’est l’inté-rêt de l’enfant qui a conduit à

cette décision, car agir dans la précipitationn’aurait pas été une bonne solution, tant cetteréforme implique des changements dans lestransports, la restauration scolaire, les activitéspériscolaires et associatives, pour les ensei-gnants, les personnels municipaux intervenantdans les écoles et les parents eux-mêmes. Cetteréforme a aussi un coût estimé à 700000 €

pour la Ville, non compensés par l’État. Autantde raisons qui imposent un travail de réflexionet d’anticipation (lire aussi pages 10-11).

L’ESPACE CULTUREL ROBERT-DOISNEAUEn 2012, à l’occasion de la visite de chantier organisée pour les Forestois, ceux-ci ont pufaire des propositions pour choisir un nom àl’espace culturel de l’avenue de Lattre de Tassigny.Les élus ont décidé de le dénommer Espace Ro-bert-Doisneau. Ce choix fait écho à l’expositionde photos, parrainée par la fille de R.Doisneau,organisée lors du 50e anniversaire de Meudon-la-Forêt. Pour l’anecdote, ce célèbre photographe,qui a longtemps habité les Hauts-de-Seine, a réalisé son tout dernier cliché à Meudon.

PLAN LOCAL D’URBANISMEBon nombre de personnes ont déjà entenduparler du PLU sans en connaître forcément sonutilité. Ce document détermine les droits àconstruire sur chaque parcelle de la communeet vise à satisfaire des besoins en logements.Celui-ci est en vigueur à Meudon depuis le13avril 2010. Tous les trois ans, un débat est or-ganisé au sein du conseil municipal pour jugerde ses résultats et éventuellement le réviser.L’enjeu est de taille, car il faut construire aumoins 180 logements par an pour stabiliser lapopulation aux environs de 46000 habitants.Signe encourageant : le niveau démographiquese rapproche de celui de 1990 pour la premièrefois depuis plus de 15 ans. Il n’est certes paspensable de faire reposer les charges de la Ville

sur un nombre de foyers en diminution. Si onexamine de près les effets du PLU entre 2010et2012, on constate que 359 logements ont étéautorisés. Malgré les recours et une pénurie dufoncier, des programmes immobiliers sont ouseront menés comme à Meudon sur Seine et àla Pointe de Trivaux. Meudon compte également26,77% de logements sociaux, le taux le plusélevé des communes de Grand Paris SeineOuest. Au regard de ces résultats, il a été décidé de ne pas modifier l’actuel PLU.

PROGRAMME LOCAL DE L’HABITATCOMMUNAUTAIRECe programme, approuvé par la communautéd’agglomération le 20décembre dernier, s’ap-

plique à l’ensemble des sept communes. Il fixe,pour les six ans à venir, les principes d’une politique visant à satisfaire les besoins en logement et en hébergement, notammentpour les personnes handicapées, à favoriseraussi la mixité sociale dans les quartiers.L’État estime qu’il faut créer 2000 logementspar an pour satisfaire la demande des mé-nages. Cet objectif paraît difficilement attei-gnable étant donné le potentiel de chaquecommune, les recours contentieux exercés, lacomplexité croissante du code de l’urbanisme.Malgré cela, Meudon dispose d’atouts pours’en rapprocher. Ses projets immobiliers, enparfaite cohérence avec le PLH, sont un levierpour construire de nouveaux logements et renouveler le parc existant. Le conseil munici-pal a émis un avis favorable sur le projet PLHet sur les moyens relevant de la compétencede la Ville à le mettre en œuvre dans le cadrede ce programme. CF l

Logement : répondre à lademande des Meudonnais L’ordre du jour de la séance du 18 mars comportait des sujets d’actualité : la réforme des rythmes scolaires, la dénomination de l’espace culturel de Meudon-la-Forêt, l’urbanisme et plus précisément les questions liées à la construction de logements.

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L’espace culturel de Meudon-la-Forêt s’appelle désormaisl’espace Robert-Doisneau

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es travaux, engagés début mars, sont dans la continuité de ceux réali-sés depuis le rond-point de la Fermeet de Vallée Rive Gauche, chantier de requalification de la RD7 mené par

le Conseil général des Hauts-de-Seine. Une pistecyclable rejoindra les quais de Seine, les trottoirset les traversées seront accessibles aux per-sonnes à mobilité réduite. Le chantier a été organisé en six phases pour perturber au minimum les circulations auto- mobile et piétonne, ainsi que l’accès au groupescolaire Perrault-Brossolette. Les dates indiquéesne tiennent pas compte des aléas climatiques et techniques inhérents à de tels chantiers.La première phase, qui s’achève début avril, estl’une des plus contraignantes, avec la mise en sensunique de l’avenue de Verdun dans la direction Issy-les-Moulineaux – Sèvres. La déviation dans l’autresens passe par la rue de Vaugirard, les quais deSeine et la rue Jean-Pierre-Timbaud pour rejoindreMeudon. Des arrêts minute ont été matérialiséspour que les parents puissent déposer leurs enfants à l’école en toute sécurité.

Lors des phases 2 (du 8avril au 3mai) et 3 (du 6 au 31 mai), la circulation redevient normale tout en étant limitée à 30km/h aux abords du chan-tier. À l’issue, un îlot central aura été aménagérue de Vaugirard. Du 3juin au 26juillet (phase 4),la circulation rue de Vaugirard passera en 2 fois 2 voies et celle sur l’avenue de Verdun, à la hau-teur du groupe scolaire Perrault-Brossolette, sera

limitée comme lors de la première phase. Lesdeux dernières phases seront exécutées en pa-rallèle avec un enrobé final de la chaussée entreles 19 et 30 août, et un terrassement de voirieentre les 15 juillet et 6 septembre. L’avenue deVerdun repassera en sens unique dans les mêmesconditions que lors des phases 1 et 4, mais cettefois-ci côté Issy-les-Moulineaux. Un cheminementpiétonnier sera sécurisé côté Meudon pour larentrée scolaire. LR l

En savoir plus sur meudon.fr

TRAVAUX 08/09CHLOROVILLE / N° 104 / AVRIL 2013

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Artisans et commerçants relèvent l’éco-défiLes « Éco-défis » s’inscrivent dans le programme local de réductiondes déchets, avec l’objectif de réduire de 7 % le tonnage globald’ordures ménagères d’ici 2015. Mieux trier et revaloriser ses déchets,limiter la production de déchets dangereux… Ce sont des gestes simplesque les commerçants et les artisans doivent adopter.En partenariat avec la Chambre des métiers et de l’artisanat des Hauts-de-Seine (CMA92), Grand Paris Seine Ouest et la Ville de Meudonprésenteront, le 11 avril, un dispositif innovant de labellisation et d’aidesà la communication. Des conseillers de la Chambre des métiersaccompagneront les artisans et les commerçants pour définir leurs«Éco-défis » et pour rédiger le dossier de labellisation. Jeudi 11avril, 19h30Potager du Dauphin15 rue de Porto-Riche

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Avenue de Verdun: 6 mois de travaux

e programme immobilier, route de Vaugirard (photo), doit être livré à l’automne avec 30 studios pour adultes handicapés pour l’APEI-Meudon, 23 logements sociaux

qui entreront dans le parc de Seine Ouest Habitat et environ2500m2 de bureaux. Plus haut, route des Gardes, l’ensemble im-mobilier BBC, conçu par l’architecte Jean-Michel Wilmotte,amorce sa construction. Ce sont 54 nouveaux logements qui seront livrés dans le courant 2014. l

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L’aménagement de l’avenue de Verdun, voie limitrophe avec Issy-les-Moulineaux, se poursuivrajusqu’aux premiers jours de septembre.

Des arrêts minute pourdéposer les enfants à l’école

Infos chantier

Afin de vous informer sur le projet de la Cité musicale de l'île Seguin, le conseilgénéral des Hauts-de-Seine organise une réunion publique le vendredi 12 avril àpartir de 20h30 au parc nautique de l'île de Monsieur. cite-musicale-ile-seguin.hauts-de-seine.net

Réunion publique

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SCOLARITÉ

avoriser la réussite des élèves, améliorer l’articulation des tempsscolaires et périscolaires et contri-buer à l’égalité des chances, voici les grands objectifs de la réforme des rythmes scolaires, l’un des volets

du projet de refondation de l’école. À Meudon, leConseil municipal(1) a décidé de mettre en œuvrecette réforme en septembre2014.Une première étape vient d’être franchie avec unelarge concertation de tous les acteurs éducatifsconcernés par la réforme. Tout au long du mois dejanvier, la Ville a multiplié les rencontres avec lesdirecteurs d’école, les représentants des parents

d’élèves, des cultes, les associations culturelles,sportives et éducatives, la médecine scolaire. Elle a étudié à la loupe les 822 réponses des Meudonnais qui ont exprimé leur point de vue sur meudon.fr.Réunis samedi 23 février au centre d’art et de culture, les parents d’élèves et les acteurs de lacommunauté éducative, dont de nombreux ensei-

gnants, ont découvert les résultats de cette enquêted’opinion. Cette présentation a été suivie d’un débatavec Hervé Marseille, Édouard Rosselet, directeuracadémique des services de l’Éducation nationale,et Virginie Lanlo, maire adjoint chargée des affairesscolaires. Des échanges parfois vifs, mais construc-tifs, où chacun a pu exprimer ses inquiétudes. Auchapitre des préoccupations, le corps enseignant amanifesté sa déception de ne pas avoir été assezécouté par les services ministériels, tandis que différents participants craignent que cette réforme,jugée trop floue, ne fatigue davantage les élèves, aulieu de contribuer à leur réussite. «La répartitiondes temps d’apprentissage sera repensée, mais

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Réforme des rythmes scolaires: point d’étapeLe bien-être de l’enfant et son épanouissement à l’école sont les priorités. Aussi, la Ville ne souhaitepas appliquer cette réforme dans la précipitation. Afin de prendre les bonnes décisions, l’heure est à la concertation avec la communauté éducative et les parents.

La Ville mettra en œuvre cette réforme en concertation

avec tous acteurs de lacommunauté éducative.

Photos : Patrice Quillet

Pour présenter les résultats de la concertation et les perspectivesd’application de la réforme, ÉdouardRosselet, directeuracadémique del’Éducation nationale,Virginie Lanlo, maire adjointdéléguée aux Affairesscolaires, et Marie-Hélène Jaulgey,directrice del’animation locale, ont répondu auxquestions de la salle.

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leur durée ne changera pas, remarque un di-recteur d’école. Il aurait été préférable d’initierun changement de fond et de nous laisser plusde temps pour nous organiser.» De l’avis géné-ral, les journées s’articuleront différemment,mais elles ne seront pas moins chargéesqu’avant. En additionnant les temps scolaires etpériscolaires, les enfants passeront beaucoupde temps en collectivité. Une maman s’est faitela porte-parole de nombreux parents en de-mandant si les nouvelles activités éducativesseront payantes. D’autres se sont interrogés surles devoirs à la maison. Et les élèves en mater-nelle : auront-ils un temps de garderie en plusou un accès aux mêmes activités que leursaînés en élémentaire? Les questions ont fusétoute la matinée.

PRIORITÉ : L’INTÉRÊT DE L’ENFANTLa Ville a précisé sa position: privilégier l’intérêtde l’enfant et ne pas brûler les étapes. Car toutesles conséquences de cette réforme doivent êtreanticipées, en termes d’organisation et de coût:gestion de l’emploi du temps des agents munici-paux (animateurs, gardiens, ATSEM, agents de restauration et d’entretien, éducateurs sportifs),incidences sur la restauration scolaire, impact surl’occupation des équipements sportifs, organisa-tion des travaux dans les écoles… Le service Édu-cation de la Ville compte élaborer un Projet

éducatif territorial (PEDT) de qualité, en lien avecles acteurs du domaine de l’éducation. De cette plate-forme découleront les activités sportives,culturelles et de loisirs proposées aux enfants, la participation des familles, des associations, lenombre d’ateliers par école… Pour organiser aumieux la journée des enfants de maternelle et bien cerner leurs besoins, un groupe de travail sera constitué. Autre précision, les activités périscolaires restent facultatives et leurs tarifsfixés selon le principe du taux d’effort. De cepoint de vue, rien ne change. La Ville conti-nuera à proposer un accompagnement sco-laire. « L’enfant n’aura aucun devoir écrit àfaire chez lui mais des leçons à apprendre, pré-cise Édouard Rosselet. Même si vos craintessont légitimes, il faut essayer d’avancer defaçon positive ! Dans l’application de cette ré-forme, des villes comme Meudon disposerontd’emplois d’avenir, financés en partie par l’Étatet la Région. ». CF lRésultats complets du sondage sur meudon.fr(1) Séance du 18mars 2013. Lire compte rendu page8.

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Réforme des rythmes scolaires: point d’étapeLe bien-être de l’enfant et son épanouissement à l’école sont les priorités. Aussi, la Ville ne souhaitepas appliquer cette réforme dans la précipitation. Afin de prendre les bonnes décisions, l’heure est à la concertation avec la communauté éducative et les parents.

Les principes de la réforme Les écoliers français ont plus d’heures de cours, mais moins de jours de classe que la plupartdes autres élèves dans le monde. Une année scolaire totalise 864 heures d’enseignement,contre 774 à 821 heures chez nos voisins européens. Cette situation ne tient pas compte durythme biologique de l’enfant. La réforme prévoit 24heures d’enseignement hebdomadaire sur4 jours 1/2 au lieu de 4 jours actuellement. Avec le mercredi matin en plus, la journée de classesera allégée de 45 minutes en moyenne, avec une pause déjeuner d’1h30 au minimum. Avec desjournées d’école moins chargées, les enfants disposeront de plus de temps pour pratiquer desactivités culturelles ou sportives. À charge pour les communes de les mettre en place. Cetteréforme entrera en vigueur dès septembre prochain ou, pour les villes qui en font la demande,à la rentrée 2014.

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La réforme à Meudon2e trimestreValidation de l’emploi du temps avec les enseignants, l’inspectionacadémique et les représentants de parents d’élèves.

3e trimestre• Concertation sur le Projet éducatifterritorial avec tous les acteurséducatifs concernés, les servicesmunicipaux et les partenaires locaux.

• Validation du PEDT et déclinaison parécole.

4e trimestre• Sondage auprès des parents sur leursintentions d’organisation sur les tempspériscolaires et les accueils de loisirs.

• Validation des moyens à mettre enœuvre dans le cadre du budget 2014.

A.P.C.Les activités pédagogiquescomplémentaires sont un tempsd’enseignement permettant auxenseignants d’accompagner les élèvesdans leur travail personnel, une heurepar semaine. Elles sont gratuites pourles familles et les élèves ne sont pasobligés d’y participer, car soumises à autorisation parentale. Les A.P.C.remplaceront l’aide personnalisée dès septembre 2013.

T.A.P.Les temps d’activités périscolaires, mis en place par la collectivité enprolongement du temps scolaire,favorisent l’égal accès de tous lesenfants aux pratiques culturelles,artistiques, sportives, etc. Elles sedérouleront dans l’école ou en dehors.

P.E.D.T.Élaboré à l’initiative de la commune, le projet éducatif territorial associe les acteurs intervenant dans le domainede l’éducation : les familles, lesassociations, les institutions culturelleset sportives, l’Éducation nationale, etc.Son but : créer des synergies pourproposer aux élèves un parcourséducatif de qualité.

Calendrier

Glossaire

Réunis samedi 23 février au centre d’art et de culture, les parents d’élèves et les acteurs de la communauté éducative ont été nombreux à juger cette réforme trop floue.

Le débat

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SÉCURITÉ

u rang des bonnesnouvelles du bilan dela sécurité en 2012 figure la forte chutedes vols dans les

véhicules. Mais ce n’est pas la seule. La commune a également vu le nombrede vols à main armée, de vols à la tire et de dégradations reculer. De quoiconforter la commissaire de Police, Yannette Bois, dans son action : « cesbons résultats prouvent l’efficacité desdispositifs de surveillance mis en placedans certains quartiers et autour desgares, où des actes de délinquance,comme des vols à l’arraché ou à la roulotte, avaient été commis. Parallèle-ment, nous nous sommes employés àmaintenir un bon niveau d’occupation du terrain. » Une présence visible et dissuasive mais aussi répressive qui s’est traduite par plusieurs interpella-tions. 2012 a notamment été marquéepar un doublement du nombre d’arresta-tions pour atteinte à la législation sur les stupéfiants.

ADN ET VIDÉOSURVEILLANCEAutre motif de satisfaction: le bon tauxd’élucidation enregistré par le commis-sariat, autour de 37%. Pour la commis-saire de police, ce résultat s’expliquenotamment par un recours plus fré-quent aux analyses scientifiques. « Larecherche d’empreintes digitales et de traces ADN après un cambriolage ou un fait de dégradation est devenuequasi – systématique», souligne-t-elle.Ce sont de nouveaux moyens d’investi-gation pour lesquels de plus en plusd’agents reçoivent aujourd’hui une formation.

La vidéoprotection constitue égalementun outil d’identification efficace. «C’estune aide précieuse qui nous a notam-ment été très utile pour élucider une série de vols à la roulotte. L’exploitationdes images fournies par les caméras nous a ainsi permis d’interpeller plu-sieurs individus et d’élucider une tren-taine de faits au total », expliqueYannette Bois. L’extension par la Ville duréseau de vidéoprotection à une ving-taine de caméras devrait contribuer àaméliorer encore la surveillance de lavoie publique et le travail d’enquête des policiers.

VIGILANCE CITOYENNEBien qu’affichant un taux relativementstable par rapport à 2011, les cambrio-lages restent un phénomène préoccu-pant. « Une fois encore, la meilleureréponse consiste à se montrer présentsur le terrain», insiste la commissaire.Toutefois, elle compte également surla vigilance citoyenne. « Il est impor-tant que les habitants soient prudentsvis-à-vis de leur logement mais ausside leur environnement de vie. Ils nedoivent pas hésiter à nous appeler s’ilsconstatent une présence suspecte dansleur quartier. » Une vigilance que lacommissaire recommande égalementd’observer face à certains démar-cheurs à domicile. «Il y a beaucoup dedémarchage légal mais aussi de vraisescrocs.» Avec comme cible privilégiée,les seniors. Et là encore, quelques règlesde base s’imposent, comme demanderla carte professionnelle de l’intervenantet mieux, appeler la société dont il se recommande. Des gestes de bon sens,souvent gage de dissuasion. MA l

A

Combattre la délinquance au quotidienPour la deuxième année consécutive, ladélinquance de proximité a enregistré un légerrecul en 2012, tandis que la délinquance générales’est maintenue au même niveau qu’en 2011. Zoom sur les principales évolutions de l’annéeécoulée.

« La recherche d’empreintes digitales et de traces ADN après un cambriolage ou un fait de dégradation est devenue

quasi–systématique », souligne la commissaire Yannette Bois.

Photos : Bertrand Guigou/Bertrand Guiton/Romain Gouloumès

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Combattre la délinquance au quotidien

des vols à la roulotte, des vols à la tire et des dégradations.

des affaires élucidées (37 %).

de 50 % des arrestations pour détention ou trafic de stupéfiants.

du nombre des cambriolages.

de la recherche d’empreintes digitales et de traces ADN lors de cambriolages et dégradations.

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Yannette Bois, commissaire de Police

Quelles sont vos priorités d’action pour 2013?La baisse des cambriolages reste le premierde nos objectifs. Si nous allons continuer àmaintenir, voire amplifier nos dispositifs d’occupation du terrain, il s’agit égalementd’accentuer la prévention en amont, notam-ment en direction des personnes âgées pourles aider à se protéger contre les vols par ruseou à la fausse qualité. Autre objectif fixé pour 2013: les stupéfiants et plus spécifique-ment le trafic qui favorise le développementd’une économie souterraine et dégrade lecadre de vie des habitants.

Comment s’organise votre collaboration avecla police municipale?Nos forces collaborent de manière efficace et complémentaire dans la surveillance de lavoie publique ainsi que l’encadrement de nom-breux événements. La police municipalecontribue par ailleurs à améliorer les moyensmis à la disposition de la police nationale no-tamment à travers l’utilisation de la vidéopro-tection. En 2013, la coordination avec la policemunicipale devrait monter en puissance. Nous souhaitons en effet l’associer davantageà certaines opérations de surveillance ou de contrôles routiers.

La police nationale est un acteur incontour-nable du Conseil local de sécurité et de pré-vention de la délinquance (CLSPD). Que vousapporte la participation à cette instance?Le CLSPD constitue un lieu importantd’échanges d’informations avec les élus, lesprofessionnels de l’éducation, de l’action so-ciale mais aussi les bailleurs sociaux. Il permet,dans le respect du secret professionnel imposéà chacun, de prendre le pouls de la collectivitéet de prévenir l’émergence de certainesformes de délinquance par la mise en œuvred’actions de prévention ou de répression ciblées.

3 QUESTIONS À

Une présence visibleet dissuasive, maisaussi répressive.Les caméras devidéoprotectionaméliorent lasurveillance des voiespubliques et le travaild’enquête despoliciers.

« La recherche d’empreintes digitales et de traces ADN après un cambriolage ou un fait de dégradation est devenue

quasi–systématique », souligne la commissaire Yannette Bois.

Les faits marquants de l’année 2012

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JEUNESSE

i NFORMATIONS PRATIQUES

Escalade, randonnées et grand airen SavoieAprès une nuit en train, les jeunes se réveillerontdans la vallée savoyarde de Hauteluce, où ilsseront logés dans un village réputé pour soncadre idyllique et ses activités de pleine nature.Cette région est le paradis des amoureux d’esca-lade, de randonnées et de grand air. Avec un guideconfirmé, les apprentis montagnards s’initieront à la via cordota, une façon d’appréhender en douceur des pentes rocheuses abruptes. Des marmottes croiseront peut-être leur chemin.Redescendus sur terre, ils visiteront les villages de Beaufort et des Saisies. Leurs animateurs les emmèneront sur la base de loisirs de Marcot pour profiter de la piscine, du trampoline, du minitennis, du mini golf. Au programme également:course d’orientation, veillées, grands jeux et nuiten camping.Samedi6 au vendredi 19juillet (6 - 10 ans et 11 - 13 ans)Jeudi1er au mercredi 14août (6 - 10 ans)

Plongée sous-marine et kayak de mer dans les Pyrénées Orientales

Proche de Perpignan et de Saint Cyprien, cette escapade méditerranéenne ne manque pas d’at-traits. Elle est réservée aux jeunes qui saventnager, condition indispensable pour goûter auxplaisirs de la plongée sous-marine et du kayak demer. Pour se remettre de leurs émotions, lesjeunes seront hébergés dans un établissementhorticole particulièrement confortable, doté d’unterrain de football et de rugby, entouré d’un parc.Au programme: veillées à thème, randonnées, visites et sorties culturelles, initiation au multi- média. Voyage en TGV jusqu’à Perpignan, puis en car jusqu’au centre.Samedi6 au vendredi 19juillet (14 - 17 ans)

Anglais au collège de KingswoodLe voyage s’effectue en Eurostar jusqu’à Londres,puis en car jusqu’à la destination finale. Biblio-thèque, gymnase, piscine chauffée et courts de tennis au sein d’un immense parc… l’endroit fait penser à la maison d’Harry Potter! Un séjourhaut de gamme qui attire chaque année des adolescents venus des quatre coins du monde.Pour communiquer, ils seront obligés d’utiliser la

langue de Shakespeare. L’immersion linguistiqueest totale. En dehors des huit matinées de cours d’anglais, les jeunes choisiront eux-mêmes leurprogramme d’activités. Au gré de leurs envies, ilspratiqueront toutes sortes d’activités sportives, àmoins qu’ils ne préfèrent partir en excursion pourdécouvrir les joyaux du Pays de Galles (Cardiff,Bath, Stonehedge.) lLundi15 au dimanche 28juillet (14 - 17 ans)

Séjours 6 - 10 ans: 01 41 14 82 22Séjours 11 - 17 ans: 01 41 14 81 42

Conditions d’accès aux séjours :Réservés aux Meudonnais qui n’ont pas bénéficié de séjour de la Ville en 2012.Tarif selon le taux d’effort de la famille (chèque vacances et bons CAF acceptés)Toute inscription vaut paiement.Certificat médical d’aptitude à la pratique sportive obligatoire pour la plongée sous-marine.

Jeunes: l’été se prépare maintenant

Comment s’inscrire?Sur meudon.fr (portail famille) Entre le mardi 16avril (19h) et jeudi 18avril (17h)Pour s’inscrire en ligne, il faut disposerd’un compte famille. Pensez à le fairecréer avant le début des inscriptions à la Direction de l’animation locale ou à la mairie annexe.À la MairieÀ partir du lundi 20avril (9h)Hôtel de Ville - Direction de l’animationlocaleMairie annexe de Meudon-la-Forêt -Place centrale

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Trois séjours d'été, mêlant sports et découvertes culturelles, sont ouverts aux Meudonnais âgésde 6 à 17 ans. Deux semaines pour se défouler, respirer l’air marin, pratiquer des activités inéditesà la montagne, se faire des amis et se perfectionner en anglais.

Le Royal Crescent est le site emblématique de Bath.

Via Cordota en Savoie.

Initiation au kayak de mer.

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travail. Les autres réclament un suiviplus approfondi.»Le dispositif Emplois d’Avenir décidépar le gouvernement entrera en ac-tion dans le courant du premier se-

mestre. Il prévoit la création de 150000emplois dans les domaines public et as-sociatif. Seuls les jeunes sortis de l’écolesans ou avec peu de diplômes peuvent yprétendre. Ces derniers signeront uncontrat de trois ans pendant lesquels ilssuivront une formation. Ils ne seront paslaissés seuls face à leur employeur,puisque les Missions locales les accom-pagneront. CF l

Relais de Meudon5 rue Georges MillandyLundi au jeudi de 9h à 13h et de 14h à 17h30Prise de rendez-vous au 01 55 95 04 07

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in 2012, 25% des moins de25 ans pointaient à Pôleemploi en France. Sur lemarché du travail, ils sontles premières victimes de la

crise économique. Dans ce contexte mo-rose, la Mission locale est un tremplin. Ilsuffit de regarder les chiffres pour s’enconvaincre. Parmi les 294 jeunes Meu-donnais reçus en entretien à la Missionlocale du centre Millandy l’année der-nière, 63 ont décroché un emploi et 14 un contrat en alternance. «J’ai prisrendez-vous sur les conseils de mesparents sans savoir ce que je voulaisfaire, reconnaît Benjamin, 19 ans. Aprèsune formation de huit mois commevendeur chez Truffaut, j’ai obtenu unCDD puis un CDI. Je me suis senti en-couragé par ma conseillère et par monmaître de stage. Si j’en suis là au-jourd’hui, c’est grâce à eux! » Tout aulong de son parcours, le jeune est suivipar la même personne qui l’aide à bâtirun projet professionnel cohérent. De larecherche d’offres d’emploi à la rédac-tion de lettres de candidature, en pas-sant par les cours d’anglais et lessimulations d’entretien d’embauche, la

palette est riche. Deux fois par mois, laMission locale met en relation em-ployeurs et demandeurs d’emploi. Elleprépare les candidats en s’assurantqu’ils correspondent bien aux profilsrecherchés. Autre opération coup depoing, les «job dating» font intervenirdes entreprises partenaires qui propo-sent quantité de postes à pourvoir. Récemment, elle a mis en place des ren-dez-vous d’expert où un professionneldu commerce, du marketing ou encoredu milieu pharmaceutique présente sonmétier dans un langage concret.

LE DÉCLIC TIENT À PEU DE CHOSESCes initiatives sont essentielles tandisque des secteurs d’activité comme l’ar-mée, le bâtiment ou la restaurationpeinent à recruter. « Les jeunes s’ins-crivent dans une filière sans en connaî-tre vraiment les débouchés, remarqueChristine Boulos, directrice de la Mis-sion locale. Ils manquent de repères.Nous les aidons à appréhender l’uni-vers professionnel et ses exigences. 70 % de notre public a besoin d’unpetit coup de pouce pour trouver du

F

Emploi des jeunes: comment se faire aider?

Jobs d’étéLa journée Jobs d’été est un vivier d’annonces pour lesjeunes en quête d’une expérience professionnelle et d’unpeu d’argent de poche. Les secteurs de la restauration,la vente et l’animation sont les plus ouverts auxsaisonniers. Nouveauté cette année, l’agence de baby-sitting «Autour des kids» sera représentée avec des postes à pourvoir. Cette journée est organiséepar la Ville avec la Mission locale et Pôle emploi.Mercredi 10avril de 14h à 19hHôtel de Ville, 6 avenue Louis Le Corbeiller

Accompagnement

Un parrain pour l’emploiPour un jeune, être parrainé par un professionnel est un moyen de se familiariser avec le monde du travail et d’obtenir des tuyaux utiles pour décrocher un stageou un entretien. C’est le principe du dispositif «Un parrain pour l’emploi» mis en place par la Ville en 2012, avec l’aide de cadres et de chefs d’entreprisemeudonnais. Un atout indiscutable pour les jeunes.Espace jeunesse69 rue de la République01 46 26 06 63

Emplois saisonniers

La Mission localecompte six lieuxd’accueil sur leterritoireintercommunal. À Meudon, les jeunessont reçus enentretien par laconseillère Anne-Sophie Renard aucentre Millandy.

Avec ou sans diplôme, entrer dans la vie activerelève du parcours du combattant. En poussant laporte de la Mission locale, les jeunes de 16 à 25 ansbénéficient d’un accompagnement gratuit et personnalisé. D’autres initiatives municipalesleur permettent de mettre le pied à l’étrier.

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CULTURE 16/17CHLOROVILLE / N° 104 / AVRIL 2013

osaïque, bijoux et étolesen soie, bougies, res-tauration de tableauxou d’instruments du

quatuor, dorure sur bois, laques et vitraux, héliogravure, reliure, céra-miques, les artisans d’art sont instal-lés dans l’hôtel d’activités du Potagerdu Dauphin. Ils comptent désormaisparmi eux aussi une deuxième res-tauratrice de tableaux et de pein-tures murales et une créatrice demode en vêtements d’intérieur etbroderie d’art. Le week-end des 6 et 7 avril, tous seront prêts à vous dévoiler l’univers de ces métiersrares, les matières, les gestes, les outils et leur passion commune.

DEUX NOUVEAUX ARTISANS D’ARTL’atelier n° 2 est maintenant occupépar une passionnée de mode depuisl’enfance. La styliste-modéliste HegerMrabet a créé Altachic, son atelier de homewear de luxe, vêtements etaccessoires d’intérieur. Du patron à la broderie fine de la pièce, despièces uniques et sur-mesure voientle jour : peignoirs, tenues de spa,manteaux, robes, cadeaux de nais-sance et tenues de mariées, les arti-cles d’Altachic s’adressent à cellesqui veulent être différentes et porterquelque chose d’élégant qu’on netrouve pas sur le marché.L’atelier n° 15 abrite depuis peu Gabriela Szatanik-Perrier, restaura-

trice de tableaux et peintures muralespour des particuliers ou des musées.Diplômée de l’Institut national du pa-trimoine, elle se livre à une véritableenquête sur l’œuvre, dresse un diag-nostic précis et tente de s’imprégnerde l’esprit de l’artiste pour aboutir àune restauration la plus fidèle possi-ble. Après dix ans de pratique, elletente de transmettre aux collégiensl’aspect spécifique de la restauration,qui s’apparente à un laboratoired’analyses. Par passion de l’histoire etpour l’avenir des œuvres ! EBB l

Samedi6 et dimanche 7avril15 rue de Porto-Riche. De 11h à 13h et de 14h30 à 19h, dimanche jusqu’à 18h.Visite de la fonderie Clémenti 7 ter rue du Docteur Arnaudet01 45 34 56 32Samedi6 et dimanche 7avril à 14h30et à 16hAltachic06 26 15 33 26Gabriela Szatanik-Perrier06 61 76 19 72

Au cœur des métiers d’art

Idriss Diop, the artist27 ans, vice champion de France de skate 2007 (aujourd’hui, il donne des cours!), dix ans d’expérience dans la ferronnerie d’art, Idriss Diop ne cesse d’aller de l’avant. Après avoir pris part à de grands chantiers, telsque la pose d’une charpente métallique au château de Versailles, la réalisation d’un garde-corps pourDisneyland, une grille d’honneur pour le parc du château de Noisiel, la porte d’entrée du conseil constitutionnelde Paris ou encore la porte coulissante de la tour Montparnasse, il s’est maintenant lancé à son compte àMeudon en tant que ferronnier d’art. Travaillant tous les métaux, il peut réaliser toutes sortes de grilles,rampes d’escaliers, mobilier d’intérieur ou d’extérieur et même des bijoux sur mesure. Traditionnelles,contemporaines ou art nouveau, ses créations respirent l’exigence du travail bien fait.1 sentier des Brillants. 06 64 75 12 49/ferronnerie-id.fr

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À l’occasion des journées des métiers d’art, les artisans d’art du Potager du Dauphin vous ouvrentleurs portes les 6 et 7avril à la découverte de leur précieux savoir-faire.

La styliste-modélisteHeger Mrabet etGabriela Szatanik-Perrier, restauratricede tableaux etpeintures murales.

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Meudon la fine fleur des espaces vertsDOSSIER

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’ici quelques semaines, les 35 agents du service des Parcs et jardinsde Meudon seront à pied d’œuvre pour embellir les 45 hectaresd’espaces verts que compte la commune. Objectif: agrémenter les500 jardinières et 300 massifs paysagers de quelque 120000plantes annuelles, bisannuelles et vivaces. Plutôt que de fleurisse-

ment, Alain Bastian, responsable du service, préfère parler d’embellissement: «Notre mission ne consiste pas seulement à planter des géraniums pour faire joli,quelques mois par an. Nous sommes aujourd’hui engagés dans une démarche réfléchie visant à mieux prendre en compte l’environnement paysager dans sa globalité. Il s’agit ainsi d’améliorer le cadre de vie des Meudonnais, tout en adoptantune gestion responsable, raisonnée et économe, en harmonie avec la nature.»

GAMMES CHROMATIQUESAinsi, par exemple, l’utilisation de plantes de pleine terre, plus durables, constituedésormais une priorité des Parcs et jardins. «Nous réservons aujourd’hui les plan-tations hors-sol de type jardinières aux sites très urbanisés où les plantations depleine terre ne sont pas possibles», explique Alain Bastian, avant de poursuivre:«dans le même esprit, pour les massifs soumis à un fort ensoleillement, nous privi-légions la minéralisation des sols en les agrémentant de pétales d’ardoise, de galetsou encore de sable».Depuis plusieurs années, la ville privilégie également les vivaces, certes moins spec-taculaires, mais surtout moins gourmandes en eau et entretien. «Nous travaillons au rééquilibrage de notre production. Ainsi en deux ans, le nombre de vivaces

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Reportage : Mathieu Aucher. Photos : Studio 9/Julien Berkovitch/Yann Rossignol/Ville de Meudon

Auréolée de quatre fleurs et du grand prix nationalde l’arbre, Meudon n’entend pas, pourtant, se reposersur ses lauriers. La Ville poursuit son œuvred’embellissement des espaces verts et de son parcarboré selon une gestion raisonnée. Une démarcheéco responsable destinée à améliorer le cadre de viedes habitants et l’environnement dans le respect des hommes… et de la nature.

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DOSSIER

>>> cultivées a doublé pour atteindre le même niveau que les bisannuellesdont nous avons par ailleurs réduit la quantité, tout comme celle des annuelles», souligne le responsable des espaces verts.Mais pas d’inquiétude, les couleurs seront encore au rendez-vous cetteannée pour le fleurissement de printemps. Quelque 60000 annuellesaux tons chatoyants viendront en effet fleurir la ville d’ici quelques semaines. Mais pas n’importe lesquelles et pas n’importe où. Pour cha-cun des cinq secteurs de la commune, les équipes du service des Parcset jardins ont élaboré en amont un projet s’appuyant sur des harmoniesde couleurs, déclinaison de cinq gammes chromatiques. Seront ainsi àl’honneur cette année les camaïeux de rose, les mélanges de tonsjaune-bleu-blanc, rouge et blanc ou encore vert et blanc.

PRÉPARATEUR DE COMMANDES95% des végétaux qui seront plantés lors du fleurissement provien-nent des serres municipales, à Meudon-la-Forêt. Un lieu d’exceptionconstruit dans les années 70, courant sur près de 5000m2 et équipéde 1700m2 de tunnels et de serres. C’est là, à l’abri du froid et des in-tempéries, que la Ville cultive avec soin quelque 150 espèces de plantesdifférentes à partir de semis, boutures ou plants. «Lorsque les jardi-niers ont choisi leur trame de couleurs et le nombre de plants néces-saires pour fleurir les massifs et jardinières de leur secteur, ils passentcommande auprès de la régie des serres, qui met en route la produc-tion autour du mois d’octobre», explique Alain Bastian. Et tout com-mence à la nurserie, pièce maîtresse des serres où vont germer etpousser la plupart des graines. Au fur et mesure de leur évolution, lesplants sont changés de serre. Puis, à l’approche de la période de fleu-rissement, l’équipe des serres joue les préparateurs de commandes eninstallant sur des chariots l’ensemble des plantes prévues pour chaquemassif. Ne reste plus aux jardiniers qu’à les récupérer et assurer leurmise en place. MA l

DÉCORATEURSD’INTÉRIEURJardiniers de formation…les agents du service desparcs et jardins peuventaussi se faire fleuristes etdécorateurs. L’équipe desserres dispose en effetd’une base de plantes et de potées fleuries pour laréalisation de compositionsflorales ou de bouquetspour décorer les servicesmunicipaux ouverts aupublic, ou encore les sallesde réception. Les serresmunicipales abritentégalement de nombreusesplantes d’origine tropicale(orchidées, broméliacées,fougères arborescentes)destinées à embellircertains sites l’été.

Alain Bastian, responsable du service des parcs et jardins.

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À la façon de Le NôtreQuoi de plus naturel que les jardiniers de Meudon rendent hommage àAndré Le Nôtre, le plus célèbre des jardiniers, dont on fête cette année le400e anniversaire de la naissance. Sur la base d’une esquisse fournie parles étudiants de l’École nationale supérieure du paysage de Versailles,l’équipe du service des Parcs et jardins réalisera entre mai et juin uneinstallation éphémère sur la terrasse de l’Observatoire. Une opérationesthétique mais aussi à vocation éducative, à laquelle seront associés lesapprentis horticulteurs du village éducatif Saint-Philippe. Le savoir-fairedes jardiniers de la Ville sera également mis à contribution avec lacréation, au bas de l’avenue du Château, d’une mosaïculture inspiréed’une broderie de buis imaginée par le maître. La famille des jardiniersréunie au grand complet, en somme.

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DOSSIER

ans la serre, un petit fla-con ouvert traîne encoreau sol, signe que la ba-taille a déjà eu lieu. Natu-rellement, les chrysopesqu’il contenait se sont

ruées sur les acariens, cochenilles et autres pucerons qui commençaient àmettre en péril la production de plantes. Un combat quasi invisible à l’œil nu maisd’une redoutable efficacité. Bienvenuedans le monde de la lutte intégrée. Cette pratique, désormais couramment employée dans les serres municipales,vise à introduire des prédateurs, appelés insectes auxiliaires, pour anéantir lesnuisibles des plantes. En 2012, quatorzeespèces différentes ont ainsi été lâchées.

GESTION DIFFÉRENCIÉEAppropriée aux sites fermés, cette tech-nique s’accommode en revanche mal aumilieu ouvert. «À l’extérieur, nous privi-légions l’utilisation de zones refuges dé-limitées pour lutter contre les parasites.Il s’agit notamment de laisser au solbrindilles et feuilles mortes pour favori-ser le développement d’insectes, qui auprintemps iront se nourrir des larvesd’insectes nuisibles », explique AlainBastian, le chef du service des Parcs et jardins de Meudon. Dans l’arsenald’armes naturelles aujourd’hui employépar son service figure également la

tonte en gestion différenciée. Cette pratique consiste à conserver certainesbandes d’herbe en friche, propices audéveloppement de la faune et de laflore. Une technique notamment utiliséele long de la RN 118, dans le cimetière de Trivaux ou sur la terrasse de l’Obser-vatoire.

BIOSTIMULANTSCette gestion raisonnée n’est pas réser-vée aux seules plantes et fleurs. Le ser-vice des Parcs et jardins l’appliqueégalement aux arbres. Des tilleuls duboulevard des Nations-Unies aux ormesbicentenaires de l’avenue Jacqueminot,en passant par les platanes de l’avenueJean Jaurès… les quelque 6000 sujetsqu’arbore la Ville bénéficient aujourd’huide traitements naturels préventifs pour les aider à lutter contre de possi-bles maladies. Des campagnes régu-lières sont ainsi menées chaque annéepour injecter dans le sol ou pulvérisersur les arbres des biostimulants. Mélanges d’algues et de plantes, cesproduits naturels, à forte teneur en oligoéléments, contribuent à la crois-sance, à la vitalité et à l’amélioration de la résistance des arbres face aux attaques de parasites.Toutefois, en dépit de ces mesures deprévention, certains sujets, trop fragili-sés par la maladie, doivent être abattus.Mais là encore, la Ville apporte une ré-

À armes égales... et durablesVoilà bientôt dix ans que la Ville a banni de ses jardins et de ses serres l’emploi de pesticides,herbicides et autres produits phytosanitaires, nocifs pour les plantes mais aussi… pour l’homme.L’heure est aujourd’hui à la gestion raisonnée et à la lutte intégrée.

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ponse adaptée, en cohérence avec sapolitique de développement durable.Aujourd’hui, pour un arbre abattu, unarbre est replanté… voire plus. Mais surtout, les jardiniers veillent à planterdésormais des espèces adaptées à leur environnement et privilégient lamultiplication des essences lors de plantations d’alignement. Outre l’aspectchampêtre et esthétique qu’elle pro-cure, cette démarche a aussi pour avantage de limiter la propagation desmaladies. MA l

Finies les armeschimiques nocivespour l’environnement ! Pour lutter contre les parasites, les jardiniers fontdésormais appel à des prédateursnaturels.

La bataille de l’eau en passe d’être gagnéeDepuis plusieurs années maintenant, le service des Parcs et jardins cherche à réduire sa consommation en eau potable pour l’arrosage des espacesverts. Pour cela, il dispose déjà d’une cuve de 50m3 de récupération des eaux venues des carrières. Pas assez pour les 45ha d’espaces verts duterritoire, mais suffisant pour couvrir les besoins des secteurs de Meudon-sur-Seine et de Val Fleury. Dans les serres, des bacs collectant les eauxpluviales ont également été installés pour alimenter les milliers de plantes qui y poussent. Autres solutions développées par les jardiniers, le recoursà des plantes moins gourmandes en eau, comme les vivaces et surtout le paillage des massifs. En couvrant ainsi les sols, d’écorces par exemple, onlimite le phénomène d’évaporation et on assure une meilleure humidité de la terre. Dans cette bataille de l’eau, le service des Parcs et jardinspourrait marquer un point décisif en 2013 grâce… au futur espace culturel de Meudon-la-Forêt. Construit selon une démarche éco-responsable, ce nouvel équipement abritera notamment une cuve de récupération des eaux pluviales de 80 m3. De quoi satisfaire une large partie des besoinsen eau des espaces verts de la Ville.

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es 20 et 21 avril prochain,Meudon ouvrira au publicles portes de ses serresmunicipales. Deux joursde visite et d’animationsludiques et pédagogiques

pour tout savoir sur les 150 espècesde plantes cultivées dans cette véritable pépinière, et qui viennentensuite embellir la ville. Guidés dans leur parcours par les agents du service des Parcs et jardins, les visiteurs pourront notamment décou-

vrir le tunnel des plantes tropicales ou encore la nurserie… mais aussiconnaître les secrets d’un jardin éco-logique et bénéficier de conseils pra-tiques.Ils pourront également se former à la réalisation de bouquets avec l’association des Amis des fleurs ets’approvisionner en matériel de jardinage. lSamedi20 et dimanche 21avril, de 10h à 18h, rue Henri-Etlin à Meudon-la-Forêt.

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Rendez-vous aux serres municipales

L’avenue Jacqueminot est bordée d’ormes bicentenaires.

Le retour de la MeudonnetteÀ partir du 2 avril, suivez les aventures de la brebis meudonnaise sur meudon.fr et Facebook.

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ASSOCIATIONS

ls sont avocat, graphiste, archi-tecte ou encore chef d’une petiteentreprise. Ensemble, ils formentun groupe d’une quinzaine de travailleurs indépendants. Isolésprofessionnellement, ils ont res-

senti le besoin de confronter leur situa-tion avec celle vécue par d’autresentrepreneurs. Partager des informa-tions avec ses pairs. Mettre toutes leschances de son côté pour développerses activités. C’est ce qui les a motivés à rejoindre BNI Premium Meudon:«Solidarité et convivialité sont les deuxmaîtres mots de notre association,résume Bernadette Picazo, secrétaire -trésorière. Les entrepreneurs se réunis-sent autour d’un petit-déjeuner pour se

recommander des affaires. Chaquemembre exerce une profession diffé-rente des autres pour éviter de se faireconcurrence. Notre souhait est demieux nous faire connaître.»L’association organise aussi des tempsforts sur des thèmes comme la fauteinexcusable, les conséquences de la loide Finances sur les entreprises, etc. Le prochain portera sur la transmissiond’entreprise. Rendez-vous au Novotel à Sèvres, le mardi 2avril de 7h15 à 9h.Les personnes intéressées peuvent yassister à condition de réserver. CF l

1 rue Marcel-Allégot01 46 26 82 07 06 13 50 69 46

IBNI Premium Meudon: les entrepreneurs se serrent les coudes!

Le GEC et UFC-Que choisir changent d’adresseAides individualisées, coaching, recherches d’emploi, leGroupe emploi cadre est un soutien complémentaire auxorganismes officiels, nationaux et locaux. L’UFC-Que choisir,quant à elle, est spécialisée dans l’information, le conseil et ladéfense des consommateurs. Ces deux associations trèsactives à Meudon, qui partagent de longue date les mêmeslocaux rue Banès, ont déménagé. Elles sont désormaisinstallées rue de Paris. 6 rue de Paris01 46 26 18 49 (GEC) - 01 45 34 36 10 (UFC-Que choisir)

Braderie

Prenez du bon tempsRéflexologie plantaire, bien-être, découverte du FengShui traditionnel chinois et maquillage à domicile fontpartie des activités de M& Le bien-être. Depuis peu,l’association met également en place une journéeévénement. Le premier jeudi de chaque mois, lesMeudonnais en quête de détente peuvent profiter sur rendez-vous uniquement d’une courte séance. Et si vous souhaitez faire des heureux, des cartescadeaux valables un an et donnant accès à toute une gamme de soins vous seront proposées.06 51 15 76 19 - mbienetre.fr

Détente

Des amoureux de belle mécaniqueIls rêvent d’emprunter la légendaire route 66 sur leur Harley-Davidson. À défaut de pouvoir avaler les kilomètres de l’autre côtéde l’Atlantique, les 28 motards de la toute nouvelle associationIndependent Bikers Meudon se retrouvent aux abords de l’Étangde Trivaux, point de départ de leurs nombreuses balades. « Nousorganisons des sorties en région parisienne le week-end et trois àquatre fois par an en province, précise Bruno Rossi, président duclub. Nous proposons aussi des baptêmes en Harley au profitd’associations caritatives, à l’occasion du Téléthon par exemple. Le plus important pour nous est de partager notre passion pour lamoto. » Un goût prononcé pour les virées entre amis, les grandsespaces, le doux bruit d’un moteur unique.http://[email protected]

>

Le cheval de bataille de BNI PremiumMeudon: permettre aux entrepreneurs de partager leurs expériences et de s’échanger quelques bons conseils.

Les motards de l’association Independent Bikers Meudonentretiennent le mythe de la Harley-Davidson.

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” ”J’ai compris ce que

je voulais faire de ma vieen lisant San Antonio.

RENCONTRE

EXPRESSBIO

ÉRIC BOUHIER

27septembre 1951

Naissance sur l’île

de Noirmoutier

Septembre 1979

En mission humanitaire

pour Médecins

sans frontières

1993

Participe au lancement

du Samu Social

10 novembre 1994

Rencontre avec

Frédéric Dard

Pour solde de tout compte

(1995)

Meurtre au seuil de l’an

2000 (2000)

Humeur et rumeur sur l’île

de Noirmoutier (2003)

Elle est froide, mais elle

est bonne (2005)

Cabinet des curiosités

médicales (2007)

99 choses à faire en

attendant la fin du monde

(2012)

GRAPHIEBIBLIO

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Derrière le côté léger mais aussi provocateur de votre dernier livre, 99 choses à faire en attendant la fin du monde, se cache une critiqueacerbe de la société. Pourquoi?Ce livre est né d’un énervement provo-qué par le battage médiatique autourdes prédictions de fin du monde. J’y aivu l’opportunité de mettre sur le papierquelques-unes de mes indignations faceà certains dérapages de la société. Et laseule façon, pour moi qui ne suis ni so-ciologue ni une personne bénéficiantd’une notoriété particulière, c’était dejouer sur l’humour et le marketing.Maintenant, je ne sais pas si cela a bienété compris.

Avant de penser à la fin du monde,vous avez tenté de panser ses plaiesavec Médecins sans frontières et le Samusocial. D’où vient cet engagement?Cela peut surprendre, mais l’idée defaire de l’humanitaire a été guidéepar mes lectures, et notammentcelles de Frédéric Dard. C’était un au-teur d’une profonde humanité pourqui le monde ne pouvait marcherqu’à la générosité. C’est grâce à luique j’ai compris ce que je voulaisfaire de ma vie. À la fin de mesétudes de médecine, je me suis de-mandé comment concilier mon mé-tier et cette volonté d’abnégation.L’humanitaire était une réponse etcorrespondait également à un be-soin de liberté qui m’a toujours ob-sédé. Cela fait25 ans que ça dure !

Vous admirez Frédéric Dard et vous lui avez consacré un livre inspiré des175 San Antonio. Qu’est-ce qui vouspassionne chez lui?Il est pour moi le maître absolu. Vouspouvez aborder ses livres comme desromans de gare, de pure distraction.

Mais si vous rentrez véritablement dansson œuvre, que vous dépassez l’humouret l’exubérance, vous vous retrouvezface à la photographie d’une société, à laréflexion d’un homme sur la conditionhumaine…

L’avez-vous rencontré?Ah, un grand moment de ma vie ! Sylvain Augier nous a présentés sur leplateau de Faut pas rêver. Il m’a dit« viens doc, on va discuter. » Évidem-ment, j’avais un milliard de choses à luidemander. Et au final, c’est lui qui m’aabreuvé de questions. À tel point queje n’ai pas pu lui en poser une seule.C’est incroyable, cet homme voulaittout savoir de moi…

Vous travaillez dans la communication,vous rédigez des scénarios, vous écrivez des livres… que cachez-vousencore?Je suis officiant de cérémonie laïque. Il s’agit d’offrir aux mariés ne passantpas par l’église une cérémonie digne de

ce nom, avec solennité et émotion. Monrôle consiste à organiser et à animertout cela, dans le respect du protocolemais en y apportant une touche debonne humeur. Je suis un peu le curélaïque! Je suis d’ailleurs étonné de voircombien les mariés prennent à cœurcette cérémonie.

De quoi parle votre prochain livre?C’est difficile à définir. Comme je l’aiécrit dans la préface : « ce n’est ni unguide touristique, ni un livre d’his-toires, ni un carnet de notes, ni unvade-mecum mais il emprunte toutcela à la fois. Noirmoutier Inventaireinachevé est un hommage à toutescelles et tous ceux qui font vivre l’île ouqui en sont les gardiens de la mé-moire.» Il peut se résumer par un mot,la curiosité. Spécialiste de rien maiscurieux de tout, ma démarche consisteà essayer d’éveiller la curiosité desgens sur des sujets très variés tout enfournissant beaucoup d’informationsmais aussi une écriture. MA l

Spécialiste de rien, curieux de toutÉric Bouhier, Meudonnais depuis 25 ans, est épris de liberté. Une ligne de conduite qui l’a menésur les chemins de l’humanitaire, de la communication et de l’écriture… un San Antonio en poche.

Parmi ses nombreuxcentres d’intérêt, ÉricBouhier est un grandadmirateur du milieumarin, comme lelaisse deviner sondernier ouvrage.

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Interview : Mathieu Aucher. Photos : Patrice Quillet/Arnaud de Wildenberg

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ENTREPRENDRE

elon les estimations, 5millions de Français souffriraientde problèmes d’audition. Et parmi eux beaucoup n’yprêteraient qu’une oreille discrète. Si vous vous sentez

concerné, le centre d’audition Conversons vous propose devenir passer un test auditif gratuit, afin de lever le doute. Ins-tallé depuis mi-janvier au centre commercial Joli Mai et dirigépar Anne Le Forner, audioprothésiste diplômée d’État, ce centreest spécialisé dans la réalisation d’aides auditives. Contoursd’oreilles, intra-auriculaires, mini contours, connexion sans fil…ces appareils allient désormais discrétion, efficacité, confort,haute technologie et design, à l’image de l’enseigne, qui s’affichedans des couleurs vives et une décoration très moderne. De quoi donner envie d’y prêter une oreille plus attentive! lCentre d’audition ConversonsCentre commercial Joli Mai13/15 avenue de Celle01 46 30 28 93

L’ouïe fine du centre commercial Joli Mai

S

Premier atout séduction d’un magasin, avant d’avoir poséson regard sur la vitrine: sadevanture. Celle-ci se doit d’êtreattirante et de bon goût…Excellente pour le commerce de proximité, elle contribue à améliorer l’environnementurbain des quartiers.

artant de ce double postulat, la Ville a lancéen septembre l’opération d’embellissementdes devantures dans le cadre du Fisac

(Fonds d’intervention pour les services, l’artisanatet le commerce). Objectif: apporter une aide tech-nique, esthétique et financière aux commerçantssouhaitant rénover leur devanture, qu’il s’agissed’un changement de stores, d’une nouvelle en-seigne ou de la reprise complète de la vitrine.Chaque commerce dont le projet répond aux cri-tères fixés par la charte esthétique des devanturescommerciales mise en place par la Ville et leCAUE92, peut bénéficier d’une subvention jusqu’à60% du coût (hors taxes) des travaux. Plafonnéeà 6000€, cette aide est co-financée par la Villeet l’État, qui gère le Fisac. lEn savoir plus: Myriam Molinet - 01 41 14 81 [email protected]

PL’épicerie de Saïd Bekkaoui

Devanturesrénovées

après

avant

L’ancien store a été remplacé et des jouestransparentesd’habillage ont été installées de chaque côtédes étals.59 rue de la République.

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Les petits mots

En plus de travaux de rénovation, la librairie Les petits mots à créer son site internet avec la possibilité de réserver et de commander des livres depuis chez soi.librairie-petitsmots.fr09 83 82 14 26

Le BistroquetL’ancien restaurant italien Villa Giuliaa été racheté par Valère Lamblot, lui-même ancien patron de la pizzaNapoli. Il a confié la gérance duBistroquet à son fils Thomas. Plus de cuisine italienne mais un bistrot de cuisine française à tendance méditerranéenne. Brunch le dimanche matin.Un service de voiturier et desexpositions de peintures. Après de gros travaux de remise auxnormes, l’établissement ouvre débutavril et vous accueille midi et soir jusqu’à 22h30.68 rue de la RépubliqueFermé le dimanche soir et le lundi

Le Tonneau Beaucoup de clients le pensaientfermé. Mais c’est aujourd’hui del’histoire ancienne. Les échafaudagesont été démontés laissant apparaîtreune belle façade immaculée… Et dans le bar, l’activité a retrouvéson rythme. Une bonne chose pourRodriguez Campo et sa mère LurdesFernandes qui, depuis deux ans,invitent les Meudonnais à se frotter àl’ambiance ibérique.23 rue BanèsMardi 10h - 16h et du mercredi au samedi de 10h à minuit01 45 07 94 46

nstallé depuis près d’un an, Aqua Pressing vousgarantit un linge sans tache, sans pli et sans accroc. Ici pas de nettoyage à sec… mais à l’eau.

«Un procédé moins nocif pour les salariés et pourle linge», selon Sahladin Rahmani, le gérant. Outrele nettoyage des vêtements, des tapis ou des ri-deaux, le pressing assure également la blanchis-serie, le repassage (au kilo!) et les retouches. Une gamme complète de services qui ont séduitl’association sportive de Meudon, dont il faut parfois nettoyer jusqu’à 80 maillots en quelquesjours seulement. MA l

Aqua PressingGalerie du Moulin, avenue du Maréchal LeclercDu mardi au vendredi 9h-12h et 15h-19h, samedi jusqu’à 18h01 46 30 47 45

I

En bref

Pressing : nettoyage… à l’eau !

La boulangerie-pâtisserie Chocolat Pistache

«Avant les stores étaient orange… pas dutout en harmonie avec les couleurs du ma-gasin. Quand nous avons entendu parler dudispositif mis en place par la Ville, nousavons sauté sur l’occasion pour engagerdes travaux que nous repoussions faute demoyens. Nous en avons profité pour refairel’éclairage de la vitrine et installer des ledsqui mettent les pâtisseries en valeur. Entrela constitution du dossier et la fin de tra-vaux, il s’est passé 6 mois mais au final,nous sommes satisfaits par ce dispositiftrès incitatif pour les commerçants.»Mme Cherel, cogérante,55 rue de la République.

après

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SPORTS

Nouveaux équipementsPour satisfaire un nombre croissant de pratiquants, la Ville entretient et réaménage ses installations. Trois projets seront réalisés cette année au profit des jeunes, des familles et des membres des associations sportives.

haque week-end, une centained’utilisateurs fréquente leskate park. Victime de son

succès, cet équipement a montré dessignes de fatigue et ne correspondaitplus tout à fait aux pratiques actuelles. Il sera remplacé par un matériel enbéton d’un seul tenant qui permettraaux adeptes du roller, du skate et de latrottinette d’évoluer en toute sécurité. Pour choisir les modules les plus adap-tés, la Ville a demandé aux membresdu Conseil consultatif des jeunes de recueillir l’avis du public. Épaulés pardeux associations spécialisées, ces en-quêteurs en herbe ont pris leur rôle àcœur en visitant aussi des structuresd’autres villes. Les travaux débuterontcet été pour s’achever avant la fin del’année. lCoût: 400000€HT

e parc du Tronchet est très appré-cié des promeneurs comme dessportifs du dimanche qui y trou-

vent un havre de paix et des équipementsen libre accès. A partir de septembre, laVille va mener différents travaux pour lerendre encore plus attractif. Jugés vieil-lissants, les deux terrains de boules vontêtre réaménagés avec tout autour denouvelles plantations, qui respectent lecadre forestier du site. Les amateurs debelote et autres jeux de cartes auront àleur disposition un abri avec des tables etdes chaises en dur. Dernière bonne nou-velle pour les plus petits cette fois-ci, unepiste cyclable goudronnée va voir le jourà proximité des aires de jeux actuelles.Sous l'oeil attentif de leurs parents, lesenfants apprendront à faire du vélo etpourront s'amuser à identifier les pan-neaux de signalisation matérialisés au sol.Ces travaux devraient durer deux mois. l

Le parc du Tronchet, unenouvelle aire de jeu pourles boulistes meudonnais

C L

Un skate parktout public

Parc du TronchetDes installations ludiques et sportives

Un nouveau gymnase moderne et spacieuxLes sportifs vont gagner au change! Devenu obsolète avec le temps, le gymnase Maritain Renan à Bellevue va être détruit. Pour le remplacer, laVille a racheté au Conseil général le gymnase qui jouxte le château de Bussières. D’importants travaux d’aménagement vont s’y dérouler pouroffrir aux utilisateurs, et en particulier aux scolaires, des conditions de pratique optimales. Dans ce gymnase ouvert tous les jours de la semaine,ils pourront jouer au basket, au volley, au handball et même se faire la main sur un tout nouveau mur d’escalade de 13 x 6m, idéal pour des séancesd’initiation. Entièrement insonorisé, plus grand et plus lumineux, cet équipement représentera une surface de jeu au sol de 580m2. Toujours auprofit des élèves de l’école Maritain Renan, un pas de tir à l’arc sera créé à l’extérieur. Le bâtiment sera également clôturé, les voies d’accès refaitesà neuf, pour une ouverture à la rentrée 2013.

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Avec l’aide des CCJistes, la Ville prend en compte les demandes des pratiquantsavant de lancer les travaux deréaménagement du skate park.

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Les séancesd'entraînement, partous les temps,s'adressent avant toutà des personnes quisouhaitent pratiquerou reprendre uneactivités physique en douceur.

ls sont une quinzaine ce dimanchematin à s’être extirpés de leur litpour enfiler les baskets, en dépit dufroid polaire qui règne à l’extérieur.Comme Samuel qui se remet dou-cement à la course à pied: «difficile

de se motiver quand on court seul. Ici,au moins, on s’entraîne les uns les au-tres et on peut compter sur les coachspour nous aider à progresser». Mêmeconstat pour Christophe qui a laissétomber le VTT pour la course.«J’ai remplacé les deux heures et demiede vélo et le temps passé à le nettoyerpar trois quarts d’heure de course àpied. C’est tout aussi efficace. Et puis ceque j’aime ici c’est qu’il n’y a pas d’enga-gement, on vient quand on veut et onsait que l’on va retrouver un groupesympa».

« C’EST PAS MARCHE OU CRÈVE »Démarrées avec quatre personnes il y adeux ans, les séances de course à piedorganisées par GPSO réunissent désor-mais une vingtaine de personnes enmoyenne. «On est même monté jusqu’à34! », indique Mohamed, l’un des troisencadrants sportifs. « Ces entraîne-ments s’adressent avant tout à des per-sonnes qui souhaitent pratiquer oureprendre une activité physique en dou-ceur. Après, selon les niveaux, on orga-nise des groupes mais l’objectif est detoujours travailler ensemble», insiste-t-il. Antony, qui se joint au groupe depuisdébut janvier, confirme: «les premiers re-viennent toujours sur les derniers. Ça créeune vraie émulation. C’est pas marche oucrève! Et puis on a la chance d’avoir descoachs compétents et attentifs qui nouspoussent avec bienveillance.»

THÉ À LA MENTHEAu programme de ces deux heures d’en-traînement au grand air: course à pieddans la forêt puis exercices de renforce-ment musculaire, étirements et assou-plissements au stade. Pour Claire, les

joues rougies par le froid et l’effort, cesséances constituent une véritable bouf-fée d’oxygène: «ça fait un bien fou, çavide la tête…». Ou comme le dit Valéry,qui reprend la course après sa mater-nité, « cela donne un bon coup de piedaux fesses pour se bouger.»Si certains débutent, d’autres sont déjàplus aguerris, à l’image de Claire, la

doyenne du groupe. À 61 ans, la Guade-loupéenne ne rate pas un entraînementdepuis un an. Elle s’est même remise à lacompétition après une interruption de…30 ans. Résultat: 13 courses remportéesen 2012 et le titre du challenge desHauts-de-Seine en prime. Elle sera d’ail-leurs au départ de la Foulée meudon-naise, le 14 avril. Un véritable exemplepour les membres de son groupe avecqui elle ne manque jamais de fêter sesvictoires en apportant un gâteau le dimanche suivant. Un petit encas qui accompagne parfaitement le thé à lamenthe préparé par Mohamed à chaquefin de séance. C’est aussi ça la course à pied du dimanche matin. MA lPour participer, rien de plus simple. Il suffit de s’inscrire sur agglo-gpso.fret de présenter un certificat médicalet un justificatif de domicile.Renseignements au n° vert:0 800 10 10 21.

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Remise en forme dominicaleTous les dimanches matin, GPSO propose des séances gratuites de course à pied encadrées par des coachs professionnels, au complexe sportif Marcel Bec. Ici pas de compétition, mais un esprit sain d’émulation pour progresser.

e parc du Tronchet est très appré-cié des promeneurs comme dessportifs du dimanche qui y trou-

vent un havre de paix et des équipementsen libre accès. A partir de septembre, laVille va mener différents travaux pour lerendre encore plus attractif. Jugés vieil-lissants, les deux terrains de boules vontêtre réaménagés avec tout autour denouvelles plantations, qui respectent lecadre forestier du site. Les amateurs debelote et autres jeux de cartes auront àleur disposition un abri avec des tables etdes chaises en dur. Dernière bonne nou-velle pour les plus petits cette fois-ci, unepiste cyclable goudronnée va voir le jourà proximité des aires de jeux actuelles.Sous l'oeil attentif de leurs parents, lesenfants apprendront à faire du vélo etpourront s'amuser à identifier les pan-neaux de signalisation matérialisés au sol.Ces travaux devraient durer deux mois. l

Le parc du Tronchet, unenouvelle aire de jeu pourles boulistes meudonnais

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TRIBUNES

En application de la loi du 2 février 2002 relative à la démocratie de proximité, un espace d’expressionest réservé aux groupes politiques composant le conseil municipal. Les textes, informations et chiffrespubliés engagent l’unique responsabilité de leurs auteurs et reflètent leur seule opinion.

Après les évolutions successives de l’impôtfoncier votées par la majorité municipale depuisle début de la mandature (>10% depuis 2008),nos impôts locaux vont à nouveau augmenter.L’augmentation est due cette fois aux impôtsvotés par les mêmes élus au conseil de GPSO:+ 9 % pour la taxe d'habitation (qui passe à

7,25 %) et création d’une taxe foncière de0,65%.Une partie des recettes de la communautéd’agglomération est reversée à chaquecommune (14 % du budget de Meudon). Cetteallocation va augmenter en 2013. Des échangesfinanciers croisés rendent les comptes locaux

difficilement lisibles. Plus de transparence estnécessaire pour que s’exerce pleinement ladémocratie locale !

Nadia MORDELET-CARRIÈ[email protected]

La direction de l’ONERA a récemment informé sonpersonnel d’un possible transfert des activités deMeudon vers Palaiseau. Un projet de «3 sites en 1»regrouperait Meudon et Chatillon sur le site de Pa-laiseau. Cette menace de délocalisation inquiète les200 salariés de Meudon et leurs organisations syn-dicales qui alertent sur les dangers d’un tel déména-gement. Au-delà des contraintes subies par lepersonnel, ce sont les activités de recherche aéro-dynamique développées à Meudon qui en pâtiraient,tout comme le tissu historique et économique denotre ville.Le pôle scientifique aérospatial de Meu-don consacre l'ensemble de ses activités à l'aérody-namique, la mécanique des fluides et l'énergétique.Abritant un département d'aérodynamique fonda-

mentale et expérimentale, il dispose d'un ensemblede souffleries couvrant un vaste domaine de vitesseallant du bas-subsonique à l'hypersonique. L’inter-ruption de ses activités serait pénalisante pour sesclients: Airbus, CNES, EADS, Dassault, SNECMA im-plantés pour la plupart dans les Hauts de Seine etplusieurs domaines de recherche liés à de grossesinstallations non transportables, risquent d’être pu-rement et simplement abandonné.Avec ses 12 hectares, le site de Meudon a pourtant unpotentiel de développement qui permettrait d’ac-cueillir les activités transférées de Châtillon et d’ou-vrir une partie du domaine au public pour accéder àla grande soufflerie et à la maison du colonel Renard,classées monument historique.

Une opération de spéculation immobilière va-t-elleamputer ce haut lieu de l'histoire de l'aérostation etcauser de graves dommages à la recherche aéro-nautique si importante pour la compétitivité de notrepays? La programmation inscrite dans le PLH de 150logements à construire sur les terrains de l’ONERA,doit-elle être comprise comme l’accord donné par laville à cette opération?Il y a urgence à répondre au nom de l’intérêt géné-ral. Meudon dispose, au travers de son Plan Locald’Urbanisme, des moyens pour s’opposer au départde ce centre de recherche.

MEUDON OXYGÈNE et ses élusMarc MOSSÉ, Bernard JASSERAND,

Philippe CARAMELLE

Menace sur le patrimoine industriel et historique meudonnais

LISTE Meudon Oxygène

LISTE Meudon en action

Va-t-on revenir sur la longue gestation d’unprojet pour la colline Rodin. Depuis 2008, uneconvention avec l’Établissement public foncierEPF92 prévoit « 350 logements dont au moins25 % de logements sociaux avec des espacesverts et 5000 m2 d'activités et de services »ainsi que la préservation et la mise en valeurdes carrières classées.Alors que l’élaboration du projet s’est faite souscouvert d’experts techniques, ce 16 janvier, lemaire annonce qu’il a du saisir le Tribunaladministratif sur la base d'un péril supposéimminent.Que s’est-il passé? EPF92 a demandé unnouvel avis technique à un nouveau bureaud'études et a transmis pour avis à l'InspectionGénérale des Carrières. Celle-ci préconise desmesures de sécurité et un confortement quis’avérerait incompatible avec le classement descarrières. Et affirme « ne plus procéder auxvisites d'inspection dans les zones où le risque

d'effondrement brutal a été analysé commeétant élevé". Le maire pour assurer la sécuritépublique attend de l’expert désigné par leTribunal de définir le risque, les préconisations,pour faire porter les mesures urgentes sur lespropriétaires, des particuliers mais aussi leministre de la culture (musée Rodin), GPSO(gestionnaire du sentier), la commune deMeudon (comme demandeur) et l'EPF 92.C’est fait, suite à une visite sur site le 4mars, lerapport de l’expert leur dit de vérifier lescapacités portantes des piliers, l'état desfractures karstiques et, par tous moyens,d'augmenter les capacités portantes, decolmater les chemins de ruissellement, deconforter, tout ceci dans un délai de 21 jours.Tout en maintenant l'interdiction d’accéder auxcarrières... Le reste des préconisations estassorti d’un délai de 4 mois.Le programme d’aménagement mais égalementle devenir des carrières sont donc en question.

Jusqu'à ces dernières décennies, on se satisfaisaitde la présence de zones boisées sur la colline car les carrières de craie la rendait inconstructible, ilsemble que la pression immobilière se faisantdurement sentir, on ait minimisé le risque existant...Plusieurs effondrements significatifs des carrièressont survenus, ainsi le 1er juin 1961 côté Clamart,causant 21 morts, 173 sinistrés, 6 rues rayées de la carte et 23 immeubles détruits.Finalement, depuis des décennies nous butonssur ce sujet fondamental : peut-on urbaniser untel site et si oui son coût risque d’une part deréduire à portion congrue la part du logementvraiment social et d’autre part de combler lescarrières classées…Nous les poserons donc dans un autre cadre.

Loïc LE NAOUR, Solange MARLE, Françoise ROURE et Marie-Pierre ZUBER

[email protected] ethttp ://citoyens.ecologistes.radicaux.

et apparentes.over-blog.com

GROUPE Citoyens, Écologistes, Radicaux et Apparentés

Comment gérer le risque que constituent les carrières?

En application de la loi du 2 février 2002 relative à la démocratie de proximité, un espace d’expressionest réservé aux groupes politiques composant le conseil municipal. Les textes, informations et chiffrespubliés engagent l’unique responsabilité de leurs auteurs et reflètent leur seule opinion.

Précision du Maire : L’ONERA est un établissement public d’État. Il appartient au gouvernement de décider du devenir de l’ONERA.

Nouvelle hausse des impôts en 2013 pour les Meudonnais !

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LISTE Ensemble pour Meudon

Hold-up sur nos budgets…En dépit du contexte économique nationalmarqué par une croissance zéro et un taux dechômage en constante augmentation, lamunicipalité continue d’assurer les exigencesde solidarité envers les plus fragiles, depoursuivre les services rendus aux Meudonnaiset de concrétiser ses projets d’aménagementnécessaires à la qualité de vie de notrecommune. Nous avons élaboré et voté unbudget responsable ; des choix ont été faits enfonction des préoccupations des Meudonnais.

Nous avons, cette année encore et depuis 10ans, décidé de ne pas augmenter la taxed’habitation. Nous nous efforçons aussi de nepas faire peser sur les familles meudonnaisesles orientations ministérielles décidées laplupart du temps sans réflexion en termesd’impacts budgétaires ni concertation préalable(citons, dans les exemples récents, l’annonced’une possible suppression progressive desallocations familiales en fonction des revenus).

Dans le même temps, le gouvernement engagedes dépenses supplémentaires, supportées par les contribuables, décide de réformes niurgentes, ni essentielles (mariage homosexuel,changement des modes de scrutin), cautionneau final les violences et exactions de certainssyndicalistes en faisant voter une amnistie desdélits commis à l’occasion d’activités syndicales.

Au lieu de restructurer l’existant, le gouverne -ment crée de nouvelles structures ou instances.Rappelons-nous que dès son installation, il asupprimé d’un trait de plume la réforme duconseiller territorial, qui était censée faire deséconomies de fonctionnement en fusionnantconseiller général et conseiller régional en unseul mandat. L’avant-projet de loi sur ladécentralisation, qui sera présenté au conseil

des ministres courant avril, crée une instancesupplémentaire que d’aucuns consi dèrent déjàinutile : la conférence territoriale présidée par…les régions.

Et maintenant, on nous annonce, à grandsrenforts médiatiques, une nouvelle super -structure francilienne : la Métropole de Paris,qui nous place quasiment sous la tutelle de lacapitale. Ce dispositif compliqué, opaque, retirebeaucoup des compétences jusqu’ici dévoluesaux municipalités et les transfère à unenouvelle administration coûteuse et inutile, quiaura pour objectif de densifier nos villes et deles bétonner. Une sorte de « soviet suprême »dans lequel Paris imposerait ses vues auxcommunes limitrophes, si on en juge lespremiers contours.

Pour les élus locaux en responsabilité, lescoups de semonce s’accumulent : les concoursfinanciers de l’État diminuent drastiquement àtel point que certains ont évoqué un «hold-up»sur les collectivités locales. On en veut pourpreuve l’annonce faite lors du comité desfinances locales de février dernier, qui prévoitune réduction de 4,5 milliards d’euros desdotations d’ici 2015. Décision d’autant plusbrutale qu’elle n’a jamais l’objet d’une concerta -tion en amont (une habitude décidément !)alors même que le gouvernement ne pourrapas contenir le déficit public à 3 % du PIB. Aunom de la solidarité, GPSO fait l’objet d’une« péréquation », c’est-à-dire d’un prélèvementautoritaire par l’État : près de 9millions d’eurospar an.

Comme il n’est pas à une contradiction près, ilexige de ces mêmes collectivités d’investirdavantage, de produire toujours plus delogements sociaux. Avec quels budgets?

Face à une telle succession d’impôts et detaxes, de décisions éparses sans logique niévaluation, l’avenir s’assombrit pour les com -munes, qui devront forcément faire des choixcomme par exemple, des réductions desubvention aux associations ou plus grave en termes d’effets, une diminution desinvestissements.

Meudon a la chance d’appartenir à uneintercommunalité dynamique que vont rejoindre,à partir de 2014, Vélizy-Villacoublay et Marnes-la-Coquette. La communauté d’agglomérationest un rempart en ces temps de morositéfinancière et de récession économique, surtoutlorsque des entreprises du territoirecommunautaire rencontrent des difficultés. Elleest en quelque sorte notre assureur !

La majorité municipale (liste Ensemble pour Meudon)

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PRATIQUE

NaissancesJadem ROCHAMBEAU POPA n Edna AKOLATSE n Arthur MEYER JAYETnMathys ADELAÏDE n Liam DRAPIER nMathis SOK n Kimia MALAUKA n

Adhan TALBI nAgathe LECOUFFE nArmand NIAUDET nDorian LAGACHEBLOUIN n Nausicaä PLANTINET n Maxime VERNIER n Maxence ADDA n

Adèle DIDIERJEAN n Fatou SAGNA n Axel AMICHI n Yasmine HOUAOUI nAnnah GRABOWSKI n Arthur SEILLER n Augustin PICY n Faysal KASMI nDiane MERLAUD n Raphaël et Romane LE RIDANT n Halima MESSAÏ nLili GERNEZ n Benoît PERROT n Lucy DE ALMEIDA PEIXEIRO INACIO n

Dimitri RAMBAUD n Victor SANTANA BOGARD n Alexandre DELAVAL n

Leïna HAMDOUCH n Loevan OUEDRAOGO n Lenny BAZIN n Diego MOURAD n Simon MALLET n Zélie VIVIER-MERLE-CHAPAT n ScarlettSULTY ROZLAPA nMathis-Ismaël HAMDOUCH n Edgar MORVAN nWaranHAMZA n Rafael RADOVIC nNicolle DA SILVA

MariagesAngélique MARDIROSSIAN et Karen KHACHATRYAN nLaurence MAGNIERet Olivier BERNASCONI n Stéphanie LAURENT et Mohand SLAOUTI n Dji-nene LAYACHA et Esam KHAIRAT n Florentine GRINDA et Daniel SNOOK

DécèsClaude DUBOIS (70 ans) n Joseph GUEDJ (82 ans) n Sabine CADARTépouse ROBILLIART (62 ans) n Eugène JASZAY (80 ans) n Maria RODRIGUES RIPERTO épouse DA COSTA SANTOS (61 ans) n AbdelkaderADDA BELKOCIEUR (69 ans) n Pierre LACROIX (95 ans) n Aoued MAZZOUZ (83 ans)nJeanne BERIEL épouse BULTÉ (83 ans)nRené ROTHEN(90 ans) n Georges OUDINOT (91 ans) n Christian LEMAITRE (81 ans) n

Zakia MEZOUAR épouse LEBDIRI (42 ans) nMadeleine DEVELAY épousePLEZ (87 ans) n Paul BRUCHON (92 ans) n Robert LAYRISSE (79 ans) n

Gérard LÉVY (78 ans) n Bernard JULLIEN (66 ans) n Colette CROZETveuve JARDEL (93 ans) n Françoise BERTIN épouse LANDRIEUX (67 ans)n Jean-Claude BRAY (89 ans) n Lydia POSNY (90 ans) nWilfrido MENDEZVALDEZ (72 ans) n François JEANCARD (78 ans) n Françoise PIPONNIER(80 ans) n Simonne SABATHIER veuve LANIESSE (97 ans) n Philippe LENGEREAU (89 ans)nPhilippe ETRE (72 ans)nMichel DOUCHET (63 ans)

FÉVRIER 2013

>Hôtel de Ville. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 01 41 14 80 00>Mairie annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 01 41 28 19 40>GPSO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0800 10 10 21>Samu / maison médicale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15>Police . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17>Pompiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18>Assistance victimes 92 . . . . . . . . . 01 47 21 66 66>Gaz (24h/24) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 800 47 33 33

>Électricité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 969 321 515>Eau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 0 811 900 900>SOS 92 (Urgences médicales) . 01 46 03 77 44>Urgences dentaires . . . . . . . . . . . . . . . 01 47 78 78 34>Enfants disparus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116 000>Femmes victimes de violences . . 01 47 91 48 44>Sans abri . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115

>Centre de santé Croix-Rouge française103 rue Henri-BarbusseLundi-vendredi, 9 h-19 hSamedi, 9 h-13h3001 46 29 04 20Rendez-vous au 0 810 101 103

Numéros utiles

CHLOROVILLE / 104 / avril 2013 • 0,99 € le numéro • Hôtel de Ville - 92195 Meudon cedex • MEUDON.fr • 01 41 14 81 58 • Directeur de la publication: Georges Koch •Directrice de la communication: Isabelle Bérend • Rédaction: Isabelle Bérend, Élisabeth Bordier-Béghin, Christophe Ferreira, Laurent Raynard et Mathieu Aucher • Photos: JulienBerkovitch, Bertrand Guigou, Bertrand Guiton, Patrice Quillet, Studio9, Arnaud de Wildenberg (p.26), Mathieu Aucher, Phovoir, Élisabeth Bordier-Beghin, Christophe Ferreira, Yann Rossignol,

Philippe Caumes, Laurent Raynard, Romain Gouloumès, Renaud Douci, Google Street View, DR. • Couverture: Studio 9 • Conception et réalisation: Hermès Communication (Vanves) - 01 40 80 22 40 •Impression: Le Réveil de la Marne (Épernay) - Blister biodégradable • Régie publicitaire: CMP (Croissy-sous-Beaubourg) - Carole Malek - 06 24 62 49 99 /01 64 62 62 36 •Diffusion: ISA+ (Sevran) •Dépôt légal: avril 2013 • Chloroville est distribué dans vos boîtes aux lettres et est disponible dans leslieux publics de la ville, sur MEUDON.fr. Si vous ne le recevez pas, appelez le 01 41 14 81 82 ou [email protected] •Chloroville et ses suppléments, comme tous les autres magazines et journaux, une fois lus, se jettent dans le bac jaune.

PUPILLES DE LA NATION ET ORPHELINS DE GUERREL’association nationale des pupilles de la Nation et orphelins de guerre ou du devoir (ANPNOGD) recherche, dans les Hauts-de-Seine, les enfants de parents déportés, fusillésou tués au cours de la Seconde guerre mondiale. Ceux-ci peuvent prétendre à une indem-nisation.>01 46 03 93 42 - 06 80 66 87 97 - [email protected]

ENQUÊTE

Hommages

Maurice Joly est décédé le 25décembre 2012. Ce Meudonnais de longue

date était un facteur bien connu des habitants. Il a débuté sa carrière à

la Poste en 1928 en tant que télégraphiste avant d’arpenter les rues et

les ruelles du Val de 1955 à 1989. Pour sa retraite, Maurice Joly s’était

retiré dans l'Eure. Hervé Marseille, Sénateur-Maire, et le conseil munici-

pal adressent à ses proches leurs plus sincères condoléances.

Philippe Etre, ancien membre du conseil d’administration de la

Maison pour tous, était une figure de la vie associative locale. Les

personnes qui ont croisé son chemin se souviennent d’un homme

courageux et dévoué. Un homme qui a consacré toute son existence à

faire progresser la cause des personnes handicapées. Souffrant

d’un problème de vue et pour se mouvoir, il était malgré tout connu pour

ses reportages photos, une passion qu’il aimait tant faire partager aux

autres. Il avait l’habitude de se rendre à l’espace multimédia pour consul-

ter ses mails et pour en apprendre toujours plus sur les nouvelles tech-

nologies. Philippe Etre s’est éteint le 23février à l’âge de 72 ans. Hervé

Marseille, Sénateur-Maire, et le conseil municipal adressent à ses en-

fants et à ses proches leurs plus sincères condoléances.

René Léaustic,89 ans, est décédé le 14 mars dernier. Ingénieur des arts

et métiers, il a passé toute sa carrière professionnelle chez Renault : di-

recteur d’une usine de la Régie à Castres, directeur général de Renault

machine outils puis président d’une filiale à Bobigny. À la retraite, il s’est

passionné pour l’iconographique au centre russe du Potager du Dau-

phin. En 2003, après la fermeture du centre et aux côtés de Martine

Charbonnier, il a relancé l’atelier d’icônes, rappelant ainsi l’attachement

de la Ville pour les traditions artistiques russes. En 2006, il a publié

Écrire une icône, manuel complet traitant de l’élaboration technique des

icônes. Il avait à cœur de partager sa passion avec chacun des élèves de

l’atelier et excellait dans la maîtrise de cet art complexe.

Hervé Marseille, Sénateur-Maire de Meudon, et le conseil municipal re-

nouvellent à Geneviève, son épouse, à Marie-Françoise et Michèle, ses

filles et à ses petits-enfants leurs sincères condoléances.

>

CHLOROVILLE N°104 FAB_Mise en page 1 22/03/13 10:47 Page34

Page 35: chloro-104_bd

>Dimanche 7avril Pharmacie Khau Au Cheak2 allée Marcel-Simon01 46 31 60 76

>Dimanche 14avrilPharmacie Schmeder22 rue Marcel-Allégot01 45 34 10 98

> Dimanche 21avrilPharmacie Poulain55 rue de la Belgique01 45 34 09 00

>Dimanche 28avrilPharmacie Cottard3 place Stalingrad01 45 34 19 70

>Mercredi 1ermaiPharmacie de La Clinique7 rue de la Synagogue01 46 30 86 30

>Dimanche 5maiPharmacie Vacher17 rue des Galons01 46 26 01 33

>Mercredi 8maiPharmacie Serret32 rue de la République01 45 34 10 53

>Jeudi 9maiPharmacie De Monte2 place d’Orion01 46 30 35 35

Les tours de garde 2013sont sur MEUDON.fr

34/35CHLOROVILLE / N° 104 / AVRIL 2013

Lundi

Férié

Mardi

Concombre, cibouletteet tomate

Saucisse de ToulouseSans viande et sans

porc: calamars à la romaine

Lentilles maisonCroc' lait

Compote de pommesBrioche aux pépites de chocolat, yaourtnature, sucre et fruit

Mercredi

Velouté de poireaux et pommes de terre

avec croûtonsCordon bleuSans viande:

nuggets de poissonPurée de pommes

de terreYaourt nature et sucre

FruitBaguette, Coulommiers

et jus de pomme

Jeudi

Repas de PâquesŒuf au nid sur salade

(carottes râpées et œuf dur)

Cubes de saumonsauce crème

Haricots verts beurreet pommes sautées

Fromage blanc et sucreindividuel

Mœlleux au chocolatmaisonPain bio

Baguette, tablette dechocolat au lait, yaourt

aromatisé et fruit

Vendredi

Salade de tortis au surimi

Sauté de bœuf au jusSans viande:

tarte au fromageJardinière de légumes

Tomme de SavoieFruit simplePain bio

Céréales au miel, lait et compote pomme-banane

Semaine du 1erau 5avril

Lundi

Salade savoyarde(dinde et emmental) Sans viande: salade

de torti à la parisienne(échalote, basilic,tomate et maïs)

Médaillon de merlusauce citron

Haricots verts extra finsaux parfums du jardin

Croc'laitFruit

Pain bioGaufre pâtissière,

yaourt nature, sucre et jus d'orange

Mardi

Rillettes de thonmaison et salade

Poulet rôtiSans viande:

omelette natureCarottes Vichy

EmmenthalFruit simplePain bio

Baguette, confitured'abricot, lait

et compote pomme-framboise

Mercredi

Mâche, betteravescuites, vinaigrette,

basilic et olivesRôti de porc au jusSans viande et sansporc pizza fromage

et saladeLentilles bio «maison»Fromage blanc natureet confiture de fraise

FruitBaguette, pâte

à tartiner, flan nappécaramel et jus de raisin

Jeudi

Feuille de batavia,ciboulette et tomates

Steak haché et ketchupSans viande:

calamar à la romaineBlé bio

Petit suisse sucréCompote de pomme

Baguette, Chanteneige et fruit

Vendredi

Chou fleur saucecocktail

Brandade de poissonmaison

Yaourt aromatiséFruit

Pompom cacao, lait et compote pomme-

banane

Semaine du 15 au 19avril

Lundi

Salade de lentillesFilet de hoki pané

et citronHaricots beurreCamembert bio

FruitPain bio

Goûter fourré chocolat,yaourt aromatiséet jus de raisin

Mardi

Tomates vinaigrette,basilic et fêta

Hachis ParmentierSans viande:

brandade de morueCompote de

pomme-fraiseBaguette, barre dechocolat noir, petitsuisse aux fruits

et fruit

Mercredi

Férié

Jeudi

Carottes râpées et tomate

Sauté de bœuf sauce forestière

Sans viande: nuggets de poissonPetits pois extra fins

au jusFromage fondu

Liégeois chocolatPain bio

Baguette, confiture de framboise, lait et fruit

Vendredi

Saucisson à l'ail et cornichon

Sans viande et sansporc: tomates

en salade, vinaigretteet basilic

Pizza fromage, saladeverte, vinaigrette

et basilicFromage blanc

aux fruitsFruit

Petit pain au lait, lait et compote de pomme

Semaine du 29avril au 3mai

Écoles et accueils de loisirsSV >plat sans viandeSVSP >plat sans viande et sans porcEn bleu >le goûter

En vert >Produit issu de l’agriculture biologiqueToutes les viandes de bœuf proposées sont issues de races à viandes et les volailles sont certifiées Label Rouge.

Lundi

Salade de tomate au maïs, vinaigrette

et cibouletteEscalope de poulet

napolitaineSans viande:

omelette natureRiz bio créoleMontboissier

Liégeois vanilleBaguette,

barre de chocolat noir,lait et fruit

Mardi

Sans porc et sansviande: œuf dur

mayonnaisePoisson blanc gratiné

au fromagePetits pois extra fins

au jusYaourt aux fruits

FruitPain de campagneBaguette, Fraidou etcompote de pomme

Mercredi

Cœur de scarole et croûtons

Sauté de porc saucedijonnaise

Sans viande: pavé du fromager

Courgettes et pommesde terre à l'ailChanteneige

Ananas au siropPain bio

Croissant, yaourtnature, sucre et fruit

Jeudi

Salade de haricotsverts maisonPizza fromage

et saladeFromage blanc et sucre

Fruit simplePain bio

Brio au cacao, Flambyet jus de raisin

Vendredi

Céleri rémoulade,carottes râpées et olives noires

Rôti de veau farci auxolives et son jus

Sans viande: steak decolin à l'armoricaine

Chou-fleur bio,béchamel

et emmental râpéCrème dessert

chocolatBaguette, confiture

de groseille, lait et fruit

Semaine du 8 au 12

avril

Lundi

Salade de betteravescuites et tomates

Couscous merguezSans viande:

pavé de poissonmariné à la provençale

& semoule bioLégumes de couscous

et semoule bioYaourt nature bio

et sucreFruit

Pain bioBaguette, confiture

de cerise, petit suissefruité et fruit

Mardi

Tomate vinaigretteGratin de la merCoquillettes bio

et emmental râpéMousse au chocolat

au laitCéréales nature, lait et compote de pomme

Mercredi

Œuf dur mayonnaiseÉmincé de dinde

à la tomateSans viande:

tarte au fromageChou fleur et brocolis

ChanteneigeFruit

Pain bioBaguette viennoise,

yaourt nature et jus de pomme

Jeudi

Quiche LorraineSans porc et sansviande: chou blanc

râpé et olives noiresRôti de bœuf froid et

ketchupSans viande: nuggets

de poisson Pommes rissolées

Tomme griseFruit

Baguette, pâte àtartiner, et lait compote

de pomme-abricot

Vendredi

Jus de pamplemousseOmelette

Épinards béchamelFromage blanc et sucre

Gâteau pommes etcannelle «maison»Baguette, tablette de chocolat au lait,petit suisse sucré et jus de pomme

Semaine du 22 au 26avril

À noter>Les pharmacies ci-dessous sont de garde le dimanche de 9 h à 19h30. Pour avoir accès à une pharmacie de garde en dehors de ces horaires, il faut avoir uneordonnance puis appeler la police nationale (17 ou 01 41 14 79 00) avant de se rendre à l’officine,dont les coordonnées seront communiquées par la police nationale. (sous réserve de modifications – merci de vous reporter sur les vitrines des officines ou appeler le 15)

Pharmacies de garde

Les menus d’avril

Information aux famillesLa Ville est en contrat avec Sogeres et Elior pour la fourniture de repas. Ces

deux prestataires ont tenu à rassurer la Ville sur le respect des marchés en

cours, qui exigent de la viande bovine française dans les plats confectionnés

maison. Les viandes bovines cuisinées sont toutes issues de bêtes nées,

élevées et abattues en France. Pour les plats, rarement présentés au menu,

et contenant des produits alimentaires provenant de l'industrie agro-

alimentaire, les fournisseurs garantissent une origine française de la viande.

Don du sangL’établissement français du sang organise une collecte. Pourêtre donateur, il faut être âgé de 18 à 70 ans, peser plus de50 kg et ne pas venir à jeun. La présentation d’une carte nationale d’identité est indispensable dans le cas d’un premierdon. Collation offerte avec boissons et viennoiseries.17avril de 13h à 18h30Complexe René Leduc - Salle de restaurantdondusang.net

INFO RETRAITELa Caisse nationale d’assurance vieillesse organise du 16 au 18avril, enpartenariat avec la Deutsche Rentenversicherung Bund et les régimescomplémentaires Agirc-Arrco, des journées d’information retraite franco-allemandes. Des conseillers vous recevront sur rendez-vous pour répondre à vos questions et, éventuellement, évaluer le montant devotre retraite. Inscription avant le 17mars.>[email protected]

À SAVOIR

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