11
L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie Concentration de contraintes.doc page 1/6 Concentration de contraintes en traction Description du mécanisme d’expérimentation Le mécanisme de la pince photo élastique est défini par la nomenclature ci- dessous et le schéma ci-contre. La poutre peut être changée. Pour cela, le démontage s’effectue, après avoir supprimé la charge exercée par la vis 9, en chassant avec la pointe d’un crayon les goupilles 3. On utilisera les quatre poutres décrites pas les dessins de définitions faits sur un même format A4. 10 2 Vis de blocage des poignées 9 1 Vis de serrage 8 1 Support 7 1 Pige d’articulation des montants 6 1 Montant droit 5 1 Poutre 4 2 Filtre polarisant 3 2 Goupille de fixation de la poutre 2 1 Montant gauche 1 1 Pivot des filtres polarisants Rep Nbr Désignation 3 2 1 4 5 6 7 8 9 10 X Y Le problème est un problème plan ( X, Y) Lorsque la pige 7 est mise en place, le contact entre la poutre 5 et les montants 6 et 2 ne se fait que par des appuis plans et des contacts cylindre avec les deux goupilles 3. On en déduit que les liaisons entre la poutre et les montants sont des liaisons pivot d’axes parallèles à Z. Il en résulte que la poutre est soumise à deux actions des deux goupilles 3 qui sont modélisées par des forces directement opposées dont le support est la droite passant par le centre des ces deux goupilles. Ce support étant confondu avec la ligne moyenne de la poutre, il en résulte que la poutre est bien sollicité en traction sur toute sa longueur. L’objectif du TP est de découvrir sur ce dispositif expérimental le phénomène de concentration de contraintes, puis de le quantifier en évaluant un coefficient de concentration de contraintes pour plusieurs poutres différentes. Ensuite non utiliserons le logiciel de calcul par éléments finis « ComosWorks » qui est un complément de « SolidWorks » et des abaques pour essayer de retrouver les valeurs du coefficient de concentration de contrainte mesurés expérimentalement. Les poutres A, B, C et D utilisées dans ce TP sont entièrement définies sur les dessins de définition du document Technique DT1.

Concentration de contraintes en traction - Chauvet F.chauvet.lajol.free.fr/tgmbtp/serie5/photoela/photoela.pdf · 9 1 Vis de serrage 8 1 Support 7 1 Pige d’articulation des montants

  • Upload
    dinhbao

  • View
    215

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie

Concentration de contraintes.doc page 1/6

Concentration de contraintes en traction

Description du mécanisme d’expérimentation

Le mécanisme de la pince photo

élastique est défini par la nomenclature ci-

dessous et le schéma ci-contre.

La poutre peut être changée. Pour cela,

le démontage s’effectue, après avoir supprimé

la charge exercée par la vis 9, en chassant

avec la pointe d’un crayon les goupilles 3.

On utilisera les quatre poutres décrites

pas les dessins de définitions faits sur un

même format A4.

10 2 Vis de blocage des poignées

9 1 Vis de serrage

8 1 Support

7 1 Pige d’articulation des montants

6 1 Montant droit

5 1 Poutre

4 2 Filtre polarisant

3 2 Goupille de fixation de la poutre

2 1 Montant gauche

1 1 Pivot des filtres polarisants

Rep Nbr Désignation

3

2

1

4

5

6

7

8

9

10

X

Y

Le problème est un problème plan (→

X ,→

Y )

Lorsque la pige 7 est mise en place, le contact entre la poutre 5 et les montants 6 et 2 ne se fait que

par des appuis plans et des contacts cylindre avec les deux goupilles 3. On en déduit que les liaisons entre

la poutre et les montants sont des liaisons pivot d’axes parallèles à →

Z .

Il en résulte que la poutre est soumise à deux actions des deux goupilles 3 qui sont modélisées par

des forces directement opposées dont le support est la droite passant par le centre des ces deux goupilles.

Ce support étant confondu avec la ligne moyenne de la poutre, il en résulte que la poutre est bien sollicité

en traction sur toute sa longueur.

L’objectif du TP est de découvrir sur ce dispositif expérimental le phénomène de concentration de

contraintes, puis de le quantifier en évaluant un coefficient de concentration de contraintes pour plusieurs

poutres différentes.

Ensuite non utiliserons le logiciel de calcul par éléments finis « ComosWorks » qui est un

complément de « SolidWorks » et des abaques pour essayer de retrouver les valeurs du coefficient de

concentration de contrainte mesurés expérimentalement.

Les poutres A, B, C et D utilisées dans ce TP sont entièrement définies sur les dessins de définition

du document Technique DT1.

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie

Concentration de contraintes.doc page 2/6

Travail à faire

1- Détermination expérimentale des coefficients de concentration de contraintes

1.1- Poutre A

Mettre en place la poutre A dans la pince sans exercer pour l’instant de sollicitation.

1.1.1- Que peut-on dire de la répartition des contraintes dans cette poutre ? Dessiner, à l’aide de la

représentation conventionnelle avec des flèches sur le document réponse DR1, cette répartition des

contraintes dans la section A-A de la poutre A.

1.1.2- Que cela va-t-il entraîner expérimentalement pour les couleurs visibles ? Constater ce

phénomène en sollicitant progressivement la poutre à l’aide de la vis 9. Ne pas dépasser le troisième

niveau de violet.

1.2- Poutre B

Mettre en place la poutre ci-dessous sans exercer pour l’instant de sollicitation.

1.2.1- Que peut-on dire de la répartition des contraintes dans la section A-A ? Dessiner, à l’aide de

la représentation conventionnelle avec des flèches sur le document réponse DR1, cette répartition des

contraintes dans la section A-A de la poutre B.

1.2.2- Que peut-on dire de la répartition des contraintes dans la section B-B ? Dessiner, à l’aide de

la représentation conventionnelle avec des flèches sur le document réponse DR1, cette répartition des

contraintes dans la section B-B de la poutre B.

1.2.3- Exprimer le rapport σA

σB

entre les contraintes σA et σB dans les sections A-A et B-B en

fonction des aires SA et SB des sections A-A et B-B.

1.2.4- Justifier que la contrainte moyenne σCmoy dans la section C-C est égale à la contrainte σB dans

la section B-B :

1.2.5- Serrer le bouton 9 jusqu’à obtenir dans la section A-A le premier niveau de violet. Ne pas

dépasser le premier niveau de violet. Que constate-t-on dans la section C-C ?

1.2.6- Dessiner, à l’aide de la représentation conventionnelle avec des flèches sur le document

réponse DR1, cette répartition des contraintes dans la section C-C de la poutre B.

1.2.7- Compter le nombre de niveaux de violet entre la section A-A et le maximum de la section C-

C. En déduire le rapport σCmax

σA

entre la contrainte σA et la contrainte maximale dans la section C-C : σCmax.

1.2.8- A l’aide des résultats obtenus aux questions 2.1.3, 2.1.7 et le fait que σCmoy = σB , en déduire

le rapport kt = σCmax

σCmoy

entre la contrainte maximale constatée dans la section C-C : σCmax et la contrainte

moyenne dans la section C-C σCmoy qui serait calculée si la répartition des contraintes dans la section C-C

était uniforme. Ce rapport est appelé coefficient de concentration de contraintes.

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie

Concentration de contraintes.doc page 3/6

1.3- Poutre C

Mettre en place la poutre C sans exercer pour l’instant de sollicitation.

1.3.1- Exprimer le rapport σA

σBmoy

entre les contraintes σA dans la section A-A et σBmoy dans la

section B-B si il n’y a pas de concentration de contraintes.

1.3.2- Serrer le bouton 9 jusqu’à obtenir dans la section A-A le premier niveau de violet. Ne pas

dépasser le premier niveau de violet. Que constate-t-on dans la section B-B ? Dessiner, à l’aide de la

représentation conventionnelle avec des flèches sur le document réponse DR1, cette répartition des

contraintes dans la section B-B de la poutre C.

1.3.3- Compter le nombre de niveaux de violet entre la section A-A et le maximum de la section B-

B. En déduire σBmax

σA

le rapport entre la contrainte σA et la contrainte maximale dans la section B-B : σBmax.

1.3.4- A l’aide des résultats obtenus aux questions 2.2.1, 2.2.3 en déduire le coefficient de

concentration de contraintes kt = σBmax

σBmoy

dans la section B-B

1.4- Poutre D

Mettre en place la poutre D sans exercer pour l’instant de sollicitation.

1.4.1- Exprimer le rapport σA

σBmoy

entre les contraintes σA dans la section A-A et σBmoy dans la

section B-B si il n’y a pas de concentration de contraintes.

1.4.2- Serrer le bouton 9 jusqu’à obtenir dans la section A-A le premier niveau de violet. Ne pas

dépasser le premier niveau de violet. Que constate-t-on dans la section B-B ? Dessiner, à l’aide de la

représentation conventionnelle avec des flèches sur le document réponse DR1, cette répartition des

contraintes dans la section B-B de la poutre D.

1.4.3- Compter le nombre de niveaux de violet entre la section A-A et le maximum de la section B-

B. En déduire le rapport σBmax

σA

entre la contrainte σA et la contrainte maximale dans la section B-B : σBmax.

1.4.4- A l’aide des résultats obtenus aux questions 2.3.1, 2.3.3 en déduire le coefficient de

concentration de contraintes kt = σBmax

σBmoy

dans la section B-B

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie

Concentration de contraintes.doc page 4/6

2- Détermination informatique des coefficients de concentration de contraintes

Le but de cette partie est de déterminer les coefficients de concentration de contrainte dans les

quatre sections les trois poutres B, C et D, à l’aide du logiciel de calcul par éléments finis

« ComosWorks » qui est un complément du logiciel « SolidWorks ».

La détermination du coefficient de concentration de contrainte à l’aide du logiciel « Comosworks »

se fait en six étapes. On reprendra donc ces six étapes pour les trois poutres B, C et D :

A- Modélisation de la pièce à l’aide du modeleur volumique « Solidworks ».

B- Modélisation du matériau de la pièce

C- Modélisation des liaisons de la pièce avec l’extérieur et des efforts s’appliquant sur cette pièce.

D- Décomposition de la pièce en un nombre finis de petits éléments (Maillage de la pièce).

E- Calculs

F- Interprétation des résultats et détermination du coefficient de concentration de contraintes.

2.1- Poutre B

A- Modélisation de la pièce à l’aide du modeleur volumique « Solidworks ».

� Avec le logiciel « Solidworks », réaliser la modélisation volumique de la poutre B telle quelle est

définie sur le dessin de définition du document DT1. Puis enregistrer le modèle dans votre dossier.

B- Modélisation du matériau de la pièce

� Définir une nouvelle étude de calculs par éléments finis, que l’on nommera « Traction ». Voir

première partie (Etapes 1 à 4) de la procédure A du document technique DT2.

� Définir les caractéristiques mécaniques du matériau de la poutre B. Ce matériau est du PMMA

c'est-à-dire du Polyméthacrylate de méthyle dont une désignation commerciale est le Plexiglas® ou

Altuglas®. Voir deuxième partie (Etapes 5 à 11) de la procédure A du document technique DT2. On

donne ci-dessous les caractéristiques de ce matériau.

Module d’Young : E = 2,9 GPa Coefficient de poisson : νννν = 0,4 Masse volumique : ρρρρ = 1 180 kg/m3

Résistance à la traction et à la compression : Rr = 75 MPa Limite élastique : Re = 70 MPa

C- Modélisation des liaisons de la pièce avec l’extérieur et des efforts s’appliquant sur cette pièce.

Pour la modélisation des efforts et liaisons on considèrera que l’un des deux perçages de la poutre

est fixe (La pièce se déformant l’autre n’est pas fixe). Sur l’autre perçage on considère qu’il s’applique

une force de F = 540 N. Pour réaliser cette modélisation suivre la démarche suivante.

� Imposer un déplacement nul des points de la surface du perçage de gauche de la poutre. Voir la

procédure B du document technique DT2.

� Appliquer un effort de 540 N réparti sur la surface du perçage de droite de la poutre. Voir la

procédure C du document technique DT2.

D- Décomposition de la pièce en un nombre finis de petits éléments (Maillage de la pièce).

� Réaliser le maillage de la poutre avec une dimension moyenne des éléments finis de 2 mm. Voir

la première partie (Etapes 1 à 4) de la procédure D du document technique DT2.

E- Calculs

� Lancer les calculs par éléments finis du logiciel « CosmosWorks ». Voir la deuxième partie

(Etape 5) de la procédure D du document technique DT2.

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie

Concentration de contraintes.doc page 5/6

F- Interprétation des résultats.

� Afficher la répartition des contraintes dans la pièce résultant du calcul fait par le logiciel. Voir la

première partie (Etapes 1 à 3) de la procédure E du document technique DT2.

� Pour une meilleure lisibilité du résultat passer à une représentation de type « Discrète » de cette

répartition des contraintes. Voir la deuxième partie (Etapes 4 à 7) de la procédure E du document

technique DT2.

� Pour une détermination plus précise des valeurs des contraintes modifier l’échelle des couleurs

de cette répartition des contraintes. Voir la troisième partie (Etapes 8 à 14) de la procédure E du document

technique DT2.

2.1.1- Zoomer sur la section C-C puis donner σCmax la contrainte maximale dans la section C-C avec

une précision de deux chiffres significatifs .

2.1.2- Calculer σCmoy la contrainte moyenne dans la section C-C (l’effort de traction est de 540 N).

En déduire Kt = σCmax

σCmoy

le coefficient de concentration de contrainte dans la section C-C.

2.1.3- Zoomer sur la section D-D puis donner σDmax la contrainte maximale dans la section D-D

avec une précision de deux chiffres significatifs .

2.1.4- Calculer σDmoy la contrainte moyenne dans la section D-D (l’effort de traction est de 540 N).

En déduire Kt = σDmax

σDmoy

le coefficient de concentration de contrainte dans la section D-D.

2.1.5- Le phénomène de concentration de contrainte à lieu aux endroits de variation brusque de la

section. Que peut-on dire du coefficient de concentration de contrainte en fonction de la brutalité de la

variation de section ?

2.2- Poutre C

Reprendre les étapes A à F précédentes pour calculer à l’aide de « CosmosWorks » la contrainte

maximale dans la section B-B de la poutre C. Pour cette poutre on prendra un effort de traction de 408 N.

Zoomer sur la section B-B puis donner σBmax la contrainte maximale dans la section B-B avec une

précision de deux chiffres significatifs. Ensuite, calculer σBmoy la contrainte moyenne dans la section B-B

(l’effort de traction est de 408 N) et en déduire Kt = σBmax

σBmoy

le coefficient de concentration de contrainte

dans la section B-B.

2.3- Poutre D

Reprendre les étapes A à F précédentes pour calculer à l’aide de « CosmosWorks » la contrainte

maximale dans la section B-B de la poutre C. Pour cette poutre on prendra un effort de traction de 780 N.

Zoomer sur la section B-B puis donner σBmax la contrainte maximale dans la section B-B avec une

précision de deux chiffres significatifs. Ensuite, calculer σBmoy la contrainte moyenne dans la section B-B

(l’effort de traction est de 780 N) et en déduire Kt = σBmax

σBmoy

le coefficient de concentration de contrainte

dans la section B-B.

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie

Concentration de contraintes.doc page 6/6

3- Détermination des coefficients de concentration de contraintes par les abaques

En vous aidant des abaques ci-dessous, déterminer kt les coefficients de concentration de contraintes

dans la section C-C de la poutre B et les sections B-B des poutres C et D.

Type de variation de section Abaque

Diminution de la section avec conge de

raccordement

Encoches symétriques avec congé de

raccordement

Perçage sur la ligne moyenne

4- Comparaison des différents résultats et conclusion

Reporter dans le tableau du document réponse DR1 les différents résultats obtenus puis conclure sur

les trois méthodes utilisées pour la détermination des coefficients de concentration de contraintes.

4

120

10

10

4040

4

R5

120X

X

6

19

X-X

199

6

Z-Z1

9

6

Poutre B

Format A4

Dessiné par: CHAUVET F. Le : 27/02/2010

LPTI Saint Joseph La Joliverie

Echelle : 1:1

Document DT1

Poutre D

Poutre C

Poutre A

Y-Y

6.8 19

6

1.5R

3

120

10

4

Y

Y

4

6

10

120Z

Z

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie Document DT2

Procedures CosmosWorks.doc page 1/3

A −−−− Nouvelle étude et choix du matériau

1 à 4 – Définition

d’une nouvelle étude

CosmosWorks.

5 à 7- Ouverture de la

boite de dialogue de

définition du matériau.

8 à 10- Définition des

caractéristiques du

matériau

11- Fermeture de la

boite de dialogue de

définition du matériau.

B −−−− Définition des déplacements des points en surface

1 à 2 – Choix de la

surface dont ont pilote

les déplacements et

ouverture de la boite de

dialogue de définition

des déplacements des

points en surface.

3 à 6- Définition du

pilotage des dépla-

cements imposés aux

points de la surface

sélectionnées.

7– Fermeture de la

boite de dialogue de

définition des dépla-

cements des points en

surface.

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie Document DT2

Procedures CosmosWorks.doc page 2/3

C −−−− Ajout d’un effort sur une surface

1 à 2 – Choix de la

surface et ouverture de

la boite de dialogue

d’ajout d’un effort.

3 à 8- Définition de

l’effort : Type d’effort

(3), Direction (4 à 6),

Intensité (7) et sens (8)

9- Fermeture de la

boite de dialogue

d’ajout d’un effort.

D −−−− Maillage de la pièce et lancement des calculs

1 à 2 – Choix de la

pièce à mailler et

ouverture de la boite de

dialogue du maillage.

3 à 4- Réglage de la

taille moyenne du

maillage et lancement

du maillage automa-

tique. Attendre ensuite

que le logiciel ait fini

le maillage.

5- Lancement du calcul

par éléments finis.

Attendre ensuite que le

logiciel ait fini le

calcul numérique par

éléments finis.

L.P.T.I. Saint Joseph La Joliverie Document DT2

Procedures CosmosWorks.doc page 3/3

E −−−− Affichage des résultats et optimisation de l’échelle des couleurs

1 à 3 – Affichage du

résultat de la répar-

tition des contraintes

dans la pièce.

4 à 7- Mise en place

d’une répartition des

couleurs de type

« Discrète ».

8 à 14- Redéfinition

des limites de l’échelle

des couleurs et du

nombre de couleurs sur

cette échelle.

B

B

A

A

B

B

A

A

A

A

A

A

C

C

B

B

D

D

D o c u m e n t r é p o n s e D R 1R é p a r t i t i o n d e s c o n t r a i n t e s d a n s l a p o u t r e A

R é p a r t i t i o n d e s c o n t r a i n t e s d a n s l a p o u t r e B

R é p a r t i t i o n d e s c o n t r a i n t e s d a n s l a p o u t r e C

R é p a r t i t i o n d e s c o n t r a i n t e s d a n s l a p o u t r e D

C o m p a r a i s o nd e s r é s u l t a t sP o u t r e B s e c t i o n C - C

P o u t r e C s e c t i o n B - B

P o u t r e D s e c t i o n B - B

M é t h o d e e x p é r i m e n t a l e M é t h o d e i n f o r m a t i q u e M é t h o d e d e s a b a q u e sC o e f f i c i e n t d e c o n c e n t r a t i o n d e c o n t r a i n t e s o b t e n u p a r

C o n c l u s i o n