Collégiale - Edition Spéciale · 2017. 6. 29. · DE LA COLLEGIALE Le mardi 16 mai dernier, vous étiez plus de 3000 Cinaciens présents sur la Place pour assister à la pose de

Collégiale - Edition Spéciale

CINEY LES MEUGLERIES 2

SOMMAIRE

EDITO 3

COLLÉGIALE 4

Quelques dates 4

Bref Historique 6

Le clocher 7

La tempête 8

Un bâtiment classé 8

Les travaux 10-11

Les Entreprises 12-13

07 mai - Chantiers Ouverts 14-15

16 mai – Pose du clocher 16-17

MAISON CITOYENNE 18Plan Canicule

ETAT CIVIL 20NaissancesMariagesDécès

Chers concitoyens,

E 16 MAI NOTRE NOUVEAU CLOCHER ETAIT POSE SUR LA TOURDE LA COLLEGIALE

Le mardi 16 mai dernier, vous étiez plus de 3000 Cinaciens présents sur la Place pour assisterà la pose de notre nouveau clocher.

Entouré des Ministres BELLOT et BORSUS et du Collège communal au grand complet, j'ai eul'honneur de m'adresser à vous pour vous présenter cet événement.

Ensuite, dès après la bénédiction de la croix et du coq par Monsieur le Doyen, nous avons assistéà la montée du clocher vers la tour de la Collégiale.

Ce grand moment de la vie cinacienne a été relayé par Matélé, mais aussi par la plupart desmédias belges.

Le temps était de la partie et l'événement a été prolongé par un apéritif servi dans les verresmis gratuitement à la disposition de la Ville par la Brasserie MAES, que nous remercions, et quiont pu être offerts aux Cinaciens en souvenir de l'événement.

Je tiens à remercier encore toutes les personnes impliquées de près ou de loin dans les travauxde reconstruction et la mise en place de cette journée qui fut un réel succès, et en particulier leDirecteur général, Christelle, Maud, Catherine et André.

Merci également à toutes les personnes présentes qui ont fait de ce moment historique un jourinoubliable !

Jean-Marie CHEFFERT, Bourgmestre

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EDITORIAL

CINEY LES MEUGLERIES

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QUELQUES DATES300Évangélisation de nos contrées par saint Materne. Celui-ci construit à Ciney un sanctuaire dédié à la Viergecomme il l'a fait aussi à Dinant et à Huy.

8e – 10e s.Un chapitre de Chanoines s'installe à Ciney vraisemblablement vers 816.

11e siècleConstruction d'une importante collégiale de style roman.

1149La ville de Ciney est rasée par une guerre. Incendie de la Collégiale.

1195La ville de Ciney est rasée par Beauduin V, comte de Hainaut. Incendie de la Collégiale.

1276Incendie de la Collégiale lors de la « Guerre de la Vache ». Massacre des habitants réfugiés à l'intérieur.

1613Écroulement de la Collégiale suite à un violent ouragan. Seule la tour reste debout. La crypte est remplie des décombres.

1618-1630Reconstruction de la Collégiale en style gothico - renaissant.

1722Importants travaux de réparation à la nef.

1791Plâtrage général de l'intérieur de l'église pour masquer le disparate de plusieurs types d'architecture entremêlés.

1819Restauration de la tour – ajout d'un étage.

1833 - 1838Grande rénovation de l'église tant intérieure qu'extérieure. L'intérieur subit une cure de jouvence ; à l'extérieur, on supprime ou on réaffecte des chapelles abandonnées, on crée de nouveaux porches d'entrée...

1843Allongement du chœur, recul de 6 mètres des deux autels latéraux. Restauration de la tour.

1908Restauration face ouest de la tour. Nouveau revêtement en moellons équarris.

1928Dégagement de la crypte romane lors de fouilles.

1931Classement de la tour par la Commission Royale des Monuments et des Sites.

1949Classement de l'église Saint-Nicolas.

1975-1976Travaux d'après les plans des architectes Bastin et Schumacker : toitures, redressement de la flèche, deux nouvelles entrées, chapelled'hiver, nouvelles verrières, nouvelle entrée de la crypte, nouvelle installation électrique, chauffage central, nouveau pavement, pein-tures...

2010Tempête du 14 juillet.

2016 – 2018Travaux de restauration de l'église par les entreprises Ronveaux, Thiran, Bajart et Golinvaux.

COLLÉGIALE

BREF HISTORIQUELa Collégiale n'est pas une simple église, c'est d’abord le monu-ment le plus vieux de Ciney, avec sa fameuse tour qui au fil desans a aussi fait sa renommée au-delà de nos frontières.

Pour le cinacien, cet édifice est l’emblème même de la ville, c'est là que tout a commencé,que l'histoire de Ciney s'est écrite. C'est le cœur vivant de la ville où l'on se retrouve, serencontre, où l'on vit des événements joyeux ou tristes, c'est un véritable lieu de rassem-blement ! Mais pour le vieux cinacien, elle est plus qu'un repère, elle est cette ombre majes-tueuse et rassurante qui semble veiller sur les habitants depuis des siècles.

Si la Collégiale est dédiée à Notre-Dame de l'Assomption, la paroisse a pour patron saintNicolas, d'où parfois son appellation d'église Saint-Nicolas.

L'édifice autel a été construit sur le site de divers sanctuaires qui ont été ravagés à de mul-tiples reprises à partir du 12e siècle et chaque fois reconstruits.

La crypte et la tour sont du 11e siècle mais le site semble avoir été occupé beaucoupplus tôt au vu de vestiges gallo-romains et mérovingiens trouvés lors de fouilles menéesdurant l'exhumation de la crypte en 1928 et durant la restauration de l'église en 1975.

La disposition actuelle de l'église date de sa reconstruction en 1618 après une destructioncomplète en 1613 à la suite d'un ouragan.

Le plan général est celui de l'église de style roman qui l'a précédé : une nef centrale partantde la tour et flanquée de deux nefs latérales ou bas-côtés. La nef centrale est coupée parun transept non débordant qui limite les nefs latérales. Au-delà du transept, une abside en demi-cercle contient le chœur. Celui-ci aété allongé de 6m en 1843. La tour, la croisée, le chœur et diverses annexes sont en pierre calcaire.La nef centrale, haute, est en brique, la brique étant employée à d'autres endroits lors de la restauration.

En 1791, on assiste à un plâtrage général des piliers et des arcades pour tenter d'unifier les différences de style apparues lors de res-taurations successives.Des sept chapelles latérales qui ceinturaient l'église jusqu'en 1833, il ne subsiste que celle du Rosaire. Une chapelle de semaine a étéaménagée en 1976 à l'emplacement de deux anciennes chapelles qui avaient servi de remise après leur désaffectation. La sacristieactuelle était antérieurement la salle du chapitre où se réunissaient les chanoines durant l'Ancien Régime.

La dernière restauration en 1976 a vu la modification de l'accès de la crypte, l'installation d'un nouveau chauffage et le renouvelle-ment de l'ensemble du pavement.

Le 14 juillet 2010, une tempête s'abat sur Ciney et la violence du vent fait tomber le clocher à l'intérieur de l'église causant de nom-breux dégâts.

En avril 2016, après plusieurs années d’attente et quelques rebondissements, les travaux de restauration de la Collégiale peuvent enfincommencer. La fin des travaux est prévue pour le printemps 2018.

Mais au-delà du culte, la Collégiale a, de tout temps, fait partie intégrante de la vie des cinaciens. Au cœur de la ville, en bordure de la Place Monseu, elle a été le théâtre d'événements magnifiques et parfois spectaculaires comme parexemple « Les Jeux de Ciney », « Le Festival de la Guitare d'Or », « Les Jeux Sans Frontières » ainsi que diverses animations et concerts.


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COLLÉGIALE

© RCCC

© RCCC


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LE CLOCHERComme la Collégiale est un bâtiment clas-sé, la restauration prend du temps et sur-

tout tout doit être refait à l'identique comme par exemple la structurede la charpente. Celle-ci est assez complexe. C'est une flèche octogo-nale qui repose sur un plan carré. On part de la base et on travaillepar plateaux.Des calculs précis sont effectués pour répartir harmonieusement lacharge et chaque entrait (= grosse poutre) est consolidé avec d'autrespoutres coupées en angles pour renforcer la structure.

En cette année 2017, ce ne sera pas la première fois que la Collégialese verra attribuer une nouvelle flèche...En effet...ce sera la 7e !

PETIT HISTORIQUE

1149 et 11951ère et 2e reconstruction de la flèche du clocher de la Collégiale suite à des incendies.

Vers 16203e reconstruction totale de la flèche. Puisqu'on profite de la reconstruction totale de l'église pour rajouter un niveau à la tour...il faut doncreconstruire tout le clocher.

1706La foudre tombe sur le clocher de la Collégiale le 1er juillet 1706. En 1710, on replace une nouvelle croix au sommet de la flèche répa-rée.

1762-63La flèche menace de tomber. On entame donc, à nouveau, de grosses réparations au clocher, en fin de vie.

18445e reconstruction de la flèche carelle « surplombait ». Elle a 28m dehauteur ainsi qu'un coq en cuivrerouge de 11,5kg supportant unecroix.

19766e reconstruction de la flèche.La reconstruction vient en janvier1976, lors de la grande remise enétat de l'église. Tout à fait tordue, ondoit démonter partiellement laflèche pour procéder à son redresse-ment.

20177e reconstruction de la flèche etpose du clocher le 16 mai 2017.

COLLÉGIALE

© R. Pierson

© R. Pierson © RCCC


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UN SOUFFLE SUR LA COLLÉGIALE :TEMPÊTE DU 14 JUILLET 2010Suite au passage d'une violente tempête,il n'a pas fallu plus de 10 minutes pour

semer le chaos dans la région et réussir à faire tomber la flèche del’emblème de Ciney.

La flèche de la tour de la Collégiale s'est tordue, puis abattue sur latoiture de la nef, entraînant l'effondrement de la charpente et desvoûtes à l'intérieur de l'église.

De plus, de nombreux débris ont causé des impacts dans les toitures.Les plus lourds ont fortement abîmé les toitures des bas-côtés Nord,de la chapelle de semaine et de la tourelle du transept. Une toitureplate, emportée par les vents violents a également transpercé la toi-ture située au-dessus du chœur.

Les décors et le mobilier ont quant à eux été assez endommagés parles poussières, les chutes de débris et les projections de gravats, comme par exemple notre bel orgue qui a beaucoup souffert...

COLLÉGIALE

UN MONUMENT CLASSÉ... UNE PROCÉDURE À SUIVRE

La Collégiale de Ciney étant un monument classé, il y a une certaine procédure à suivre pour les inter-ventions dans le bâtiment.

Quelles ont été les premières interventions ?• clôture du site et bureau d'étude mandaté pour analyser la situation et donner les premières instructions relatives à la sécurisationde l'édifice et de ses abords immédiats

• sécurisation de l'édifice, triage et évacuation des gravats• stabilisation provisoire des pans de toiture de la flèche

Quelles mesures d'urgence pour sauvegarder l'édifice ?• relevés des fermes de charpentes de la nef ainsi que de la structure de la flèche située au-dessus de l'enrayure supérieure en vuede leur démontage

• relevé et couverture provisoire du chœur• travaux de protection provisoire (ex : enlèvement des gravats présents dans la nef, couverture provisoire de la tour)• couverture provisoire de la nef

Et les œuvres ?Les pièces plus fragiles et transportables ont été évacuées dans un local sécurisé au Musée Diocésain en août 2010.

Il s'agit de :• la crédence située dans le chœur• les reliquaires situés sur l'autel Saint-Nicolas• le retable en bois• un chandelier en laiton• un pied de fumeur• le couvercle des fonds baptismaux

Les pièces plus lourdes et donc difficiles à déplacer ont également été protégées par des bâches en plastique et ensuite par des caissonsen bois.

Il s'agit de :• l'autel Saint-Nicolas• les peintures de Saint-Luc de l'Assomption• les statues de saint Joseph à l'Enfant et de la Vierge à l'Enfant (statues Del Cour)• la statue de saint Materne et son socle

Les fonds baptismaux, quant à eux, ont été placés dans une « cage » en panneaux de bois.Dans le but d’aider la commune de Ciney, la Direction de la Restauration a rédigé les différents documents de demande de certificat depatrimoine.


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LES TRAVAUX

LE DOSSIER

Avant de pouvoir entamer la restauration de la Collégiale, de nombreuses démarches administratives assez complexes ont été lancées.Comme le bâtiment était classé depuis 1949, il fallait obtenir un Certificat de Patrimoine.En effet, il était primordial de restaurer l'enveloppe extérieure de l'édifice à l'identique et d'utiliser des matériaux répondant aux impé-ratifs patrimoniaux.Par contre, à l'intérieur, on retrouvera quelques éléments contemporains.

Le Certificat de Patrimoine définitif a été délivré pour la Collégiale le 4 avril 2014.Le comité d’accompagnement du certificat de patrimoine a approuvé le dossier complet pour les phases 1et 2 lors de la réunion de syn-thèse du 24 octobre 2013.

Le dossier, divisé en 3 phases, est composé comme suit :

Phase 1 :• Restauration des maçonneries en pierres et en briques• Restauration du clocher• Renouvellement des couvertures en ardoises détruites et des charpentes sous - jacentes• Travaux de zinguerie pour les eaux pluviales et l’étanchéité des toitures• Restauration ou renouvellement des vitraux• Travaux de stabilité de l’édifice

Phase 2 :• Gros-œuvre intérieur• Réfection des enduits• Restauration des revêtements de sol• Restauration ou reconstruction des menuiseries intérieures• Travaux de peinture et de finition• Restauration des ouvrages particuliers• Travaux de ferronnerie• Techniques spéciales (chauffage et électricité)

Phase 3 (à l'étude)• Mobilier• Orgue• Restauration des œuvres d’art

COLLÉGIALE


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LES TRAVAUX

LES DÉLAIS

Comme c'est un chantier spécifique et soumis à un marché européen, les délais ont été assez longs avant de pouvoir commencer la res-tauration de l'édifice.

Le permis d’urbanisme a été délivré le 13 novembre 2014.

L’ouverture des offres a eu lieu le 17 février 2015.

En avril 2015, une association de 4 entreprises wallonnes est désignée pour effectuer les travaux de la Collégiale : RonveauxRénovation (Ciney), Entreprise Bajart S.A. (Floreffe), Thiran (Achêne) et Entreprise Robert Golinvaux SPRL (Bertrix).

Le 11 avril 2016, le chantier tant attendu peut enfin commencer.Le cahier des charges prévoit un délai maximum de 730 jours, soit jusqu'au 11 avril 2018, sauf s'il y a des intempéries durant l'hiver, cequi pourrait allonger le délai.

Depuis le début des travaux, l'aspect de la Collégiale a déjàbien changé et les cinaciens peuvent découvrir au jour le jour,les différents travaux effectués. Après le placement impres-sionnant de l'immense grue (61m de hauteur), on a pu voir laconstruction du clocher, à même le sol.

LE BUDGET

Lors de l'établissement du budget, la majorité actuelle adécouvert que le dossier assurances était plus compliqué queprévu car le bâtiment était sous-assuré.

La compagnie d'assurance a versé un montant de2.432.139,44 € qui a été majoritairement affecté, sous l'an-cienne majorité communale, à d'autres dépenses et n'a, hélas,pas été conservé en vue des travaux de reconstruction.

Suite à cela, la Ville devra contracter un emprunt non pas de1.150.000 € (ce qui représente la part communale) mais biende 2.850.000 €.

Le prix de la reconstruction intérieure et extérieure de laCollégiale classée atteint donc la somme de 4.000.000 € tousfrais compris en y incluant la dernière phase, qui est actuellement à l'étude, concernant les aménagements intérieurs.

La Commune a obtenu, de la Région Wallonne, un subside de 316.355,3 € pour les gros œuvres.

Sources : Exposition Patrimoniale “Du Haut de ses siècles, notre Collégiale” réalisée par le Centre Culturel de Ciney, en collaborationavec le RCCC et l’Office du Tourisme - Ville de Ciney.

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LES ENTREPRISES

ETS RONVEAUX SA

**En 1923, Eugène RONVEAUX, jeune Ingénieur des Arts et Métiers, crée son entreprise deDistribution Électrique, essentiellement dans le sud du pays. Il construit aussi des stations depompage d'eau.

Début de l’activité Construction : le poteau de lignes électriques, premier produit préfabriqué, voit le jour en 1937. Pendant la guerre, lasociété réalise des chantiers de canalisation d’eau potable et bétonne des sentiers dans les bois pour éviter à ses ouvriers le travail obli-gatoire en Allemagne. Dès 1950, Ronveaux utilise la technique de la précontrainte, pour la fabrication de candélabres d’éclairage.Marie-Anne Belfroid-Ronveaux entre dans la société et est chargée du développement de la préfabrication d'éléments en béton : l’èredes Ponts démarre. La maîtrise de la technique de la précontrainte est en croissance exponentielle.La société participe à la réalisation de l’Expo 58 avec déjà un premier record : des pylônes en une pièce de 34 m de hauteur pour l'éclai-rage de la section belge.Des années 60' à 70', la Construction poursuit sa croissance avec les structures de bâtiments (poutres et colonnes). La télédistributionconstitue la première diversification du département Électricité 1973 – 1983, le département Rénovation voit le jour : et la société débute le métier de rénovation des constructions.

Le Prix de l’innovation en Wallonie 1990 couronne une décennie d’innovations : un nouveau produit, le pont bac, en est un superbeexemple.Le département Électricité développe de nouvelles activités : armoires de commandes, groupes de secours, armoires électriques de dis-tribution et automatisation, …Françoise Belfroid intègre le groupe. La diversification en Électricité s’intensifie encore : pose et réglage d’antennes de télécommunication, installations industrielles ; éclai-rage de tunnels.Avec l'acquisition de Coprobat à Bruxelles le métier de Rénovation prend un nouvel essor.M.A. Belfroid est élue par Trends-Tendance Manager francophone de l’année en 2003.Le développement international se concrétise par un partenariat avec la société vietnamienne Vinaconex qui construit bientôt des pontset bâtiments multi-étages suivant nos procédés de fabrication.Deux nouvelles activités sont lancées en Électricité : la construction et l’entretien des installations d'éclairage public ainsi que desréseaux de fibre optique (soufflage et jointage de micro-tubes et micro-câbles). Le site de Chastrès est inauguré et agrandissement dusite de Ciney. Coprobat est rebaptisé Ronveaux Rénovation et rejoint le siège social de Ciney.

**Sources - http://www.ronveaux.com/fr/le-groupe.html

THIRAN

**Tout a commencé en 1796. La Famille Thiran crée une société appelée « Entreprises Thiran» exerçant ses activités dans le domaine de la construction, à Warnant.Au début, l’entreprise familiale réalisait essentiellement des travaux de restauration de châ-teaux (Beloeil, Noisy, Annevoie, Bioul, Onthaine, Vesves,…), et d'églises !

En 1983, plus de 200 ans plus tard, l’entreprise quitte Warnant pour s’installer définitivement à Achêne (Ciney). Quelques années plustard, en 1991, la société familiale change de dénomination et devient « Groupe THIRAN S.A. ».200 années d’existence au cours desquelles le monde a connu une évolution prodigieuse, des bouleversements et des innovations danstous les domaines. Pour les entreprises Thiran, ce furent 200 années d’expérience continue dans la construction, la restauration et larénovation.De père en fils, à travers huit générations, l’entreprise a vécu cette croissance, s’adaptant avec enthousiasme et améliorant sanscesse le savoir-faire d’un métier exigeant. L’acquis professionnel de cette continuité est la parfaite maîtrise de l’association desméthodes traditionnelles et contemporaines. Un management rigoureux et un personnel compétent qui met en œuvre des techniqueset matériaux de qualité sont les bases de la réputation des entreprises Thiran.

Une croissance régulière et impressionnante, si bien qu’en 2000 l’entreprise THIRAN est intégrée à 100 % au groupe de constructionVAN LAERE, lui-même appartenant au groupe de services diversifiés coté en Bourse Ackermans & van Haaren.Savoir-faire, souplesse de planification des projets, performances de réalisation, saine gestion financière sont les grands atouts de lasociété.

** Sources - http://www.thiran.be/a-propos-de-nous/un-peu-dhistoire/

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ENTREPRISE BAJART

**Joseph-François Bajart, maçon et tailleur de pierres de forma-tion, fonde l’entreprise familiale de construction : société anonyme« entreprises Bajart » En 1890, il s’entoure d’une équipe de compagnons : maçons et tailleurs de pierres. Le siège de l’entreprise

est à Wépion, ce qui n’empêche pas cet aventurier de se lancer dans des travaux d’importance telle que la restauration partielle de lacathédrale de Reims en sous-traitance pour une entreprise générale parisienne.Cette réalisation qui s’étale sur quatre années va développer l’attrait particulier de l’entreprise pour les travaux de restauration de monu-ments. Cette attirance sera perpétuée avec tous ses descendants.En 1926, Florent Bajart formé dans l’équipe de son père, s’associe avec son beau-frère Ernest Noël pour créer, ensemble, les « entre-prises Bajart et Noël ». L’effectif de la firme se situe entre 10 et 30 personnes, suivant les variations de la conjoncture de l’époque. En1946, Joseph Bajart, fils aîné de Florent, entre dans l’entreprise familiale, et sous son impulsion, l’association se transforme dès 1951en société anonyme familiale. À partir de cette période, l’importance des affaires nécessitera le transfert du siège d’exploitation deWépion à Namur dans le quartier d’Herbatte. L’entreprise se spécialise de plus en plus dans la restauration des édifices classés. Cettespécialisation s’accentue pour atteindre en 1970 près de 80% du chiffre d’affaires. De 1950 à 1970, le chiffre d’affaires de l’entreprisepasse de 7 millions de francs belges à 70 millions tout en maintenant une occupation de +/- 30 personnes.

1972 - Jean-Pol Bajart, fils de Joseph, fait son entrée dans l’entreprise. Les bureaux et dépôts d’Herbatte étant devenus trop étroits,la décision est prise de les transférer dans le zoning industriel de Floreffe. Le décès d’Ernest Noël peu après le transfert à Floreffe, inciteles administrateurs à modifier la dénomination de la société en « entreprise Bajart s.a. ». Deux ans plus tard, un atelier de menuiserieest construit et l’équipe des menuisiers se forme.Depuis 1975, malgré la période difficile dans le secteur de la construction, l’expansion de l’entreprise n’a fait que s’accroître pouratteindre, en 1990, un chiffre d’affaires de +/- 250 millions de francs belges en occupant 60 personnes.

1992 - Accession à l’agréation de classe 7 en D24 – restauration de bâtiments classés et aussi en constructions neuves pour les mar-chés publics.Julie Bajart, fille aînée de Jean-Pol Bajart, rejoint les rangs de l’entreprise familiale en 2000 pour en reprendre la direction. Elle endevient l’administratrice déléguée en 2001 suite au décès prématuré de son père.Après 40 années de présence à Floreffe, l’entreprise déménage l’entièreté de ses installations vers le parc Ecolys à Suarlée. Ce transfertrenforce l’objectif de poursuivre les activités spécifiques de l’entreprise grâce à un outil plus performant et mieux adapté aux besoinsactuels. Ce déménagement sur un site plus proche d’importants axes routiers, permet d’assurer une meilleure ‘couverture’ de la Wallonieet de la Région bruxelloise pour y réaliser des travaux.

**Sources - http://www.bajart.be/entreprise/historique/

GOLINVAUX ROBERT SPRL

**Lucien Golinvaux, Fondateur d’une dynastie d’ardoisiers• Le 15 mai 1899 naissait à OCHAMPS Lucien GOLINVAUX, le plus jeune d’une famille de 6 enfants. • A 13 ans, son grand-père lui conseilla d’apprendre le métier de couvreur avec son frère aîné Joseph, chezl’entrepreneur du village Victor DURY dit « Du Bijou ».

• C’est en 1915 qu’ils se « mettent à leur compte » pour se spécialiser dans les travaux de charpenterie, couverture et zingueries. • Ils se mettent à réparer les toits des maisons environnantes et même des clochers. • Ainsi débute une dynastie de générations de maîtres ardoisiers.

Robert Golinvaux, la seconde génération• Lucien GOLINVAUX eut sept enfants : trois filles et quatre garçons, dont trois sont mordus par le virus des hauteurs et de la construc-tion : Robert, Constant et Jean.

• Le plus jeune des garçons, Robert, est né le 27 août 1937. A 14 ans, il est en humanités à Bertrix, alors que son père restaurait leclocher de Fays-les-Veneurs.

• En cachette, pendant que toute l’équipe était occupée à manger durant la pause de midi, il se dépêcha d’aller placer le coq au som-met du clocher, prouvant ainsi à tous son aptitude à ignorer le vertige.

• Dans les années 60 il se spécialisa de plus en plus dans les travaux de réfection de clochers, tours de châteaux et bâtiments histo-riques.

• Puis subitement, sur le chantier du château de BRAINE-LE-CHATEAU, le 19 novembre 1980, à 43 ans la mort accidentelle le cueillitau travail.

Colette Golinvaux, la troisième génération• Au décès de Robert survivait son épouse et trois enfants, dont sa fille aînée Colette, et un très bel outil, une belle culture du beau,d’amour du travail en équipe, du respect des choses et des gens.

• Il fallait prendre rapidement une décision car les entreprises ne peuvent rester longtemps immobiles. C’était tout ou rien , prendrele gouvernail ou tout laisser tomber.

• Colette choisit de dire oui et cela fait plus de 20 ans qu’avec la collaboration de son époux Bernard SACRE, les plus belles toituresde Wallonie continuent de porter la signature « Golinvaux ».

**Sources - http://www.golinvaux.be/

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Chantiers Ouverts – 07 mai 2017

Le dimanche 7 mai 2017, la Confédération de la Construction proposait une journée « Chantiers Ouverts » etles entreprises désignées pour la restauration de la Collégiale avaient décidé de relever le défi, offrant ainsi

à toutes et tous une chance unique de visiter l’intérieur et l’extérieur du bâtiment.

A cette occasion, 1000 gilets de sécurité avaient été floqués à l’effigie de la Collégiale etdes différents logos des entreprises. La foule était si nombreuse qu’il n’y a d’ailleurs paseu assez de gilets ! On a compté près de 1300 visiteurs tout au long de la journée : petits,grands, personnes âgées...tous voulaient participer à cette belle journée. Il est vrai qu’il estrare de visiter une église par l’extérieur via des échafaudages...nombreux sont ceux qui onttouché la tour comme pour laisser leur empreinte dans l’histoire.

Un peu avant 10h, heure de début des visites, la foule commençait déjà à arriver pourdécouvrir les premiers travaux effectués.

C’est casqués et vêtus des gilets de sécurité,que les curieux ont pu découvrir les pre-mières phases des travaux de la Collégiale.Accompagnés de spécialistes des 4 entre-prises, le circuit, totalement sécurisé,empruntait les échafaudages extérieurs pourse rendre au plus près du clocher et longer lanef et la tour. Ensuite, on pouvait découvrirl’intérieur de la Collégiale et comprendrel’ampleur des travaux restant encore à réali-ser. Les visiteurs ont pu voir à quoi ressem-blerait le futur plafond. L’ancienne voûte seradonc remplacée par un plafond plat dont lesdalles rainurées produiront un effet trompe-l’œil.

Durant toutes les visites, de nombreusesquestions ont été posées tant l’intérêt pour cebâtiment classé est important.

Pour la restauration de la Collégiale, unetrentaine de métiers ont travaillé d’arrache-pied depuis avril 2016 : maçons, tailleurs depierre, peintres, plafonneurs…

On pouvait d’ailleurs voir à l’œuvre quelques ardoisiers et charpentiers...de quoi susciterchez les plus jeunes des vocations ?

Merci encore aux entreprises Ronveaux, Bajart, Golinvaux et Thiran pour cette belle initia-tive !

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Le 16 mai 2017Pose du clocher de la Collégiale

Le 16 mai 2017, vous avez été nombreux à vivre avec nous la pose du clocher.

La police a estimé à 3000 per-sonnes, le nombre de personnesvenues participer à cet événementhistorique, dont près de 1000élèves.

La journée avait déjà commencétôt. A 3 heures du matin, quatrecamions, un pour la grue et troisuniquement pour les poids de les-tage de celle-ci, quittent Feluy pourarriver aux alentours de 6 heuresdu matin à Ciney. Déjà quelquesbadauds se pressent pour voir l’im-pressionnante machine. Tout le

monde est présent et l’installation peut commencer.Près de 100 tonnes sont nécessaires pour stabiliser lagrue et c’est la machine elle-même qui réalise lesmouvements. En effet, il faut savoir que le clocherpèse environ 20 tonnes.

Dès le début de la matinée, la Place Monseu s’est rem-plie, chacun voulant être bien placé pour observer lamontée du clocher.Un espace pour les personnes à mobilité réduite, gérépar la Maison Citoyenne de Ciney, avait été installénon loin du kiosque afin que ces personnes puissentbénéficier d’une place au premier plan.La Séniorie d’Omalius était même venue avec de nom-breuses personnes en chaises roulantes afin d’assister au spectacle.Vers 10 heures, le Bourgmestre arrive sur la Place Monseu, accompagné du Ministre Borsus, duMinistre Bellot, des responsables des entreprises Ronveaux, Bajart, Golinvaux et Thiran, desmembres du Conseil Communal, des membres de l’Action Sociale ainsi que de nombreux bourg-mestres et politiques des environs invités spécialement pour l’occasion.

Le discours est prononcé devantune place comble. Le bourgmestre,Jean-Marie CHEFFERT, prend laparole pour parler de la tornade etsurtout de l’élan de solidarité quis’était mis en place àl’époque...beaucoup de dégâts maisheureusement aucune victime.Lors de ce discours, la population aappris qu’une horloge allait êtreinstallée dans le clocher et que l’onpourrait ré-entendre, comme par lepassé, la majestueuse dame sonner.

Ensuite, ce fut l’heure de la bénédiction par le Doyen Pierre Renard, accompagné de l’AbbéPhilippe Renard et du Chanoine Huet.

Vers 10h30, le clocher et le coq bénis, tout le monde attend avec impatience la montée du clo-cher. La grue se met en branle et le clocher, majestueux, monte dans les cieux sous le regardému des citoyens. En 12 minutes, ce magnifique ouvrage d’art est hissé tout en haut de la tour.Ensuite, c’est l’apothéose, les ouvriers viennent saluer la foule, le clocher est posé ! Ils allumentalors, avec une fierté non dissimulée, des fumigènes bleus et verts et la place se soulève dansune magnifique salve d’applaudissements !

COLLÉGIALE


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Après la pose du clocher, chacun avait reçu un ticket et recevait un soft ouune Ciney dans un galopin, souvenir offert par la Brasserie Alken-Maes etavec lequel on pouvait repartir.La buvette était gérée, comme pour les matchs de football des belges, par lesecteur Horeca de la Place Monseu. Notons également, qu’un important dispositif policier était mis en place pourveiller à la bonne organisation de l’événement.Ensuite, petit à petit, la place s’est vidée mais c’est certain...ceux qui yétaient, ont apprécié ce moment !

« Et vive Ciney, vive les Cinaciens ! »


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MAISON CITOYENNE

Florent BETTENSFils de Claudine Collardet Philippe Bettens

Eyden DE SMEDTFils de Johanna Naveauet Patrick De Smedt

Louis DEFAUXFils de Valériane Lesuisse

et Gilles Defaux

Julien LAMBERTFils de Caroline Henneaux

et François Lambert

Lily LAURENTFille de Stéphanie Galet

et Emile Laurent

Maria TRONFille de Olena Sholiaet Oleksandr Tron

Elisabeth WILLEMFille de Marie Briolet Olivier Willem

Chloé COPINEFille de Sarah Derzelle et

Christophe Copine


ETAT CIVIL

Naissances

En mars

Baptiste COUVREURFils de Emilie Delaireet Nicolas Couvreur

Salomé GAYEFille de Lisa Dupireet Corentin Gaye

Lyam MULLERFils de Alexandra

Masschaeleet Gilles Muller

Giulia PELLEGRINOFille de Jennifer Farcyet Serge Pellegrino

Amy PIRLOTFille de Charlotte Navet

et Hughes Pirlot

• Luce ARNDT, Fille de Valentine Gillain et Kévin Arndt• Soline CLERC de LAMINNE de BEX, Fille de Astrid de Laminne de Bexet Laurent Clerc

• Théo CORNELIS, Fils de Amaury Cornélis et Laura Tissot• Marceau FOSTIER, Fils de Amandine Piquard et Mathieu Fostier• Lily-Rose PLACE, Fille de Aurélie Place• Léo et Eden RENARD, Fils de Sophie Rihoux et Sébastien Renard• Lucas SCHMIT, Fils de Mélanie Lambert et Nicolas Schmit• Matthys SCHUL, Fils de Ludivine Piret et Gwennaël Schul

En avril

• Anna D'ORRIA, Fille de Meskens Sophie et Luigi D'Orria• Mya HAULDEBAUM, Fille de Françoise Malherbe et Patrick Hauldebaum

• Raphaël HENRY, Fils de Caroline Pirlot et Valentin Henry• Zélie HERMAN, Fille de Xavière Demeffe et François Herman• Zoha LEYDER, Fille de Gwenaëlle Petit et Jonathan Leyder• Léo LOHEST, Fils de Marie-Eve Vieslet et Guillaume Lohest• Luna MARCHAL, Fille de Mélanie Leclère et Christophe Marchal

• Edouard VINCENT, Fils de Charlotte Dive et Sébastien Vincent

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Louis TAEYAERTS KÉFERFils de Sophie Kéferet Arnaud Taeyaerts

Emy VERDEURFille de AmélieVanspaendoncket Nicolas Verdeur

Clémence VERVOTTEFille de Muriel Dehaluet Pierre Vervotte

Léa WEIJNFille de Kévin Weijn et

Elise Ernoux


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DécèsEn marsBRASSEUR Marthe – DALCIN Dino – DOCQUIR Philippe –DUMONT Céline – EVRARD Willy – GOEDERT Paul – GRANDJEANMichel – GUILLAUME Désiré – HEBERT Justine – LETOR Marie –MEUNIER Camille – PIETTE Didier – SAELMANS Barbe – VER-SCHAEREN Raoul – WARZEE Joseh – WOUTERS Joseph

En avril CHABOTEAUX Arthur – DENIS Berthe – DOZOT Michèle – DUBOISDaniel – FOKAN Henri – GREEN Florent – JAZ Anne – LIBENS Richard– MARCHAL Marie-Reine – PALMANS Ida – PERWEZ Joseph – PHI-LIPPOT Bernard – RENSON Gilbert – ROLLIN Monique – SIMON Anne-Marie – TACHENY Angèle – VIROUX Marie-Hélène – WARNON Jean

Mariages

Willy VERMAELEN et Deborah GOBLET

En mars• Miguel BOUVIER et Delphine WATRIN• Andranik BANDUANYAN et Mariam YEGHIAZARYAN

Pierre PIRSON et Madeleine LALOUX

En avril• François POCHET et Virginie PONCELET

Karl MABILLE et Vanessa ROQUET

Noces

Monsieur et Madame Jules PIRLOT de Ciney(Noces d'Or)

Monsieur et Madame Gaston WARNANT de Ciney (Diamant)Monsieur et Madame Jean MAZY de Ciney (Diamant)

Monsieur et Madame Théophile LISSOIR de Achêne (Diamant)Monsieur et Madame Léopold FRIPPIAT de Ciney (Or)Monsieur et Madame Louis DUCULOT de Ciney (Or)

Monsieur et Madame Albert BOURTOMBOURG de Haversin (Or)

Noces d'Or et de Diamant - cérémonie du 3 mai

Réalisation : sprl REG

IFO Edition - Fosses-la-Ville &071 / 74

.01.37

FAX : 071 / 71.15.76

- in

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Documents

Collégiale - Edition Spéciale · 2017. 6. 29. · DE LA COLLEGIALE Le mardi 16 mai dernier, vous étiez plus de 3000 Cinaciens présents sur la Place pour assister à la pose de