sarah meyohascloud of petals

16 mars - 22 avril 2017

galeriepact.com - info@galeriepact.com70 rue des Gravilliers 75003 Paris

Mardi - Samedi de 11h à 19h

pact@galerie_pact

dossier de presse

--Après avoir créé sa propre crypto-monnaie «Bitchcoin» en 2015, Sarah Meyohas (née en 1991, vit et travaille à New York City) a réalisé une performance intitutlée «Stock Performance» à la 303 Gallery à New York -son premier solo show en 2016, relayée dans The New York Times, Time Magazine, Wired, Vice, Fortune, Artspace, The Atlantic, et sur CNBC, PBS, et CBC.Elle fait partie des «30 under 30», les trente artistes de moins de trente ans les plus prometteurs par Forbes Magazine. «Cloud of petals» à la galerie pact sera sa première exposition en Europe.

Meyohas est diplomée d’un B.A. en relations internationales à l’Université de Pennsylvanie, d’un B.S. en finance à la Wharton School et d’un M.F.A à Yale. Son appartement à New York accueille également sa galerie éponyme.

Cloud of petals16.03 - 22.04

galeriepact.cominfo@galeriepact.com pact

@galerie_pact70 rue des Gravilliers 75003 ParisMardi - Samedi de 11h à 19h

pact est heureux de présenter «Cloud of petals » la première exposition en Europe de l’artiste franco-americaine Sarah Meyohas, visible du 16 mars au 22 avril 2017.

En août 2016, 10 000 roses ont été placées dans l’atrium des anciens Laboratoires Bell (USA), construit par Eero Saarinen en 1962 où a notamment été inventée la théorie de l’information par Claude Shannon. Seize hommes étaient chargés de photographier et numériser les pétales pour former un «cloud», en classant à part les pétales qu’ils considéraient comme les plus beaux. Une fois numérisés, les pétales ont été intégrés à une «learning machine» (réseau neuronal artificiel) capable de générer à l’infini de nouveaux pétales digitaux, inédits et uniques.

Le générateur apprend à modéliser de nouveaux pétales à partir des pétales existants et le discriminateur est dans le même temps formé à discerner les vrais pétales des pétales générés. Les deux organes de la machine s’enrichissent mutuellement en se transmettant réciproquement leurs informations d’après un système binaire ; ce faisant, ils s’améliorent par expérience, créant des pétales de plus en plus réalistes, de plus en plus parfaits.

Le Bell Labs, comme les pétales de roses, ont une valeur ancrée dans la temporalité. Ils sont voués à mourir, là où les données numériques - archive et code génétique de la rose - leur survivront. La machine recrée sinon surpasse la nature et questionne ainsi l’avenir de l’Homme.

De cette expérience résulte une vidéo en couleurs de 30 minutes ainsi qu’une série de photographies, exposées à la galerie pact.

sarah meyohas

Communiquéde presse

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Sarah MeyohasCloud of petals

Edition of 8 + 2 AP16mm transféré en video HD et video 4K

31 min 22 secCoutesy Galerie pact

Vue de l’exposition, Cloud of petals, pact, 2017 © Grégory COPITET

Courtesy pact

VIDEO TEASER:https://vimeo.com/208539282

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Sarah MeyohasVue d’exposition, Cloud of petals, pact, 2017

© Grégory COPITETCourtesy pact

Sarah MeyohasStation 11 / Session 03 / No. 339

Unique + 1 E.AImpression jet d’encre sur papier Harman by Hahnemühle

127 x 94 cm. - 50 x 37.5 in.

Vue d’exposition, Cloud of petals, pact, 2017 © Grégory COPITET

Courtesy pact

artist statement

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Les pétales ne peuvent se numériser eux-mêmes. Des mains humaines doivent ouvrir chaque fleur, détacher le pétale, le placer sous la lentille, appuyer sur le déclencheur, et télécharger l’image dans le cloud. Et ce encore, encore et encore. Les ordinateurs documentent les signaux générés par les humains. Quand les ordinateurs étaient humains, souvent, ils étaient des femmes.

En août 2016, 10 000 roses ont été placées dans l’atrium des anciens Laboratoires Bell aux Etats-Unis. Seize hommes étaient chargés de photographier et numériser leurs pétales.

Les travailleurs classaient et numérisaient à part les pétales qu’ils considéraient comme les plus beaux pour créer un sous-ensemble. La transmission d’une connaissance reste latente dans tout choix esthétique – au moment décisif. La quintessence de ces plus beaux pétales a par ailleurs été conservée sous vide pour être archivée. La mécanique objective de l’appareil photo transforme alors en pixels, en éléments de couleur, les pétales. Les messages vont et viennent à partir d’un théâtre de chiffres : la transmission d’une information est une succession d’actes.

Le Complexe des Laboratoires Bell à Holmdel fut achevé en 1962, un an après la mort de son architecte Eero Saarinen. Entièrement couvert de miroirs, le bâtiment reflète parfaitement son environnement champêtre, comme s’il en dressait le plan sur sa grille moderniste. Le transistor, le laser, font partie des nombreuses avancées issues des deux millions de mètres carrés de cet espace dévolu à l’esprit.

En 1984, le Système Bell fut d’abord démantelé pour être ensuite réduit à une recherche scientifique chargée de répondre aux besoins des entreprises. Durée de vie : 22 ans.Bell avait ouvert la voie à l’ère de l’information. Le bâtiment fut abandonné, et presque démoli. En août 2016, il était toujours inoccupé. Les murs des Laboratoires Bell résonnent encore. Les tableaux blancs affichent toujours des formules et les standards téléphoniques sont numérotés à la main.

La théorie de l’information a également été inventée dans les Laboratoires Bell par Claude Shannon (qui a notamment permis à Roosevelt et Churchill d’échanger par messages codés pendant la seconde guerre mondiale). Un code binaire pour tout, dont les signaux électroniques sont amplifiés par le transistor, marche ou arrêt étant exprimés par 1 ou 0. Il m’aime, il ne m’aime pas. S’il ne m’aime pas, nous sommes deux. Deux uns. Quand il est perdu, il devient zéro. L’addition du non être.

Des variables latentes restent cachées. Elles ne sont pas directement observées, mais plutôt inférées, par l’intermédiaire d’un modèle mathématique, d’autres variables qui elles sont observées et directement mesurées. L’avantage des variables latentes est qu’elles réduisent la dimensionnalité des données : un nombre important de variables observables peuvent ainsi être agrégées en un modèle qui représente un concept sous-jacent ; en ce sens, elles assurent une fonction similaire à celle d’une théorie. Dans le même temps, les variables latentes permettent de relier des observations dans le monde réel à des symboles dans le monde modélisé.

Echelles optiques, avec gradations de valeurs ascendantes et descendantes. Illusion haptique, divergence entre faits physiques et effets psychiques du toucher. Le sol sur lequel les hommes travaillaient avait été originellement conçu par Josef Albers, qui avait remarqué que de la même manière que les couleurs entraient en relation entre elles, les formes de surface que nous appréhendons du bout des doigts ou avec nos yeux étaient en interaction.

Un acte de toucher peut se reproduire lui-même sous la forme d’une odeur ou d’une pensée. L’odeur d’une rose trouvant le souffle d’une longue absence. Il existe une règle empirique, celle de la réciprocité du toucher : nous utilisons pour créer des images mentales les mêmes connexions neuronales que pour la perception matérielle sensorielle.

Une scène en boucle est issue du film – celle des travailleurs et des pétales de rose dans le bâtiment qui reflétait la lumière, de telle sorte qu’une trace était laissée sur l’émulsion sen-sible à la lumière du négatif (cf. visuel page de couverture). Comme un doigt pointé. L’analogique devient juste plus prononcé lorsqu’il est confronté au numérique, comme évolution technologique.

Plutôt que de transcrire un ensemble de propriétés physiques en un autre ensemble, analogique, en maintenant une représentation continue des tonalités d’une émulsion, le digital les convertit en un code numérique, réduit à des 0 et des 1, discret et mesurable, exactement reproductible. Le film crée un signe inséparable de son support. La photographie bloque la mémoire et devient une contre-mémoire. Il y a un pétale, puis la photographie d’un pétale, puis le pétale en tant que donnée numérique. Trois formes d’archive. Le pétale physique a vocation à mourir. La photographie peut être perdue ou dégradée. La donnée numérique enterre les deux premiers. La transcription fait place à un reste, et à partir de ce moment, la séparation entre physique et immatériel, entre le fini et l’infini, entre la nature et la technologie ne fait que s’accentuer.

Expérience sensorielle d’une rose glissant dans son champ de vision. Un phénomène visuel peut se reproduire lui-même dans la sphère du toucher. Les pétales les plus vieux sont les plus doux. La quête amoureuse. La couleur est-elle ancrée dans l’objet matériel, de la même manière que la donnée est ancrée dans les 1 et les 0 ?Les pétales de rose touchent des pétales de rose. La répétition produit ce qu’elle répète.

Une archive peut être une source de connaissance essentielle pour l’identité, ou une accumulation neutre voire mécanique d’informations en vue de leur conservation – un lieu lisible par une machine, ou le verbe transitif d’une action de transfert de données. Des milliers d’images de pétales seront autant de pulsations à travers des câbles et des serveurs remplis d’informations. La dernière action consistera à préserver les téraoctets de données numériques coexistant avec les pétales eux-mêmes, conservés comme autant d’archives. Un code génétique sous forme de fichier de données matériel, qui ne serait ni virtuel, ni d’aucune manière une fraction de la rose – le code génétique d’une rose, une archive de notre désir.

La séparation ultime entre l’état de conscience et le corps matériel est la mort – la mort des roses, du bâtiment, de la technologie. La temporalité de la valeur. La compulsion et la transmission de systèmes qui produisent de la valeur envahissant le corps de l’individu. Bannir la mort avec l’intelligence artificielle. Les pétales sont dans le « nuage ».

Le champ de l’interprétation critique est ouvert. Les pétales, chacun des cent mille pétales, sont utilisés comme autant d’apports à un réseau neuronal artificiel. Chaque unité neuronale est connectée à une quantité d’autres, et ces liens peuvent par leurs effets ou renforcer ou inhiber l’état d’activation des unités neuronales connectées. Ces systèmes fonctionnent plutôt par l’exercice et l’auto-apprentissage que par une programmation explicite. Ce qui signifie vulgairement que la machine apprend par expérience, elle s’améliore.

Ces réseaux de génération contradictoire sont une ramification de l’apprentissage d’un équipement non surveillé, implémentée par un système de deux réseaux neuronaux qui s’affronteraient l’un l’autre comme dans un jeu. Les 100 000 pétales photographiés par les travailleurs servent de données pour l’exercice de discrimination : couleur et vibration, forme et contour, schéma des pixels.

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La machine recrée des pétales sous forme digitale à partir des pétales numérisés.Cette dernière est constituée de deux organes qui communiquent entre eux et s’échangent leurs informations pour évoluer ensemble. Le générateur apprend à modéliser de nouveaux pétales et le discriminateur est dans le même temps formé à critiquer la qualité de chaque pétale généré ; il le valide ou l’invalide. L’espace latent, comme un vaste espace qui toucherait virtuellement des formations psychiques.

Former le discriminateur implique de lui présenter de vrais pétales et des pétales générés, et de les réinjecter à partir de la perte d’une classification binaire. Pour générer un pétale, le générateur est alimenté par un apport aléatoire prélevé sur un espace latent prédéfini. Former le générateur implique de réinjecter la négation de la perte de la classification binaire du discriminateur. Le générateur ajuste ses paramètres de sorte que les vrais pétales et les pétales générés ne puissent être distingués par le discriminateur. L’objectif est de définir un ensemble de paramètres qui puisse leurrer le discriminateur. Ces paramètres peuvent créer un espace « n-dimensionnel » dans lequel tous les pétales peuvent être cartographiés, tel des points.

L’objectif du générateur est de leurrer le discriminateur en générant des pétales numériques qui paraissent émaner des vrais pétales d’origine. Des pétales inédits et uniques peuvent être générés à l’infini, telles des surfaces enveloppant de leur mouvement les fibres lumineuses de l’écran.

Si nous pouvions prendre une photographie des 86 milliards de neurones d’un cerveau humain et ensuite simuler l’état de ces neurones dans un ordinateur, cet immense schéma n’aurait pas de sens en dehors du cerveau qui l’aurait produit. Alors que les ordinateurs sont capables de conserver des copies exactes de pétales qui peuvent ainsi rester inchangés à l’infini. Même si le courant était coupé, le cerveau ne pourrait conserver notre pensée qu’aussi longtemps qu’il est vivant.

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A propos de Cloud of petals:

«Il est admis depuis les travaux du mathématicien Norbert Wiener que la nature se désagrège progressivement, conformément au second principe de la thermodynamique. Pour pallier à cette entropie naturelle, l’homme a su produire une énergie paradoxalement négative en recevant, stockant et transmettant l’information. Nommé néguentropie d’après les cybernéticiens, ce développement se caractérise par un degré croissant d’organisation... Le magnifique film de Sarah Meyohas pour «Cloud of Petals» atteste merveilleusement ce «moment cybernétique» (cf. Mathieu Triclot).»

Alexis Jackubowicz

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Sarah MeyohasCloud of petals 09

C-PrintEdition of 5 + 2 A.P

153 x 229 cm. - 60 x 90 in.

Copyright Sarah MeyohasCourtesy Galerie pact

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C.V sarah meyohasNée à New York, USA (franco-américaine, 1991). Vit et travaille à New York, New York, USA

education20152013

Yale University, M.F.A.

University of Pennsylvania, Huntsman Program in International Studies & BusinessCollege of Arts & Sciences, B.A. International StudiesWharton School, B.S. EconomicsMagna Cum Laude

solo shows2017

20162015

Cloud of Petals, Galerie pact, Paris, FranceCloud of Petals, Indepence Regence, Brussels (project space) / video only - MayClouf of Petals, RedBull Studios, NYC / Video only - September

Stock Performance, 303 Gallery, New York, New York, USA

BitchCoin, Where, Brooklyn, New York, USA

group shows2017 Escape Attempts: Curated by Kathy Battista, Shulamit Nazarian, Los Angeles, CA, USA

2016 Legal Tender, The Alice Gallery, Seattle, WA, USA

2015 Black Mirror, Aperture Foundation, New York, NY, USALovely Dark, Regen Projects, Los Angeles, CA, USALovely Dark, Danziger Gallery, New York, NY, USAviewer DISCRETION..the Children of BATAILLE, Stux Gallery, New York, NY, USANEWD Art Fair, Brooklyn, NY, USALUX: Ideas through Light, Beinecke Plaza, Yale University, New Haven, CT, USABusiness As Usual, Set The Controls For The Heart Of The Sun, Leeds, UK

2014 Yale MFA 2015, Yale School of Art Green Hall Gallery, New Haven, CT, USA

2013 For Ed: Splendor in the Grass with Olympic Lad & Lass, Curated by Samuel Messer, Yale School of Art Green Hall Gallery, New Haven, CT, USAI like it when the girls, Hundred Forsyth, New York, NY, USACurated by Margaret Kross & Suzie OppenheimerPhoto Istanbul Exhibition, Meyerson Gallery, Philadelphia, PA, USATroupe, Addams Gallery, Philadelphia, PA, USA

2012 Moby-Dick, Addams Gallery, Philadelphia, PA, USACorpus Corporum, Philomathean Art Gallery, Philadelphia, PA, USA

2011 SVA Summer Residency Exhibition, Westside Gallery, New York, NY, USA13

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speakingGuest Lecture, University of Pennsylvania, Philadelphia, PA, USAVisiting Artist, Sotheby’s Institute, New York, NY, USA

2016

2015 NEWD Talks: Beyond Resale Royalties – Pro-Artist Market Maneuvers, Panel | Sarah Meyohas, Neal Curley (Essex Street Gallery) and Kenneth Schlenker (artlist.co), moderated by Dr. Natasha DegenSwiss Institute, New York: Panel | Sarah Meyohas, Lucy Hunter and R. Lyon, Jenny Jaskey, and Laurel Ptak Discuss BitchCoin

residencies & awards2011 Residency at the School of Visual Arts, New York, NY, USA

2010 Institute of Contemporary Art (Philadelphia, PA) Advisory Board Member (2010-2013)Juror’s Award, University of Pennsylvania, USA

2017 «Forbes 30 Under 30 - Art & Style», ForbesMichael Slenske, «Female artists turn minimalism on its head at Shulamit Nazarian’s new Hollywood Gallery», Wallpaper Magazine, Feb 21 2017

2016 «Is The Traditional Art Gallery Dead?», Artspace, Dec 27 2016 Sarah Cascone, «14 Emerging Women Artists to Watch in 2017», Artnet, Dec 21 2016Samantha Drake, «At the Intersection of Art and Finance», The Pennsylvania Gazette, 21 Dec 2016 Kat Herriman, «Sarah Meyohas: 30 Under 30», Cultured Magazine, Nov 2016 Nicole Bray, «Artist Spotlight: Sarah Meyohas», Art + Real EstateMatt Levine, «Politics, Polls, Art and Bribery», BloombergView, Nov 8 2016«Sarah Meyohas – Stock Project», A Cereal Production, Harris Markowitz vimeo’s account, Nov 2016Andrew Nunes, «10,000 Roses Infiltrate the Bell Labs Holmdel Complex», The Creators Project, Sep 23 2016«Burning Man, A Brazilian Homage to Hip Hop & Big Data Roses | Culture Beat Episode 3», Creators Project Culture Beat, Vice, YouTube video, Sept 22 2016Kat Herriman, «On Site with Sarah Meyohas at Bell Labs’ Temporary Flower Factory», Artnet, Sept 2 2016Michael Kaplan, «Meet the artist who manipulates stock prices for paintings», New York Post, Feb 5 2016Bourree Lam, «Making Performance Out of the Stock Market», The Atlantic, Jan 23 2016Ken Johnson, «Here’s How an Artist Plays the Stock Market», New York Times, Jan 21 Alex Greenberger, «‘I Value, I See, I Mark’», ArtNews, Jan 11 2016

2015 Corrina Kirsch, « Will ‘BitchCoin’ Offer Artists a New Way to Make a Living?», Vice Mar 20 2015Katie Booth, «Woman of Wall Street: New York City artist launches Bitchcoin», New York Times, Mar 17 2015Sarina Finkelstein, «An Artist Mints Her Own Take on Bitcoin», Time, Feb 13 2015

2014 Andrew Nunes, «Some Metals are Precious, But This Art is Golden»,The Creators Project Vice Magazine, Aug 4 2014The Cut, «Out of the Box: The Yale Project», May 19, 2014 issue of New York Magazine

2013 Joel Mathis, «Business Idea: Selling Nude Pics Featuring Penn’s Huntsman Hall», Philadel-phia Magazine, Apr 23 2013 Daniel Blas, «This Woman Did WHAT In Huntsman?!, Under the Button - 34th Street Maga-zine, Apr 22 2013

press

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Sarah MeyohasCloud of petals 05

C-PrintFormat A : 102 x 153 cm. - 40 x 60 in.

Edition de 5 + 2 E.A

Copyright Sarah MeyohasCoutesy Galerie pact

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Sarah MeyohasCloud of petals 08

C-PrintFormat A : 102 x 153 cm. - 40 x 60 in.

Edition de 5 + 2 E.A

Copyright Sarah MeyohasCoutesy Galerie pact

expositions précédentes

Bitchcoin est une crypto-monnaie créée par l’artiste dont la valeur correspond à 25 square inches (63,5 cm) de l’impression photographique d’une de ses oeuvres (parfois pas encore produite). Le taux de change reste fixe malgré les possibles fluctuations de la cote de l’artiste. Sous l’ironique nom de «bitchcoin» se cache une réflexion sur la marchandisation du corps féminin et un nouveau mode d’investissement dans le monde de l’art.

at Where Gallery, Brooklyn, New York, USABitchCoin, 2015

http://www.sarahmeyohas.com/bitchcoin/ http://www.bitchcoin.biz

The

Bitc

hCoi

n lo

go. C

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sy S

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Mey

ohas

The Wherecam, which captures the real-time computerized BitchCoin mining process in the gallery, Courtesy Where Gallery

Sarah Meyohas, Speculation, 2015, Courtesy Where Gallery

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303 Gallery, New York, NY, USAStock Performance, 2016

En janvier 2016, Sarah Meyohas s’est installée au sein de la galerie 303, à New York, pour réaliser sa stock performance, réflexion sur les rapports entre le monde de l’art et celui de la finance.

Pendant 10 jours, l’artiste a échangé/marchandé des actions sur la plateforme New York Stock Exchange et a retranscrit en temps réel les variations de leurs valeurs au pastel sur des toiles blanches accrochées aux murs de la galerie.

Par la représentation picturale des fluctuations financières, Sarah Meyohas questionne la notion de valeur, de subjectivité et d’objectivité.

Stock Performance, exhibition-performance view, 2016, 303 Gallery, New York, USA,All visual Courtesy 303 Gallery

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est l’acronyme de nos initiales : Pierre-Arnaud (Doucède) et Charlotte Trivini.

est aussi le reflet de notre engagement à diffuser le talent d’artistes émergents pas ou peu visibles en France, qu’ils soient ou non déjà reconnus à l’étranger.et notre intérêt pour les pratiques artistiques hybrides et avant-gardistes.

fait également référence à notre manière de concevoir chaque exposition comme un pacte artistique. En effet, chaque show fera l’objet d’un dialogue enrichissant :

Soit à travers l’intervention d’une personne extérieure à l’art contemporain, dont le travail ou la réflexion est en corrélation avec le thème de l’exposition (mathématicien, danseur, chirurgien, réalisateur etc.)

étymologie & philosophie

Soit avec une œuvre d’un autre artiste ayant inspiré la série exposée (issue du second marché ou prêtée par une galerie ou un collectionneur, cette œuvre historique présentée au sein même de l’exposition pourra être une œuvre d’art contemporain comme d’art moderne, brut, tribal etc.)

expositions à venir

lucy kim

foires à venir

outdoors

milan31 mars - 2 avril

bruxelles19 - 23 avril

fred forest

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Charlotte Trivinicharlotte@galeriepact.com+33 (0)6 27 01 08 66

Pierre-Arnaud Doucèdepierrearnaud@galeriepact.com+33 (0)7 61 01 83 83

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